Clousot

Tost : Honda a fait beaucoup de progrès cet hiver La confiance est de mise entre Toro Rosso et Honda 26 février 2018 - 15h49, par Emmanuel Touzot Toro Rosso a débuté sa collaboration avec Honda et Franz Tost a de nouveau confié sa totale confiance au motoriste japonais ce matin, après avoir dévoilé la nouvelle STR13. "Nous n’aurons pas de problèmes car le moteur marche bien" explique Tost. "Je suis convaincu que Honda a les capacités et le savoir-faire pour développer le moteur au niveau que nous attendons. Je pense que c’est très positif car Honda a fait beaucoup de progrès dans les derniers mois, tout autant sur le plan de la fiabilité que sur celui de la performance, avant cette saison que nous attendons tous avec impatience". L’équipe visait la cinquième place l’an dernier mais a terminé au septième rang après avoir été dépassée par Renault lors de la dernière course à Abu Dhabi. Tost peine donc à donner un objectif précis. "Les trois premières places sont à oublier puisque ce sera Ferrari, Red Bull et Mercedes. A partir de la quatrième place, il y a Force India, Williams, et on l’espère, Toro Rosso, McLaren, Renault et les autres. Je dois avoir une vision plus claire de nos performances et pour cela, je dois au moins attendre les essais ici et deux ou trois courses. Mais l’objectif sera pour nous d’être dans la première partie du peloton, aux alentours de la cinquième place". Cette association permettra en tous cas à Red Bull d’avoir toutes les cartes en main pour éventuellement décider de collaborer avec Honda dans le futur : "Je ne sais pas ce qu’ils décideront. Ce n’est pas une décision de Toro Rosso, c’est le management de Red Bull Racing qui choisira".

Une tapette bien connue et son chienchien...

Comme l'on dit Us "Il faut savoir raison garder" et si c'est pour être mieux encore chez soi après..;-)

Barcelone I, J1 : Ricciardo en tête à la pause, la bataille est déjà lancée Les trois équipes de pointe en quatre dixièmes de seconde 26 février 2018 - 13h12, par Emmanuel Touzot C’est officiel, la saison est lancée ! Les premiers essais hivernaux de la Formule 1 ont démarré ce jour et les dix équipes ont pris la piste pour étrenner leur nouvelle création qui disputera la saison 2018 du championnat. Force India a annoncé que Nicholas Latifi, qui était censé être présent cette semaine et piloter la VJM11 jeudi, ne sera pas présent. En effet, le Canadien a été hospitalisé la semaine dernière pour une infection sévère et se repose. Renault a dévoilé en début de matinée son programme pour la semaine à venir. Aujourd’hui, Nico Hulkenberg pilote ce matin et sera remplacé cet après-midi par Carlos Sainz, tandis que ce sera l’inverse demain. Mercredi et jeudi, le programme sera le même que lundi et mardi. Dès le feu vert, à 9h ce matin, toutes les équipes prennent la piste, sauf Williams et Force India qui mettent quelques minutes à envoyer respectivement Lance Stroll et Nikita Mazepin en piste.Le premier incident est à mettre au crédit de la McLaren pilotée par Fernando Alonso qui, non pas victime d’un problème de moteur, sort de la piste après la perte d’une roue. L’Espagnol était en train de battre le temps de Valtteri Bottas, installé en tête en 1’21"843. Zak Brown, le directeur de McLaren, confirmera un peu plus tard qu’il s’agissait d’un problème d’écrou. Le Finlandais est rapidement battu par Nico Hulkenberg pour une demi-seconde. Nikita Mazepin est à l’origine du second drapeau rouge après un tête à queue tandis que Kimi Räikkönen descend en 1’20"970, avant d’être battu de nouveau par Hulkenberg en 1’20"863. Le pilote Ferrari et l’Allemand de chez Renault s’échangent alors la tête du classement. Hulkenberg descend en 1’20"547 tandis que Räikkönen le bat avec un 1’20"506. Daniel Ricciardo est le suivant à passer sous la minute 21 secondes et se place au troisième rang. A moins de 10 minutes de la fin de séance, Valtteri Bottas rappelle à tous que Mercedes est favorite et signe un temps de 1’20"349. Fernando Alonso reprend la piste peu avant la pause, de manière à faire un deuxième roulage avec la McLaren MCL33 qui n’a parcouru pour le moment que six tours du circuit catalan. La bataille est déjà lancée aux avant-postes puisque Daniel Ricciardo s’empare du meilleur temps avec un tour en 1’20"179 ! Les trois équipes de pointe se disputent déjà le meilleur temps mais c’est finalement l’Australien qui garde le meilleur temps. Derrière lui, Bottas et Räikkönen, qui se tiennent en moins de quatre dixièmes de seconde, on retrouve la Renault de Hulkenberg. Derrière, les écarts sont énormes mais c’est Brendon Hartley sur la Toro Rosso motorisée par Honda qui est cinquième avec en prime l’un des plus grands nombres de tours parcourus. Lance Stroll et Romain Grosjean suivent devant Fernando Alonso, qui a bouclé une petite série de tours en fin de séance, tandis que Marcus Ericsson et Nikita Mazepin bouclent le classement. Les temps à la pause (13h10) : [th]Pos.[/th][th]Pilote[/th][th]Voiture[/th][th]Temps[/th][th]Tours[/th]01Daniel RicciardoRed Bull RB141:20.1796002Valtteri BottasMercedes W091:20.3495803Kimi RäikkönenFerrari SF71H1:20.5065904Nico HülkenbergRenault RS181:20.5477305Brendon HartleyToro Rosso STR131:22.3717206Lance StrollWilliams FW411:22.4524607Romain GrosjeanHaas VF-181:23.0923208Fernando AlonsoMcLaren MCL331:24.2021009Marcus EricssonSauber C371:24.8974110Nikita MazepinForce India VJM111:25.6282211Lewis HamiltonMercedes W09- :—.---012Carlos SainzRenault RS18- :—.---013Sergey SirotkinWilliams FW41- :—.---0

Le simple fait d'écrire un mot qui commence par "con" et c'est le rejet direct. Voilà j'ai rectifié l'affaire et pour nous au club il sera désormais possible d'écrire le mot con, conçue etc...

Toro Rosso doit composer avec beaucoup de changements Elle en a heureusement l’habitude 26 février 2018 - 12h42, par Emmanuel Touzot La nouvelle Toro Rosso est le premier fruit de la collaboration entre l’équipe italienne et Honda. Le motoriste a quitté McLaren pour rejoindre la deuxième écurie gérée par Red Bull et cette arrivée a été la chose la plus importante à gérer pour l’équipe technique de Toro Rosso, menée par James Key. "Nous avons eu plusieurs changements de moteurs ces dernières années donc nous sommes bons pour gérer cela" explique Key. "Bien que le timing ait été plus tardif que ce que nous aurions aimé, cela n’a pas été un gros problème d’adapter la voiture. Au fil des années, nous avons appris à avoir cette flexibilité dans l’équipe. La partie installation du moteur dans le châssis s’est bien passée. Nous aurions pris des décisions différentes si nous avions eu un timing plus normal mais cela n’a pas changé fondamentalement l’architecture de la monoplace ni l’installation du moteur. Honda a produit un moteur très compact et facile à travailler. C’était une bonne surprise quand nous avons débuté le travail sur ordinateur et que nous avons eu les premières discussions techniques avec Honda. Nous avons pu revoir notre boîte de vitesses tout en permettant à nos suspensions une meilleure installation". James Key explique ensuite que l’aspect technique et fonctionnel n’a pas été le seul puisque son équipe technique a dû s’adapter à la culture japonaise et aux méthodes de Honda. "C’est une nouvelle expérience. J’ai personnellement travaillé pour Honda il y a quelques années et j’avais adoré cette période, mais c’est différent quand vous avez un partenaire moteur qui n’est pas basé en Europe. On ne peut pas simplement aller les voir pour discuter. C’était une forme plus structurée de communication. Nous avons un décalage horaire très important à gérer et c’est une chose à laquelle nous devons faire attention. L’autre aspect, c’est que nous travaillons désormais comme équipe d’usine de notre motoriste, et c’est une opportunité fantastique pour nous, tout autant que pour Honda qui travaille avec une nouvelle équipe. Pour nous, il ne s’agissait pas uniquement d’installer un moteur et de discuter tous ses détails que sont le logiciel, l’électronique ou encore la gestion opérationnelle du moteur, il a fallu être plus proche de notre partenaire motoriste et avoir une réelle influence sur certaines choses. C’est un véritable défi pour nous de nous impliquer à ce point mais c’est une superbe expérience. C’est une vraie bouffée d’air frais de travailler avec Honda". Mais le moteur n’a pas été le seul changement parmi les partenaires de Toro Rosso puisque même si Pirelli continue sa collaboration avec l’intégralité des équipes de Formule 1, le manufacturier italien a apporté de nouvelles gommes qui ont été prises en compte dans le développement de la STR13. "L’effet combiné du développement aérodynamique continu ainsi que de celui du moteur, auquel on rajoute un surplus d’adhérence avec les pneus, signifie que les vitesses seront plus élevées. Il faut donc s’assurer que que l’on prend tout ça en compte pour les charges aérodynamiques. Il faut également considérer la manière dont les réglages pourraient être affectés ainsi que l’adaptation qui pourrait être nécessaire sur la géométrie des suspensions pour des pneus qui seront plus tendres que l’an dernier. Il y a donc beaucoup de travail nécessaire". Key résume à l’avance la saison à venir : "Il s’agira de développer notre nouveau partenariat au fil de la saison. Je m’attends à ce que notre voiture soit de plus en plus compétitive à mesure que la saison avancera. Nous avons des plans à court et moyen termes afin de progresser et des buts à atteindre pour la seconde partie de saison".

Et il y a "déjà" quelque chose autour du halo mais bon...;-)

Mon fauve alors il y a deux ans ...

James Key décrit le processus de conception de la STR13 L’aérodynamique est la priorité de Toro Rosso 26 février 2018 - 10h40, par Emmanuel Touzot La nouvelle Toro Rosso est la première monoplace ...çue autour du moteur Honda. James Key, directeur technique de l’équipe, revient sur la conception de cette nouvelle voiture. "Il y a eu plusieurs défis mais aucun ne nous était pas familier" explique Key. "Le plus important était évidemment le changement de motoriste et il y a eu quelques modifications sur l’aérodynamique, ainsi que des clarifications sur la suspension, ce qui a modifié notre approche. L’élément le plus important et le plus discuté est la protection de la tête des pilotes grâce au halo. C’est un défi nouveau car il n’y avait aucune donnée de référence sur laquelle se baser. Il a donc fallu réfléchir à comment l’intégrer sur le châssis. Les demandes importantes en termes de résistance ont été un vrai défi que nous avons relevé. Les principales raisons de l’apparence du halo, ce sont sa résistance incroyable et les charges qu’il est capable de supporter. C’est une pièce brute, c’est un élément structurel et non un exercice de style. Il a été ...çu strictement selon des demandes d’intégration mécanique et structurelle. Les tests de charges sont démentiels donc c’était un grand défi". James Key revient également sur le reste de la voiture, qui est une évolution de la précédente. La partie avant et les détails aérodynamiques ont beaucoup changé, mais Toro Rosso n’est pas repartie d’une feuille blanche. "Pour le reste de la voiture, il a fallu reprendre ce que nous connaissions déjà et le changer ou l’affiner, selon que c’était un point faible ou un point fort l’an dernier, en tirant les leçons de cette première année du nouveau règlement. La voiture de 2018 est une évolution même si nous avons totalement revu la partie arrière et la manière dont travaillent les suspensions car ce n’était pas l’une de nos forces en 2017, mais nous avons corrigé ce problème. La partie aérodynamique est plutôt différente par rapport à l’an dernier sur certains points, tandis que c’est une évolution d’autres parties. L’aéro est une zone où il y a beaucoup de travail actuellement. C’est un domaine dans lequel nous étions bons en début de saison dernière mais nous n’avons pas réussi à atteindre le niveau souhaité en fin de saison. Il nous reste encore beaucoup de choses à trouver avec ces nouvelles règles concernant le châssis. Nous aurons certainement une voiture très différente d’ici à la mi-saison car le développement aérodynamique est l’une de nos priorités" conclut Key

Ocon est ‘dans la forme de sa vie’ et veut frapper plus fort en 2018 Pour battre Sergio Perez et séduire Toto Wolff 26 février 2018 - 10h23, par Alexandre Combralier Esteban Ocon aborde la saison 2018 avec le plein de confiance. Le pilote français espère créer la sensation en battant Sergio Perez… et pourrait même recevoir une promotion chez Mercedes l’an prochain dans la meilleure des hypothèses. « Je me sens heureux » confirme-t-il en ce début de semaine, « détendu, et confiant pour cette nouvelle saison. Je connais très bien l’équipe maintenant et cette relation solide et bien établie fait vraiment la différence. C’est la première fois dans ma carrière que je reste dans une même équipe deux années d’affilée, donc c’est une nouvelle expérience pour moi. Au début de la saison dernière, je devais tout apprendre en partant presque de zéro, mais maintenant, je suis déjà à la page, ce qui m’aidera. » Le Français a passé du temps à s’affûter physiquement cet hiver, notamment dans les monts pyrénéens.« Je me sens vraiment dans la meilleure forme de ma vie. Je me suis entraîné sans discontinuer depuis janvier et je me sens prêt à courir. Je me suis fixé des objectifs ambitieux en termes de forme physique et j’ai réussi à tous les mener à bien. Ce furent des mois très intenses, mais tout le dur labeur que j’ai effectué va payer. J’aborde cette nouvelle saison avec le sentiment d’être mieux préparé que jamais. » L’ambition est au beau fixe pour Esteban Ocon. Quels objectifs se fixe-t-il pour cette saison ? Et en quoi la saison dernière lui fut-elle profitable sur le plan du pilotage ?« Je veux toujours m’améliorer donc c’est important de viser encore plus haut qu’en 2018. J’ai disputé 29 courses en F1 et j’ai beaucoup appris l’an dernier. Je connais tous les circuits, je connais très bien mon équipe, et j’ai une meilleure compréhension du niveau de détails que la F1 implique. Je veux franchir une autre étape cette année, continuer à m’améliorer et être encore plus fort que l’an dernier. J’ai été déçu de ne signer aucun podium l’an dernier, donc c’est vraiment l’un de mes objectifs pour cette année. J’ai conclu la saison dernière avec beaucoup de satisfaction dans l’ensemble. J’ai franchi quelques étapes importantes dans mon développement en tant que pilote et j’ai beaucoup appris aussi. J’étais bien plus fort à la fin de l’année et maintenant je veux m’assurer de commencer la nouvelle saison de la même manière. Les résultats que j’ai obtenus étaient solides, mais nous avons aussi manqué quelques bonnes opportunités. Donc j’ai été satisfait par cette saison, mais le passé est le passé et je sais que je dois faire un travail encore meilleur pour cette année. » L’excitation d’Esteban Ocon sera surtout de mise en juin, à l’occasion du retour du Grand Prix de France…« Ce sera le moment fort de l’année. La F1 a une longue histoire en France et je peux vraiment sentir l’excitation et l’enthousiasme à mesure que le Grand Prix se rapproche. La piste sera super rapide et ce sera magnifique au coucher du soleil. Cela a toujours été un rêve pour moi de courir à domicile donc je me sens très chanceux. » L’autre nouveauté de cette saison, peut-être un peu moins heureuse pour Esteban Ocon, est l’apparition du halo. Et le Français ne cache pas son manque de familiarité avec ce dispositif.« Je n’y suis pas encore habitué. Je l’ai seulement essayé une fois avec Manor, en 2016, et cela prendra du temps pour que je m’y fasse. Cependant, c’est la même chose pour tout le monde. Nous devons simplement apprendre à piloter avec. Cela affecte certainement votre visibilité, parce que c’est un gros changement, mais les gains en termes de sécurité sont importants. Je connais quelques fans qui n’apprécient pas le halo, mais je pense qu’ils s’y habitueront assez rapidement. »

Force India pourrait changer de nom avant Melbourne C’est encore d’actualité selon Otmar Szafnauer 26 février 2018 - 11h24, par Emmanuel Touzot Force India a révélé ce matin sa nouvelle monoplace, la VJM11. Sa livrée est toujours rose grâce à BWT, malgré une évolution graphique de ses couleurs, mais c’est surtout au niveau des noms de l’équipe et du châssis que les changements étaient attendus, et n’ont pas eu lieu. Cela pourrait toutefois intervenir avant l’Australie puisque Otmar Szafnauer a confirmé que l’équipe pourrait changer d’identité avant le Grand Prix à Melbourne, prévu dans quatre semaines. Si ce n’est pas possible, ce changement serait alors reporté à 2019 car l’équipe veut trouver sa nouvelle identité immédiatement et ne pas faire de changements en cours de saison. Le nom de l’équipe et celui du châssis, qui fait référence au fondateur de l’équipe Vijay Mallya, seraient alors changés. En attendant, l’équipe démarre ses essais privés et espère rapidement être dans le coup. "Nous nous préparons rapidement à cette nouvelle saison, dans une position similaire à celle que nous avions au début de la précédente" explique Otmar Szafnauer, directeur adjoint de l’équipe. "Le développement de la voiture a été encourageant et les chiffres provenant de notre soufflerie et du simulateur montrent que l’on a fait de grands pas en avant cet hiver. C’est évidement relatif car nous ne savons pas ce qu’aurons fait nos concurrents. Nous voulons progresser, ou au moins garder notre position, ce qui signifie que la quatrième place est l’objectif minimum une fois encore. J’aimerais penser que nous serons plus proches des trois meilleures équipes mais nous ne voulons sous-estimer personne sur la grille et il est juste de penser que battre des équipes comme Williams, Renault ou McLaren sera un grand défi en 2018". Force India, comme toutes les autres équipes, a dévoilé une nouvelle monoplace qui est une évolution de la précédente. Szafnauer raconte l’hiver de l’équipe, avec un plan bien suivi pour développer la nouvelle monoplace. "Tout s’est bien passé dans l’ensemble. Le règlement est resté quasiment inchangé si l’on met de côté l’arrivée du halo et le départ de l’aileron de requin, donc la VJM11 est une évolution de la voiture de l’an dernier. L’incorporation du halo a été le plus gros défi car il y a eu des retards et des incertitudes. Heureusement, tout s’est déroulé selon le plan et la validation des crash tests avant Noël nous a rassurés". L’équipe est désormais bien établie en Formule 1 et apparaît désormais comme l’une des meilleures outsiders du championnat, ce qui n’est pas pour déplaire à Szafnauer. "Ont dit que le succès appelle plus de succès et c’est vrai car nos performances ont appelé à plus d’opportunités commerciales, à commencer par un investissement plus important de BWT, mais aussi de nouveaux partenaires comme Pemex et RAVENOL. L’équipe a mûri sur tous les plans et on nous a qualifié d’équipe ayant la meilleure valeur sur la grille en fonction de nos moyens. Nous avons besoin de plus de moyens pour franchir l’étape suivante mais je pense que nous nous sommes positionnés comme l’une des équipes les plus intéressantes dans notre sport et nous cherchons d’autres investissements. Nous nous sommes concentrés sur tous les niveaux pour garder notre personnel, à commencer par nos pilotes et nos directeurs. C’est notre force récemment, nous avons grandement progressé en termes de ressources et il y a eu des changements dans l’équipe d’ingénieurs". En plus d’un changement d’identité, Force India pourrait changer de propriétaire à moyen terme, mais ce n’est qu’un embryon d’idée actuellement, comme l’explique Otmar Szafnauer. "Ce serait une reprise très conséquente et ça ne se fera pas en une nuit. C’est un processus qui prendra plusieurs années et nous explorons la meilleure manière de faire ces changements sans avoir d’impact négatif sur nos performances. C’est avant tout une considération financière et nous ne changerons pas ces infrastructures aux dépens du développement de la monoplace".

Et son pneu il est où si jamais ?

Ils m'énervent, ils m'énervent....

Mon bon'Us aime le spectacle (tout comme nous) et si un jour en Indycar une mesure similaire devait être prise il faudra l'accepter. Les voitures actuelles évoluent en terme de sécurité et si ce dispositif avait été imposé avant Jules Bianchi il serait toujours en vie. Rien que pour ça il faut tolérer un halo voyant tout comme on loue, depuis des lustres, une cellule de survie totalement invisible. Cette cellule de survie a déjà sauvé des vies et Robert est là aujourd'hui pour en témoigner. Voilà simplement la raison pour laquelle je me permets d'insister quelques fois entre gens bienveillants que nous sommes.

Je croyais que c'était juste une illustration, je ne savais même pas que ça existait...par contre, il faut avoir une soif de damné, quoi ? Et il faut s'imaginer les pauses pipi après ça...

Yes les gars c'est vrai ça... Il faut pas demander comme ce petit ruisseau était privé d'eau (bétonnage excessif etc..).

Oui c'est génial d'autant qu'ils auraient conservé la boite de vitesse de la 2CV au vu du pilotage. Ce serait une prouesse supplémentaire que d'accoupler un RS 1100 bicylindres à la boite Citroën. Bravo au petits génies.

L'avis de monsieur Jean. Le Halo connaitra le même sort que le HANS selon Todt Il se fera vite... oublier ! [size=12]25 février 2018 - 10h42, par Olivier Ferret [/size] Jean Todt, le président de la FIA, a favorisé l’introduction du Halo en Formule 1 dès 2018, malgré les nombreuses critiques des fans et, parfois, des pilotes. Pour le Français, la sécurité passe avant tout et il fait même un pari : celui que le Halo se fera vite oublier, comme un des systèmes de sécurité introduit il y a plus de 10 ans et lui aussi controversé à l’époque, le HANS, qui retient le cou des pilotes en cas de choc frontal. "Le halo sera en effet introduit, dès cette année, en F1, en F2 et en Formula E. Il s’agit d’un bouclier frontal fixé au cockpit pour protéger la tête du pilote en cas de crash ou de vol d’un projectile. Ce n’est pas une assurance tous risques, mais c’est un grand progrès pour la sécurité," confie-t-il à Auto Moto. "Lorsque le HANS (Head And Neck Support) a été rendu obligatoire en Formule 1 en 2003, j’étais le patron de l’écurie Ferrari. A l’époque, personne n’en voulait. Aujourd’hui, pas un pilote ne monterait dans une monoplace sans cela. Je pense que ce sera la même chose pour le halo." Todt est aussi revenu sur le sort de son ancienne équipe et suggère entre les lignes une saison 2018 probablement plus disputée encore. "La saison 2017 fut très belle. Entre Merceries et Ferrari, je pensais que la différence se ferait sur la fiabilité. Et cela a joué car, au final, ce sont en grande partie les péripéties des GP de Singapour, de Malaisie et du Japon qui ont décidé du sort du championnat."

Di dju Us quelle trouvaille mais comment un chassis comme celui là pouvait il "porter" un tel moteur.. Inutile d'imaginer une prise d'angle dans un tournant.

La voiture qu'il faudra battre cette année enfin si cela se confirme. Regardez bien l'élaboration de l'aéro, c'est démoniaque.

Ce sont de véritables Crocs les miens. Je comprends mieux pourquoi ils ont déposé le bilan (je crois) c'est inusable depuis 5 ans au moins....

Ah mes sabots inusables et ultra légers sont en tête...(authentique)

Oui l'aéro derrière le pilote (les flaps, les ailerons, les prises d'air..) c'est là que tout le monde aura travaillé cet hiver. Bye à demain..;-)

Et dire que c'est en trébuchant dans la neige qu'il aura "disparu". Picorez comme je l'ai fait et vous resterez toujours songeur.

Thanks Us on aura eu plus de soleil que toi aujourd'hui....