Clousot

Gênant pour la vue il faut voir. C'est fou comme le cerveau peut se focaliser ou non sur un "obstacle" ou une contrainte et ne plus voir que ça. Vous avez un bouton sur le visage que vous n'aviez jamais remarqué et bien vous ne verrez plus que lui dans la glace jusqu'à ce que votre cerveau l'ai assimilé. Même chose pour le Halo ou un autre système le cerveau vous tannera jusqu'à l'avoir assimilé et puis ce sera tout.

La FIA connaît déjà les modifications à apporter au halo Le pilier central et l’intégration à la monoplace au programme 18 février 2018 - 10h29, par Emmanuel Touzot Le halo est arrivé sur les premières monoplaces présentées ces derniers jours, sept mois après avoir été adopté par la FIA. Le système de protection a été choisi en opposition au shield, cette bulle typée cockpit d’avion qui avait provoqué des vertiges à Sebastian Vettel. La FIA se penche désormais sur l’évolution du halo. "Nous avons deux objectifs principaux" déclare Laurent Mekies, directeur de la sécurité de la FIA. "Le premier est le pilier central, afin de voir comment réduire sa largeur pour des questions de visibilité. L’autre est une meilleure intégration à la voiture, c’est à dire un halo plus esthétique, ce qui serait dans l’étape 2". Mekies avoue que la priorité était d’amener le halo en Formule 1 et en Formule 2 pour cette saison, ce qui est fait. Désormais, il va être possible de le développer afin de mieux l’intégrer aux monoplaces. "La réalité, c’est que nous avons voulu passer d’une prise de décision à une action lors des derniers mois Nous avons publié les standards du halo, trouvé des fournisseurs et on leur a demandé de nous donner certaines pièces, ce qui a amené beaucoup de complexité car nous l’avons fait pour la F1, la F2 et la Formule E dans le même temps. Quelques mois plus tard, la situation est plutôt bonne. Le halo a été livré, nous avons trois fournisseurs homologués et nous allons désormais être capables de pouvoir creuser un peu plus les recherches sur l’étape 2".

Tout un programme ..de salubrité.

c'est résolu en touchant du bois.

Thanks Us.

sais pas moi...;-)

Tu dois adorer Michel Audiard qui savait dire les choses. Tous le monde comprenaient tout de suite et c'était savoureux à souhait. Un must à ses débuts dans "Les tontons flingueurs" avec la scène culte de la cuisine et du "bizarre à boire".

La "Keunigs Agura" de Us est la plus rapide au monde avec peut être la Bugati je crois...dju!

D'accord Us mais ici j'emploie volontiers le mot "emprunte" car il ne se limite pas à l'émission de gaz mais aussi à tout le reste. On parle d'emprunte carbone pour la fabrication de batterie automobile par exemple. Force est de constater qu'une batterie n'émet aucun gaz et pourtant pour la fabriquer il faut englober des tas de choses qui au final polluent énormément. C'est surtout cette forme de pollution que j'appelle "une emprunte carbone" car elle est invisible à l'usage mais on ne s'en aperçoit qu'après son "passage".

Si on regarde l'emprunte carbone, le temps parcouru d'un point à l'autre sur le même continent et ce par personne, c'est le train qui est champion du monde.

Grosjean et son ingénieur de course, une relation primordiale Plongée dans les coulisses d’un dialogue crucial dans la F1 d’aujourd’hui 17 février 2018 - 09h25, par Alexandre Combralier La F1 devient de plus en plus un sport technologique où le moindre petit changement dans les réglages peut avoir de grandes conséquences sur les performances des monoplaces. Des facteurs comme la relation de confiance existant entre le pilote et son ingénieur de course, ou la qualité des retours techniques et du dialogue au sein de l’écurie, sont donc devenus des facteurs d’autant plus primordiaux de nos jours. Haas a souvent reproché à Romain Grosjean d’être trop négatif dans ses commentaires radio. Le Français entretient pourtant une relation dynamique et productive avec son ingénieur de course, Gary Gannon (à gauche sur la photo), qui a rejoint l’écurie américaine dès 2015 pour préparer la saison 2016. Interrogé sur l’importance de sa relation avec Romain Grosjean dans les résultats de Haas, Gary Gannon n’y va pas par quatre chemins : « C’est important pour tout. Tout d’abord sur le plan technique, nous avons beaucoup d’informations venant de la voiture, mais le retour d’expérience du pilote est essentiel pour comprendre quel est le plus gros problème. Je pourrais examiner toutes les données, mais ça ne me dirait pas ce qui empêche Romain de prendre un virage de telle ou telle manière, donc c’est essentiel. Romain est un pilote très technique et intelligent donc ses retours techniques sont très approfondis, très complets. Cette relation est ainsi très importante pour la compréhension technique de la voiture. » Romain Grosjean n’est pas anglophone de naissance et à la difficulté de la traduction technique, s’ajoute la difficulté de la traduction langagière. Comment le pilote français s’y prend-t-il pour mettre les bons mots sur ce qu’il ressent ?« Tout est une question de traductions, de choisir entre différentes traductions. Ce n’est pas facile. Pour moi en tant que pilote, je dois traduire en mots mon ressenti sur la voiture, et ensuite traduire cela à l’ingénieur et ensuite l’ingénieur doit traduire ce que je dis en quelque chose qui fasse sens en termes de données. Le langage que vous utilisez et le niveau de détails que vous pouvez transmettre sont très importants. Plus vous vieillissez, plus vous vous assurez que ces traductions sont faciles à faire, pour ne pas donner un feedback que l’ingénieur ne pourra comprendre. Si vous ne le faites pas, alors, vous allez avoir du mal à tirer le maximum de votre package. »

Ben voyons.

Quelle affaire c'est unique en son genre chez nous en Europe je crois...

Le bruit. Si tu savais le mal que ça fait au propre comme au figuré. Mais tu le sais. Tu n'es pas bête à ce point...;-)

Sacré Blutch...

Me souviens pas de ces voitures à deux faces...;-)

Il y en a un qui a la présence d'esprit de se boucher les oreilles. Je dis ça car je sors de l'ORL pour un problème bénin (et tant mieux) qui m'a bien recommandé de ne pas s'exposer à des bruits anormaux. Je pense à tout ces passionnés de décibels qui ne se doutent pas des dégâts...

Tout est dit enfin bien dessiné..;-)

le Brail...

Cette Ferrari là me plaît bien.

En fait question sponsors on assiste à une "volatilité" du sponsoring qui ne sait plus où donner de la tête. En effet là où il y a deux ans c'était porteur, ça ne l'est plus maintenant et ce tout simplement par une dérive de l'audimat. Pensez donc qu'une campagne publicitaire télé coûte des millions et que pour moins de la moitié il existe maintenant une publicité "directive" sur le net. Voilà la face cachée de Mark Zuckerberg et autre YouTube. Ils vous offrent la possibilité de cibler au plus près votre clientèle et donc de calibrer au mieux votre budget pub. Retours sur investissement garantis et tout ce qui rassure pour quitter le flan d'une voiture et entrer chez vous par la grande porte via internet. Il ne survivra plus dans ce cas que des grandes marques comme Martini, DHL ou Marlboro (en son temps) pour envisager le sponsoring mondial. Même le gourou de Red Bull envisage de quitter la F1 mission accomplie. Par la force des choses une sélection drastique s'instaure et la course au sponsor pour les écuries de tout poil devient très difficile.

Yes Brail c'est ce genre de choses qui pour un rien se détachent et deviennent dangereux pour tout le monde qui est interdit

Moi j'ai trouvé celle çi légèrement corrigée et réduite au format...c'est la même que toi MB..;-)

Williams a révélé sa nouvelle FW41 Une philosophie revue en profondeur 15 février 2018 - 20h19, par Emmanuel Touzot La deuxième monoplace qui prendra part à la saison 2018 de Formule 1 a été présentée ce jour, il s’agit de la Williams FW41. C’est lors d’un évènement à Londres, ce soir, que l’équipe de Grove a levé le voile sur sa nouvelle production. La monoplace, toujours aux couleurs de Martini, aura pour objectif de maintenir l’équipe au 5e rang du classement des constructeurs, le minimum attendu par ses dirigeants. La FW41 est la première pour laquelle a participé activement Paddy Lowe puisque l’ancien directeur technique de Mercedes a rejoint Williams, au même poste, en mars 2017. Lowe a donc voulu développer un concept plus agressif que celui de l’an dernier, qui était une adaptation au règlement 2017 de la monoplace de 2016. C’est également la deuxième monoplace présentée à disposer du halo, ce système de protection de la tête des pilotes. Ces derniers seront Lance Stroll, qui entame sa deuxième saison dans l’équipe, et Sergey Sirotkin qui lance cette saison sa carrière de titulaire en F1. "C’est fantastique de pouvoir montrer ce soir, à tout le monde, notre FW41" déclarait Lowe juste avant la présentation. "Elle est le produit d’un grand travail d’équipe autour de ses diverses fonctions, que ce soit le design aérodynamique, les dynamiques de l’auto, les ingénieurs de course ou les ingénieurs système. La voiture a plusieurs nouveautés, la plupart ne sont pas évidentes mais de l’extérieur, l’équipe a suivi un concept aérodynamique très différent qui nous a permis de progresser dans ce domaine. Toutes les monoplaces de Formule 1 sont des évolutions de ce qui a été fait, pour résumer grossièrement, mais la FW41 implique un détachement de ce que nous faisions auparavant dans de nombreux domaines". Lowe explique ensuite le cheminement de Williams pour en arriver à s’éloigner d’un concept qui était de moins en moins performant : "Globalement, notre philosophie est une nouvelle approche de la collaboration entre l’aérodynamique et le dessin de la monoplace afin d’atteindre un résultat optimal. L’aérodynamique, la structure et le poids sont trois points principaux dans le dessin d’une monoplace de Formule 1 et tout le travail, ainsi que les changements radicaux qui permettent notamment d’incorporer les évolutions données par Mercedes, ont mené à la FW41 que nous vous présentons aujourd’hui. Nous espérons que cette voiture fera un bond en avant en termes de performances par rapport à 2017. Toute l’équipe technique est très positive au sujet de nos deux jeunes pilotes que sont Lance et Sergey, ainsi que de la contribution de Robert en tant que pilote de développement".

L’accord avec Alfa Romeo est un grand pas en avant pour Sauber Malgré des premières semaines agitées 16 février 2018 - 09h48, par Emmanuel Touzot Sauber va se parer des couleurs d’Alfa Romeo cette saison grâce au tout nouveau partenariat scellé entre les deux entités. Arrivé dans l’équipe l’été dernier pour remplacer Monisha Kaltenborn au poste de directeur de l’équipe, Fred Vasseur se déclare ravi de cet accord mais reconnaît qu’il a provoqué une charge de travail supplémentaire dans l’équipe cet hiver. "Ce n’est pas du travail en plus du côté technique puisque nous étions déjà à fond" explique Vasseur. "Nous avons changé de Honda à Ferrari et l’accord avec Alfa Romeo est arrivé tardivement car nous étions déjà fin juillet, ce qui a retardé le dessin de la nouvelle voiture. Du côté technique, nous sommes un peu en retard et pour l’entreprise et le département marketing, c’était également délicat. Avoir un sponsor titre est une bonne chose pour l’équipe, mais c’est également un grand pas en avant et nous devons renforcer chaque département en recrutant. Mais il est clair que c’était aussi intéressant que stressant. C’est toutefois bien mieux d’avoir à traiter ce problème plutôt que devoir gérer les gars à l’usine qui n’ont rien à faire !" Pour lui, le bénéfice de cet accord ne se verra pas trop cette saison, hormis sur les couleurs de la monoplace, mais se sentira à long terme : "Quand nous avons décidé de revenir vers le moteur Ferrari, le design de la voiture avait déjà commencé avec le moteur Honda. Il a donc fallu un peu de temps pour redessiner l’arrière de la voiture afin de changer notre approche. Ce n’est pas grand chose, c’était un petit coup de pression pour l’équipe mais nous avons un accord à long terme et ce n’est pas un problème s’il y a un petit souci au début, nous devons simplement nous concentrer sur les prochaines années, et non sur les dernières semaines"