Clousot

Gasly a déjà arraché sa combinaison à cause du halo Il n’est pas du tout fan du nouveau système 28 février 2018 - 09h55, par Emmanuel Touzot Après une journée d’utilisation du halo, Pierre Gasly s’est plaint de cette nouveauté et l’a décrit comme l’élément de sécurité le plus bizarre qu’il ait pu voir sur une monoplace. Il explique avoir abîmé sa combinaison en sortant de la monoplace. "Je n’aime pas le halo, c’est très compliqué de rentrer et sortir du cockpit" déclare le Français. "Je pense que ma combinaison est déjà abîmée, nous allons devoir en demander beaucoup à Alpinestars cette année. Ce n’est que le premier jour et j’ai déjà des trous dans le dos de ma combinaison. On a besoin de se reculer et de glisser dans la voiture, c’est très bizarre. Et avec les petits appendices sur le halo, on ne peut pas s’en servir pour se tirer hors de la monoplace, on ne peut pas le toucher. Ce sont des conditions bizarres mais ce n’est pas important. Je préférais simplement les anciennes monoplaces". Gasly ne se plaint pas du pilotage avec le halo, qui s’est avéré assez facile, mais regrette vraiment la difficulté à sortir de la monoplace que le halo provoque : "Piloter avec le halo ne fait pas une grande différence. En termes de visibilité, c’est la même chose. On voit évidemment quelque chose au dessus de nous, ce qui est un peu bizarre, mais quand on se concentre sur le pilotage, on ne fait attention qu’à ce qu’on a devant nous et on ne le voit pas. Mais entrer et sortir de la monoplace et un gros défi". De tels propos sont évidemment inquiétants pour la sécurité, puisque les pilotes sont censés être capables de sortir rapidement des monoplaces. Le délai était de cinq secondes auparavant et serait désormais de sept à huit secondes, mais Gasly semble sous-entendre que cela pourrait être un peu plus long. "Il se pourrait que ça prenne plus longtemps, c’est sûr. Cela ne m’inquiète pas car je ne pense pas aux mauvaises choses. C’est ce que nous avons cette année, je ne sais pas si nous l’aurons les années suivantes aussi mais il faut s’y habituer".

Vas y Brail tu t'étonneras toi même....;-)

Le vampirisme alors ?

Yes Brail, Stoffel va être suivi comme pas deux cette saison...

Très très intéressant oh mon bon'Us..;-)

Tention Brail, RBR , Renault et McLaren sont logés à la même enseigne question moteur. A partir de là c'est le chassis et sa périphérie qui feront la différence. Du moins espérons le...

Dieu t'entende oh mon bon'Us...

C'est masculin non ?

Je l'adore.

Vascularisé non plus

Oui c'est la quatrième année que les japonais entament avec espoir.

Un vampire non mais un esprit vampirique ?

Au vu du fiasco avec McLaren et avec ce que Brendon Hartley dit je penserais volontier qu'il va y avoir des surprises entre STR et Honda. En effet on a bien vite zappé l'incommunicabilité entre ML et Honda les années précédentes. Hors c'est un point capital pour des japonais, qui au final ne pouvait plus supporter une ambiance pareille. Je n'ai pas vécu dans l'autre hémisphère (toi bien MB) mais je pense que nous sommes des mérovingiens pour eux.

Alonso est inquiet des basses températures à Barcelone Mais il est confiant pour la saison à venir 27 février 2018 - 10h14, par Emmanuel Touzot Les essais de McLaren sont partis d’un mauvais pied mais Fernando Alonso a disputé un après-midi encourageant pour la première journée d’essais de Barcelone. L’Espagnol s’inquiète toutefois de devoir composer avec des températures très froides dans les prochains jours. "Si jamais il venait à faire aussi froid et humide que le disent les prévisions météo, alors nous allons avoir un problème" explique Alonso. "Parce que nous allons alors moins apprendre de la voiture. Le nouvel asphalte est en revanche une agréable surprise. Il n’y a presque plus d’aspérités au sol et sur piste sèche, l’asphalte offre beaucoup d’adhérence. Sur piste mouillée, c’est un peu plus perfide, parce que le nouvel asphalte suinte encore de l’huile. Mais d’un point de vue général, je suis très satisfait du travail accompli." En tant que nouvelle équipe cliente de Renault, McLaren ne vas pas hésiter à s’appuyer sur l’expertise et l’expérience de Renault et de Red Bull : "Nous allons considérer très exactement ce que les deux autres écuries font. Nous avons un bon indicateur. Avant tout, nous avons aussi la capacité de résoudre les problèmes. S’il y a des problèmes avec les moteurs, Renault et Red Bull Racing rencontreront les mêmes problèmes, tous ensemble, nous pouvons arriver à trouver plus rapidement une solution. Je trouve cela génial." A noter que le meilleur temps de l’Espagnol lui a été retiré puisque, certainement dans un instant de nostalgie, il a oublié d’emprunter la dernière chicane et a suivi l’ancien tracé. De fait, il recule de deux places avec un temps de 1’22"354 en lieu et place du chrono de 1’21"339. L’année de Fernando Alonso ne sera pas composée que de Formule 1, avec le championnat du monde d’endurance au programme, et particulièrement les deux prochaines éditions des 24 heures du Mans, puisque la saison de WEC s’étend jusqu’en juin 2019. " Je suis prêt. Je peux mieux répartir mes forces, par exemple, en ce qui concerne les déplacements. Je ne me fais aucun souci. Oui, c’est un programme intense, mais au niveau du mental, je n’ai aucune difficulté avec cela. Lorsque je monte dans la voiture, je me donne de toute manière à 100% de ce que je peux donner. Au niveau physique, je ne me fais aucun souci. J’ai maintenant un cou beaucoup plus fort qu’il y a un an. Et à l’époque j’étais très en forme. La seule chose qui pourrait m’inquiéter, c’est si jamais quelque chose ne va pas avec les vols en avion. Lorsque l’on passe du temps à voyager en jet pour se rendre et quitter les circuits, il n’y a pas beaucoup de place pour les erreurs."

Horner dénonce une alliance Ferrari-Mercedes pour contrer Liberty La F1, une guerre aussi politique 27 février 2018 - 12h50, par Alexandre Combralier Les projets de Liberty Media pour rendre la F1 plus juste et équitable ne plaisent pas du tout à Ferrari mais aussi à Mercedes, dont les privilèges sont menacés. Un front improbable mais aux intérêts bien compris s’est ainsi formé entre les Rouges et les Flèches d’Argent. Toto Wolff a par exemple loué les commentaires « absolument sensés » de Sergio Marchionne – qui vitupère contre Liberty Media, jusqu’à menacer de retirer Ferrari de la F1. Cette alliance n’est pas du tout du goût de Christian Horner, le directeur de Red Bull, qui a dénoncé cette coalition des privilégiés de la discipline dans le paddock de Barcelone. « Mercedes et Ferrari travaillent comme une seule équipe aujourd’hui. Parfois, il est difficile de déterminer qui est qui. Ces deux dernières années, la relation entre Ferrari et Mercedes a été très étroite. Ils ont même diffusé en ligne les lancements de leurs voitures réciproques, entre autres. » Christian Horner prie donc Liberty Media de ne pas céder face aux menaces de Ferrari et Mercedes, quelle qu’en soit la gravité. « Nous sommes concentrés sur la course, sur des choses que nous pouvons contrôler. Liberty Media doit décider du chemin qu’ils veulent voir la F1 emprunter pour l’avenir. Je suis sûr qu’ils établiront leur plan de route au cours de cette saison, et ce sera le point de départ pour nous. Mais bien sûr, beaucoup de gens vont prendre des postures et se positionner, et vous voyez déjà cela commencer chez certains. » Bernie Ecclestone croit savoir que Ferrari pourrait créer un championnat parallèle, mais Christian Horner réfute une telle hypothèse. « Bernie sait que chaque fois qu’il a fallu renégocier les Accords Concorde, des gens parlaient de créer des séries concurrentes. Mais ça n’est encore jamais arrivé et je ne pense pas que ça arrivera prochainement. La F1 est et sera le pinacle du sport auto, et il revient au détenteur des droits commerciaux et à la FIA de dire ‘voici à quoi ressemblera la F1 du futur’ ; et ensuite, c’est aux équipes de dire si elles veulent en faire partie ou non. » Sergio Marchionne est allé au chantage pour faire céder Liberty Media en menaçant de claquer purement et simplement la porte de la discipline. De son côté, Toto Wolff – l’allié objectif de Ferrari selon Christian Horner - adopte un ton plus conciliant en apparence. « Nous sommes engagés en F1, nous en bénéficions si elle fonctionne bien. C’est ce sur quoi nous nous concentrons, et nous soutenons le plus possible le management de la F1 et la FIA pour résoudre les problèmes de la F1, pour la rendre formidable, pour améliorer le spectacle, et cela doit être notre première priorité. La plupart des choses que dit Sergio [Marchionne] sont absolument sensées pour moi et elles recoupent notre position. Nous critiquons certaines choses parce que nous voulons que la F1 aille bien. Nous avons beaucoup investi, c’est un sport majeur et mondial qui a grandi ces dernières années, et nous nous en sentons responsables. »

Hartley : McLaren a fait une erreur en quittant Honda Le Néo-Zélandais est ravi de son nouveau moteur 27 février 2018 - 11h32, par Emmanuel Touzot Brendon Hartley a pu découvrir le moteur Honda qui équipe désormais sa Toro Rosso et semble plutôt conquis après ce premier galop d’essais. Il le juge suffisamment bon pour estimer que McLaren n’aurait pas dû quitter le motoriste japonais. "Je pense qu’ils ont fait une erreur" a déclaré le Néo-Zélandais. "Le moteur est très souple et j’ai plus de puissance que l’an dernier". A noter toutefois que le pauvre Hartley a vécu une fin de saison difficile l’an dernier, en arrivant chez Toro Rosso au moment où tous les moteurs Renault étaient complètement rincés. Franz Tost, directeur de Toro Rosso, a quant à lui révélé que son équipe comptait s’associer à long terme avec Honda : "Nous avons des plans à moyen et long terme avec Honda. Je dis toujours que les trois premières places sont à oublier, mais tout est possible pour la quatrième place. Nous sommes heureux des progrès en fiabilité et en performance. Travailler avec Honda nous offre l’accès à de vastes ressources et nous en voyons déjà les bénéfices". McLaren a débuté sa collaboration avec Renault par un petit souci le matin, avant que la voiture prenne la piste l’après-midi sans souci. Zak Brown estime que les autres rencontreront aussi des problèmes. "Je ne pense pas qu’il y ait une équipe qui ne rencontrera pas de problème" a déclaré le directeur de McLaren. "En regardant les dernières années, une saison sans problème est virtuellement impossible. Nous souhaitons le meilleur à Honda et Toro Rosso mais nous nous concentrons sur notre programme et nous sommes ravis de nos progrès".

Barcelone I, jour 2 : Bottas en tête à la mi-journée, pas de pause Le froid a perturbé le début de journée 27 février 2018 - 13h41, par Emmanuel Touzot La vague de froid qui touche l’Europe n’a pas épargné Barcelone et au moment où le feu est passé au vert ce matin, la température de l’air était de 0 degré tandis que la piste atteignait deux degrés. Dès lors, les deux premières heures d’essais étaient calmes et seul Carlos Sainz postait un temps très lent, tout le monde utilisant des gommes intermédiaires et pluie. Le circuit de Barcelone et les responsables des essais décidaient alors de ne pas faire de pause pour le repas et de laisser la piste ouverte sans interruption jusqu’à 18h. A la mi-séance, c’est Valtteri Bottas qui pointe en tête avec un temps de 1’20"270, dans les mêmes temps qu’hier malgré le froid un peu plus important. Derrière lui, c’est Stoffel Vandoorne qui s’est installé au deuxième rang mais le Belge a utilisé les nouveaux pneus hyper-tendres apportés par Pirelli, contre les tendres pour Bottas. Vandoorne est à 55 centièmes de seconde du meilleur temps. Derrière, on retrouve Sebastian Vettel sur la Ferrari qui a parcouru 35 tours et posté un temps de 1’21"010 avec les gommes medium. Pierre Gasly a bouclé plus de 40 tours et signé le quatrième temps à trois dixièmes de Vettel en pneus tendres. Sergey Sirotkin a enfin pu tourner et signer un temps correct en 1’21"822 tout en bouclant 46 tours. Carlos Sainz est sixième devant Esteban Ocon et Charles Leclerc. Max Verstappen n’a presque pas tourné avant 13h25 puisque sa voiture a subi une fuite de carburant après seulement trois tours. Il est reparti en piste et a signé le neuvième temps en 1’26"170. Kevin Magnussen a très peu tourné lui aussi après avoir envoyer sa Haas dans les graviers. A noter que les équipes ont fait beaucoup d’essais aérodynamiques ce matin. [th]Pos.[/th][th]Pilote[/th][th]Voiture[/th][th]Temps[/th][th]Tours[/th]01Valtteri BottasMercedes W091:20.2705402Stoffel VandoorneMcLaren MCL331:20.3253503Sebastian VettelFerrari SF71H1:21.0103504Pierre GaslyToro Rosso STR131:21.3184405Sergey SirotkinWilliams FW411:21.8224606Carlos SainzRenault RS181:22.1252207Esteban OconForce India VJM111:22.2313108Charles LeclercSauber C371:23.9174409Max VerstappenRed Bull RB141:26.170910Kevin MagnussenHaas VF-181:42.276611Lewis HamiltonMercedes W09- :—.---012Nico HülkenbergRenault RS18- :—.---013Lance StrollWilliams FW41- :—.---0

Vers une cinquième journée d’essais cette semaine ? Ce serait vendredi pour compenser la mauvaise météo 27 février 2018 - 08h21, par Emmanuel Touzot Les équipes de Formule 1 sont en train de négocier une prolongation pour une cinquième journée d’essais cette semaine, en tenant une séance supplémentaire vendredi. Les températures très basses ne sont pas représentatives de ce que les équipes vivront au cours de la saison et une grosse quantité de pluie est prévue, ainsi que du verglas le matin. Brendon Hartley a stoppé ses essais à cause de la météo en déclarant que les conditions étaient "proches du verglas". Les températures devraient encore chuter ce mardi tandis que mercredi, c’est de la neige fondue qui pourrait joncher la piste. La semaine d’essais est censée se terminer jeudi mais c’est vendredi que les températures commenceront à remonter, ce qui fait réfléchir les équipes à prolonger d’une journée cette première semaine. "Il y a des discussions à ce sujet mais une équipe a une journée de tournage prévue donc cela ne devrait pas bouger" a expliqué Nick Chester, directeur du châssis de Renault. "Il faudrait que cette équipe accepte d’annuler". C’est Williams qui serait l’équipe concernée et les accords actuels nécessitent l’accord unanime de toutes les équipes, sachant que d’autres équipes indépendantes seraient contre cette neuvième journée d’essais qui va forcément générer des coûts supplémentaires. Autant dire que si le débat est lancé, il reste de nombreux détails à régler pour trouver une solution qui conviendrait à tout le monde. "Pour le moment, il n’y a pas une telle solution sur la table," reconnait le patron de Haas, Gunther Steiner. "Nous n’avons pas avancé lundi soir, nous verrons si cela peut avancer ce mardi. Ce serait étrange de ne pas trouver un accord. Il nous reste 24 heures pour ça."

Et bien moi non plus, tu connais l'origine de ce 4 cylindres à plat ? Italien ou Anglais... Une Ariel d'origine anglaise fin des années 50 de conception. Belle trouvaille en tous les cas ;-) On reconnait cette architecture de moteur à boite de vitesse séparée toujours d'actualité sur les Norton en l'occurence.

Yes Us et tout à l'aérographe s'il vous plait...

Et la valse des capteurs commence..;-)

Ni veinard ni vantard mais non..;-)

Luis n'aura jamais été remplacé mais en même temps les temps ont changé et peut être que notre Roberto Alania l'aura remplacé pour le coup..

Di dju le moreceau....