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Tout ce qui a été posté par Eveline Luca
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La bobine d’allumage est un des éléments vitaux des moteurs essence. Pour être plus précis, c’est elle qui fournit aux bougies d’allumages le courant haute tension nécessaire à leur bon fonctionnement. Elle est donc à la clé du démarrage du moteur, les bougies étant des dispositifs électriques ayant pour principale fonction d’enflammer le carburant au niveau des cylindres pour permettre au véhicule de démarrer. Lorsqu’elle est défaillante, il devient donc impossible de démarrer son moteur. Qu’est-ce qu’une bobine d’allumage ? Quel est son rôle ? Pourquoi et quand la remplacer ? Comment la tester et la remplacer ? Nous répondons à toutes vos questions ! Bobine d’allumage : quelle utilité ? La bobine d’allumage est un composant électronique essentiel au bon fonctionnement des bougies d’allumage. Elle alimente ces dernières en courant électrique, ce qui a pour effet de produire l'étincelle permettant la combustion et le démarrage de la voiture. Contrairement aux bougies de préchauffage que l’on retrouve sur les moteurs diesel, la bobine d’allumage est non seulement nécessaire au démarrage, mais aussi au bon fonctionnement du moteur. Bobine d’allumage : Fonctionnement La bobine d’allumage émet une puissante tension qui va circuler à l’intérieur de la bougie. Le courant électrique va entrer par le faisceau d’allumage. Puis, circuler depuis l’électrode centrale jusqu'à l’électrode de masse. C’est ce qui va provoquer une étincelle. Tout ceci repose sur processus électromagnétique qui s'opère à l’intérieur même de la bobine d’allumage, notamment entre : La bobine primaire de 12 volts qui permet de produire l'étincelle ou le courant au niveau de la bougie. La bobine secondaire de 1000 à 30 000 volts qui va démultiplier cette tension pour améliorer la qualité de l’étincelle, et générer un courant plus puissant encore. Bobine d’allumage : Pourquoi faut-il la changer ? Une voiture, selon le type de moteur, peut être composée d’une ou de plusieurs bobines d’allumages correspondant au nombre de cylindre dont elle dispose. Lorsqu’une seule bobine sur plusieurs est défectueuse, le moteur fonctionnera par à-coups, c’est-à-dire au niveau de quelques cylindres uniquement. Si le véhicule ne compte donc qu’une seule bobine, le moteur ne fonctionnera tout bonnement pas, et ne démarrera pas car il n'y aura plus d'étincelle au niveau de la bougie. D’une manière générale, la défaillance d’une bobine d’allumage peut avoir plusieurs symptômes : Impossibilité du démarrage moteur ; Ratés d’allumage ; Perte de puissance moteur ; Calculateur moteur en mode dégradé ; Allumage du voyant moteur sur le tableau de bord. Tester la bobine d’allumage : Quand faut-il la changer ? Si vous décelez sur votre véhicule les symptômes d’une probable défaillance du ou des bobines d’allumage, vous devez absolument établir un diagnostic pour savoir s’il est nécessaire ou non de procéder à son remplacement. Vous pouvez procéder en trois étapes : Étape 1 : Démonter la bobine d’allumage Éteignez votre moteur, déconnectez le distributeur qui le relie aux faisceaux et démontez la bobine d’allumage à l’aide d’une clé à molette. Étape 2 : Testez la résistance du bobinage primaire La bobine possède normalement 3 bornes. Placez les cordons rouge et noir de votre appareil calibré sur une borne chacune. La résistance normale d’une bobine primaire est généralement comprise entre 0,7 et 1,7 ohm. Si vous n’avez pas ces mesures, c’est que votre bobine est surement endommagée. Étape 3 : Testez la résistance du bobinage secondaire La résistance électrique normale d’une bobine secondaire est généralement comprise entre 7 500 et 10 500 ohms. En suivant le même processus que la bobine primaire, si vous obtenez des valeurs différentes ou non comprises dans ces normes, alors votre bobine d’allumage doit être remplacée. Tester la bobine d’allumage : Comment la changer ? Le remplacement d’une bobine d’allumage se fait de manière très simple, en deux étapes : Étape 1 : Démonter la bobine d’allumage Débranchez la batterie, notamment la borne négative de cette dernière. Puis localisez la bobine d’allumage. Enlevez la boite a filtre a air. Débranchez les fils des bougies d’allumage, le connecteur ainsi que le faisceau de la bobine d’allumage. Retirez les vis qui fixe la bobine, et déposez les dans un endroit sécuritaire de manière à les retrouver facilement après. Étape 2 : Monter et poser la nouvelle bobine d’allumage Assurez-vous que la nouvelle bobine d’allumage soit bien identique aux anciennes. Poser la nouvelle bobine en place, remettez les vis de fixation et serrez-les bien. Si besoin, remplacez les bougies et les faisceaux d’allumage. Sinon, brancher directement le connecteur, le faisceau et les fils des bougies d'allumage. Remettez en place le boîtier filtre à air. Branchez la batterie. Vérifiez que votre moteur fonctionne bien.
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Conduire en hiver est beaucoup plus risqué, les statistiques le confirment. Selon les chiffres en effet, plus du quart des accidents routiers en France surviennent pendant la période hivernale. Et ce, pour diverses raisons : les routes sont glissantes, la visibilité est réduite, les voitures roulent trop vite, etc. Pour éviter tout accident pendant la période hivernale en conséquence, être plus vigilant ne va pas suffire. Il est également vital d’un côté de préparer la voiture pour qu’elle puisse rouler en toute sécurité, et de l’autre, d’adapter sa manière de conduire. Comment bien conduire en hiver ? Quelles sont les règles à respecter et les conseils à prendre en compte ? Voici notre petit guide pour l'automobiliste à suivre en saison hivernale. Conduire en hiver : la préparation de la voiture La première chose à faire, si l’on veut conduire en toute sécurité en hiver, est de faire en sorte que la voiture soit préparée aux changements auxquels elle va être confrontée. Les entretiens Puisque conduire en hiver est beaucoup plus risqué, il est essentiel de conduire un véhicule en bon état de marche. Avant de prendre la route en conséquence, il est recommandé de faire un check-up complet, et de s’assurer que la voiture n’a pas besoin de vidange, que le niveau d’huile est encore acceptable, que la quantité de liquide lave glace est encore suffisante, que le chauffage marche encore, que la climatisation et la ventilation fonctionnent encore correctement, que l’éclairage est ok, etc. Vous devez également vérifier que vous disposez de tous les équipements dont vous pourriez avoir besoin à bord, à savoir : du liquide antigel, de la bombe antigivre, de l’eau, des gilets, au moins un triangle, une lampe de poche et bien sûr, des vêtements chauds. La vérification des pneus Il ne faut pas oublier que les routes sont particulièrement glissantes en hiver. Il est donc nécessaire d’optimiser au maximum l’adhérence des pneus à la route. Et la meilleure manière d’y arriver est de rouler avec des pneus de qualité dans un premier temps. Parallèlement, il est nécessaire de vérifier leur pression afin de s’assurer qu’elle est bien adaptée. Pour plus de sécurité, il peut aussi être intéressant d’investir dans les pneus spéciaux hiver. Ils offrent l’avantage non négligeable d’avoir été conçus pour s’adapter à des conditions météorologiques rigoureuses, et proposent donc une adhérence optimale à la route. Le déneigement Il est vivement recommandé de procéder à un déblayage hivernal de la voiture. Dans certains pays, c’est même une étape obligatoire de déneiger certaines parties comme les phares, les vitres et la plaque d’immatriculation. Pourquoi ? C’est surtout une question de visibilité. Si vous ne prenez pas le temps de les nettoyer, vous n’aurez pas une bonne visibilité sur la route, mais vous risquez également de ne pas être visible vous-même. En d’autres termes, vous vous mettrez en danger, mais en plus, vous mettrez également en danger les autres automobilistes. Comment bien conduire en hiver ? Pour minimiser les risques d’accident, il est surtout vital de modifier sa manière de conduire. Et cela concerne aussi la vitesse, la distance de sécurité, la négociation des virages et le dépassement. Conduire en hiver : la vitesse à adopter Selon le Ministère des Transports, plus de la moitié des accidents survenant sur la route pendant l’hiver sont dues à la vitesse. Rouler trop vite sur une route glissante est en effet dangereux, voilà pourquoi, il est vivement recommandé de rouler plus lentement, et d’adopter une vitesse constante. C’est la meilleure manière d’éviter une perte de contrôle du véhicule. Toujours selon le Ministère des Transports, il est plus prudent de ne pas dépasser les 50 km/h, surtout si la visibilité est réduite. De même, il et déconseillé d’accélérer. Conduire en hiver : la distance de sécurité Sur les routes glissantes, les risques de dérapage et de chocs sont particulièrement élevés. Pour prévenir tout contact avec d’autres véhicules en conséquence, en hiver, il est recommandé d’augmenter la distance de sécurité. Et ce, en particulier sur les routes enneigées, mais également sur les grands axes. Selon les experts, pour prévenir tout choc éventuel ainsi, il est recommandé de multiplier cette distance par 3 en hiver, surtout si le véhicule n’est pas doté de pneus hiver. Conduire en hiver : quelques règles à respecter Pour conduire en hiver en toute sécurité, quelques règles doivent également être respectées sur la route : Eviter les coups de volants brusques Eviter les freinages et les accélérations brusques Eviter le dépassement de véhicule de service hivernal Anticiper les dérapages et rester prudent dans les virages Bien que ce soit souvent négligé, les vêtements et les chaussures que l’on porte lorsqu’on conduit peuvent avoir une influence lorsqu’on conduit sur une route enneigée. Tout ce qui peut gêner ou troubler la concentration représente en effet un danger et augmente les risques d’accident de la route. Voilà pourquoi, avant de prendre le volant, il est souvent conseillé au conducteur de porter des vêtements et des chaussures bien chauds, et confortables de surcroît.
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Assurance auto au kilomètre : comment ça marche ?
Eveline Luca a posté un article dans Articles Auto
Les automobilistes roulent moins chaque année. Pour payer moins cher leur cotisation d'assurance, une nouvelle option est proposée aux conducteurs qui parcourent peu de kilomètres à l'année. Il s'agit de l'assurance voiture au kilomètre. L’assurance auto au kilomètre a récemment débarqué en France et connaît déjà un succès phénoménal. Plus connu sous son appellation anglaise “Pay as you drive”, c’est une formule qui nous vient tout droit des pays anglo-saxons, et qui séduit plus d’un conducteur. Et pour cause ? Jusqu’ici, les formules d’assurance proposées aux assurés ne prenaient pas en compte la fréquence avec laquelle ils utilisaient leur véhicule. Pourtant, les risques d'accident sont beaucoup plus élevés quand on réalise 50.000 km par an contre moins de 20.000 km par exemple. Qu’il s’agisse d’un moyen de transport principal ou secondaire, qu’ils les conduisent tous les jours ou quelques jours seulement par semaine, l’assurance étant obligatoire, la prime à payer restait toujours la même. Tout savoir sur les formules d'assurance auto au kilomètre ainsi que les économies à faire en choisissant cette solution. L’assurance auto au kilomètre : qu’est-ce que c’est ? L’assurance auto au kilomètre est une nouvelle formule d’assurance, fraîchement débarquée des Etats-Unis. L'automobiliste paye moins cher sa cotisation d'assurance en échange d'un faible kilométrage parcouru en voiture. La compagnie d'assurance demande alors à l'assuré un relevé du kilométrage du véhicule. Pour en savoir plus, voici les détails sur le principe de fonctionnement de cette assurance réduite ainsi que les conducteurs à qui elle s'adresse en priorité. Assurance auto au kilomètre : le principe Alors, qu'est-ce que l'assurance auto au kilomètre ? Appelée à l’origine “Pay as you drive”, le principe de l’assurance auto au kilomètre est simple : permettre aux assurés de payer selon l’utilisation réelle de leur véhicule, c'est-à-dire en fonction de la distance qu’ils ont parcourue avec la voiture assurée. Le principal intérêt de cette formule : la prime d’assurance ne sera plus la même pour une voiture principale et une voiture secondaire. L’assuré paiera selon la fréquence il utilisera son véhicule. Plus il roulera avec ce dernier, plus la prime sera élevée. Et vice-versa, moins il l’utilisera, moins il paiera. Le principe de l'assurance voiture au kilomètre est donc très simple : roulez moins pour payer moins ! L’assurance auto au kilomètre : pour qui ? L’assurance Pay as you drive offre indéniablement des avantages majeurs aux “petits rouleurs”. Il peut effectivement paraître injuste que des assurés qui ne parcourent que très peu de distance à l’année paie la même prime que ceux qui parcourent de très grande distance. Cette formule est donc plus adaptée pour eux, car ils paieront uniquement “ce qu’ils ont consommé”. L’assurance au kilomètre peut également être intéressant pour les personnes qui utilisent des véhicules d’appoint. Cela leur permet en effet de payer une prime plus adaptée, voire de ne rien payer du tout lorsque la voiture secondaire n’a pas été utilisée. Quelles sont les garanties d’une assurance auto au kilomètre ? C’est là le principal atout de l’assurance Pay As You Drive : on paie seulement ce que l’on a “consommé”, mais on peut bénéficier exactement des mêmes garanties qu’avec une assurance auto classique. En d’autres termes, l’assuré aura toujours le choix entre trois formules : l’assurance au tiers, l’assurance intermédiaire et l’assurance tous risques. Cela va de soi, le montant de la prime va également varier en fonction des garanties souscrites. Plus ces dernières vont être nombreuses et complètes, plus la prime va être considérable. L’assurance auto au kilomètre : comment ça marche ? Très simplement, le montant de la prime va être calculée en fonction de la distance parcourue au volant en un an. Comment la distance parcourue au kilomètre est-elle calculée ? Pour pouvoir obtenir la distance parcourue par le véhicule sur un laps de temps donné, l’assureur va équiper le véhicule de l’assuré d’un boitier électronique. Issu des dernières technologies, celui-ci renferme un système de géolocalisation et aura pour rôle de transmettre les données concernant le déplacement du véhicule en temps réel à l’assureur. Eh oui ! L’assureur aura donc non seulement des informations sur le nombre de kilomètres parcourus, mais également la destination, la durée de la conduite, la date et l’heure bien entendue, et même l’itinéraire. Ces données, conformément à l’accord donné par la CNIL, serviront uniquement à calculer la prime d’assurance. Comment la prime d’assurance auto au kilomètre est-elle calculée ? En règle générale, l’assuré est tenu de payer en fonction de la distance qu’il a parcourue en une année. Mais concrètement, le montant de la prime d’assurance va dépendre de la formule choisie. En effet, la majorité des assureurs proposent : Un forfait kilométrique, c’est-à-dire qu’une distance maximale annuelle va être établie. Pour être couvert, l’assuré va donc s’engager à ne pas dépasser cette limite qui est compris entre 7000 et 12 000 km par an. Des tarifs minorés, c’est-à-dire qu’une distance maximale annuelle va être fixée. Mais que si le conducteur ne la dépasse pas, il bénéficiera d’un tarif réduit. Le coût d'une assurance auto au kilomètre va également dépendre de l’assureur et des paramètres qu’il prend en compte pour fixer le montant final. En règle générale, en plus de la distance, seront également considérés le type de véhicule, son utilisation, le conducteur, etc. Assurance au kilomètre : payez moins cher votre assurance auto En roulant moins, les automobilistes ont donc la possibilité de réduire le montant de leur assurance auto. Ce qui est assez logique car en prenant moins la voiture, les risques d'accident ou de problèmes réduisent de façon proportionnelle. Pour maximiser les économies, encore faut-il trouver l'assureur qui vous proposera la formule d'assurance au kilomètre la plus intéressante financièrement. Pour cela, vous pouvez comparer les prix des assurances au km chez plusieurs assureurs : -
Il est nécessaire de changer son radiateur de chauffage lorsqu’il dégage une odeur inhabituelle lorsque le chauffage est lancé, lorsque vous avez l’impression qu’il provoque une sorte de condensation ou tout simplement, lorsqu’il ne fonctionne plus. En d’autres termes, lorsqu’il n’arrive plus à chauffer l’intérieur de l’habitacle. Le radiateur de chauffage ne sert effectivement pas à réchauffer l’intérieur du véhicule seulement. Dans la mesure où il est directement lié au système de refroidissement de la voiture, s’il ne fonctionne pas correctement, il peut également entraîner la surchauffe du moteur. Raison pour laquelle il doit être changé dès qu’il montre des signes de défectuosité . La bonne nouvelle c’est qu’il est tout à fait possible de changer son radiateur de chauffage soi-même. Changer son radiateur de chauffage : les préparations à faire Avant de démonter directement le radiateur de chauffage, il est nécessaire de prendre quelques précautions. Premièrement, l’opération ne doit être faite que sur un moteur froid. Dans le cas contraire, outre les risques de brûlure, la chaleur intense peut également déformer les matériaux utilisés. L’idéal serait donc de commencer aux environs de 4 à 5 heures après le dernier arrêt. Il est également nécessaire de se munir des matériaux et outils nécessaires à l’opération : des chiffons, une caisse à outils et un bac à vidange. Et pour bien se préparer, il faut commencer par débrancher entièrement la batterie. Par la suite, il est nécessaire de démonter entièrement le tableau de bord. Il est impossible d’accéder au boîtier de chauffage autrement. Après, il faut penser aussi à protéger les ailettes, pour qu’elles ne soient pas endommagées pendant toute l’opération. Les étapes à suivre pour changer son radiateur de chauffage Remplacer le radiateur de chauffage se fait en deux étapes : le démontage de l’ancien et l’installation du nouveau. Changer le radiateur de chauffage : le démontage Dans un premier temps, démontez l’ensemble du tableau de bord en commençant par le volant, puis le compteur, la console centrale, l’autoradio, la commande de ventilation et la boîte à gant. Pensez à bien dévisser l’ensemble, ainsi, vous n’aurez aucune difficulté à retirer le tableau de bord après. Cette chose faite, vous aurez une vue directe sur le radiateur. Mettez votre bac à vidange dessous. Ouvrez le bouchon du vase d’expansion, enlevez les durites afin de laisser couler le liquide de refroidissement. Après quoi, vous pourrez enlever les tuyaux. A ce stade-là, vous pourrez démonter le boîte de chauffage et retirer le radiateur. Comment remplacer le radiateur de chauffage ? Une fois l’ancien radiateur enlevé, prenez un chiffon et nettoyez tout résidu du liquide de refroidissement se trouvant dans le fond du boîtier et dans les conduits d’aération. Prenez, par la suite, le nouveau et installez-le à la place de l’ancien. Remettez, par la suite, tout en place en suivant les mêmes étapes, mais dans l’ordre inverse. A la différence près que vous devez également rajouter le nouveau liquide de refroidissement avant de fermer le bouchon du vase d’expansion. Terminez par une purge du circuit de refroidissement.
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Stage de récupération de points : quand et comment ?
Eveline Luca a posté un article dans Articles Auto
La réalisation des infractions de la route après l’obtention du permis de conduire fait perdre aux conducteurs des points. Il s’agit du système de permis à point. Ce système a été instauré en France, dans l’objectif de sanctionner les détenteurs du permis de conduire qui ne respectent pas le code de la route. Dans le but de récupérer les points perdus, le conducteur peut réaliser un stage de récupération de points. Qu’est-ce qu’un stage de récupération de points ? Quand faut-il effectuer ce stage ? Comment l’effectuer ? Découvrez dans cet article toutes les réponses utiles à ces interrogations. Qu’est-ce qu’un stage de récupération de points ? Le stage de récupération de points encore appelé stage de sensibilisation à la sécurité routière est un stage effectué par des conducteurs ayant commis des infractions de la route qui a pour objectif de faire prendre conscience à ces derniers des dangers de la mauvaise conduite et de leur permettre de récupérer des points à la fin de la formation. Sont autorisées à faire un stage de récupération de points des conducteurs ayant perdus des points, des conducteurs n’ayant pas encore reçu la lettre 48SI, ceux ayant un permis de conduire valide et qui n’ont pas effectué un stage depuis moins d’un an. Qu’est-ce que la lettre 48SI ? La lettre 48SI est un courrier envoyé par le Ministère de l’Intérieur au conducteur lorsque le solde de points du permis de conduire est à zéro. Elle implique la perte du permis de conduire et oblige le conducteur à rendre son permis dans un délai de 10 jours. Lorsque le conducteur n’a pas encore reçu la lettre 48SI, il peut encore se racheter et sauvegarder son permis de conduire par le stage de récupération de points. Il est possible par ailleurs d’intenter des recours en cas de lettre 48SI erronée. Quels sont les objectifs d’un stage de récupération de points ? L’objectif principal du stage de récupération de points est d’amener le conducteur à adopter un meilleur comportement au volant. Les formateurs amènent les conducteurs à prendre conscience des dangers de la mauvaise conduite et du non-respect du code de la route. Au-delà de la récupération des points du permis de conduire, à la fin de ce stage le conducteur doit comprendre qu’il est important et primordial de respecter le code de la route ainsi que les autres usagers. Quand faire un stage de récupération de points ? Le stage de récupération de points peut être fait dans certaines conditions. Il est nécessaire d’être vigilant et de contrôler régulièrement son solde afin d’effectuer son stage avant la réception de lettre 48SI A la réception de la 48M La lettre simple de référence 48M est envoyée au conducteur par le Ministère de l’Intérieur lorsque son capital de points est réduit à plus de la moitié. Il s’agit d’un avertissement donné au conducteur pour l’inviter à plus de vigilance dans la conduite afin de ne pas perdre son permis de conduire. Dès la réception de cette lettre, vous deviez penser à effectuer un stage de récupération de points. Pour s’inscrire à un stage de récupération volontaire de points, il faut que le précédent stage date de plus d’un an. A la réception de la lettre 48N La lettre 48N oblige le conducteur à effectuer un stage de récupération de points. Cette lettre est envoyée lorsque le jeune conducteur commet une infraction entraînant le retrait d’au moins trois points de son capital. Dans ce cas, le stage est obligatoire et il est à faire dans un délai de quatre mois dès la réception de la lettre. A la fin du stage, le conducteur pourra récupérer quatre points sur son permis. De façon volontaire avant la réception de la lettre 48SI Il est fortement recommandé de contrôler soi-même son solde de points en vous rendant directement à la Préfecture. Dès que vous constatez que votre solde de points est inférieur à 8 points et que votre dernier stage date de plus d’un an, vous pouvez effectuer de façon volontaire un stage de récupération. De même, il est encore possible d’effectuer le stage lorsque votre solde de points est à zéro mais que vous n’aviez pas reçu la lettre 48SI. Comment effectuer un stage de récupération de points ? Pour effectuer un stage de récupération de points, il faut s’assurer avant tout de remplir les conditions précitées et vous inscrire dans un département à la date de votre choix. L’inscription au stage de récupération de points Il est possible d’effectuer votre stage dans tous les départements de la France. Pas besoin qu’il s’agisse de votre département de domicile. Le Ministère des Transports fixe les conditions de l’organisation de tous les stages. Il est possible de vous inscrire en ligne ou par courrier. La durée du stage est de 14 heures répartie sur deux jours consécutifs. Le déroulement du stage Au cours du stage, sont abordées les questions d’insécurité routière, les facteurs causant généralement les accidents tels que la vitesse excessive, l’ivresse, la drogue, la fatigue… Il s’agit juste d’une séance de sensibilisation sans test ni contrôle. Il s’agit d’une séance interactive avec les conducteurs. Toutefois la présence au stage est rigoureusement contrôlée. En cas d’absence, le stagiaire peut ne pas récupérer ses points. A la fin du stage, vous obtenez automatiquement quatre points sur votre permis de conduire dans la limite de 12 points pour les anciens permis et de six points pour les permis probatoire. Une attestation est délivrée à la fin du stage en vue de la reconstitution des points. Il faut retenir que le stage de récupération de points permet au conducteur ayant perdu des points sur son permis de conduire de les récupérer au risque de voir son permis invalidé. Le conducteur peut suivre ce stage une fois dans l’an, sous certaines conditions et de façon volontaire ou obligatoire. Il a la possibilité d’effectuer son stage dans le département de son choix et obligation lui ai faite de suivre rigoureusement les séances afin de pouvoir récupérer ses points. -
Les 4 meilleures applications pour localiser sa voiture
Eveline Luca a posté un article dans Articles Auto
Au moins une fois dans notre vie, il nous est tous déjà arrivé de ne pas nous rappeler l’emplacement de notre véhicule… En ville où il est souvent difficile de trouver une place de stationnement, dans un garage ou bien dans un grand parking : vous avez garé votre voiture au hasard et vous êtes parti. Plus tard, au moment de repartir, vous vous retrouvez désorienté sans vous souvenir de l’emplacement où vous avez laissé votre véhicule. Mais aujourd’hui, grâce aux nouvelles technologies, retrouver votre voiture ne sera plus un casse-tête ! Il vous suffira de consulter votre smartphone. Découvrez les 4 meilleures applications qui vous permettront de localiser votre voiture où que vous soyez. Application pour localiser sa voiture : Google Map Un Tip de Google Map, très utile, peut vous permettre de géolocaliser facilement votre véhicule. Ce n’est pas une nouvelle application. Ce n’est autre que l'application cartographique de Google qu’on utilise déjà régulièrement pour la navigation. Pour l’utiliser afin de localiser votre voiture, ouvrez Google Maps sur votre smartphone iOS ou Android, et suivez les différentes étapes suivantes. Etape 1 : Enregistrement de votre emplacement de stationnement Si vous êtes sur iOS, cliquez sur le point bleu indiquant votre position actuelle. Puis dans le petit menu qui apparaît, cliquez sur « Définir comme emplacement de stationnement » pour sauvegarder l’emplacement où vous avez stationné votre voiture. Vous pouvez partager le positionnement enregistré de votre parking avec une autre personne en cliquant sur «Partager» dans la partie «Parking enregistré». Si vous êtes sur Android, le processus reste le même, à quelques différences près. Vous devez enregistrer votre position en sélectionnant « Enregistrer votre parking », puis partager votre position en appuyant sur la commande « Partager » dans la partie « Emplacement du stationnement ». Etape 2 : Localiser la voiture et son emplacement Pour retrouver, ensuite, l’emplacement de votre voiture sur IOS, regardez dans la barre « Parking enregistré » de votre application et cliquez sur « Itinéraire ». Google Map vous donnera alors un itinéraire détaillé qui vous permettra de revenir exactement là ou vous avez laissé votre voiture. Pour une navigation guidée, vous pouvez juste cliquer sur le bouton « Démarrer ». Sur Android, recherchez « Emplacement du stationnement » dans l'interface de Maps . Appuyez sur "Directions", puis faites glisser votre doigt vers le haut sur la barre en bas de l'écran pour afficher des instructions pas à pas, ou appuyez sur le bouton "Démarrer" pour lancer la navigation guidée. Application pour localiser sa voiture : ParKing « ParKing » est une application mobile gratuite, mais aussi très simple, très efficace. Elle vous permet de localiser votre voiture en un clic. Une fois votre voiture garée, il vous suffit de cliquer sur l’écran de votre smartphone. L’adresse et le lieu de votre stationnement seront ensuite enregistrés automatiquement, et situés sur la carte à l’aide d’un traceur GPS. L’application ParKing propose une option « Parking automatique ». Elle vous permet d’enregistrer directement l’adresse de stationnement sans avoir a appuyer sur l’écran de votre smartphone. Pour cela, il vous suffit de vous déconnecter de l’application, et elle retiendra automatiquement l’endroit où vous vous êtes arrêtés comme votre dernier emplacement. Autres avantages de cette application : la détection automatique des parkings alentours, le rappel de stationnement et l’historique de vos anciens stationnements. Trouver ma Voiture et Find My Car Tout comme son nom l’indique, « Trouver ma Voiture » est une application mobile dotée d’un système de géolocalisation GPS qui vous permet ainsi de trouver votre voiture quel que soit son emplacement. Gratuite sur smartphones, elle est également disponible sur Apple sous le nom de « iParking – Trouver ma voiture ». Attention, « Trouver ma Voiture » n’est pas « Find My Car ». Il s’agit également d’une application smartphone qui permet de localiser votre voiture, et qui enregistre automatiquement sa position dès que vous éteignez votre moteur. Elle avantage de plusieurs options : le minuteur de stationnement si vous êtes garés dans un parking payant plus la possibilité de gérer la localisation de 3 véhicules à la fois. -
Conseils pour choisir sa voiture électrique d'occasion
Eveline Luca a posté un article dans Articles Auto
Les véhicules électriques ont le vent en poupe sur le marché… D’un côté, l’offre s’étoffe d’année en année de tel sorte qu'à l’heure actuelle tous les automobilistes peuvent trouver de quoi les satisfaire parmi les modèles proposés. De l’autre, la demande se fait de plus en plus importante aussi. Rien qu’au cours du premier semestre de l’année 2019, on a constaté une hausse de 50 % des immatriculations de voitures électriques. Et pour cause, ces véhicules sont silencieux, respectueux de l’environnement, et ultra économiques avec notamment une batterie de 100 kWh permettant d’effectuer un trajet de plus de 500 km en une seule recharge… Et pourtant, les voitures électriques ne sont pas ce qu’il y a de moins cher dans le domaine des véhicules de transport. Tentantes, certes, elles demeurent tout de même chers à l’achat en neuf ! D'où l’intérêt de se tourner vers les voitures électriques d’occasion, une pratique de plus en plus courante aujourd’hui. Mais attention, même si les raisons de succomber l’emportent sur le reste, gare aux mauvaises surprises. Vous devez bien choisir votre voiture électrique parmi les modèles les plus répandus, les plus conseillés par les consommateurs, et ceux vantés par les concessionnaires…. Si vous avez vous aussi décidé de franchir le pas, et de rejoindre le rang des electromobiliens, suivez nos conseils pour bien choisir votre voiture électrique d’occasion. Bien choisir sa voiture électrique d’occasion : l’autonomie du véhicule Si vous débutez en matière de voitures électriques, alors vous devez savoir que le risque de panne sèche est bien réelle. l’autonomie est donc le premier et le plus important critère à considérer lors de l’achat. On entend par autonomie : la capacité de la batterie exprimée en Kwh. Elle varie entre 24 kWh à 64 kWh selon qu’il s’agit d’un modèle ancien ou récent. la consommation qui varie entre 11 kWh/100 km et 22 kWh/100 km. L’autonomie peut varier de manière importante d'un modèle à un autre selon de nombreux critères : les cycles effectués, le kilométrage, l'entretien réalisé par l’ancien propriétaire. Vous pouvez requérir le SOH (State of Health) pour connaître l'état de santé de la batterie. Choisir la voiture électrique d’occasion en fonction de la batterie lithium-ion Privilégiez les voitures électriques embarquant une batterie lithium-ion aux modèles avec une batterie plomb ou Ni-Cd (hydroxyde de nickel et cadmium). La lithium-ion promet une durabilité plus importante, et peut vous garantir une autonomie qui dépassera facilement les 70 kilomètres. Donc déjà vous pouvez éliminer de votre liste tous les modèles ne disposant pas de cette batterie. La vitesse de recharge d’une voiture électrique d’occasion La vitesse de recharge doit également conditionner le choix de votre voiture électrique d'occasion. Mais cela dépend bien entendu de l’usage que vous prévoyez pour votre voiture, si vous l'utilisez principalement en ville ou sur autoroute. Si vous projetez de faire de longs trajets à plus de 500 km, la vitesse de chargement est un critère essentiel. Les voitures électriques ayant la plus grande autonomie ne dépassent généralement pas les 350 km sur autoroute. Il vous faudra donc charger votre voiture. Les Renault ZOE, par exemple, peuvent se charger rapidement à 22 kW. Mais d’autres modèles comme les Kia E-NIRO se chargent à 77 kW. Sinon, Tesla offre aujourd’hui des vitesses de chargement accélérées et inégalées. La période d’essai Indépendamment de son autonomie, des performances de sa batterie ou de sa vitesse de chargement, vous devrez tester votre voiture électrique d’occasion en conditions réelles avant de fixer votre choix. L’idéal serait de faire un essai long, cela vous permettrait d’apprécier réellement la qualité de la batterie par rapport aux chiffres que le vendeur vous aura communiqués. Si vous achetez votre voiture électrique d’occasion auprès d’un revendeur ou d’un concessionnaire, vous pouvez demander à réaliser un essai le temps de décharger la batterie totalement ou à moitié. Si vous achetez auprès d’un particulier, demandez à réaliser un essai sur une dizaine de kilomètres au moins. Pendant l’essai, n’oubliez pas de vérifier les autres critères classiques à considérer sur une voiture électrique d’occasion : la position de conduite, la taille du coffre, l’espace des places arrières, etc. -
De nos jours, tous les véhicules sont équipés d’une direction assistée. Avec ses fonctions de sécurité, de soulagement et de confort, la direction assistée s’est imposée dans le milieu automobile. Cependant, en cas de problèmes de la direction assistée, le fluide ou huile de direction assistée vient à la rescousse de cette dernière. En gros, la direction assistée et son fluide sont complémentaires et doivent toujours aller ensemble. Le bon fonctionnement de la direction assistée dépend de son lubrifiant qu’est le fluide de la direction assistée. Quelle est la définition et la fonction du fluide de direction assistée ? Quels sont les différents types de fluide de direction assistée ? Comment identifier un fluide de direction assistée et quelles sont ses considérations ? Définition et fonction du fluide de direction assistée Le fluide de direction assistée est une huile synthétique colorée en orange et consacrée aux directions assistées des véhicules légers et électrohydrauliques. Il s’agit d’un fluide offrant des pouvoirs anti corrosion, anti-usure et un excellent équilibre thermique. Le fluide de direction assistée est autorisé pour l’usage dans les systèmes d’hydraulique centralisée quand il est exigé le fluide hydraulique synthétique. Le fluide de direction assistée est une substance multifonctions. Les fonctions du fluide de direction assistée sont diverses mais elles visent toutes à l’entretien de votre véhicule : En premier lieu, le fluide de direction assistée prévient l’usure des pièces mobiles et des joints et réduit les bruits de frottement et les grincements. Secundo, le fluide avec sa pression supplémentaire exercée sur les mécanismes internes pour rendre la conduite plus fluide, fait partie des travailleurs du système hydraulique assisté. La troisième fonction du fluide de direction assistée est de fonctionner en cas de ralentissement ou de grande vitesse de la voiture. Il fonctionne également en cas de températures inférieures à zéro. Les différents types de fluide de direction assistée Il n’existe pas qu’un seul type de fluide de direction assistée. Il en existe plusieurs, quatre pour être plus précis. Les 4 différents types de fluide de direction assistée sont : les fluides de pilotage dédiés ; la transmission fluide ; les fluides du fabricant et les fluides de pilotage interchangeable. Chacun de ces types de fluides joue un grand rôle et ils sont aussi importants les uns que les autres. Les fluides de pilotage dédiés et la transmission fluide Le premier type de fluide de direction assistée que l’on distingue est le fluide de pilotage dédié. La composition chimique des fluides de pilotage dédiés dépend de leur fabricant. Même si la composition chimique varie en fonction du fabricant, sur l’emballage il est toujours inscrit « fluide pour direction assistée ». Les fluides de pilotage dédiés de façon globale, sont composés des éléments suivants : le polyalphaoléfine ou organophosphoré, fluide minérale, silicones, inhibiteurs de corrosion supplémentaire et glycols. En dehors des fluides de pilotage dédiés, nous avons la transmission fluide ensuite. En effet, tous les véhicules ne font pas usage des fluides de pilotage dédiés. On en distingue quelques-uns qui se servent des fluides de transmission. Ces fluides de transmission, possèdent une pression hydraulique qui est introduite dans le système de direction assistée. Généralement, la notice de la voiture précise le type de fluide de transmission qu’il faut utiliser pour sa direction assistée. Les deux autres types de fluide de direction assistée sont les fluides du fabricant et les fluides de pilotage interchangeable. Les fluides du fabriquant et les fluides de pilotage interchangeable La majorité des grands fabricants de voitures fabriquent également leurs propres fluides de direction. Même s’il est possible d’utiliser n’importe quel fluide de direction assistée pour votre véhicule, il est recommandé de prioriser le fluide fabriqué par le fabricant du véhicule. Ces fluides du fabricant sont généralement disponibles chez les vendeurs et concessionnaires agréés par ladite marque de voiture. Quant aux fluides de pilotage interchangeable, ils sont conçus dans le but de convenir à tous les systèmes de direction assistée. La seule différence à leur niveau, c’est que leurs compositions chimiques varient d’un fabricant à un autre. Identification et considération du fluide de direction assistée Quand vous êtes sur le marché, il existe certaines façons de reconnaitre un fluide de direction assistée. Il possède certaines caractéristiques précises qui servent à l’identifier chez votre vendeur. Egalement, il y’a des signes qui vous aident à déterminer si il est temps de renouveler votre huile de direction assistée. Lorsque vous constatez l’une de ces considérations, alors empressez-vous de changer votre fluide afin d’éviter des pannes à votre véhicule. Identification du fluide de direction assistée Identifier un fluide de direction assistée n’est pas du tout compliqué. C’est un liquide clair qui parfois peut prendre une couleur rose ou orange. Son réservoir est généralement situé sous le capot du véhicule à côté du puits de la roue, même si son emplacement avec précision dépend du modèle de voiture que vous avez. Avec les véhicules « nouvelle génération », il est plus simple de vérifier le niveau du fluide de direction assistée. Sur le bouchon du réservoir, vous verrez une marque avec soit l’image d’un volant, soit le mot « direction ». Considérations du fluide de direction assistée Certains signes alertent sur le moment auquel vous devez changer votre fluide de direction assistée. Dès que vous percevez des bruits quand vous tournez votre volant ou quand votre direction assistée a des problèmes, jetez un coup d’œil au niveau de votre fluide de direction assistée. Le réservoir du fluide de direction assistée possède des indications avec des traits de remplissage pour savoir si le niveau du fluide correspond à la température du moteur du véhicule. Lorsque la température est faible, rajoutez le fluide et inspectez l’étanchéité. Quand le fluide de direction assistée est plus foncé que d’habitude, alors vous devez le changer. Mais dès que la couleur vire au noir foncé ou au brun, alors le souci est plus grave. Dans ce cas, rendez-vous impérativement chez un spécialiste de l’automobile afin d’avoir son avis après contrôle approfondi. Par ailleurs, suivez les instructions du constructeur automobile concernant quand renouveler votre huile de direction assistée. Enfin, lorsque vous devez vous-même remplacer votre huile directement à la maison, sachez qu’il est primordial de lire attentivement les instructions individuelles du livre de maintenance de votre marque de voiture.
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Autant vous le dire tout de suite, remplacer ou réparer un pare-choc, ça peut coûter cher. Il faut compter aux environs de 600 à 1000€ environ. Et quand on pense à ce tout ce qu’il peut subir sur la route en cas de chocs ou de frottements, chaque année, on se rend vite compte à quel point il pourrait être intéressant, surtout d’un point de vue financier, de savoir le réparer soi-même. Votre pare-choc est rayé ? Cabossé ? Éraflé ? Découvrez comment réparer ses pare-chocs soi-même ? Réparer ses pare-chocs soi-même : la réparation Autant que vous le sachiez de suite, un pare-choc peut vous coûter une petite fortune en réparation. La bonne nouvelle, c’est que si vous savez bien vous y prendre, vous n’aurez pas à passer par la case “garage”. Et vous pourrez économiser jusqu’à la moitié des frais prévus pour la réparation. Comment réparer soi-même un pare-choc cabossé ? Votre pare-choc est cabossé ? Pas de panique ! Si vous avez les équipements nécessaires chez vous, vous pourrez le réparer vous-même. Vous aurez notamment besoin d’un pied de biche et d’un pistolet thermique. Pour réparer, procédez par étapes : commencez par détacher entièrement le pare-choc. Posez-le par terre. Prenez ensuite le pistolet thermique, et faites réchauffer l’endroit cabossé. Si vous n’en avez pas, un sèche-cheveux peut tout aussi bien faire l’affaire. Quoiqu’il en soit, chauffez le pare-choc jusqu’à ce qu’il se ramollisse. Attention toutefois à ne pas attendre trop longtemps, car sinon, la matière va fondre. Normalement, vous n’aurez pas besoin de le chauffer au-delà de dix minutes. Et cette chose faite, prenez le pied de biche et tapez sur l’endroit cabossé pour le remettre à l’endroit. Procédez de l’intérieur vers l’extérieur. Comment réparer ses pare-chocs soi-même en cas de fissure Pour réparer un pare-choc fissuré, vous aurez besoin des outils et équipements suivants : une meuleuse d’angle, un papier de verre, un dégraissant, un kit de réparation ainsi que du mastic de réparation. Pour commencer, prenez votre meuleuse et débarrassez le pare-choc de tout ce qui dépasse : bouts de plastiques, filaments de fibre de verre, etc. Aidez-vous ensuite du papier de verre pour poncer la fissure ainsi que la surface qui l’entoure. Prenez une marge d’environ 3 cm. Ensuite, appliquez de la résine dessus, laissez sécher pendant une demi-heure, et appliquez le kit de réparation. Faites attention à bien suivre les instructions pour que ça soit vraiment efficace. Et une fois que vous aurez tout terminé, collez les parties fissurées à l’aide d’un scotch et appliquez plusieurs couches de mastic de réparation, en veillant à bien poncer entre chaque couche. Terminez en ponçant jusqu’à ce que la partie réparée soit au même niveau que le reste du pare-choc. Comment réparer un pare-choc enfoncé ? Votre pare-choc a été enfoncé ? Ne vous inquiétez pas, il est très facile de lui redonner son charme d’antan. Tout ce dont vous aurez besoin pour la réparation est de l’eau chaude et un pied de biche. Comment procéder ? Faites bouillir de l’eau et versez l’eau chaude sur la partie enfoncée. Recommencez cette opération jusqu’à ce que vous sentiez le pare-choc se ramollir. Quand ça sera le cas, prenez un pied de biche et tapez doucement sur l’endroit enfoncé, jusqu’à ce qu’il retrouve sa position initiale. Si vous avez peur de faire des dégâts avec le pied de biche, utilisez plutôt un chiffon. A l’aide de ce dernier, poussez doucement la partie enfoncée de l’intérieur, et ce, jusqu’à ce qu’elle reprenne sa place d’origine. Réparer ses pare-chocs soi-même : la finition Bien évidemment, réparer les dégâts ne suffira pas pour effacer toute trace du dommage subi. Voilà pourquoi, une fois que vous aurez réparé, vous devrez aussi faire de petits travaux de finition, histoire de redonner à votre pare-choc sa beauté d’antan. Mais notez ceci : les finitions à faire vont dépendre du type de parechoc que vous aurez face à vous. La finition pour un pare-choc noir Il sera plus facile de camoufler un dommage sur un pare-choc de couleur noire. Car avec un peu de chance, vous n’aurez pas besoin de le repeindre. Si le dommage n’est pas trop important, nettoyez bien la partie réparée. La plupart du temps, si vous la réchauffez ensuite à l’aide d’un décapeur thermique, vous pourrez faire disparaître les traces blanches dues au choc. Dans le cas contraire, vous pouvez aussi teinter la partie endommagée avec du Polytrol, c’est très efficace. Et sinon, vous pouvez aussi utiliser un produit pour teinter la partie concernée en noir. La finition pour un pare-choc peint Si votre pare-choc est peint, la finition sera beaucoup plus compliquée, car il est possible que la peinture soit nécessaire. Rassurez-vous cependant, il existe aujourd’hui des solutions plus pratiques et nettement plus économiques, qui vous éviteront de repeindre entièrement votre véhicule. Pour que la partie endommagée ne soit pas trop différente du reste du pare-choc, vous pouvez, dans un premier temps, utiliser un lustreur abrasif. Si les dégâts ne sont pas trop importants, ce dernier suffira pour vous débarrasser des traces de rayures, ou des traces blanches disgracieuses. Si ça ne marche pas, essayez le stylo de retouche. Assurez-vous tout simplement d’en choisir un qui soit exactement de la même couleur que le pare-choc. Si la surface à couvrir est assez conséquente, pensez à vous procurer de la peinture spéciale pare-choc. Mais faites attention quand vous l’utiliserez, car elle doit être tenue au moins à 20 cm de l’endroit ciblé pour être vraiment efficace.
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Comprendre les différents types de transmissions voiture
Eveline Luca a posté un article dans Articles Auto
Quand vous décidez d’acheter une voiture, il est important de connaître toutes ses caractéristiques. Ainsi, vous devez choisir votre automobile en fonction du système de transmission qui va avec. Pour cela, il faut comprendre comment marchent les différents types de transmissions de voiture. Pour rappel, on entend par transmission, le système qui permet de transmettre la puissance de rotation du moteur vers les roues. Elle permet le maintien de la puissance du moteur en fonction de la vitesse lors du déplacement. Zoom dans cet article sur les différents types de transmissions de voiture. Comment fonctionne le système de transmission dans une voiture ? Le système de transmission est composé du volant moteur, de l’embrayage, de la boîte de vitesse, du différentiel ou pont autobloquant et des arbres de transmission. Le volant moteur et l’embrayage Ces deux pièces qui sont étroitement liées, relient le moteur à la boîte de vitesse. Elles permettent ainsi de déplacer le couple et la puissance du moteur vers la boîte de vitesse. Quand les deux pièces sont jointes, l’énergie passe du moteur à la boîte de vitesse. Et quand elles ne sont pas jointes, il n’y plus de transmission du couple moteur. La boîte de vitesse et le différentiel La boîte de vitesse coordonne la vitesse de rotation du moteur et la vitesse des roues. Elle est donc l’élément qui permet d’ajuster le couple moteur en fonction des circonstances de conduite. Le différentiel ou pont autobloquant quant à lui, permet de transférer vers les roues motrices grâce aux arbres de transmission, le couple moteur délivré par la boîte de vitesse. Il transmet donc à la roue la vitesse de rotation dont elle a besoin pour fonctionner. Les arbres de transmission Ils sont directement liés aux roues motrices. Ils entraînent ces dernières quand ils sont mis en rotation par le différentiel. C’est ce processus qui permet au véhicule de se mouvoir sans difficulté. Quels sont les différents types de transmissions voiture ? Il existe trois types de transmissions voiture : la transmission intégrale, la traction et la propulsion. La transmission intégrale On la retrouve souvent sur les véhicules de type 44, les pick-up, les berlines et sur certains SUV. Un véhicule doté d’une transmission intégrale a les quatre roues motrices. Il est donc équipé d’un convertisseur de couple qui permette de répartir la puissance entre les quatre roues en fonction de la situation. Elle peut être enclenchée, semi-permanente ou permanente. La transmission intégrale qui doit être déclenchée permet au véhicule de rouler en traction ou en propulsion. Cependant, le conducteur doit la régler entre les quatre roues motrices dès qu’il sent une perte d’adhérence. La transmission intégrale qui se déclenche automatiquement est présente sur les véhicules à transmission intégrale semi-permanente. Elle permet au véhicule de rouler en traction ou propulsion par défaut et sur les quatre roues motrices s’il le faut. Le véhicule est en permanence sur quatre roues motrices quand la transmission intégrale est permanente. Ce type de transmission est le plus efficace en matière de motricité, mais il consomme bien plus de carburant et est beaucoup plus encombrant. Les véhicules équipés d’une transmission intégrale offrent une plus grande motricité. Elles sont beaucoup plus stables sur les routes mouillées ou sur la neige. La traction ou transmission avant La plupart des véhicules sont équipés de la transmission avant. Les deux roues avant du véhicule sont motrices et elles sont entraînées par un demi-arbre de transmission. Celui-ci offre principalement deux avantages : il prend peu de place et réduit la consommation de carburant. Il existe deux configurations dans la traction : la traction avec un groupe de moteur motopropulseur longitudinal (perpendiculaire à l’axe du moteur) et la traction avec un groupe motopropulseur transversal (parallèle à l’axe du moteur). La transmission transversale est plus compacte et plus récente. Elle offre donc une meilleure tenue de route. Toutefois, les véhicules équipés de la traction présentent le risque de patinage des deux roues avant lors d’un démarrage ou d’une accélération à faible rapport de vitesse. La propulsion ou transmission arrière On la retrouve souvent sur les camions ou sur les véhicules de luxe qui ont un grand poids. Sur ces genres de véhicules, les roues arrière sont motrices. Certes, ce sont toujours les roues avant qui dirigent le véhicule, mais ce sont les roues arrière qui propulsent le véhicule. Il existe trois configurations dans une transmission arrière : le moteur à l’arrière, le moteur au centre et le moteur à l’avant. Le moteur à l’arrière : Dans cette configuration, le moteur est placé à l’arrière du véhicule. Le moteur se trouve derrière l’axe des roues. Dite en « en porte à faux », cette configuration présente de nombreux avantages. D’abord, la motricité à l’arrière est renforcée. Ensuite, tout le groupe motopropulseur est aussi à l’arrière, ce qui permet de gagner de la place. Enfin, elle facilite la prise des virages et la conduite est beaucoup plus agréable sur les routes sinueuses. Le moteur central : Dans cette configuration, le moteur est placé devant l’axe des roues arrière. Il est près du centre du véhicule. La transmission quant à elle est placée derrière le moteur. Cette configuration présente l’avantage d’avoir une meilleure répartition des masses sur la longueur du véhicule et autour du centre de gravité. Le moteur à l’avant : Dans cette configuration, le moteur se trouve devant. Un tube de transmission intermédiaire est ajouté dans la longueur du véhicule pour permettre de transmettre l’énergie du groupe motopropulseur vers les roues. L’entretien du système de transmission voiture L’entretien du système de transmission fait partie des étapes importantes de l’entretien d’un véhicule. Il faut prendre en compte plusieurs aspects tels que l’huile à transmission et les risques d’un défaut d’entretien. L’huile à transmission Elle doit être vidangée et remplacée sinon le risque de bris mécanique augmente. Il faut donc veiller à sa quantité et à sa qualité. Le délai de vérification peut varier en fonction du véhicule utilisé, de l’utilisation que l’on en fait, du type de fluide utilisé et du type de transmissions. Tout comme l’huile à moteur, l’huile à transmission doit être régulièrement vidangée. Les risques liés à un défaut d’entretien Si votre système de transmission n’est pas bien entretenu, vous risquez de constater un manque de réactivité de votre boîte de vitesse ou encore un glissement de vitesse. Vous pouvez aussi constater qu’il y des fuites d’huiles de transmission ou encore une certaine lenteur dans l’engagement de votre véhicule. -
Quand votre véhicule fonctionne normalement, c’est grâce au carburant qui est dans le réservoir, mais aussi à l’électricité qui circule. En effet, c’est grâce au système électrique que de nombreuses fonctions telles que les clignotants, les essuie-glaces, les phares ou encore la climatisation marchent. Ce système est équipé de fusibles pour le protéger contre un grand débit de courant en provenance de la batterie de l’accumulateur. Ce sont des éléments importants de votre véhicule. Il est donc important de les remplacer quand ils sont défectueux. Comment remplacer un fusible de voiture ? Quelle est la meilleure manière de le faire ? Qu’est-ce que c’est qu’un fusible ? Le fusible, encore appelé coupe-circuit est une pièce de sécurité qui permet de couper le courant lors d’un court-circuit ou d’une surtension. Il protège ainsi votre installation électrique. Pour les voitures, il existe différents types de fusibles. Chacun d’eux possède ses propriétés et caractéristiques. Les différents types de fusibles Il existe de nombreux types de fusibles et ils varient d’une voiture à une autre. Les plus courants sont les fusibles constitués par un tube en verre ou en mica, où on retrouve le fil fusible soudé au niveau de deux capuchons coniques qui emprisonnent le tube. Parmi les fusibles en verre, on retrouve certains qui possèdent un capuchon cylindrique en acier aux extrémités et qui sont fixés par une fourche élastique en laiton. On retrouve d’autres modèles de fusibles qui sont présentés en cylindre céramique. On voit sur ces modèles une rainure qui reçoit le fil fusible. Il existe aussi des fusibles de type lame rectangulaire qui disposent de deux connecteurs push-in relié par un fil. Généralement, les fusibles sont réalisés en cuivre ou en argent. Ils font aussi appel à des alliages tels que le plomb et l’étain. Les propriétés des fusibles Le fusible dans un circuit électrique a un rôle très important. Et pour qu’il soit efficace, il doit répondre à certains critères. D’abord, il doit pouvoir s’échauffer rapidement en cas de surtension. Ensuite, il doit pouvoir fondre sans amorcer d’arc électrique et enfin, il doit résister aux fortes intensités de faible durée. Intensité des fusibles L’intensité d’un fusible est l’intensité de courant que peut supporter un fusible. De façon générale, il varie entre 5 et 16 ampères. Néanmoins, il est courant de voir des fusibles de 1,5 ampère et des fusibles de 25 ou 35 ampères. Un fusible est capable de protéger plusieurs appareils, car les fils fusibles sont prévus pour des intensités diverses. Ils sont alimentés par des fils de couleur repère. La détection du fusible endommagé Quand votre automobile a une panne électrique, le premier réflexe à avoir est d’ouvrir la boîte à fusible pour voir s’il n’y a pas un fusible détérioré. L’emplacement de la boîte à fusibles L’emplacement de la boîte à fusibles n’est pas standard. Il varie d’un constructeur à un autre. Certains constructeurs la placent dans l’habitacle du véhicule et d’autres lui conçoivent un emplacement spécial sous le capot-moteur. En tous cas, il faut consulter le tableau de bord de la voiture. C’est lui qui vous renseignera sur l’emplacement de la boîte à fusibles. Souvent, on retrouve le boitier à fusibles dans l’habitacle, au niveau du tableau de bord, à gauche de la colonne de direction, sous le volant, dans la boîte à gants ou encore sous la planche à bord côté passagers. Il est généralement protégé par un couvercle en plastique ou trappe cache-fusibles. Certains constructeurs mettent des fusibles de rechange d’intensité diverse sous le couvercle. Trouver le fusible défectueux Quand on ouvre la boîte à fusibles, on y retrouve de nombreux fusibles. Il est souvent difficile de savoir celui qui est défectueux. Heureusement, les constructeurs ont tout prévu. Pour trouver le fusible défectueux, il faut se référer au manuel d’utilisation de la voiture. En effet, le rôle de chaque fusible et son intensité y est indiqué. Vous pouvez aussi vous référer au plan indiqué à l’intérieur du couvercle de la boîte à fusible. Ainsi, vous pourrez savoir quel fusible il faut remplacer en fonction de la panne électrique de votre voiture. Le remplacement du fusible Après avoir détecté le fusible endommagé, vous pouvez procéder à son remplacement. Cependant, il arrive que le remplacement ne soit pas nécessaire. La réparation d’un mauvais contact Dans les automobiles qui ont plus de 15ans, l’interruption du passage du courant peut être due à l’oxydation des fusibles (à cause de l’humidité) disposés dans le compartiment moteur. Dans ces cas, il n’est pas nécessaire de changer de fusible. Il suffit de déloger le sulfate en faisant rouler les fusibles dans leur logement. Vous rétablirez ainsi le contact et la fonction électrique en panne fonctionnera à nouveau. Notons qu’il n’est pas conseillé de réparer un fusible grillé en utilisant un fil métallique ou du papier d’argent. Reconnaissable à sa partie métallique fondue, le fusible grillé ainsi réparé peut créer de gros dommages ou bien déclencher un incendie. Extraction du fusible endommagé Quand vous détectez le fusible grillé, il faut procéder à son extraction. Pour cela, il faut débrancher le consommateur électrique qui sert de protection au fusible, ensuite, enlever le couvercle de la boîte à fusible et enfin retirer le fusible endommagé des bornes ressort qui la maintiennent. Il est conseillé d’utiliser une paire de pinces à becs longs pour faire l’opération. Parfois, les constructeurs équipent les boîtiers d’une petite pince qui doit servir à enlever le fusible grillé. Somme toute, c’est une opération qui doit être effectuée avec beaucoup de délicatesse. Remplacement du fusible grillé par le fusible neuf Pour remplacer un fusible grillé par un autre, il faut qu’ils aient la même intensité. Il faut alors le placer entre les bornes afin que la lame de métal soit visible. Ensuite, vous le serrerez entre les bornes en veillant à ne pas plier ces dernières. Si l’idéal est de remplacer un fusible grillé par un fusible de la même intensité, vous pouvez utiliser un fusible dont la valeur est supérieure de 5 ampères maximum à celui remplacé. Au-delà de cette valeur, vous risquez de provoquer un incendie. Toutefois, si vos fusibles neufs se grillent très vite, il est conseillé de revoir le circuit électrique de votre véhicule. Vous devez pour cela vous rendre chez un mécanicien agréé par le concessionnaire de votre voiture. N’oubliez pas surtout de renouveler votre réserve de fusible afin d’être à l’abri de pannes subites éventuelles.
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Accessoire auto incontournable pour les vacances, les voyages en famille et le port des équipements de sports en hiver, le coffre de toit auto accueille tous vos bagages, vos effets personnels et vos matériels de voyage. Il offre un espace de rangement supplémentaire, et permet ainsi d’emporter davantage d’affaires personnelles ou professionnels. Surtout, le coffre de toit est compatible avec toutes les voitures du marché à condition d'installer des barres de toit et galeries auto sur lesquelles va se reposer le coffrer. Alors, quels sont les critères à prendre en compte pour choisir son coffre de toit ? Quel coffre de toit acheter ? Quelle taille préférer en fonction de sa voiture ? Découvrez le guide complet pour savoir comment bien choisir votre coffre de toit. Les critères à prendre en compte pour bien choisir son coffre de toit On peut trouver plusieurs assortiments de modèles de coffre de toit sur le marché. Cependant, la question est de trouver celui qui convient, sachant qu’un coffre qui ne convient pas peut influer sur votre consommation et l’augmenter de plus de 15%. Les automobilistes ressentent un changement lors de la conduite d'une voiture équipée d'un coffre de toit. C'est pourquoi, il est important de prendre en compte plusieurs critères quand on s'intéresse à cet équipement. Voici les principaux critères que vous devez prendre en compte lors du choix de votre coffre de toit auto : La longueur du coffre par rapport à la longueur de la voiture. Le volume du coffre permettant de stocker des affaires. Le système d’ouverture et de fermeture afin de faciliter l'accès et le rangement. Les bruits. Choisir le coffre de toit en fonction de la longueur D’une manière générale, les longueurs des coffres de toit pour auto varient entre 105 et 218 cm. Le choix de la longueur convenable reposera principalement sur deux facteurs : Choisir son coffre de toit en fonction de la taille de la voiture Choisissez votre coffre de toit de manière à ce qu’il soit adapté à la taille du toit de votre voiture. Bien entendu, il est tout à fait possible de poser un coffre long sur une petite voiture. Cependant, comme le coffre va probablement dépasser l’avant du pavillon, cela risque non seulement d'accroître de manière considérable votre consommation en carburant, mais aussi d’occasionner des bruits de soufflerie désagréable tout au long du trajet. La Code de la Route impose également certaines règles pour les équipements qui dépassent de l'avant ou de l'arrière de la voiture. Toutefois dans le cas d'un coffre de toit, cela ne dépasse pas. C'est donc une question de confort pour la conduite et d'économie. Choisir en fonction de la taille des matériels que vous souhaitez transporter Si vous devez transporter des objets longs, choisissez un coffre de toit long de moyenne et de grande capacité en tenant toujours compte de la dimension de votre véhicule. Ces types de coffres conviennent généralement à toutes les voitures familiales, les monospaces, les 4x4, les SUV ainsi que les berlines. Dans certains cas, il est même préférable d'attacher les objets longs directement sur les barres de toit : les skis, planche de surf, ... Si vous allez transporter des matériels encombrants, choisissez un coffre de toit compact généralement adapté aux petites voitures familiales et aux citadines. Coffre de toit auto : choisir le bon volume Les capacités des coffres de toit varient entre 300 et 600 litres. Pour choisir le bon volume, vous devez toujours vous référer à la taille de votre véhicule et de vos bagages. Il ne sert à rien d'acquérir un coffre ayant un volume démesuré par rapport à vos besoins. Vous allez ressentir un inconfort lors de la conduite qui sera inutile. Les coffres de toit compacts destinés aux voitures légères ont une capacité maximale de 315 à 370 litres. Cela équivaut à la taille d’un grand sac de voyage plus une grosse valise souple ou bien un réfrigérateur plus son congélateur. Les coffres de toits moyens et ou de grandes capacités, modèles adaptés aux voitures familiales, peuvent contenir 390 à 570 litres. Soit un réfrigérateur complet plus le coffre entier d’une Peugeot 206. Choisir son offre de toit : le système d’ouverture Les systèmes d’ouvertures bilatérales sont les plus pratiques en ville. Avec une ouverture du coffre sur les deux côtés, ils permettent un chargement et un déchargement aisé du côté du trottoir. Mais en plus, ils optimisent la capacité du coffre en offrant notamment des espaces des 2 côtés de ce dernier. Les systèmes d’ouverture assistée présentent également certaines avantages : pas besoin de beaucoup d’efforts pour ouvrir le coffre ni de le maintenir pendant le chargement. Choisir le coffre de toit en fonction du système de fermeture Les meilleurs systèmes de fermeture sur les coffres de toit sont ceux qui garantissent le maximum de sécurité. Pour cela, vous avez le choix entre deux serrures : La serrure centralisée qui permet de verrouiller les deux verrous simultanément à partir d’une seule serrure. La serrure sécurisée qui ne vous permettra pas de partir le coffre ouvert ou mal fermé. Vous ne pourrez pas oublier les clés dans le coffre, ni les retirer sans avoir verrouillé le coffre d’abord. Coffre de toit auto : les moins bruyants Comme ils opposent une résistance à l’air, les coffres de toit génèrent parfois des bruits vraiment importants. Mais si vous choisissez un modèle adapté à la taille de votre voiture, vous pourrez réduire les perturbations de manière considérable. Sinon, les coffres de toits profilés avec leur hauteur relativement bas et leurs diffuseurs, sont plus aérodynamiques et moins bruyants.
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Faut-il acheter ou louer la batterie de sa voiture électrique ?
Eveline Luca a posté un article dans Articles Auto
Au moment d’acheter votre voiture électrique, les constructeurs vous demanderont de choisir entre deux formules possibles : soit vous achetez intégralement la voiture, la batterie incluse; soit vous achetez la voiture, mais sans la batterie. Dans quel cas, vous devrez la louer. La question se pose alors : faut-il acheter ou louer sa batterie la batterie de sa voiture électrique ? Découvrez les avantages et les inconvénients de chacune de ses options. Acheter la batterie de sa voiture électrique : les avantages et les inconvénients La majorité des constructeurs proposent à l'acheteur d'acheter la batterie de la voiture électrique. Chez certains d'entre eux, c'est même obligatoire. Et ce n'est pas plus mal, car l'achat offre de nombreux avantages non-négligeables. Et il peut être une option intéressante, surtout sur le long terme. Acheter la batterie de la voiture électrique : les avantages Si vous achetez la batterie de votre voiture électrique, cela signifie avant tout que vous serez pleinement propriétaire de votre véhicule. Vous serez le seul à avoir le contrôle sur ce dernier, mais surtout, vous n'aurez plus aucun autre frais à payer une fois l'acquisition faite. C'est donc assez intéressant d'un point de vue économique, surtout si vous envisagez d'utiliser votre voiture électrique sur le long terme. Car la seule charge que vous aurez à payer, c'est le coût de la recharge. Les batteries achetées sont également souvent de qualité. La majorité des constructeurs proposent une garantie de performance sur plusieurs années, ou sur une distance précise. En d'autres termes, s'il y a détérioration durant la période sélectionnée, ou avant que la distance définie est atteinte, vous pourrez bénéficier d'un remplacement. Acheter la batterie de la voiture électrique : les inconvénients Le principal inconvénient, si vous décidez d'acheter, est le coût. Contrairement à la location en effet, l'achat intégral de la voiture, la batterie incluse, peut vous coûter plus cher sur le moment. Le coût de la batterie en elle-même est effectivement assez élevé. En réalité, elle représente près de 35% du coût de la voiture. L'économie que vous pourriez réaliser en louant plutôt qu'en achetant est donc assez conséquente. Vous devez également savoir qu'en achetant la batterie, vous serez propriétaire et responsable de cette dernière. En d'autre termes, une fois que vous ne serez plus couvert par la garantie constructeur, en cas de défaillance ou de manque de performance, vous devrez supporter seul les charges de la réparation. Au pire, vous devrez acheter une nouvelle batterie. Les avantages et les inconvénients de louer la batterie électrique de sa voiture Beaucoup de constructeurs vous proposeront de louer la batterie plutôt que de l'acheter. Cette solution est très avantageuse, aussi bien d'un point de vue pratique qu'économique, mais attention, elle a également des inconvénients. Ne sautez donc pas le pas avant d'avoir pris le temps de peser le pour et le contre. Acheter ou louer la batterie de sa voiture électrique : les avantages de la location Le principal atout de la location réside dans le coût. En choisissant cette option en effet, vous pourrez économiser jusqu'à 6000€, voire plus. Et ce, sachant que la batterie représente une des plus grosses dépenses dans le coût total d'une voiture électrique. La batterie, même louée, est également assortie d'une garantie, mais avec des conditions plus intéressantes encore. Cette garantie n'est effectivement pas limitée par le temps ou par le kilométrage. En d'autres termes, dès lors que la batterie montre des signes de baisse de performance d'environ 30%, le constructeur est tenu de la remplacer séance tenante. Et ce, sans que l'utilisateur n'ait à payer le moindre sou. Et pour couronner le tout, la location de la batterie de la voiture électrique permet de bénéficier de nombreux services supplémentaires. Certains constructeurs proposent en effet, en sus de la garantie, un service de dépannage et de réparation en cas de besoin. En d'autres termes, si la batterie tombe en panne, le constructeur pourra envoyer un dépanneur pour résoudre le problème. Et ce, bien sûr, à ses frais. Louer la batterie de sa voiture électrique : les inconvénients Le principal inconvénient de la location réside dans le fait que la voiture ne vous appartienne donc pas complètement. A cela s'ajoute le fait que vous devez également vous acquitter des frais de location, et ce, même après avoir acheté la voiture. Sur le long terme, cette solution n'est pas forcément accommodante, ni intéressante d'ailleurs. Il peut aussi être dérangeant de penser que vous devrez payer ses frais de location tout le long de l'année, et ce, que vous utilisiez votre voiture ou non. Autrement dit, si vous partez, par exemple, en voyage pendant un long moment et que vous ne prévoyez pas d'utiliser votre voiture électrique, vous devrez quand même payer les frais de location. -
Quand on envisage de parcourir plus de 20.000 km par an, on a grand intérêt à bien réfléchir avant de choisir le véhicule qu’on veut acquérir. Pour ce faire, il est profitable de passer en revue un certain nombre de critères, dont le premier doit être lié au type de moteur dont dispose la future voiture. Quelle voiture est la plus adaptée à votre conduite ? Comment la choisir selon ses besoins ? Voici nos recommandations pour ceux qui roulent souvent et font de longs trajets. Le type de moteur adapté à un grand rouleur Penser au type de moteur permet d’être rapidement fixé sur le type de carburant que consomme son véhicule. Ce point est d’autant plus important qu’en tant que grand rouleur, on est souvent amené à plus se déplacer sur des routes et autoroutes, donc, à consommer beaucoup de carburant. Les grands rouleurs et les moteurs à essence Opter pour un véhicule fonctionnant à l’essence est une mauvaise idée si l’on est appelé à parcourir de très longues distances quotidiennement (60/70 km minimum) ou annuellement (plus de 20 000 km). En réalité, les moteurs à essence sont profitables essentiellement aux petits rouleurs, c’est-à-dire ceux dont les moteurs sont de petits cylindrés. Il faut savoir qu’à voitures identiques, un véhicule à essence engloutit au 100 kms au minimum 1 litre de plus qu’un moteur diesel. Et cette consommation est encore plus importante sur les grosses cylindrées à essence ou encore lorsqu’on effectue de très longues distances. Le hic, c’est que seule une grosse cylindrée peut répondre aux attentes d’un grand rouleur. Ce qui rend les moteurs à essence incompatibles avec les grands rouleurs. Qu’en est-il du moteur électrique ou hybride ? Un véhicule électrique est inadapté pour de longues courses en raison de sa courte autonomie. Il faut comprendre qu’il n’est pas fait pour ça. Et à cet inconvénient, il faut ajouter d’autres contraintes liées à sa batterie notamment ses conditions de location, sa durée de recharge, etc. Un moteur hybride permet certes de réduire les émissions polluantes sur de courts trajets. Cependant son utilisation est désavantageuse pour un grand rouleur puisqu’il cumule les inconvénients du moteur à essence ainsi que ceux des moteurs électrique. Pourquoi se tourner vers un moteur diesel ? Malgré les taxes qui lui sont apposées et son côté polluant, le moteur diesel est, aujourd’hui encore, le plus adapté à un grands rouleurs. En effet, ce type de moteur a un rendement qui permet de réduire sa consommation en carburant sur de longues distances. Ainsi, il est rentable grâce aux nombreuses économies énergétiques qu’il nous permet de réaliser (15 à 20 %), surtout avec de grosses cylindrées. Plus on roule et plus vite on rentabilise son achat. Mais attention ! En optant pour une SUV diesel, il faut s’attendre à une consommation plus importante. Les SUV sont certes à la mode actuellement mais elles ne sont pas les plus économiques. Cela dit, il faudra éviter de se rendre en ville avec l’un ou l’autre de ces véhicules car, sur de petits trajets, ils s’avèrent très polluants. C’est d’ailleurs pour ça que les agglomérations des villes et les zones de circulations restreintes leur sont officiellement interdites. Le moteur choisi, il faut maintenant penser à la catégorie de voiture à acheter. Quelle catégorie de voiture est la plus adaptée à un gros rouleur ? Pour répondre à cette question, il faudra tenir compte de l’aspect général de la voiture, c’est-à-dire si elle est neuve ou d’occasion. Quel véhicule choisir : neuf ou d’occasion ? Pour aller vite, il faut s’interroger sur la durée pendant laquelle on envisage faire usage de son véhicule diesel. Si c’est sur le court terme, se prendre une voiture d’occasion diesel est la meilleure chose à faire. Ce qui est bien, c’est qu’on en trouve en occasion toutes les sortes de véhicules qui existent. Le plus intéressant, c’est qu’il y en a qui sont encore relativement en bon état. On pourra toujours les revendre à un bon prix après utilisation pendant un certain temps, à condition bien sûr de l’avoir bien entretenue. L’avantage avec ce type de véhicules c’est qu’ils ne s’usent pas rapidement. Par contre, sur le long terme, l’idéal est d’opter pour un véhicule diesel neuf. Encore qu’il faille en avoir les moyens. Si c’est le cas, c’est un très bon investissement. Un véhicule diesel neuf amoindrit toujours les dépenses en réparation et entretien. D’autre part, un moteur neuf est toujours plus performant et économique qu’un moteur d’occasion, surtout ceux ayant subi plusieurs réparations. Toutefois, ce n’est pas parce qu’on dispose d’un moteur neuf qu’on doit en négliger la maintenance. Quelle est la carrosserie idéale pour ses besoins ? A ce niveau, le détail déterminant est le nombre de passagers que le véhicule est appelé à transporter. On trouve sur le marché des véhicules diesel adaptés aux usages en famille. De même, il y en a qui sont parfaits pour les agents commerciaux ou VRP qui ont pour habitude de faire de longues courses. Il est du coup nécessaire de tenir compte de l’usage qu’on souhaite en faire avant de procéder à l’achat de sa voiture. Ce n’est qu’ainsi qu’on arrive à être fixé sur le type de carrosserie le plus adapté à ses besoins. Une fois le choix de la carrosserie effectué, il y a un dernier point important à considérer avant d’effectuer son achat. Et ce facteur, c’est l’assurance auto. L’assurance auto qu’il faut pour un grand rouleur En tant que grand rouleur, on peut opter pour une assurance auto grand rouleur. Pour ce faire, on doit choisir l’option et la formule compatibles avec ses besoins. Quelle formule choisir quand on est un grand rouleur ? Il existe trois formules d’assurance auto. D’abord on a l’assurance au tiers avec une garantie minimale. Ensuite, l’assurance au tiers avec des garanties complémentaires. Et enfin, l’assurance auto tous risques. En tant que grand rouleur, le mieux est de souscrire à l’assurance auto tous risques puisqu’on est appelé à faire de longs trajets. Les critères de choix de son assurance ? Le choix de la formule passe par la prise en compte de l’ancienneté du véhicule à assurer. Si la voiture n’est pas neuve, il est inutile de souscrire à l’assurance auto tous risques. Pour être définitivement fixé, demander des devis pour confronter et comprendre les offres reste la bonne chose à faire. En résumé, choisir la voiture qu’on veut acquérir ne doit pas être fait au hasard, surtout lorsqu’on est un grand rouleur. Il faut nécessairement prendre en considération certains facteurs importants, notamment ceux qui ont été énoncés dans cet article.
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Peur de conduire après un accident : nos conseils
Eveline Luca a posté un article dans Articles Auto
Avoir peur de conduire après un accident est une réaction assez commune. Au-delà des traumatismes physiques en effet, un accident peut également occasionner de graves séquelles psychologiques. Et ces dernières malheureusement, mettent beaucoup plus de temps à cicatriser et à guérir. Les études ont même montré que si elles ne sont pas prises en charge rapidement, elles peuvent devenir un réel handicap pour les victimes. Et ce, toute leur vie durant. Vous avez eu un accident et avez peur de conduire depuis ? Vous êtes angoissé à l’idée de vous retrouver de nouveau sur une route, derrière le volant ? Vous paniquez lorsque vous vous retrouvez dans une situation similaire et redoutez à chaque fois une collision ? Ces quelques conseils pourront vous aider. Peur de conduire après un accident : comment réagir ? Si l’on se réfère aux études et aux nombreux avis des spécialistes, la manière avec laquelle un accidenté appréhendera la reprise du volant dépendra de la manière dont il réagira après l’accident. Plus il attendra, plus ça sera difficile. Reprenez le volant sans demander de temps ! Eh oui ! Il est normal d’avoir peur de reprendre le volant quand on a eu un accident. Mais selon certains spécialistes, la meilleure manière de faire face à cette peur est justement de ne pas la laisser s’installer, s’incruster. En d’autres termes, même si la perspective est angoissante, il faut reprendre le volant sans attendre. Pourquoi ? Cela permet de briser rapidement les croyances – fausses et négatives - qui se sont automatiquement installées dans le subconscient, et qui assimilent la conduite à un accident. Certes, c’est une réaction tout à fait normale, on peut même dire que c’est l’instinct de survie qui reprend le dessus. Mais s’il est possible d’instaurer ces croyances dans notre cerveau, il est aussi possible de faire le contraire. Bien sûr, il ne s’agit pas non plus d’aller faire une course folle en ville pour se prouver que tout va bien. L’idée est de reprendre le volant, et de faire un petit tour, juste pour faire comprendre au subconscient que conduire ne provoque pas forcément un drame. C’est le premier pas vers la guérison. Ne rentrez pas dans la spirale infernale de l’évitement Selon le professeur Antoine Pelissolo, plus vous repousserez le moment fatidique où vous devrez reprendre le volant, plus vous alimenterez votre peur. Et le pire, c’est qu’une fois que vous vous laisserez entraîner, par votre peur, dans l’évitement, vous aurez beaucoup de mal à vous en sortir. Même si c’est la réaction que vous aurez tendance à avoir, essayez de ne pas vous trouver des excuses pour ne pas conduire. Une fois que vous élaborerez un plan pour éviter la conduite, vous vous retrouverez dans une spirale infernale qui ne va pas s’arrêter. Vous aurez alors de grandes difficultés à vaincre votre peur. L’idéal est donc de ne pas se lancer dedans. Mais si cela est déjà fait, vous devez tout faire pour briser le processus d’évitement, et ce, en essayant de comprendre d’où vient la peur; et en reconnaissant qu’elle peut être irrationnelle. Peur de conduire après un accident : comment la combattre ? Dans le cas où la peur s’est transformée en peur panique ou en phobie, il existe quelques techniques qui vous permettront de la surmonter petit à petit. Combattre la peur de conduire après un accident par une exposition graduelle Bien souvent, pour combattre une phobie, les psychologues recommandent une exposition graduelle. L’idée est de confronter le patient à l’objet de sa peur pour lui faire comprendre que cette dernière est irrationnelle. Cela vaut également pour la peur de conduire. Pour la combattre, il est donc nécessaire de se remettre au volant et de s’habituer progressivement à la conduite. Il est même possible de programmer de nouveaux cours de conduite, pour permettre à la victime d’évoluer doucement, jusqu’à ce qu’elle reprenne confiance. Combattre la peur de conduire, en combattant ses manifestations Pour combattre la peur de conduire, certains psychiatres préconisent que l’on combatte également les manifestations de cette peur : accélération de la respiration, tremblement, crispation, etc. Selon les spécialistes, l’idée n’est pas de repousser ces symptômes, car en réalité, ils sont inévitables la plupart du temps. L’idée est plutôt de les laisser venir et de les calmer. Comment ? Surtout, il ne faut pas précipiter les choses. Commencez par faire des exercices de respiration. Puis essayez de relâcher les muscles tendus et crispés. L’objectif est d’essayer de vous détendre. Si vous essayez de lutter violemment, vous allez céder à la panique. Mais si vous laissez la peur se manifester, et si vous ayez de vous calmer en vous détendant, vous verrez que les manifestations de la peur disparaîtront d’elles-mêmes. Peur de conduire après un accident : les traitements possibles Lorsque vous n’arrivez pas à surmonter votre peur seul, l’intervention d’une tierce personne – d'un professionnel – est requise. Psychologues psychothérapeutes et psychiatres sont habitués de ce genre de phobies et pourront vous proposer des solutions adaptées. En fonction de la gravité de votre cas, et de vos besoins, on pourra vous proposer : Des exercices de relaxation grâce à des activités telles que le Yoga ou la médiation. La thérapie cognitive et comportementale ou TCC, très efficace pour traiter les phobies. L’hypnose, dont l’efficacité contre les phobies et les addictions a été maintes fois prouvée ces dernières années. -
Apparu à l'aube des années 2000, le filtre à particules plus connu sous l'abréviation de FAP est une pièce vitale à tout véhicule diesel moderne. Et pour cause, c'est la solution qui permet de détruire les résidus cancérigènes générés par la combustion des moteurs Diesel. Sa principale fonction est de filtrer, de stocker, et de brûler les particules de suie. Cependant, quoique sa fonction relève quelque peu du miracle, le FAP n'est pas éternel. Dès lors qu'il ne peut plus assurer la régénération, il est nécessaire de le remplacer. Cette opération est fréquemment prise en charge par les concessions, les garagistes et autres spécialistes en réparation automobile pour un tarif variant entre 150 et 1 304 €. Mais vous pouvez aussi remplacer votre FAP vous-même. Comment savoir qu’il faut changer son FAP ? Peut-on effectuer le remplacement du FAB de son véhicule soi-même ? Comment procéder ? Suivez notre guide pour savoir pourquoi remplacer votre FAP, quand faut-il le faire et comment s'y prendre ! Pourquoi remplacer son FAP ? Un usage spécifiquement urbain de votre véhicule diesel, mais aussi le fait de n'effectuer que de petits trajets quotidiens contribue à réduire de manière considérable la durée de vie du FAP sur votre véhicule. La phase de combustion nécessite un certain niveau de température qui ne peut généralement être atteint que sur autoroute. En effet, ce n'est qu'alors que le calculateur du moteur lance la phase dite de régénération. Dans le cas contraire, si votre voiture Diesel sort rarement de la ville, le filtre à particules va s'encrasser au point de ne plus être capable de remplir sa fonction. Le risque, dans ce cas, est que votre moteur va perdre en puissance et rouler en mode dégradé. Par ailleurs, un FAP hors service peut endommager gravement le turbo, la vanne EGR et d'autres composants du moteur. Quand remplacer son FAP ? Un filtre à particules (FAP) encrassé ou bouché présente plusieurs symptômes que vous ne pouvez pas louper : une perte de puissance de votre véhicule ; un moteur qui s'étouffe ou qui se cale ; une émission importante de fumées noires ; une hausse du niveau d'huile moteur ; une augmentation de votre consommation en carburant. Comment remplacer votre FAP ? Voici les étapes que vous devez suivre pour le remplacer : Etape 1 : Surélevez votre voiture afin d'atteindre son soubassement Vous pouvez le faire avec une plate-forme d’élévation. Si vous n'y avez pas accès, vous pouvez vous servir de blocs que vous pouvez placer en-dessous de votre voiture. Faites en sorte qu'elle soit bien élevée et stable. Etape 2 : Trouvez le filtre à particules Le filtre à particules ressemble à un silencieux qui se trouve à proximité du moteur. Vous le reconnaîtrez donc à cet aspect similaire à votre tuyau d’échappement. Sinon, vous pouvez facilement le repérer en suivant le guide du carnet d’entretien de votre voiture. Etape 3 : Détachez le FAP Une fois votre FAP repéré, vous pouvez dévisser les boulons et les vis qui maintiennent le FAP. Mais avant, assurez-vous de bien mémoriser son emplacement afin d'être sûr de le remonter correctement. Les boulons retirés, gardez-les dans un endroit sûr et à proximité de manière à les retrouver facilement après. Etape 4 : Enlevez le filtre Après les boulons, retirez le filtre. Vous n'avez pas besoin de le démonter puisque le nouveau filtre que vous allez placer sera entièrement assemblé. Etape 5 : Installez le nouveau filtre Installez le nouveau filtre de la même manière que vous l'avez retiré. Assurez-vous qu'il soit bien installé, puis serrez bien les vis et les boulons. Etape 6 : Testez votre voiture Le nouveau FAP installé, descendez votre véhicule et testez-le pour voir si tout se passe bien. Il est recommandé de tester la voiture sur une autoroute pour que vous puissiez prendre de la vitesse. Roulez jusqu’à ce que le témoin correspondant au FAP s’éteigne, cela devrait prendre une quinzaine de minutes. Vérifiez que les autres témoins de votre véhicule ne s'allument pas. Si c'est le cas, arrêtez votre voiture et vérifiez d'où vient le problème. Si aucun témoin ne s'allume, c'est que vous avez bien effectué votre remplacement. Comment prévenir la détérioration de votre FAP ? Pour augmenter significativement la durée de vie de votre filtre à particules (FAP), la maintenance est inévitable. Vous pouvez procéder régulièrement au nettoyage de votre FAP. Il est également conseillé de rouler régulièrement sur une autoroute, au moins une fois par mois.
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Entre barre de toit et coffre, le choix - si l’on cherche un porte-ski - est assez vaste. Cependant, on peut se heurter au souci de trouver la bonne qualité. Le risque est tel que, si vous choisissez un modèle bas de gamme, non seulement vos matériels ne bénéficieront pas de la protection adéquate, mais vous pourriez aussi compromettre votre propre sécurité sur la route. Quel est le meilleur modèle de porte-ski ? Quel porte-ski choisir ? Nous vous proposons une sélection des meilleurs portes-skis pour cet hiver. Les modèles qui vous permettront de profiter d’un meilleur rapport qualité-prix. Le meilleur porte-ski pour cet hiver : les critères de choix Le meilleur modèle de porte-ski doit répondre à différents besoins, principalement en termes de sécurité, de confort et de praticabilité. Il doit : être adapté à la taille de votre voiture et de tous vos équipements d’hiver : skis, snowboard, etc. être facile à monter et à démonter. se fixer généralement à l’aide de vis et être doté d’une serrure pour assurer la sécurité des équipements, le verrouillage et la protection antivol. convenir à tous types de véhicules et à toutes sortes de skis. Ne pas porter préjudice à la stabilité du véhicule et ne pas entraver la conduite sur la route. Les meilleurs porte-ski pour cet hiver : notre top 5 Vous trouverez sur le marché un grand nombre de porte-ski, de tous les modèles et de toutes les marques. Pour faciliter votre choix, nous avons sélectionné pour vous les meilleurs modèles du marché. Les porte-skis coulissants signés Thule Idéal pour transporter vos équipements de ski à la montagne ou à la station, les porte-skis de la marque Thule sont des racks à fixer sur les barres de toit. Faits d’aluminium, ils résistent parfaitement aux chocs et à l’usure. Et leurs intérieurs en caoutchouc assurent la protection des équipements. Grâce à leur conception coulissante, ils offrent une grande facilité de chargement et de déchargement. Ils ont également la particularité d’être particulièrement extensibles. En outre, ces équipements bénéficient d’une conception aérodynamique permettant le transport des skis à fixation haute ce qui protégera votre véhicule des éventuelles rayures. Le porte-ski petit budget de la marque Ménabo La gamme Himalaya de la marque Ménabo offre de bonnes prestations pour les petits budgets. Très pratique, ce modèle peut contenir l’équivalent de 4 paires de skis ou de 2 snowboards et se fixe facilement sur les barres de toit. Doté d’une serrure de protection et d’un système antivol, il offre une protection efficace de vos équipements. Les portes-ski magnétiques de GEV et Mac Tools Les portes-ski magnétiques, que l’on connaît également sous l’appellation de “portes-ski ventouse”, sont des modèles pouvant être installés sur le toit de la voiture sans barre de toit. C’est une solution économique permettant de transporter plusieurs paires de skis ou de snowboards sans se ruiner. Avec une capacité maximale de 72 kg, le porte-ski de la marque Mac Tools peut transporter 2 paires de skis, 2 paires de bâtons et peut également accueillir des skis paraboliques. Il est doté de deux blocs magnétiques à fixation indépendante comprenant chacun un socle. La mâchoire supérieure en caoutchouc souple de ce dernier s’ouvre par un simple « Push » tandis que la mâchoire inférieure en caoutchouc rigide sert à accueillir les matériels. D’une capacité maximale de 35 kg, les portes-ski magnétiques de GEV conviennent parfaitement aux grandes familles. Ils peuvent accueillir 5 paires de skis ou encore 2 snowboards plus 2 paires de skis. Ils sont faciles à installer et à désinstaller et sont fournis avec deux clés et un crochet permettant de détacher les 4 plaques magnétiques. Le porte-ski de conception aérodynamique Le porte-ski Aconcagua de Ménabo est connu pour être le plus aérodynamique du marché. Il a été spécifiquement conçu pour s’adapter à tous types de véhicules, mais aussi à toutes sortes de ski et de snowboards. Sa capacité de charge est relativement importante. Il peut notamment accueillir 2 snowboards, 3 paires de carving ou de ski de fond, ou encore un snowboard plus une paire de skis. Son système magnétique permet une installation facile et parfaitement sécuritaire pour vos équipements. Il dispose, en plus, d’un système antivol et est particulièrement résistant aux intempéries et aux chocs. La marque Gev propose également un modèle de conception aérodynamique. Dans ce sens, il convient à toutes sortes de véhicules et peut transporter toutes sortes de ski, de snowboards, de carving ou de ski de fond. Il s’agit ici d’un modèle universel convenant à toutes les barres de toit de toutes les marques. Modèle pratiquement haut de gamme, ce porte-ski bénéficie d’un système de fixation infaillible qui garantit la sécurité de vos équipements, et celle de votre conduite sur route.
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Vous aurez toujours besoin d’utiliser votre liquide lave-glace, en hiver comme en été. Contrairement aux idées reçues en effet, qu’il fasse chaud ou qu’il fasse froid, qu’il vente ou qu’il neige, votre pare-brise peut se salir. Elle peut altérer votre visibilité. Sa propreté est donc vitale, voilà pourquoi, la loi exige qu’elle soit propre tout au long de l’année. Cela dit, s’assurer que le réservoir de votre liquide lave-glace soit constamment plein a un coût. Il représente en réalité une grande partie des dépenses liées à l’entretien de la voiture. La bonne nouvelle, c’est qu’on n’est pas toujours obligé d’acheter ce liquide sur le commerce. Avec quelques ingrédients, il est possible de faire son propre liquide lave-glace. Et cette solution offre de nombreux avantages. En plus d’être économique, cette recette fait-maison est totalement naturelle et ne dégage aucune odeur forte. Comment faire son propre liquide lave-glace en été ? Vous aurez besoin d’un liquide lave-glace de qualité pour débarrasser votre pare-brise des feuilles mortes, de la poussière et autres saletés qui viendront s’y coller et gêner votre visibilité. Notez cependant que vous ne pourrez pas utiliser le même liquide en été comme en hiver. Celui que vous utiliserez pendant la saison chaude doit être léger. Voici quelques exemples de recette légère que vous pourrez utiliser. Faire son propre liquide lave-glace avec du nettoyant pour vitres Vous avez un nettoyeur de vitre chez vous ? C’est tout ce dont vous aurez besoin. Prenez une quantité précise de nettoyant pour vitres, et versez-le avec de l’eau de deux fois son volume. Mélangez bien le tout et versez dans le réservoir du liquide lave-glace. C’est une recette très peu simple à réaliser, très peu coûteuse, mais qui a déjà fait ses preuves. Faire son propre liquide lave-glace avec du liquide vaisselle Le réservoir est quasiment vide et vous n’avez pas le temps d’aller faire le plein ? Pas de panique ! Courrez dans votre cuisine et prenez du liquide vaisselle. Eh oui ! En en plus, il ne vous en faut pas beaucoup. Prenez-en juste une cuillère à soupe, et versez-le dans 4 litres d’eau. Mélangez et versez le mélange dans le réservoir du liquide lave-glace. On n’y verra que du feu ! Faire son propre liquide lave-glace avec de l’eau distillée Vous pouvez également vous concocter votre propre liquide lave-glace avec de l’eau distillée. Pour réaliser votre recette, vous aurez besoin d’un litre (ou un peu moins) d’eau distillée, de 100 ml de vinaigre blanc et de 10 ml de liquide vaisselle. Mélangez tous ces ingrédients dans un seau ou dans un bidon, et vous avez un liquide lave-glace idéal pour l’été. Versez le tout dans votre réservoir. Comment faire son propre liquide lave-glace en hiver ? Vous l’aurez sans doute compris, en hiver, la recette doit être beaucoup plus corsée. Il faut en effet que les ingrédients choisis aient un effet “antigel”. Voilà pourquoi, vous devez prévoir des composants tels que l’alcool, le vinaigre blanc et l’ammoniac. Du liquide lave-glace avec de l’alcool L’alcool est un antigel puissant. Vous pouvez donc l’incorporer dans vos recettes de liquide lave-glace fait-maison si vous voulez une solution efficace et moins chère pendant l’hiver. Pour une efficacité maximale, procurez-vous de l’alcool à 90°. La plupart du temps, on utilise de l’isopropanol. Vous en trouverez facilement en pharmacie. Mais à la rigueur, si vous avez des boissons fortement alcoolisées chez vous, comme la vodka par exemple, ça fera l’affaire également. Comment procéder ? C’est très simple : prenez 100 ml d’alcool et mélangez-le 2.5 litres d’eau. Ajoutez, par la suite, une cuillère à soupe de détergent en poudre et le tour est joué ! Du liquide lave-glace à base d’ammoniac L’ammoniac est un produit assez fort. Entre autres vertus, il est également connu pour être un antigel puissant. Pour profiter de ces propriétés, mélangez-le avec de l’eau de trois fois son volume. En d’autres termes, si vous avez 3 litres d’eau, ajoutez-y un litre d’ammoniac. Et vous avez votre liquide lave-glace spécial hiver. Si vous ne trouvez pas de l’ammoniaque, vous pouvez vous rabattre sur le vinaigre blanc, car il a les mêmes propriétés. Seulement, vous devez mélanger le même volume d’eau et de vinaigre si vous voulez un liquide lave-glace bien efficace.
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Si vous n'avez pas les moyens de financer de gros achats, le crédit est particulièrement pratique. Il permet d’acquérir un bien d’une grande valeur, sans forcément dépenser une fortune d’un coup comme une voiture, une maison, ou même un terrain, plus la construction d’une maison. Si bien qu’on a facilement tendance à avoir recours à cette solution. Notez cependant qu’accumuler trop de crédits peut être financièrement dangereux. Lorsqu’on ne fait pas attention, on peut se retrouver avec plusieurs mensualités à payer. Une fois additionné, elles peuvent nous plonger dans l’endettement et diminuer, de manière conséquente, le pouvoir d’achat. Vous avez accumulé trop de crédits ? Vous avez envie de retrouver votre pouvoir d’achat ? Le rachat de crédit auto est une solution. Pourquoi souscrire un rachat de crédit auto ? Le rachat de crédit est une opération bancaire qui consiste à regrouper tous vos crédits en cours (crédit auto, crédit à la consommation, crédit immobilier, etc.) en un seul. Si vous avez accumulé trop de prêts et que vos mensualités ne vous permettent plus de vivre confortablement sur le plan financier, cette opération peut s’avérer être une très bonne solution. Les avantages du rachat de crédits auto L’objectif du rachat de crédit est simple : transformer tous vos crédits en un seul prêt avec de meilleures conditions : Une seule mensualité moins élevée. Au lieu de rembourser plusieurs mensualités par mois, vous vous retrouvez avec une seule mensualité dont la valeur a été révisée. Un seul prêt à taux unique. Au lieu de plusieurs crédits, avec des taux différents, vous aurez un seul prêt avec un nouveau taux, défini lors de la signature du contrat. Une durée de prêt prolongée. Afin d’alléger au maximum votre mensualité, on vous propose un prêt dont la durée a été allongée. L’impact du rachat de crédit auto sur votre vie financière Le regroupement de crédit va vous aider à mieux gérer votre budget, tout en allégeant vos charges mensuelles. En regroupant vos crédits, vous allez donc, pour commencer, diminuer votre taux d’endettement. Et cela va avoir des impacts considérables sur votre vie financière : Vous allez retrouver une sérénité financière. Vous n’aurez plus à gérer plusieurs prêts et mensualités par mois. Et vous n’aurez plus à vous soucier de la somme astronomique que vous devez réunir pour rembourser l’ensemble de vos prêts. Vous allez retrouver votre pouvoir d’achat. Vos charges mensuelles ayant diminué, vous avez de nouveau la possibilité de souffler un peu financièrement. Vous pourrez bénéficier d’une finance substantielle pour démarrer de nouveaux projets, pour faire de nouvelles acquisitions, ou pour financier de gros achats. Comment souscrire un rachat de crédit auto ? Vous voulez regrouper tous vos crédits en un seul pour alléger vos mensualités, pour faire de nouvelles acquisitions ou pour retrouver votre pouvoir d’achat ? Plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez vous adresser à un établissement bancaire, ou vous pouvez faire appel à un établissement spécialisé dans le prêt et le rachat de crédit. Lequel des deux choisir ? C’est là que ça devient intéressant, car vous pouvez faire jouer la concurrence. Il n’y a pas vraiment de différences dans les services qu’on va vous offrir. Au final, vous allez vous retrouver avec un seul prêt, mais avec des conditions plus intéressantes. L’idée est donc de contacter plusieurs organismes, de comparer et de choisir l’offre la plus alléchante. Pour gagner du temps, vous pouvez confier les travaux de recherche et de comparaison à un courtier en rachat de crédit auto. C’est un intermédiaire qui connaît très bien le domaine et qui, en contact avec un réseau de partenaires, peut vous trouver la meilleure offre qui soit.
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On pense rarement à nettoyer les phares de la voiture. Et pourtant, à chaque entretien, cette tâche devrait faire partie des priorités. Car les phares ont un rôle vital : elles assurent une bonne visibilité sur la route. Et quand elles sont sales, que ce soit de l’intérieur ou à l’extérieur, elles ne peuvent plus remplir leur rôle correctement. Résultat : rouler la nuit devient beaucoup plus risqué, et vous devenez un danger aussi bien pour vous que pour les autres. Vos phares sont sales ? Bien sûr, confier le nettoyage de ces dernières à des professionnels peut coûter finalement cher. Si vous voulez faire quelques économies, voici quelques astuces pour nettoyer les phares de la voiture à moindre coût. Quand faut-il nettoyer les phares de sa voiture ? A priori, il faut nettoyer les phares de la voiture quand elles sont sales. Mais avant, il faut également déterminer si elles sont sales de l’extérieur seulement, ou à l’intérieur également. Pour savoir si vos phares sont sales, vous devez faire ce petit test : allumez-les en plein jour et regardez. Si la lumière émise est terne et opaque, cela signifie que les phares ont besoin d’être nettoyées. Et ce, soit parce que l’humidité s’est infiltrée à l’intérieur, soit parce que l’extérieur a été dégradé par l’usure et/ou les agressions externes telles que les poussières, les saletés, la boue, etc. Pour être fixé, vous devez juste observer la phare opaque. Normalement, vous pourrez déterminer de visu quelle est l’origine de l’opacité : intérieure ou extérieure. Quelques astuces pour nettoyer les phares de sa voiture à l’extérieur Si vous avez constaté que l’opacité vient d’une usure extérieure, rassurez-vous, le nettoyage sera facile. Et vous n’aurez même pas besoin d’avoir recours à un professionnel ni à un outil particulier. Il existe plusieurs techniques faciles et à petit prix qui vous permettront d’avoir des phares qui brillent comme neuves. Nettoyer les phares de sa voiture avec une pâte de dentifrice Eh oui ! C’est une pratique très répandue et qui a toujours fait ses preuves. Le dentifrice a effectivement des propriétés abrasives particulièrement puissantes. On l’utilise souvent pour enlever les taches jaunes, mais aussi pour redonner de la brillance. Vous pourrez faire des merveilles avec ! Comment vous y prendre ? C’est très simple. Etalez la pâte directement sur le phare en utilisant vos mains et laissez agir pendant quelques minutes. Munissez-vous par la suite d’un chiffon et frottez la surface à sec. Vous pourriez aussi utiliser une brosse à dent pour un meilleur résultat. Pour terminer, rincez avec de l’eau et séchez le phare avec un chiffon. Nettoyer les phares de sa voiture avec un spray anti-moustiques Vous pouvez aussi nettoyer les phares de votre voiture avec un spray anti-moustiques. Ce dernier est également un abrasif puissant. Et il peut venir à bout de toutes saletés qui sont venues s’incruster sur les phares. Comment l’utiliser ? Prenez un chiffon, pulvérisez du spray dessus et frottez ensuite les phares avec. Quand vous aurez fini, rincez avec de l’eau et séchez aussi avec un chiffon sec. Astuces pour nettoyer les phares de sa voiture avec du bicarbonate de soude Si vous avez du bicarbonate de soude chez vous, vous pouvez également l’utiliser. Le bicarbonate de soude est effectivement connu pour ses vertus nettoyantes, abrasives et blanchissantes. Bien qu’on l’utilise souvent pour se blanchir les dents, il s’avère également efficace pour nettoyer les phares. Comment l’utiliser ? C’est facile. Prenez une éponge, humidifiez-la et imbibez-la de bicarbonate de soude. Utilisez-la ensuite pour frotter les phares, et ce, jusqu’à ce que les traces de jaunes et de saletés disparaissent. Pour terminer, rincez le phare avec de l’eau et séchez à l’aide d’un chiffon sec. Pour plus d’efficacité, vous pouvez mélanger à votre bicarbonate de soude, une même quantité de vinaigre blanc et de savon liquide. Astuces pour nettoyer les phares de sa voiture de l’intérieur Si la lumière est toujours terne alors que vous aviez nettoyé l’extérieur de vos phares, alors le problème vient de l’intérieur. La plupart du temps, l’opacité est le résultat de l’infiltration d’eau et/ou d’humidité dans le bloc optique. Pour régler le problème, vous devez donc procéder au séchage. Et pour cela malheureusement, il n’y a pas 36 solutions. Vous devez procéder au démontage afin de dégager l’optique du phare. Cette chose faite, vérifiez d’abord qu’il n’y a pas de l’eau dans le bloc. Dans quel cas, il est possible qu’il y ait également une fissure quelque part. Il faudra, dans ce genre de situation, faire appel à des spécialistes pour la réparation. Dans le cas contraire, s’il n’y a pas d’eau et donc pas de fissure, prenez un sèche-cheveux et séchez tout simplement l’intérieur du bloc et le problème devrait être réglé.
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Réparer soi-même une bosse sur la carrosserie de sa voiture
Eveline Luca a posté un article dans Articles Auto
Déformations de la carrosserie survenant souvent de manière involontaire, les bosses de voitures sont désagréables à voir sur les automobiles. Elles sont également des causes de dépenses financières qui sont parfois onéreuses. Heureusement, il existe certains moyens simples permettant de réparer soi-même une bosse sur la carrosserie de sa voiture. Quels sont ces moyens ? Comment les mettre en application ? Nous vous disons tout dans le présent article. La méthode semi-professionnelle Il existe sur le marché un kit de débosselage permettant de réparer en amateur les bosses sur les voitures. Bien qu’étant un peu onéreux, il est vivement conseillé car il est d’une grande efficacité. Le kit est composé d’un pistolet avec des bâtons de colle, un pont de redressage, un solvant, deux embouts et un outil de finition. Son utilisation est relativement simple. Appliquer la colle A l’aide du pistolet et ses bâtons de colle, collez un ou plusieurs cylindres sur ou autour de la bosse. Vous devez utiliser une bonne colle, qui ne laisse pas d’autres traces sur le véhicule et qui se dissout facilement. Réparer la bosse Une fois la colle appliquée, laissez sécher et tirez à l’aide de la molette pour faire revenir la tôle à son état initial. Répétez l’opération autant de fois pour obtenir les résultats escomptés. Une fois l’opération terminée, retirez l’excès de colle à l’aide du solvant contenu dans le kit. Il est également conseillé d’avoir de l’eau chaude à proximité afin d’éviter d’endommager la peinture de la voiture. Il est en effet nécessaire de faire attention à la peinture lorsqu’on décide de réparer soi-même une bosse sur la carrosserie de sa voiture. La méthode de la ventouse La méthode de la ventouse est la plus pratiquée et est d’ailleurs la plus simple. Sa mise en œuvre nécessite certaines précautions afin d’avoir un résultat acceptable. Avant tout, nettoyez la ventouse avant de la placer et mettez un lubrifiant sur les bords en contact avec la carrosserie. Le résultat pour cette méthode dépend de la taille de la bosse. Les bosses de grandes tailles Les ventouses des toilettes correspondent en général aux bosses de grandes tailles. Pour cela, il est nécessaire de chercher une ventouse de taille correspondante à la bosse. Traitez dans un premier temps la bosse à l’eau chaude, installez la ventouse avec précaution sur la bosse, puis tirez fort. Cette méthode est efficace pour réparer les bosses larges et profondes. Les bosses de petites tailles Pour les bosses de petites tailles, il faut utiliser une ventouse de petite taille. Vous pouvez opter pour les ventouses d’un support de smartphone par exemple. Le processus est le même, mais vous pouvez être obligé de reprendre l’action à plusieurs reprises avant d’atteindre le résultat escompté. La méthode du sèche-cheveux Adaptée pour les bosses souples, la méthode du sèche-cheveux consiste à chauffer le métal de votre carrosserie à l’aide d’un sèche-cheveux et de le refroidir automatiquement. Pour ce faire, vous aurez besoin d’un séchoir à cheveux, d’un outil de démontage du panneau intérieur, d’un marteau en caoutchouc et d’une barre en plastique. Démonter le panneau intérieur et le chauffage de la bosse Utilisez l’outil de démontage du panneau intérieur afin de soulever les bords et bouton du panneau. Une fois le panneau intérieur de votre voiture entièrement démonté, chauffez à présent le métal de la bosse jusqu’à la température la plus élevée possible à l’aide de votre sèche-cheveux. Ce chauffage est faisable de l’intérieur lorsqu’il n’existe pas de composants en plastique dans les parages. Refroidissement du métal Le métal chauffé doit être refroidi aussitôt à l’aide du marteau en caoutchouc. Utilisez-le pour frapper doucement les bords de la bosse. Vous pouvez également utiliser un rondin ou une barre en plastique pour refroidir le métal. Un spray à air comprimé fera aussi l’affaire. Après une répétition de l’opération, vous verrez la bosse s’aplatir d’elle-même. La méthode du bouchage de la peinture Le bouchage de la peinture est une astuce de réparation de carrosserie très avantageuse. Il consiste à reconstituer la carrosserie et à la peindre. Cette méthode prend certes plus de temps, mais elle vous aidera à faire de l’économie. Elle se résume en trois étapes : poncer, boucher et la finition. Poncer la bosse Prenez le soin de nettoyer la zone à traiter avec un dégraissant. Ce préalable est nécessaire si vous souhaitez obtenir des résultats satisfaisants. Poncez ensuite la zone pour éliminer les anciennes traces de peinture, les rouilles éventuelles. Si la peinture est fortement rouillée, il est recommandé d’effectuer un traitement antirouille. Lorsqu’il existe des zones plastiques dans l’entourage, protégez-les à l’aide d’un ruban de masquage. Boucher la bosse Il s’agit à cette étape d’aplanir la bosse. Elle consiste à mettre en place un non-tissé en fibre de verre découpé selon vos convenances. Posez ensuite le mastic de rebouchage fibre de verre, avec un durcisseur. Après avoir posé le mastic de rebouchage, posez le mastic polyester. Le mastic polyester a l’avantage de combler les enfoncements dans la carrosserie et de redonner à la tôle sa forme initiale. Il est par ailleurs important de choisir la bonne couleur de mastic. En effet, elle doit être en conformité avec la couleur de peinture à appliquer au cours des travaux de finition. Le mastic avec des couleurs neutres telles que le gris et le brun peuvent être utilisées quelle que soit la couleur de peinture à appliquer. Le mastic blanc ou clair est réputé pour rendre plus éclatante la peinture que vous appliquez lors de la finition. Quant aux mastics noirs et brillants, ils sont adéquats pour les peintures chrome ou or. La finition La finition consiste à remparer la bosse aplanie. C’est le moment de finir le travail. Pour cela, utilisez le mastic. Ce mastic sert à parfaire la finition. Après l’avoir placé, poncez la zone avec du papier abrasif sec et nettoyez-la avec un dégraissant. Une fois la bosse réparée, il faut repeindre la zone avec la peinture en bombe de préférence afin de redonner à cette zone de la voiture son éclat. Appliquez ces différentes astuces pour réparer vous-même les bosses sur la carrosserie de votre voiture. Toutefois, si la bosse est très grande ou exagérée, il est préférable de faire appel à un professionnel. -
Trouver des pièces détachées pour réparer sa voiture
Eveline Luca a posté un article dans Articles Auto
Souvent utilisées comme pièces de rechange, les pièces détachées des voitures sont des pièces neuves ou semi neuves auxquelles l’on fait recours lorsqu’on veut remplacer les pièces défectueuses d’une voiture. En fonction de l'importance de la pièce, l'achat ne doit pas se faire au hasard. Quelles pièces détachées faut-il prendre l’habitude d’acheter ? Comment choisir les pièces compatibles avec sa voiture ? Où trouver ces pièces ? Afin de mieux vous orienter et de vous aider à trouver les pièces détachées convenant à votre voiture, découvrez dans cet article, quelques conseils et astuces utiles et pratiques. Pièces auto : faut-il les acheter neuves ou d'occasion ? Le véritable dilemme auquel l’on fait face lorsqu’il est question d’acheter des pièces détachées est de savoir s’il faut opter pour les neuves ou les occasionnelles. En tant que particulier, il peut être compliqué de savoir quelles pièces auto il est recommandé d'acheter en neuf ou d'occasion. Il est évident que chacune de ces options présente des avantages et des inconvénients. Nous vous proposons une comparaison des pièces détachées neuves et d’occasion. Avantages et inconvénients des pièces auto neuves Il est plus sécurisant d’opter pour des pièces auto neuves. Non seulement, leur durée de vie est plus longue, mais elles sont également garanties sur plusieurs mois. Vous avez ainsi la sécurité de bénéficier d'un échange à neuf en cas de défaut par exemple à condition de n'avoir pas abîmé la pièce vous-même lors de son montage. Les pièces neuves sont réputées plus fiables. Sachant que la qualité des pièces d’un véhicule impacte énormément sa durée de vie, on peut conclure qu’avec les pièces neuves votre automobile pourra tenir plus longtemps. Aussi, vous pourrez plus facilement trouver une référence précise en vous parcourant le catalogue de vendeurs spécialisés en pièces auto neuves. Voici quelques conseils pour y voir plus clair et vous aider à faire votre choix : Si vous devez remplacer une pièce mécanique qui s'use avec le temps, il est important de partir sur un échange à neuf. La réparation sera d'autant plus durable. C'est le cas notamment des disques et freins de la voiture. Si la pièce à remplacer est un élément de carrosserie, comme un rétroviseur, un pare-chose, une aile ou un phare, vous pouvez opter pour le remplacement par une pièce d'occasion. En effet, le remplacement n'est pas imposé par une panne ou un défaut de la pièce mais très souvent par un accident par exemple. Voici une liste de pièces détachées à savoir entretenir pour prendre soin de votre voiture. L’inconvénient majeur des pièces auto neuves est leur coût relativement élevé. Ces pièces peuvent coûter deux fois plus cher que les pièces d’occasion. Elles ne sont donc pas forcément accessibles à tous les budgets. De plus, certaines situations peuvent également impacter votre décision : réparation avant la revente d'un véhicule on son contrôle technique par exemple. Avantages et inconvénients des pièces auto d'occasion L’avantage principal des pièces auto d’occasion est leur accessibilité. Elles sont disponibles à un coût largement plus raisonnable que celui des pièces neuves. De plus, les pièces auto d’occasion sont faciles à trouver à condition de bien s'y prendre. Il existe un large éventail de fournisseurs de pièces auto d’occasion en plus des particuliers. Vous pouvez parcourir les pièces disponibles dans les casses automobiles directement en ligne aujourd'hui, ce qui permet de trouver les pièces en un clic la référence recherchée pour votre voiture. L’état de ces pièces ne fait pas de doute. Elles ont été pour la plupart utilisées pour une courte durée avant d’être mises en vente mais vous n'avez aucune garantie sur leur bon fonctionnement. C'est pour cette raison qu'on parle alors de pièces "vendues en l'état". Dans le cas d'un fournisseur professionnel de pièces d'occasion pour les voitures, ce dernier ne prend pas le risque de proposer à ses clients des pièces de mauvais état. Il procède à une vérification visuelle avant la mise en vente. L’inconvénient des pièces auto d’occasion est leur durée de vie relativement courte. Elles ne sont pas garanties en général même si certains vendeurs acceptent un retour en cas de problème. Vous devriez donc les changer fréquemment à tel point que la somme des prix des pièces changées avoisinera le prix d’une pièce auto neuve. Conseils pour choisir des pièces compatibles avec sa voiture À présent que vous connaissez les avantages et les inconvénients de chacune des options de pièces auto, il est important de choisir les pièces détachées compatibles avec sa voiture. Dans le cas contraire, vous risquez de commencer les réparations mais de ne pas pouvoir terminer l'opération. À cet effet, nous vous donnons quelques conseils pour effectuer le bon choix de pièce auto pour le modèle précis de votre véhicule. Parcourir le manuel ou la notice d'utilisation de votre voiture Le manuel ou la notice d’utilisation de la voiture mentionne en général les références des pièces qui y sont compatibles. Prenez donc le temps de le parcourir et de choisir les pièces adéquates selon les références pré-listées. Se référer aux informations du fabricant Les fabricants de certaines pièces auto prennent le soin de mentionner les voitures et motorisations avec lesquelles elles sont compatibles. Il suffit donc de prendre en compte les informations fournies par le fabricant pour choisir la pièce détachée compatible à votre voiture. Utiliser le numéro d'immatriculation ou le modèle de votre voiture Si l’achat de votre pièce détachée se fait en ligne, vous pouvez recourir à certains sites qui proposent d’afficher uniquement les pièces compatibles avec votre voiture. Vous n’avez qu’à renseigner le numéro d’immatriculation afin qu’ils aient accès aux modèles concernés. Ils disposent également d’une sélection du modèle et de la motorisation. Vous pouvez donc renseigner le modèle de votre voiture. Ces sites disposent par ailleurs de mécaniciens professionnels qui vous conseillent avant l’achat de la pièce. Trouver la référence directement sur la pièce auto Si aucune de ces astuces n’arrive à vous donner satisfaction, vous pouvez rechercher directement sur la pièce la référence permettant de trouver celle qui est compatible avec votre voiture. Il existe en effet sur certaines pièces telles que les phares, les filtres, des références permettant de retrouver facilement la pièce sans se tromper. Où trouver des pièces détachées pour votre voiture ? Plusieurs options s’offrent à vous pour trouver la boutique idéale pour l’achat de votre pièce détachée. En plus de l'achat auprès de particuliers comme vous via eBay ou Leboncoin, vous pouvez commander les pièces sur les nombreux sites marchands existants de nos jours ou les commander directement auprès du concessionnaire. Il est également possible de trouver des pièces d’occasion dans les structures de casse auto. Commander des pièces au meilleur prix sur des sites marchands spécialisés Internet est devenu un endroit de commerce général notamment pour les pièces détachées. Il existe de nombreux sites qui commercialisent des pièces détachées neuves à des prix accessibles. À titre d'exemple, carpardoo dispose d'un large choix de pièces auto à petit prix. Vous pouvez ainsi facilement trouver vos pièces auto neuves au meilleur prix. Ces sites proposent d’ailleurs des pièces de qualité irréprochable. Lesdites pièces sont vendues avec des garanties. De plus, l’utilisation de ces sites est très pratique et vous serez en possession de vos pièces détachées en un temps record grâce aux services de livraison super performants. Commander des pièces détachées directement auprès du concessionnaire Pour plus de sécurité, vous pouvez acheter les pièces détachées directement auprès du concessionnaire de la voiture, c’est-à-dire auprès de la maison ayant fabriqué la voiture. Ces grands constructeurs automobiles disposent des sous-traitants qui commercialisent les pièces détachées sur le territoire français. Toutefois, les pièces sont plus onéreuses auprès du concessionnaire. Il est connu que les garages et concessionnaires pratiquent des prix très élevés concernant les pièces auto. Trouver des pièces d'occasion en casse auto C’est l’option la moins onéreuse puisqu’il s’agit des pièces détachées auto d'occasion. Non seulement les prix sont bas, mais ils sont également négociables auprès du gérant de la casse. Si vous êtes bon négociateur, c'est l'occasion de réparer vous-même votre voiture à moindres frais. Vous pouvez trouver en casse auto des pièces qui ne sont plus produites, qui ne sont plus disponibles sur le marché ou dont la commercialisation est confidentielle. Cependant, la durée de vie des pièces achetées est rarement garantie. Accessoires dont l’utilité n’est plus à démontrer, les pièces détachées neuves ou d’occasion sont à choisir de façon très rigoureuse car la performance de la voiture en dépend grandement. Pour ce faire, il faut tenir compte des différentes astuces citées dans le présent article afin de choisir la pièce détachée la plus adaptée à sa voiture et s’en procurer dans un magasin de son choix. -
Pourquoi et quand changer son filtre d’habitacle ?
Eveline Luca a posté un article dans Articles Auto
Il est nécessaire de changer son filtre d’habitacle de temps en temps. L’air à l’intérieur de l’habitacle ne peut effectivement pas vraiment circuler. Il ne peut donc pas vraiment être renouvelé. Résultat : il est six fois plus pollué que l’air à l’extérieur. Et peut Le filtre de l’habitacle joue alors un rôle essentiel, car c’est lui qui assainit et purifie l’air à l’intérieur de la voiture. Découvrez pourquoi et quand changer son filtre d’habitacle. Qu’est-ce que le filtre d’habitacle ? A quoi ça sert ? Le filtre habitacle est un filtre en papier que l’on trouve dans le système de ventilation et de chauffage. Également appelé “filtre à pollen”, il a pour rôle de s’assurer que l’air qui circule dans l’habitacle soit sain et respirable. Comment ? Concrètement, le filtre d’habitacle va endosser le rôle de barrière. Il va empêcher le passage de tout ce qui peut polluer l’air à l’intérieur de la voiture. Il s’agit notamment : Des particules fines qui peuvent s’incruster dans l’habitacle et provoquer des allergies : poussières, pollens, germes, etc. Des particules polluantes pouvant provenir de l’extérieur, mais également de la combustion du moteur. Des gaz produits par l’échappement de votre véhicule, ou par celui des autres. Pourquoi changer le filtre d’habitacle ? Le filtre d’habitacle retient un très grand nombre de particules et de saletés. Au fil du temps, ces derniers vont l’encrasser et l’user. Résultat : le filtre ne va plus remplir son rôle efficacement. Pire, il peut se retrouver boucher. Il ne va donc plus empêcher les saletés et les particules fines d’entrer dans l’habitacle. C’est carrément l’air venant de l’extérieur qu’il va bloquer. Cela va avoir plusieurs conséquences : vous aurez du mal à désembuer le pare-brise, vous ne pourrez plus utiliser le chauffage et la climatisation, et il ne vous sera plus possible de vous débarrasser des mauvaises odeurs. A la longue, une obstruction du filtre d’habitacle peut également entraîner une rupture du circuit de ventilation. C’est un dommage grave qui coûte extrêmement cher en réparation. La meilleure manière de prévenir tous ces problèmes est de changer régulièrement le filtre d’habitacle. Quand changer son filtre d’habitacle ? Vous devez obligatoirement changer le filtre d’habitacle lorsqu’il montre des signes de défaillance. Il est, toutefois, recommandé de ne pas attendre qu’il s’encrasse pour intervenir. Changer son filtre d’habitacle : quels sont les signes d’encrassement ? Il n’est pas difficile de déceler les signes d’usure du filtre d’habitacle. Dans la mesure où vous conduisez tous les jours, s’il y a le moindre changement, vous le remarquerez. Le filtre doit notamment être changé lorsqu’il se montre moins performant, c'est-à-dire lorsqu’il ne remplit plus correctement son rôle. Cela peut se manifester par une persistance des mauvaises odeurs dans l’habitacle. Cela signifie généralement que le filtre est obstrué. Mais on peut également remarquer un prolongement du temps de désembuage. Ce qui signifie généralement que le filtre commence vraiment à s’encrasser. Le bon moment pour changer son filtre d’habitacle Vous n’êtes pas obligé d’attendre des signes d’usure pour remplacer votre filtre d’habitacle. En règle générale, il est nécessaire de le changer tous les 15 000 km environ. Mais pour en être certain, référez-vous toujours aux préconisations du carnet d’entretien de votre voiture. Sinon, vous pouvez également vous référer à l’état du filtre lui-même. Examinez-le et si vous trouvez qu’il est particulièrement sale, changez-le. Vous pouvez, pour cela, utiliser comme référence un modèle neuf. En règle générale, si la différence est flagrante, c’est qu’il est grand temps de procéder à un remplacement. -
Choisir le véhicule adapté à ses besoins n’est pas une mince affaire. Il s’agit d’une opération délicate que l’on doit mener en prenant en compte un certain nombre de paramètres. Savoir d’avance qu’on roulera très peu sa voiture est déjà un bon départ. Mais cela ne suffit pas pour être fixé définitivement sur son choix. Quel modèle de voiture choisir si on fait de petits trajets ? Quel moteur prendre si on roule peu ? Quelles sont les questions à se poser ? D’autres critères aident aussi à opérer un choix optimal. Découvrez-les dans cet article. Quel type de moteur doit-on préférer quand on roule peu ? S’interroger sur le type de moteur de sa future voiture est la première chose à faire quand on sait qu’on sera un petit rouleur. Par ailleurs, choisir son type de moteur revient à définir le type de carburant auquel il fonctionnera. Autrement dit, pour quoi opter entre un moteur à diesel, un moteur à essence, et un moteur électrique ? Peut-on opter pour un moteur à diesel ? Il y a une chose qu’il faut savoir d’entrée sur les voitures équipées d’un moteur à diesel. C’est que quand elles ne sont pas utilisées régulièrement, et pour parcourir de longues distances, elles ne tardent pas à s’encrasser. En plus, leur entretien est relativement coûteux et difficile à effectuer. Se procurer une voiture dotée d’un moteur fonctionnant au diesel n’est donc clairement pas une bonne idée si l’on sait qu’on aura à peu rouler avec. Et c’est sans compter les mesures sévères appliquées sur ce type de voiture. Leur utilisation est en effet trop contraignante pour un petit rouleur. Pourquoi porter son choix sur un moteur à essence ? Quand on parcourt très peu de kilomètres ou quand on est sûr d’en faire moins que la moyenne, choisir un moteur à essence est toujours profitable. Mais pourquoi ? Pour la simple et bonne raison qu’avec un moteur à l’essence on fait toujours des économies de carburant en zone urbaine. Et c’est pareil quand on roule en dehors de la ville sur de petits trajets. Il faut également noter le fait que le coût de l’essence est relativement proche de celui du diesel. Par conséquent, même avec un budget carburant mensuel assez limité, on peut assurer son approvisionnement en essence sans grande difficulté. Mais ce n’est pas tout. L’entretien des véhicules équipés d’un moteur à essence n’essouffle pas trop financièrement. Il est à la portée des petits budgets « auto ». Sinon, il s’offre à soi une troisième option, celle des véhicules électriques. Un moteur électrique pourrait-il aussi faire l’affaire ? La voiture à moteur électrique est réputée pour son caractère économe. Rechargeable en trois ou cinq heures environ chez soi ou à l’extérieur, cette voiture s’avère très pratique pour tous ceux et celles qui parcourent peu de kilomètres par jour. Elle ne pollue pas et nécessite encore moins d’entretien que la voiture à essence. Avant de se procurer une voiture électrique, il est bon de se renseigner sur les coûts de la location de la batterie. Autrement, il est possible d’envisager une voiture hybride. Elle est tout autant économique et se recharge plus aisément. Toutefois, avant d’être fixé, il faut étudier également les autres paramètres. Quelle catégorie de véhicule doit-on choisir ? Ici, on doit passer en revue deux points primordiaux qui permettent de déterminer la catégorie de véhicule adaptée à ses besoins. Et pour ce faire, on doit d’une part se décider entre une voiture neuve et une d’occasion. Puis d’autre part, penser à sa carrosserie. Une voiture neuve ou une voiture d’occasion ? Il n’est pas rare qu’on tergiverse à porter son choix sur l’une ou l’autre de ces deux catégories de véhicule. Dans ces cas-là, il vaut mieux se référer au budget prévu à cet effet. Car ce dernier est souvent déterminant. Certes il détermine nos possibilités mais c’est comme ça qu’il facilite notre choix de véhicule. Cela va sans dire qu’un véhicule neuf coûte beaucoup plus cher qu’un véhicule d’occasion. Quand on ne compte pas faire de longs trajets avec sa voiture, il est inutile d’investir dans un véhicule dernier cri. Les citadines, les compactes ou les cross-over feront largement l’affaire. Reste maintenant à savoir si l’on a les moyens de se les offrir en neuve. Les voitures d’occasion sont là pour nous éviter de recourir à notre tirelire en raison de leur coût moindre. Et ce détail compte davantage lorsqu’on s’en va choisir la carrosserie de son véhicule. Vers quelle carrosserie doit-on s’orienter ? Ce qu’il faut savoir tout de suite, c’est que plus le véhicule sera spacieux plus il coûtera cher. Et ceci même s’il s’agit d’un véhicule d’occasion. L’espace compte beaucoup particulièrement quand on a des enfants scolarisés. Il faudra alors opérer son choix en tenant compte de ce détail qui semble insignifiant mais qui est important. Il est tout à fait possible de se procurer un modèle de véhicule pouvant accueillir jusqu’à sept passagers quand bien même on dispose d’un pouvoir d’achat faible. Mais au-delà de tout, il ne faut jamais minimiser les contraintes liées à l’assurance. Est-ce le bon moment pour penser à l’assurance ? Le choix de l’assurance est la dernière étape dans le processus d’achat de sa voiture. Et cette étape ne doit pas être prise à la légère, surtout pas par ceux qui disposent d’un budget auto limité. A ce niveau, il est primordial de tenir compte de deux éléments majeurs : son budget et son futur kilométrage. Encore une question de budget ? Le modèle de voiture retenu influence inévitablement la prime d’assurance. Plus le moteur est puissant et plus élevées sont les frais. Puisqu’on ne fera pas de longues distances, il serait judicieux d’opter pour un moteur peu ou pas puissant. Dans le cas contraire, il faut se préparer à optimiser son budget. Le plus important c’est de ne pas dépasser ses capacités financières. Quel est le trajet envisagé avec votre véhicule ? Les compagnies d’assurance ont mis sur pied des offres spéciales pour les petits rouleurs. Quand on roule peu, souscrire à une assurance auto au kilomètre est une formidable idée. Elle permet de réduire jusqu’à 30 % les cotisations mensuelles. La seule contrainte sera de rester dans une fourchette de kilométrage déterminée à l’avance par l’assureur. En somme, choisir sa voiture quand on sait qu’on doit rouler peu n’est pas une tâche facile. Elle est fonction de plusieurs facteurs, dont le plus important est le carburant permettant au véhicule de rouler, mais surtout le budget de l’acheteur.
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Se retrouver au volant d’une voiture est une tâche qui exige beaucoup d’attention et de concentration. Des facultés qui sont annihilées lorsque vous êtes en état d’ébriété ou de fatigue. C’est d’ailleurs pourquoi il est fortement déconseillé de prendre le volant d’une voiture lorsque vous êtes dans l’un de ces deux états. Spécifiquement notre article sera consacré à l’état de fatigue au volant qui est l’une des principales causes d’accidents sur les routes en France. Quels sont les risques liés à la conduite d’une voiture en état de fatigue ? Quels conseils pouvons-nous apporter pour éviter la fatigue au volant ? Dans notre article, nous expliquons de manière explicite à quel point il est dangereux de conduire en étant fatigué et nous prodiguons quelques conseils pour éviter cela. Les facteurs amplificateurs et signes de fatigue au volant Lorsque vous êtes un conducteur, conduire fatigué multiplie par 8 le risque que vous ayez un accident de circulation. Éviter une telle déconvenue due à la fatigue au volant passe par la connaissance des signes d’alerte de fatigue au volant. Mais avant il faut aussi savoir que certains facteurs amplifient les risques de fatigue au volant. Vous l’ignorez peut-être mais certaines actions que vous posez renforcent votre fatigue au volant. Ces facteurs amplificateurs de fatigue au volant sont entre autres : la consommation d’alcool, l’accumulation du manque de sommeil, l’utilisation du régulateur de vitesse, les repas trop lourds, les trajets ennuyeux, la température trop élevée ou trop basse qu’il y’a dans la voiture, etc. Ces facteurs semblent bénins mais y veiller vous aidera à rester éveillé pendant la conduite d’une voiture. Ces facteurs amplificateurs engendrent certains signes de fatigue au volant. Les signes de fatigue au volant Selon une étude de MMA-IFOP réalisée en 2017, 64% des conducteurs de voiture reconnaissent avoir déjà connu des situations de fatigue au volant. Les signes ci-après vous permettent de savoir quand la fatigue est entrain de gagner votre corps. Il s’agit de : fourmillement des jambes, d’importantes difficultés de concentration, de répétitifs bâillements, des hallucinations, raideur dans le dos et dans la nuque, le picotement des yeux, des besoins persistants de changer de position, des pertes de mémoire, etc. Une fois que vous commencez à ressentir un de ces signes de fatigue, votre réaction doit être spontanée parce que les conséquences derrière sont assez dangereuses. Les risques de fatigue au volant Si vous ressentez des signes de fatigue au volant vous devez impérativement faire stop, sinon vous êtes exposé à des risques énormes et parfois mortels. Le principal risque que vous courrez lorsque vous êtes en état de fatigue au volant est de faire un accident de circulation. Un accident mortel sur trois a pour cause la fatigue au volant. Les heures de conduite où les risques de fatigue sont les plus élevés entre 13 h et 15 h dans l’après-midi et entre 00 h et 06 h dans la nuit. Conduire en état de fatigue présente de petits comme de gros risques. Les petits risques de fatigue au volant Un conducteur fatigué court quelques risques qui ne sont pas forcément les plus dangereux mais qui restent quand-même importants à connaître. Parmi ceux-ci, nous pouvons citer : la dégradation de la vigilance et de l’attention, l’augmentation du temps de prise de décisions et de réaction, le rétrécissement du champ visuel et l’apparition d’une viscosité mentale. Ces petits risques n’ont pas toujours des conséquences dramatiques contrairement aux grands risques. Les risques plus importants de fatigue au volant Si les sensibilisations contre la fatigue au volant sont de plus en plus fréquentes c’est parce qu’il s’agit tout simplement de la première cause des accidents sur la route. Les accidents graves sont de grands risques que courent les personnes en état de fatigue au volant. Parfois ces accidents peuvent se limiter à de graves blessures et des dégâts matériels, mais ils peuvent aussi par la même occasion ôter la vie sur le champ ou plus tard lors des soins à l’hôpital. Sans oublier que comme l’on roule rarement seul, l’on a avez souvent entre ses mains les vies des autres passagers du véhicule. Il est donc important de respecter par sagesse et prudence les conseils prodigués et consignes fixées. Conseils à respecter en cas de fatigue au volant Les conseils suivants vous aideront à éviter de prendre le volant lorsque vous êtes fatigué ou à éviter le pire en cas de fatigue au volant. Quand vous tenez à votre propre vie et à celle des personnes que vous conduisez, il est impératif de tenir compte des conseils qui seront donnés. Conseils pour éviter de prendre le volant fatigué Pour ne pas prendre le volant fatigué, il y’a certaines actions à mener et quelques autres à éviter. Primo, respectez un temps de sommeil de 8 heures avant de prendre le volant. En effet, certes nous dormons tous mais nous ne respectons pas forcément les 8 heures de sommeil conseillées, une erreur grave surtout quand on doit conduire ensuite. A titre comparatif, le taux d’alcoolémie de 0,8 g équivaut à 5 à 6 h de sommeil la nuit et moins de 4 h équivaut à 1,2 à 1,5 g du taux d’alcoolémie. Secundo, il faut éviter de prendre des repas lourds avant de vous mettre au volant. Consommez des repas assez légers et si possible contentez-vous d’un simple café ou d’un jus de fruits. Par ailleurs, il faut vraiment éviter de prendre le volant d’une voiture quand on est fatigué, il vaut mieux prendre un taxi ou alors confier la conduite à une personne de lucide et de sobre. Autres conseils à suivre en cas de fatigue au volant Si vous êtes déjà au volant, il existe des règles qui vous aiderons à éloigner la fatigue au volant. En premier lieu, évitez d’effectuer seul les longs trajets. Ainsi, en cas de fatigue, vous pouvez passer le volant à un autre passager. Ensuite, il ne faut pas se mettre dans des positions trop confortables, cela pourrait vous endormir trop facilement. Après, faire des pauses fréquemment quand on voyage sur de longues distances afin de se reposer et de se requinquer avant de reprendre la route. En dehors de tous ces conseils, vous pouvez aussi : rompre la monotonie, éviter la conduite nocturne, faire un bon usage des options de voiture, se servir de lunettes de soleil en journée pour lutter contre les lumières trop agressives. Enfin, les autres méthodes qui marchent sont la conduite avec la musique à fond et les vitres grandes ouvertes, ou alors tout simplement l’arrêt pour dormir.