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F1 - Porsche confirme étudier un engagement en Formule 1 En parallèle de la Formule E 29 juillet 2017 - 11h04, par Olivier Ferret Après ses annonces de cette semaine, Porsche confirme qu’un engagement en Formule 1 fait partie des domaines étudiés pour l’avenir à moyen terme. Le constructeur allemand a fait le choix de la Formule E, comme Mercedes, Audi et BMW pour le futur, délaissant au passage, dès la fin de l’année son engagement en championnat du monde d’Endurance. Le promoteur du Mans, l’Automobile Club de l’Ouest, n’a pas hésité à tacler le caractère abrupt de la décision de Porsche. "L’ACO regrette ce départ précipité, comme la brutalité de cette décision de la part de ce constructeur couronné des plus beaux lauriers de l’Endurance." Mais la firme allemande a été très assidue lors des réunions des motoristes de F1 organisées par la FIA, pour définir le moteur 2021. Le rapport qui sera rendu en septembre pourrait donc motiver Porsche à s’engager. "A côté des séries dans lesquelles nous sommes engagés et notre intense préparation pour la Formule E, Porsche examine en effet d’autres domaines possibles pour son développement," confirme un porte-parole de la marque lorsqu’on lui demande si la F1 est à l’ordre du jour.

Pas choqué. On a le droit d'aimer qui on veut, et surtout de ne pas aimer qui on veut. Je ne supporte plus cette politique actuelle où on veut nous obliger à aimer tout le monde. Moi je déteste plein de gens, et je veux exercer mon, droit de les détester.

Because c'est le sponsor, et faut qu'on le voit.

Le circuit de Mid Ohio. C'est pas mon préféré mais il est intéressant. Ligne droite des stands, virage à gauche à 90°, ligne droite, virage en U, puis encore ligne droite. https://www.facebook.com/indycar/videos/10154711283975848/

Tout est dit. Prost se lamentait pas mal, mais lui il avait le talent.

Il est où le temps où les voitures sportives avaient 2 carburateurs double corps?

Le grand scandale ça a été l'idée de vendre du mazout pour doper les bénéfices. Après tout en decoule.

Encore une présentation de l'Indy 2018, un félin à l'état pur. Et ceci à l'heure où les F1 s'enlaidissent à plaisir. https://franceracing.fr/monoplaces/indycar-series-presente-monoplace-2018/

Si Honda a bien 2 écuries en 2018.

La piste Honda se confirme? https://franceracing.fr/f1/nobuharu-matsushita-test-sauber-hongrie/

Vidéo : Des caméras embarquées dans le casque des pilotes IndyCar en 2018 Par Gaël Angleviel| samedi 22 juillet 2017|A la une en Monoplaces, IndyCar, Monoplaces L’IndyCar Series va adopter une nouveau kit aérodynamique et unique aux écuries pour 2018. Il existera en deux versions, les circuits routiers et les ovalaes. Mais l’IndyCar va aussi introduire de nouvelles caméras pour plus de spectacle en course. Parmi les nouveautés de l’IndyCar en 2018 une augmentation des caméras embarquées est prévue. C’est à l’attention des diffuseurs TV que cette initiative a été prise pour augmenter le spectacle pendant les courses. [size=18]Montez à bord d’une IndyCar [/size]IMS Productions disposera sur chaque voitures des nouvelles caméras sur le museau des monoplaces, ainsi qu’à l’arrière. Elles viendront compléter celles déjà présentes sur les rétroviseurs et en haut de la prise d’air moteur. C’est lors de la prochaine séance d’essais du kit 2018 que l’IndyCar Series et IMSP veulent tester la meilleure position pour ces nouvelles caméras. Le tout étant de trouver le meilleur angle possible pour la vision des téléspectateurs, avant que les panneaux de carrosserie n’entrent en production. Robby Grenne le Président de IMS Productions nous explique ce choix des nouvelles caméras. « Nous les mettrons sur le nez de la monoplace et à l’arrière-plan pour l’an prochain. Alors imaginez-vous au cœur de l’action quand les pilotes se doubleront. Nous allons aussi conserver les caméras latérales des rétroviseurs. » Et Robby Grenne de rajouter. « Nous allons aussi introduire prochainement les caméras HD des casques des pilotes. Cela va prendre un peu de temps à la mise en place, mais l’idée est 2018. Nous voulons que chaque actions de la course soient couvertes par des caméras et non plus seulement sur 5 ou 6 voitures comme aujourd’hui. »

Prost a voulu faire en avance ce que RBR et McLaren font aujourd'hui : devenir une écurie d'usine. On voit bien que les écuries "clientes" n'ont aucune chance aujourd'hui. Prix des moteurs trop lourd. Volonté affichée des motoristes de favoriser à tout pris leur propre écurie. (Et RBR sait très bien que si le châssis Renault devient compétitif il sera d'une façon ou d'une autre favorisé).

L’IndyCar va aussi introduire une protection du cockpit Par Gaël Angleviel| vendredi 21 juillet 2017|A la une en Monoplaces, IndyCar, Monoplaces Mercredi nous apprenions la confirmation que le dispositif Halo serait obligatoire en F1 en 2018. L’IndyCar Series réfléchit aussi à un dispositif de protection du cockpit. Plus que jamais la sécurité est au cœur des préoccupations dans la série phare américaine.L’IndyCar Series est le championnat de monoplaces américain monotype (un seul châssis) dont la sécurité est un enjeu majeur. A l’image de la Formule 1, le championnat IndyCar se veut à la pointe de la modernité. Leur travail sur un système de protection de la tête des pilotes a déjà débuté depuis un an et demi. [size=18]IndyCar, cockpit protégé[/size] C’est Jay Frye le Président de la série IndyCar qui s’exprime sur le sujet. « Nous travaillons sur le dispositif depuis 1 an et demi déjà, nous progressons bien. Nous sommes satisfaits des options que nous avons choisi et nous présenterons quelque chose sur une voiture d’ici à la fin de l’année. »L’IndyCar Series, le championnat aux 106 bougies, n’a pas encore défini de calendrier pour l’introduction de cette protection. Alors que Justin Wilson perdait la vie en août 2015 suite à un projectile qui heurta son casque, l’IndyCar veut opter pour une amélioration des cockpits ouverts.« Nous sommes à l’avant-garde, nous voulons présenter quelque chose au public, une fois que nous serons prêts. Il aura été testé, éprouvé et prêt à être utilisé avant sa présentation au public. Nous avons déjà réalisé des essais en simulateur, la prochaine étape sera de le tester sur le terrain. » l’Indycar améliore le Shield Par rapport aux tests effectués par la Scuderia Ferrari à Silvertone avec le Shield, la version de l’IndyCar se veut plus modeste en taille. L’ouverture du cockpit sera toujours de mise, mais le travail de la vision à travers ce pare-brise corrige le problème rencontré en F1. « Certains des problèmes que l’on a vu en F1 avec la distorsion de la vue, sont des choses que nous connaissons. C’est un point sur lequel nous travaillons, ça ne sera bientôt plus un problème. »En voyant le flot de critiques auprès du Halo en F1, Jay Frye affirme que l’IndyCar a fait de son mieux pour l’intégrer le plus harmonieusement. Alors que les nouveaux kits aérodynamiques arriveront en 2018, l’esthétique reste un critère important.« L’esthétique est quelque chose d’important pour nous. Nous avons effectué des tests à l’autonome dernier, nous avons opté pour les nouveaux kits pour 2018. Les essais de ces kits 2018 auront lieu la semaine prochaine, et cette protection du cockpit fait partie du projet. »

En 25 ans, 20 écuries ont disparu Par Gaël Angleviel| dimanche 26 février 2017|Formule 1, Histo F1 La Formule 1 est une discipline d’excellence dans le domaine de la monoplace. Ainsi son Histoire est jalonnée de tentatives de certaines entreprises ayant cru en leur pérennité au sommet de la discipline reine en sport automobile. Malheureusement, ces 25 dernières années, 20 écuries ont disparu. Si l’on tient compte qu’une génération dure 25 ans, sachez que sur le plateau de F1 actuel qui dénombre 10 écuries, seules 3 d’entre-elles ont survécu aux 25 dernières années. En réalité certains ont tout simplement disparu car elles ont cédé leur nom ou entité à des repreneurs. Parfois le personnel présent a connu toutes les transformations de ces écuries. [size=18]25 ans, 20 écuries F1 Elles ont disparu au cours de ces 25 dernières années… [/size] Team Lotus (1958-1994) : son fondateur est Colin Chapman, le palmarès de Team Lotus est des plus brillant. Un total de 606 Grands Prix, 81 victoires, 107 pole positions, 7 fois Champion du Monde Constructeurs (1963, 65, 68, 70, 72, 73 et 78). Elle compte 6 Champions du Monde Pilotes : Jim Clark (1963 et 1965), Graham Hill (1968), Jochen Rindt (1970 à titre posthume), Emerson Fitipaldi (1972) et Mario Andretti (1982). Brabham Racing (1962 – 1992) : Jack Brabham remporta le championnat avec sa propre voiture. Une jalousie imitée plus tard par d’autres pilotes. L’écurie aura été vendue en 1973 à un duo aux noms bien connus de la F1, Gordon Murray et Bernie Ecclestone. Le palmarès est le suivant : 394 Grands Prix, 35 victoires, 39 pole positions. Un seul titre de Champion du Monde Constructeurs en 1967. Il y aura 4 titres pilotes de Champions du Monde avec Brabham. Jack Brabham en 1966, Denny Hulme en 1967, Nelson Piquet en 1981 et 1983. March / Leyton House (1970 – 1993) : Comment s’est formé March ? A sa création, 4 passionnés : Max Mosley, Alan Rees, Graham Cooker et Robin Herd soit MARCH. L’écurie connait divers succès mais aussi mésaventures. En 197 Grands Prix, 3 victoires, 5 pole positions. Le meilleur classement constructeurs est la 3ème place en 1970 et la seconde place en 1971 chez les pilotes avec Ronnie Peterson. Elle aura fait quelques apparitions au début des années 90 sous le nom de Leyton House. Ligier / Prost Grand Prix (1976 – 2001) : Guy Ligier est l’un de ces artisans de la F1 qui aura vécu le sport automobile comme un Art de Vivre. Ses succès et ses défaites sont le reflet d’un vie… En quelques 326 Grands Prix, 9 victoires, 9 pole positions, 9 meilleurs tours en course. Le meilleur classement constructeurs est une seconde place en 1980. Jacques Laffite se classera trois fois 4ème au classement pilotes en 1979, 1980 et 1981. On connait la fin de carrière de l’écurie Ligier rachetée en 1994 par Flavio Briatore dont l’écurie est la dernière détentrice d’une victoire en F1 avec un pilote français, c’était en 1996 à Monaco avec Olivier Panis. En 1997, l’écurie est rachetée par Alain Prost avec des débuts prometteurs, et des désillusions certaines (83 Grands Prix sous les couleurs Prost Grand Prix, 3 podiums). Arrows / Footwork (1978 – 2002) : Arrows est créé par l’ancien pilote Shadow, Jackie Oliver, on y retrouve également Alan Rees (à la base du projet March), le nom ARROWS fait référence aux hommes qui la compose ; Ambrosio, Rees, Oliver, Wass et Southgate. Arrows est l’un de ces écuries construite comme un roman, d’ennuis financiers à judiciaires, le sort et les mauvaises décisions auront beaucoup entravé la bonne marche de l’écurie. L’épisode Ricardo Patrese en est le plus marquant. Des 291 Grands Prix, seule 1 pole position, 8 podiums et 20 saisons en F1 sous le nom de Arrows, et 7 autres sous le nom de Footwork (1991 – 1996). Le meilleur classement constructeurs est une 5ème place en 1988, et une 8ème place la même année pour les pilotes avec Derek Warwick. Coloni (1987 – 1991) : Un italien, Enzo Coloni décide de créé sa structure F1 et se lance dans le grand bain à l’occasion du Grand Prix d’Italie 1987. Ayant engagé un pilote débutant du nom de Nicola Larini, la malheureuse monoplace ne parvint pas à se qualifier. Ils le feront au Grand Prix d’Espagne suivant. Des non pré-qualifications, aux non qualifications, aux abandons des rares courses, Coloni est un calvaire. En 5 saisons, elle aura participé à 13 Grands Prix, dont seulement 4 se solderont par le drapeau à damiers, tous les autres sur abandon. Aucun point d’inscrit pour cette écurie. AGS Racing (1986 – 1991) : 47 Grands Prix disputés lors des saisons 1987 et 1989, le meilleur résultat en course est une 6ème place par 2 fois. Le Grand Prix d’Australie en 1987 avec Roberto Moreno et le Grand Prix de Mexique en 1989 avec Gabriele Tarquini. BMS Scuderia Italie (1988 – 1992) : 78 Grands Prix, 2 podiums avec des 3ème positions, Andrea De Cesaris au Grand Prix du Canada, Montréal en 1989 et JJ. Lehto au Grand Prix de Saint-Marin à Imola en 1991. Osella / Fondmetal F1 (1991 – 1992) : 10 ans de F1 sans succès ont convaincu Enzo Osella de vendre à Gabriele Rumi pour devenir Fondmetal F1. 19 Grands Prix, et une 10ème place pour meilleur résultat par 2 fois au Grand Prix de Belgique 1991 et 1992, d’abord Olivier Grouillard ensuite Eric Van De Poele. Modena Team / Lamborghini (1991) : 6 Grands Prix, aucun point inscrit, le meilleur résultat en course est une 7ème place par Nicola Larini au Grand Prix des États-Unis à Phoenix en 1991. Larrousse F1 (1993 – 1994) : 32 Grands Prix, 5 points au palmarès, meilleur résultat avec une 5ème place de Philippe Alliot à Saint-Marin en 1993.[size] Elles sont arrivées en F1, elles ont disparu [/size]Simtek (1994 – 1995) : Fondée par Nick Wirth et bien qu’aidée par Jack Brabham cela n’aura pas suffit à couvrir de gloire la petite écurie britannique. Le fils Brabham est désigné pilote, tout comme un débutant : Roland Ratsenberger. La suite tout le monde s’en souvient, le malheureux se tue aux essais du Grand Prix de Saint-Marin en 1994. Andrea Montermini qui le remplace en Espagne, connait un grave accident mettant fin à sa saison. Engluée dans les ennuis financiers et malgré une aide partielle de Flavio Briatore et un potention rachat par Volkswagen, c’est courant 1995 que l’écurie disparaît.[size] [/size]Pacific Grand Prix (1994 – 1995) : La saison 1994 aura presque déjà eu raison de la nouvelle écurie Pacific. En cause la réglementation technique qui évolua rapidement pour juguler les vitesses des monoplaces suite aux drames de Imola et Monaco. En proie à un budget modeste, l’équipe aura du mal à faire face. 22 Grands Prix en 2 saisons pour très peu d’arrivées sous le damier. Ayant fait le grand saut de la F3000 à la F1, Bertrand Gachot et Paul Belmondo n’eurent pas beaucoup d’opportunités pour se qualifier, la faute au châssis ou un bloc Ilmor V10 daté de 2 ans déjà. La fin de l’année 1995 signe la fin de l’aventure, l’année suivant l’écurie retournera en F3000. Forti Corse (1995 – 1996) : Les dures lois de la réalité pour Guido Forti qui apprit que la Formule 1 n’était pas de la F3000, même dans les années ’90. Du bricolage d’un châssis de F3000 pour être aligner en F1, Pedro Diniz pour le soutien financier et Roberto Moreno, la paire ne fait pas d’étincelles. En fin de saison, Diniz échouera à la porte des points à Adélaïde en Australie à 4 tours du vainqueur Damin Hill. Pedro Diniz quitte le navire et part avec son sponsor Parmalat, l’écurie désargentée ne finira pas la saison suivante en 1995. Lola (1997) : Le phoenix qui revint en F1 sous l’impulsion de Eric Broadley ! Une conception d’une Formule 1 en 3 mois, ce n’est pas possible. Pour la manche inaugurale à Melbourne en Australie, les pilotes Ricardo Rosset et Vincenzo Sospirini ne se qualifient pas. L’aventure tournera court pour l’écurie Lola qui ne prit ni le départ de la course, ni la continuité du championnat. Fin de l’aventure F1. Toyota (2002 – 2009) : Le géant nippon de l’automobile fait une entrée en grande pompe dans le monde de la F1 avec un gros budget. Mais cela ne fait pas tout en F1, la firme promet à chaque nouvelle saison un exercice des plus prometteurs. Tout cela tarde à arriver jusqu’à l’année 2005 où Jarno Trulli et Ralf Schumacher sont en position de se battre pour la troisième place de Ferrari. Des podiums, 13 au total, 3 pole positions, 3 meilleurs tours en course mais la victoire leur échappe. Le meilleur résultat en course reste des secondes places au nombre de 5. L’ultimatum est lancé aux pilotes Timo Glock et Jarno Trulli mais la saison 2009 sera la dernière des Toyota… Super Aguri (2006 – 2008) : L’ancien pilote japonais de Formule 1, Aguri Suzuki se lance dans l’aventure de monter sa propre structure. La volonté de Honda de titulariser Takuma Sato a forcé la formation de cette structure. Si les débuts se font d’un bricolage d’une ancienne monoplace Arrows, les résultats se feront évidement attendre. L’écurie se fait remarquer son son pilote Yoshi Ide destitué de sa licence FIA pour pilotage dangereux. Remplacé au pied levé par Franck Montagny, le miracle n’aura pas lieu. L’année 2007 sera l’occasion pour Takuma Sato d’inscrire quelques points, un coup d’éclat. En revanche l’écurie ne finira pas la saison 2008, faute d’un repreneur. HRT (2010 – 2012) : L’écurie espagnole de Adrian Campos fait partie des nouvelles structures souhaitées par la FIA et introduite en 2010. L’écurie Campos Motorsport a connu le succès en World Series by Nissan avec Marc Gené en 1998. Quelques victoires et quelques années de vaches maigres éloigneront Campos des podiums. Une volonté d’arriver en F1 se concrétisera par l’appel d’offres fait par la FIA, mais à quelques semaines du début du championnat, Campos vend sa structure à José Ramon Carabante. La structure devient Hispania Racing Team. Un châssis Dallara et un moteur Cosworth condamneront HRT aux fonds de grille. Néanmoins des pilotes comme Pedro de la Rosa, Vitantonio Liuzzi, Bruno Senna rouleront pour les couleurs de HRT. Ce sera aussi l’occasion des débuts de Daniel Ricciardo. Aucun point inscrit et un clap de fin en 2012 pour les Espagnols en Formule 1. Lotus F1 Racing / Team Lotus / Caterham F1 Team (2010 – 2014) : Tony Fernandes l’homme d’affaires Malaisien a répondu à l’appel d’offre de la FIA pour compléter le plateau de la F1. Il y fait son entrée avec une écurie tout de vert vêtue nommée Lotus F1 Racing. Elle changera d’entité l’année suivante pour Team Lotus et encore Caterham F1 Team début 2012. Les moteurs Cosworth et les quelques pilotes de pointe installés dans les baquets n’amélioreront pas le palmarès de l’écurie. Heikki Kovalainen, Charles Pic, Jarno Trulli, Vitaly Petrov ou Kamui Kobayashi ne réaliseront pas de miracles. Le parcours se terminera en 2014 pour les Malaisiens. Virgin Racing / Marussia / Manor (2010 – 2016) : La dernière structure intégrée par l’appel d’offres de la FIA avec HRT et Team Lotus fut Virgin Racing. Une monoplace intégralement ...çue sur un logiciel de CFD (logiciel de mécaniques des fluides) elle faisait la part belle à l’innovation. Malheureusement le pari de Richard Branson ne débouchera qu’à une cession de l’écurie aux nouveaux propriétaires russes. Après l’aventure de Midland, Marussia est la seconde écurie russe inscrite au Championnat du Monde de F1. L’écurie connaîtra la gloire avec la fantastique course de l’espoir français Jules Bianchi à Monaco en 2014, puis le drame avec la course du Japon la même année… Sauvée d’une liquidation judiciaire, Manor débute la saison 2016 dans l’optique de lendemains meilleurs, elle fera débuter un jeune français au talent certain : Esteban Ocon. Sous ses 3 entités différentes, un pilote français aura toujours été présent, Charles Pic chez Virgin, Jules Bianchi chez Marussia et enfin Esteban Ocon pour Manor. Ne figurent pas dans cette liste les écuries qui ont changé d’entité et de propriétaire mais qui sont encore présentes en Formule 1 comme : – Tyrrell > BAR > Honda F1 Racing Team > BrawnGP > Mercedes AMG – Toleman > Benetton > Renault F1 Team > Lotus F1 Team > Renault Sport F1 Team – Minardi F1 Team > Scuderia Toro Rosso – Jordan Grand Prix > Midland F1 Racing > Spyker F1 Team > Force India F1 Team – Sauber > BMW.Sauber > Sauber F1 Team – Stewart Ford > Jaguar Racing > Red Bull Racing

Les V8 faisaient 650 ch. Ceux là font au minimum autant.

Trop vieux pour moi. Je ne suis né qu'un mois après! Je sais pas qui est ce pilote.

Ce serait une sacré équipe Hulk et Robert. Si la voiture 2018 est bonne, ils peuvent bien progresser.

Le V8Supercars est bel et bien remplacé par le Supercars. Après Ford cette année, c'est au tour de Holden de passer au V6 bi turbo. Voici les premiers essais filmés, avec Craig Lowndes au volant. Regardez, et écoutez.

Il y a tout de même eu Yuji Idé, le seul pilote à s'être fait retirer sa superlicence en pleine saison. Le seul à ne pas savoir passer la marche arrière, et le seul à ne pas comprendre l'anglais.

Il est concentré le bougre! https://www.facebook.com/McLaren.Racing/videos/10155305138551413/

CQFD

C'est un proto, pas une GT. Et ce n'est pas une LMP2 (qui ont toutes l'unique moteur Gibson) mais une DPI (chassis LMP2 réhabillé et moteur libre).

Joest Racing devient l’écurie d’usine de Mazda Motorsports en IMSA Par Florian Defet| 18 juillet 2017|À la une, WeatherTech SportsCar Championship Voir l'image agrandie Mazda Motorsports a décidé de s’allier avec Joest Racing pour faire perdurer son programme en IMSA WeatherTech SportsCar Championship. Joest Racing sera l’équipe officielle du constructeur et les deux RT24-P DPi seront alignées en 2018 sous la bannière du Mazda Team Joest, dès les prochaines Rolex 24 Heures de Daytona. Il n’est plus utile de présenter le Joest Racing qui est l’une des équipes les plus victorieuses en Endurance, avec notamment 16 victoires aux 24 Heures du Mans et de multiples victoires prestigieuses sur le continent nord-américain telles que les Rolex 24 Heures de Daytona, mais aussi dix victoires aux 12 Heures de Sebring et six à Petit Le Mans. Joest Racing a contribué aux grandes heures d’Audi en étant l’écurie d’usine du constructeur allemand de 1999 jusqu’à l’an dernier. Auparavant, le Joest Racing a décroché plusieurs victoires au Mans avec Porsche mais ce fut également l’équipe d’usine d’Opel en DTM. Rappelons que l’entité a été créé par l’ancien pilote Porsche Reinhold Joest, en 1978. Mazda est le seul constructeur asiatique à avoir gagné au Mans au général, ainsi que 22 victoires de catégorie à Daytona, 13 victoires de catégorie à Sebring, et 11 titres en championnat. Selon les statistiques de l’IMSA, Mazda est le troisième constructeur à posséder le plus de succès en Amérique du Nord dans le sport auto de haut niveau. « Depuis que Mazda a pris part à sa première course en 1964, notre esprit « Never stop challenging » signifie qu’à chaque fois que nous courons, nous nous battons pour les victoires et les championnats, » commente Masahiro Moro, PDG de Mazda Amérique du Nord et directeur exécutif de Mazda Motor Corporation. « La création de Mazda Team Joest nous offre une occasion unique de nous associer à une équipe avant tant de succès avec des prototypes et nous donne les meilleures chances de faire monter Mazda sur la plus haute marche du podium. Je souhaite la à la famille Joest au sein de la famille Mazda, et je suis convaincu qu’ensemble, nous allons écrire beaucoup de pages dans le livre des succès de Mazda. » « Nous sommes très heureux et fiers de cette nouvelle opportunité avec Mazda, » a déclaré Ralf Jüttner, Directeur Général de Joest Racing. « Mazda a une longue histoire en sport automobile, en particulier en Amérique, et a créé une énorme plateforme pour les amateurs de course. Pour nous, c’est non seulement un retour à la compétition américaine, que nous avons toujours appréciée, mais aussi de bonnes nouvelles pour le grand groupe de nos fans japonais, qui nous ont toujours chaleureusement soutenus. » John Doonan, Directeur du programme en sport auto de Mazda Amérique du Nord, reconnait que c’est occasion n’arrive qu’une fois dans une vie. « C’est un moment important dans l’histoire de Mazda Motorsports d’engager notre marque au plus haut niveau avec l’une des meilleures équipes de tous les temps, » a déclaré Doonan. « Ce que M. Joest, Ralf Jüttner et l’ensemble de l’équipe Joest Racing ont accompli ne sera probablement jamais égalé. Nous sommes très heureux de travailler avec eux pour mettre Mazda sur la voie de la victoire et lutter pour d’autre titres à ajouter à l’héritage de Mada et Joest Racing dans les années à venir. » « Je tiens à remercier nos partenaires de longue date SpeedSource Race Engineering et son propriétaire, Sylvain Tremblay, » poursuit Doonan. « Nous avons accompli beaucoup de choses avec cette organisation à tous les niveaux du sport depuis plus de deux décennies. Ils sont un exemple parfait d’une équipe qui s’est développée grâce à notre système : du groupe local, aux projets en GT à Daytona, puis en Prototype. » Mazda Team Joest va bientôt faire rouler une Mazda RT24-P pour préparer la saison prochaine. Multimatic Motorsports, fortement impliqué dans la création du prototype, a pris l’initiative d’affiner et améliorer le châssis et travailler en étroite collaboration avec Joest pendant les essais et les simultations. Les quatre pilotes actuels participeront au développement, mais les équipes pour 2018 ne sont pas encore bouclés.

Pas regardé le GP en direct. Et comme j'ai su que le cali avait gagné, pas regardé du tout. Ça m’intéresse pas de voir son altesse parader. Je dois dire aussi que le tour de France avec cette tête de nœud de Froome, ça me lasse aussi.