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Jaguar lance le Jaguar Heritage Racing Publié dans Rétro > News rétro par Antoine Dufeu Le 14 Mars 2012 4 réactions On a prêté quelques velléités à Jaguar de retour à la compétition, notamment du côté de l’endurance. Mais pour le moment, rien n’a encore été annoncé. Ce qui n’empêche pas le constructeur britannique, propriété de l’indien Tata, de s’intéresser à son glorieux passé sportif et de le mettre à l’honneur. Ainsi la marque anglaise vient-elle d’annoncer le lancement du Jaguar Heritage Racing, un programme qui va permettre à Jaguar de faire son grand retour dans quelques-unes des courses les plus mythiques de l’histoire du sport automobile. Pour la première fois depuis 1956, des Jaguar Type C et Type D « d’usine » viendront de nouveau s’aligner sur des circuits aussi prestigieux que ceux de Goodwood et du Nurburgring. Tout au long de la saison, le Jaguar Heritage Racing prendra également part à plusieurs autres manifestations inscrites au calendrier descourses de voitures historiques. Citons notamment les Mille Miglia, le Concours d’élégance de Pebble Beach, et les différentes manches du Challenge Type E au Royaume-Uni. Le premier événement auquel le team Jaguar Heritage Racing participera sera la rétrospective 2012 des Mille Miglia qui se tiendra au mois de mai prochain. La marque célébrera à cette occasion les 60 ans de la participation à cette course de Sir Stirling Moss et de Norman Dewis (devenu ensuite pilote essayeur en chef de Jaguar) au volant de la première Type C équipée de freins à disque. En août, l'équipe Jaguar Heritage Racing s’associera à une autre compétition, le AVD Nurburgring Oldtimer Grand Prix. Après l’Allemagne, l’équipe prendra la direction du littoral britannique en vue de participer au Goodwood Revival qui aura lieu au mois de septembre prochain. Le programme Jaguar Heritage Racing est géré et piloté par la société JD Classics, implantée à Maldon dans l’Essex. Notez que, tout au long de la saison, les activités du programme Jaguar Heritage Racing seront retransmises dans le monde entier par CNN, le nouveau partenaire média international de Jaguar. En 2012, Jaguar Heritage Racing prendra donc part aux principaux événements suivants : - Mille Miglia (Italie) : 17-20 mai - Nurburgring AVD Oldtimer Grand prix : 10-12 août - Goodwood Revival : 14-16 septembre
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Top 10 des petits signes indiquant que tu ne ferais pas un bon pilote Tu es certain d’avoir ça dans la peau, la conduite c’est ton truc, d’ailleurs tu es imbattable sur GTA sur X-Box. Et pourtant la réalité peut être un peu différente de ce que l’on a en tête.Oui la course automobile, c’est un métier, et visiblement il n’est pas fait pour toi. 1 Tu a été initié à la course automobile avec Mario Kart Et sans la possibilité de balancer des coquilles rouges et des peaux de bananes, tu ne vois pas vraiment comment t’imposer sur un circuit. 2 Tu es malade en voiture Même en train des fois. Et tu as déjà demandé au chauffeur du bus de lever le pied et de faire des virages un peu moins serrés. 3 Tout le monde t’appelle « Jean Alesi » Et ça les fait même rire. Tout ça pour un malheureux tonneau que tu as fait un dimanche matin en faisant un créneau avant d’aller acheter ton pain. 3 Tu n’es pas familier avec le jargon auto Et tu as toujours cru que le « contre braquage », c’était le nom d’un système d’alarme dans les banques. Ahh d’accord. 5 Tu ne peux plus te passer de ton volant en moumoute et de ton couvre-siège bille de bois Certes tu souffres du dos sur les longues distances, mais tu t’es embourgeoisé. La course automobile demande quelques sacrifices et l’oubli d’un certain confort. 6 Tu t’es fait retirer ton permis pour conduite dangereuse en état d’ivresse sur ta voiture tunée En fait tu viens de simplement de découvrir que tu es taillé pour une carrière de footballeur, pas de pilote. 7 Tu n’es pas toujours hyper pointilleux sur l’état de ton véhicule Le sport automobile, c’est aussi une affaire de précision mécanique, donc si tu dis à ton co-pilote « au fait, la portière a un petit problème, garde-la bien fermée, et t’inquiète pas pour le bruit bizarre au freinage, je vais mettre de la musique pour pas que ça gêne », laisse tomber. 8 Tu ne supportes pas la pression Les appels de phares d’un type derrière toi qui veut te doubler sur une départementale, ça te rend fou. Tu es plutôt le genre de pilote brillant sur les parkings déserts de supermarché. Sauf sur ceux où il y a ces foutus haricots en béton pour délimiter des voies. La peinture au sol, ça ne suffit pas ? 9 Tu penses que « la vitesse pour la vitesse » c’est un concept un peu has-been Dans la vie, on devrait plus souvent prendre son temps, relativiser, parce que « finalement finir premier, c’est quoi au fond ?». Philosophiquement, tu es un profond adorateur du Vélib’, c’est tout. 10 Tu ne peux pas t’empêcher de discuter le bout de gras avec ton copilote « je t’ai raconté la fois où je m’étais endormi au bout d’une ligne droite ? Qu’est-ce qu’on s’était marré après…» Et vous, vous en voyez d’autres ?
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- Un nouveau musée dédié à Enzo Ferrari, la légende qui se cache derrière la marque au cheval cabré, a ouvert à Modène le 10 mars. Situé en partie dans l'ancienne maison d'Enzo Ferrari, le nouveau Museo Casa Enzo Ferrari est le pendant du Museo Ferrari de Maranello et devrait attirer de nombreux visiteurs du monde entier. Une exposition sur la vie d'Enzo Ferrari revenant sur sa carrière de pilote et d'ingénieur, ainsi qu'une collection de véhicules associée à Ferrari prêtées par d'autres collections et musées font partie des premières installations mises en place. Le Museo Casa Enzo Ferrari a été conçu par Jan Kaplický, l'architecte qui a réalisé le nouveau Media Center du Lord's Cricket Ground de Londres et le Birmingham Selfridges Building, et qui est décédé en 2009 avant la fin de la construction du musée. Les responsables du tourisme espèrent que ce musée, qui se trouve dans une ancienne zone industrielle de la ville, attirera autant de visiteurs que le Museo Ferrari où se rendent des centaines de milliers de personnes chaque année. Le Museo Casa Enzo Ferrari devrait également aider le constructeur italien à faire de ses origines un lieu de pèlerinage pour les fans de sport automobile. Car n'importe quel fan de Porsche a visité le Porsche Museum de Stuttgart, un monument incontournable à la gloire de la réussite de la marque automobile. Non loin de là se trouve le BMW World à Munich, une véritable vitrine pour le constructeur allemand racontant son histoire et lui servant de showroom géant pour ses derniers véhicules. Aux États-Unis, de nombreux amateurs de voitures ont visité le Walter P. Chrysler Museum et le Henry Ford Museum, tous deux situés à Détroit.
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Première vague d’essais concluante pour le Toyota Racing "Il reste encore beaucoup à faire" mercredi 7 mars 2012 - 13h14, par Endurance-Info.com Toyota Racing se déclare satisfait de la première phase des essais de la TS030 HYBRID, phase entamée le 11 janvier dernier sur le circuit HTTT Paul-Ricard. Depuis ce 11 janvier la TS030 a effectué, toujours sur le circuit varois, six semaines trois séances d’essais, de trois jours chacune, essais de jour mais aussi de nuit. Au cours d’une de ces trois séances, le proto a réalisé un test d’endurance de 30 heures. Une deuxième phase est prévue en avril, l’intervalle précédant la deuxième série des tests permettant d’exploiter au mieux les données recueillies. Les designers de Toyota Motorsport GmbH sont actuellement en train de remodeler l’aérodynamique de la voiture en prévision de la première sortie en course de la TS030, les Six Heures de Spa-Francorchamps le 5 mai. Pascal Vasselon, Directeur Technique : « Il reste encore beaucoup à faire au niveau de l’équipe, du développement de la voiture et de sa préparation avant de nous juger fin prêts, et nous nous concentrons en partie sur les préparatifs de Spa. Il y aura notamment des évolutions sensibles au niveau de l’aérodynamisme, qui devraient améliorer les performances et nous aider à défendre le titre d’hybride la plus rapide de la grille. » es évolutions ne concerneront pas seulement l’aérodynamique de la Toyota, mais également le moteur V8 hybride 3,4 litres. Hisatake Murata, Responsable du projet hybride : « Grâce à la quantité de données et aux retours d’expérience détaillés de tous les pilotes, nous possédons beaucoup d’informations sur le comportement du groupe THS-R. Et nous avons déjà pu les exploiter pour peaufiner nos systèmes avant les prochains essais. » Cinq des six pilotes des Toyota TS030 Hybrid, Alexander Wurz, Nicolas Lapierre, Kazuki Nakajima (n°7), Sébastien Buemi et Hiroaki Ishiura (n° ont participé aux premiers essais. Seul le britannique Anthony Davidson n’a pas encore pris le volant du prototype, mais les autres pilotes sont satisfaits de la voiture. Kazuki Nakajima : « Nous avons là une base saine et la voiture affiche un bon potentiel, mais nous devons maintenant travailler sur les détails et progresser dans certains domaines. Nous sommes sur la bonne voie et tout va bien. » Alexander Wurz : « S’agissant du développement, nous continuons d’optimiser l’interaction entre tous les composants, y compris le système hybride. Ainsi, la voiture progresse. » Nicolas Lapierre : « L’ensemble est en cours d’évolution et d’amélioration ; nous avons résolu certains problèmes, corrigé de menus détails et globalement, nous avançons. » http://motorsport.nextgen-auto.com/Premiere-vague-d-essais-concluante-pour-le-Toyota-Racing,37775.html
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Charles Pic : l'enfant prodigue Pur produit de la FFSA (Fédération française de sport automobile), Charles Pic est presque né avec un volant entre les mains. Soutenu par le puissant groupe Lagardère, coaché par Olivier Panis, Pic arrive cette année dans la cour des grands, à seulement 21 ans. Présentation. Une famille qui roule Il semblerait qu'une fée ait agité des clés de voiture au-dessus du berceau de Charles Pic. Car le jeune homme est né « dedans », en quelques sortes. Son parrain n'est autre que l'ancien pilote de Formule 1 Eric Bernard, sa mère est à la tête d'une flotte de camions de transport (lié au groupe Lagardère), tandis que son frère, Arthur, est lui aussi un pilote automobile prometteur. Charles Pic a perfectionné son art dans l'Auto Sport Academy, l'école de pilotes de la FFSA, qui forme aujourd'hui de jeunes pousses venues du monde entier. Du talent... et des arguments Depuis ses débuts dans la course automobile en 2006, Charles Pic a aligné des victoires dans cinq championnats (Formule Campus, Formule Renault, World Series, GP2, GP2 Asia) mais sans jamais remporter le titre suprême en fin de saison. Et même si son talent est évident, Pic doit aussi son ascension fulgurante à certains appuis, financiers notamment, non-négligeables dans la F1 d'aujourd'hui. Pour convaincre la toute jeune écurie Marussia, le jeune Français a laissé Olivier Panis vanter ses qualités de pilote, tandis que le groupe Lagardère Unlimited s'occupait des arguments d'ordre plus pragmatiques, en débloquant notamment une enveloppe de 15 millions d'euros sur trois ans pour son jeune poulain. Enfin, l'entreprise de transports de madame Pic est en très bon terme avec Total, qui participe à hauteur de 3 millions d'euros dans le "projet Pic". Charles Pic, un jeune homme (très) bien entouré. Quels objectifs en 2012? Charles Pic aurait sans doute été favori pour le titre GP2 cette année. Néanmoins, il a choisi de relever le défi de la F1, bien aidé par ses sponsors et sans doute attiré par l'idée d'être conseillé par Didier Cotton, ex-mentor de Panis et d'Häikkinen, et surtout actuel manager de Lewis Hamilton. Si ses qualités de pilote ne font aucun doute, les interrogations sont plus nombreuses quant à la compétitivité de sa monoplace. Le team Marussia, née des cendres de l'équipe Virgin, est actuellement en pleine incertitude. L'écurie russe, qui est la plus modeste du plateau 2012, a déclaré forfait aux essais de Barcelone pour cause d'échec au crash-test et devrait arriver à Melbourne pour le premier GP avec une monoplace peu rodée. Charles Pic n'a signé qu'un contrat d'un an sans objectif de résultat. Cette saison devrait donc être l'occasion de faire ses gammes dans la compétition reine et pourquoi pas, de taper dans l'œil d'une écurie plus prestigieuse. http://www.assuranceauto.fr/201203061030/Trois-Francais-en-F1-notre-dossier-special/charles-pic-lenfant-prodigue.html
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Notre compatriote Bertrand Baguette participera en 2012 au nouveau championnat du monde d'endurance (WEC) au volant d'une OAK-Pescarolo LMP1. Les mythiques 24 Heures du Mans et les 6 Heures de Spa-Francorchamps, notamment, figurent à l'agenda du pilote verviétois. Et aussi Toutes les chroniques de Bertrand Baguette La LMP1 OAK-Pescarolo n°15 à motorisation Judd, redessinée et construite par le département constructeur de l’équipe, Onroak Automotive, sera pilotée par Guillaume Moreau qui défendra les couleurs de l’équipe pour la quatrième année consécutive. Il sera associé à notre compatriote Bertrand Baguette, champion 2009 de Formule Renault 3.5 et ancien pilote d’IndyCar, qui passe ainsi de la monoplace au sport prototype. Le jeune Autrichien Dominik Kraihamer complète le trio. "Je suis ravi de rejoindre OAK Racing pour le World Endurance Championship en LMP1, a commenté Bertrand Baguette. C’est la catégorie où les voitures se rapprochent le plus de la monoplace et je pourrai bien exploiter mon expérience de ce type de voitures. Je suis également très heureux de participer à des courses aussi prestigieuses que Sebring, les 24 Heures du Mans ou Spa où je roulerai devant mes supporters." En 2012, l’Intercontinental Le Mans Cup devient le Championnat du Monde d’Endurance, le WEC. Il regroupe 8 courses à travers le monde : Europe, Amérique du Nord, Amérique du Sud, Moyen-Orient, Asie. Cette année encore, les légendaires 24 Heures du Mans sont incluses dans cette série internationale qui détient désormais le label "Championnat du Monde" de la FIA. OAK Racing engage deux prototypes en WEC : une OAK-Pescarolo LMP1, au volant de laquelle nous retrouverons notamment Bertrand Baguette, et une Morgan LMP2 2012. C. Lizin avec communiqué
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Francorchamps: 25h fun cup, 12h BTCS... menacées Les 25 heures Fun Cup, gros événement au circuit( Arch. GDS) Francorchamps sera-t-il orphelin de 3 de ses week-ends importants? Pas impossible: Speedworld, l’organisateur des 12 heures BTCS, des 25 h Fun Cup et de Francorchampagne, est en pétard avec le RACB, la fédération, et est en pratique hors course... Rédaction en ligne Publié le Mercredi 29 Février 2012 à 06h01 Speedworld n’organisera plus ses championnats belges en circuit. Le RACB cherche une solution. >Les explications dans notre édition de ce mercredi. http://www.sudinfo.be/338107/article/regions/verviers/2012-02-29/francorchamps-25h-fun-cup-12h-btcs-menacees
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Audi Sport présente sa R18 e-tron quattro (+ photos) Quatre roues motrices hybride... mercredi 29 février 2012 - 21h08, par Endurance-Info.com Il faudra désormais s’y habituer, la nouvelle Audi LMP1 portera le nom de R18 e-tron quattro. C’est lors de la soirée de présentation à Munich que le constructeur allemand a dévoilé sa nouvelle arme hybride. L’auto débutera en compétition lors des 6 Heures de Spa, avant un engagement aux 24 Heures du Mans le mois suivant. Audi se veut être le premier constructeur au monde à combiner dans une LMP1 TDI un système hybride, qui plus est avec en mode quattro. Audi souhaite mettre en avant les avantages de la traction intégrale de l’électromobilité Un essieu de la R18 e-tron quattro sera alimenté classiquement, alors que le second le sera avec des moteurs électriques. « Audi a toujours choisi les championnats et les catégories qui sont en relation avec la production, et donc une pertinence technique pour les clients Audi » explique le Dr Wolfgang Ullrich, Directeur de Audi Sport, et qui a personnellement conduit la R18 e-tron quattro sur la scène de l’Audi Center à Munich. « Quattro, TSI et TDI sont trois excellents exemples de la façon dont le sport automobile a stimulé lé développement des voitures de production » poursuit le Dr Ullrich. « C’est la même tendance avec le e-tron quattro. Nous testons une technologie entièrement nouvelle sur la piste avant qu’elle ne soit proposée aux véhicules Audi de route. » L’énergie cinétique de l’auto est récupérée sur l’essieu avant au cours de la phase de freinage. Le projet a débuté en février 2010, sachant que Audi a développé la R18 ultra en parallèle à la R18 e-tron quattro. Deux volets seront donc au programme cette année aux 24 Heures du Mans, avec deux R18 hybrides et deux traditionnelles. La base des deux autos étant identiques, l’effort logistique supplémentaire est limité pour l’ensemble de l’équipe Audi Sport. « Le moteur TDI inventé par Audi est toujours le plus efficace au monde » précise le Dr Ullrich. « Nous sommes convaincus que le TDI a encore plus de potentiel. » La R18 ultra sera quant à elle plus légère. Il y aura une véritable innovation dans le domaine de la transmission avec une nouvelle boîte de vitesses avec un boîtier en carbone spécialement développé pour la R18, ce qui sera une première pour une auto d’endurance. « La R18 ultra est une évolution de la voiture de l’année passée » tient à rajouter le directeur de Audi Sport. « Les premières impressions des pilotes ont été positives dès le premier instant. Sans optimiser le poids de la R18 ultra, nous n’aurions pas été capables de réaliser laR18 e-tron quattro qui est absolument identique, à l’exception du système hybride. » Audi Sport Team Joest alignera deux R18 e-tron quattro et deux R18 ultra aux 24 Heures du Mans en juin prochain. Les deux prototypes hybrides seront pilotés par Fässler/Lotterer/Tréluyer et Capello/Kristensen/McNish. Quant aux deux R18 « conventionnelles », elles seront partagées par Bonanomi/Rockenfeller/Jarvis et Dumas/Bernhard/Duval. Ces équipages seront aussi de la partie à Spa pour la répétition avant la classique sarthoise, excepté Rocky, retenu par une manche DTM. A l’issue des 24 Heures du Mans, Audi prévoit d’aligner une R18 e-tron quattro et une R18 ultra en Championnat du Monde d’Endurance, où seuls Allan McNish et Andre Lotterer sont confirmés pour le moment. A Sebring, les trois R18 seront confiées à Fässler/Lotterer/Tréluyer, Dumas/Bernhard/Duval et Kristensen/Capello/McNish. http://motorsport.nextgen-auto.com/Audi-Sport-presente-sa-R18-e-tron-quattro-photos,37479.html
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Michèle Mouton. Une grande dame du sport automobile. Michèle Mouton, est née le 23 juin 1951 à Grasse, ses parents sont horticulteurs, mais celle qui se destinait à faire carrière en tant qu'éducatrice spécialisé pour adolescents en difficulté, va très vite prendre gout à la compétition automobile en participant pour la première fois au rallye de Monte-Carlo en tant que copilote du français Jean Taibi en 1973 sur une 304 S. La jeune femme avec le soutien de son père débute sa carrière de pilote sur une Berlinette A 110 G3, et de 1974 à 1975 elle est déjà championne de France féminine des rallyes en groupe 3. Repérée par le groupe Elf, elle enchaine de 1977 à 1979, puis en 1981 au Championnat d'Europe des rallyes dont elle remporte l'édition 1977 en Espagne sur une Porshe Carrera RS, terminant vice-championne d'Europe derrière Bernard Darniche. En 1978 après un passage sur une Lancia Stratos, elle est engagée par Fiat en qualité de pilote d'usine et se retrouve au volant d'une 131 Abarth et remporte le Tour de France Automobile se classant 1ere en groupe 4. LES ANNEES AUDI. Pour l'année 1981, la firme allemande Audi l'engage pour seconder Hannu Mikkola sur une quattro Sport (futur groupe B en 1983). La même saison Michèle Mouton entre dans l'histoire en remportant le rallye de San Remo et devient la seule et unique femme à gagner une manche du Championnat du monde des rallyes. La saison suivante (1982) le pilote suédois Stig Blomqvist vient grossir les rangs de la marque aux anneaux. De son côté Michèle Mouton remporte encore 3 manches du championnat du monde , Portugal, Grèce et Brésil. Le reste de la compétition la marque Audi se taille la part du lion, et Michèle manque de peu le titre de pilote, en apprenant la veille du départ du rallye de Côte-d'Ivoire le décès de son père. Un autre pilote arrive dans l'équipe en 1984, c'est l'Allemand Walter Röhrl (ex Fiat puis Lancia) et dès la seconde épreuve en Suède Audi remporte le pactole sur les trois premières place : Blomqvist 1er, Mouton 2me, et Eklund 3e. Et le sénario va se répéter encore au Portugal, Crèce, Nouvelle-Zélande, Argentine ainsi qu'en Côte-d'Ivoire. En 1985 toujours sur une Audi Michèle bat tous les records de la fameuse course américaine de Pikes Peak International Hill Climb (dans le Colorado) et remporte le titre de Rookie de l'année. FIN DE CARRIERE. En 1986, Michèle Mouton remporte le titre de championne d'Allemagne avec Peugeot Talbot Deutchland, puis en mai 1986, après l'annonce de la suppession du groupe B, suite aux drames qui ont déjà coûté la vie à trois pilotes et spectateurs, Michèle Mouton met un terme à sa carrière pour se consacrer à sa vie de famille. Pourtant elle ne tourne pas le dos au sport automobile et depuis 1988, elle organise aux Iles Canaries The Michelin Race of Champions pour cloturer la saison de rallye, avec le concours de son ex-mari Frederik Johnson. Cette épreuve est une course à la mémoire du pilote finlandais Henri Toivonen, mort en course au Tour de Corse en 1986. La passion pour la course automobile ne la quitte pas et elle participe à plusieurs épreuves notamment en 2000 où elle se classe seconde au Marathon Automobile Londres-Sidney sur une Porshe 911, et retrouve son ancienne copilote Fabrizia Pons en mai 2008 lors du Dunlop Classic Ottago Rally en Nouvelle-Zélande. Le duo feminin va encore récidiver en 2010 le temps du Rallye International du Maroc, puis elle reprendra le volant de sa quattro S1 GrB, pour paticiper à la Race of Champions qui sera cette année là disputée à Düsseldorf. 2010 marque également sa nomination par Jean Todt à la présidence de la Women and Motor Sport Commission organisme qui sert à promouvoir le rôle des femmes dans le sport automobile. Début 2011 la FIA la nomme Directrice du WRC et entame ses fonctions lors du rallye de Suède. Dans ses années,de compétition elle fut parfois surnommée par ses pairs et la presse ouest-allemande << le beau volcan noir >>. les photos et l'article complet
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Vitaly Petrov : un parcours semé d’embûches Mais il est finalement arrivé en F1... jeudi 1er mars 2012 - 10h58, par D. Thys Après un parcours classique pour se hisser dans les différentes catégories du sport automobile en Russie, Vitaly Petrov s’est décidé en 2003 à quitter son pays pour se rendre en Europe occidentale, car son rêve était évidemment de devenir pilote de F1. "C’est en 2003 que nous avons décidé de venir en Europe et de tester une monoplace, une Formule Renault," raconte Vitaly Petrov. "J’ai passé deux ans dans cette catégorie, jusqu’en 2005, mais après ça nous n’avions plus d’argent et plus aucun sponsor, car en Russie, personne ne savait vraiment ce qu’était le sport automobile. Et en Formule Renault il faut entre 300.000 et 500.000 euros pour faire une saison dans de bonnes conditions." "Je suis donc retourné en Russie en pensant que tout était fini pour moi, mais à cette époque il y a un championnat de F3 qui a commencé dans mon pays et il y avait aussi des courses de prototypes. Avec mon père, nous avons décidé de participer à ces deux championnats et je les ai gagnés tous les deux. Je suis donc retourné en Europe l’année suivante pour faire de la F3000 dans les championnats italiens et européens. J’ai décroché la troisième place dans ces deux championnats." "Ensuite je me suis lancé dans le championnat GP2 et c’est là que ma carrière de pilote automobile a vraiment commencé. J’étais chez Campos et pour moi c’était une grande équipe. C’est là que j’ai vu pour la première comment les ingénieurs travaillaient et toutes les personnes qui étaient derrière eux, les mécaniciens, etc. C’est là que j’ai appris comment faire progresser une voiture, comment travailler sur les réglages et tout ce qu’il fallait que je fasse. J’ai passé trois ans en GP2. J’ai terminé ce championnat à la deuxième place en 2009 et l’année d’après je débutais en F1," poursuit-il. Vitaly Petrov ne serait pas là où il est aujourd’hui sans le soutien de son père. "Je dois le remercier pour ça. Lorsque j’étais jeune, j’ai fait de nombreux sports : de la boxe, du judo, du football, du karaté, du basket et du tennis. J’ai fait tous ces sports, car j’adore ça. Un jour mon père m’a demandé quel était le sport qui me tenait le plus à coeur et je lui ai dit que je voulais piloter des voitures. J’étais fasciné par les voitures. Il m’a toujours soutenu durant mon parcours dans le sport automobile et c’est donc grâce à lui que je suis ici aujourd’hui." Vitaly Petrov est aujourd’hui pilote titulaire chez Caterham, une équipe bien plus modeste que Renault. "C’est le premier sujet que j’ai abordé avec Tony Fernandes (le patron de l’équipe). Je voulais qu’il me dise quelle était l’ambiance au sein de l’équipe et quels étaient ses plans pour le futur. Ses réponses étaient exactement celles que je désirais entendre. Il m’a dit que l’équipe était une grande famille et qu’elle avait déjà fait beaucoup en peu de temps. Il a ajouté qu’il voulait en faire plus, notamment signer de bons résultats. C’est exactement ce que je voulais et on ne m’avait jamais parlé comme ça auparavant. Je suis donc heureux d’être chez Caterham et j’espère qu’ils vont me traiter comme le petit enfant de la famille." Comment se sont passées ses premières journées au sein de sa nouvelle équipe ? "Je suis arrivé un jour et le lendemain j’ai rencontré tous les membres de l’équipe à l’usine et ensuite j’ai reçu de nombreux appels téléphoniques et j’ai eu à faire de nombreuses interviews avec la presse. Il y en a eu vraiment beaucoup ! Ensuite nous avons moulé mon baquet et cela n’a pas été facile. Dans cette équipe, les pilotes précédents étaient tous de petite taille et je suis un peu plus grand. Cela s’est finalement bien passé. Après ça j’ai encore participé à quelques interviews avant de me préparer enfin pour la première séance d’essais privés." Comment décrirait-il sa nouvelle équipe en quelques mots ? "C’est impossible ! Il est impossible de faire ça après seulement quelques jours. Je dirais toutefois que l’équipe m’a très bien accueilli, tout le monde voulait m’aider. Il était très facile pour moi de leur demander ce que je voulais, mais aussi ce qu’ils attendaient de moi. J’espère que cela continuera comme ça durant toute la saison," conclut le pilote russe. http://motorsport.nextgen-auto.com/Vitaly-Petrov-un-parcours-seme-d-embuches,37483.html
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Alain Prost (re)signe avec Renault ! le 24 février 2012 par Marc Limacher 0 Commentaire Alain Prost @Icon Sport Alain Prost devient ambassadeur de la marque Renault. Le quadruple champion du monde français apportera une contribution technique à la société ainsi qu’une représentation de son image à des événements (salon par exemple). Ce jeudi, Prost a fait sa première apparition dans son nouveau rôle à Moscou après avoir pris part à une course au volant du Dacia Duster. « J’ai accepté cette mission avec plaisir et j’ai l’intention de l’accomplir avec professionnalisme. L’histoire de Renault est intimement liée à celle du sport automobile et j’ai un profond attachement à la marque, avec laquelle j’ai réalisé quelques-uns de plus grands succès de ma carrière sportive. » explique le champion français. Alain Prost de retour avec Renault après la F1 Dans sa carrière, Alain Prost a été pilote pour le constructeur au losange entre 1981 et 1983, remportant un total de 9 victoires, mais sans jamais avoir remporté de titre de champion du monde, surtout en 1983 alors qu’il était très proche contre le brésilien Nelson Piquet. Il faudra attendre 1993 et son ultime saison avec l’équipe Williams, alors propulsé par le moteur V10 Renault pour obtenir un titre de champion du monde (son 4ème). Alain Prost s’investira pour la prochaine Alpine de Renault A partir de là, Prost a pris sa retraite à l’age de 39 ans. Il est devenu ensuite ambassadeur de la marque Renault contre un salaire de 1,5 millions d’euros environ pour l’année 1994 et 1995. Avant de devenir consultant pour l’équipe McLaren et propriétaire de sa propre équipe. Il est probable que l’impact technique d’Alain Prost soit visible dans la prochaine Alpine, programmée pour 2014, selon le journal La Tribune.
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Ricciardo vit sous pression A 22 ans, Daniel Ricciardo, le coéquipier de Jean-Eric Vergne, va débuter sa deuxième saison en F1. Et si l'Australien a la pression, elle vient avant tout de lui-même.Daniel Ricciardo compte déjà 11 Grands Prix de F1 à son actif. (L'Equipe) Daniel Ricciardo n'est pas un débutant en F1, et encore moins en sport automobile. A 22 ans, il compte déjà sept années de compétition. Il n'empêche, l'Australien reconnaît vivre en permanence sous pression et être très dur avec lui-même. Et le fait d'être membre de la filière Red Bull n'arrange rien à l'affaire, même s'il reconnaît que l'écurie n'est pas sur son dos en permanence. «S'ils estiment que vous n'êtes pas au niveau, ils peuvent vous virer. C'est ainsi que fonctionne la F1, c'est tout.»«Je ressens de la pression oui, mais elle ne vient pas uniquement de Red Bull, elle vient aussi de moi, explique-t-il sur Autosport. Et ça ne date pas de cette saison, elle existe depuis que j'ai rejoint Red Bull il y a cinq ans. Mais même avant cela, je me mettais la pression pour qu'ils me recrutent. Je vis ainsi depuis le début de ma carrière. Mais c'est le lot de tout pilote pour arriver à ce niveau.» «Peut-être qu'être chez Red Bull rajoute un peu de pression oui, ajoute-t-il. Mais si vous voulez un jour être champion du monde, il faut être très performant. Et s'ils estiment que vous n'êtes pas au niveau, ils peuvent vous virer. C'est ainsi que fonctionne la F1, c'est tout.» Si, en 2011, Ricciardo s'est partagé entre plusieurs disciplines, il va pouvoir au contraire cette saison se concentrer uniquement sur la F1 et Toro Rosso : «Depuis Noël, Toro Rosso est ma priorité, mon unique priorité. L'année dernière, c'était très intense, je jonglais entre Toro Rosso, la World Series et HRT sur la fin. Il y avait beaucoup de voyages pour suivre le rythme. Cette saison, je serai mieux préparé et je vais pouvoir me concentrer plus sur mon travail de pilote.»
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Pierre Delettre, directeur de course international, nommé directeur de meeting DPPI Le GT Tour a fait le choix de l’expérience et de l’expertise en nommant Pierre Delettre directeur de meeting et directeur de course pour le Championnat de France et la Coupe de France FFSA GT. Dans le cadre du GT Tour 2012, ORECA, promoteur du Championnat de France des Circuits FFSA, a proposé à la Fédération Française du Sport Automobile que la direction du meeting et la direction de course du Championnat de France GT et de la Coupe de France GT soient confiées à Pierre Delettre, directeur de course international. Pierre Delettre possède une grande expertise. « Clerk of the Course » des 1000km de Spa-Francorchamps à partir de 1985, il est responsable de l’équipe de sécurité depuis cette date. Il a multiplié les expériences sur le circuit des Ardennes belges, lors d’événements nationaux et internationaux, y compris en F1. Pierre Delettre a ensuite été nommé Directeur de Course FIA sur multiples championnats, de nombreux circuits et même d’autres disciplines telles que le Rallye. Il a entre autres été Directeur de Course de l’A1 GP ou encore des Le Mans Series, et dirige les World Series by Renault depuis plusieurs années. Lors d’un meeting GT Tour, Pierre Delettre s’appuiera sur plusieurs directeurs de course dédiés aux séries supports, dont Jacky Lamontagne et Joël do Valle. Hugues de Chaunac, Président du Groupe ORECA, promoteur du Championnat de France des Circuits FFSA : « En 2012, le GT Tour doit franchir un nouveau palier, tant sur le plan sportif que marketing. Dans cette optique, nous pensons que Pierre Delettre représente le bon choix pour diriger les meetings et les courses GT. C’est un gage de qualité et de rigueur. » Dominique Roger, Président de la Commission Championnat de France des Circuits : « J’ai rencontré Pierre Delettre au cours d’une réunion de travail à la FFSA. J’ai apprécié le personnage, son professionnalisme et ses méthodes. Il gère des courses internationales, donc son organisation correspond logiquement à sa fonction. Nous lui avons présenté les évolutions prévues pour la saison à venir. Notre cahier des charges correspond à ses attentes. Nous lui apporterons toute l’aide nécessaire dont il a besoin. » Le GT Tour 2012 débutera sur le circuit de Lédenon le 28-29 avril.
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La police menace de faire grève au circuit de Francorchamps http://www1.lameuse.be/zc/thumb300x200/mediastore/_2012/fevrier/hermes/ID7350151_franciorchamps_p_095154_H3NG8V_0.JPG.jpg Les conditions de travail sont déplorables à la Ferme Foguenne. (NL) Menace de grève de la police sur le circuit de Spa-Francorchamps. La SNPS, un des syndicats des policiers, annonce qu’elle déposera un préavis de grève si les conditions de travail au circuit ne sont pas améliorées. Le chef de corps de la zone juge lui aussi les conditions de travail déplorables là-bas. Bruno Beckers Publié le 08/02 à 12h03 Si les pilotes jugent que Spa-Francorchamps est “ le plus beau circuit du monde ”, ce n’est pas l’avis des policiers. Ils se plaignent de leurs conditions de travail déplorables là-bas. À tel point que les policiers du syndicat SNPS menacent de faire grève lors de prochains gros événements sur le circuit. Mardi soir, les représentants syndicaux ont annoncé au collège de la zone de police qu’ils déposeraient un préavis de grève si les conditions de travail n’étaient pas améliorées dans la Ferme Foguenne qui leur sert de “ quartier général ” lors des grands événements. Cette analyse est partagée par le chef de corps de la zone, Francis Hortelan. Il pointe lui aussi les problèmes de confort pour ses policiers, mais aussi de sécurité. Selon lui, “ dans l’état actuel des choses, on ne peut plus travailler dans ces conditions-là au circuit. ” >Plus d’informations dans la meuse Verviers de ce mercredi
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Maldonado, grandes espérances ESPNF1 Staff Fiches: Pastor Maldonado | Bruno Senna Équipes: Williams Pastor Maldonado a confié ses grands espoirs pour la saison qui va commencer après la présentation de la nouvelle FW34. Le Vénézuélien n'est plus un débutant, il doit le prouver. Pour sa première saison en Formule 1, il n'avait marqué qu'un seul point, lors du Grand Prix de Belgique, à Spa-Francorchamps. Mais il semblerait que cela n'ait rien à voir avec son manque d'expérience, son coéquipier de 2011, Rubens Barrichello n'en comptabilisait que quatre, malgré plus de 300 Grands Prix disputés. La FW33 ne permettait pas de se battre pour les points à chaque course, mais Maldonado espère que la FW34 lui offrira la chance d'entrer régulièrement dans le top 10. "Je suis content de poursuivre l'aventure avec Williams. J'ai confiance en la FW34 et son moteur Renault. J'attends beaucoup des premières courses. Ce sera très important de développer la voiture tout au long de la saison. Aujourd'hui, j'ai une année d'expérience, je peux m'en servir pour aider l'équipe. Cette saison qui débute, c'est un moment excitant pour mon pays, le Vénézuéla. J'espère réussir de bons résultats pour le remercier de son soutien. Je souhaite le meilleur à toute l'équipe et la bienvenue à Renault et à Bruno." Des essais hivernaux, une première pour Senna Bruno Senna sera le deuxième pilote Williams en 2012, en remplacement de Rubens Barrichello. L'année passée, il avait participé à huit courses pour Lotus Renault GP, pour deux points marqués. "Je suis très excité de retrouver la piste à Jerez avec l'écurie Williams. C'est la première fois que je participe à des essais de pré-saison depuis mes débuts en F1 il y a deux ans. Je suis très motivé, je vais travailler dur avec toute l'équipe. J'espère que ces essais se passeront bien pour arriver à Melbourne dans de bonnes conditions."
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Dieter Stappert Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Dieter Stappert (né le 13 octobre 1942 à Villach, mort le 17 octobre 2008) est un journaliste sportif autrichien et chef d'équipe dans le sport automobile. Biographie[modifier]En 1977, Dieter Stappert est rédacteur en chef du magazine suisse consacré au sport automobile Stappert Powerslide, plus tard rebaptisé Motorsport aktuell. Parallèlement à son travail de journaliste, il est, de 1977 à 1985, employé par BMW Motorsport GmbH, le département compétition du constructeur automobile allemand BMW. Sous sa direction, Nelson Piquet devient le premier champion du monde de Formule 1 au volant d'une monoplace turbocompressée, en 1983, au volant d'une Brabham-BMW. À partir de 1985, Dieter Stappert est responsable du programme de partenariat avec le sport automobile pour la marque de cigarettes HB. Il est responsable du programme rallye de Audi Sport et, plus tard, responsable des activités de course du département des sports du fabricant de motos Honda. Depuis 1997, Stappert dirige sa propre écurie de course de moto 250 cm3 et a engagé notamment les pilotes Ralf Waldmann, Helmut Bradl et son fils Stefan Bradl. Dieter Stappert est victime d'une crise cardiaque le 19 juin 2008, à l'aéroport de Munich, alors qu'il se rendait à Donington Park. Il sombre dans le coma et décède le 17 octobre 2008. Notes et références[modifier](de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Dieter Stappert » (voir la liste des auteurs)
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