Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Mario03

Membres
  • Compteur de contenus

    903
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Mario03

  1. Dommage en effet : http://www.leblogauto.com/2012/04/wec-pas-de-toyota-ts030-aux-6-heures-de-spa-francorchamps.html
  2. Mario03

    Le circuit de Francorchamps

    Kronos Events met le circuit national en piste (communiqué) http://www.spa-francorchamps.be/fr/news.php?id=120
  3. Mario03

    Histoire des pilotes

    Jacques Villeneuve soulignera la mémoire de son père Gilles Agrandir Gilles Villeneuve au volant de la Ferrari 312 T4, lors du Grand Prix du Canada de 1979. Photo Bernard Brault, archives La Presse Auto vous suggère » La saison de Formule 1 en cinq questions » Pierre-Marc Durivage | La Presse Publié le 9 avril 2012 | Mise à jour le 9 avril 2012 à 11h32 Ferrari a fait appel à Jacques Villeneuve pour commémorer les 30 ans de la mort de son père Gilles, qui s'est éteint en piste le 8 mai 1982 sur le circuit de Zolder, en Belgique. Exactement trois décennies plus tard, Jacques grimpera dans le cockpit de la Ferrari 312 T4 pilotée par son père en 1979 à l'occasion d'une cérémonie qui aura lieu sur le circuit de Fiorano, en Italie. Ferrari a ainsi décidé de réunir «les noms de Ferrari et Villeneuve dans leur environnement naturel: un circuit de course.» «Son talent, sa vitesse, sa bravoure qui frisait l'insouciance, contribuent au fait qu'il reste énormément populaire chez nos fans, même chez ceux parmi les plus jeunes qui n'ont pu le voir que grâce à des enregistrements de ses courses ou qui ont lu à son sujet les histoires écrites par les journalistes», explique aussi la Scuderia sur son site officiel. Jacques Villeneuve soulignera ainsi la «mémoire d'un homme qui a et aura toujours une place d'honneur dans l'histoire de Ferrari», affirme le site de l'écurie de F1, en pilotant le bolide que son père a mené à la deuxième place du classement général, en 1979, derrière son coéquipier Jody Scheckter. Scheckter avait d'ailleurs dit de Gilles qu'il était «le pilote le plus rapide de l'histoire du sport automobile mais que, plus important encore, qu'il était la personne la plus intègre» qu'il ait jamais connue. Le 8 mai 1982 restera pour toujours dans les mémoires de la Formule Un comme l'un des jours les plus tristes de son Histoire: «Sa mort nous a privée d'un grand champion: un de ceux que j'aimais énormément, dira plus tard Enzo Ferrari, à propos du pilote Québécois. Mon histoire est meurtrie par le chagrin: des parents, des frères, mon fils. Ma vie est pleine de tristes souvenirs. Je regarde en arrière et je vois le visage de ceux que j'ai aimé, et parmi eux, je le vois.» PublicitéÀ l'exception de sa première course, disputée chez McLaren en 1977, Gilles Villeneuve aura défendu les couleurs de la Scuderia pour le reste de sa carrière, pour un total de 66 départs en Grand Prix, dont six victoires, deux pole positions et 13 podiums. Source: http://en.wikiquote.org/wiki/Gilles_Villeneuve
  4. Mario03

    L'histoire des équipes

    Ferdinand Alexander Porsche n’est plus Photo: Porsche Ferdinand Alexander Porsche (1935-2012) Il s’est éteint jeudi dernier à Salzbourg à l’âge de 76 ans. La journée même, où l’actuelle Porsche 911 de 7e génération était couronnée « Voiture sportive de l’année 2012 ». Toute une coïncidence pour celui qui a dessiné en 1962 la célèbre Porsche 911, laquelle 12 mois plus tard devint un modèle de série. Le petit-fils de Ferdinand Porche, fondateur de la marque mythique, a su relever tous les défis inhérents au conseil d’administration d’une société considérée comme une icône de l’histoire de l’automobile. Très impliqué dans le sport automobile, on lui doit, entre autres, la F1 Type 804. Avant de prendre sa retraite en 1976, il a diversifié les différentes activités de la marque, notamment par la création du Studio de Design Porsche. Il était demeuré président d’honneur du Conseil de surveillance du constructeur.
  5. Mario03

    2012...

    Encore un peu de patience,.... Tu n'est pas venus au trophée des Fagnes ??
  6. A plus de 200 km/h, la moindre erreur de pilotage se paye souvent très cher pour les pilotes mais par chance, la plupart du temps, ils s’en tirent miraculeusement… http://www.zap-actu.fr/2012/03/27/compilation-daccidents-spectaculaires-en-sport-automobile/
  7. Mario03

    Le circuit de Francorchamps

    Magny-Cours revient dans la course Par Nicolas Rouyer Publié le 5 avril 2012 à 10h12 Mis à jour le 5 avril 2012 à 10h27 Felipe Massa a remporté en 2008 le dernier Grand Prix disputé sur le circuit de Magny-Cours. REUTERS F1 - Le circuit nivernais n'aurait pas fait une croix sur l'organisation du GP de France. Avec la visite de François Fillon dans le Var le 30 mars dernier, la chose paraissait presque acquise. Il y aurait bien un Grand Prix de France de F1 en 2013 et il aurait lieu sur le circuit Paul-Ricard, au Castellet. Et pourtant, moins d'une semaine plus tard, un concurrent surprise refait son apparition dans le débat : Nevers-Magny Cours, le candidat sortant, qui a accueilli la course de 1991 à 2008 ! "Nous sommes candidats à l'organisation du Grand Prix de France", déclare ainsi dans les colonnes de L'Equipe Serge Saulnier, président de la société d'exploitation du circuit. Le dossier a été déposé au siège de la Fédération française du sport automobile (FFSA). Le match est donc lancé... "A l'inverse du Paul-Ricard, nous n'avons pas d'investissements lourds à faire pour l'accueil du public", précise Saulnier. "Et du département à la région, nous possédons une cohérence et une unité politique pour faciliter le tour de table financier." La cohérence et l'unité politique, ici, sont socialistes. En effet, les deux collectivités locales concernées par l'organisation du Grand Prix, le conseil général de la Nièvre comme le conseil régional de Bourgogne, réunis au sein d'un groupement d'intérêt public (GIP), sont acquis au Parti socialiste (PS). Le projet du Castellet, lui, est soutenu par l'Etat et Hubert Falco, sénateur UMP et président de la communauté d'agglomération Toulon Provence Méditerranée. Le Castellet a une roue d'avance Pour le moment, même si l'accueil des spectateurs pourrait poser problème (70.000 au maximum contre 140.000 à Magny-Cours), le projet du Castellet dispose d'une roue d'avance, . En effet, les organisateurs ont déjà établi le contact avec le grand argentier de la F1, Bernie Ecclestone, qui leur a envoyé un premier projet de contrat. Mais, en cas de souci financier, "Bernie" sait qu'il peut disposer d'une solution de rechange... "J'ai le sentiment qu'il ne va rien signer avant l'élection présidentielle", convient dans L'Equipe l'ancien patron d'écurie Guy Ligier, soutien du projet de Magny-Cours et actionnaire du circuit. "Je dis franchement ce que je ressens : ce n'est pas perdu pour Magny-Cours. Ce n'est pas gagné, sûrement pas. Mais ce n'est pas perdu !" Et si les deux circuits s'entendaient pour organiser le Grand Prix de France en alternance ? "Personnellement, je ne suis pas pour", explique Saulnier, qui avance plusieurs arguments : le contrat actuel sur cinq ans, qui lèsera forcément une des deux parties, ainsi que le différend sur la date, Magny-Cours souhaitant se pérenniser en juillet alors que le Paul-Ricard a opté pour fin août-début septembre. La F1 en France en 2013, ce n'est pas encore une affaire qui roule...
  8. Mario03

    Le circuit de Francorchamps

    Le 01 septembre 2012 = samedi Le 01 septembre 2013 = dimanche. Ils auraient au moins pu faire attention à l'énoncé des dates !!! Pour moi : un excellent poisson d'avril. Comment croire que le grand prix de France organisé par des Français peut avoir lieu ailleurs qu'en france ????
  9. Mario03

    L'histoire des équipes

    Jordan décoré de l’Ordre de l’Empire Britannique Ecrit le jeudi 29 mars 2012 à 16:01, par Julien Delfosse Eddie Jordan a été décoré de l’Ordre de l’Empire Britannique par la Reine d’Angleterre Elisabeth II pour les services qu’il a rendus à des œuvres caritatives et au sport automobile. Jordan a créé l’équipe de Formule 1 éponyme en 1991. L’écurie britannique a disputé 250 Grands Prix et a vu débuter le septuple champion du monde Michael Schumacher. Grâce à Damon Hill, Heinz-Harald Frentezn et Giancarlo Fisichella, Jordan a remporté quatre Grand Prix en Formule 1. "Quel moment merveilleux dans ma vie. Je suis extrêmement surpris et grandement ravi de recevoir cet honneur magnifique, cependant cela n’aurait pas été possible sans l’aide de ma famille, de l’équipe Jordan Grand Prix F1 Team, de CLIC Sargent et plus récemment, de l’équipe F1 de la BBC," a déclaré Jordan.
  10. Mario03

    Le circuit de Francorchamps

    Le GP de France de retour Après plusieurs mois de discussions, François Fillon annoncera ce vendredi à Toulon le prochain retour de la F1 en France. Mais il reste encore des zones d’ombres, notamment la possibilité que le GP soit au calendrier dès 2013. AFP Lewis Hamilton au Castellet Romain Grosjean, Jean-Eric Vergne et Charles Pic, trois Bleus sur la grille de départ de la saison 2012. C’était la première bonne nouvelle pour la F1 en France. En déplacement pour la campagne électorale à Toulon, ce vendredi, François Fillon fera un crochet par le circuit du Castellet (Var). Il confirmera que le Grand Prix de France, dont la dernière édition avait eu lieu en 2008 à Magny-Cours (Nièvre), renaitra de ses cendres dans un futur proche après d’intenses discussions ces derniers mois entre toutes les parties. Il aura lieu une saison sur deux, selon le principe de l’alternance avec un autre pays, au Castellet. Le circuit varois n’a plus accueilli la F1 depuis la victoire d’Alain Prost en 1990. Mais il reste à savoir si le public français assistera dès 2013 à sa propre course ou s’il devra patienter jusqu’en 2014. Et aussi si leurs voisins belges seront bien les partenaires de cette valse à grande vitesse. Les organisateurs du Grand Prix de Belgique ont découvert ce jeudi matin dans les médias que le premier Ministre français allait faire une annonce concernant le Grand Prix de France ce vendredi. Et pour cause, ils ne sont absolument pas prêts à évoquer leur avenir. Le GIP en cours de création Si la France a bien reçu un contrat pour l'organisation d'un Grand Prix une année sur deux, ce n'est pas le cas des promoteurs du GP de Belgique qui attendent toujours le document pour le transmettre au gouvernement de Wallonie. Un retard qui s'expliquerait par les difficultés à payer le plateau de la course 2012 (le 2 septembre sur le circuit de Spa-Francorchamps), pour le dernier Grand Prix avant la fin du contrat les liant à Bernie Ecclestone. Une situation qui oblige la France à réfléchir à une solution de secours. D’ailleurs, les porteurs du dossier français doivent encore régler quelques détails. Pour le moment, le contrat définitif avec le grand argentier de la F1 n'a pas encore été signé. Le GIP (groupement d'intérêt public), qui va assurer le financement du Grand Prix, est également toujours en cours de création. Même si rien n'est réellement ficelé, la prise de parole du premier Ministre indique quand même que les autorités françaises sont désormais sûres de leur coup. La France aura son Grand Prix. Et le Castellet renouera avec son glorieux passé.
  11. Art de vivre & automobile Les voitures de sport électriquesLa R&D d’élite au service de l’électrique grand public > Journal numérique Les constructeurs en ont fait la preuve : électrique et performances de haut vol ne sont pas antinomiques. Bien au contraire. Les sportives propres présentent des caractéristiques techniques à faire pâlir d’envie leurs cousines thermiques. Mais plus qu’une question de suprématie, c’est la R&D des constructeurs qui se joue sur les circuits d’essais. Car les électriques sportives font figure de laboratoires roulants pour développer et améliorer les gammes électriques grand public. Mais, essentiellement pour des questions de coût, le transfert de technologies des sportives vers les véhicules traditionnels représente une marche difficile – voire impossible – à franchir. Jusqu’à 287 km/h sur circuit, un passage de 0 à 100 km/h en 3, 5 secondes. La nouvelle voiture de sport du constructeur français Exagon Motors n’a pas à rougir de ses performances. Et tout ça avec un moteur 100 % électrique. Commercialisée à l’automne prochain, la Furtive eGT viendra grossir les rangs de ces véhicules d’un nouveau genre, où la puissance se conjugue avec l’élégance. Car l’alternative au thermique a la cote chez les constructeurs, qui y consacrent une part non négligeable de leurs investissements. Emblématique de cet effort, le Californien Tesla et son Roadster. Un projet né 2003 qui aboutit cinq ans plus tard à la commercialisation du modèle. Depuis, 2100 véhicules ont été vendus à travers le monde. Les acheteurs se disent séduits par une vitesse maximale de 201 km/h, 3,9 secondes pour grimper de 0 à 100 km/h. Le tout sans émissions de gaz à effet de serre et avec une distance certifiée de 340 km par charge. “Tesla donne du fil à retordre à tous ceux pour qui les véhicules électriques ne sont pas légitimes. C’est une première dans l’histoire de l’automobile”, s’enthousiasme le journaliste Kim Reynolds dans la revue américaine Motor Trends. Sportive et électrique également, la Fetish du Monégasque Venturi : 300 chevaux, 200 km/h, et capable de passer de 0 à 100 km/h en 4 secondes seulement. Ou encore l’hybride Karma, de Fisker, dont le jeune chanteur canadien Justin Bieber, Léonardo Di Caprio ou encore l’ex-vice-président américain Al Gore se sont récemment fait les ambassadeurs. Que ces quelques arbres ne masquent pas la forêt : il existe encore peu de modèles commercialisés. Toutefois, beaucoup de constructeurs ont déjà mis au point des concept cars. Pour Citroën, l’expérience se nomme “Survolt” et s’est déjà longuement affichée en Chine et en Angleterre. Chez Peugeot, la sportive EX1 s’est attaquée à la boucle nord du circuit de Nürburgring, en Allemagne, où elle a été sacrée voiture électrique la plus rapide y ayant jamais tourné. Outre-Rhin, Evonik et PG ont également mis au point des sportives électriques. La raison de cet engouement – qu’il aboutisse ou non à des véhicules de série –, c’est qu’en matière de performances, l’électrique présente des avantages certains sur le thermique. “On dit souvent qu’un moteur électrique vaut tout autant qu’un moteur thermique. Mais pour moi, c’est faux. L’électrique est supérieur” proclame Luc Marchetti, président et fondateur d’Exagon Motors. Un couple très fort, une puissance instantanée élevée, et un rendement allant jusqu’à 95 %, contre 30 % seulement pour le thermique à cause d’une perte d’énergie au moment de l’explosion. Les partisans de l’électrique ne tarissent pas d’éloges. “Tant de puissance… la première fois que je suis monté dans une voiture de sport électrique, j’en suis redescendu avec les jambes flageolantes”, raconte Philippe Degobert, professeur en engineering électrique à l’Ensam de Lille. Ajoutez à cela un plaisir de conduite inédit. “Les sensations procurées sont très fortes, témoigne Pierre Gosselin, vice-président de Formulec, concepteur de véhicules de course électriques. Avec un moteur thermique, le bruit gomme tout. Alors que là, vous entendez le bruit de l’air contre la carrosserie, celui des pneus. C’est une approche beaucoup plus sensible.” Révolution culturelle Avec ces véhicules de sport électriques, les constructeurs démontrent que l’alternative au thermique est réelle. Mieux : ils redressent l’image même de l’électrique, longtemps malmenée. Ainsi, quand Gildo Pallanca-Pastor rachète Venturi en 2001, il décide de prouver que l’électrique appartient bel et bien à un futur proche. Son choix se porte naturellement sur les voitures de sport. “Nous avons participé à un changement culturel majeur, estime-t-il. Tout le monde était sidéré.” Et Luc Marchetti, d’Exagon Motors, de renchérir : “Avant, pour les gens, une voiture électrique, ça voulait dire une voiturette urbaine ou bien une voiture de golf. On ne l’associait pas du tout avec l’idée d’excellence, de performance”. L’image d’un véhicule de faible puissance et à l’autonomie limitée colle à la peau des voitures électriques. “Longtemps, elles n’étaient pas considérées comme des véhicules à part entière. Juste comme des pots de yaourts un peu moches”, lâche Pierre Gosselin, de Formulec. S’en emparer est donc un challenge pour des constructeurs estampillés haut de gamme. “Il y avait une vraie demande de la part de nos clients, se souvient Luc Marchetti. Certains en avaient assez de se faire rayer leurs voitures parce qu’ils étaient considérés comme de gros pollueurs. En quelques années, le critère écologique est devenu décisif”. Pour ces amateurs de courses, la démarche vise aussi à redorer l’image du sport automobile, dont les nuisances sonores et environnementales sont largement pointées du doigt. Travailler sur la performance de l’électrique rend possible l’organisation de courses non polluantes et plus silencieuses. C’est la raison qui a conduit Vincent Bialeck, fraîchement diplômé de l’École nationale d’ingénieur de Metz, à créer avec trois anciens camarades un projet de voiture de course électrique, un biplace doté de deux moteurs développant 220 kW, une façon de pousser la technologie le plus loin possible. “Le sport automobile n’a plus le choix, il doit apprendre à se passer des énergies fossiles” martèle le jeune ingénieur. “Développer l’électrique, c’est aussi imaginer aussi qu’on puisse faire des courses en ville, à Paris, Rome ou Barcelone, ce qui est aujourd’hui impensable” ajoute François Crisias, chez Nissan. Reste que malgré ces perspectives prometteuses, le sport automobile électrique n’en est encore qu’à ses balbutiements. La seule compétition de renom à proposer aujourd’hui une course 100 % électrique est le Trophée Andros, et ce depuis 2009. De son côté, la FIA (Fédération internationale de l’automobile) a été mandatée par la commission européenne afin de mettre au point un championnat automobile. Celui-ci devrait être lancé pour 2013, sous l’appellation FIA Formula E. Transferts multiples Courses, voitures de série ou concept cars : à chaque fois, l’objectif est de prouver tout le potentiel de l’électrique, mais aussi de mettre sur pied des “laboratoires roulants”. “Lors d’une compétition, les conditions de conduites poussées à l’extrême permettent aux ingénieurs d’étudier la fiabilité des moteurs, l’autonomie des batteries et leur système d’auto-régulation afin d’éviter la surchauffe”, affirme Bertrand Dantec, responsable style de la Citroën Survolt. Même constat pour les voitures de sport. “Quand on sait bien faire des voitures de sport, on maîtrise l’autonomie et le poids, témoigne Gildo Pallanca-Pastor, président de Venturi. On a beau n’avoir produit au total qu’un millier de voitures de sports, l’utilité pour la recherche sur la mobilité électrique est réelle”. “Il y a plusieurs façons de faire en sorte que la recherche développée pour un véhicule de sport ou de course bénéficie à la mobilité grand public, explique Vincent Bialeck, de la société automobile MVTT. Peuvent être réutilisées les suspensions, qui génèrent de l’électricité, de même que les systèmes de freinage. On travaille aussi à réduire les frottements sur la carrosserie, afin que celle-ci consomme le moins d’énergie possible. Toutes ces technologies peuvent ensuite être réutilisées ou adaptées dans la production de véhicules de série.” De fait, certains petits constructeurs de voitures de sport travaillent main dans la main avec de grands noms de l’automobile, et mettent ainsi leur expertise au service de la mobilité grand public. On peut citer l’exemple du Californien Tesla qui a noué un partenariat avec Toyota. Leur première plateforme de collaboration est une version électrique du RAV4 SUV de Toyota, qui sera présentée à la fin de l’année au Los Angeles Motor Show, pour être ensuite commercialisée sur le marché américain. De par son expertise dans le domaine de l’électrique, Tesla fournit les batteries, le moteur, le système de recharge ainsi que les logiciels de contrôle de l’alimentation électrique. Résultat : une autonomie de 160 kilomètres et une accélération semblable à celle de la version diesel. Également annoncée pour 2012 par le même constructeur, la Scion IQ, une quatre-places électrique uniquement destinée aux flottes et aux loueurs automobiles. Même dynamique chez Venturi. Ce petit constructeur s’est notamment associé à Citröen pour produire le Berlingo First Electric, un véhicule professionnel dont 250 exemplaires ont été vendus à La Poste. “Les chaînes de traction de ces véhicules proviennent directement de notre expérience en matière de voitures de sport, atteste Gildo Pallanca-Pastor. Prendre part à la production de ces camionnettes électriques, c’était pour nous un acte indispensable pour installer l’électrique au sein de la mobilité grand public.” L’étape suivante : l’auto-partage. Dix Citröen Berlingo Powered by Venturi équipent ainsi la flotte Autobleue, lancée à Nice il y a un an, côtoyant une quarantaine de Peugeot iOn. Un fossé encore trop large Et pourtant, malgré ces efforts, l’électrique met du temps à démarrer. “La France est à la traîne” regrette le vice-président de Formulec, Pierre Gosselin. Seulement un Français sur trois considère l’électrique comme une alternative viable au thermique. Selon une étude KPMG, le marché du véhicule électrique ne devrait pas atteindre les 15 % avant 2025. Comment expliquer ce délai ? Lenteur du transfert de technologies, insuffisance des investissements en matière de R&D ? Ou bien une opinion publique malgré tout difficile à convaincre ? Première explication : l’autonomie des véhicules électriques, jugée encore trop faible par la majorité des automobilistes. Cent cinquante kilomètres pour la Citroën C-Zéro, pour 9 heures de recharge en prise simple, 30 minutes en prise rapide. Du côté de Zoé, commercialisée à l’automne prochain, Renault annonce entre 100 et 150 kilomètres dans un usage quotidien. On est loin des 340 kilomètres de la Tesla Roadster. “Dans une Tesla, la batterie pèse 400 kg et coûte 40 000 euros. On ne peut pas se permettre de placer une batterie aussi lourde dans une voiture de série, cela coûterait trop cher”, explique Philippe Degobert, professeur à l’Ensam. Aujourd’hui, une batterie de 250 kg, type utilisée dans les véhicules de série, coûte 10 000 euros. Difficile de faire plus sans atteindre un prix rédhibitoire, alors que pour une majorité d’automobilistes, le coût (à partir de 15 700 euros pour la Zoé de Renault, bonus déduit) est déjà un frein à l’achat. “Aujourd’hui, force est de constater qu’on ne sait pas faire de véhicules électriques qui soient de vraies voitures, constate Pierre Lefèvre, président de la société Induct, spécialisée dans la conception de véhicules autonomes électriques. On n’arrive pas à faire à un prix correct l’équivalent de la voiture à moteur thermique. Une voiture qui a 200 km d’autonomie, ce n’est pas vraiment une voiture. Ce qu’on sait faire pour l’instant, ce sont des véhicules roulants électriques, capables de se déplacer sur une courte distance.” Des véhicules moins polyvalents, donc. Or en ces temps de difficultés économiques, le consommateur préfère ne pas prendre de risque et se réfugie vers la valeur sûre du thermique. “La grande question derrière tout ça, c’est est ce qu’on est prêt à payer pour moins polluer”, résume Gildo Pallanca-Pastor, président de Venturi. Or si les recherches avancent, à la fois pour augmenter l’autonomie des batteries et réduire le prix d’achat, elles aussi ont un coût. “C’est une problématique industrielle difficile à résoudre, constate Gildo Pallanca-Pastor, de Venturi. La question qui se pose aux constructeurs c’est : comment rentabiliser les études sur l’électrique grand public alors qu’on produit en petite quantité ?”. À titre de repère, Nissan a consacré à l’électrique quatre milliards d’euros en dix ans. L’équivalent du budget total du constructeur en recherche et développement sur une année. L’investissement est-il à la hauteur de l’enjeu ? Chez Nissan, on souffle que “c’est beaucoup et peu à la fois”. Certains experts murmurent qu’en leur fort intérieur, les constructeurs automobiles n’ont pas envie de l’électrique. Leur industrie s’étant construite sur le thermique, ils y perdraient trop. D’autant que les coûts d’entretien d’un véhicule électrique sont largement inférieurs : 30 à 40 % de moins qu’une voiture classique. Pas de vidange, des pneus qui tiennent plus longtemps et une chaîne de traction simplifiée moins sujette à la casse. Enfin, dernier obstacle sur le parcours de l’électrique grand public : les infrastructures, encore faiblement développées. 38 % des Français estiment que le faible nombre de recharges électriques est un handicap, selon une étude de l’institut Cecop pour EDF. Et pourtant, les partisans de la voiture électrique veulent y croire. Ils invoquent le progrès technique, imprévisible, ainsi qu’une récente étude montrant qu’en Europe, 80 % des automobilistes parcourent moins de 40 kilomètres par jour. http://www.google.com/url?sa=X&q=http://www.lenouveleconomiste.fr/lesdossiers/les-voitures-de-sport-electriques-14281/&ct=ga&cad=CAcQARgBIAAoATAAOABAoLHR-wRIAVAAWABiBWZyLUJF&cd=g79AnbHyc4o&usg=AFQjCNG5qywSvWrHZWXkUkRuyujLrh5FEw
  12. Pamela Anderson patronne d’une écurie ! LE 10 SPORT | 27.03.12 | 23:00 Pamela Anderson n’est pas sportive seulement sur les plages ensoleillées de Malibu. La blonde incendiaire va tâcher d’emmener son charme dans une écurie de course automobile. Pamela Anderson ne jouera pas le rôle de footballeuse comme Rihanna. L’ancienne playmate de la série à succès Alerte à Malibu officiera quant à elle dans le sport automobile puisqu’elle a accepté de devenir la patronne d’une écurie appelée « Downforce1 by Pamela Anderson » ! Son team s'attaquera aux European Le Mans Series et au championnat International GT Open avec une Aston Martin Vantage GT2 bleue et blanche. Au Paul Ricard le 1er avril Attendue au circuit Paul Ricar le 1er avril, l’équipe devrait bientôt être annoncée et sera également présente en Nascar en 2013. Passionnée de moteurs depuis son plus jeune âge, Pamela glisse que « les voitures rapides et les femmes rapides sont faites pour aller ensemble ». On attend de voir ça. bastien.aubert@le10sport.com
  13. Mario03

    Le circuit de Francorchamps

    Francorchamps: les négociations sont toujours en cours BELGA Mis en ligne le 27/03/2012 Parmi les interrogations des députés, figure également le coût de cet événement sportif pour les finances de la Région. Les négociations relatives à l'avenir du Grand Prix de Francorchamps sont toujours en cours, a indiqué mardi le ministre wallon de l'Economie, Jean-Claude Marcourt, en Commission du parlement, en réponse à des questions d'Anne-Catherine Goffinet (cdH), Pierre-Yves Jeholet (MR) et Manu Disabato (Ecolo). Le ministre ne s'est pas étendu sur le contenu des discussions en cours. La presse évoque régulièrement la piste de l'alternance avec la France à partir de 2013, quand le contrat qui lie actuellement Spa Grand Prix avec les organisateurs de la F1 aura expiré. Le 7 mars, le ministre français des Sports, David Douillet, avait d'ailleurs indiqué qu'il était prêt et qu'il attendait de connaître la position de la partie belge. L'alternance est une piste parmi d'autres, a rappelé le ministre wallon, que la Wallonie "ne revendique pas nécessairement". C'est une situation complexe, a-t-il ajouté. Parmi les interrogations des députés, figure également le coût de cet événement sportif pour les finances de la Région. "On cherche une solution pérenne en intégrant la réduction de l'impact financier sur le budget wallon", a souligné le ministre.
  14. Mario03

    Le circuit de Francorchamps

    L'histoire : La première version du circuit de Spa-Francorchamps, situé près des villes de Spa, Malmedy et Stavelot, dans les Ardennes, remonte à 1921. Tracé excessivement rapide et sélectif, long aujourd’hui de 7,004 km il a été maintes fois remanié mais demeure l’un des circuits les plus appréciés tant des pilotes que des spectateurs. Il accueille le Grand Prix de Formule 1 de Belgique et, depuis la création du Championnat du monde, 46 éditions de ce GP s’y sont disputées. Il est aussi le cadre des 24 Heures de Spa et de nombreuses autres épreuves nationales et internationales. Depuis 1966, les plus belles machines d’endurance empruntent le toboggan des Ardennes, générant des courses toujours palpitantes et spectaculaires. Ultime rendez-vous avant les 24 Heures du Mans, il sert aussi de répétition générale à l’épreuve majeure du calendrier. Localisation : Belgique – Province de Liège
  15. L'histoire du sport automobile est marquée par quelques belles histoires familiales. Chez les Schumacher aussi, on multiplie les expériences. C'est maintenant Cora qui s'y met sérieusement. Dans la famille Schumacher, tout le monde connaît bien évidemment le grand frère Michael, ce multiple champion du monde de Formule 1 qui avait débuté en kart grâce à son père en Allemagne. Après les premiers succès de Michael, c'est son petit frère Ralph qui rejoignait le peloton de la Formule 1 à la dernière décennie avec un succès incomplet, qui l'a finalement envoyé en DTM chez Mercedes. Cora Schumacher est la femme de Ralf. Les activités professionnelles de son mari et de sa belle famille lui ont probablement donné un certain goût pour le sport automobile. Après quelques expériences dans des séries monomarques avec des autos peu puissances, elle est aujourd'hui prête à passer l'échelon supérieur. Elle vient d'essayer la monstrueuse Chevrolet Camaro GT3 dans le cadre des essais d'inter-saison du Blancpain Endurance Series. Gageons qu'on devrait vite la retrouver au volant de la grosse GT américaine en course. Alors après Michael et Ralf, les victoires pour Cora Schumacher ? Actus et Tests auto sur Turbo.fr : Cora Schumacher en Camaro GT3 : une grande famille - Turbo.fr http://www.turbo.fr/actualite-automobile/483488-cora-schumacher-camaro-gt3-grande-famille/#ixzz1q1zW5WDK
  16. Mario03

    Ma nouvelle activité

    oui, Matt ; je sais aussi. La consultance en énergie est une partie de mon activité. Il y a aussi : les abonnements GSM, télévision, internet : aussi ; les panneaux solaires et entretien de chaudières, et l'assurance d'intervention en cas de problèmes de fuites,..
  17. Mario03

    Histoire des pilotes

    LE GRAND DÉFI DE PAGENAUD 22/03/2012 05:35 Le Montmorillonnais débute ce week-end la saison d’IndyCar, le championnat de monoplaces aux États-Unis. Un tournant important dans sa carrière. suivante précédente Le Montmorillonnais en action lors des essais hivernaux. - (Photos sd) “ L’IndyCar, c’est la F1 aux États-Unis ” Voilà six ans que Simon Pagenaud a décidé de poursuivre sa carrière aux États-Unis. Un choix risqué au départ mais qui s'est très vite avéré payant. Le Montmorillonnais a rapidement démontré l'étendue de son talent outre-atlantique, faisant du même coup enfler son palmarès. Dès sa première saison américaine, Pagenaud remporte le championnat de Champ Car Atlantic, lui ouvrant du même coup les portes du Champ Car. Après une belle 8e place, il se tourne vers l'endurance et l'American Le Mans Series, championnat qu'il remporte en 2010. Ses performances lui permettent de revenir en Europe où il devient notamment pilote officiel pour Peugeot Sport, équipe avec laquelle il termine 2e des 24 Heures du Mans en 2011. Devenu une référence dans le monde de l'endurance, Pagenaud ne garde pas moins en tête de remonter dans une monoplace. " Je veux remporter les 500 Miles d'Indianapolis " Souhait exaucé l'an dernier puisqu'il effectue trois piges en IndyCar, le championnat de monoplaces aux États-Unis en remplacement de pilotes blessés. Là encore, le petit " Frenchie " se fait remarquer en terminant deux fois dans le Top 10. Ayant des relations privilégiées avec Honda, l'un des trois motoristes de l'IndyCar, Pagenaud voit les portes de l'une des plus prestigieuses compétitions s'ouvrir à lui. Il s'engage avec l'écurie Sam Schmidt Motorsports pour disputer une saison complète. « Habitant les États-Unis, je suis au plus haut niveau du sport automobile dans ce pays. C'était un rêve », confie-t-il. Si le rêve est devenu réalité, Simon Pagenaud ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Le rôle de figurant, très peu pour lui. Le Montmorillonnais, âgé de 27 ans, se veut déjà ambitieux : « Avec mon expérience, je ne me sens plus comme un débutant. J'ai donc des prétentions plus élevées que lors de mes débuts en Champ Car (1) en 2007. Je compte rester concentré sur moi-même et produire mon meilleur pilotage. » Les essais hivernaux ont été encourageants, Pagenaud figurant régulièrement en haut des feuilles de stats. « Si l'on compare tous les chronos réalisés cet hiver, nous avons le deuxième temps. J'ai de bonnes sensations avec la voiture. Je ressens bien ce qu'il faut pour aller plus vite. C'est très important pour l'évolution durant la saison », se félicite l'intéressé. Simon Pagenaud a donc les moyens de figurer aux avant-postes et, pourquoi pas d'entrer dans la légende. « A moyen terme, je veux remporter les 500 Miles d'Indianapolis et le championnat », ambitionne le Montmorillonnais dont le rêve américain se poursuit. (1) A l'époque, il y avait deux championnats de monoplaces aux États-Unis, le Champ Car et l'IndyCar. Ils ont fusionné en 2008. la question Simon Pagenaud a-t-il fait une croix sur la Formule 1 ? Le pilote montmorillonnais reconnaît que l'IndyCar est un aboutissement dans sa carrière. « On peut parler de finalité. Participer à ce championnat était un rêve, comme de me battre pour la victoire aux 24 Heures du Mans », confie-t-il. Mais la Formule 1 reste dans un coin de sa tête : « Si McLaren, Ferrari ou Red Bull (trois équipes de F1) m'appellent, j'y réfléchirais à deux fois », avoue Simon Pagenaud.
  18. Mario03

    L'histoire des équipes

    Vont pouvoir faire des économies au niveau des air-bags
  19. Mario03

    L'histoire des équipes

    Pamela Anderson se lance dans la course Pamela Anderson est surtout connue pour avoir été une des naïades d’Alert à Malibu mais ici point de maillot rouge mais du blanc et du bleu ciel et en guise de plastique ravageuse une Aston Martin Vantage GT2. L’actrice canadienne est fan de belles mécaniques et de sport automobile en général. On a pu la croiser sur différents évènements de Nascar, d’Indy ou de F1. A la fin de 2011 elle a décidé de se payer un rêve et de monter sa propre écurie de course; Downforce1 était née. Histoire de ne pas partir de zéro la belle a racheté une équipe avec 10 ans d’expérience derrière elle et quelques beaux noms à son palmarès de pilotes comme Christophe Bouchut ou Marino Franchitti (qui pilotera la Nissan Delta Wing au Mans 2012 ndla). Pour le moment seul l’Autrichien Markus Fux a été annoncé derrière le volant. Downforce1 alignera une Aston Martin Vantage GT2 dans le championnat ELMS - European Le Mans Series – mais également dans l’International GT Open Series. L’ambition affichée est toute fois un peu plus importante puisque Pamela Anderson annonce un engagement en Nascar en 2013. « Je suis si fière de l’équipe Downforce 1. Ces gentlemen ont réussi l’impossible et ont monté une écurie en seulement 4 mois. Je n’en peux plus d’attendre de voir mes voitures en piste, c’est dur d’y croire avant de les voir par moi-même. Cherchez les voitures blanches et bleues. » a déclaré la nouvelle propriétaire d’écurie. Souhaitons bonne chance à cette nouvelle équipe. Pamela et Downforce 1 seront présents au Paul Ricard le weekend du 30 mars pour les 6h du Castelet. « Les voitures rapides et les femmes rapides vont ensemble et là je suis entourée par des hommes. J’adore cela ! » avait déclaré Pam lorsqu’elle avait donné le départ d’une course de Nascar.
  20. Bonjour, c’est avec plaisir que je vous présente ma nouvelle activité : télécommunications et énergie. Pour plus de renseignements : desoetemario@gmail.com ou directement au 0475 76 99 55. Au plaisir de vous rencontrer afin de pouvoir en parler plus amplement. Je reste bien entendu à votre entière disposition pour analyser vos factures actuelles, et voir les possibilités d’économies. Site en cours d'élaboration : https://sites.google.com/site/mariodesoete/
  21. Mario03

    La police de la route

    "C'est arrivé près de chez nous" : Un cochon arrêté au coeur du laetare de Stavelot
  22. Mario03

    La police de la route

    Si tu l'avait mise dans la rubrique "animaux et la circulation" on aurait pu avoir un doute, non ?
×
×
  • Créer...