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Mario03

Le circuit de Francorchamps

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Gérard Lopez a réaffirmé auprès de nos partenaires de ToileF1 son intérêt pour le rachat du circuit de Spa-Francorchamps, si la Région wallonne venait à lancer un appel d’offres afin de privatiser le toboggan des Ardennes.




Pour le copropriétaire de Lotus Renault GP, le circuit de Spa-Francorchamps est actuellement sous-exploité. Il estime toutefois qu’il serait possible d’en faire une source de profit, qui pourrait servir à financer l’organisation annuelle du Grand Prix de Belgique, si un véritable projet industriel était mis en place et que les autorités belges consentaient à privatiser le circuit. Cela permettrait de ne pas recourir à une éventuelle alternance avec la France.

"Je réaffirme mon intérêt. Actuellement, le circuit de Spa-Francorchamps est sous-exploité mais je reste convaincu qu’il est possible d’en faire une source de profit, à condition que ce nouvel essor passe par une privatisation du circuit. Spa est un tracé exceptionnel, je pense qu’il est possible de faire bien plus avec le circuit que ce qu’on en fait actuellement," a-t-il déclaré à ToileF1.

Lopez ajoute qu’en cas d’appel d’offres, sa société Genii Capital examinerait le dossier. Avec l’aide de plusieurs partenaires, elle pourrait ensuite soumettre une offre qui viserait à développer un complexe industriel autour du circuit de Spa-Francorchamps.

"Au jour d’aujourd’hui, Genii Capital n’est impliqué dans aucun projet destiné à investir dans le circuit. Toutefois, si la Région wallonne lançait un appel d’offres afin de confier l’exploitation du circuit de Spa-Francorchamps à des investisseurs privés, Genii Capital l’examinerait et, après examen du dossier, nous pourrions faire une offre," a-t-il précisé.

"Nous ne nous impliquerions pas seuls dans ce projet. Genii Capital s’appuierait sur le soutien de certains de ses partenaires afin de développer un véritable projet industriel destiné à redynamiser le circuit de Spa-Francorchamps. Il s’agirait de construire un complexe industriel tout autour du tracé, tout en veillant à garder le charme de Spa et à ne pas dénaturer le circuit. Par exemple, il faudrait avoir davantage d’hôtels. Pour l’instant, il n’y en a pas vraiment à proximité à l’exception de celui de La Source."

Le ministre wallon de l’économie, Jean-Claude Marcourt, a indiqué à ToileF1que le circuit de Spa-Francorchamps était privatisable. Il n’est d’ailleurs pas opposé à une vente partielle ou totale du tracé si cela permet d’assurer le maintien du Grand Prix de Belgique tout en réduisant la charge financière de l’épreuve sur les finances wallonnes. Cependant, il estime que c’est à Genii Capital de faire le premier pas et non à la Région.

"Il n’y a pas aujourd’hui de procédure quelle qu’elle soit initiée par la Région wallonne afin de lancer un appel d’offres pour vendre l’exploitation du circuit de Spa-Francorchamps. Toutefois, il est évident que si quelqu’un formulait une proposition concrète, indiquant qu’il avait un projet industriel et qu’il souhaitait faire quelque chose avec le circuit, nous l’analyserons avec beaucoup d’intérêt et d’attention. Cependant, aujourd’hui nous n’avons rien reçu de concret quant à l’exploitation du Grand Prix et l’exploitation du circuit de manière plus générale," a déclaré Marcourt à ToileF1.

"Néanmoins, on peut tout imaginer. Si la privatisation de Spa-Francorchamps contribue au développement du circuit et à la réduction de la charge financière sur les finances de la Région wallonne, si ces deux conditions sont remplies, alors on peut regarder à beaucoup de choses."

Le ministre a également déploré le manque d’appui du fédéral. Actuellement, seule la Région wallonne soutient financièrement l’organisation du Grand Prix de Belgique, mais l’état fédéral continue pourtant à percevoir les recettes TVA générées par l’épreuve.

"La tenue du Grand Prix de Belgique est positive pour beaucoup d’acteurs, pour l’état fédéral, pour la sécurité sociale mais il n’est pas logique que ce soit la Région wallonne à elle seule qui doit en assumer l’équilibre financier. Le Grand Prix est une vitrine pour la Belgique à l’échelle mondiale, c’est pour ça que je dis que l’état fédéral pourrait contribuer au déficit d’exploitation car il s’agit du Grand Prix de Belgique et non de celui de la Région wallonne. Et il ne faut pas perdre de vue que le Grand Prix est une vitrine extrêmement importante pour la Belgique à travers le monde. Beaucoup de pays se battent pour pouvoir entrer au calendrier de Formule 1, car ils ont bien compris qu’un Grand Prix offrait une visibilité internationale importante," a-t-il ajouté.

La société Spa Grand Prix, qui organise le Grand Prix de Belgique, tiendra ce mercredi une conférence de presse à Bruxelles. Le promoteur André Maes et le président de Spa GP, Etienne Davignon, reviendront sur les retombées économiques de l’édition 2010 et présenteront l’édition 2011, qui se tiendra le dernier week-end d’août. Cette année, une tribune "Michael Schumacher" sera créée pour célébrer le 20ème anniversaire de ses débuts en Grand Prix.

Il n’y aura toutefois pas de tribune "Jérôme D’Ambrosio", alors que la Belgique attendait depuis une quinzaine d’années d’être à nouveau représentée en Formule 1. Un nouveau manque d’engagement belge qui déçoit Lopez, dont sa société de management de pilotes, Gravity, gère la carrière de D’Ambrosio.

Gravity avait d’ailleurs étudié la possibilité de créer une tribune belge à Spa-Francorchamps cette année, avant de s’heurter au manque de soutien du promoteur du Grand Prix. "En ce qui nous concerne, nous avions travaillé sur un projet de tribune autour de Jérôme D’Ambrosio pour l’édition 2011 du Grand Prix de Belgique, mais, faute de soutien, il n’a pas abouti," a regretté Lopez.




G. Demoen / Toile F1

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Spa Grand Prix :"Privatiser Span’offre aucuneperspective"

Ecrit le mercredi 10 août 2011 à 22:18, par Gregory Demoen

Davignon (à gauche) rejette toute idée de privatisation


Etienne Davignon, le président de Spa Grand Prix, la société qui organise le GP de Belgique, a déclaré à ToileF1 que la privatisation du circuit de Spa-Francorchamps n’offrait aucune perspective.

Ce dernier mois, Gérard Lopez, copropriétaire de Lotus Renault GP, avait confié à Gaëtan Vigneron, le commentateur des Grands Prix pour la télévision belge RTBF, son intérêt pour le rachat du toboggan des Ardennes.

L’homme d’affaires luxembourgeois avait réaffirmé son intérêt auprès de ToileF1 , dans un article que nous vous rapportions ce mardi, en marge de la conférence de presse qui se tenait ce mercredi à Bruxelles sur l’édition 2011 du Grand Prix de Belgique.

"Je réaffirme mon intérêt. Actuellement, le circuit de Spa-Francorchamps est sous-exploité mais je reste convaincu qu’il est possible d’en faire une source de profit, à condition que ce nouvel essor passe par une privatisation du circuit. Spa est un tracé exceptionnel, je pense qu’il est possible de faire bien plus avec le circuit que ce qu’on en fait actuellement," avait déclaré Lopez.

"Au jour d’aujourd’hui, Genii Capital n’est impliqué dans aucun projet destiné à investir dans le circuit. Toutefois, si la Région wallonne lançait un appel d’offres afin de confier l’exploitation du circuit de Spa-Francorchamps à des investisseurs privés, Genii Capital l’examinerait et, après examen du dossier, nous pourrions faire une offre."

Davignon a toutefois indiqué à ToileF1 qu’il avait contacté Lopez et qu’il avait conclu à l’issue de leur discussion que la privatisation du circuit de Spa-Francorchamps n’offrait aucune perspective.

"Monsieur Lopez a tenu des propos intéressants à Monsieur Vigneron. Il était très sympathique qu’il les partage avec Monsieur Vigneron, mais il ne les avait partagés ni avec les autorités ni avec les responsables du circuit. J’ai donc interpellé Monsieur Lopez pour savoir s’il y avait des perspectives et la réponse à cette question est non. Voilà une réponse claire," a-t-il déclaré.

Reste à savoir si cette histoire en restera là...

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F1 : Happart dépense plus que prévu
Ph. Law.

Mis en ligne le 27/08/2011

Il fait des travaux pour 500 000 €, or la FIA n’en exigeait que pour 200 000 €.
Les habitudes ont manifestement la vie dure, sur le circuit de Spa-Francorchamps. Selon nos informations, Jean-Marie Happart (PS) a encore réussi à mettre ses partenaires de la nouvelle société du Circuit de Spa-Francorchamps (CSF) en rogne en faisant cavalier seul dans la réalisation de certains travaux demandés par la Fédération internationale de l’automobile (FIA). En effet, il aurait fait réaliser des travaux pour environ un demi-million d’euros par l’entreprise Bodarwé, alors que les aménagements recommandés par la Fédération internationale de l’automobile (FIA) ne devaient pas dépasser un budget de 200 000 euros. "Ce dernier budget était largement suffisant pour réaliser les travaux demandés par la FIA, mais Jean-Marie Happart n’en a fait qu’à sa tête et a fait des travaux pour un montant plus important. Pire encore, il n’en a pas informé le conseil d’administration de la nouvelle entité comme il l’aurait dû le faire", nous ont confirmé plusieurs sources.

Les travaux concernent l’asphaltage d’un des virages du circuit de Spa-Francorchamps. Il a été réalisé sur une superficie plus importante que prévu, alors que ce n’était pas justifié. Pourquoi a-t-il ignoré (sciemment ?) les règles de bonne coordination entre les différentes entités dans la perspective de la mise en place de la nouvelle société du Circuit de Spa-Francorchamps ? "Tant que les deux structures existantes n’ont pas encore disparu, il est vrai que Jean-Marie Happart demeure président de l’Intercommunale immobilière de Spa-Francorchamps (ISF), laquelle a encore des pouvoirs et des missions. Tout le monde est d’accord qu’il faut une transparence et informer les uns et les autres pour faciliter les choses, mais apparemment, lui n’en est pas convaincu", analyse un des responsables de la nouvelle entité. Cet excès de zèle énerve d’autant plus les administrateurs de la société du Circuit de Spa-Francorchamps que la manche belge du Grand Prix de F1 ne roule pas sur l’or et accumule les déficits, lesquels sont épongés grâce aux deniers publics (lire ci-dessous). Nous avons tenté de joindre hier M. Happart pour avoir sa version du dossier, mais en vain. Mais on lui prête l’intention d’avoir étendu les travaux dans l’espoir de démarrer les aménagements en vue de faire (re)venir à Francorchamps les grandes compétitions de moto (Grand Prix, Superbike ou endurance).

Or, pour ce faire, des travaux sont indispensables pour mettre le circuit aux normes de la FIM (Fédération internationale de moto). L’estimation qui circule pour ces travaux chiffre ceux-ci à un, voire cinq millions d’euros !

Le ministre de tutelle, Jean-Claude Marcourt (PS) aurait été informé de la situation et de l’attitude M. Happart. "Il a invité Jean-Marie à respecter les procédures et les recommandations. Mais une fois que la nouvelle société aura remplacé les deux existantes, chacun devra tenir son rôle, sinon la cohabitation sera difficile", dit-on.

D’après le calendrier, l’ISF et la Société de promotion du circuit de Spa-Francorchamps (SPCSF) tiendront chacune une assemblée générale le 22 ou 23 septembre pour sceller leur dissolution afin de laisser la place à la société du Circuit de Spa-Francorchamps. Celle-ci sera pleinement opérationnelle dès fin septembre et l’actuel président, Etienne Davignon, cédera le flambeau à l’ancien ministre Melchior Wathelet père.

Les travaux réalisés - et qui suscitent aujourd’hui la polémique - avaient été recommandés par la FIA. En effet, comme à son habitude, l’instance qui gère notamment les grands prix de F1 dans le monde a dépêché un de ses directeurs à Francorchamps pour vérifier la conformité du plus beau circuit du monde quelques mois avant le rendez-vous belge de la compétition phare des courses automobiles. L’objectif est de pouvoir procéder à temps aux aménagements nécessaires pour le bon déroulement de la course.

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Les propos d'Etienne Davignon font bondir chez les défenseurs du circuit


La sortie d'Etienne Davignon, le président de Spa Grand Prix, dimanche avant la course annonçant une possible alternance entre le Grand Prix de Belgique et le Grand Prix de France a été vivement critiquée par les intervenants qui se sont dit étonnés et déçus de tels propos mal venus, a commenté le bourgmestre de Spa, Joseph Houssa.

Ce dernier a d'ailleurs ajouté que si l'Allemagne et la France voulaient jouer l'alternance, elles pouvaient le faire mais que le Grand Prix de Belgique ne rentrait pas dans cette configuration. Le bourgmestre de Spa a aussi fustigé les commentaires soulignant que le Grand Prix de Belgique est déficitaire.

André Blaise, l'échevin représentant la commune de Malmedy, a souligné que tous les Grand Prix étaient déficitaires et que tous les états y allaient de leur poche, la Région wallonne devant elle aussi faire l'effort nécessaire. L'échevin malmédien a cependant souligné qu'il était important de contrôler le déficit.

Il a fait des dégats


Les intervenants économiques ont vertement critiqué la sortie d'Etienne Davignon signalant qu'il n'était pas mandaté pour tenir de tels propos et proposant même à ce dernier de prendre sa retraite et de s'occuper de son jardin "vu les dégâts déjà occasionnés par cette personne avec qui il est impossible de dialoguer", a souligné Robert Coeckelbergs, le président de la commission économique de Stavelot.

Regis Coekelbergs, président du collectif de Sauvegarde du Circuit, a pour sa part rappelé qu'Etienne Davignon avait été choisi pour ce poste "car il avait un portefeuille d'amis sensés investir à Francorchamps et je cherche toujours les amis qui ont investi à Francorchamps".

Les forces vives politiques et économiques prônent aussi une ouverture vers Gérard Lopes bien introduit dans le monde de la F1 et à Francorchamps via l'Hôtel de la Source qui s'est lui-même dit intéressé par le rachat du circuit et l'organisation du Grand Prix.

Belga

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Le but de l'alternance serait de réduire le déficit à supporter par la Région wallonne


Les acteurs économiques et politiques de la région de Spa Francorchamps disent non à l'alternance du Grand Prix de Formule 1 de Belgique avec la France. Ils rejettent en bloc cette idée qui, selon eux, mettrait en péril l'existence même du circuit.
L'idée a été relancée lors du dernier Grand Prix par Etienne Davignon, le président de la société organisatrice. Il s'agirait de réduire le déficit à supporter par la Région wallonne.

Mais pour les acteurs régionaux du dossier, qui n'ont pas été concertés, l'idée n'est pas bonne. Au niveau de Stavelot et de Malmedy par exemple, ce serait même une catastrophe. Thierry de Bournonville, bourgmestre de Stavelot: "Ne plus avoir de Grand Prix pour Stavelot, c'est se priver de 350.000 euros et donc forcément d'une qualité d'investissement que nous ne pourrons plus assurer pour nos administrés".

Le directeur de l'Union des Classes Moyennes de Verviers, Jean Junglings, y voit lui la perte d'autres manifestations: "L'euroskills - championnat d'Europe des métiers - qui va être organisé ici en Belgique, beaucoup de pays se sont battus pour l'obtenir, et cela se passe ici à Francorchamps parce que le premier critère, c'est d'obtenir un site qui est connu au niveau international".

Alors quelle alternative proposer? Le collectif de sauvegarde du circuit lance une idée. Régis Coeckelbergs, son président: "Pourquoi le Grande Prix de Belgique de Formule 1 ne serait pas le Grand Prix "Vert", le Grand Prix avec toute une série de mesures de récupération de pluie, de panneaux solaires, de courses annexes avec des lubrifiants moins polluants. Francorchamps pourrait ainsi être une référence en matière écologique".

Le projet d'alternance est par contre accueilli positivement par le grand patron de la F1, Bernie Ecclestone. Le circuit qui pourrait accueillir un Grand Prix de France appartient en fait à son ex-épouse.

O. Thunus

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Francorchamps ne meurt jamais?
mardi 25 août 2009 à 10h03

De l'été 2002 à l'été 2003, la politique belge a été rythmée par un débat passionné au sujet de Francorchamps. Sept ans plus tard, Ecolo est de retour aux affaires, l'avenir du Grand Prix reste incertain et Bernie Ecclestone ne cache plus son mépris pour la démocratie.

Francorchamps ne meurt jamais?

"Je préfère les leaders forts." "A part le fait que Hitler s'est laissé emporter et persuader de faire des choses dont j'ignore s'il voulait les faire ou pas, il était en position de commander beaucoup de gens et d'être efficace." "Si vous observez la démocratie, elle n'a pas fait beaucoup de bien à beaucoup de pays." L'auteur de ces sages propos? Nul autre que Bernie Ecclestone, le grand patron de la formule 1, qui a prononcé ces paroles lors d'une interview au quotidien britannique The Times, le 4 juillet dernier.

Les responsables politiques wallons, d'habitude si enclins à condamner toute réminiscence de l'extrême droite, ne se sont pas bousculés, cette fois, pour exprimer leur désapprobation. Quelle sera leur attitude lors du Grand Prix de Spa-Francorchamps, le 30 août? Serreront-ils la main d'Ecclestone, s'il leur arrive de le croiser, au détour d'un paddock ou d'un espace VIP?

L'ambiance ce dimanche-là sera d'autant plus étrange que le sort de Francorchamps est à nouveau incertain. Bernie Ecclestone l'a déclaré le 4 août: à l'avenir, le GP de Belgique ne se tiendra plus que tous les deux ans, en alternance avec le circuit allemand du Nürburgring. Le ministre wallon de l'Economie, Jean-Claude Marcourt (PS), y voit "une hypothèse de travail intéressante". "C'est peut-être une chance de pérenniser les deux Grand Prix. Car le principal concurrent de Spa, c'est le Nürburgring. Et le principal concurrent du Nürburgring, c'est Spa."

Se dirige-t-on vers de nouvelles empoignades politiques au sujet de Francorchamps? On n'en est pas encore là. Les ministres Ecolo du gouvernement wallon, Jean-Marc Nollet et Philippe Henry, se gardent pour l'instant de tout commentaire. Chat échaudé craint l'eau froide...

Pour rappel, le dossier Francorchamps avait coûté une déroute électorale à Ecolo, au terme d'une saga qui a occupé le devant de l'actualité de juin 2002 à juin 2003. A l'époque, les verts refusaient de revoir la loi (votée en 1997) interdisant toute forme de publicité pour le tabac (les cigarettiers sponsorisaient certaines écuries), alors que le PS et le MR souhaitaient accorder une dérogation aux manifestations sportives internationales.

Sept ans après le début de la polémique, nous en avons exhumé quelques déclarations marquantes, et avons demandé à leurs auteurs de les commenter.

Serge Kubla: "La Région wallonne a besoin de Francorchamps sur le plan économique. Ceux qui, comme Ecolo, estiment que l'on a trop dépensé pour le circuit connaissent mal le dossier." (Vers l'Avenir, 4 novembre 2002)
A l'époque, Serge Kubla était ministre wallon de l'Economie. Aujourd'hui, il est député wallon (MR) et bourgmestre de Waterloo.
Sa réaction: "Je suis très étonné de ces propos râleurs tenus par Bernie Ecclestone, des propos que je n'ai jamais entendus, que je ne comprends pas, et que je ne défends pas, qui viennent sans doute d'un personnage déçu, en fin de carrière. Mais qui a toujours tenu ses promesses, qui a apporté du dynamisme. Si je le rencontre, je n'aurai aucun problème à lui serrer la main."

Yves Reinkin: "Stavelot n'est vraiment pas une zone sinistrée: moins de 6% de chômage. Et ce sont moins de 20 personnes qui travaillent en permanence pour le circuit..." (La Libre Belgique, 17 mai 2003)
A l'époque, Yves Reinkin était conseiller communal Ecolo à Stavelot, administrateur de l'intercommunale du circuit de Spa-Francorchamps. Aujourd'hui, il est député à la Communauté française, et toujours administrateur de l'intercommunale du circuit.
Sa réaction: "Je ne regrette pas d'avoir dit ça. A l'époque, certains faisaient croire que, sans Grand Prix, c'était la mort de la Wallonie. Aujourd'hui, plus personne ne pense que le circuit est le poumon économique de la Région... Personnellement, j'assisterai au Grand Prix le 30 août. Mais si je croise Ecclestone, je ne lui dirai pas bonjour. Certains diront: Paris vaut bien une messe. N'empêche, pour moi, cet homme est infréquentable. A terme, je crois aussi qu'il faudra rouvrir le débat: est-il normal que le pouvoir public finance une course? En Flandre, le circuit de Zolder a été remis aux mains du privé, et ça fonctionne très bien."

Philippe Monfils: "Il ne faut pas rêver: si le Grand Prix 2003 est annulé, il n'y aura plus jamais de Grand Prix de formule 1 en Belgique." (La Dernière Heure, 29 octobre 2002)
A l'époque, Philippe Monfils était sénateur MR et conseiller communal de Liège. Aujourd'hui, il est toujours sénateur MR.
Sa réaction: "J'avais raison: ce sont la pub et les droits TV qui font la loi, et qui l'emportent sur la qualité de notre circuit naturel, le plus beau du monde. Quant aux propos de Bernie Ecclestone, ils sont inacceptables et scandaleux. Je ne peux pas comprendre cette référence à un passé odieux, mais je ne peux pas non plus admettre que l'on s'en serve pour condamner la F1. Si je rencontre Bernie Ecclestone, je ne lui serrerai pas la main. Mais on ne peut pas condamner le Grand Prix sur la base de cette déclaration scandaleuse."

Elio Di Rupo: "Fondamentalement, Ecolo avait raison. (...) Mais nous aurions pu reporter de quelques années l'interdiction de pub pour le tabac, cela n'aurait pas été fondamental." Knack, 23 avril 2003)
A l'époque comme aujourd'hui, Elio Di Rupo était (est) président du PS.
Sa réaction: "Cela s'est vérifié. Sur les circuits européens de formule 1, on ne voit plus de publicité pour les cigarettes. J'ai toujours été parcimonieux des deniers publics. Quand on dépense de l'argent public, il faut le faire avec un rendement maximum. Or il faut se rappeler qu'avant ces événements, avant cette polémique, le Grand Prix ne coûtait rien à l'autorité publique. Au contraire, cela rapportait, via diverses rentrées fiscales. Après ces événements, le Grand Prix a commencé à coûter à l'autorité publique. Il aurait mieux valu trouver une formule politique et légale pour faire ça sans rupture... Si on avait attendu deux ou trois ans pour interdire la publicité pour le tabac, il n'y aurait pas eu cette rupture. La donne aurait été différente. Cela aurait évité que l'autorité publique doive dépenser de l'argent pour ce sport-spectacle."

Evelyne Huytebroeck: "Quand un sport est totalement dépendant d'un lobby, ça ne va pas. Il n'est pas bon qu'une épreuve sportive soit aussi largement sponsorisée par des marques de cigarettes." (Le Soir, 24 juillet 2002)
A l'époque, Evelyne Huyebroeck était secrétaire fédérale Ecolo. Aujourd'hui, elle est ministre bruxelloise de l'Environnement.
Sa réaction: "Depuis lors, beaucoup d'eau a coulé sous les ponts. L'interdiction de la pub pour le tabac a été décidée au niveau européen, et plusieurs pays extra-européens commencent à franchir le pas aussi. Et pourtant, les F1 roulent toujours... Preuve est faite que le départ des cigarettiers n'allait pas mettre à mal la F1. Quant à ce qu'a dit Ecclestone, ce sont des propos tellement abjects qu'ils ne méritent même pas d'être commentés."

François Brabant. Propos recueillis par François Brabant et Michel Delwiche

http://www.levif.be/info/?utm_source=LeVif_home&utm_medium=logo&utm_campaign=navigatie


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Je crois que pour la première partie il y a une erreur...Ce n'est pas Bernie E qui a fait allusion à Hitler, mais MAX MOSLEY, qui était président de la FIA, il ne faut pas oublier que M MOSLEY est le fils de OSWALD MOSLEY le chef du parti Nazi Anglais dans les années 30-40, emprisonné pendant la guerre de 40, en Angleterre. Tous cela sauf si je me trompe, pour vous dire que je n'aime pas Bernie E, mais qu'il faut laisse les chôses a leurs places. Reste que les dirigeants ont des origines bizarres MOSLEY, fils de MOSLEY................

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Spa-Francorchamps assigné en justice



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©️ photo news
La Province de Liège a assigné l'Intercommunale de Spa-Francorchamps (ISF) en justice en vue d'obtenir réparation à la suite de la destruction d'un immeuble qui lui appartenait, rapporte mardi L'Echo.

La Province de Liège réclame le montant correspondant à la valeur d'un bâtiment détruit sans procédure d'expropriation valable, soit 660.000 euros.

L'immeuble en question a été détruit en 2007 dans le cadre de la construction d'une nouvelle chicane mais l'ISF n'aurait pas fait les choses dans les règles. "Il y a un minimum de règles administratives à respecter notamment une expropriation en bonne et due forme, ce qui n'a pas été le cas", confie une source proche du dossier.

Le circuit doit par ailleurs gérer un autre cas, souligne encore L'Echo, à savoir l'octroi à vie de 14 tickets gratuits et de 4 places de parking à l'intérieur du circuit à une famille de juristes spadoise par Jean-Marie Happart (PS), président de l'ISF.

Toujours en 2007, l'ISF a besoin d'un terrain appartenant à cette famille pour réaliser les travaux de la route de contournement de la sécurité du circuit.

Dans ce cadre, "Jean-Marie Happart engage l'ISF au paiement d'une facture d'achat du terrain pour plus de 120.000 euros", selon L'Echo. Des tickets d'entrée à vie sont en outre accordés. Contacté par le quotidien, Jean-Marie Happart a reconnu l'existence de ces deux dossiers. (belga)
27/09/11 04h10

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Tickets gratuits à vie contre terrain à Francorchamps





L'intercommunale du circuit de Francorchamps est attaquée en justice. Par la province de Liège.
©️ Belga


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Les nouveaux administrateurs de la nouvelle société du circuit de Francorchamps ont du pain sur la planche. À peine la nouvelle entité est-elle portée sur les fonts baptismaux qu'elle est déjà grevée par les conséquences de la gestion des dirigeants d'une des deux entités qu'elle absorbe. Selon nos informations, la Province de Liège a assigné l'Intercommunale de Spa-Francorchamps (ISF) en justice pour obtenir réparation suite à la destruction d'un immeuble qui lui appartenait. Elle réclame le montant correspondant à la valeur d'un bâtiment détruit sans procédure d'expropriation valable. Soit pas moins de pas moins de 660.000 euros.

C'est en 2007 que l'intercommunale patrimoniale du circuit de Francorchamps démolit l'immeuble de la Province de Liège dans le cadre de la construction de la nouvelle chicane. Mais l'ISF n'aurait pas fait les choses dans les règles. Et même si la Province a des représentants à son conseil d'administration, elle entend préserver ses droits. "Il y a un minimum de règles administratives à respecter notamment une expropriation en bonne et due forme! Ce qui n'a pas été le cas. Dans le cadre d'une saine gestion des deniers publics, nous voulons faire constater cette créance sur l'ISF. Et comme la nouvelle société du circuit de Francorchamps reprend les droits et obligations de celle-ci, notre action se poursuit", nous a confié une source proche du dossier.

La nouvelle société du circuit doit aussi gérer un autre cas: l'octroi à vie de 14 tickets gratuits et de 4 places de parking à l'intérieur du circuit à une famille de juristes spadoise par Jean-Marie Happart (PS), président de l'ISF. Son engagement impose des obligations à la SA de promotion du circuit de Spa-Francorchamps (SPCSF), entité commerciale du circuit. Ses actionnaires (Région wallonne, SLF) ont voté le 23 septembre sa dissolution et son absorption par la nouvelle entité (Le circuit de Spa-Francorchamps). Aujourd'hui, ses dirigeants rient jaune en voyant l'héritage de M. Happart. En 2007, pour réaliser les travaux de la route de contournement de la sécurité du circuit, l'ISF avait besoin d'un terrain d'environ 1.000 m2 non bâtissable appartenant à la famille T. Une expropriation aurait permis de réduire l'ardoise. Mais après une discussion de quelques minutes à l'Eau Rouge (en bordure du circuit), Jean-Marie Happart engage l'ISF au paiement d'une facture d'achat du terrain pour plus de 120.000 euros. Et cerise sur le gâteau: des tickets d'entrée à vie (pour les enfants et petits-enfants de la famille T.) pour toutes les manifestations sportives (sauf la F1) et culturelles sur le circuit! Ces engagements ont été coulés dans un acte notarié.

Contacté par nos soins, M. Happart reconnaît l'existence ces deux dossiers, il nous a précisé que les dossiers de la SPCSF et de l'ISF seront repris par la nouvelle entité. L'ISF devrait procéder vendredi (dissolution et absorption), au même vote que la SA la semaine dernière.



L'Echo

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Le ministre wallon Jean-Claude Marcourt estime que le déficit du GP de Formule 1 de 2011 sera moins élevé que l'an passé


Le déficit du Grand Prix de Spa-Francorchamps devrait être moins élevé en 2011 qu'en 2010, où la Région wallonne avait épongé une dette de 5 millions d'euros, a indiqué en commission le ministre wallon de l'Économie, Jean-Claude Marcourt. Le sort du patron de l'intercommunale, Jean-Marie Happart, a aussi été évoqué.

[b]assigne l'intercommunale en justice [/b]



La perte à éponger devrait être moins élevée qu'en 2010, parce qu'on a vendu plus de places cette année, a indiqué le ministre, sans pouvoir cependant avancer de chiffres plus précis.

Les députés Manu Disabato (Ecolo) et Pierre-Yves Jeholet (MR) l'ont interrogé sur une série de rumeurs et d'informations parues dans la presse à propos du Grand Prix. Jean-Claude Marcourt (PS) a ainsi répondu ne pas avoir entendu parler d'une éventuelle envie du patron de l'écurie Lotus de racheter le Grand Prix. Il a par contre déclaré avoir eu un contact avec un investisseur intéressé par une privatisation du circuit.

Le ministre a également expliqué avoir eu des contacts avec la cellule "grands événements" du Premier ministre français François Fillon dans le cadre d'une éventuelle alternance dans l'organisation des Grands Prix de France et de Belgique.

"Je ne suis pas favorable à cette alternance car le Grand Prix est une formidable vitrine internationale pour la région", a expliqué Pierre-Yves Jeholet. "C'est une mauvaise formule parce qu'on assiste de plus en plus à une poussée des pays émergents. Qui sait si, dans quelques années, on ne supprimerait pas ces Grands Prix alternés, puisqu'ils ne sont déjà plus organisés qu'un an sur deux? "

Le ministre a enfin rappelé que Spa-Francorchamps ne se limitait pas au Grand Prix de formule 1, mais abritait aussi un incubateur automobile, un zoning dédié aux PME et un centre de formation notamment.

"Jean-Marie Happart doit se retirer"

Le président de l'Intercommunale immobilière de Spa-Francorchamps (ISF), qui gère le circuit éponyme, Jean-Marie Happart, "a fait assez de dégâts à l'ISF et doit avoir la décence de se retirer", a aussi affirmé le député wallon Pierre-Yves Jeholet (MR), alors que le cas de Jean-Marie Happart a été évoqué en commission de l'Economie mercredi.


"L'ISF est confrontée à des litiges financiers, notamment avec la province de Liège, qui est pourtant impliquée dans l'intercommunale, et Jean-Marie Happart a une responsabilité dans ces litiges", affirme le député.

La province vient d'intenter une action en justice contre l'intercommunale parce que celle-ci a rasé un bâtiment provincial sur le circuit sans verser de compensation à la province, qui réclame désormais 600 000 euros. Un autre dossier annexe montre que la famille propriétaire d'un terrain dont l'ISF avait besoin s'est vu offrir 120 000 euros et des places à vie pour le circuit, alors que l'ISF aurait pu mettre en œuvre une procédure classique d'expulsion, a rappelé le député Ecolo Manu Disabato.

Le ministre de l'Économie, Jean-Claude Marcourt, s'est dit "étonné" que l'ISF propose des places alors qu'elle ne les possède pas, en pratique. Les questions qui lui ont été posées ont aussi porté sur des travaux de sécurisation sur une partie de piste, exigés par la FIA (fédération automobile internationale). Ces travaux ont coûté 500 000 euros, alors que selon les critères de la FIA, on aurait pu se contenter de 200 000 euros. Là aussi, c'est la faute au président de l'intercommunale, estime Pierre-Yves Jeholet.

Le ministre a confirmé que le processus de fusion des deux structures - dont l'ISF - qui gèrent le circuit arrivait à son terme, et que c'est lui qui assumerait dès que ce serait fait la tutelle du nouvel organisme. Les députés ont demandé si Jean-Marie Happart aurait encore un rôle à jouer dans cette nouvelle structure, ce qui sera le cas, a confirmé le ministre.

"Jean-Marie Happart doit avoir la décence de se retirer", a estimé Pierre-Yves Jeholet en marge de la commission. "Cela fait partie de la reprofessionnalisation du circuit."

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Spa fait débat


Le ministre wallon de l’économie, Jean-Claude Marcourt, en charge du dossier du Grand Prix de Belgique, a été interrogé au Parlement wallon sur une série de questions entourant l’avenir de l’épreuve belge à Spa-Francorchamps.
Marcourt a confirmé que l’édition 2011 du Grand Prix de Belgique devrait afficher un déficit moins important que l’année dernière, où la Région wallonne avait dû éponger 5 millions d’euros. Si le ministre a confirmé que plus de places avaient été vendues, l’affluence totale suscitée par l’épreuve n’est en revanche toujours pas connue, tout du moins officiellement, et ce plus d’un mois après le Grand Prix.

Il a également été interrogé par les députés Manu Disabato (Ecolo) et Pierre-Yves Jeholet (MR) suite à plusieurs rumeurs parues dans la presse quant à l’avenir du Grand Prix. Marcourt a ainsi confirmé avoir eu des contacts avec la cellule "grands évènements" du Premier ministre français François Fillon en vue d’une possible alternance entre les Grands Prix de Belgique et de France à partir de 2013. Un projet critiqué qui a fait débat au sein du parlement wallon, le député Jeholet donnant notamment sa désapprobation.

"Je ne suis pas favorable à cette alternance car le Grand Prix est une formidable vitrine internationale pour la région. C’est une mauvaise formule parce qu’on assiste de plus en plus à une poussée des pays émergents. Qui sait si, dans quelques années, on ne supprimerait pas ces Grands Prix alternés, puisqu’ils ne sont déjà plus organisés qu’un an sur deux ?" a indiqué ce député MR.

De manière très étonnante, Marcourt a par ailleurs indiqué ne pas avoir entendu parler d’un possible intérêt de Gérard Lopez, copropriétaire de Lotus Renault GP, pour éventuellement racheter le circuit de Spa-Francorchamps et s’occuper de l’organisation du Grand Prix de Belgique. Il a en revanche précisé qu’il avait été en contact avec un investisseur intéressé par la privatisation du circuit belge.

Le contrat du Grand Prix de Belgique expire en 2012.

Grégory Demoen/ToileF1.com

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Jean-Marie Happart, président de l'ISF, se dit "fatigué" des critiques


Jean-Marie Happart, le président de l'Intercommunale immobilière de Spa-Francorchamps (ISF), s'est dit "fatigué par les déclarations fausses et malhonnêtes" remettant en cause sa gestion de l'intercommunale. Plus tôt dans la journée, le député MR Pierre-Yves Jeholet avait estimé qu'il devrait "avoir la décence de se retirer".

Et aussi



  • Le Grand Prix de F1 fait débat au Parlement wallon

"Depuis que je suis dans cette intercommunale, en 2003, j'ai toujours été accompagné par deux commissaires du gouvernement. Toutes les décisions sont prises en accord avec le conseil d'administration, en toute transparence. Je suis fatigué d'avoir toujours eu à affronter des interprétations approximatives", explique Jean-Marie Happart.
Il conseille à Pierre-Yves Jeholet de "se renseigner auprès des gens de son parti" qui font partie de l'intercommunale et ont approuvé les décisions prises. Il se dit également lassé "des déclarations fausses et malhonnêtes". "C'est fatigant. Je suis fier d'avoir fait ce que j'ai fait. Et je suis tout à fait serein, j'ai toujours géré en bon père de famille. Malgré cela, je n'ai jamais eu un article positif sur mon action. J'arriverai pourtant dans la nouvelle société (résultant de la fusion de l'ISF et de la société Spa Grand Prix, ndlr) avec 20 millions d'euros." Le ministre wallon de l'Économie Jean-Claude Marcourt a confirmé mercredi matin que Jean-Marie Happart jouerait encore un rôle dans la nouvelle structure.

Belga

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Jean-Marie Happart souhaite de la transparence au sein de la nouvelle société Circuit de Spa-Francorchamps (CSF), fruit de la fusion entre l'Intercommunale du Circuit (ISF) et de la Société de Promotion (SPCSF), chargée de gérer le circuit ardennais. Il demande un temps de réflexion afin que les nouveaux administrateurs puissent prendre les futures décisions en connaissance de cause.
L'ancien président de l'ISF a écrit aux autres mandataires et a sollicité une suspension de toutes les décisions. L'administrateur de la CSF, mandaté depuis 2003, explique que cette demande repose sur une volonté d'apporter la compréhension des dossiers qui s'impose aux nouveaux administrateurs. Il sollicite donc du conseil d'administration qu'il demande au comité exécutif de "se réunir aussi longtemps qu'il le faudra pour lui fournir le plan, les objectifs et l'organisation d'une politique objective de gestion du Circuit conformément aux décisions de la Région wallonne". M. Happart souhaite que le conseil d'administration puisse rencontrer tous les interlocuteurs qui gravitent autour du circuit ou qui facilitent le fonctionnement de l'institution. Il dément toute volonté de blocage dans cette démarche et a déclaré que sa proposition avait été entendue mais qu'elle ferait l'objet d'une étude plus approfondie lors d'un prochain conseil d'administration. (COR 560)

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Spa-Francorchamps: "Jean-Marie Happart doit avoir la décence de se retirer"

29 sept 2011 dans La DH

Jean-Marie Happart, « a fait assez de dégâts à l’ISF et doit avoir la décence de se retirer »

NAMUR Le président de l’Intercommunale immobilière de Spa-Francorchamps (ISF), qui gère le circuit éponyme, Jean-Marie Happart, « a fait assez de dégâts à l’ISF et doit avoir la décence de se retirer », a affirmé mercredi le député wallon Pierre-Yves Jeholet (MR), alors que le cas de M. Happart a été évoqué en commission de l’Economie mercredi. « L’ISF est confrontée à des litiges financiers, notamment avec la province de Liège, qui est pourtant impliquée dans l’intercommunale, et Jean-Marie Happart a une responsabilité dans ces litiges », affirme le député.

La province vient d’intenter une action en justice contre l’intercommunale parce que celle-ci a rasé un bâtiment provincial sur le circuit sans verser de compensation à la province, qui réclame désormais 600.000 euros. Un autre dossier annexe montre que la famille propriétaire d’un terrain dont l’ISF avait besoin s’est vu offrir 120.000 euros et des places à vie pour le circuit, alors que l’ISF aurait pu mettre en oeuvre une procédure classique d’expulsion, a rappelé le député Ecolo Manu Disabato.

Le ministre de l’Economie, Jean-Claude Marcourt, s’est dit « étonné » que l’ISF propose des places alors qu’elle ne les possède pas, en pratique. Les questions qui lui ont été posées ont aussi porté sur des travaux de sécurisation sur une partie de piste, exigés par la FIA (fédération voiture internationale). Ces travaux ont coûté 500.000 euros, alors que selon les critères de la FIA, on aurait pu se contenter de 200.000 euros. Là aussi, c’est la faute au président de l’intercommunale, estime M. Jeholet.

Le ministre a confirmé que le processus de fusion des deux structures – dont l’ISF – qui gèrent le circuit arrivait à son terme, et que c’est lui qui assumerait dès que ce serait fait la tutelle du nouvel organisme. Les députés ont demandé si M. Happart aurait encore un rôle à jouer dans cette nouvelle structure, ce qui sera le cas, a confirmé le ministre.

« Jean-Marie Happart doit avoir la décence de se retirer », a estimé M. Jeholet en marge de la commission. « Cela fait partie de la reprofessionnalisation du circuit. »

Article source: http://www.dhnet.be/infos/belgique/article/370041/spa-francorchamps-jean-marie-happart-doit-avoir-la-decence-de-se-retirer.html

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Spa-Francorchamps: Jean-Marie Happart « fatigué des déclarations fausses et malhonnêtes »




Jean-Marie Happart a un gros coup de fatigue. (Belga)


Jean-Marie Happart, le président de l’Intercommunale immobilière de Spa-Francorchamps (ISF), s’est dit “ fatigué par les déclarations fausses et malhonnêtes ” remettant en cause sa gestion de l’intercommunale.

Rédaction en ligne

Publié le 28/09 à 22h33

Ce coup de fatigue du président de l’intercommunale immobilière de Spa-Francorchamps fait suite aux déclarations de Pierre-Yves Jeholet. Un peu plus tôt dans la journée le député MR avait estimé que M. Happart devrait « avoir la décence de se retirer ».

“ Depuis que je suis dans cette intercommunale, en 2003, j’ai toujours été accompagné par deux commissaires du gouvernement. Toutes les décisions sont prises en accord avec le conseil d’administration, en toute transparence. Je suis fatigué d’avoir toujours eu à affronter des interprétations approximatives ”, explique Jean-Marie Happart.

Il conseille à Pierre-Yves Jeholet de “ se renseigner auprès des gens de son parti ” qui font partie de l’intercommunale et ont approuvé les décisions prises.

Il se dit également lassé “ des déclarations fausses et malhonnêtes ”. “ C’est fatigant. Je suis fier d’avoir fait ce que j’ai fait. Et je suis tout à fait serein, j’ai toujours géré en bon père de famille.

Malgré cela, je n’ai jamais eu un article positif sur mon action.

J’arriverai pourtant dans la nouvelle société (résultant de la fusion de l’ISF et de la société Spa Grand Prix, ndlr) avec 20 millions d’euros. ”

Le ministre wallon de l’Economie Jean-Claude Marcourt a confirmé mercredi matin que Jean-Marie Happart jouerait encore un rôle dans la nouvelle structure.



http://www.sudpresse.be/regions/verviers/2011-09-28/spa-francorchamps-jean-marie-happart-fatigue-des-declarations-fausses-et-malhonnetes-906240.shtml

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Un constructeur automobile coréen pourrait-il bientôt investir à Francorchamps ? En tout cas, une mission économique wallonne vient de séjourner au pays du matin calme, et un contact a été noué avec la société Oullim, qui fabrique un bolide de sport dénommé Spirra, et qui envisage de débarquer sur le marché européen avec des véhicules électrique.

La société Oullim, c'est un géant coréen des télécommunications. Voici quatre ans, elle a investi dans le secteur automobile. Depuis l'année dernière, elle produit une voiture de sport très très haut de gamme, la Spirra. Elle est équipée d'un moteur Hyundai qui développe jusqu'à quatre cents cinquante chevaux, avec boite à six vitesse, et carrosserie en fibre de carbone. Ces bolides sont entièrement montés à la main: les ateliers travaillent au rythme de trois cents exemplaires par an. Ils sont commercialisés sur le continent asiatique, et dans le golfe persique. Mais la société Oullim envisage, évidement d'arriver sur le marché européen.

Elle nourrit en plus d'ambitieux projets de véhicules électriques, utilitaires ou autres. Pourrait-elle investir sur le territoire belge ? En tout cas, une mission wallonne a noué les premiers contacts, en début de semaine. Le mot de FRANCORCHAMPS suffit à susciter l'intérêt. C'est précisément en bordure du circuit que le gouvernement régional entend développer un parc industriel consacré à l'automobile. Le constructeur russe Maroussia a déjà acquis une parcelle,sans avoir encore dévoilé ses plans, le coréen Oullim pourrait suivre. Des chinois, notamment l'une ou l'autre marque engagée dans des championnats de rallye, commencent également à se renseigner. Difficile, à ce stade, d'évaluer les suites de rencontres ou de courriers encore confidentiels. Mais ces pistes méritent d'être creusées....

Michel Gretry



http://www.rtbf.be/sport/moteurs/f1/detail_un-investisseur-coreen-a-spa?id=6954773

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Le circuit de New York sera un mélange de Spa et de Monaco

Ecrit le mardi 25 octobre 2011 à 13:06, par Gregory Demoen

Un cadre magnifique pour le futur Grand Prix des Amériques


Le futur Grand Prix des Amériques, qui se disputera le long des berges de la rivière Hudson, avec les gratte-ciels de Manhattan en toile de fond, sera un mélange de Monaco et Spa-Francorchamps.

C’est tout du moins ce qu’a indiqué Joe DeMarco, le procureur de la ville de West New York, qui, avec Weehawken, accueillera le circuit urbain en juin 2013 dans l’Etat du New Jersey.

"Le parcours sera très difficile pour les pilotes. On le compare à Spa en Belgique, mais il aura également des airs de Monaco. Il a été envisagé que ce Grand Prix se tiennent sur une durée de dix ans, mais il y a des options qui dépendent du succès de l’épreuve. J’espère que ce sera un événement qui se tiendra sur le long terme, soutenu par les résidents et la communauté," a-t-il déclaré à l’agence de presse Reuters.

Le maire de West New York, Felix Roque, a ajouté : "Cela va engendrer un boom économique pour toute la région. Alors que les politiques et la population parlent de création d’emplois, le gouverneur a appuyé sur la pédale et voilà le résultat. C’est le pinacle de la course automobile, c’est tout simplement incroyable !"

Le gouverneur de l’Etat du New Jersey, Chris Christie, dévoilera officiellement le projet du Grand Prix des Amériques au cours d’une conférence de presse qui se tiendra dans la ville de Weehawken ce soir à 14 heures locales, soit 20 heures en France.

http://www.toilef1.com/article.php3?id_article=19323

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Montezemolo : La F1 ne doit jamais perdre Spa

Ecrit le mardi 08 novembre 2011 à 12:22, par Gregory Demoen

Montezemolo se pose en défenseur de Spa-Francorchamps


Le président de Ferrari, Luca di Montezemolo, s’est posé en défenseur du circuit de Spa-Francorchamps face à l’internationalisation de la Formule 1.

Si la mondialisation de la F1 est indispensable, avec l’arrivée de l’Inde au calendrier cette saison et celle de la Russie en 2014, Montezemolo estime que la Formule 1 doit veiller à garder ses circuits historiques, dont celui de Spa-Francorchamps.

"La F1 se mondialise de plus en plus. Cela ne me pose aucun problème, tant que la F1 ne perd pas des circuits extraordinaires comme l’est celui de Spa," a confié Montezemolo dans une interview accordée au journal italien La Stampa.

Des propos qui rejoignent ceux exprimés par Martin Whitmarsh, le patron de McLaren Mercedes, en septembre dernier. "Je pense qu’il est très important que la Formule 1 conserve ses circuits historiques, qui comprennent Monza, Spa, Silverstone et Monaco, tout en s’ouvrant vers d’autres horizons à l’avenir," avait-il indiqué.

L’avenir du toboggan des Ardennes au calendrier de Formule 1 est pour le moment bien incertain. Le contrat liant le Grand Prix de Belgique à la Formula One Management de Bernie Ecclestone expire à la fin de l’année 2012. Les organisateurs disposent d’une option pour reconduire l’épreuve pendant cinq ans, jusqu’en 2017, si la Région wallonne décide de préserver son Grand Prix, seul événement de réelle envergure internationale en Belgique.



http://www.toilef1.com/article.php3?id_article=19537

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F1 circuits mythiques ou les circuits de légende de la F1



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  • nic_r


Seuls 69 circuits automobile ont été utilisés dans le cadre d’au moins une manche des 63 championnats de Formule 1. La plupart sont régulièrement modifiés voire largement transformés. Par exemple, le Nürburgring utilisé de nos jours n’a en commun avec son ancêtre que le nom et la situation géographique. Nous avons établi le top 5 des circuits de légende.

F1 : circuits mythiques




En cinquième position, Suzuka (Japon) est aujourd’hui le circuit préféré de la plupart des pilotes. Présent en F1 depuis 1987, il est le seul circuit en forme de 8, donc tournant autant à gauche qu’à droite. Très technique, il met à la fois le talent du pilote et la qualité des machines au premier plan. Le virage le plus fameux est le 130R, un gauche dangereux et étroit qui passe de justesse à fond. Toujours disputé en fin de saison, le titre s’y joua à de nombreuses reprises, notamment entre Prost et Senna qui s’y accrochèrent en 1989 et 1990. Michael Schumacher a remporté six victoires sur ce circuit.

En quatrième position, Monza (Italie) est le temple de la vitesse. Une ambiance unique assurée par les tifosi acclamant chaque passage des Ferrari, et célébrant toutes les victoires de la Scuderia avec une rare ferveur. Au départ, Monza n’était composé que de lignes droites reliées de virages rapides. A quatre reprises, l’anneau de vitesse fut même utilisé pendant la course mais fut abandonné suite au terrible accident de Von Trips en 1961, causant la mort du pilote Ferrari ainsi que de 11 spectateurs. Par la suite, la configuration de la piste faisait en sorte que les courses étaient extrêmement disputées. En 1971, les cinq premiers de la course se tenaient à l’arrivée en quelques dixièmes de secondes, mais dès 1972, des chicanes ont été ajoutées pour freiner la vitesse moyenne des F1. En 2004, Juan Pablo Montoya boucla un tour de qualification à la vitesse moyenne record de 262 km/h.

En troisième position, Monaco est le circuit le plus célèbre du monde, mais cela tient plus au prestige du Grand Prix qu’à son tracé proprement dit. Le challenge à Monaco pour les pilotes est l’étroitesse de la piste et la proximité des rails. Nelson Piquet disait que piloter là-bas était comme faire du vélo dans son salon. Certains pilotes adorent, d’autres détestent courir en principauté. Mais tous rêvent de décrocher la victoire, car gagner à Monaco est presque aussi important que de remporter le titre. Pour les fans, voir une F1 dans le tunnel à 300 km/h est un spectacle époustouflant. Ayrton Senna a remporté six fois l’épreuve monégasque.

En deuxième position, Spa-Francorchamps (Belgique) est le dernier circuit à l’ancienne présent au calendrier, même s’il passa de 14 à 7 km lors de sa réapparition en 1983, après avoir fait les beaux jours de la F1 des années 1950 et 1960. Spa est un circuit vallonné connu pour ses morceaux de bravoures : Pouhon, Blanchimont, Eau Rouge. Ce double virage, Raidillon / Eau Rouge, est l’enchainement le plus célèbre de la saison. Les pilotes y subissent une compression à 300 km/h et la voiture perd une fraction de seconde tous ses appuis. La sortie du virage est en aveugle au sommet de la montée. Jusqu’à quelques années encore, passer cet enchainement à fond était un véritable challenge. Aujourd’hui, la qualité des F1 fait que cette difficulté s’est amoindrie. Ce circuit est de ceux qui discriminent les pilotes, et ce n’est pas un hasard si Schumacher, Senna, Clark et Räikkönen furent considérés comme les spécialistes de Spa.

F1, circuits mythiques et pilotes de légende

Nürburging : un circuit mythique


En première position, le Nürburgring (Allemagne) original, c’est-à-dire le Nürburgring Nordschleife (comprendre « boucle nord »), a atteint le statut de véritable mythe. Ce circuit de 22,8 km et 176 virages était un casse-tête à mémoriser pour les pilotes, car chaque virage devait être négocié de manière optimale. Ce circuit tracé dans la forêt était surtout très vallonné (les pilotes décollaient plusieurs fois par tour) et extrêmement dangereux. 22 Grands Prix y ont été disputés, et cinq pilotes y trouvèrent la mort en F1. En 1976, l’accident presque fatal de Niki Lauda scella définitivement l’avenir du circuit dans le championnat du monde. Du point de vue sportif, Fangio y réalisa en 1957 une des plus belles démonstrations de pilotage de l’histoire de la F1. Ayant perdu plus d’une minute aux stands, il imprima un rythme hallucinant, battant en course son chrono des qualifications de huit secondes, pour s’imposer avec trois secondes d’avance sur Hawthorn après 3h30 de course. Ce fut sa dernière victoire, la troisième sur ce circuit, une performance qu’égalera Jackie Stewart.

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Pas d'usine de Marussia pour les Wallons


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©️ epa

Les négociations entre le constructeur russe de voitures de sport Marussia et la Région wallonne en vue de l'éventuelle installation d'une ligne de production près du circuit de Spa-Francorchamps n'ont pas été concluantes, indique mardi "La Libre".
Lors d'une mission économie princière en Russie en avril dernier, le ministre wallon de l'Economie, Jean-Claude Marcourt (PS), avait pris langue avec la jeune entreprise automobile créée en 2007.

De ces contacts, il était apparu que la Wallonie pourrait accueillir une (petite) usine d'assemblage de Marussia destinée à la production des futurs modèles de la marque.

Si la Wallonie ne produira pas de Marussia, les pourparlers se poursuivent tout de même. On évoque une collaboration avec le "Campus Automobile" de Spa-Francorchamps (centre de recherche dans l'industrie automobile) et/ou la conclusion de divers contrats commerciaux.

En Russie, la Région wallonne avait également mené des discussions afin de conclure un partenariat pour le développement d'une version électrique d'un de ses moteurs. Nicolay Fomenko, directeur de Marussia, avait émis le souhait de mettre au point des prototypes. "Et nous aimerions que les producteurs soient belges", avait-il ajouté lors de la visite princière. (belga)

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Montezemolo prend unenouvelle fois la défensede SpaEcrit le mercredi 28 décembre 2011 à 14:56, par Gregory Demoen

Le président de Ferrari préfère Spa aux déserts du Moyen-OrientLe président de Ferrari, Luca di Montezemolo, n’en finit plus de critiquer les nouveaux circuits faisant leur apparition au calendrier de F1.

Si l’Italien reconnaît le besoin pour la F1 de s’internationaliser, il regrette le manque d’intérêt porté au Vieux Continent, d’où est originaire la catégorie reine du sport automobile.

Montezemolo fustige surtout les circuits processionnels du Moyen-Orient, ceux de Bahreïn et d’Abu Dhabi. Il déplore que la Formule 1 choisisse les déserts (et les pétrodollars) au détriment des courses historiques, comme Spa, une épreuve dont la place au calendrier est maintenant menacée.

"Je respecte Bernie Ecclestone car durant toutes ces années il a toujours éprouvé le plus grand respect pour le rôle et l’importance de Ferrari en F1," a confié Montezemolo au magazine italien Autosprint. "C’est une bonne chose que la Formule 1 aille aux quatre coins du monde, mais nous ne devons pas non plus exagérer en allant courir dans des déserts où il n’y a aucune culture de la course automobile."

"Et je ne peux surtout pas accepter la tendance actuelle prise par la Formule 1 de délaisser l’Europe. Nous ne pouvons pas abandonner notre continent, car il représente l’histoire de la F1. Depuis plusieurs années maintenant, il manque un Grand Prix historique comme celui de France au calendrier, et à présent un circuit aussi légendaire que celui de Spa est également en danger… pour être remplacé par quoi ?"

Le contrat de Spa-Francorchamps expire à la fin de la saison 2012. Les promoteurs du Grand Prix de Belgique ont donné leur accord de principe à la France pour établir une alternance à partir de 2013 avec le Paul Ricard. La France a jusqu’au 31 décembre de cette année pour retourner une réponse positive.

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Le grand prix de Spa-Francorchamps en danger




©️ Nathan Paternotte


Alors que le championnat de Formule 1 ne fait que se mondialiser, des grands prix mythiques se retrouvent en danger pour les futurs championnats. L’exemple le plus flagrant est celui du grand prix de Spa-Francorchamps qui devrait probablement être mis en alternance avec le grand prix de France pour 2013. Certains grands patrons d’écurie tels que Luca di Montezemolo et Ross Brawn défendent la cause du grand prix de Belgique qui est une des épreuves parmi les plus appréciées du calendrier par les pilotes.

« Je respecte Bernie Ecclestone car durant toutes ces années il a toujours éprouvé le plus grand respect pour le rôle et l’importance de Ferrari en F1, » a confié Montezemolo à Autosprint. « C’est une bonne chose que la Formule 1 aille aux quatre coins du monde, mais nous ne devons pas non plus exagérer en allant courir dans des déserts où il n’y a aucune culture de la course automobile.«

« Et je ne peux surtout pas accepter la tendance actuelle prise par la Formule 1 de délaisser l’Europe. Nous ne pouvons pas abandonner notre continent, car il représente l’histoire de la F1. Depuis plusieurs années maintenant, il manque un Grand Prix historique comme celui de France au calendrier, et à présent un circuit aussi légendaire que celui de Spa est également en danger… pour être remplacé par quoi ?«

« Ce que nous ne voulons pas, c’est perdre nos courses importantes. Nous pouvons bien sûr tous prendre une chaise autour d’une table et débattre des Grands Prix les plus importants, mais nous ne voulons pas perdre nos courses iconiques et historiques qui possèdent chacune un riche héritage, » a déclaré Brawn en Inde.

« Ce sont elles qui rendent la Formule 1 si attractive pour des pays comme l’Inde, le fait de pouvoir faire partie de ces quelques épreuves historiques, d’être dans un championnat aux côtés de Monaco, Silverstone et Monza. Si nous perdons ces courses historiques, alors la F1 perdra de son attractivité. Les équipes, à juste titre, sont en faveur d’aller vers de nouveaux horizons, en particulier quand il s’agit de pays importants comme l’Inde, la Russie ou une course supplémentaire en Amérique du Nord. Nous soutenons l’arrivée de ces Grands Prix et c’est une très bonne chose que Bernie [Ecclestone] parvienne à les ajouter au calendrier.«



http://actu-moteurs.com/f1/le-grand-prix-de-spa-francorchamps-en-danger

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Ferrari :"L’Europe doitconserver ses GrandsPrix"Ecrit le samedi 14 janvier 2012 à 15:58, par Julien Delfosse

Le fils d’Enzo Ferrari prend la défense du Vieux ContinentPiero Ferrari, le seul fils encore en vie du fondateur de la marque au Cheval Cabré, Enzo, a pris la défense des courses européennes.

Dans un discours rappelant celui du président de la Scuderia, Luca di Montezemolo, l’Italien a exorté la Formule 1 à conserver les Grands Prix du Vieux Continent.

Cette année, 60% des épreuves du calendrier de Formule 1 se dérouleront loin du sol européen. Un chiffre en constante augmentation depuis plusieurs années, et qui pourrait atteindre des proportions extrêmes si l’Europe venait à perdre d’autres Grands Prix. Des circuits historiques, Spa-Francorchamps est actuellement le plus menacé. Le tracé belge pourrait disparaître, tout du moins une année sur deux, dès 2013, si l’alternance avec la France venait à se concrétiser.

"Nous reconnaissons que la Formule 1 doit être un championnat mondial, il est donc naturel de se rendre en dehors de l’Europe. Ce que je regrette, c’est de ne plus avoir de Grands Prix importants comme celui de France. Si l’on nous enlève un nouveau Grand Prix comme celui-ci, ce serait vraiment dommage," a déclaré Ferrari à Madonna di Campiglio.

"Je ne suis pas en faveur d’une réduction du nombre de Grands Prix en Europe. Pour nous, Silverstone est une course vraiment importante, tout comme Monza et Spa. D’autant plus que chaque année, vous y voyez des courses fantastiques là-bas. J’espère donc que nous ne perdrons pas ces courses-là."

Le grand argentier de la Formule 1, Bernie Ecclestone, avait récemment indiqué qu’il ne voyait plus que cinq Grands Prix en Europe d’ici quelques années. En 2012, huit manches sur 20 se disputeront sur le Vieux Continent.

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FRANCORCHAMPS - Partager la F1 avec la France?? Le député Pierre-Yves Jeholet parle de non-gestion et d’irresponsabilité du gouvernement wallon.
Où en est de projet de partager le Grand Prix de Formule 1 avec la France, un an sur deux, alors que la presse hexagonale annonce un feu vert imminent de l’État français ? Mardi, au parlement wallon, le député régional hervien Pierre-Yves Jeholet (MR) a interpellé le ministre de l’Économie, qui a la tutelle du circuit de Spa-Francorchamps, le Liégeois Jean-Claude Marcourt (PS).

Celui-ci a répondu que l’info, à sa connaissance, était prématurée, et qu’il avait demandé à Étienne Davignon (lequel est chargé par la Région de la présidence de la société de gestion du circuit) d’éclaircir la situation dans un délai de 4-5 semaines, comme il nous l’a répété (voir son interview ).

Les explications du ministre Marcourt n’ont nullement satisfait Pierre-Yves Jeholet, qui se disait «surpris, perplexe et inquiet» au sortir du parlement : «J’ai l’impression qu’il n’y a aucune volonté politique de maintenir le Grand Prix chaque année. L’alternance Belgique-France permet seulement de ne pas faire de remous dans la majorité Olivier (avec Écolo). Si le Grand Prix part un an sur deux, il partira ensuite pour de bon.Que pèserons-nous face à la France ? Nous sommes devant de l’immobilisme, de l’apathie, de la non-gestion qui devient de l’irresponsabilité.?Il n’y a pas de scénario de la Région wallonne (encore moins de scénario bis), on a l’impression que c’est la France qui donne le ton. Cette majorité subit les choses.?»


Le coût pour la collectivité d’un tel événement, qui conduit à un déficit de plusieurs millions d’euros par an (5,5 en 2011) ? «Je ne suis pas fan de F1 et je ne vais pas au Grand Prix.Mais c’est le seul événement de dimension mondiale que nous avons en Wallonie, et même en Belgique. J’ai eu l’occasion de discuter avec des investisseurs asiatiques. Bruxelles, ils connaissent à peine.Mais Spa-Francorchamps, ça, ils connaissent tous. Je suis d’accord pour dire que ce déficit est trop important.Mais il ne faut pas non plus oublier que cela énormément plus de retombées pour l’économie régionale, estimées il y a quelques années à 80 millions dans une étude dont je demande l’actualisation depuis longtemps (le ministre Marcourt dit qu’il vient de la commander mais elle arrivera après la fin du contrat, peut-être ?). Et puis, qu’est-ce qu’on a fait pour rentabiliser l’investissement, pour diminuer ce déficit ? Ce n’est pas Davignon, avec sa pipe, au fond de son fauteuil à Bruxelles, qui fait avancer les choses !?»

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20120111_005

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Matignon donne son feu vert au Castellet


Publié le mercredi 25 janvier 2012 à 07h18


Un groupement d'intérêt public va être créé afin d'organiser le Grand Prix de France au Castellet et de participer à son financement, via des subventions des collectivités locales varoises et azuréennes notamment.

Franz Chavaroche


Cette fois, c'est sûr et certain, le dossier prévoyant le retour du Grand Prix de France au Castellet à partir de 2013 - en alternance un an sur deux avec le GP de Belgique jusqu'en 2021 - tient bel et bien la route.

Huit mois après avoir lancé lui-même le projet, le Premier ministre vient en effet d'acter sa faisabilité lors d'une réunion tenue jeudi dernier à Matignon avec les représentants des principaux ministères concernés (sports, intérieur, budget, écologie...).

Concrètement, François Fillon a donné son feu vert à la création du Groupement d'intérêt public (GIP) en charge de l'organisation. Clé de voûte du montage piloté par le délégué interministériel aux grands événements sportifs Gilles Dufeigneux, ce modèle économique « vertueux et transparent », qui engage l'État, doit assurer le rôle de promoteur... en commençant par signer un contrat le liant à la société Excelis, propriétaire du circuit Paul-Ricard.

Sa constitution signifie que le financement regroupant des fonds publics et privés est bouclé.

Au niveau régional, plusieurs collectivités du Var et des Alpes-Maritimes ont récemment annoncé leur soutien.

Côté capitaux privés, si aucun accord n'est pour l'instant officialisé, nul doute que les deux partenaires historiques de la F1 française, Total et Renault, sont en piste.

La Belgique au point mort...

Important mais pas décisif, le cap franchi aujourd'hui sonne l'heure du dernier acte : celui de la négociation avec Bernie Ecclestone.

D'accord sur le principe de l'alternance Belgique-France, le grand argentier de la discipline reine du sport auto se dit prêt à rencontrer le Premier ministre François Fillon afin de sceller ce nouveau départ varois noir sur blanc au calendrier 2013 dont la première version prévisionnelle sera dévoilée en juin prochain.

Problème : alors que le temps presse, à cause des échéances électorales françaises se profilant à l'horizon, la Belgique semble être au point mort. Aux dernières nouvelles, les patrons du GP couru sur le vertigineux toboggan Spa-Francorchamps attendent encore et toujours un rendez-vous avec le gouvernement de Wallonie, étape obligatoire pour connaître l'enveloppe allouée à l'organisation d'une course bisannuelle outre-Quiévrain.

Si elle tardait à livrer son épilogue, sûr que cette histoire belge ne ferait pas rire tout le monde...



http://www.nicematin.com/article/derniere-minute/matignon-donne-son-feu-vert-au-castellet.766213.html

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Big Ben a écrit:
sacrées tribunes sur cette piste....




Quelle piste ?? le truc entre la piscine ??

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oui le truc valloné au possible.... vont avoir mal au coeur les pilotes la dessus...

dites sérieusement je trouvais que les nouveaux circuits se ressemblaient très fort mais là ce circuit c'est l'image d'un circuit automobile à monter que j'ai reçu à 10 ans.... avec ses rails et sa manette à piston pour faire accélérer mes caisses (c'était des porsches)

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Big Ben a écrit:
sacrées tribunes sur cette piste....




Quelle piste ?? le truc entre la piscine ??

ca me fait penser aux pistes de ski : piste bleue , piste rouge , piste noir

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F1: Bernie Ecclestone rencontre les officiels français aujourd'hui

D'après GMM

Une nouvelle étape pour le retour du grand prix de France pourrait être franchie aujourd'hui.

Réunion au sommet ce lundi. Le ministre des sports français, David Douillet, et le président de la fédération française du sport automobile, Nicolas Deschaux, rencontrent Bernie Ecclestone dans son bureau, à Londres.

Gilles Dufeigneux, représentant du gouvernement désigné directement par le Premier Ministre français, sera aussi sur place afin d'appuyer le dossier.

Le projet est donc d'accueillir un grand prix de France sur le circuit Paul Ricard, en alternance avec le grand prix de Belgique de Spa-Francorchamps, dès la saison 2013.

Faut-il rappeler que le grand argentier de la F1 est responsable du calendrier annuel de la saison, mais aussi co-propriétaire du circuit Paul Ricard.

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La police menace de faire grève au circuit de Francorchamps

http://www1.lameuse.be/zc/thumb300x200/mediastore/_2012/fevrier/hermes/ID7350151_franciorchamps_p_095154_H3NG8V_0.JPG.jpg

Les conditions de travail sont déplorables à la Ferme Foguenne. (NL)
Menace de grève de la police sur le circuit de Spa-Francorchamps. La SNPS, un des syndicats des policiers, annonce qu’elle déposera un préavis de grève si les conditions de travail au circuit ne sont pas améliorées. Le chef de corps de la zone juge lui aussi les conditions de travail déplorables là-bas.

Bruno Beckers

Publié le 08/02 à 12h03

Si les pilotes jugent que Spa-Francorchamps est “ le plus beau circuit du monde ”, ce n’est pas l’avis des policiers. Ils se plaignent de leurs conditions de travail déplorables là-bas. À tel point que les policiers du syndicat SNPS menacent de faire grève lors de prochains gros événements sur le circuit.

Mardi soir, les représentants syndicaux ont annoncé au collège de la zone de police qu’ils déposeraient un préavis de grève si les conditions de travail n’étaient pas améliorées dans la Ferme Foguenne qui leur sert de “ quartier général ” lors des grands événements.

Cette analyse est partagée par le chef de corps de la zone, Francis Hortelan. Il pointe lui aussi les problèmes de confort pour ses policiers, mais aussi de sécurité. Selon lui, “ dans l’état actuel des choses, on ne peut plus travailler dans ces conditions-là au circuit. ”

>Plus d’informations dans la meuse Verviers de ce mercredi

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Mouais.... Permettez moi d'émettre quelques doutes quand a l'efficacité des pandores sur le circuit...A part se promener et regarder...les voitures (ben les vaches regardent les trains,alors les poulets...) ils n'ont pas beaucoup de travail!

Preuve étant,que lorsqu'il y a des vandales qui saccagent le nouveau batiment en cassant tout lors des 24hrs 2cv 2011,on n'a jamais vu l'ombre d'un képi...

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Marshall a écrit:
on n'a jamais vu l'ombre d'un képi...

Tu es sûr qu'il y avait du soleil ? C.H.

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Marshall a écrit:
Mouais.... Permettez moi d'émettre quelques doutes quand a l'efficacité des pandores sur le circuit...A part se promener et regarder...les voitures (ben les vaches regardent les trains,alors les poulets...) ils n'ont pas beaucoup de travail!

Preuve étant,que lorsqu'il y a des vandales qui saccagent le nouveau batiment en cassant tout lors des 24hrs 2cv 2011,on n'a jamais vu l'ombre d'un képi...


C'était après les 24h02 : même après la réception de fin de course. Cétaient des participants à la journée du lundi qui ont reçus l'autorisation de rentrer plus tôt que prévu.
N'empêche ; question sécurité ; y'as pas photo.

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Et on fait quoi selon toi ,Laurent ? Chacun est libre de donner son avis a partir du moment ou ce n'est pas des propos injurieux incriminants des personnes visées,ou des abus racistes; or je ne vois rien de tout cela ici.

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Rien, tu mets le QG en haut des combes et la 04 à l'ancien 7... là ils seront heureux... (en tout cas en 2009 c'était le cas n'est-ce pas Mario!)

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(Belga) Le ministre wallon de l'Environnement, Philippe Henry (Ecolo), a délivré vendredi un permis d'environnement d'une validité de vingt ans au circuit de Spa-Francorchamps, a-t-il annoncé.
Ce permis a été octroyé après concertation avec les riverains et l'exploitant du circuit afin de trouver un "juste équilibre entre intérêts économiques et préservation environnementale", mais aussi le respect des riverains. Pour ce faire, un monitoring du bruit devra être mené tout au long de la saison par l'exploitant. Les plafonds de bruit devront être abaissés entre 18h00 et 20h00 lors des événements de type 'incentives', de même que lors tous les 'incentives' impliquant des motos. De plus, le nouveau permis d'environnement prévoit une révision progressive à la baisse des normes de bruit, avec un premier palier en 2014 et un second en 2022. L'exploitant devra en outre mettre en place un système de communication avec le public, notamment pour la gestion des plaintes, et élaborer un plan de communication pour inciter les visiteurs à un plus grand respect du site (bruit, déchets, ...). "Ce permis, incontestablement le plus ambitieux jamais octroyé pour le permis de Spa-Francorchamps en matière de protection du cadre de vie, doit conduire le circuit dans une voie d'amélioration permanente en matière de réduction des nuisances sonores, s'inscrivant ainsi dans une dynamique européenne de meilleure cohabitation entre le sport automobile et son environnement", juge le ministre Henry. Ce nouveau permis fait suite au permis provisoire que le même ministre Henry avait délivré en 2009 au profit du circuit ardennais. (EDR)

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L'histoire : La première version du circuit de Spa-Francorchamps, situé près des villes de Spa, Malmedy et Stavelot, dans les Ardennes, remonte à 1921. Tracé excessivement rapide et sélectif, long aujourd’hui de 7,004 km il a été maintes fois remanié mais demeure l’un des circuits les plus appréciés tant des pilotes que des spectateurs. Il accueille le Grand Prix de Formule 1 de Belgique et, depuis la création du Championnat du monde, 46 éditions de ce GP s’y sont disputées. Il est aussi le cadre des 24 Heures de Spa et de nombreuses autres épreuves nationales et internationales.

Depuis 1966, les plus belles machines d’endurance empruntent le toboggan des Ardennes, générant des courses toujours palpitantes et spectaculaires. Ultime rendez-vous avant les 24 Heures du Mans, il sert aussi de répétition générale à l’épreuve majeure du calendrier.

Localisation : Belgique – Province de Liège


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Francorchamps: les négociations sont toujours en cours
BELGA

Mis en ligne le 27/03/2012

Parmi les interrogations des députés, figure également le coût de cet événement sportif pour les finances de la Région.
Les négociations relatives à l'avenir du Grand Prix de Francorchamps sont toujours en cours, a indiqué mardi le ministre wallon de l'Economie, Jean-Claude Marcourt, en Commission du parlement, en réponse à des questions d'Anne-Catherine Goffinet (cdH), Pierre-Yves Jeholet (MR) et Manu Disabato (Ecolo). Le ministre ne s'est pas étendu sur le contenu des discussions en cours.

La presse évoque régulièrement la piste de l'alternance avec la France à partir de 2013, quand le contrat qui lie actuellement Spa Grand Prix avec les organisateurs de la F1 aura expiré. Le 7 mars, le ministre français des Sports, David Douillet, avait d'ailleurs indiqué qu'il était prêt et qu'il attendait de connaître la position de la partie belge.

L'alternance est une piste parmi d'autres, a rappelé le ministre wallon, que la Wallonie "ne revendique pas nécessairement". C'est une situation complexe, a-t-il ajouté.

Parmi les interrogations des députés, figure également le coût de cet événement sportif pour les finances de la Région. "On cherche une solution pérenne en intégrant la réduction de l'impact financier sur le budget wallon", a souligné le ministre.

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Qui a ou aurait entendu parler d'une asbl d'organisateurs de course, qui aurai pour but de "contrer" les décisions des gestionnaires du circuit de FARNCORCHAMPS??
Fumée sans feu ou bruits fondés Question

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Le GP de France de retour
Après plusieurs mois de discussions, François Fillon annoncera ce vendredi à Toulon le prochain retour de la F1 en France. Mais il reste encore des zones d’ombres, notamment la possibilité que le GP soit au calendrier dès 2013.







©️ AFP
Lewis Hamilton au Castellet
Romain Grosjean, Jean-Eric Vergne et Charles Pic, trois Bleus sur la grille de départ de la saison 2012. C’était la première bonne nouvelle pour la F1 en France. En déplacement pour la campagne électorale à Toulon, ce vendredi, François Fillon fera un crochet par le circuit du Castellet (Var). Il confirmera que le Grand Prix de France, dont la dernière édition avait eu lieu en 2008 à Magny-Cours (Nièvre), renaitra de ses cendres dans un futur proche après d’intenses discussions ces derniers mois entre toutes les parties. Il aura lieu une saison sur deux, selon le principe de l’alternance avec un autre pays, au Castellet.
Le circuit varois n’a plus accueilli la F1 depuis la victoire d’Alain Prost en 1990. Mais il reste à savoir si le public français assistera dès 2013 à sa propre course ou s’il devra patienter jusqu’en 2014. Et aussi si leurs voisins belges seront bien les partenaires de cette valse à grande vitesse. Les organisateurs du Grand Prix de Belgique ont découvert ce jeudi matin dans les médias que le premier Ministre français allait faire une annonce concernant le Grand Prix de France ce vendredi. Et pour cause, ils ne sont absolument pas prêts à évoquer leur avenir.
Le GIP en cours de création
Si la France a bien reçu un contrat pour l'organisation d'un Grand Prix une année sur deux, ce n'est pas le cas des promoteurs du GP de Belgique qui attendent toujours le document pour le transmettre au gouvernement de Wallonie. Un retard qui s'expliquerait par les difficultés à payer le plateau de la course 2012 (le 2 septembre sur le circuit de Spa-Francorchamps), pour le dernier Grand Prix avant la fin du contrat les liant à Bernie Ecclestone. Une situation qui oblige la France à réfléchir à une solution de secours.
D’ailleurs, les porteurs du dossier français doivent encore régler quelques détails. Pour le moment, le contrat définitif avec le grand argentier de la F1 n'a pas encore été signé. Le GIP (groupement d'intérêt public), qui va assurer le financement du Grand Prix, est également toujours en cours de création. Même si rien n'est réellement ficelé, la prise de parole du premier Ministre indique quand même que les autorités françaises sont désormais sûres de leur coup. La France aura son Grand Prix. Et le Castellet renouera avec son glorieux passé.

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Vu la date de publication (1/04) ca ressemble a un poisson d'avril,mais....

Au lendemain de la visite du Premier ministre François Fillon au Castellet, les événements se précipitent dans le dossier du Grand Prix de France.
Sous l’impulsion de Bernie Ecclestone lui-même, l’alternance entre les manches françaises et belges pourrait intervenir à partir de 2013… en se partageant le même site.
En effet, il semble que pour boucler financièrement le tour de table permettant l’organisation de l’épreuve au circuit Paul-Ricard, l’écart soit trop important entre l’offre (française) et la demande (de Bernie) pour y parvenir. François Fillon a cité la somme de deux millions d’euros, mais en réalité cela ne tient pas compte du coût de location de la piste et de sa mise à niveau pour le Grand Prix, soit près de quinze millions d’euros.
“Monsieur Ecclestone nous a alors proposé d’organiser le Grand Prix de France à Spa, a indiqué Gilles Dufeigneux, chargé des événements sportifs à Matignon. Comme le promoteur belge souhaite réduire l’addition pour le gouvernement wallon en coupant la poire en deux, nous pourrons un an sur deux bénéficier du cadre exceptionnel du circuit de Spa pour mettre sur pied le Grand Prix de France à un coût compétitif.”
“Une solution pragmatique qui fait converger les intérêts des différentes parties prenantes. Après tout, les Ardennes belges ne sont pas très éloignées de l’hexagone et les spectateurs français sont déjà très nombreux à Francorchamps. De plus, ramener la France au calendrier mondial au détriment du circuit le plus apprécié des spectateurs et des acteurs de la F1 aurait eu un impact négatif. Ce compromis permet de respecter les légitimes attentes de chacun.”
Le Grand Prix de Belgique aura lieu le 1er septembre 2012 à Spa tandis que le retour du Grand Prix de France au calendrier est fixé le 1er septembre 2013 sur le même circuit.
“Nos équipes d’organisation vont accueillir des représentants français, souligne André Maes de la société Spa GP. Patrick Brignoli (ancien organisateur du Raid Gauloises, ndlr) travaille déjà avec nous depuis plusieurs années et il va fédérer les énergies françaises autour du Grand Prix de France pour les années impaires, de 2013 à 2017. Nous nous réjouissons de collaborer avec nos amis français pour que le plus beau circuit du monde puisse recevoir la manche française dans les meilleurs conditions économiques et sportives.”
Allons bon, l’alternance aura donc bien lieu entre le Grand Prix de France à Spa et le Grand Prix de Belgique à Francorchamps : tout est bien qui finit bien.

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Le 01 septembre 2012 = samedi

Le 01 septembre 2013 = dimanche.

Ils auraient au moins pu faire attention à l'énoncé des dates !!!

Pour moi : un excellent poisson d'avril.

Comment croire que le grand prix de France organisé par des Français peut avoir lieu ailleurs qu'en france ????

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