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La Renault 5 fête ses 40 ans à Monte Carlo 30/01/2012En 2012, la Renault 5 souffle ses 40 bougies ; commercialisée en 1972, la petite voiture française fête l’évènement dignement : trois Renault 5 Alpine participent au Rallye de Monte-Carlo historique (28 janvier-4 février). Renault 5 : victoires en rallye et ventes records La Renault 5 a été imaginée dès le milieu des années 60. Il faudra attendre 7 ans et 1972 pour que la citadine française passe des esquisses à la gouache et des études de design aux concessionnaires. Pendant 13 ans, la marque au losange écoulera quelque 5 millions de Renault 5, en faisant une des voitures les plus vendues de l’histoire de l’automobile. Succès commercial, l’histoire de la Renault 5 est aussi empreinte de succès dans le sport automobile. Ainsi, la Renault 5 Alpine décrocha les 2e et 3e places du Rallye de Monte-Carlo 1978. En 1981, la Renault 5 Turbo remporta ce rallye mythique, emmenée par Jean Ragnetti. C’est ce même Jean Ragnetti qui revient, plus de 30 ans après, à Monte-Carlo sur la citadine à toute épreuve. Une Renault 5 à près de 200 km/h sur la route du soleil ? Les Renault 5 Alpine qui prennent part à ce rallye de voitures anciennes long de 2.500 km ont été entièrement démontées et révisées pour l’occasion. Sous le capot de la traction avant, on trouve un moteur 1,4 litre de 140 chevaux. La vitesse maximale est de 190 km/h, tandis que la bête ne pèse que 870 kg.
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Une des surprises de la liste des engagés des 24 Heures du Mans 2012 a été la présence de quatre Audi R18 dont deux hybrides. Audi Motorsport a donné quelques précisons aujourd'hui : Dr Wolfgang Ullrich : « Développer la technologie hybride pour Le Mans, c'est au moins aussi ambitieux et difficile que ne l'était notre projet diesel à ses débuts. Les premiers résultats des essais sont très encourageants et nous sommes intrigués de voir comment cette technologie, combinée à notre technologie « ultra légère » se comportera sur le circuit du Mans. Comme auparavant cependant, nous suivrons encore le potentiel de la propulsion conventionnelle -tout comme nos collègues le font pour le développement des voitures de série. C'est pourquoi nous sommes vraiment ravis que leComité de Sélection de l'ACO et de la FIA ait accepté nos demandes d'engagement et que nous puissions aller sur la grille de départ avec quatre voitures pour l'anniversaire de la course mancelle. » Audi Sport Team Joest a engagé deux voitures dans le Championnat du Monde d'Endurance FIA , le WEC, mais pourrait engager des voitures supplémentaires dans des épreuves comme les 12 Heures de Sebring ou les Six Heures de Spa-Francorchamps. Au Mans, les R18 « hybrides » porteront les n°1 et 2, les pilotes désignés pour piloter les deux protos étant respectivement André Lotterer et Allan McNish. Les nouveaux protos hybrides seront présentés fin février, les débuts en course étant programmés le 5 mai lors des 6 Heures de Spa-Francorchamps. A Sebring, Audi Sport Team Joest engagera des Audi R18 TDI conventionnelles. Citation extraite du communiqué de Audi Motorsport,
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Endurance : duel d'hybrides en vue entre Audi et Toyota Par Cédric Voisard le 2 février 2012 19h39 | Réagir Jean-Claude Plassart, le Président de l'ACO, a beau écorcher vifs la plupart des noms propres, grommeler quelques néologismes improvisés en guise d'adjectifs et, patate sur l'omelette, parler de «gentlemen farmers» plutôt que de «gentlemen drivers», Massey Ferguson n'a pas annoncé cet après-midi son arrivée au Mans. En revanche, la conférence de presse de l'ACO, organisée dans l'auditorium de TF1, a levé le voile sur la composition des plateaux du tout nouveau championnat du monde d'endurance (WEC) comme des 24 Heures du Mans 2012.Pour le WEC, trente autos sont inscrites, dont neuf LMP1. Dans cette catégorie reine, Audi engagera deux R18 diesel hybrides face à la Toyota essence hybride, laquelle ne disputera pas la première manche du championnat aux 12 Heures de Sebring (17 mars), mais sera présente sur les sept autres dès les 6 Heures de Spa-Francorchamps (5 mai). Aux 24 Heures du Mans, le constructeur japonais alignera une seconde TS030 Hybrid, et la marque aux anneaux, tenante du titre, un total de quatre prototypes puisque deux R18 conventionnelles viendront en complément des hybrides. «Au Mans, il faut savoir mettre toutes les chances de son côté», explique ainsi le Docteur Ullrich, plutôt avare de détails sur les caractéristiques de son proto diesel hybride comme sur la composition de ses équipages.
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Toyota hybride aux 24 Heures de Mans Toyota Racing a communiqué aujourd'hui plus de détails sur sa participation au prochain Championnat du Monde d'Endurance de la FIA, et notamment sur son intention d'engager deux voitures lors de certaines épreuves. La nouvelle écurie, basée dans les locaux de Toyota Motorsport GmbH (TMG) à Cologne, en Allemagne, fera ses débuts le 5 mai aux Six Heures de Spa-Francorchamps, deuxième manche de ce championnat. Par la suite, Toyota Racing compte engager deux TS030 Hybrides aux 24 Heures du Mans (16-17 juin), sa participation à d'autres manches restant à confirmer. Conçu pour fournir des performances maximales, le groupe motopropulseur THS-R (Toyota Hybrid System - Racing) se compose d'un tout nouveau V8 essence atmosphérique de 3,4 litres et d'un système hybride équipé d'un super condensateur de stockage mis au point par Nisshinbo, partenaire officiel de l'écurie. Les premiers essais de la TS030 Hybride permettront à l'écurie d'évaluer les avantages respectifs, dans le cadre du règlement actuel, du moteur électrique avant fabriqué par Aisin AW et du moteur électrique arrière développé par Denso, partenaire officiel. Pour les systèmes hybrides, ce règlement limite la récupération d'énergie à 500 kJ entre deux séquences de freinage, et son utilisation sur deux roues seulement. été assemblée en intégralité pour la première fois en prévision de ses premiers tours de roues, effectués sur le circuit Paul-Ricard HTTT du 11 au 13 janvier. Plus actualité automobile sur Auto55
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Vers un véhicule hybride... hydraulique ? http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/68903.htm Au sein de l'Université technique de Brno (VUT) en république Tchèque se met en place un projet peu commun, à la tête duquel se trouve Josef Nevrly: concevoir un véhicule hydromobile. Derrière le terme "hydromobile" ne se cache pas un véhicule (Un véhicule est un engin mobile, qui permet de déplacer des personnes ou des charges d'un point à un autre, sur des distances variables.) mû par la puissance (Le mot puissance est employé dans plusieurs domaines avec une signification particulière hydraulique (L'hydraulique désigne la branche de la physique qui étudie les liquides. En tant que telle, les champs d'investigation qu'elle propose regroupent plusieurs domaines , mais un véhicule auquel, pour améliorer son efficience, on a ajouté un système utilisant l'énergie hydraulique (L'énergie hydraulique est l'énergie mise en jeu lors du déplacement ou de l'accumulation d'un fluide incompressible telle que l'huile, l'eau douce ou l'eau de mer.). L'hydromobile est donc un hybride classique, qui, au lieu d'un moteur (Un moteur est un dispositif transformant une énergie non-mécanique (éolienne, chimique, électrique, thermique par exemple) en une énergie mécanique ou travail.[réf. nécessaire]) électrique et de batteries, possède un moteur hydraulique spécial et des accumulateurs hydrauliques. Lors du freinage, un fluide (Les fluides sont des milieux parfaitement déformables. On regroupe sous cette appellation les gaz qui sont l'exemple des fluides compressibles, et les liquides, qui sont des fluides peu compressibles. Dans certaines conditions...) vient compresser des poches d'azote (Table complète - Table étendue), entraînant une pressurisation (La pressurisation est le fait de maintenir à pression constante un milieu clos, indépendamment du milieu extérieur. Outre l'aéronautique, nombre d'autres domaines sont particulièrement utilisateurs de cette...) du système. Lors du redémarrage, la pression (La pression est la force exercée sur une surface donnée.) accumulée est libérée et le piston axial du moteur hydraulique la convertit en énergie (Dans le sens commun l'énergie désigne tout ce qui permet d'effectuer un travail, fabriquer de la chaleur, de la lumière, de produire un mouvement.), ce qui aide le véhicule à se remettre en mouvement. Selon les estimations, le système pourrait permettre aux véhicules qui s'arrêtent et redémarrent souvent, tels que les bus ou les camions, d'économiser près de 25% de carburant (Un carburant est un combustible qui alimente un moteur thermique. Celui-ci transforme l'énergie chimique du carburant en énergie mécanique.). En dehors de la sphère (Une sphère est une surface à 3 dimensions dont tous les points sont situés à une même distance d'un point appelé centre. La valeur de cette distance...) automobile (Une automobile, ou voiture, est un véhicule terrestre se propulsant lui-même à l'aide d'un moteur. Ce véhicule est conçu pour le transport terrestre de...), ce système pourrait être utilisé par des grues ou des locomotives. Le mécanisme n'existe pas seulement sur le papier. Dans le cadre de leur diplôme, deux étudiants, Michal Stodolak et Martin Mikula ont réalisé un prototype réduit de l'hydromobile, grâce auquel est testée la phase (Le mot phase peut avoir plusieurs significations, il employé dans plusieurs domaines et principalement en physique de redémarrage. Le camion (Le camion est un véhicule automobile à roues destiné à transporter des marchandises. Le routier (routière) ou camionneur (camionneuse) a pour profession la conduite d'un camion.) miniature qu'ils ont construit ne possède pas l'équipement technique nécessaire ni une masse (La masse est une propriété fondamentale de la matière qui se manifeste à la fois par l'inertie des corps et leur interaction gravitationnelle.) suffisante à la production de sa propre énergie. Celle-ci est donc apportée par un système hydraulique externe et permet à la miniature de se mettre en mouvement. Le développement de l'hydromobile est toujours en cours ; un prototype fonctionnel complet devrait être prêt d'ici deux à trois ans.
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F1: Bernie Ecclestone rencontre les officiels français aujourd'hui D'après GMM Une nouvelle étape pour le retour du grand prix de France pourrait être franchie aujourd'hui. Réunion au sommet ce lundi. Le ministre des sports français, David Douillet, et le président de la fédération française du sport automobile, Nicolas Deschaux, rencontrent Bernie Ecclestone dans son bureau, à Londres. Gilles Dufeigneux, représentant du gouvernement désigné directement par le Premier Ministre français, sera aussi sur place afin d'appuyer le dossier. Le projet est donc d'accueillir un grand prix de France sur le circuit Paul Ricard, en alternance avec le grand prix de Belgique de Spa-Francorchamps, dès la saison 2013. Faut-il rappeler que le grand argentier de la F1 est responsable du calendrier annuel de la saison, mais aussi co-propriétaire du circuit Paul Ricard.
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La légende du sport automobile François Migault n'est plus Le monde du sport automobile est en deuil. François Migault a tiré sa révérence. Souffrant d'une longue et pernicieuse maladie, le pilote automobile est décédé ce dimanche matin à l'âge de 67 ans. Le pilote détient le record de vitesse sur une autoroute en construction au volant d'un prototype et s'est illustré en montant trois fois sur le podium des 24 heures du Mans, mais aussi en disputant plusieurs disciplines de formule 1. Ce pilote chevronné avait participé à des grands prix de nombreuses fois. Sa mort est une grande perte pour le monde du sport automobile français. Plus d'articles à ce sujet : http://news.google.be/news/story?ncl=http://www.biladi.fr/011274299-la-legende-du-sport-automobile-francois-migault-nest-plus&hl=fr&geo=be
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Toyota lève le voile sur son proto hybride Rédaction Le Figaro(Sport24.com) Mis à jour le 25/01/2012 à 08:51 | publié le 25/01/2012 à 08:35 Réagir Crédits photo : Toyota Racing Une semaine après l'annonce du retrait de Peugeot du championnat du Monde d'endurance, Toyota a dévoilé son prototype hybride LMP1. Victoire espérée en 2013 Le constructeur japonais a levé le voile, à Marseille, sur son programme 2012 en endurance. Sa LMP1 fermée à moteur thermique hybride (V8 de 3,4 litres), nom de code TS030, débutera en course le 5 mai aux 6 Heures de Spa-Francorchamps, et deux autos seront alignées aux 24 Heures du Mans (16-17 juin). Après une première séance d'essais de trois jours, il y a peu, Toyota attaquera cette semaine au Castellet une nouvelle session de trois jours. Trois autres séances suivront avant les débuts en compétition du proto nippon lors de la manche belge du championnat du monde d'endurance. «En termes de délais, nous ne pouvions pas être prêts pour les 12 Heures de Sebring», indique Pascal Vasselon, le directeur technique de l'équipe, qui s'appuiera en matière d'exploitation sur les compétences françaises d'ORECA, qui l'an dernier disposait de la Peugeot 908 HDi. «Lorsque l'on va au Mans, c'est pour essayer de gagner, poursuit Vasselon. Maintenant, il faut être réaliste pour 2012 et notre première participation aux 24 Heures avec cette technologie hybride, et si nous pourrions rencontrer des problèmes de fiabilité, l'objectif sera d'afficher de la performance. Après, il est clair que nous devons gagner en 2013.» Alors qu'Audi tentera également ce pari technologique dans la Sarthe, associé à son diesel, tout comme Porsche le fera en 2014 avec un moteur essence, Toyota a quelques arguments pour être le premier constructeur à remporter les 24 Heures avec un proto hybride. A commencer par une réelle expérience tirée de la production, puisque Toyota a vendu plus de 3,5 millions de voitures hybrides dans le monde depuis 2007. «Ce qui est intéressant, poursuit Vasselon, c'est que nous bénéficions de l'expertise de ce qui a été fait pour la gamme, laquelle en revanche pourra progresser grâce à ce programme sportif car nous allons apporter un réel plus en matière d'allègement et de réduction de l'encombrement du système.» Les travaux japonais sur un groupe propulseur hybride de course ont ainsi débuté en 2006, et se sont traduits l'année suivante par la victoire d'une Supra aux 24 Heures de Tokachi. Le châssis de la TS030, lui, est en préparation à Cologne, fief de Toyota Motorsport, depuis fin 2010. «Nous testons actuellement un moteur hybride avant, qui du coup nous offrirait une transmission intégrale, et un moteur arrière, précise le directeur technique. Notre choix n'est pas encore arrêté. En course, la technologie hybride permet d'obtenir plus de puissance (500 kilojoules), ou de contenir la consommation en carburant. Il nous faudra figer la cartographie idéale.» L'Autrichien Alexander Wurz, double vainqueur au Mans, et qui, au même titre que le Français Nicolas Lapierre et le Japonais Kazuki Nakajima, a déjà rejoint l'écurie, livre ses premières impressions : «C'est très curieux, la première fois, de quitter le garage sans un bruit, en full hybride, et quand le moteur thermique se remet en marche on a l'impression de retrouver un vieux copain ! Plus sérieusement, j'ai été étonné par la sophistication de l'auto. Au volant, c'est très différent de la Peugeot 908, puisque nous sommes plus sur la puissance que sur le couple, mais le châssis Toyota m'a paru bien mieux équilibré. Je suis sorti du cockpit avec le sourire et j'espère bien que nous rendrons la vie difficile aux favoris du championnat…» D'ici là, trois autres pilotes auront rejoint Toyota Motosport, et la TS030 hybride sera descendue au poids règlementaire (900 kg), dont elle n'est plus très loin. Le projet est d'importance, tant les derniers engagements de la marque japonaise (WRC, Le Mans, F1) ont été décevants… Cédric Voisard, envoyé spécial au Castellet
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Matignon donne son feu vert au Castellet Publié le mercredi 25 janvier 2012 à 07h18 Un groupement d'intérêt public va être créé afin d'organiser le Grand Prix de France au Castellet et de participer à son financement, via des subventions des collectivités locales varoises et azuréennes notamment. Franz Chavaroche Cette fois, c'est sûr et certain, le dossier prévoyant le retour du Grand Prix de France au Castellet à partir de 2013 - en alternance un an sur deux avec le GP de Belgique jusqu'en 2021 - tient bel et bien la route. Huit mois après avoir lancé lui-même le projet, le Premier ministre vient en effet d'acter sa faisabilité lors d'une réunion tenue jeudi dernier à Matignon avec les représentants des principaux ministères concernés (sports, intérieur, budget, écologie...). Concrètement, François Fillon a donné son feu vert à la création du Groupement d'intérêt public (GIP) en charge de l'organisation. Clé de voûte du montage piloté par le délégué interministériel aux grands événements sportifs Gilles Dufeigneux, ce modèle économique « vertueux et transparent », qui engage l'État, doit assurer le rôle de promoteur... en commençant par signer un contrat le liant à la société Excelis, propriétaire du circuit Paul-Ricard. Sa constitution signifie que le financement regroupant des fonds publics et privés est bouclé. Au niveau régional, plusieurs collectivités du Var et des Alpes-Maritimes ont récemment annoncé leur soutien. Côté capitaux privés, si aucun accord n'est pour l'instant officialisé, nul doute que les deux partenaires historiques de la F1 française, Total et Renault, sont en piste. La Belgique au point mort... Important mais pas décisif, le cap franchi aujourd'hui sonne l'heure du dernier acte : celui de la négociation avec Bernie Ecclestone. D'accord sur le principe de l'alternance Belgique-France, le grand argentier de la discipline reine du sport auto se dit prêt à rencontrer le Premier ministre François Fillon afin de sceller ce nouveau départ varois noir sur blanc au calendrier 2013 dont la première version prévisionnelle sera dévoilée en juin prochain. Problème : alors que le temps presse, à cause des échéances électorales françaises se profilant à l'horizon, la Belgique semble être au point mort. Aux dernières nouvelles, les patrons du GP couru sur le vertigineux toboggan Spa-Francorchamps attendent encore et toujours un rendez-vous avec le gouvernement de Wallonie, étape obligatoire pour connaître l'enveloppe allouée à l'organisation d'une course bisannuelle outre-Quiévrain. Si elle tardait à livrer son épilogue, sûr que cette histoire belge ne ferait pas rire tout le monde... http://www.nicematin.com/article/derniere-minute/matignon-donne-son-feu-vert-au-castellet.766213.html
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Hybride, mon œil ? Par Cédric Voisard le 26 janvier 2012 6h10 Toyota a présenté hier son programme endurance 2012, à savoir un proto hybride destiné aux 24 Heures du Mans. Audi, version diesel, s'y collera également cette saison tout comme on attendait Peugeot, et Porsche sera bientôt de la partie sur le même axiome technologique que «Toy», à savoir en version atmosphérique. Doit-on y voir une saine et responsable évolution du sport automobile pour coller aux préoccupations sociétales actuelles, entre maitrise de la consommation, respect de l'environnement et sens à redonner à l'expression sportive de l'automobile ? Pas si sûr. Depuis 1997, Toyota a vendu plus de 3,5 millions de véhicules hybrides dans le monde. Le constructeur japonais a-t-il eu besoin de la compétition de haut niveau pour mettre au point sa technologie ? Non. Son programme sportif peut-il déboucher sur de réelles avancées pour faire progresser l'hybridation entre puissance, autonomie et miniaturisation du système ? Oui, mais le sport n'est pas nécessaire pour aboutir à de tels résultats. La vérité, c'est que le sport automobile n'est pas précurseur en matière d'hybridation. Mais, otage de l'industrie automobile, le voilà obligé de s'adapter aux plans produits des constructeurs. La F1, avec le KERS, fait de même, et le WRC, en adoptant le principe du downsizing moteur avec turbo et injection directe, ne fait que suivre l'évolution des autos qui nous sont proposées dans les concessions au nom de la réduction de la consommation. Le sport ne propose pas, il suit, et n'est qu'une publicité roulante pour des technologies déjà éprouvées et diffusées. A titre d'exemple, les lubrifiants utilisés sur une 908 HDi FAP ou une Citroën DS3 WRC sont directement issus de produits grand public, et non pas à l'origine desdits produits. Autre exemple, l'envie fédérale de voir un pilote boucler d'ici peu un rallye avec un seul et même train de pneus, quand les nôtres tiennent depuis longtemps des dizaines de milliers de kilomètres... En fait, la recherche dans le sport automobile s'exerce depuis assez longtemps sur des champs inutiles, à terme, pour l'automobiliste. Des millions d'euros sont investis au service de la puissance ou de l'aérodynamique, pour des résultats sans intérêts pour la voiture de monsieur Tout le Monde. A contrario, les aides électroniques dont nous bénéficions tous ne peuvent convenir aux autos de sport, puisqu'elles gomment toute notion de pilotage, de talent. Victime de son image politiquement incorrecte, voilà donc le sport auto forcé de s'adapter à des technologies qu'il n'a pas initiées, quitte à nous faire croire qu'il les fera progresser, le tout au service des ventes de constructeurs sans lesquels le monde de la course ne pourrait pas vivre. Au bout du compte, plutôt que de contraindre les disciplines traditionnelles à adopter ces technologies "de série" qui franchement ne font pas rêver les passionnés de sport, peut-être serait-il temps de lancer de nouvelles compétitions comme de vrais bancs d'essais pour des technologies novatrices pouvant un jour profiter à nos véhicules. Le sport auto en est loin. Pour l'heure, il ne fait que se plier aux souhaits de l'industrie, s'offrant par là même une bonne conscience à court terme. Dommage, parce que si le sport automobile n'est plus ce qu'il était, il ne semble pas se diriger vers une expression réellement originale qui permettrait de continuer à faire rêver pour de bonnes raisons. Plus le temps passe, plus les autos de course ressemblent aux nôtres. Vue basse et court terme... http://blog.lefigaro.fr/F1-tour-de-chauffe/2012/01/hybride-mon-oeil.html
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24 Heures du Mans: un équipage sarthois se constitue Automobile lundi 23 janvier 2012 Thomas Dagoneau, Mélanie Vallée, Dominique Payen et Bastien Brière. Photo: Ouest-France Il manque le nom du troisième pilote et de l'argent pour boucler le budget. Thomas Dagoneau et Bastien Brière veulent participer aux 24 Heures. Ils comptent sur les entreprises et les habitants. Budget de la saison: 650000€ Pour participer aux 24 Heures, il faut de l'argent. Thomas Dagoneau et Bastien Brière se lancent dans la course. Ils ont déjà la moitié du budget. Combien pour courir les 24 Heures? « Notre budget d'environ 650 000 € compte pour une saison complète. Il est important de participer dans l'année à d'autres courses que les 24 Heures, comme la V2V. » Ces deux jeunes gens ont une expérience dans le sport automobile. Thomas Dagoneau a obtenu en mai dernier une 3e place au championnat d'endurance-proto organisé par V2V. Il pratique le kart depuis qu'il est gamin. Quant à Bastien, il a couru aux 24 Heures et la dernière fois, c'était en 2005 avec Courage. Un gros sponsor manceau Dans le petit monde de l'automobile, les deux ont rapidement su qu'ils feraient équipe un jour. D'autant qu'un troisième homme a joué le dénominateur commun : Dominique Payen, PDG d'Opti finances (boulevard René-Levasseur, au Mans). Il les a aidés chacun leur tour car depuis 2000, la société qui s'occupe autant de gestion de patrimoine que d'immobilier (avec Century 21 Harmony), a décidé « de rendre à la vie locale une partie des profits du groupe », indique Dominique Payen. L'entreprise est devenue sponsor du club de basket, le MSB, à hauteur d'environ 100 000 € par an. 100 € et la photo sur la voiture Tous les trois, aidés par Mélanie Vallée, assistante de direction de Dominique Payen, se sont mis en tête d'impliquer les entreprises et les habitants dans la course. « On veut permettre aux investisseurs un accès privilégié sur le circuit pendant les 24 Heures, elles pourront recevoir qui elles veulent. Le but, c'est que cet intérêt pour notre engagement dans la course perdure », commente Thomas Dagoneau. « On ne veut pas faire un coup, on veut pérenniser l'événement sur trois ans », ajoute Dominique Payen. Le don à l'équipage est au minimum de 50 €. En versant 100 €, « la photo d'identité du donateur apparaîtra sur notre voiture », signale Thomas Dagoneau. Les pilotes ne sont que deux pour l'instant, le troisième sera connu ultérieurement. « Jusqu'à mi-janvier, on a l'obligation d'annoncer au moins un nom. Début février, ce sera le dernier stade ! » Contact: 24heures@partners-concept.fr
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Joëlle Milquet s'attaque aux tenues sexy des hôtesses belga ap belga A la suite d'une série de plaintes pour comportements inappropriés envers les hôtesses, Joëlle Milquet a mis en garde les organisateurs du Salon de l'auto pour ne pas utiliser les femmes comme des objets. "A côté des voitures clinquantes, il y a des femmes bimba", a lancé la Ministre de l'Egalité des chances, qui travaille actuellement à un projet de loi s'attaquant aux stéréotypes entre femmes et hommes. "Madame Milquet estime que les hôtesses ont leur place à ce genre d'évènements, notamment pour accueillir les candidat-acheteurs. Mais les organisateurs devraient faire attention à leurs tenues sexy. On donnerait ainsi une meilleure image de la femme", explique sa porte-parole. "Il ne faut pas donner une image dégradante de la femme. Je ne suis pas contre le fait qu'il y ait des hôtesses, qu'elles soient bien habillées, mais que l'on n'utilise pas la femme comme un objet, au même ordre que la voiture. C'est un peu dérangeant", a-t-elle commenté dans l'Invité sur RTL TVI. Lutter contre le sexisme "Votre numéro de gsm est-il dans le catalogue?", "Faites-vous partie des options?", "Etes-vous à vendre avec la voiture?"... Voilà un florilège des questions raboteuses dont font l'objet les hôtesses du Salon de l'Auto. Dès la première journée, deux personnes ont été arrêtées au stand Suzuki parce qu'elles étaient en train de se masturber devant les demoiselles aux courbes avantageuses. Ces incidents auraient donc incité Joëlle Milquet à s'attaquer au problème. La semaine dernière, "Madame Non" avait déjà levé le voile sur ses intentions de lutter contre le sexisme. "En ce qui concerne le respect de la femme, cela commence par l'injure, le stéréotype. Il suffit de voir la génération de mes enfants pour mesurer les combats à mener: changer l'image de supériorité de l'homme sur la femme, accepter la culture et la religion de l'autre. Je dois tout le temps rectifier le tir", déclarait-elle dans La Libre Belgique. (mb) belga
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Peugeot renonce aux 24 Heures du Mans pour faire des économies Hier à 20h10 (Boursier.com) -- Le programme de réduction de coûts du groupe PSA Peugeot Citroën a aussi des conséquences sur la politique du groupe en sport automobile... Le constructeur a en effet décidé d'arrêter son programme d'endurance 2012 et ne participera donc pas aux prochaines 24 Heures du Mans. "Cette décision s'inscrit dans le contexte d'un environnement économique tendu en Europe et d'une année particulièrement dense en lancement de nouveaux véhicules pour la marque. Dans ce contexte, Peugeot fait le choix de concentrer les moyens en 2012 sur sa performance commerciale et en particulier sur la réussite des lancements de 208, 3008 HYbrid4, 508 RXH, 508 HYbrid4 et 4008 qui viendront nourrir la stratégie de montée en gamme et de globalisation de la marque", commente Peugeot. Le constructeur va proposer un reclassement à l'ensemble des salariés concernés grâce à un dispositif spécifique mis en place pour piloter et animer les formations/reconversions et les mobilités internes. Peugeot avait remporté les deux dernières éditions du championnat constructeurs en Intercontinental Le Mans Cup et avait réussi un doublé aux 24 h du Mans 2009. Cette discipline d'endurance était devenue la principale vitrine de la marque Peugeot dans le sport automobile à côté du circuit et du rallye, terrain de prédilection de la marque Citroën. http://www.boursier.com/actualites/economie/peugeot-renonce-aux-24-heures-du-mans-pour-faire-des-economies-12867.html