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Mario03

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Tout ce qui a été posté par Mario03

  1. Attribution des points Nouveau barème de points à partir de la saison 2010. La FIA a proposé la répartition suivante : 25 points (au lieu de 10) récompenseraient le vainqueur d'un Grand Prix, 20 points (au lieu de pour le deuxième et 15 points pour le troisième (au lieu de 6) puis 10, 8, 6, 5, 3, 2 et 1. Ce système attribue donc des points aux dix premiers (huit avant), cela pour répondre à la hausse du nombre d'écuries engagés (13 au lieu de 10 en 2009). A la fin de la saison, le pilote et l’écurie totalisant le plus de points gagnent le championnat du monde des conducteurs et des constructeurs. La répartition des points a subi un nouveau changement pour l'année 2011. 1er – 25 points 2e – 18 points 3e – 15 points 4e – 12 points 5e – 10 points 6e – 8 points 7e – 6 points 8e – 4 points 9e – 2 points 10e – 1 point
  2. C'est la première fois que tient à Bercy une compétition de Karting électrique. Ces Masters Kart s'ouvrent au grand public et allient deux mondes : celui de la pratique en loisir et celui de la pratique de haut niveau autour du développement durable http://tinyurl.com/d4d9jmx
  3. Quelques dates concernant les évolutions techniques 1957 : L’introduction du moteur arrière installé sur une Cooper-Climax conduit par Jack Brabham à Monaco avec une première victoire en 1958 en Argentine signée Stirling Moss. 1962 : L’Anglais Colin Chapman invente le monocoque d’aluminium. Le pilote y est allongé avec les bras plus tendus qu’avant. 1967 : Introduction du premier moteur “ porteur ”, le Ford-Cosworth mis au point par deux ingénieurs anglais, Keith Duckworth et Mike Costin et commercialisé sur la recommandation de Colin Chapman par l’écurie Ford. 1968 : Les ailerons font leur apparition sur les Ferrari permettant une meilleure motricité et un passage plus vite en virage. 1971 : Grâce à Firestone, les pneus deviennent lisses améliorant ainsi les performances. Afin de réduire la vitesse, les rainures furent introduites en 1998. 1977 : Le patron de Lotus, Colin Chapman invente le “wing-car”, la première F1 à effet de sol. Mario Andretti remporte une première victoire cette année-là à Long Beach. 1977 : Grâce aux ingénieurs de Renault (Bernbard Dudot, Jean-Pierre Boudy), les moteurs turbo conquièrent la F1. La première victoire est signée par Jean-Pierre Jabouille cette même année. 1982 : L’ingénieur anglais John Barnard de l’écurie McLaren met au point la coque en carbone. 1989 : Grâce à John Barnard qui travaille désormais chez Ferrari, la boîte de vitesse devient semi-automatique (le pilote n’utilise plus l’embrayage). On lui doit également les freins en carbone. 1990-2000 : La technologie remplace la mécanique. La F1 entre dans le monde de l’informatique. Les moteurs atmosphériques sont de retour.
  4. La Formule 1 Discipline reine du sport automobile, la Formule 1 est théoriquement la seule à pouvoir se targuer du titre de “Grand Prix”. A travers les années, les voitures ont subi beaucoup de changements. De nos jours la Formule 1 est : une voiture en fibre de carbone et aluminium d'environ 640 kg avec un moteur V8 de 2,4 l de 760 chevaux. Les bolides peuvent atteindre la vitesse maximale de 349 km/h. Elle met 2s5 pour atteindre les 100 km/h. En 2011, 12 écuries avec des budgets oscillant entre 30 et 250 millions d'euros avec 24 pilotes engagés disputent le championnat du monde avec 20 Grands Prix. Créé en 1950, le Championnat du Monde de Formule 1 a fêté ses 50 ans en 2000. Le Grand Prix qui a inauguré le championnat du monde a été le Grand Prix de Silverstone en Grande-Bretagne qui a eu lieu le 13 mai 1950 (vainqueur : Nino Farina sur Alfa Romeo). Le premier champion du monde sacré fut l’Italien Giuseppe 'Nino' Farina sur Alfa Romeo en 1950. Depuis, chaque saison, entre 15 et 20 épreuves (20 en 2011) se disputent pour l’attribution des titres de champions du monde des constructeurs et des conducteurs. Les différents circuits de F1 mesurent entre 3 (Monaco) et 7 km (Spa). Un Grand Prix de F1 ne doit pas dépasser les deux heures. La distance d’un GP ne doit pas dépasser les 305 km.
  5. Mario03

    Le circuit de Francorchamps

    Un Dossier Michel Vaillant dédié à Spa Depuis leur création en 1995, les Dossiers Michel Vaillant retracent l'histoire de figures emblématiques du monde automobile, en mêlant documents d'époque et extraits de la bande dessinée. Ces Dossiers mettent habituellement à l'honneur de célèbres pilotes comme Alain Prost, Jacky Ickx, Gilles Villeneuve, ou des célébrités, à l'image de James Dean, Steve McQueen, Enzo Ferrari ou même Coluche. Le 24 août, Alain van den Abeele et Jean Graton proposeront pour la première fois un Dossier entièrement dédié à un circuit : celui de Spa-Francorchamps. Illustré de photos d'archives, d'images de presse et de dessins, cet ouvrage reprend de nombreux extraits des aventures de Michel Vaillant sur le circuit de Francorchamps entre 1958 et aujourd'hui. Crée en 1921, le circuit belge est connu pour être l'un des plus beaux tracés au monde, mais aussi l'un des plus dangereux. En raison des vitesses atteintes avec son ancienne configuration de 14,12 km, le circuit passera d'ailleurs à 7,004 km pour des raisons de sécurité en 1978. Ce 14ème Dossier Michel Vaillant sera suivi en novembre prochain par le 71ème album des aventures du pilote. http://www.motorlegend.com/actualite-automobile/dossier-michel-vaillant-spa/7066.html
  6. Mario03

    Histoire des pilotes

    Juan Manuel Fangio en cinq anecdotes Il est celui qui a donné ses lettres de noblesse au sport automobile et notamment à la F1. Celui qui a montré la voie aux Alain Prost, Michael Schumacher et autre Fernando Alonso. Juan Manuel Fangio est, avec Ayrton Senna, l'un des pilotes automobiles les plus légendaires. Mais pas sûr que vous connaissiez tout du "Maestro"… Un champion sans permis de conduire Fangio est au sport automobile ce que Maradona et Zidane sont au football : un génie. Pilote hors pair, il lisait les trajectoires mieux que personne, négociait les virages à la perfection. Pourtant l’Argentin a couru toute sa carrière sans avoir… son permis de conduire ! Il n’a obtenu son précieux sésame qu’en 1961, soit plusieurs années après la fin de sa carrière. "Tu te prends pour Fangio !" Tout héros a son lot de surnoms et Juan Manuel Fangio ne fait pas exception à la règle. Le premier d’entre eux, "El Chueco" (à cheval sur un tonneau) lui a été donné lorsqu’il était enfant, à cause de la forme arquée de ses jambes. Par la suite, la maîtrise dont il faisait preuve au volant de ses différents bolides lui valu d’être surnommé "El Maestro", surnom qui l’accompagna toute sa vie. Extrêmement talentueux, Fangio était aussi un pilote téméraire. Si bien qu’en France il est courant d’entendre, pour désigner un chauffard ou une personne roulant de manière sportive : "Tu te prends pour Fangio !", ou bien "Ne fais pas ton Fangio". De quoi entrer encore un peu plus dans la légende. Kidnappé à Cuba Le 23 février 1958 est une date qui est sûrement restée gravée dans la mémoire de Fangio jusqu’à sa mort. En marge du deuxième Grand Prix de Cuba, le pilote argentin est enlevé à son hôtel, sous la menace d’un pistolet, par le commando révolutionnaire cubain M26. Fidel Castro, qui a commandité le rapt, veut faire prendre conscience au monde entier de la situation politique et sociale catastrophique de l’île. El commandante a vu juste, le kidnapping fait rapidement la Une des journaux internationaux. Fangio ne restera finalement séquestré que 26 heures, puis libéré devant l’ambassade d’Argentine à la Havane. Sympathisant avec ses ravisseurs, "El Maestro" avouera avoir été "particulièrement bien traité" durant sa courte détention. Une retraite repoussée À l’issue de la saison 1955, alors qu’il vient de remporter son troisième titre mondial à l'âge de 44 ans, Fangio envisage de dire adieu à la compétition. Mais le putsch qui renverse le général Peron, dont il est l’un des "protégés", lui fait revoir ses plans de carrière. Craignant de voir ses biens confisqués par le nouveau régime, il décide de poursuivre sa carrière au plus haut niveau pour se mettre à l’abri du besoin. Bien lui en a pris puisqu’il a glané deux nouveaux titres de champion du monde avant de prendre une retraite bien méritée à la fin de la saison 1958. Des obsèques nationales Lorsque Juan Manuel Fangio s’éteint le 17 juillet 1995, terrassé par une crise cardiaque, c’est tout un peuple qui pleure son héros. Un deuil national de trois jours est alors décrété par le président de l’époque, Carlos Menem. Son cercueil est exposé dans le Salon Blanc de la Chambre du gouvernement pour un dernier hommage populaire. Puis il rejoint sa dernière demeure dans le caveau familial au cimetière de Balcarce, ville qui l’a vu naître le 24 juin 1911.
  7. Propos recueillis pour Abdellatif Cherraf Sport Automobile Pause café avec Hind Abatorab, la championne du Maroc des femmes pilotes « Mon souhait, la réalisation d’un autre circuit fermé permanent au Maroc…» Malgré le virus du sport automobile attrapé à l’âge de cinq printemps, lorsqu’elle a vu son papa sophistiquer sa voiture pour participer au gymkhana annuel d’El Jadida dans les années 80, Hind puisqu’il s’agit d’elle, a commencé un peu tard le sport automobile ! Et pour cause, c’est triste à dire, il n’existe plus de club automobile dans la capitale des Doukkala… Aussi, il a fallu à Hind attendre une décennie pour devenir une pilote de charme du club Casablancais l’association maghrébine de sport automobile ! C’est lors du circuit d’El Jadida (2011) que nous l’avons contactée pour un éventuel entretien mais cette dernière était appelée à rentrer d’urgence sur Casablanca… elle a eu le tact de nous appeler pour prendre un café chez ses parents à El Jadida et, chemin faisant, parler sport automobile. Entretien : « L’Opinion-Sport » : Comme promis, vous nous avez contacté, c’est gentil de votre part ! Hind : « C’est à moi de remercier par votre biais « L’Opinion-Sport » qui encourage les sportifs à s’exprimer ». Q. : Comment avez-vous opté pour un sport d’homme ? R. : « Tout simplement, j’allais dire le plus naturellement du monde parce que mon père vouait un culte aux sports mécaniques. A la tête d’une auto-école, il a formé plusieurs pilotes professionnels, lui-même peaufinait sa voiture pour participer au gymkhana annuel d’El Jadida où toute petite j’adorais le voir faire l’exercice du pont ! Etant proche de mon père, comme lui, j’aime le monde du sport automobile…et c’est ainsi que très jeune j’ai rêvé de devenir pilote ! » Q. : Peut-on dire que le rêve est exaucé ? R. : (grand sourire) « Je pense que ça va faire plus de deux années que je participe dans les circuits fermés de course d’automobile ». Q. : Alors contente de vous? R. : « Disons que je suis sur la bonne voie, puisque dernièrement j’ai goûté au plaisir de la 3ème marche du podium… J’espère, un jour, la 2ème , voire la première marche pour être comme vous dite satisfaite ». Q. : Dites-moi, à part votre papa, qui vous a motivé à pratiquer ce sport de « mecs ». R. : « Sans hésiter c’est Saïda Ibrahimi, l’ex pilote marocaine, et l’actuelle présidente de l’association maghrébine de sport automobile qui m’a poussée à exaucer mon rêve d’enfance…devenir pilote automobile professionnelle et concourir ». Q. : Est-elle la seule ? R. : « Bien entendu, il y a aussi le soutien de mon père et les encouragements de mon mari ». Q. : Votre challenge s’arrête-t-il au podium ? R. : « Non pas du tout, mon objectif premier est de prendre le flambeau et, chemin faisant, prouver, une fois de plus, que les femmes aussi peuvent exceller dans ce sport à l’image de Saïda Ibrahimi ». Q. : Donc, avec votre 3ème place à El Jadida, tout baigne !» R. : « C’est vrai que j’étais la seule femme récompensée lors de cette compétition, ça m’a comblé de plaisir d’autant plus que ça se déroulait dans ma ville natale…Tout baigne ! Peut-être pas puisque mon seul regret est que je n’ai pas commencé plus tôt ma carrière ! Q. : Une carrière « pro » peut-on dire ? R. : « Tout à fait, puisque j’ai fait appel à un coach français pour m’apprendre les ficelles du métier de pilotage ! Cela suppose l’achat d’une vraie voiture de course. Après moult participations dans les circuits de Nouasseur, Rabat, Salé, Agadir, Kénitra… Expérience et confiance acquises, place donc aux premiers rôles dans les prochains circuits fermés du Royaume ! Nonobstant une concurrence masculine, j’essayerai de faire de mon mieux pour atteindre le podium de la catégorie M1 In Chaâ Allah…». Q. : Et pour finir ? R. : « Mon souhait est de voir un jour la réalisation d’un autre circuit fermé permanent dans notre pays ! Un circuit qui soit à la portée des adeptes du sport automobile. Notamment les femmes pilotes pour assurer la relève ».
  8. PHOENIX RACING PARTY 8 le 18-08-2012 Dans le parc du Racing hôtel à Francorchamps A partir de 12h30 : pétanque en triplette A 20h00 : karaoké sur écran géant A 21h00 : Guest : Alain Duvivier Petite restauration toute la soirée Bar à cocktail https://sites.google.com/site/phoenixracingparty87/
  9. AUTOMOBILE La première automobile de série, la Motor-Wagen (tricycle), a été construite par l’Allemand Karl Benz en 1885. Elle était équipée d’un moteur à explosion. Sa vitesse ne dépassait pas les 15 km/h. La première course d’automobile reconnue a eu lieu le 22 juillet 1894 entre Paris et Rouen sur une distance de 126 km. Une grande journée pour le sport automobile et les 102 concurrents inscrits avec leurs véhicules à pétrole et à vapeur. Peugeot et Panhard-Levassor partageaient le premier prix avec Bouton et De Dion. La vitesse moyenne : 17,78 km/h ! Les premières compétitions sportives furent organisées par l’Automobile Club de France, le premier club automobile qui se soit constitué, en octobre 1895, à l’instigation du marquis de Dion. Ils organisèrent le premier Grand Prix en 1906 sur le circuit de la Sarthe au Mans. Par la suite, se constitua un organisme international des auto­mo­biles Clubs (A.I.A.C.R.) qui devait en 1904 prendre le nom de Fédération internationale de l’automobile.A cette époque-là, de célèbres courses de ville furent organisées comme Paris-Berlin en 1901, Paris-Vienne en 1902 et Paris-Madrid en 1903. Le 18 décembre 1898, le comte Gaston de Chasseloup-Laubat détient le premier record officiel de vitesse avec 63,154 km/h (voiture : Jeantaud) à Achères, près de Paris. Un peu plus tard en avril 1899 également à Achères, le Belge Camille Jenatzy franchit la barre des 100 km/h (soit 105,882 km/h) avec sa voiture électrique “ La Jamais-Contente’. Autres dates historiques - 1909 : Victor Hémery franchit la barre des 200 km/h : 202,653 km/h (Benz) à Brooklands GBR. - 1927 : Henry O’Neil de Hane Segrave franchit la barre des 300 km/h : 327,901 km/h (Sunbeam) à Daytona USA. - 1932 : Malcolm Campbell franchit la barre des 400 km/h : 408,634 km/h (Napier-Campbell Bleubird) à Daytona USA. - 1937 : George Eyston franchit la barre des 500 km:h : 502,008 km/h (Thunderbolt) à Bonneville USA. - 1947 : John Rhodes Cobb franchit la barre des 600 km/h : 634,261 km/h (Railton Mobil Special) à Bonneville USA. - 1964 : Craig Breedlove franchit la barre des 700 km/h le 13 octobre : 754,168 km/h (Spirit of America) à Bonneville USA. Deux jours plus tard, Craig Beedlove franchit la barre des 800 km/h : 846,784 km/h (Spirit of America). - 1965 : Arthur Art Arfons franchit la barre des 900 km/h : 927,673 km/h (Green Monster) à Bonneville USA. - 1970 : Gary Gabelich franchit la barre des 1000 km/h : 1014,294 km/h (Blue Flame) à Bonneville USA. - 1997 : Andrew Green atteint la barre des 1200 km/h : 1233,596 km/h (Thrust SSC3) à Black Rock Desert USA
  10. Mario03

    Les 24 Heures de Spa

    24 Heures de Spa - Marc VDS Racing veut confirmer à domicile Ce week-end, les Total 24 Hours of Spa seront à nouveau le sommet des Blancpain Endurance Series. Le Marc VDS Racing Team débarquera à Spa-Francorchamps avec la ferme intention de poursuivre sur la lancée qui a permis au team belge de remporter quatre des cinq dernières courses de ce championnat. A ce stade de la saison, Bas Leinders, Markus Palttala et Maxime Martin ont remporté les deux premières courses, et terminé 2e de la troisième épreuve au de leur BMW Z4 GT3 n°3. Cela leur permet de mener la danse aux championnats des pilotes et des teams. Le trio du Marc VDS abordera ce week-end des 24 Heures de Spa avec la ferme intention d’accroître son avance au championnat. Il ne se berce cependant pas d’illusions quant aux chances réelles qu’il aura de finir sur leur podium devant son public, tant la concurrence s’annonce encore beaucoup plus relevée que dans les autres manches de la Blancpain Endurance Series. L’autre trio engagé sur la BMW Z4 GT3 n°4 et composé de Henri Moser, Mike Hezemans et Bert Longin sera lui aussi à la recherche d’un bon résultat. L’autre trio du Marc VDS a connu un départ difficile lors des deux premières courses de la saison 2012. Mais les trois hommes ont réussi à inverser la tendance au Paul Ricard où ils ont fini à une belle 6e place. Alors qu’ils occupent la 8e place du championnat, et qu’il ne restera que deux manches après Spa, Moser, Hezemans et Longin n’auront rien à perdre et s’élanceront à l’assaut de la victoire le week-end prochain. Les Total 24 Hours of Spa 2012 en seront à leur 64e édition cette année. Les origines de l’épreuve remontent à 1924. Les 24 Heures avaient été crées par le Royal Automobile Club de Belgique en guise de Grand Prix d’Endurance. Au fil des années, l’épreuve a gagné ses lettres de noblesse dans le concert international. Le week-end des Total 24 Hours of Spa commencera dès ce mercredi 25 juillet à 16 heures, avec la parade des voitures qui partiront du circuit pour rejoindre la Place Royale de Spa par la route. Les fans auront l’occasion de rencontrer les pilotes, de prendre des photos et des autographes, et même d’observer les voitures de près. A 19h25, les voitures reprendront la direction du circuit. Bert Longin : BMW Z4 GT3 n°4 : "C’est la 12e ou la 13e fois que je participe aux Total 24 Hours of Spa. Je suis déjà monté sur le podium, mais je n’ai jamais gagné. J’ai pourtant été très près de la victoire ces trois dernières années ! J’ai mené cette épreuve à de nombreuses reprises, et me suis souvent retrouvé au volant de la voiture la plus rapide du plateau, mais j’ai fait assez d’endurance pour savoir que ce n’est pas toujours la voiture la plus rapide qui s’impose dans ce genre de course. J’ai remporté d’autres 24 heures auparavant, et je connais Spa. Avec le Marc VDS Racing team, la voitures, les pilotes, tout est en place. Je pense que si nous ne commettons pas d’erreurs, nous serons près de la victoire. Mes équipiers sont rapides, et Mike a remporté cette épreuve ; nous sommes donc confiants. Je pense que nos deux voitures sont en position de gagner, et honnêtement, je me fiche de savoir si ce sera la n°3 ou la n°4 ! On veut seulement être au top." Bas Leinders : BMW Z4 GT3 n°3 : "La compétition sera beaucoup plus féroce ce week-end à Spa que dans toute autre manche de la Blancpain Endurance Series. Nous devrons nous battre contre l’usine Audi et bien d’autres équipages qui n’auront qu’une idée en tête et les moyens pour y arriver : la victoire. Nous voulons nous aussi gagner. Mais nous devrons également penser au championnat, où nous devons défendre notre place de leader. Nous devrons rouler intelligemment, pousser autant que possible tout en gardant à l’esprit que notre principal objectif reste de conquérir le titre à la fin de la saison. Cela ne veut pas dire que la victoire nous semble accessible ; si nous prenons de gros points après 6 et 12 heures de course, nous pouvons très bien décider de tout donner ensuite afin de jouer la victoire. Nous verrons bien. Quoi qu’il en soit, ce sera une course difficile, comme toutes les courses de 24 heures. Mais je suis confiant : j’ai le sentiment que nous pourrons quitter Spa avec un excellent résultat en poche, voire même un avantage plus grand au championnat." D’après un communiqué Marc VDS Racing Par: Patrice Girard Pitstop.com.fr
  11. Mario03

    Les 24 heures 2012

    C'est sous un soleil radieux et une température estivale (tout arrive !) que les concurrents, appelés à disputer les 24h de Spa-Francorchamps, ont pris leurs quartiers dans les paddocks du circuit ardennais. Si les formations ROAL, GPR, Preci Spark, Lapidus Racing, United Autosports, Exagon Engineering et VDS Racing Adventures occuperont la pitlane dite endurance, toutes les écuries de pointe, à l'instar de Marc VDS Racing, Vita4One, WRT, Phoenix Racing, Prospeed ou encore AF Corse prendront place dans les box traditionnellement dévolus aux F1. Si hormis les McLaren ASM et Gulf Racing ainsi que les BMW Z4 GT3/Marc VDS Racing, peu de voitures étaient, pour l'heure, sorties des camions, nous avons tout de même déjà pu apprécier la nouvelle livrée de l'unique Mercedes SLS alignée par le KRK Racing. Début des festivités demain matin avec les traditionnelles vérifications techniques... Fabrice Bergenhuizen Les photos du lundi sont ici.
  12. Mario03

    Histoire des pilotes

    Lewis Hamilton en 5 anecdotes insolites Son talent inné, sa précocité et son affabilité ont conféré à Lewis Hamilton un statut de star internationale dès sa première saison en F1. Tout ou presque a été dit sur le plus jeune pilote à gagner le championnat du monde (en 2008, à 22 ans !), pourtant le prodige anglais n'est pas aussi lisse qu'il n'y paraît. Derrière le sourire hollywoodien se cache parfois une profondeur insoupçonnée. La preuve par 5. Mon frère, ce piloteNon, ce n'est pas un énième remake de Jean et Joseph Behra ou Michael et Ralf Schumacher. Jugez plutôt : Nicolas Hamilton, âgé de 19 ans, est atteint d’une maladie cérébrale. Peut-être l’avez-vous déjà aperçu à la télévision puisqu’il suit la carrière de son frère avec passion, souvent du stand de l’écurie McLaren. Malgré son léger handicap moteur, le jeune homme a fait ses débuts dans le sport automobile en avril 2011, se classant au 12e rang de la Renault Clio Cup britannique. Conscient des efforts colossaux fournis par son frère pour surmonter ses difficultés, Lewis Hamilton déclarait après l'épreuve :"Je suis extrêmement heureux pour lui et surtout très fier. Il a tout donné, plus qu'aucun autre pilote aujourd'hui. La vraie star de la famille, c'est bien Nicolas". Avant de s'envoler vers Sepang pour disputer le Grand Prix de Malaisie trois jours plus tard. On ne se refait pas. Le respect des anciensS'il est un pilote qui a influencé le jeune Lewis, c'est bien le mythique brésilien Ayrton Senna. Fan absolu de son prédécesseur chez McLaren, Hamilton a tenu à lui rendre un vibrant hommage en novembre dernier, à l'occasion du 20e anniversaire de son troisième et dernier titre en Formule 1. Le pilote anglais s'est donc présenté à la deuxième séance d'essais libres du Grand Prix du Brésil vêtu d'une réplique de la combinaison de son aîné, ainsi que de son casque préféré. Puis, il s'est installé dans le cockpit de la fameuse McLaren-Honda MP4/4 de 1988 chérie par la superstar brésilienne. Lewis Hamilton a seulement parcouru quelques tours de pistes sous les vivats de la foule, mais lors de ces quelques instants, le mythe avait ressuscité, arrachant même quelques larmes aux plus anciens. Pussycat BoyJeune, beau, riche et célèbre, Hamilton a tout du prince charmant. Ne lui manque que la monture et la princesse. Si en guise de cheval blanc , McLaren lui fournit chaque année ce qui se fait de mieux, il a dû se débrouiller seul pour conquérir sa princesse. Et il a jeté son dévolu sur... Nicole Scherzinger, star mondiale de la chanson et leader des Pussycat Dolls. Les deux tourtereaux filent le parfait amour depuis 2007, faisant régulièrement la Une de la presse people pour le plus grand bonheur de leurs fans respectifs. Gageons que leurs enfants auront du talent ! Une autre carrièreLewis Hamilton tient à prouver qu'il n'est pas qu'un pilote et, pour cela, il vient de se lancer un nouveau défi : percer dans la chanson. Le leader de l'écurie McLaren aurait même déjà écrit, composé et enregistré des titres dans un studio londonien fréquenté par Robbie Williams ou Kylie Minogue. Selon son porte-parole, "peu de gens savent que Lewis fait de la musique pendant son temps libre. Il est vraiment intéressé par le R'n'B et a composé beaucoup de chansons correspondants à ses goûts. Pour le moment, il est complètement focalisé sur la F1, mais il n'est pas interdit de penser qu'une belle surprise arrive pour les fêtes de Noël..." D'ici à ce que Nicole signe chez Ferrari, il n'y a qu'un pas ! Victime de racismeLewis Hamilton a été victime d’insultes racistes de la part d’une partie du public espagnol alors qu'il prenait part aux essais sur le circuit de Montmelo (près de Barcelone), lors de sa première saison en F1. Quelques spectateurs sont en effet arrivés le visage peint en noir et portant des T-shirts sur lesquels était inscrit "Hamilton’s family" (famille d’Hamilton), adressant même des insultes nauséabondes au jeune pilote à chaque fois que celui-ci apparaissait dans les stands. Il s'agissait-là d'une première en Formule 1, un sport jusqu'ici épargné de ce genre de débordements. Décidément, Lewis Hamilton est toujours le premier quelque part. AssuranceAuto – Julien KONCZATY – juin 2012
  13. Mario03

    Nurburgring : c'est mal barré!

    Effectivement : cela a l'air très sérieux. Pauvre tchief,.. Le Nürburgring en faillite
  14. Mario03

    Histoire des pilotes

    Fernando Alonso en cinq anecdotes insolites Il est espagnol, jeune, riche, célèbre et l'un des meilleurs dans sa catégorie. Gérard Piqué ? Rafael Nadal ? Alberto Contador ? Perdu ! Il s'agit de Fernando Alonso, le beau gosse des circuits de F1. Champion du monde à 24 ans, ayant apporté une énorme dose de fraîcheur au monde aseptisé des Grands Prix, il a déjà couru, à 30 ans, pour les 3 plus grandes écuries (Renault, McLaren, Ferrari). Êtes-vous incollable sur la star asturienne ? Oui ? On vous prouve le contraire, en 5 points. Go! Élevé dans un milieu modeste En 2012, Fernando Alonso vit en Suisse et son salaire mensuel s'élève à 1 625 000 euros. Pourtant, le pilote n'est pas né avec une cuillère en argent dans la bouche, contrairement d'ailleurs à la plupart de ses adversaires. Son père est comptable, et sa mère ne travaille pas. En revanche, ses parents sont tous les deux passionnés de sport automobile et lui mettent très jeune un volant de karting entre les mains. La suite est écrite : le jeune Fernando est un maestro, il remporte 4 fois de suite le Championnat d'Espagne junior, de 12 à 16 ans, avant de passer à la catégorie supérieure, la Formule 3000. Alonsomania Son arrivée en Formule 1 coïncide avec une période où les sportifs espagnols n'ont rien gagné depuis bien longtemps, hormis bien sûr le cycliste Miguel Indurain. Après trois saisons d'adaptation qui laissent déjà entrevoir quelques promesses, Fernando Alonso décroche coup sur coup deux titres mondiaux, en 2005 et en 2006. Ces sacres provoquent des scènes de liesses totalement inédites en Espagne, où le sport roi reste pourtant le football. L'Alonsomania est née. Chacune de ses apparitions devient alors un événement relayé par les télés et la presse people, des cohortes de fans se jettent sur lui, et, selon ses dires, il reçoit jusqu'à 5 000 lettres par semaine. Soit autant que Raul, alors capitaine du Real Madrid. Prime à la jeunesse Avec, certes, une fluidité en course jamais vue depuis les grandes années de Schumacher, Fernando Alonso, c'est surtout la jeunesse triomphante sur les circuits. Des débuts en F1 à 21 ans, plus jeune ''poleman'' de l'histoire, premier podium et premier Grand Prix à 22 ans, avant d'être sacré champion du monde à 24 ans. N'en jetez plus ! Fan de cyclisme Pilote émérite dans un pays qui ne vit que pour le ballon rond, c'est déjà particulier. Mais ça le devient encore plus lorsque l'on sait qu'Alonso est avant tout... fan de cyclisme. Totalement passionné par le vélo, il a pour meilleur ami Alberto Contador et effectue même quelques ''sorties'' avec lui en hiver, au moment de sa préparation physique pour la saison à venir. Alonso est tellement toqué de cyclisme qu'il envisage même de monter une équipe afin de faire courir Contador et Sastre, ses compatriotes rois de la pédale. Alors, Alonso au tour de France, c'est pour quand ? Tensions avec Hamilton Entre les deux petits génies de la Formule 1, les relations n'ont jamais été simples. Jalousie, rivalité, antipathie, tout se mélange et les deux hommes se détestent cordialement. Le paroxysme de cette tension est atteint en 2007, au Grand Prix de Hongrie. Provisoirement en pole position, Alonso s’est arrêté un long moment au stand, bloquant Hamilton derrière lui, et l’empêchant de repartir au plus vite. Malgré de violentes dénégations du champion espagnol, la Fédération internationale de l'automobile l'a sanctionné pour ''conduite anti-sportive''. Ou quand l'homme prend le pas sur l'athlète... Sources : wikipedia, monsieur-biographie.com, lequipe.fr, autonet.fr
  15. Mario03

    Histoire des pilotes

    Jacky Ickx dans le stand aux images Samedi 7 Juillet 2012, 16h10 - par MEEUS,BERNARD ( RE) Un nouveau livre récapitule les moments les plus grisants de la carrière de Jacky Ickx. En 150 photos, souvent en noir et blanc, on sent la foule, la course et un homme transfiguré en pilote. Ickx se raconte hier, aujourd’hui et demain. <p>Il ne court plus ni derrière la gloire ni derrière une première place ou un chrono. Il les a, épinglés à sa mémoire. À 67 ans, Jacky Ickx a appris la sagesse. Il l’a souvent rappelé : le Dakar l’a modifié. Dans le salon de sa maison bruxelloise, où l’Afrique s’invite, il réagit au livre qui le fait entrer dans le circuit des librairies. Ickx posé et accueillant qui philosophe sur le sens de ses victoires. Finalement, il est sorti peu de livres sur vous, malgré vos états de service… L’occasion fait le larron. Un livre sur Eddy Merckx m’avait particulièrement plu. Ce n’était pas une biographie mais des clichés, des instants avec une ligne de conduite, une histoire. Je l’avais trouvé extraordinaire. J’ai vibré au rythme des victoires de Merckx. Ces gens ont suivi la même démarche avec moi via un livre grand public. Ce n’est pas dans ma culture de regarder vers l’arrière ; je ne suis pas du tout passéiste. Je n’ai rien dans ma maison, ni coupes ni trophées ; tout est dans la cave. Mais le besoin était là : j’ai traversé ces années très vite, on devient ce qu’on est à travers les autres, je voulais leur “parler”, remercier ceux qui m’ont fait : les spectateurs dans les tribunes bondées, les mécanos, les ingénieurs, mes adversaires qui tous fondent le sport automobile. Je leur dois mes résultats. Car si la vedette prend toute la lumière, c’est l’esprit d’équipe qui gagne, en fait. Ce sont tous ces artisans anonymes qui m’ont offert un outil parfait, qui m’ont permis de décrocher la victoire et je les en remercie ! Et vous vous reconnaissez ? En fait, j’ai beaucoup de mal à me reconnaître. C’est un autre Ickx dans une autre vie. On évoque des moments clés, des hommes clés, déterminants dans mes succès. Il en est sorti une édition limitée (voir encadré, ndlr) avec des fioles qui sont autant de totems, un morceau de Porsche, un morceau de combinaison, du sable du Dakar. Mon histoire a duré longtemps, par bonheur, avec éclectisme car j’ai touché à tout, à une période qui n’était pas aussi spécialisée ou contractuelle qu’aujourd’hui. En tout, 32 ans de sports mécaniques sans me faire mal. Survivre à ce métier était une question de chance à l’époque, et non de talent. J’ai eu une vie unique, splendide, hors-norme, avec des drames qui m’ont marqué et m’ont fait grandir, mais je ne peux me plaindre de rien. Je n’en ai pas le droit. Entre le jeune champion sémillant et le Ickx de l’après-Dakar, la philosophie s’insinue dans votre moteur personnel, non ? Je suis venu au sport automobile par accident. J’étais tranquille au fond de la classe près du radiateur, sans déranger personne. Mes bulletins étaient médiocres. Mes profs avaient capitulé depuis longtemps. Le hasard a voulu que j’aie de bons résultats avec ma première moto. J’ai découvert le succès. Mes parents n’étaient pas contre. J’avais en course des qualités qui, dans la vie normale, étaient presque des défauts. Avez-vous conscience de représenter un idéal sportif pour beaucoup de Belges ? J’appartiens à une époque où l’argent n’était pas ce qui nous animait en priorité. Ne critiquons pas nos champions. En Belgique, ils sont nos meilleurs ambassadeurs. On nous les envie. Je songe à Ivo Van Damme, Gaston Roelants, Joël Robert, Serge Reding, les Van Impe, Henin, Clijsters, que rêver de mieux ? Je sais pour l’avoir vécu la récompense du podium, la fierté, le drapeau qui monte, l’hymne national qui résonne. Je suis heureux d’avoir fait partie de cette communauté. On vibre à ce moment-là ! Si le mot “idéal” est évoqué dans ce sens-là à mon sujet, alors tant mieux. Revenons à votre conversion, celle du Ickx de la lenteur ? C’est vrai. Quand je vais au GP de Monaco, je me dis que c’est impossible que moi, j’aie pu prendre un tel départ. Je vieillis : à quoi ça sert de grandir si ce n’est pas pour mûrir ? J’ai une certitude : je n’ai pas une vision étroite de la vie ; elle s’est élargie avec le Dakar qui figure aussi dans l’album. Il m’a ouvert à l’Afrique. Je suis le parrain de “Face” au Caire, qui recueille les enfants des rues. Elle m’a fait comprendre, avec ma femme Khadja Nin, qu’on ne peut pas recevoir sans donner. Nous avons donc spontanément décidé de verser tous les bénéfices tirés de la vente du livre à “S.O.S. Villages d’enfants”, une association belge admirable qui œuvre en Afrique noire et en Inde. Je les ai vus agir sur le terrain, au Bénin. Ils font un sacré boulot. Dernière question. Quand vous prenez la route ou le volant aujourd’hui, où voudriez-vous qu’elle vous mène, cette route ? (Il réfléchit de longues secondes). La page précédente est tournée. J’ai trouvé avec mon épouse Khadja des valeurs de générosité. L’Afrique, à travers mes voyages au Mali, m’a appris le partage. C’est ma route aujourd’hui.
  16. Mario03

    Histoire des pilotes

    F1 : un Chinois au volant d'une HRT Le Chinois Ma Qing Hua, âgé de 24 ans, est entré dans l'histoire du sport automobile en devenant jeudi le premier pilote de son pays à piloter une F1 lors d'une séance d'essais de jeunes pilotes, à Silverstone, en Grande-Bretagne. Le natif de Shanghaï a bouclé 54 tours (318 km) le matin, puis 28 tours l'après-midi (165 km) au volant d'une monoplace F112 de la modeste écurie espagnole HRT. "C'était un sentiment fantastique de piloter une F1 pour la première fois. Ce n'est pas facile d'exprimer avec des mots ce que j'ai ressenti. J'avais eu du mal à m'endormir hier soir et j'ai essayé de me calmer en me disant que c'était juste une autre séance d'essais", a confié le Chinois, qui a signé le quatrième et dernier temps de la journée. Selon le Team Principal de HRT, Luis Pérez-Sala, Ma Qing Hua a néanmoins fait "un excellent travail", alors que "ce n'est pas facile de piloter une F1 et Ma n'a fait aucune erreur". Par Europe1.fr avec AFP Publié le 13 juillet 2012 à 12h11 Mis à jour le 13 juillet 2012 à 12h24
  17. Mario03

    Histoire des pilotes

    Michael Schumacher en 5 anecdotes insolites On ne présente plus Michael Schumacher : détenteur de la plupart des records et du plus beau palmarès de l'histoire de la Formule 1, le Baron Rouge est un monument du sport mondial. Mais si vous croyez tout connaître de la carrière de ce champion hors du commun, c'est que vous n'avez pas encore lu ces lignes... AssuranceAuto.fr vous livre le portrait de Michael Schumacher en cinq anecdotes insolites. Il est issu d'une famille modeste Contrairement à la plupart de ses collègues et adversaires en F1, Michael Schumacher n'a pas vu le jour dans une famille aisée. C'est son père, modeste maçon de Hürt, petite ville de Rhénanie-du-Nord, qui lui donne très jeune le goût de la conduite. À l'âge de quatre ans, le jeune Michael passe déjà ses journées sur son kart à pédales sur lequel son père a installé un petit moteur de moto. À l'âge de six ans, il remporte son premier championnat sur un kart construit par son père à l'aide de pièces d'occasion, alors que ses concurrents courent, eux, sur des véhicules tout neufs. Rolf et Elizabeth Schumacher finiront même pas se faire engager par le club de karting local, lui, assurant la location, elle à la cafétéria, pour que leur fils passe le plus de temps possible sur les pistes. Il n'est pas forcément celui que l'on croit Malgré son statut officieux de "meilleur pilote de tous les temps", Schumacher a pratiquement toujours compté autant de détracteurs que d'admirateurs. Quelques fameux accrochages et incidents lors de batailles pour le titre ont conféré parfois au pilote allemand des allures d'animal au sang froid, calculateur et égoïste. Pourtant, tout au long de sa carrière, le Baron Rouge a ,au contraire, su démontrer sa générosité et son grand cœur. En 1990, alors qu'il n'est encore qu'un jeune pilote prometteur du circuit de F3, Schumacher remporte deux course prestigieuses (Macao et Mont Fuji) et se voit récompensé par un chèque de plus de 20 000 euros. "J'avais peu de moyen à l'époque, mais cet argent n'était pas prévu, je n'en avais pas vraiment besoin", dira-t-il plus tard, après avoir reversé la totalité de la somme à une œuvre humanitaire. Autre exemple, en 1999, trois mois après sa fracture de la jambe, il revient sur le circuit pour le GP de Kuala Lumpur. Auteur de la pole et d'une course magistrale, il offre la victoire à son coéquipier Eddie Irvine, qui lutte encore pour le titre. Enfin, contrairement à certaines critiques, Schumi n'est pas une "machine" insensible. Le 10 septembre 2000, il fond en larmes après sa 41e victoire en Grand Prix : l'Allemand vient d'égaler le record de son idole de toujours, Ayrton Senna, mort quasiment sous ses yeux en 1994 au GP de Saint-Marin. Il roule parfois "un peu trop vite" Un jour de 1990, Michael Schumacher est attendu au circuit du Castellet pour une séance d'essais. Il arrive avec plusieurs heures de retard et... en train ! Le jeune pilote confesse, un peu gêné, que la police française l'a retenu un certain temps en chemin, après l'avoir flashé à... 200km/h ! Il est entré en F1 grâce à la police britannique En 1991, alors que Mercedes cherche à le placer dans une écurie de Formule 1, une opportunité se présente chez Jordan, subitement privé de leur pilote belge, Bertrand Gachot. En effet, ce dernier vient d'être condamné à 2 ans de prison par la justice britannique, suite à une altercation avec un chauffeur de taxi londonien. Jordan, au pied du mur, donne donc sa chance au jeune Michael Schumacher. Bertrand Gachot, pilote très moyen, aura, à sa façon, marqué l'histoire de la F1. Il est pilote, mais aussi chauffeur Un matin de décembre 2007, Michael Schumacher doit se rendre avec sa famille à l'aérodrome de Coburg, situé à 30 km du village de Gehütz, où il passe ses vacances. En retard et obligé de prendre un taxi, le champion demande au chauffeur s'il peut prendre le volant, pour s'assurer de ne pas rater son avion. Le chauffeur de taxi raconte l'anedcote pour le moins insolite : "Je me suis retrouvé sur le siège passager, ce qui est déjà assez surprenant, mais avoir Schumi au volant était surréaliste ! Il était à fond dans les virages, et il a doublé des gens à des endroits incroyables." Ce jour-là, le Baron Rouge n'a pas croisé la gendarmerie française et a réussi à prendre son avion. Sans oublier, évidemment, de payer la course et de donner un généreux pourboire au chauffeur-passager. Quand on vous dit qu'il a un grand cœur !
  18. La grosse nouvelle du monde de la course automobile le week-end dernier aura été sans doute celle de la suspension imposée au pilote NASCAR AJ Allmendinger qui a échoué un contrôle antidopage. Car oui, le sport automobile est bien un sport à part entière et les organismes qui régissent les principaux championnats ont mis en œuvre des batteries de tests antidopage habituellement effectués au hasard. Photo: NASCAR La FIA va même encore plus loin et a adopté la même liste de produits dopants interdits que le CIO, le Comité international olympique. Ainsi, les pilotes de Formule 1 comme Sebastian Vettel et Lewis Hamilton sont soumis aux mêmes types de contrôles que les athlètes olympiques. Cela concerne évidemment tous les types de drogues, mais aussi les produits anabolisants, stéroïdes et les amphétamines. Aucun pilote de F1 ne s'est fait prendre en plus de 15 ans de contrôles. Le seul proche de la F1 qui fut pris a été le Tchèque Tomas Enge, trouvé coupable en 2002 de consommation de marijuana. Cette faute a incité la FIA à le dépouiller de son titre de champion de la Formule 3000 qu'il vient tout juste de remporter... Le plus surprenant est que ce même Enge a échoué un autre test en juin dernier. Enge, qui court en FIA GT, clame pourtant qu'il doit prendre des médicaments pour contrôler un problème cardiaque et qu'il en avait justement informé la FIA... L'enquête nous dira s'il a raison. Les statistiques indiquent que ce phénomène est plus répandu ici en Amérique du Nord. On ne compte plus les coéquipiers des écuries des séries majeures de NASCAR, ceux qui effectuent les ravitaillements, qui ont été pris à consommer des drogues « douces », essentiellement de la marijuana. Outre Allmendinger, on sait que le pilote Jeremy Mayfield a lui-aussi échoué un test antidopage il y a de cela quelques années et qu'il s'est battu férocement devant la justice pour tenter de prouver que ce n'était pas le cas. On peut aussi avancer le cas de Shane Hmiel, pilote NASCAR, qui a été banni à vie après avoir échoué trois tests antidopage. Mais pourquoi les pilotes voudraient-ils consommer ces drogues? Notez qu'aucun n'a été pris à consommer un excitant comme de la cocaïne, car piloter une voiture de course requiert calme et précision; pas une drogue dure qui altère les sensations et la perception. On peut supposer que certains pilotes ont du mal à gérer le stress de la compétition et prennent le risque d’utiliser une drogue apaisante afin d'arriver à courir. D'ailleurs, l'anecdote veut qu'il y ait un certain temps, quelques pilotes d'endurance ou de rallye buvaient un bon verre de vin avant de conduire, histoire de se calmer un peu les nerfs. Comme dans notre vie quotidienne, des individus prennent le risque de provoquer un accident et de tuer d'autres personnes en conduisant sous l’effet de drogues ou d'alcool. La punition n'est peut-être pas encore assez sévère pour faire cesser ce comportement irresponsable. Par René Fagnan, Voir autres articles de l'auteur jeudi, 12 juillet 2012
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