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Tout ce qui a été posté par Mario03
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1 AVEC OU SANS BERNIE ECCLESTONE ? Bernie, c'est un peu Maître Yoda. Hors d'âge mais toujours là. Indispensable à la F1 selon certains. Quoique son business plan a vécu. Après avoir graissé la patte d'un banquier allemand aussi fiable que Jabba the Hutt à hauteur de 44 millions de dollars afin d'éviter un contrôle fiscal interstellaire, l'homme qui a fait la F1 moderne, mis dans l'embarras par la justice allemande, ne fait plus l'unanimité au sein de CVC, le fonds d'investissement qui détient les droits commerciaux de la F1, déjà agacé par sa sortie de piste médiatique sur Hitler il y a quelques mois. Sachant que 2012 marque la fin des Accords Concorde qui régissent le business de la discipline, l'homme d'affaires britannique joue actuellement gros. 2 LE MANAGER DE ROBERT KUBICA PREND-IL ERIC BOULLIER POUR UNE SAUCISSE ? Il n'est pas question de tenter le début des prémices d'une amorce d'humour sur la santé du pilote polonais. Très grièvement blessé à l'orée de la saison, opéré à plusieurs reprises, il lutte depuis pour recouvrer l'intégralité de ses moyens. N'empêche que Daniel Morelli, son agent, nous joue depuis quelques mois la symphonie des trompettes. Ses plus grands tubes ? « Robert sera au volant au Brésil » et « Robert bientôt sur simulateur ». Pendant ce temps, l'intéressé essayait de bouger le bras, puis la main, et il travaille actuellement sur ses doigts. Malheureusement, Kubica semble loin d'être prêt. 2012, c'est demain. Un avis médical, si possible indépendant, donc neutre, parait être la façon la plus professionnelle de trancher. LRGP ne peut pas éternellement s'en remettre aux bulletins de santé du Docteur Morelli, pas loin de l'exercice illégal de la médecine ! 3 PSA DOIT-IL VIRER OLIVIER QUESNEL ? Rendez-vous compte, le méchant homme ! Il a osé accorder cette saison un statut de deuxième pilote n°1 à Sébastien Ogier... Moyennant quoi le directeur de Citroën Racing a, l'an dernier, assuré le futur sportif de la marque à l'horizon 2012. Ben oui, selon son propre feeling de l'époque, Sébastien Loeb était plutôt parti pour raccrocher fin 2011. L'idée, à court terme, c'était d'éviter de se retrouver avec un Latvala ou un Hirvonen face à Ogier passé chez Ford. Seulement... Biiiiip ! Désolé les Chevrons, vous voilà pris en faute. Le management du sport, quand on a la chance de mettre ses couleurs et son nom sur un Messi, un Bryant, un Federer, un Karabatic, un Bolt ou un Loeb, consiste notamment à lui imposer une décision quant au renouvellement de son contrat très en amont de son échéance. Pas dans les dernières semaines. C'est tout de même la prérogative de celui qui fait le chèque. En outre, quelle que soit la décision de la star, vous avez ainsi le temps de vous adapter. C'est pro. Et ça aussi, l'intéressé est forcé d'en convenir. En laissant la main à Loeb sur la question, Citroën a créé les bactéries qui, dans le bouillon de la course, ont développé le pataquès interne qui a fait jaser. Elle est là, l'erreur de Quesnel, du moins s'il est décisionnaire en matière de contrat. Mais était-ce le cas ? Il est en revanche celui qui a été contraint de composer avec une situation inextricable et deux égos logiquement inconciliables. Car ni l'un ni l'autre n'avait tort. Puis, sans Quesnel, Citroën a tranché. En faveur de Loeb. Logique puisqu'il voulait poursuivre sa carrière. Et sacrifié Ogier. Dommage. D'après certaines rumeurs, Quesnel pourrait être débarqué. Il faut bien que quelqu'un porte le chapeau. De quoi ? De pas grand chose dans la mesure où le seul déficit d'image, au bout du compte, est pour Ogier. Son coup de gueule en Allemagne, bien que légitime au regard de promesses non tenues, a été maladroit. Et puis s'attaquer à une icône... Sinon, Quesnel n'a pas laissé échapper un titre en WRC depuis son arrivée. Il a également été de la victoire de Peugeot au Mans alors que le programme du Lion en endurance était mal embarqué. Depuis, si la 908 manque de réussite dans la Sarthe, elle n'en flambe pas moins en ILMC, notamment en Chine, à l'appui d'une croissance à deux chiffres sur le marché. Les résultats sont là. Après, pour satisfaire le canal historique, Quesnel n'est pas Fréquelin. Il est Quesnel. Mais est-ce le plus important ? 4 VETTEL PUISSANCE 3 ? Il est plutôt sympathique ce jeune allemand. Il est même fan des Beatles, ce qui permet au public vieillissant de la F1 de ne pas se sentir bon pour l'hospice, où chacun sait que les audiences ne sont pas folichonnes lorsque le départ d'un GP tombe dès potron-minet ou après l'extinction des feux. Evidemment, la boisson qui permet de fixer un arbre pendant huit jours sans cligner des yeux fera tout pour lui fournir une monoplace de concours. En face, ceux dont il parait que c'est le vrai métier, à eux, de faire de la course, ne l'entendent pas de cette oreille. Il est d'ailleurs temps de réagir. Et avec nos encouragements. Car Red Bull Racing est devenue tout ce qu'elle ne voulait pas être : psychorigide et ennuyeuse. Une écurie de F1, quoi... 5 MAIS OU EST DONC PASSE LE GRAND PRIX DE FRANCE ? Pour promettre monts et merveilles en douce, du haut d'un col-cravate Hermès à trois jours de travail au Smic, la France s'est découverte cette année du champion du monde en puissance dans le paddock. Mais depuis Spa-Francorchamps, le Grand Prix de France semble avoir fait pschitt : ce n'était, parait-il, qu'une question de jours, avant que François Fillon ne nous annonce le Castellet en 2013 au prix d'une savante alternance avec la Belgique. Et puis le silence radio. M'est avis qu'à l'approche des présidentielles, ce n'est pas le moment d'assumer le retour d'un évènement impopulaire, si j'en crois les lobbies qui ont eu la peau du projet de Flins. Cela dit, la perspective Paul Ricard laisse dubitatif. Réelle, l'impression d'un retour de la F1 à tout prix dans l'hexagone, quitte à bricoler : vu le tracé de la piste et la configuration globale des infrastructures, pas un seul spécialiste du sport automobile, et de la F1 en particulier, ne peut croire que dans ces conditions, le Grand Prix de France puisse avoir de la gueule... 6 LE RALLYE EST-IL EN SI BONNE SANTE ? Je me souviens d'une conversation avec David Richards, il y a une petite dizaine d'années, dans le motor-home BAR. Alors promoteur et détenteur des droits du WRC via ISC, il avait essayé de me convaincre qu'il pouvait sur une décade faire du rallye l'un des sports majeurs dans le monde. En vain. Il n'y est d'ailleurs pas parvenu, ce qui ne l'empêche pas d'être parmi les plus brillants et les plus sympathiques entrepreneurs du sport auto moderne. Reste qu'à vouloir plier le rallye pour le formater pour d'hypothétiques programmes TV, avec l'aval des marques impliquées à l'époque, il l'a dénaturé avec des parcours trop étriqués. A contrario, la FIA libère actuellement les organisateurs de ce carcan pour renouer avec l'itinérance d'antan. Mais encore ne faut-il pas faire n'importe quoi. Le week-end dernier, au Pays De Galles, les six heures de route, aller-retour, pour seulement trois spéciales et 25 km contre le chrono, n'étaient pas justifiées. Relancer les pilotes sur quelques très longues spéciales, pourquoi pas. Mais quel est l'intérêt de leur faire parcourir des centaines de kilomètres de liaisons pour si peu ? Question maitrise de la consommation et des émissions, c'est une aberration. Sans parler du coût pour les équipes et de la logistique de l'organisateur. Reste que cette envie d'ouverture est une bonne chose. C'est ça, le rallye. Le concept se suffit à lui-même, compliqué pour le grand public et les médias mais c'est ainsi. En janvier prochain, sur le Monte-Carlo, le Turini de nuit fera plus de buzz que n'importe quelle super-spéciale sur un parking de supermarché. Un rallye doit raconter une histoire, pas être réduit à un jingle. A cette condition les médias feront l'effort, du moins si quelqu'un réalise un jour qu'en termes de développement des retombées du championnat, il ne serait pas inutile de leur offrir des conditions de travail correctes, et, en matière de droits, des tarifs réalistes. Pour le reste, puisque la définition technique des autos est actuellement cohérente, tout est question de plateau. Il y a encore quelques semaines, l'horizon était prometteur, avec Mini et Volkswagen appelés à rejoindre Citroën et Ford. Seulement, un bruit de parc d'assistance annonçait à Builth Wells un gros doute quant à la réelle bonne volonté de BMW concernant Mini. Surtout, Malcom Wilson et Ford n'ont toujours pas annoncé qu'ils poursuivaient l'aventure. L'histoire du rallye, un jeune championnat comparé à la F1, est ainsi faite de cycles. Les composantes environnementales et sécuritaires sont en revanche très récentes. A ce propos, il ne serait pas stupide d'ouvrir un peu le règlement concernant les pneumatiques. En Grande-Bretagne, sur les deux spéciales asphalte du jeudi, les pilotes ont été contraints d'évoluer en pneus terre tendres. Les autos se comportaient comme des aéroglisseurs, en totale dérive, très rétives. Un grave accident aurait été difficile à justifier d'un « ils avaient une monte totalement inadaptée »... 7 JEAN ALESI DOIT-IL DISPUTER INDY 500 ? Jean, faut juste le laisser tranquille. Et ne lui parlez pas de Dan Wheldon. Jean n'est pas comme nous, c'est un pilote. Il a envie d'Indianapolis, il ira. A la clé, le privilège d'avoir disputé le GP de F1 de Monaco, les 24 Heures du Mans, et les 500 Miles. Une statistique de seigneur. 8 QUE PEUT-ON ATTENDRE DU CHAMPIONNAT DU MONDE D'ENDURANCE ? Franchement, à l'évocation de Peugeot, Audi, Aston Martin, Porsche et Toyota bientôt à la lutte pour un titre mondial et le diamant du Mans, il y a de quoi saliver. Attendons toutefois de voir si les quatre marques, selon le timing de leurs programmes respectifs, seront réellement réunies en piste. Attendons-nous également à quelques gros coups de gueule à la Pescarolo. Souhaitons ainsi bien du courage à l'ACO dans l'établissement des équivalences entre essence, diesel, hybride, et bientôt je ne sais quoi. L'ouverture aux nouvelles technologies de la mobilité est une excellente chose, mais l'impératif d'équité sera malheureusement impossible à satisfaire. C'est du moins l'opinion de tous les ingénieurs de haut niveau impliqués dans les autres disciplines du sport auto. Au-delà de cette problématique majeure, l'ACO devra aussi muscler son jeu pour se montrer digne d'un label « championnat du monde ». Globalement, l'organisation ILMC est trop hésitante et hétérogène d'une course à l'autre. Dépositaires des 24 Heures, une course si énorme qu'on lui pardonne toujours tout, nos amis sarthois ne sont pas réputés pour leur capacité à se remettre en cause. Et puis ce côté Bourvil à l'Elysée, qui ne manque pas de susciter quelques doutes quant au développement du projet. Puissent-ils me donner tort ! 9 MAIS POURQUOI FERRARI NE REMPLACE-T-ELLE PAS MASSA ? Pour la même raison que Red Bull conserve Mark Webber. Lorsque l'on aligne en piste un calibre comme Fernando Alonso, il n'est pas nécessaire de vouloir lui adjoindre un deuxième champion potentiel. Il suffit de voir ce qu'à donné sa cohabitation avec Lewis Hamilton, ou plus récemment le binôme Loeb-Ogier. Si Ferrari est capable de produire l'an prochain la meilleure monoplace du plateau, Massa sera largement en mesure de faire le job en ce qui concerne le titre constructeurs. N'empêche que plusieurs questions méritent d'être posées : Felipe est-il toujours le pilote passé à deux doigts de la couronne 2008 ? Son accident a-t-il eu une incidence sur son niveau de performance, ou le Brésilien est-il simplement gêné par les pneumatiques actuels ? Evidemment, quitte à ce qu'il soit confiné dans un rôle de numéro 2, Ferrari pourrait lancer un jeune. D'un autre côté, le Pauliste mérite bien que la Scuderia lui laisse une chance... 10 A QUAND UNE NOUVELLE ECURIE FRANCAISE EN F1 ? Non, je plaisante... http://blog.lefigaro.fr/F1-tour-de-chauffe/2011/11/le-top-10-des-questions-qui-fachent-dans-le-sport-automobile.html
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Images Jérôme D'Ambrosio et Timo Glock Notre compatriote Jérôme D’Ambrosio n’a pas l’intention de se laisser abattre. S’il est vrai que Charles Pic est fortement pressenti pour le remplacer chez Marussia F1 l’année prochaine, grâce aux millions de Lagardère, ce n’est pas la première fois que le pilote belge se retrouve dans une telle situation. Et aussi <LI class=text>''En Belgique, on n'a pas tout compris'' <LI class=text>Charles Pic a signé chez Virgin <LI class=text>Marussia décidera après le Brésil Toutes les infos Jérôme D'Ambrosio Fort du soutien d’un management solide en la qualité de Gravity, JDA est pourtant parvenu à gravir tous les échelons pour finalement réaliser le rêve de tout pilote en accédant à la Formule 1 cette année. Ce qui n’est pas une mince affaire quand on vient d’un aussi petit pays que la Belgique, le dernier représentant belge en F1 avant lui remontait à plus de quinze ans. A une course de la fin de la saison, programmée dans deux semaines au Brésil, D’Ambrosio n’est pas encore fixé sur son avenir dans la catégorie reine du sport automobile. Pic serait pressenti pour le remplacer en 2012, Marussia ayant préféré les millions à l’expérience et la stabilité. S’il est évident que la situation ne doit pas être facile pour le seul représentant belge en F1, il doit par rapport à cela adopter la seule attitude valable : essayer de faire abstraction de tout ça et continuer à faire son travail du mieux possible afin d’entretenir sa bonne cotation vis-à-vis des autres écuries. D’Ambrosio n’a d’ailleurs pas l’intention de se laisser abattre. "Je n’ai aucune réaction concernant ces annonces à propos de Pic. Je continue à faire mon boulot et je laisse le reste à ceux qui s’occupent de moi. Je dispose d’un très bon management. Je ne pense pas que l’ambiance est un peu plus pesante dans le paddock. C’est symptomatique de la fin de saison en Formule 1. Beaucoup de pilotes ne sont pas encore fixés sur leur avenir et c’est forcément un moment un peu plus délicat, mais cela fait partie de la F1 et c’est comme ça chaque année," a confié JDA à Toile F1 depuis Abu Dhabi. "Forcément que si j’avais signé, je serais encore plus heureux, un peu plus serein, c’est clair, mais c’est une situation qu’il faut savoir gérer et dans laquelle je me suis retrouvé plusieurs fois au cours de ma carrière. Il faut pouvoir apprendre à gérer ça et je pense que je l’ai très bien montré ce week-end, notamment en terminant à moins de deux dixièmes de Timo en qualifs. Cette situation n’interfère pas avec mes performances sur la piste. Cela peut paraître très froid mais je me concentre sur ce que j’ai à faire, j’ai encore une course avec Virgin et ce n’est pas mon problème de savoir pour l’instant comment va se passer la suite de ma carrière. Pardon, bien sûr que c’est mon problème mais ce n’est pas à moi de mettre mon nez dans les discussions pour savoir le dessous des cartes. Toute mon énergie doit encore être concentrée à 100% sur le Grand Prix du Brésil." Jérôme D’Ambrosio, qui possède toujours les deux meilleurs résultats de son écurie, a par ailleurs connu un dimanche difficile à Abu Dhabi. Le pilote belge a été contraint à l’abandon après avoir perdu les freins au 18ème tour de course. Jusque-là, il réalisait un bon week-end, après avoir terminé à moins de deux dixièmes de son expérimenté équipier en qualifications. "Je n’ai pas beaucoup roulé aujourd’hui, la faute à des problèmes de freins. Cela faisait cinq tours que ma pédale de frein était très irrégulière. Il y avait des étincelles qui sortaient de l’avant gauche à chaque fois que je freinais. Et puis les freins ont finalement lâché et je suis rentré au stand pour abandonner. C’est dommage mais cela fait partie de la course, il faut pouvoir l’accepter," a-t-il conclu. G. Demoen / Toile F1
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D'Ambrosio reste sourd aux rumeurs var id2 = '0.607627319946616'; belga Jérôme d'Ambrosio a tenu à réagir aux rumeurs qui annoncent son remplacement au sein de Marussia F1. Le Belge préfère relativiser et se concentrer sur les deux dernières courses de la saison. Mercredi matin, nous vous faisions part de l'annonce du quotidien français L'Equipe qui affirmait que notre compatriote serait remplacé en 2012 par le pilote français Charles Pic. Une information que s'est refusé de confirmer l'entourage du jeune pilote tricolore, soutenu par Lagardère et Olivier Panis. Règles du jeu Une nouvelle qui ne semble pas ébranler Jérôme d'Ambrosio qui préfère se concentrer sur les deux derniers Grand Prix de la saison plutôt que de céder aux rumeurs qui font partie des règles du jeu à l'approche de la fin de la saison, propice aux renégociations de contrat. "Nous ne pouvons pas empêcher les gens de parler de l'année prochaine," a-t-il confié à ToileF1. Me concernant, je continue à croire les informations officielles qui me sont données par l'équipe et mon management (Gravity) travaille toujours activement pour la saison 2012". Constance Fort heureusement, le bilan de la saison de JDA parle en sa faveur. Malgré une voiture bien en-dessous de son coéquipier Timo Glock (confirmé pour 2012), c'est au Brabançon que l'écurie russe doit ses deux meilleurs résultats de la saison. Systématiquement qualifié, d'Ambrosio n'a par ailleurs connu que deux abandons. Et il a démontré une constante progression tout au long de la saison, même si en perfectionniste, il sait qu'il peut encore élever son niveau. "Je veux vraiment faire de mon mieux afin d'obtenir deux bons résultats avant la fin de la saison", insiste-t-il. "Je pense que j'ai fait du bon boulot depuis le début du championnat, même si je sais que je peux m'améliorer dans différents domaines, mais il s'agit seulement de ma première année en F1. L'objectif est toujours le même pour moi. Je dois être le plus proche de Timo, qui est ma référence, et utiliser au mieux le potentiel de ma voiture jusqu'au drapeau à damier. Je sais que je suis chanceux d'être un pilote de F1 et je veux tout donner jusqu'au dernier tour de la dernière course. Ne comptez pas sur moi pour abandonner". Quand on connaît son tempérament, on doute qu'il le fasse. Et si jamais, finalement, JDA méritait mieux que Marussia? (LS) 09/11/11 23h05 http://www.7sur7.be/7s7/fr/1514/Formule-1/article/detail/1346196/2011/11/09/D-Ambrosio-reste-sourd-aux-rumeurs.dhtml
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ALLUMER SES PNEUS :Expression utilisée par les pilotes pour désigner un blocage de roue lors d’un gros freinage. ATTAQUER :Lorsqu’un pilote « attaque », il essaie d’aller au maximum de ses capacités et de celles de la voiture. CLAQUER UN TEMPS : réaliser un temps excellent. CH :Abréviation de Contrôle Horaire. Endroit où les concurrents doivent se rendre pour pointer à l’heure inscrite sur le carnet de bord qui leur est donné au départ de l’épreuve. Retard ou avance entraînent des pénalités en temps. CP : « contrôle de passage ». Vérifier que le concurrent a bien pris le parcours routier obligatoire. L’absence d’un pointage peut entraîner l’exclusion du rallye. CHICANE : succession de deux virages de sens opposés qui permet de ralentir les voitures dans une portion jugée trop rapide par les organisateurs. CONTROLE TECHNIQUE : Passage obligé pour tous les équipages d’un rallye. C’est là que chaque voiture est vérifiée : on vérifie si elle est classée dans la bonne catégorie (en fonction de sa cylindrée) et si tous les équipements de sécurité sont aux normes. Un détail fait défaut, et l’équipage est obligé de remettre sa voiture aux normes. Sinon, pas de départ. COUPER UN VIRAGE : Un pilote coupe un virage lorsqu’il place ses roues intérieures au-delà de la corde, par exemple en passant dans l’herbe à l’intérieur d’un virage. CORDE : est une appellation pour désigner un bref passage de la trajectoire. Située à l’intérieur du virage, la corde est le passage obligé pour réaliser une trajectoire parfaite. ÉPINGLE : l’épingle est un virage ultra-serré. Les pilotes y utilisent souvent le frein à main pour aider la voiture à tourner. FREINER PIED GAUCHE : technique utilisée par beaucoup de pilotes. Cette technique reproduit à peu de chose prêt l’effet du frein à main. Sauf que le pilote a l’avantage d’avoir les deux mains sur le volant et le pied droit sur l’accélérateur. Ce qui permet de gérer la dérive de la voiture. FAIRE UN PLAT :Lorsqu’un pilote bloque les roues sur un freinage, il effectue un plat dans le pneu. Ce qui amène une instabilité de la voiture et des vibrations dans le volant. FAIRE DU PETIT BOIS : Expression utilisée par les pilotes lorsqu’ils partent à la faute et terminent dans les arbres. HANS (un ~) : Système de sécurité posé sur les épaules du pilote et attaché avec des lanières à son casque. Ce système « empêche » le pilote de se briser les cervicales lors d’un accident. GRIP : Mot venant de l’anglais et qui désigne la tenue de route de la voiture. LIAISON : Portion de route ouverte que parcourent les équipages entre deux spéciales. Sur ce tronçon routier, les concurrents sont soumis au code de la route. Attention aux infractions ! LIMER : expression de pilote qui désigne le fait de reconnaître le tracé en effectuant le plus de passage possible dessus. MULET :Moins utilisé qu’avant car trop coûteux, le mulet est en réalité la voiture de remplacement en cas de problème sur la voiture principale de course avant la course. Une fois que la course a débuté, impossible de recourir au mulet en cas de problème. PARC FERMÉ : lieu où sont rangées les voitures en fin de journée ou en fin de rallye. Dans cette zone est interdite toute manipulation sur la voiture. RANGER LE CERVEAU DANS LA BOÎTE À GANT : Expression utilisée par certains pilotes pour désigner une prise de risque maximale. ROAD BOOK : carnet contenant le tracé du rallye. Il est distribué aux équipages avant le rallye (au Condroz, une semaine) et est utilisé lors des reconnaissances pour savoir quel chemin emprunter. RECONNAISSANCE : passage sur les spéciales effectué avant le rallye et qui permet aux équipages de recueillir les notes sur les tracés. Effectués à une vitesse raisonnable et sur routes ouvertes, les « reco » servent avant tout à apprendre le parcours. RETAILLER UN PNEU : Opération réalisée par les mécaniciens, le retaillage de pneu est une technique visant à changer les rainures du pneu. Par exemple, un pneu pour piste sèche peut être retaillé en pneu pour piste humide. SCRATCH : lorsqu’un pilote effectue un scratch, c’est qu’il s’est montré le plus rapide sur la spéciale en effectuant le meilleur temps. SHAKEDOWN : galop d’essais servant à la dernière mise au point de la voiture avant le rallye. Il se déroule souvent un ou deux jours avant le départ du rallye. SOUS-VIRER : Lorsqu’une voiture sous-vire, cette dernière sous-estime le virage. Les pneus avants perdent de l’adhérence et la voiture tire tout droit. SURVIRER : C’est l’inverse du sous-virage. Cette fois, c’est l’arrière de la voiture qui décroche et qui « essaie » de dépasser l’avant STICK :Surnom affectif donné au frein à main par les pilotes. Et oui, ils l’aiment ce stick ! TALON POINTE : technique qui consiste à avoir le pied droit à la fois sur le frein et l’accélérateur. Cela permet de donner un coup de gaz lors d’un retrogradage et ainsi soulager la boîte de vitesse.
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Entre D'Ambrosio et Virgin, c'est déjà fini var id2 = '0.9570396175748671'; Y aura-t-il tout de même une équipe prêté à (re) faire confiance à Jérôme D'Ambrosio? epa 7S7 mise à jour Jérôme d'Ambrosio serait remplacé par le Français Charles Pic au volant de la Virgin la saison prochaine, a annoncé le journal l'Équipe mercredi. var id2 = '0.3931466244854793'; belga getty Son écurie, qui sera rebaptisée Marussia F1, se refuse à tout commentaire sur le sujet, se contentant d'affirmer que "son choix définitif sur l'équipier De Timo Glock n'est pas encore fait". "La fin de saison pour rendre la décision publique" "Nous attendons les tests des jeunes pilotes et la fin de saison pour rendre notre décision publique par un communiqué", a encore précisé la cellule de communication du team. Selon le quotidien français, D'Ambrosio, qui cédera son baquet ce vendredi au Canadien Robert Wickens lors de la première séance d'essais libres du Grand Prix d'Abu Dhabi, sera remplacé en 2012 par le jeune Français Charles Pic, 21 ans, activement soutenu depuis cet été par le groupe Lagardère et l'ancien pilote Olivier Panis, son conseiller. Le Drômois a piloté en GP2 ces deux dernières années, obtenant trois victoires. Seulement deux abandons pour D'Ambrosio Jérôme d'Ambrosio, 16e du GP d'Inde dimanche dernier, avait effectué ses premiers tours de piste au volant de la Virgin lors des essais libres du vendredi des quatre derniers Grand Prix de la saison 2010, en remplacement du Brésilien Lucas Di Grassi. Pour sa première saison en F1, le pilote belge était parvenu à se qualifier pour tous les Grands Prix de cette saison. Faisant souvent jeu égal avec son équipier allemand Timo Glock, il n'a été contraint que deux fois à l'abandon en Grand Prix: en Malaisie en début de saison et le 11 septembre, à Monza. (belga/chds) 09/11/11 10h52 http://www.7sur7.be/7s7/fr/1514/Formule-1/article/detail/1345759/2011/11/09/Entre-D-Ambrosio-et-Virgin-c-est-deja-fini.dhtml
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Charles Pic en F1 en 2012 ? Crédits photo : Panoramic Après plusieurs années de disette, la France devrait retrouver un pilote en Formule 1 en 2012. Charles Pic se serait en effet engagé avec Virgin. Soutenu par Lagardère Sport, placé sous la coupe d'Olivier Panis, auteur de bonnes performances cette saison en GP2, Charles Pic est annoncé par L'Equipe en remplacement du Belge Jérôme d'Ambrosio dans le baquet de la Virgin en 2012. Ou plutôt de Marussia, puisque la FIA a validé le changement de nom de l'écurie pour la saison prochaine. Pour l'heure, ni l'écurie, ni l'attachée de presse du pilote n'ont néanmoins confirmé l'information. Assurément le moins connu des candidats français (Grosjean, Vergne…) à un baquet dans la plus prestigieuse des disciplines du sport automobile, Charles Pic n'en est pas moins l'un des plus talentueux. A 21 ans seulement, Charles Pic évoluait cette saison dans le championnat de GP2 au sein de l'écurie Barwa Addax. Après une première année d'apprentissage dans l'antichambre de la F1 en 2010, Pic a cette saison terminé 3e (championnat remporté par Romain Grosjean), avec notamment deux victoires décrochées en Espagne et à Monaco, et 2 deuxièmes places en Allemagne et en Hongrie. Vergne et Grosjean en piste ce week-end Etonnamment, Charles Pic n'est pas pour autant celui qui a testé ou va tester le plus les monoplaces du paddock F1 d'ici la fin de saison. Alors que Jules Bianchi fera des tests avec Ferrari au terme de la saison, Jean-Eric Vergne et Romain Grosjean rouleront dès le prochain week-end. Les deux pilotes auront en effet l'occasion de démontrer leur talent lors de la première journée du week-end à venir à Abu Dhabi. Vergne, qui fait partie de l'académie Red Bull, pilotera pour Toro Rosso à Yas Marina, alors que Grosjean, candidat déclaré à un baquet chez Lotus Renault GP en 2012, aura également l'occasion de s'illustrer sous les yeux d'Eric Boullier. Si Le Figaro le dit :http://www.lefigaro.fr/auto-moto/2011/11/09/02019-20111109ARTSPO00508-charles-pic-en-f1-en-2012.php
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A quelques semaines de l'ERDF Masters Kart de Bercy, le pilote français Sébastien Ogier a testé le kart électrique SODI STX. Toute l'actualité en image Sébastien Ogier, pilote officiel Citroën Racing en Championnat du Monde des Rallyes (WRC), et aujourd'hui, classé parmi les plus grands pilotes de rallye au monde, est allé tester sur la piste de karting du Mans, le kart électrique SODI STX qu'il devra piloter début décembre, les 10 et 11 décembre prochains, dans le cadre de l'ERDF Masters Kart de Bercy. Verdict ? Le pilote ne semble pas dépaysé : les performances semblent, à ses dires, plus ou moins similaires à celle d’un kart thermique et les relances dans les virages serrés également vraiment très bonnes. Il se laisse tout de même impressionner par une accélération plutôt forte qui sera idéal pour un parcours comme celui de Bercy ! Différent mais aussi bien "Début décembre, je participerai aux prochains ERDF Masters Kart de Bercy, c’est donc l’occasion de prendre en main un peu ce kart et d’essayer ce modèle électrique. C’est vrai que c’est la 1ère fois que j’essaye un kart électrique et il y a quelques notions qui changent un peu mais le plaisir est toujours là et la performance aussi" explique Sébastien Ogier. Pour davantage d'informations, concernant l'ERDF Masters Kart de Bercy, rendez-vous sur le site officiel de l'évènement en cliquant ici. La compétition réunira des pilotes automobiles stars, ainsi que les 10 meilleurs pilotes de karting actuels sélectionnés par la Fédération Française du Sport Automobile. Les pilotes star présents On retrouvera aux côtés de Sébastien Ogier, le septuple Champion du Monde des Rallyes Sébastien Loeb, les pilotes de Formule 1 Romain Grosjean, Jérôme d’Ambrosio et Karun Chandhok, les pilotes d’endurance Sébastien Bourdais, Benoit Treluyer Romain Dumas, Stéphane Sarrazin, Franck Montagny et Olivier Lombard, Champion Le Mans Series et vainqueur des 24 Heures du Mans 2011 en LMP2, tout comme Jean-Eric Vergne, vice champion international de Formula Renault 3.5 et des pilotes GP2 Jules Bianchi et Charles Pic.
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Campana et Lewis gagnent un test chez Ferrari Ecrit le mardi 08 novembre 2011 à 11:33, par Gregory Demoen Lewis pilotera la Ferrari de 2009 mardi prochain Le champion de Formule 3 italienne, Sergio Campana, et le meilleur débutant de l’année dans la catégorie, Michael Lewis, auront tous deux la chance de tester une Ferrari F60 de Formule 1 la semaine prochaine, le mardi 15 novembre, sur le circuit de Vallelunga. Lewis a terminé deuxième du championnat, avec trois victoires à son actif et à seulement une poignée de points de Campana. Ce pilote californien a débuté sa carrière en sport automobile à Pomona en 2003 à l’âge de 13 ans, avant de rejoindre l’Europe en 2006 pour poursuivre son apprentissage en karting. Il a ensuite regagné le continent américain en 2009 pour disputer la Formule BMW Americas, terminant la saison comme meilleur débutant du championnat. Lewis a ensuite été contraint de revenir sur le Vieux Continent en 2010, en s’engageant en Formule BMW Europe, après la fin de la série américaine. Cette année, il a rejoint la F3 italienne avec Prema Powerteam. Par ailleurs, Lewis étudie aussi à la California State University de Fullerton, à Los Angeles, pour obtenir son diplôme de commerce. http://www.toilef1.com/article.php3?id_article=19542
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Montezemolo : La F1 ne doit jamais perdre Spa Ecrit le mardi 08 novembre 2011 à 12:22, par Gregory Demoen Montezemolo se pose en défenseur de Spa-Francorchamps Le président de Ferrari, Luca di Montezemolo, s’est posé en défenseur du circuit de Spa-Francorchamps face à l’internationalisation de la Formule 1. Si la mondialisation de la F1 est indispensable, avec l’arrivée de l’Inde au calendrier cette saison et celle de la Russie en 2014, Montezemolo estime que la Formule 1 doit veiller à garder ses circuits historiques, dont celui de Spa-Francorchamps. "La F1 se mondialise de plus en plus. Cela ne me pose aucun problème, tant que la F1 ne perd pas des circuits extraordinaires comme l’est celui de Spa," a confié Montezemolo dans une interview accordée au journal italien La Stampa. Des propos qui rejoignent ceux exprimés par Martin Whitmarsh, le patron de McLaren Mercedes, en septembre dernier. "Je pense qu’il est très important que la Formule 1 conserve ses circuits historiques, qui comprennent Monza, Spa, Silverstone et Monaco, tout en s’ouvrant vers d’autres horizons à l’avenir," avait-il indiqué. L’avenir du toboggan des Ardennes au calendrier de Formule 1 est pour le moment bien incertain. Le contrat liant le Grand Prix de Belgique à la Formula One Management de Bernie Ecclestone expire à la fin de l’année 2012. Les organisateurs disposent d’une option pour reconduire l’épreuve pendant cinq ans, jusqu’en 2017, si la Région wallonne décide de préserver son Grand Prix, seul événement de réelle envergure internationale en Belgique. http://www.toilef1.com/article.php3?id_article=19537
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On connaît maintenant l'équipage de la Toyota LMP1 engagée en 2012 par Toyota Motorsport GmbH. Le proto hybride-essence sera piloté par Nicolas Lapierre, Alexander Wurz et Kazuki Nakajima. Nicolas Lapierre, vainqueur des 12 Heures de Sebring 2011 et récent deuxième du Petit Le Mans pilote ORECA depuis maintenant quatre années et le team de Hugues De Chaunac apportant son soutien l'an prochain à TMG, Nicolas ne sera pas dépaysé. Alexander Wurz débarque en droite de ligne de Peugeot Sport et le double vainqueur des 24 Heures du Mans constitue à coup sûr une recrue de choix pour TMG. Kazuki Nakajima est le fils de Satoru Nakjima, l'ex-pilote de F1. Kazuki Nakajima, produit du Toyota Young Driver's Development, a été champion de Formule Toyota en 2003, a couru en GP2 en 2007 pour DAMS et a ensuite fait trois saisons de Formule 1 sur une Williams-Toyota (pour ses débuts, il avait remplacé...Alexander Wurz !!). Cette saison, il courait en SUPER GT sur une Lexus SC430 du Team Tom's en GT500, associé à André Lotterer. Ces connexions avec Toyota sont donc évidentes. La longueur des contrats des trois pilotes n'a pas été divulguée. TMG précise qu'un seul proto sera ligné, dans plusieurs courses dont les 24 Heures du Mans. Le premier roulage du pproto est prévu en début d'année prochaine, avec les trois pilotes sur un circuit européen pas encore déterminé. L'identité du team n'est pas encore totalement définie, de même que le programme 2012. Les premiers essais auront lieu sur un simulateur, la Toyota LMP1 hybride et le circuit du Mans ayant déjà été modélisés sur ce simulateur. Nicolas Lapierre est évidemment très satisfait : Je suis très heureux de rejoindre une structure telle que TMG. Après le GP2, j'avais décidé de me tourner vers l'Endurance avec l'objectif de rejoindre à terme un grand constructeur. C'est le cas aujourd'hui, et c'est même la plus grande marque automobile de la planète. C'est une belle récompense, mais plus encore le début d'une superbe aventure. Travailler avec Toyota Motorsport GmbH, je peux difficilement rêver mieux. Le défi qui se présente à nous est à la fois passionnant et excitant. Ce sera sans aucun doute très intéressant. L'hybride, c'est clairement l'avenir, la technologie de demain. Au-delà de la compétition, je suis tout simplement impatient de participer à un tel programme de développement. La première année aux 24 Heures du Mans n'est jamais facile, mais j'espère que nous serons rapidement en mesure de nous battre aux avant-postes et d'obtenir le premier podium de cette technologie au plus haut niveau de l'Endurance. Nicolas connaît déjà ses futurs coéquipiers : J'ai côtoyé Alex lors des deux dernières saisons. C'est un pilote très ouvert, qui possède une grande expérience. Il a longtemps roulé en F1, a gagné deux fois Le Mans... Ce sera une bonne référence. Quant à Kazuki, nous avons été coéquipiers en GP2 en 2007. Il est très rapide et apprend vite. Nous allons former un équipage solide et complémentaire. Je sais aussi que mes deux partenaires ont un véritable esprit d'équipe. C'est important au Mans ! » [color=#800080]« Je suis doublement heureux de rejoindre TMG. Je voulais défendre les couleurs d'un constructeur, mais je savais que cela pouvait m'éloigner d'ORECA. Cela m'aurait fait mal au cœur de quitter ce team avec qui j'ai débuté en Endurance. Or, aujourd'hui, je vais continuer à collaborer avec ORECA tout en étant intégré à Toyota Motorsport Gmbh. C'est la meilleure nouvelle qui soit. Alexander Wurz :"Dès que j'ai entendu parler d'une possibilité d'intégrer le team, j'ai tout de suite été très intéressé et désireux d'en faire partie. J'aime l'endurance et depuis mon enfance je suis fan du Mans, donc j'ai d'excellents souvenirs des participations de Toyota, en pparticulier de la GT-One qui était une voiture sexy, agréable à regarder. En tant que pilote du Mans avec des ambitions, cet héritage et les immenses capacités technologiques de TMG constituent une combinaison très attractive. Je suis donc extrêmement heureux d'y être associé, avec Nicolas et Kazuki. Une des choses les plus importances en endurance, ce sont les rapports entre les pilotes. Si ceux-ci travaillent ensemble, c'est très positif pour le team et les chronos et les résultats s'en ressentent finalement. Nicolas a démontré sa valeur et j'ai une très bonne opinion à propos de Kazuki en tant que pilote et en tant qu'homme, aussi je pense que nous allons former un très bon équipage. Je suis impatient et fasciné par ce nouveau challenge qu'est le fait de courir avec une voiture hybride. C'est l'avenir du sport automobile, aussi je suis très excité de voir Toyota s'engager avec cette technologie. Je sais que Toyota a beaucoup de compétences dans ce domaine et j'espère que cela jouera à notre avantage. Kazuki Nakajima :"Je suis ravi d'avoir été choisi pour devenir membre du team Toyota en Championnat du Monde d'Endurance. Revenir au Mans et participer à ce nouveau Championnat, cela représente beaucoup pour Toyota et je suis très honoré d'y prendre part. Le Mans sera pour moi une nouvelle expérience mais c'est quelque chose que j'attends avec beaucoup d'impatience. Le challenge que représente Le Mans est célèbre dans tout le milieu du sport automobile, aussi j'ai hâte d'y courir pour la première fois. Bien sûr, ce sera une expérience nouvelle mais je suis familier des courses d'endurance grâce à mes années de SUPER GT, et je pense que cela m'aidera beaucoup. C'est super de faire partie d'un tel équipage, particulièrement parce que je connais déjà mes deux coéquipiers, ayant travaillé avec Alex en Formule 1 et ayant couru contre Nicolas en GP2. J'ai hâte de travailler étroitement avec Alex et Nicolas. Je souhaite grâce à eux apprendre beaucoup de choses sur Le Mans et j'espère être capable de faire du bon travail. Citations extraites du communiqué de TOyota Motorsport GmbH et du blog de Nicolas Lapierre, Claude Foubert
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Kimi Raikkonen : 45M€ pour ne pas courir en F1… Kimi Raikkonen - @Iconsport Etre payé pour ne pas participer... La situation peut paraître paradoxal. Pourtant c'est bien celle qui est arrivé à Kimi Raikkonen en F1 2009. Sportune revient en détail sur l'une des histoires les plus abracadabrantes du business du sport automobile. Monza 2009. Le patron de Ferrari, Luca di Montezemolo, signe un accord avec les agents de Kimi Raikkonen d’une valeur de 45 millions d’euros, pour que ce dernier quitte l’équipe et ne pilote plus sur une durée de 18 mois. L’accord précis stipulait alors un salaire de 27 millions d’euros et une prime de 18 millions d’euros. Le tout pour accepter, durant une période donc d'un an et demi, de ne pas être pilote de F1, pour une équipe concurrente. Un record de dédommagement. Vous ne rêver pas, Kimi Raikkonen a été payé pour ne plus courir en F1 ! La somme d’argent était en fait indexé sur le salaire négocié par le champion du monde 2007 pour la saison 2010. Explications... Les dessous de l'ancien contrat de Kimi Raikkonen en F1... Petit retour en arrière... Nous sommes au Grand Prix d’Italie 2008 à Monza. Kimi Raikkonen n’est alors plus en lice pour le titre de champion du monde pilote. Son équipier Felipe Massa est, lui, encore dans le coup contre Lewis Hamilton. Le contrat record du Finlandais d’une valeur totale de 180 millions d’euros est alors réduit via un protocole d’accord. Il est alors prévu que pour la saison 2010, le pilote ne touche "que" 45 millions d’euros, au lieu de 60 millions d'euros. Pour que ce fameux protocole soit validé, Luca di Montezemolo demande à son pilote d’aider son équipier Felipe Massa à obtenir le titre 2008. Raikkonen accepte l’accord et conclut dans la foulée du Grand Prix d’Italie 2008 pour cette prolongation 2010. L'introduction de la banque Santander a provoqué le limogeage de Kimi Raikkonen en F1 Sauf que depuis le GP de Monaco 2008, la Scuderia Ferrari avait signé un précontrat avec Fernando Alonso, d’une valeur de 5 millions d’euros annuels pour être prioritaire auprès du double champion du monde espagnol pour un contrat avec Ferrari. L’introduction de la banque espagnole Santander a provoqué la situation du limogeage de Kimi Raikkonen au profit de Fernando Alonso pour la saison 2010. Résultat: le champion du monde finlandais a touché un dédommagement record pour la Formule 1 de 45 millions d’euros... http://www.sportune.fr/