Uscars

Tout le monde va savoir ce que j'écris sur le Forum et sur Face de Bouc! Pour mes mails privés avec Donald et Vladimir j'ai une connexion totalement sécurisée, pas de risque qu'on se rende compte que je suis leur éminence grise.

On sait ce que peut faire Kvyat. Logique pour finir l'année de la comparer à d'autres prétendants. Hartley était pilote Porsche donc sera sur le marché en 2018. Une course pour voir s'il est au niveau, puis si c'est ok 3 courses pour réellement le juger.

Carmagnole?

Il lui manque la petite moustache.

Avec des personnes aussi exécrables que Cali et Toto l'ambiance ne peut pas être bonne.

Jolie photo.

C'est épuisant une journée d'essais en Endurance : https://www.facebook.com/fiawec/videos/1618524448204003/

Il va y avoir les deux. Gros atmos et plus petits turbo. Ce qui est fini c'est l'hybride.

C'est souvent pas loin de 40 voitures en Endurance.

Des évolutions chez Dallara, Onroak Automotive et Riley en 2018 Par lm@endurance-info.com - 14 octobre 2017 - 17h00 [size=11]TEAM NEDERLAND (NDL) DALLARA P217 GIBSON LMP2 JAN LAMMERS (NLD) FRITS VAN EERD (NLD) Après avoir analysé les courses European Le Mans Series et les 24 Heures du Mans, l’ACO et la FIA ont échangé avec les quatre constructeurs de châssis LMP2. Des ajustements vont être apportés en vue de la saison 2018. Le règlement prévoit un réajustement dans le cas où un/des constructeur(s) aurai(en)t un déficit de performance, ce qui selon la FIA et l’ACO est le cas d’Onroak Automotive, Riley et Dallara. La FIA et l’ACO autorisent donc les trois constructeurs à apporter différentes évolutions à leur kit Le Mans comme à leur version sprint. L’objectif est de combler le déficit de performance face à l’ORECA 07, qui reste la référence de la catégorie. Ces évolutions ne devront pas impacter financièrement les teams et seront intégralement prises en charge par les fabricants de châssis. Les législateurs ont rappelé aux trois constructeurs que l’objectif était de maintenir une compétition entre les protagonistes sans procurer à l’un d’entre eux un avantage régulier par rapport à la voiture de référence. Ces changements seront également valables pour les DPi qui sont toutes basées sur les LMP2. [/size]

Judd propose un nouveau V10 pour le LMP1 dès 2018 [size=0][/size] [size=14]Par: Basile Davoine, Responsable de la rédaction Engine Developments, qui produit les moteurs Judd, va développer un nouveau V10 destiné au LMP1 dans le cadre du changement de réglementation proposé par le WEC dès l'an prochain. L'entreprise britannique poursuit sa collaboration avec l'entité japonaise AIM afin de produire un nouveau moteur V10 atmosphérique AIM-Judd de 5,5 litres, dont l'ADN reposera sur le succès des précédents blocs proposés en Endurance. Cette nouvelle motorisation exploitera le changement de réglementation annoncé pour 2018, qui promet une équivalence permettant aux moteurs atmosphériques de concurrencer les moteurs turbo. Cette mesure a justement été décidée pour que des concurrents LMP1 sans motorisation hybride puissent venir rivaliser avec des constructeurs. Le nouveau moteur Judd est ...çu avec un angle de cylindre à 72° et décrit comme "significativement plus léger" que la génération précédente, avec une nouvelle chambre à combustion et un nouveau design de piston. Il bénéficiera également d'un système de refroidissement revu et d'un système de gestion moteur mis à jour pour gérer électroniquement l'accélération et le débit de carburant. Engine Developments est convaincu que ce nouveau moteur peut "permettre de réaliser des temps au tour extrêmement compétitifs sans avoir les problèmes de réponse de l'accélérateur, de complexité et de fiabilité liés aux moteurs turbo".[/size]

La dernière attraction japonaise, qui existe en Super GT et qui a été testée pour la première fois lors des essais de la manche de WEC à Fuji. Des cars de touristes sur la piste pendant les essais. Bien entendu cela se fait sous drapeau jaune!

De toutes façons s'il y a trop d'écarts quelques tours avant la fin, ils sortent un drapeau jaune pour "debris". Une course ne doit jamais être jouée 10 tours avant la fin.

Ce WE c'est Talladega. Un des ovales les plus rapides, et sur lesquels pour contenir la vitesse à environ 340kmh on réduit la puissance des moteurs. Résultat tout se joue sur le "draft" ou phénomène d’aspiration, donc des courses en paquet. Et des accidents spéctaculaires appelés "big one" Et alors là tout le monde a sa chance de gagner Voici 5 arrivées spectaculaires : https://www.facebook.com/NASCARonNBC/videos/1112957352173695/

Un petit réveil dynamique : https://www.facebook.com/producaoculturalbr/videos/925931444143587/

Sacré expérience en Endurance, Porsche en WEC et Nissan DPI en IMSA. Mais comme tu dis, ça ne se pilote pas comme une monoplace. Cela étant il aurait peut être été plus piégeux pour Newgarden de passer de l'Indycar à la F1.

Merci Las. Dommage pour le Gleen qui est un bien beau circuit. Mais de mémoire Portland est intéressant. Ce qui manque c'est un circuit sur aéroport comme Cleveland. Enfin ça devrait être une belle année.

On voit qu'il a testé la Nascar. On y a déjà entendu ça : - Vas-y c'est le moment de forcer. - Et tu crois que je fais quoi depuis le départ. Ou alors : - essaye d'aller un peu plus vite. - explique moi comment faire.

Avant de parler de plafonnement des dépenses il faudrait savoir comment les contrôler. Tu penses bien que si Toto reste il va truander ce plafond autant que possible. Il faut des règles qui auto-limitent les dépenses. L'idée de pièces normalisées est une bonne solution. Écrêter les performances est aussi une bonne solution. Que veulent les spectateurs? Des voitures plus performantes que d'autres, ou du spectacle et des luttes? Imagine un plateau avec 24 Sauber identiques. Les écuries peuvent juste jouer sur les réglages. On aurait quoi comme spectacle? 6 ou 8 pilotes sa battant à chaque course. Ce serait pas mieux?

Article interessant qui montre la comparaison entre la LMP2 et son dérivé le DPI. http://www.mariantic.co.uk/lmp/dpi1.asp

Je suis assez d'accord avec ce que dit Horner............. F1 - Après le ‘désastre’ des V6, Horner veut retourner aux V12 Un changement qui serait radical 11 octobre 2017 - 16h43, par Alexandre Combralier En 2004, à seulement 31 ans, Christian Horner devenait le plus jeune directeur d’équipe en F1 en prenant les commandes de Red Bull. Treize années plus tard, Horner est toujours fidèle au poste, même s’il a dû faire face au départ de Bernie Ecclestone, dont il était un proche, et à la domination de Mercedes depuis 2014. Avec les nouveaux propriétaires de Liberty Media, la F1 est désormais « à un tournant » selon les dires de Christian Horner. Prudent si ce n’est sceptique, Horner ne se joint pas à l’enthousiasme général autour de Liberty Media et précise que « le temps dira » si la direction que prend la F1 est la bonne. « Le style de Bernie était très dictatorial » reconnaît-il néanamoins, ajoutant que les Américains procèdent désormais de « manière très différente. » « Bernie dirigeait la F1 absolument comme il le voulait. Quand il était à son apogée, avec Max Mosley, il dirigeait tout. En réalité, il ne prêtait probablement pas une grande attention aux fans, mais aux chiffres. On pourrait dire que l’ambiance est plus détendue maintenant. Et certainement, on s’occupe bien plus des fans, ce qui est bien. » Un temps annoncé comme le potentiel successeur de Bernie, Christian Horner aurait sans doute enterré le plus vite possible les V6 Turbo actuels dont l’introduction a fait « incroyablement mal à la F1 » selon lui. « Du point de vue des coûts, du point de vue du spectacle, du point de vue de la compétition… ce moteur a été un désastre. Avec le son de ces moteurs, les courses sont comme un concert de pop ou de rock avec beaucoup moins de son. Or le son faisait partie de l’ADN du sport… Et les fans, dans les tribunes, ne peuvent pas comprendre ou voir cette technologie. » Selon Horner, Ecclestone était « assez vieux et sage » pour voir que ce moteur nuisait à la F1. « Mais il n’a pu y mettre un terme. » La fin des moteurs actuels n’est programmée que pour 2021. Or il est d’ores et déjà temps de penser à l’architecture générale des prochaines unités de puissances, qui devront être avant tout « simples ». Entre les motoristes (y compris des indépendants dont Christian Horner souhaite l’arrivée), les performances devront aussi être plus semblables selon le directeur de Red Bull. Mais pour Horner, ne faudrait-il pas surtout imiter l’industrie auto et faire donc un grand pas vers l’électrique ? « Vous avez plusieurs gouvernements et manufacturiers qui disent que les voitures seront électriques ou autonomes en 2030. Mais selon moi, la F1 est à un tournant. Quel est son objectif ? Nous avons la Formule E, et beaucoup de manufacturiers s’y engagent. Mais en termes d’émotion et de divertissement, le compte n’y est pas avec ces voitures. » « Je pense que la F1, finalement, c’est un homme et une machine, qui sont à leurs limites absolues. C’est des courses de chars modernes ! Ou ça devrait y ressembler… Personnellement, je retournerais aux V12. Le bruit serait formidable, et je mettrais aussi des cockpits ouverts pour que les pilotes soient de nouveau des héros. J’accepte le fait que le régulateur [la FIA] et le détenteur des droits commerciaux ne puissent pas aller aussi loin. Mais ils préfèrent cette orientation à une guerre technologique - que le spectateur dans les tribunes ne peut comprendre. » Il est vrai aussi que réduire considérablement l’importance du facteur moteur serait une bonne nouvelle pour Red Bull, qui ne peut construire sa propre unité de puissance… « J’accepte cette accusation. Mais ne prêtez pas attention à ce genre de choses pour le moment. Les changements apportés par Liberty vont affecter la prochaine décennie. C’est si important de prendre la bonne décision… Ils ont les bonnes personnes aux bonnes responsabilités, avec Ross Brawn, et les gens qui l’entourent. Ross est un penseur, un stratège. Nous devons lui faire confiance, à lui et à Chase Carey, pour faire ce qu’il faut faire. »

Écurie à la ramasse, avec deux inexpérimentés. Elle va pas avancer.

IMSA - Pagenaud et Ricky Taylor en renfort pour le Team Penske Le Team Penske a confirmé ses pilotes pour la saison 2018 de l’IMSA où il engagera deux Acura ARX-05 DPi. Ricky Taylor et Simon Pagenaud sont dans la liste. [size=10]L'Oreca 07 du Team Penske à Petit Le Mans / IMSA[/size] Simon Pagenaud sera bien intégré à l’effectif du Team Penske pour les débuts de l’écurie du « Captain » Roger Penske en IMSA. Si son programme principal restera l’IndyCar, le Poitevin sera mis à contribution sur les courses longues du NAEC (Daytona, Sebring, Watkins Glen et Petit Le Mans) en étant aligné sur l’une des deux Acura ARX-05DPi après avoir participé à Petit Le Mans (Géorgie) où il a décroché la dernière marche du podium aux côtés de Juan Pablo Montoya et Helio Castroneves. [size=15]« J’espérais avoir la chance de participer aux courses d’endurance l’an prochain. Je suis donc ravi d’avoir cette opportunité, a déclaré Simon Pagenaud. Nous avons fait forte impression pour nos débuts à Petit Le Mans le week-end dernier et je sens que cette équipe est partie du bon pied. Ça ne fera que me rendre meilleur pilote », même en IndyCar. Le Team Penske a également confirmé la présence à temps plein du champion en titre Ricky Taylor qui quittera ainsi le Wayne Taylor Racing et la Cadillac DPi sur laquelle il évoluait avec son frère Jordan. Son premier contact avec l’équipe Penske remonte à février dernier lorsqu’il avait réalisé une séance d’essais en IndyCar sur le Homestead-Miami Speedway (Floride). « C’était une superbe opportunité de tester une IndyCar avec le Team Penske, mais c’est un changement de vie d’avoir un appel de Roger Penske qui me proposait de piloter une de ses voitures de course à temps plein. Avec l’équipe de mon père, nous avons eu de nombreuses réussites en IMSA ces dernières années, en remportant notamment les 24 Heures de Daytona et le Championnat. Je suis clairement prêt à relever ce nouveau défi », a promis le champion en titre. Ricky Taylor évoluera aux côtés de Helio Castroneves tandis que Juan Pablo Montoya et Dane Cameron seront engagés sur la seconde Acura DPi. Graham Rahal viendra également prêter main forte sur les quatre courses du NAEC. Les équipages du Team Penske pourraient bien faire face à Fernando Alonso, susceptible de disputer les 24 Heures de Daytona en janvier prochain.[/size]

Moi c'est surtout ça qui m'inspire. Face à ça j'aurais l'air moins ridicule que face à la gonzesse.

Si t'es dans le viseur d'un sniper, c'est sur que tu vas tomber. ps : j'ai une liste de personnes à viser.