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Clousot

Renault (2)

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17 opérations plus tard, Kubica mesure le chemin parcouru

Et bientôt la consécration ?



3 août 2017 - 16h49, par Alexandre Combralier 


Robert Kubica a repris le volant d’une F1 actuelle à Budapest grâce à Renault. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le Polonais a fait du chemin depuis son terrible accident de rallye en 2011. On l’avait alors cru perdu pour le sport automobile.

L’ancien vainqueur du Grand Prix du Canada se rappelle qu’il lui avait fallu « une heure » pour sortir de la voiture. « Une fois à l’hôpital, la première opération (et ensuite, j’en ai eu 17 autres) a duré sept heures. C’était le premier grand moment où je me battais pour être en vie. Les gens se concentrent seulement sur mon bras parce que c’est la plus grande limite que j’ai ; mais la réalité c’est que j’avais des fractures de mon pied jusqu’à l’épaule, du côté droit. J’avais tant de fractures… et c’est pourquoi ça été si compliqué et lent pour que je puisse m’en remettre. Mais bien sûr mon bras était le plus atteint. Les deux premiers mois furent difficiles. J’étais chanceux, j’avais conduit en F1. C’est probablement pourquoi mon bras est toujours là. Mais d’un autre côté, il y a des moments où vous devez oublier qui vous êtes. Vous êtes un être humain. »

Robert Kubica ne s’est pas laissé abattre et a entamé une rééducation couronnée de succès. Il a ensuite repris la compétition en rallye pour obtenir le titre en WRC2, après surclassement.« A la fin, j’ai décidé que je devais être heureux le matin en me réveillant, alors, ensuite, je pouvais commencer à être de nouveau un pilote de course. Cela m’a pris probablement deux ans pour revenir à un niveau raisonnable. J’ai souffert pendant des mois et même pendant un an. Je souffrais de partout. Vous devez d’abord vous sentir tout à fait bien avec vous-même avant de faire quelque chose qui requiert d’être rapide – conduire une voiture de course. Ce n’est pas que j’avais perdu ma plus grande passion, c’est toujours la course. Mais ma vie dans l’ensemble avait beaucoup changé, et c’était crucial. »

L’objectif fut ensuite de revenir en F1, mais Robert Kubica partait de loin.« Je ne savais pas si j’aurais une chance de revenir en F1 mais après ma période rallye, j’ai eu une période difficile. Je pesais 10 ou peut-être f15 kilos de plus que mon poids normal. Donc j’ai commencé à me préparer en 2015. Je devais reprendre un bon rythme dans ma vie si la chance de revenir se présentait. Il y a quatre mois, personne ne pouvait attendre que j’en sois ici et c’est pourquoi j’apprécie vraiment l’occasion que me donne Renault. Mais je veux faire de mon mieux. Une partie de ces tests, c’est aussi pour mieux me connaître. Ma vie a changé. Je sais toute l’influence que peut avoir cette blessure sur la vie quotidienne. Tout le monde me voit comme un pilote, mais à la fin, je suis un être humain. Je m’entraîne, je fais du vélo, je fais la plupart des choses que les gens font. Ma blessure me limite plus dans la vie de tous les jours que pour le pilotage. Le plus grand problème ce n’est pas la force de mon bras, c’est la limitation dans mes mouvements. Je n’ai pas une supination suffisante à l’avant du bras, donc je ne peux pas tourner mon avant-bras ou mon poignet, et c’est ma plus grande limite. »

C’est avec Renault que Robert Kubica tente son grand retour en F1. Mais a-t-il été aussi en contact avec d’autres écuries ?« Je pense que si j’avais voulu faire un test en F1 plus tôt, il y a deux ans, j’aurais pu le faire. Mais j’avais des priorités différences à ce moment. Et je voulais vraiment faire mon travail comme il le faut. Je devais y être préparé, et je pense que c’était la bonne décision. »

En 2013, Robert Kubica affirmait qu’un retour en F1 était pour lui un rêve impossible. Et maintenant, qu’en dirait-il ?« Rien n’est impossible. Mon approche a été très simple : tout peut arriver. Si nous voyons où j’en étais il y a quatre mois… c’est un grand changement et c’est arrivé très rapidement. Je pense que si en trois mois, je me suis beaucoup amélioré et ai beaucoup progressé, alors, tout peut arriver dans le futur. Mais nous devons être réalistes, rien ne sera facile. Bien sûr, mon objectif est d’avoir à nouveau un certain rôle en F1, si je le peux. Mais je ne sais pas. Une chose est sûre, si je ne reviens pas à plein temps, je ne serai pas déçu, parce que je regarde cette situation de manière très, très réaliste. J’apprécie Renault et ce qu’ils ont fait. Quand nous nous sommes rencontrés pour la première fois, je ne pense pas que personne imaginait me laisser conduire à Budapest pour une journée de tests officielle. Mais c’est arrivé. Cela montre que les deux derniers mois et demi étaient très importants, pas seulement pour moi. Il y a beaucoup de choses à faire encore, mais c’est encore très lointain, donc j’aimerais profiter du moment et penser de ce qui s’est passé mercredi à Budapest, parce que beaucoup de choses se sont passées pendant que je conduisais. Si j’ai la chance de monter à nouveau dans la voiture, je trouverai cela beaucoup plus facile, plus familier. Pour un pilote, le meilleur sentiment que l’on puisse avoir, c’est quand tout arrive si facilement, au point que vous n’y pensez plus. Mais quand tout est nouveau, vous devez vous concentrer, y penser… Je suis honnête, la dernière chose que je voulais faire était de crasher la voiture. »

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L'année est foutue pour Renault.

C'est donc le très bon moment pour remettre en selle Robert, il n'y a rien à perdre s'il n'est pas au niveau. 
Mais tout à gagner s'il l'est.

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comme tu dis us leurs saison est foutue donc viré un payant pour prendre un rémunéré a la place + casser son contrat je doute
kubica comme essayeur ça j'y crois
17 opérations étonné  et continuer attaquer quel moral d'acier

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Tiens, il y a un sujet pour cette *€!!#@!! de Palmer et pas pour Hulk, que bcp. aiment bien ici !


M'en fou, tape l'info au Losange !


"C'est vraiment plus amusant, et vraiment plus rapide", résume Hülkenberg lorsque Motorsport.com l'interroge sur le bilan qu'il tire des nouvelles F1 2017 après une demi-saison. "Je ne peux parler que pour moi, mais elles me permettent d'attaquer plus fort, elles sont un peu plus favorables à mon style de pilotage par rapport à ces dernières années. On devait toujours piloter sans explorer les limites, on ne pouvait pas attaquer aussi fort, et ces voitures y sont favorables. On peut y aller facilement et ça fonctionne. C'est vraiment plus plaisant."



Ces limites, si elles peuvent être plus "facilement" recherchées, ne pardonnent toutefois rien si elles sont dépassées. Le pilote Renault l'a lui-même vérifié en sortant de la piste à Bakou en juin dernier, ce qui lui avait gâché une grosse opportunité de bon résultat. Si les fondamentaux n'ont pas changé au volant, les F1 dotées de pneus plus larges et d'appuis aérodynamiques plus importants sont un peu plus imprévisibles.


J'aime bien ! super

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Le sport c'est aussi de prendre le risque de dépasser parfois les limites.

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Yes Us c'est ça la raison première d'un sport... TTAFait
Malheureusement le sportif de haut niveau qui entre dans le rouge ne le voit pas tout de suite ou feint de ne pas le voir.

Dernier exemple en date: la déconfiture d'Usain Bolt et sa course de trop.

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De toutes façons j'aime bien Hulk.
Alors qu'il dépasse les limites de temps en temps, quoique très rarement au final, c'est sain.

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Uscars a écrit:
Le sport c'est aussi de prendre le risque de dépasser parfois les limites.


Je crois que c'est ce qu'il veut dire.


Clousot a écrit:
Yes Us c'est ça la raison première d'un sport... TTAFait
Malheureusement le sportif de haut niveau qui entre dans le rouge ne le voit pas tout de suite ou feint de ne pas le voir.

Dernier exemple en date: la déconfiture d'Usain Bolt et sa course de trop.


L'aut' hé, il la ramène avec Usain Bolt, c'est bien papy ! Ouais !!! (avec tout le respect  sourire ) Usain machin, OK, comme tu dis, une course de trop, mais jamais battu...au sens propre, a+, que dire de plus ?


"Malheureusement le sportif de haut niveau qui entre dans le rouge ne le voit pas tout de suite ou feint de ne pas le voir".

Kécako ? ^ ? [size=10](pige pas !)[/size]



La raison d'un sport automobile force au dépassement de ses limites tout le temps, mais, ils ne sont pas tout à fait fous !



(si, ils sont (pas tous Us !  mdr tout le temps fous ces mecs là )



Si, si Us, c'est ce qu'il dit Hulk, et qu'il aime tant !

 

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Chez Renault, Abiteboul avoue avoir été contacté par McLaren pour 2018, mais Renault pense que 3 équipes à fournir est suffisant, et rappelle son contrat de longue date d'avec Red Bull.


Il a aussi déclaré que McLaren n'était pas encore affamée, pas très "volontaire" ?!

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Brail017 a écrit:
freine trèèèèèèèèèès tard super


Et comment vin dju!
V10 il me semble à cette époque..;-)

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Premier vrai week-end pour Sainz Jr. à bord d'une Renault, avec du...Pink Clou !



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Brail017 a écrit:
le chat rose c'est une pub ou juste pour avoir l'air c.. ?


Pub "Canel's" chewing-gum mexicain.

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Sainz 8 ème !



le remplaçant de Jolyon Palmer est en mesure de se battre pour les points et d'offrir à Renault ce qui lui manque depuis le début de la saison : deux monoplaces capables d'intégrer le top 10.

Après deux journées idéales, Sainz espère désormais être en mesure de livrer "une course propre" au Texas. Et s'il est arrivé sur la pointe des pieds, l'ambition montante se fait déjà sentir : "Il y a encore du potentiel à venir du côté de la voiture, mais aussi du mien puisque je poursuis mon adaptation. Finir plus haut dans le top 10 qu’au départ sera l’objectif."

Sur l'autre Renault, Nico Hülkenberg s'élancera d'une lointaine 19e place. Un fond de grille auquel il se savait condamné, mais qui ne sonne pas comme une fatalité pour celui qui a porté l'écurie d'Enstone à bout de bras jusqu'ici.

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Uscars a écrit:
On vous le disait bien que Palmer était un fardeau.


Prost sur Sainz : Lorsque Canal+ lui demande si la performance réalisée par Sainz à Austin est exceptionnelle, Alain Prost, ambassadeur de Renault, répond :
"Exceptionnelle, c’est un peu le mot parce que, vraiment, j’ai fait beaucoup pour qu’il vienne et c’est vrai que c’est difficile parce que c’est un peu à quitte ou double. On avait un peu peur que ça ne se passe pas très bien, en milieu de saison, comme ça, changer d’écurie… Alors là, aujourd’hui, il nous a fait quand même un week-end super mais une course… Il fallait écouter dans la radio le management de la course, la manière de gérer et on avait un petit problème de conso ; c’est dommage, il aurait pu aller chercher Esteban [Ocon] facilement."


Renault n'a jamais fini une course avec les deux voitures dans les points depuis son retour en tant que constructeur.

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renaut se retire de la formule e pour s'impliquer uniquement en f1
en réalité ils rebadges en nissan
avec l'arrivée porsche audi
Renault jamais battu en f e
ou comment se retirer la tete haute

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Moyen cool...

Avec le recrutement d'environ 150 nouveaux employés lors des 18 derniers mois, Renault Sport F1 Team s'est fortement développé depuis le rachat de l'écurie Lotus, mais a trouvé des obstacles sur son chemin, posés par Mercedes.



Alors que les trois mois d'inactivité forcée de Marcin Budkowski, qui va rejoindre Renault en provenance de la FIA, faisaient débat il y a quelques semaines, Cyril Abiteboul se montre particulièrement critique de Mercedes, qui imposerait des périodes d'inactivité forcée de plusieurs années à ses employés lorsqu'ils rejoignent une autre écurie.

Le directeur d'équipe va jusqu'à affirmer que de telles clauses contractuelles sont contraires à l'intérêt de la Formule 1, car elles contribuent au gouffre qui sépare les top teams des autres écuries.


"Red Bull n'est pas trop agressif dans sa gestion du personnel, mais c'est Mercedes qui est le plus agressif", souligne Abiteboul. "Nous avons fait signer un cadre de Mercedes l'an dernier, 2017, et il ne va pas nous rejoindre avant 2019 à cause de la situation contractuelle. Le Royaume-Uni est très favorable à la protection des employés au bénéfice de l'employeur, mais cela nous donne quelques difficultés. Nous le savons, il faut juste faire avec."

"Red Bull n'est pas stupide dans sa protection de son staff. Mercedes a le droit de faire ce qu'ils font, mais je trouve ça un peu injuste. Ils ont déjà les ressources financières, mais maintenant, ils bloquent le système en s'assurant que personne ne puisse aller ailleurs. En fin de compte, cela reste un sport et nous devons fournir un beau spectacle intéressant, et ce n'est pas ce qui se passe si l'on fait ça."

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J'ignorais totalement cette manière de faire.
Ca me paraît totalement contraire aux lois du travail mais bon...!?

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Uscars a écrit:
Ce sont des clauses de non-concurrence.


D'accord Us mais "stéréliser" un ingénieur qui part à la concurrence c'est tout de même un peut fort.
Certes il part à la concurrence avec des secrets mais pour l'empêcher de continuer dans le milieu je trouve qu'il a d'autres moyens que ça.

Avec une vision pareille je comprends mieux les ponts d'or qu'empochent les CEO de nos grandes entreprises.

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Renault F1 développe une RS18 ’totalement nouvelle’

C’est ce que promet Nick Chester







4 novembre 2017 - 08h31, par Olivier Ferret




Renault F1 compte repartir d’une feuille presque blanche pour la prochaine monoplace de la saison 2018. Malgré de bonnes performances de la part du châssis RS17 cette année, notamment depuis l’introduction des évolutions de Silverstone, Nick Chester, le directeur technique ’châssis’, estime que la nouvelle RS18 doit être "totalement nouvelle". "Nous sommes focalisés sur la monoplace de l’année prochaine et nous progressons bien à Enstone. Elle sera totalement nouvelle, malgré le peu de changements apportés au règlement," explique Chester. Le but ? Faire bénéficier chaque pièce des enseignements de la saison actuelle. "Nous avons énormément appris sur l’aérodynamique et l’équilibre d’une voiture construite pour le règlement 2017. Elle devrait donc représenter un sérieux pas en avant." Renault F1 semble déjà délaisser l’idée de finir 5e du championnat et fera donc des tests lors des essais libres du prochain Grand Prix. "Afin de préparer 2018, nous allons faire quelques relais aérodynamiques avec plusieurs outils spécifiques lors des essais au Brésil," conclut Chester.

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Faut dire que la tache ne sera pas facile pour Renault.
Deux des meilleurs chassis, RBR et McLaren seront équipées du même moteur. 
Va falloir être à la hauteur.

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Uscars a écrit:
Faut dire que la tache ne sera pas facile pour Renault.
Deux des meilleurs chassis, RBR et McLaren seront équipées du même moteur. 
Va falloir être à la hauteur.

C'est clair que s'ils continuent à rester honnête comme maintenant en fournissant aux clients la dernière évolution moteur, ils vont avoir sacrément du pain sur la planche !

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Je rebondis sur vos dires et constate à quel point un chassis est important sur une F1.
Regardons le groupe propulseur Mercedes sur une Williams ou une Force India et on observe facilement la différence avec le chassis (et le reste) de chez Merco.

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Tout a une explication !

Le patron de Renault Sport F1, Cyril Abiteboul, estime que le déficit de puissance actuel du constructeur vis-à-vis de Mercedes remonte à une décision prise par Flavio Briatore il y a plus de dix ans !

Depuis l'avènement de l'ère V6 turbo hybride en Formule 1, nous avons entendu plusieurs explications de Renault sur les performances et la fiabilité de son groupe motopropulseur par rapport à Mercedes ou Ferrari.
Mais apparemment, le principal responsable du déficit relatif de Renault est l'homme qui dirigeait l'équipe il y a dix ans, et une décision mal inspirée qu'il a prise alors.

"Aujourd'hui, nous continuons à payer le prix de la décision prise par Flavio Briatore en 2007 de congédier des centaines de personnes lorsqu'il a été décidé de geler le développement des moteurs".

"C'était un retrait de la F1 alors que Mercedes maintenait ses activités, acquis Ilmor et investi dans l'avenir"

"Depuis que je suis en charge (en 2014), j'ai recruté une centaine de personnes à Viry-Châtillon", explique le Français.

"La structure a évidemment été modifiée, avec une redistribution des responsabilités, les gens doivent maintenant réapprendre à travailler ensemble et se comprendre sans mots."

Mon bon Flavio !

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Moi j'aurais pas osé remonter à 10 ans pour tenter de faire porter mes échecs à mes prédécesseurs.

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Uscars a écrit:
Moi j'aurais pas osé remonter à 10 ans pour tenter de faire porter mes échecs à mes prédécesseurs.


+10 oh mon bon 'Us.

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Uscars a écrit:
Moi j'aurais pas osé remonter à 10 ans pour tenter de faire porter mes échecs à mes prédécesseurs.


Ben oui, c'est pas terrible !

J'arrive pas à le saisir Arbiteboul ! Très grosse responsabilité le gars !

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Face-à-face 2017 : Hulkenberg vs Sainz

Une lutte courte mais intense





30 décembre 2017 - 12h05, par Emmanuel Touzot


Carlos Sainz sera l’équipier de Nico Hulkenberg en 2018 mais les deux hommes ont eu l’occasion d’avoir un aperçu de ce que sera leur lutte interne l’année prochaine. Sainz a rejoint Renault à Austin, pour les quatre dernières manches de la saison, et s’est immédiatement mis dans le bain. L’Espagnol a terminé dans les points dès sa première course en jaune et s’est montré plus rapide que Nico Hulkenberg, notamment parce que ce dernier avait été pénalisé pour un changement de pièces.

L’Allemand a finalement dominé les trois qualifications suivantes mais de peu, tandis qu’il a devancé Sainz lors de la seule course où les deux ont terminé. Sur cette période de quatre courses, les deux hommes ont inscrit 15 points qui ont été déterminants pour Renault.


Ambiance dans l’équipe :

Ces quatre manches en commun n’ont pas permis de développer des liens forts, mais Hulkenberg et Sainz ont appris à faire connaissance et à travailler ensemble. Cela leur permettra certainement de trouver un terrain d’entente pour le développement de la monoplace 2018.


Bilan :

Il est difficile de tirer un bilan précis et pertinent de cette fin de saison ensemble, tant les moteurs Renault embarqués dans les deux RS17 étaient en fin de vie. Dès lors, les performances ont été conditionnées par l’usure, par les pannes et par les pénalités qui en ont découlé. Mais leur niveau semblait très proche, ce qui laisse augurer une saison 2018 positive pour Renault.


Statistiques :

 Course : 1/0 pour Hulkenberg (quand les deux ont terminé)

 Qualifications : 3/1 pour Hulkenberg

 Points : 9/6 pour Hulkenberg

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je parie sur la jeunesse carlos s.

Lors du Grand Prix de Singapour, Nico Hülkenberg est devenu le pilote ayant disputé le plus de GP sans signer de podium. Ce record, qui appartenait auparavant à Adrian Sutil, est actuellement de 135 courses

en f1 si tu n'a pas perçé après 8 ans de courses ça sent mauvais ?

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Brail017 a écrit:
je parie sur la jeunesse carlos s.

Lors du Grand Prix de Singapour, Nico Hülkenberg est devenu le pilote ayant disputé le plus de GP sans signer de podium. Ce record, qui appartenait auparavant à Adrian Sutil, est actuellement de 135 courses

en f1 si tu n'a pas perçé après 8 ans de courses ça sent mauvais ?


Sauf si l'écurie Renault fait un énorme pas en avant, là, je serais plutôt du côté tenace, mais aussi très concret de Nico.

Je l'espère.

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Hilk a sa victoire au Mans sur son CV.
A partir de là en F1 c'est marqué pas de chance ou....!?

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Clousot a écrit:
Hilk a sa victoire au Mans sur son CV.
A partir de là en F1 c'est marqué pas de chance ou....!?


Victoire au Mans c'est pas rien, et une pôle au Brésil sous la pluie, combien de points aujourd'hui en total Hulkenberg ? 405 - 9 saisons ! Ne l'oubliez pas, en comparaison, i.e. Laffite : 228 - 13 saisons.

C'est pas un "retard" Nico, et il est dans le bon train !

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La comparaison avec Lafitte est un peu bancale dans la mesure où il y avait alors moins de GP par saison.
Mais surtout parce que la victoire ne rapportait alors que 9 points et que seuls les 6 premiers en marquaient.
9-6-4-3-2-1.

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dom465 a écrit:
La comparaison avec Lafitte est un peu bancale dans la mesure où il y avait alors moins de GP par saison.
Mais surtout parce que la victoire ne rapportait alors que 9 points et que seuls les 6 premiers en marquaient.
9-6-4-3-2-1.


C'est vrai, ce n'était qu'un cas de figure sans prétentions.

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