-
Compteur de contenus
903 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles Auto
Sites
Annuaire Auto
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Mario03
-
Images Jean-Marie Happart, président de l'ISF, se dit "fatigué" des critiques Jean-Marie Happart, le président de l'Intercommunale immobilière de Spa-Francorchamps (ISF), s'est dit "fatigué par les déclarations fausses et malhonnêtes" remettant en cause sa gestion de l'intercommunale. Plus tôt dans la journée, le député MR Pierre-Yves Jeholet avait estimé qu'il devrait "avoir la décence de se retirer". Et aussi Le Grand Prix de F1 fait débat au Parlement wallon "Depuis que je suis dans cette intercommunale, en 2003, j'ai toujours été accompagné par deux commissaires du gouvernement. Toutes les décisions sont prises en accord avec le conseil d'administration, en toute transparence. Je suis fatigué d'avoir toujours eu à affronter des interprétations approximatives", explique Jean-Marie Happart. Il conseille à Pierre-Yves Jeholet de "se renseigner auprès des gens de son parti" qui font partie de l'intercommunale et ont approuvé les décisions prises. Il se dit également lassé "des déclarations fausses et malhonnêtes". "C'est fatigant. Je suis fier d'avoir fait ce que j'ai fait. Et je suis tout à fait serein, j'ai toujours géré en bon père de famille. Malgré cela, je n'ai jamais eu un article positif sur mon action. J'arriverai pourtant dans la nouvelle société (résultant de la fusion de l'ISF et de la société Spa Grand Prix, ndlr) avec 20 millions d'euros." Le ministre wallon de l'Économie Jean-Claude Marcourt a confirmé mercredi matin que Jean-Marie Happart jouerait encore un rôle dans la nouvelle structure. Belga
-
Images Spa fait débat Le ministre wallon de l’économie, Jean-Claude Marcourt, en charge du dossier du Grand Prix de Belgique, a été interrogé au Parlement wallon sur une série de questions entourant l’avenir de l’épreuve belge à Spa-Francorchamps. Marcourt a confirmé que l’édition 2011 du Grand Prix de Belgique devrait afficher un déficit moins important que l’année dernière, où la Région wallonne avait dû éponger 5 millions d’euros. Si le ministre a confirmé que plus de places avaient été vendues, l’affluence totale suscitée par l’épreuve n’est en revanche toujours pas connue, tout du moins officiellement, et ce plus d’un mois après le Grand Prix. Il a également été interrogé par les députés Manu Disabato (Ecolo) et Pierre-Yves Jeholet (MR) suite à plusieurs rumeurs parues dans la presse quant à l’avenir du Grand Prix. Marcourt a ainsi confirmé avoir eu des contacts avec la cellule "grands évènements" du Premier ministre français François Fillon en vue d’une possible alternance entre les Grands Prix de Belgique et de France à partir de 2013. Un projet critiqué qui a fait débat au sein du parlement wallon, le député Jeholet donnant notamment sa désapprobation. "Je ne suis pas favorable à cette alternance car le Grand Prix est une formidable vitrine internationale pour la région. C’est une mauvaise formule parce qu’on assiste de plus en plus à une poussée des pays émergents. Qui sait si, dans quelques années, on ne supprimerait pas ces Grands Prix alternés, puisqu’ils ne sont déjà plus organisés qu’un an sur deux ?" a indiqué ce député MR. De manière très étonnante, Marcourt a par ailleurs indiqué ne pas avoir entendu parler d’un possible intérêt de Gérard Lopez, copropriétaire de Lotus Renault GP, pour éventuellement racheter le circuit de Spa-Francorchamps et s’occuper de l’organisation du Grand Prix de Belgique. Il a en revanche précisé qu’il avait été en contact avec un investisseur intéressé par la privatisation du circuit belge. Le contrat du Grand Prix de Belgique expire en 2012. Grégory Demoen/ToileF1.com
-
Images Le ministre wallon Jean-Claude Marcourt estime que le déficit du GP de Formule 1 de 2011 sera moins élevé que l'an passé Le déficit du Grand Prix de Spa-Francorchamps devrait être moins élevé en 2011 qu'en 2010, où la Région wallonne avait épongé une dette de 5 millions d'euros, a indiqué en commission le ministre wallon de l'Économie, Jean-Claude Marcourt. Le sort du patron de l'intercommunale, Jean-Marie Happart, a aussi été évoqué. [b]assigne l'intercommunale en justice [/b] La perte à éponger devrait être moins élevée qu'en 2010, parce qu'on a vendu plus de places cette année, a indiqué le ministre, sans pouvoir cependant avancer de chiffres plus précis. Les députés Manu Disabato (Ecolo) et Pierre-Yves Jeholet (MR) l'ont interrogé sur une série de rumeurs et d'informations parues dans la presse à propos du Grand Prix. Jean-Claude Marcourt (PS) a ainsi répondu ne pas avoir entendu parler d'une éventuelle envie du patron de l'écurie Lotus de racheter le Grand Prix. Il a par contre déclaré avoir eu un contact avec un investisseur intéressé par une privatisation du circuit. Le ministre a également expliqué avoir eu des contacts avec la cellule "grands événements" du Premier ministre français François Fillon dans le cadre d'une éventuelle alternance dans l'organisation des Grands Prix de France et de Belgique. "Je ne suis pas favorable à cette alternance car le Grand Prix est une formidable vitrine internationale pour la région", a expliqué Pierre-Yves Jeholet. "C'est une mauvaise formule parce qu'on assiste de plus en plus à une poussée des pays émergents. Qui sait si, dans quelques années, on ne supprimerait pas ces Grands Prix alternés, puisqu'ils ne sont déjà plus organisés qu'un an sur deux? " Le ministre a enfin rappelé que Spa-Francorchamps ne se limitait pas au Grand Prix de formule 1, mais abritait aussi un incubateur automobile, un zoning dédié aux PME et un centre de formation notamment. "Jean-Marie Happart doit se retirer" Le président de l'Intercommunale immobilière de Spa-Francorchamps (ISF), qui gère le circuit éponyme, Jean-Marie Happart, "a fait assez de dégâts à l'ISF et doit avoir la décence de se retirer", a aussi affirmé le député wallon Pierre-Yves Jeholet (MR), alors que le cas de Jean-Marie Happart a été évoqué en commission de l'Economie mercredi. "L'ISF est confrontée à des litiges financiers, notamment avec la province de Liège, qui est pourtant impliquée dans l'intercommunale, et Jean-Marie Happart a une responsabilité dans ces litiges", affirme le député. La province vient d'intenter une action en justice contre l'intercommunale parce que celle-ci a rasé un bâtiment provincial sur le circuit sans verser de compensation à la province, qui réclame désormais 600 000 euros. Un autre dossier annexe montre que la famille propriétaire d'un terrain dont l'ISF avait besoin s'est vu offrir 120 000 euros et des places à vie pour le circuit, alors que l'ISF aurait pu mettre en œuvre une procédure classique d'expulsion, a rappelé le député Ecolo Manu Disabato. Le ministre de l'Économie, Jean-Claude Marcourt, s'est dit "étonné" que l'ISF propose des places alors qu'elle ne les possède pas, en pratique. Les questions qui lui ont été posées ont aussi porté sur des travaux de sécurisation sur une partie de piste, exigés par la FIA (fédération automobile internationale). Ces travaux ont coûté 500 000 euros, alors que selon les critères de la FIA, on aurait pu se contenter de 200 000 euros. Là aussi, c'est la faute au président de l'intercommunale, estime Pierre-Yves Jeholet. Le ministre a confirmé que le processus de fusion des deux structures - dont l'ISF - qui gèrent le circuit arrivait à son terme, et que c'est lui qui assumerait dès que ce serait fait la tutelle du nouvel organisme. Les députés ont demandé si Jean-Marie Happart aurait encore un rôle à jouer dans cette nouvelle structure, ce qui sera le cas, a confirmé le ministre. "Jean-Marie Happart doit avoir la décence de se retirer", a estimé Pierre-Yves Jeholet en marge de la commission. "Cela fait partie de la reprofessionnalisation du circuit."
-
Tickets gratuits à vie contre terrain à Francorchamps L'intercommunale du circuit de Francorchamps est attaquée en justice. Par la province de Liège. Belga <P HyphenatorExpando_0.43736985700377684="4"> dojo.require('dijit.Dialog'); Les nouveaux administrateurs de la nouvelle société du circuit de Francorchamps ont du pain sur la planche. À peine la nouvelle entité est-elle portée sur les fonts baptismaux qu'elle est déjà grevée par les conséquences de la gestion des dirigeants d'une des deux entités qu'elle absorbe. Selon nos informations, la Province de Liège a assigné l'Intercommunale de Spa-Francorchamps (ISF) en justice pour obtenir réparation suite à la destruction d'un immeuble qui lui appartenait. Elle réclame le montant correspondant à la valeur d'un bâtiment détruit sans procédure d'expropriation valable. Soit pas moins de pas moins de 660.000 euros. C'est en 2007 que l'intercommunale patrimoniale du circuit de Francorchamps démolit l'immeuble de la Province de Liège dans le cadre de la construction de la nouvelle chicane. Mais l'ISF n'aurait pas fait les choses dans les règles. Et même si la Province a des représentants à son conseil d'administration, elle entend préserver ses droits. "Il y a un minimum de règles administratives à respecter notamment une expropriation en bonne et due forme! Ce qui n'a pas été le cas. Dans le cadre d'une saine gestion des deniers publics, nous voulons faire constater cette créance sur l'ISF. Et comme la nouvelle société du circuit de Francorchamps reprend les droits et obligations de celle-ci, notre action se poursuit", nous a confié une source proche du dossier. La nouvelle société du circuit doit aussi gérer un autre cas: l'octroi à vie de 14 tickets gratuits et de 4 places de parking à l'intérieur du circuit à une famille de juristes spadoise par Jean-Marie Happart (PS), président de l'ISF. Son engagement impose des obligations à la SA de promotion du circuit de Spa-Francorchamps (SPCSF), entité commerciale du circuit. Ses actionnaires (Région wallonne, SLF) ont voté le 23 septembre sa dissolution et son absorption par la nouvelle entité (Le circuit de Spa-Francorchamps). Aujourd'hui, ses dirigeants rient jaune en voyant l'héritage de M. Happart. En 2007, pour réaliser les travaux de la route de contournement de la sécurité du circuit, l'ISF avait besoin d'un terrain d'environ 1.000 m2 non bâtissable appartenant à la famille T. Une expropriation aurait permis de réduire l'ardoise. Mais après une discussion de quelques minutes à l'Eau Rouge (en bordure du circuit), Jean-Marie Happart engage l'ISF au paiement d'une facture d'achat du terrain pour plus de 120.000 euros. Et cerise sur le gâteau: des tickets d'entrée à vie (pour les enfants et petits-enfants de la famille T.) pour toutes les manifestations sportives (sauf la F1) et culturelles sur le circuit! Ces engagements ont été coulés dans un acte notarié. Contacté par nos soins, M. Happart reconnaît l'existence ces deux dossiers, il nous a précisé que les dossiers de la SPCSF et de l'ISF seront repris par la nouvelle entité. L'ISF devrait procéder vendredi (dissolution et absorption), au même vote que la SA la semaine dernière. L'Echo
-
Porsche 911 hybride, dans les cartons… Publié par Cedric Rablat le 27 septembre 2011 Le constructeur allemand étudierait sérieusement la possibilité de façonner une version hybride de la 911. Matthias Muller directeur de Porsche a lancé les hostilités chez nos confrères de Motor Trend : « une Porsche 911 hybride est actuellement à l’étude chez nous ». Une réplique lourde de sens pour un best-seller de la voiture sportive. Si cette information prend tout son sens, c’est aussi parce que Porsche a inséré avec réussite la technologie hybride sur ses modèles Cayenne et Panamera. Un procédé que le géant allemand souhaite étendre à sa 918 Spyder. Par ailleurs, Porsche évolue déjà en sport automobile en mode hybride sur la 911 GT3 R Hybrid avec le succès qu’on connaît. Avec un tel cheminement entamé ces dernières années, une motorisation hybride sur la 911 ne constituerait donc pas une surprise en soi. Elle confirmerait la volonté du constructeur allemand d’offrir la part belle à un système devenu de plus en plus prisé dans le microcosme de l’automobile…
-
Spa-Francorchamps assigné en justice var id2 = '0.2933787826691715'; photo news La Province de Liège a assigné l'Intercommunale de Spa-Francorchamps (ISF) en justice en vue d'obtenir réparation à la suite de la destruction d'un immeuble qui lui appartenait, rapporte mardi L'Echo. La Province de Liège réclame le montant correspondant à la valeur d'un bâtiment détruit sans procédure d'expropriation valable, soit 660.000 euros. L'immeuble en question a été détruit en 2007 dans le cadre de la construction d'une nouvelle chicane mais l'ISF n'aurait pas fait les choses dans les règles. "Il y a un minimum de règles administratives à respecter notamment une expropriation en bonne et due forme, ce qui n'a pas été le cas", confie une source proche du dossier. Le circuit doit par ailleurs gérer un autre cas, souligne encore L'Echo, à savoir l'octroi à vie de 14 tickets gratuits et de 4 places de parking à l'intérieur du circuit à une famille de juristes spadoise par Jean-Marie Happart (PS), président de l'ISF. Toujours en 2007, l'ISF a besoin d'un terrain appartenant à cette famille pour réaliser les travaux de la route de contournement de la sécurité du circuit. Dans ce cadre, "Jean-Marie Happart engage l'ISF au paiement d'une facture d'achat du terrain pour plus de 120.000 euros", selon L'Echo. Des tickets d'entrée à vie sont en outre accordés. Contacté par le quotidien, Jean-Marie Happart a reconnu l'existence de ces deux dossiers. (belga) 27/09/11 04h10
-
-
-
-
-
-
Francorchamps ne meurt jamais? mardi 25 août 2009 à 10h03 De l'été 2002 à l'été 2003, la politique belge a été rythmée par un débat passionné au sujet de Francorchamps. Sept ans plus tard, Ecolo est de retour aux affaires, l'avenir du Grand Prix reste incertain et Bernie Ecclestone ne cache plus son mépris pour la démocratie. Francorchamps ne meurt jamais? "Je préfère les leaders forts." "A part le fait que Hitler s'est laissé emporter et persuader de faire des choses dont j'ignore s'il voulait les faire ou pas, il était en position de commander beaucoup de gens et d'être efficace." "Si vous observez la démocratie, elle n'a pas fait beaucoup de bien à beaucoup de pays." L'auteur de ces sages propos? Nul autre que Bernie Ecclestone, le grand patron de la formule 1, qui a prononcé ces paroles lors d'une interview au quotidien britannique The Times, le 4 juillet dernier. Les responsables politiques wallons, d'habitude si enclins à condamner toute réminiscence de l'extrême droite, ne se sont pas bousculés, cette fois, pour exprimer leur désapprobation. Quelle sera leur attitude lors du Grand Prix de Spa-Francorchamps, le 30 août? Serreront-ils la main d'Ecclestone, s'il leur arrive de le croiser, au détour d'un paddock ou d'un espace VIP? L'ambiance ce dimanche-là sera d'autant plus étrange que le sort de Francorchamps est à nouveau incertain. Bernie Ecclestone l'a déclaré le 4 août: à l'avenir, le GP de Belgique ne se tiendra plus que tous les deux ans, en alternance avec le circuit allemand du Nürburgring. Le ministre wallon de l'Economie, Jean-Claude Marcourt (PS), y voit "une hypothèse de travail intéressante". "C'est peut-être une chance de pérenniser les deux Grand Prix. Car le principal concurrent de Spa, c'est le Nürburgring. Et le principal concurrent du Nürburgring, c'est Spa." Se dirige-t-on vers de nouvelles empoignades politiques au sujet de Francorchamps? On n'en est pas encore là. Les ministres Ecolo du gouvernement wallon, Jean-Marc Nollet et Philippe Henry, se gardent pour l'instant de tout commentaire. Chat échaudé craint l'eau froide... Pour rappel, le dossier Francorchamps avait coûté une déroute électorale à Ecolo, au terme d'une saga qui a occupé le devant de l'actualité de juin 2002 à juin 2003. A l'époque, les verts refusaient de revoir la loi (votée en 1997) interdisant toute forme de publicité pour le tabac (les cigarettiers sponsorisaient certaines écuries), alors que le PS et le MR souhaitaient accorder une dérogation aux manifestations sportives internationales. Sept ans après le début de la polémique, nous en avons exhumé quelques déclarations marquantes, et avons demandé à leurs auteurs de les commenter. Serge Kubla: "La Région wallonne a besoin de Francorchamps sur le plan économique. Ceux qui, comme Ecolo, estiment que l'on a trop dépensé pour le circuit connaissent mal le dossier." (Vers l'Avenir, 4 novembre 2002) A l'époque, Serge Kubla était ministre wallon de l'Economie. Aujourd'hui, il est député wallon (MR) et bourgmestre de Waterloo. Sa réaction: "Je suis très étonné de ces propos râleurs tenus par Bernie Ecclestone, des propos que je n'ai jamais entendus, que je ne comprends pas, et que je ne défends pas, qui viennent sans doute d'un personnage déçu, en fin de carrière. Mais qui a toujours tenu ses promesses, qui a apporté du dynamisme. Si je le rencontre, je n'aurai aucun problème à lui serrer la main." Yves Reinkin: "Stavelot n'est vraiment pas une zone sinistrée: moins de 6% de chômage. Et ce sont moins de 20 personnes qui travaillent en permanence pour le circuit..." (La Libre Belgique, 17 mai 2003) A l'époque, Yves Reinkin était conseiller communal Ecolo à Stavelot, administrateur de l'intercommunale du circuit de Spa-Francorchamps. Aujourd'hui, il est député à la Communauté française, et toujours administrateur de l'intercommunale du circuit. Sa réaction: "Je ne regrette pas d'avoir dit ça. A l'époque, certains faisaient croire que, sans Grand Prix, c'était la mort de la Wallonie. Aujourd'hui, plus personne ne pense que le circuit est le poumon économique de la Région... Personnellement, j'assisterai au Grand Prix le 30 août. Mais si je croise Ecclestone, je ne lui dirai pas bonjour. Certains diront: Paris vaut bien une messe. N'empêche, pour moi, cet homme est infréquentable. A terme, je crois aussi qu'il faudra rouvrir le débat: est-il normal que le pouvoir public finance une course? En Flandre, le circuit de Zolder a été remis aux mains du privé, et ça fonctionne très bien." Philippe Monfils: "Il ne faut pas rêver: si le Grand Prix 2003 est annulé, il n'y aura plus jamais de Grand Prix de formule 1 en Belgique." (La Dernière Heure, 29 octobre 2002) A l'époque, Philippe Monfils était sénateur MR et conseiller communal de Liège. Aujourd'hui, il est toujours sénateur MR. Sa réaction: "J'avais raison: ce sont la pub et les droits TV qui font la loi, et qui l'emportent sur la qualité de notre circuit naturel, le plus beau du monde. Quant aux propos de Bernie Ecclestone, ils sont inacceptables et scandaleux. Je ne peux pas comprendre cette référence à un passé odieux, mais je ne peux pas non plus admettre que l'on s'en serve pour condamner la F1. Si je rencontre Bernie Ecclestone, je ne lui serrerai pas la main. Mais on ne peut pas condamner le Grand Prix sur la base de cette déclaration scandaleuse." Elio Di Rupo: "Fondamentalement, Ecolo avait raison. (...) Mais nous aurions pu reporter de quelques années l'interdiction de pub pour le tabac, cela n'aurait pas été fondamental." Knack, 23 avril 2003) A l'époque comme aujourd'hui, Elio Di Rupo était (est) président du PS. Sa réaction: "Cela s'est vérifié. Sur les circuits européens de formule 1, on ne voit plus de publicité pour les cigarettes. J'ai toujours été parcimonieux des deniers publics. Quand on dépense de l'argent public, il faut le faire avec un rendement maximum. Or il faut se rappeler qu'avant ces événements, avant cette polémique, le Grand Prix ne coûtait rien à l'autorité publique. Au contraire, cela rapportait, via diverses rentrées fiscales. Après ces événements, le Grand Prix a commencé à coûter à l'autorité publique. Il aurait mieux valu trouver une formule politique et légale pour faire ça sans rupture... Si on avait attendu deux ou trois ans pour interdire la publicité pour le tabac, il n'y aurait pas eu cette rupture. La donne aurait été différente. Cela aurait évité que l'autorité publique doive dépenser de l'argent pour ce sport-spectacle." Evelyne Huytebroeck: "Quand un sport est totalement dépendant d'un lobby, ça ne va pas. Il n'est pas bon qu'une épreuve sportive soit aussi largement sponsorisée par des marques de cigarettes." (Le Soir, 24 juillet 2002) A l'époque, Evelyne Huyebroeck était secrétaire fédérale Ecolo. Aujourd'hui, elle est ministre bruxelloise de l'Environnement. Sa réaction: "Depuis lors, beaucoup d'eau a coulé sous les ponts. L'interdiction de la pub pour le tabac a été décidée au niveau européen, et plusieurs pays extra-européens commencent à franchir le pas aussi. Et pourtant, les F1 roulent toujours... Preuve est faite que le départ des cigarettiers n'allait pas mettre à mal la F1. Quant à ce qu'a dit Ecclestone, ce sont des propos tellement abjects qu'ils ne méritent même pas d'être commentés." François Brabant. Propos recueillis par François Brabant et Michel Delwiche http://www.levif.be/info/?utm_source=LeVif_home&utm_medium=logo&utm_campaign=navigatie
-
Dans les archives du 3Larousse" : dmander : automobile , dans la partie 'sport automobile ' après une grosse migraine ( a force de lire) il y as : Jean-Pierre Beltoise, coureur automobile français (Boulogne-sur-Seine 1937). Il débute à motocyclette à vingt et un ans. Il fait ses débuts sur quatre roues en 1963 et gagne le classement à l’indice énergétique aux Vingt-Quatre Heures du Mans. En 1964, il est victime d’un accident sur le circuit de Reims ; atteint de seize fractures, il entreprend une rééducation douloureuse pour revenir à la compétition. En 1965, il gagne en formule 3 sur ce même circuit de Reims. C’est alors le développement d’une carrière sportive intimement liée à celle de Matra. Son beau-frère François Cevert (Paris 1944) s’est hissé en 1971 parmi les meilleurs pilotes, remportant le Grand Prix d’Amérique cette même année. Jack Brabham, coureur automobile australien (Hurtsville, Nouvelle-Galles du Sud, 1926). L’Australien offre un bel exemple de longévité sportive : il a conquis son troisième titre mondial en 1966, alors qu’il avait glané les deux premiers en 1959 et 1960. Il avait débarqué en Europe en 1955 ; deux ans après, ses talents de pilote et de mécanicien s’épanouissaient chez Cooper, dont les monoplaces allaient dominer la formule 1 jusqu’en 1961. L’année suivante, Brabham fondait sa propre marque ; il allait faire la preuve de ses qualités de constructeur. En 1966, il domina les épreuves de formule 2 avec une Brabham à moteur japonais Honda, et, en formule 1, contre toute attente, il termina à la première place du championnat du monde des conducteurs. En 1970, il a pris le volant du prototype Matra. Jim Clark, coureur automobile britannique (Edington Mains, comté de Berwick, Écosse, 1936 - Hockenheim, Bade-Wurtemberg, 1968). Lorsqu’il se tua à Hockenheim le 7 avril 1968 au cours d’une épreuve de formule 2 sans grande portée, Jim Clark était au faîte de la gloire. On ne peut séparer son nom de celui de la Lotus, avec laquelle il obtint ses plus grands succès, ni de celui de Colin Chapman, le constructeur. Deux fois champion du monde en 1963 et 1965, Clark a établi un record qui sera difficile à battre : vingt-cinq victoires en Grand Prix de championnat du monde (l’ancien record ayant appartenu à Fangio avec vingt-quatre victoires). Cette simple comparaison entre deux champions prestigieux traduit la classe du pilote qui avait été surnommé « l’Ecossais volant ». Clark était avant tout un pilote de vitesse, et, à son palmarès, on trouve des séries étonnantes : quatre victoires consécutives au Grand Prix de Belgique, quatre victoires au Grand Prix de Hollande, dont trois de suite, cinq victoires au Grand Prix de Grande-Bretagne, dont quatre de suite, trois victoires aux États-Unis et en Afrique du Sud. Sa saison la plus glorieuse fut celle de 1963 où il gagna sept Grands Prix sur neuf. En 1965, il en obtint six, et fut le premier Européen à triompher aux Cinq Cents Miles d’Indianapolis. Juan Manuel Fangio, coureur automobile argentin (Balcarce, Argentine, 1911). L’un des plus grands pilotes de l’après-guerre, champion du monde dès 1951 sur Alfa Romeo, il conquit le titre quatre fois de suite en 1954, 1955, 1956 et 1957. Ces quatre derniers titres furent obtenus sur des voitures de trois marques différentes : en 1954, il pilota d’abord une Maserati, puis passa en cours de saison chez Mercedes ; l’année suivante, il fit toute la saison pour la marque allemande ; en 1956, il était au volant d’une Ferrari, et, en 1957, d’une Maserati. Sa carrière européenne a commencé assez tard puisqu’il avait plus de trente-sept ans. Cela se passait en 1949, alors qu’il avait gagné sa première course en 1940 dans le Grand Prix d’Amérique du Nord, sur Chevrolet. Entre cette date et 1958, année de sa retraite, il inscrivit soixante-trois victoires à son palmarès. Graham Hill, coureur automobile britannique (Hampstead 1929 - Elstree 1975). Venu assez tard au sport automobile, il s’illustra d’abord en aviron et fut le chef de nage du London Rowing Club (de là viennent les huit bandes blanches que l’on peut voir immuablement sur son casque). Il débuta en 1955 chez Lotus, mais fut assez éclectique dans le choix des marques qu’il pilota : en 1960, il entra chez BRM et, après une année de mise au point, réussit en 1962 à conquérir son premier titre de champion du monde. Ensuite, Clark le relégua un peu au second plan. Mais, en 1966, Graham Hill gagna les Cinq Cents Miles d’Indianapolis. L’année suivante, il revint chez Lotus et, en 1968, après la mort de Clark, il réussit à conquérir son second titre mondial à trente-neuf ans. Stirling Moss, coureur automobile britannique (né en 1929). Pilote complet, aussi habile sur les pistes que sur les routes, Stirling Moss est resté cependant le champion sans couronne. Victime en 1962 d’un grave accident sur le circuit britannique de Goodwood, il n’a jamais pu reprendre le volant d’une voiture de compétition. Il gagne sa première course à dix-neuf ans. En 1949, il l’emporte dans huit des douze courses auxquelles il a participé ; l’année suivante, il débute en formule 2 et remporte dix victoires. Ses dons et ses victoires le font vite briller au firmament de la compétition, au point qu’il est engagé en 1955 dans la fameuse équipe Mercedes. Sa plus fameuse victoire sur route est celle des Mille Miglia la même année, à 157 km/h de moyenne. Sa série de victoires (dont trois à la Coupe des Alpes) devait prendre fin tragiquement sur la piste de Goodwood... Jackie Stewart, coureur automobile britannique (Écosse, 1939). À la mort de Jim Clark, tous les spécialistes de la compétition étaient unanimes à prédire que Stewart était son digne successeur. Cela se passait en 1968, année où Stewart échoua de très peu dans la course au titre mondial ; un poignet abîmé au cours d’une sortie de route en Espagne l’avait éloigné des pistes pendant quelques semaines, et cet arrêt forcé devait le priver de son premier titre mondial. Ce n’était que partie remise. L’année suivante, toujours au volant d’une Matra-Ford, il collectionnait les victoires au cours d’un remarquable début de saison où il remportait cinq Grands Prix ; une sixième victoire à Monza au Grand Prix d’Italie lui apportait le championnat du monde des conducteurs. Stewart, qui commença à courir en formule 1 en 1965 sur BRM, effectua une ascension fulgurante parmi les étoiles de la formule 1, puisque quatre ans après, au volant d’une voiture française à moteur Ford, il accédait au titre suprême, remporté de nouveau en 1971, puis en 1973 sur Tyrrell, à moteur Ford.
-
Belgian racing legends. 50 Ans de sport automobile, des Belgian Gentlemen Drivers aux années 90 - exposition Du vendredi 9 décembre 2011 au dimanche 15 janvier 2012 Bruxelles Automobile et cycle Exposition Vroommm ! A Autoworld à Bruxelles, dans une scénographie des plus originales, découvrez l'exposition Belgian racing legends. 50 Ans de sport automobile, des Belgian Gentlemen Drivers aux années 90. Cette exposition vous fera revivre l'ambiance des courses automobiles, avec ses gradins, ses paddocks et ses voitures de compétitions. La scénographie reconstitue une piste avec une quinzaine de voitures. Des projections de films d'époque ainsi que des photographies vous sont également présentés. Du vendredi 9 décembre 2011 au dimanche 15 janvier 2012 : - Toute la semaine de 10:00 à 17:00 Autoworld Agenda de Autoworld Adresse de cet événement Autoworld 11 parc Cinquantenaire Jubelpark 11 1000 Bruxelles Plan de Autoworld Acces au 11 parc CinquantenaireJubelpark 11 1000 Bruxelles Tel: 00 32 2 736 41 65 Plus d’information Brussels International 2, 4 rue Royale-Koningsstraat 1000 Bruxelles 32 2 513 89 40 http://www.lagenda.com/-belgian-racing-legends-50-ans-de-sport-automobile-des-belgian-gentlemen-drivers-aux-annees-90-exposition-e-719727
-
-
Timing Général Provisoire V1 24H02 2CV CUP 14, 15 et 16 octobre 2010 Jeudi 14 octobre 2010 Ouverture des paddocks à 18H00 2CV et 19H00 autres séries Vérifications sportives et techniques de 18H00 à 21H00 2 CV de 19H00 à 21H00 autres séries Vendredi 15 octobre 2010 briefing 10H10 2CV 24H02 11H00 SMART CUP 15H20 BGDC et TTE 08H00 09H00 Vérifications sportives et techniques SMART CUP. 08H00 09H30 Vérifications sportives et techniques BGDC & TTE 08H00 09H45 Vérifications sportives et techniques 24 H 02 CV. (sur dérogation) 13H00 15H00 Vérifications sportives et techniques BGDC & TTE (sur dérogation) 09H00 09H45 ESSAIS LIBRE 2CV - SMART CUP (45') 09H50 10H35 ESSAIS LIBRE BGDC & TTE (45') 10H50 11H50 ESSAIS CHRONO 24 H02 CV 1 (60’) 12H05 12H45 ESSAIS CHRONO SMART CUP (10'/ 5‘/ 10’/ 5’/ 10’) 13H00 14H00 ESSAIS LIBRE BGDC & TTE (60') 14H15 14H45 COURSE SMART CUP 1 (30') 15H00 16H00 ESSAIS CHRONO 24H02 CV 2 (60’) 16H15 17H15 ESSAIS CHRONO BGDC & TTE (60') 17H30 18H00 COURSE SMART CUP 2 (30') Samedi 16 octobre 2010 09H00 09H20 WARM UP 24 H 02 CV (20’) 09H40 13H40 COURSE BGDC ET TTE (240') 13H55 14H25 COURSE SMART CUP 3 (30') 14H30 16H00 SORTIE DE LA CONCENTRATION 2CV 14H30 16H10 MISE EN PRE GRILLE 24 H 02 CV ET ANIMATION 16H20 TOUR DE CHAUFFE 24 H 02 CV 16H30 DEPART DES 24 H 02 CV Dimanche 17 octobre 2010 16H32 ARRIVEE DES 24 H 0 2 CV
-
08 Septembre 2011 à 10:45 F1 - Red Bull était hors-règlement à Spa De l’aveu même de l’équipe, les deux Red Bull avaient dépassés les normes règlementaires lors du dernier Grand Prix de Formule 1 à Spa-Francorchamps. En Belgique, un fort problème de dégradation des pneus - remettant même en question la sécurité – avait provoqué une réunion de crise le samedi soir du Grand Prix. Avec le manufacturier Pirelli en chef de file, les équipes étaient tombées d’accord afin limiter le carrossage des voitures, pour ainsi réduire cette dégradation. Mais Paul Hembery – directeur de la compétition du manufacturier italien – avouait à la fin de la course que les Red Bull étaient « allé jusqu’à la limite des recommandations. » Cette information était confirmée par Adrian Newey, le designer de l’équipe autrichienne, qui avouait même être allé plus loin : « Nous avons dépassé la limite, mais juste d’un cheveu, un tout petit peu plus. Evidemment, si nous avions su qu’il y avait un problème de sécurité à ce sujet, nous ne l’aurions pas fait. » Toujours est-il que – pour s’imposer – Sebastian Vettel a dû changer une fois de plus ses pneus que ses adversaires directs. Et s'il a quand même pu l'emporter, s'est en majeure partie grâce à son arrêt prématuré, juste avant que l'accident d'Hamilton provoque l'entrée de la voiture de sécurité. En effet, une fois en pneus neufs juste derrière Alonso - alors avec des gommes usées - la course était gagnée pour l’Allemand. Il est également impossible d’estimer le temps en piste gagné par les monoplaces autrichiennes, grâce à ce réglage particulier. Précisons que l’équipe Red Bull ne risque aucune sanction, étant donné que cette règle avait été établie par les équipes et qu’elle ne dépend pas du règlement de la FIA. Attendons désormais de voir qu'elle sera l'attitude des équipes à Monza, si un nouveau problème de dégradation était constaté. Résultats F1 - Circuit de Spa : Course Thibaut Taquet, MadeInMOTORSPORT.com.
-
-
Par René Fagnan 07 septembre, 2011 Regardez autour de vous. Nos voitures de tous les jours changent. Progressivement oui, mais elles changent et évoluent. Rappelez-vous des premières voitures hybrides, arrivées sur la marché il y a de cela tout juste une douzaine d'années. La mutation similaire s'opère dans le sport automobile. Qui aurait dit qu'une voiture turbo diesel, un moteur de poids lourd, allait gagner les 24 Heures du Mans? Qui aurait dit qu'une monoplace de Formule 1 hybride, dotée du KERS, allait remporter des Grands Prix? Photo: Audi Et qui aurait prédit qu'on allait assister à un Master de karting avec des karts électriques à Paris Bercy en décembre? Et que la FIA va bientôt implanter un championnat de Formule E, « E » pour électrique. Alors je trouve cela amusant de lire les commentaires de amateurs qui affirment ne pas vouloir de ces nouvelles technologies en F1. « Des F1 électriques? Jamais! » ai-je lu sur notre page Facebook. Et pourtant... Les F1 seront partiellement électriques dès la saison prochaine, car elle devront rouler sur la puissance de leur moteur électrique dans les puits. Ainsi, lors des changements de pneus, tout sera parfaitement silencieux! Je comprends parfaitement que la majorité des gens s'y oppose farouchement. L'être humain déteste tout changement qui le déstabilise. Mais il faut se rendre à l'évidence : le sport auto, y compris la F1, se métamorphose. Les organismes qui sanctionnent les courses des voitures sont maintenant à la chasse au gaspillage. Pneus, essence, huiles usées, métaux; tout ce qui peut être recyclé l'est. Le sport automobile doit montrer l'exemple. Les gros moteurs gloutons feront bientôt partie de l'histoire. On perdra certainement quelques frissons, mais on y gagnera en qualité de vie. Le spectacle va changer, mais on s'y habituera. Comme on s'est habitué à mettre sa ceinture de sécurité ou bien aux freins antiblocages.
-
-
Images Le but de l'alternance serait de réduire le déficit à supporter par la Région wallonne Les acteurs économiques et politiques de la région de Spa Francorchamps disent non à l'alternance du Grand Prix de Formule 1 de Belgique avec la France. Ils rejettent en bloc cette idée qui, selon eux, mettrait en péril l'existence même du circuit. L'idée a été relancée lors du dernier Grand Prix par Etienne Davignon, le président de la société organisatrice. Il s'agirait de réduire le déficit à supporter par la Région wallonne. Mais pour les acteurs régionaux du dossier, qui n'ont pas été concertés, l'idée n'est pas bonne. Au niveau de Stavelot et de Malmedy par exemple, ce serait même une catastrophe. Thierry de Bournonville, bourgmestre de Stavelot: "Ne plus avoir de Grand Prix pour Stavelot, c'est se priver de 350.000 euros et donc forcément d'une qualité d'investissement que nous ne pourrons plus assurer pour nos administrés". Le directeur de l'Union des Classes Moyennes de Verviers, Jean Junglings, y voit lui la perte d'autres manifestations: "L'euroskills - championnat d'Europe des métiers - qui va être organisé ici en Belgique, beaucoup de pays se sont battus pour l'obtenir, et cela se passe ici à Francorchamps parce que le premier critère, c'est d'obtenir un site qui est connu au niveau international". Alors quelle alternative proposer? Le collectif de sauvegarde du circuit lance une idée. Régis Coeckelbergs, son président: "Pourquoi le Grande Prix de Belgique de Formule 1 ne serait pas le Grand Prix "Vert", le Grand Prix avec toute une série de mesures de récupération de pluie, de panneaux solaires, de courses annexes avec des lubrifiants moins polluants. Francorchamps pourrait ainsi être une référence en matière écologique". Le projet d'alternance est par contre accueilli positivement par le grand patron de la F1, Bernie Ecclestone. Le circuit qui pourrait accueillir un Grand Prix de France appartient en fait à son ex-épouse. O. Thunus
-
Divers - Vidéo: Record électrique pour Toyota Toyota a battu le record d'un prototype électrique sur le circuit du Nürburgring. Découvrez ce record en vidéo et en caméra embarquée. Toute l'actualité en image L'équipe Toyota a quitté la F1 fin 2009 mais une structure technique est toujours en place pour des projets spéciaux. Elle a conçu le TMG EV P001, basé sur un châssis Radical et propulsé uniquement par deux moteurs électriques. Le 29 août, ce prototype a roulé sur le Nordschleife au Nürburgring. Jochen Krumbach a réalisé un chrono de 7'47''794, alors que le précédent record d'un prototype électrique était de 9'01''338. « Nous voulions apprendre plus sur le fonctionnement de notre train propulseur dans des conditions extrême, » indique Pascal Vasselon, le directeur technique de Toyota. « Il n'y a pas de circuit plus extrême que le Nürburgring. » Découvrez ce record en vidéo. Quelle sera l'utilité de ce projet ? Toyota indique que le développement des technologies électriques va servir dans les véhicules de série. On pourrait également la voir en sport automobile, même si le constructeur japonais n'a pas annoncé de projet particulier. « Ce n'est pas la fin de l'histoire pour Toyota Motorsport Gmbh (TMG) et j'espère que nous verrons à nouveau des trains-propulseurs en action en piste rapidement, » indique Rob Leupen, responsable des opérations commerciales de TMG. Cette technologie pourrait servir en endurance, où Toyota est partenaire de Rebellion. Peugeot envisage d'aligner une 908 Hybrid4 aux 24H du Mans dans un avenir proche. - Toutes les infos sur Toyota
-
-
Les propos d'Etienne Davignon font bondir chez les défenseurs du circuit La sortie d'Etienne Davignon, le président de Spa Grand Prix, dimanche avant la course annonçant une possible alternance entre le Grand Prix de Belgique et le Grand Prix de France a été vivement critiquée par les intervenants qui se sont dit étonnés et déçus de tels propos mal venus, a commenté le bourgmestre de Spa, Joseph Houssa. Ce dernier a d'ailleurs ajouté que si l'Allemagne et la France voulaient jouer l'alternance, elles pouvaient le faire mais que le Grand Prix de Belgique ne rentrait pas dans cette configuration. Le bourgmestre de Spa a aussi fustigé les commentaires soulignant que le Grand Prix de Belgique est déficitaire. André Blaise, l'échevin représentant la commune de Malmedy, a souligné que tous les Grand Prix étaient déficitaires et que tous les états y allaient de leur poche, la Région wallonne devant elle aussi faire l'effort nécessaire. L'échevin malmédien a cependant souligné qu'il était important de contrôler le déficit. Il a fait des dégats Les intervenants économiques ont vertement critiqué la sortie d'Etienne Davignon signalant qu'il n'était pas mandaté pour tenir de tels propos et proposant même à ce dernier de prendre sa retraite et de s'occuper de son jardin "vu les dégâts déjà occasionnés par cette personne avec qui il est impossible de dialoguer", a souligné Robert Coeckelbergs, le président de la commission économique de Stavelot. Regis Coekelbergs, président du collectif de Sauvegarde du Circuit, a pour sa part rappelé qu'Etienne Davignon avait été choisi pour ce poste "car il avait un portefeuille d'amis sensés investir à Francorchamps et je cherche toujours les amis qui ont investi à Francorchamps". Les forces vives politiques et économiques prônent aussi une ouverture vers Gérard Lopes bien introduit dans le monde de la F1 et à Francorchamps via l'Hôtel de la Source qui s'est lui-même dit intéressé par le rachat du circuit et l'organisation du Grand Prix. Belga