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Remyw1

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Tout ce qui a été posté par Remyw1

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  2. Je crois bien aussi ?? Je vais deja revoir le positionnement des brides livrées et je verrais bien si ca bouge ou pas ? Merci quand meme
  3. une Italienne Vendéenne Vous passerez à la maison avec la 500? C'est le passage obligé pour les 500. Y a déjà Laurent et Cindy qui sont viendu
  4. Il y avait aussi un Roadster. On l’oublie parfois, la Mercedes 300 SL a aussi existé sans ses portes papillon. C’est même elle, l’ancêtre la plus directe de l’actuel SL. Dans l’imagerie Mercedes, on appelle cela un mythe au grand air. Découverte. C’était mieux avant. Non, erreur. C’était plus fou, en revanche. Le Grand Tourisme confinait au sport. À un style de vie entier. Sur le port de Marbella, bercé par le 6 en ligne de cette 300 SL, le constat est sans appel. Superbement décadent. Elle se prête parfaitement au coude à la portière, c’est même ainsi qu’elle s’apprécie le mieux. Même si la 300 SL Roadster ( génération W198 ) était une supercar lors de son arrivée en 1957, nous avons entre les mains une vénérable pièce du musée Mercedes. Déambuler au milieu des yachts, voilà ce qu’elle faisait il y a quelques décennies. C’est un retour au bercail pour notre jet-setteuse devenue icône… Quelques heures auparavant, nous étions aux commandes des 435 ch du nouveau SL 500. Lorsque prendre la mesure de l’évolution s’offre à nous, fatalement, on se retrouve dans cet habitacle baigné de lointaines effluves de pétrole, d’huile et de cuir suranné. Le parfum des kilomètres, et des années qui ont marqué ces commandes en bakélite. Le parfum d’une histoire, qui a voulu que la 300 SL soit l’initiatrice d’une dynastie de six générations de roadsters emblématiques. En réalité, le roadster 300 SL est le remplaçant de la 300 SL Gullwing, à portes papillon ( né en 1952 ). Il apparaît en 1957, motivé par la forte demande du marché américain pour les hautes performances au grand air… Fort du prestige acquis en compétition par son devancier, le roadster 300 SL part déjà d’un bon pied, même si entre temps, il s’est assagi en perdant ses ailes. Tout d’abord, l’ablation du toit a impliqué un poids en hausse d’environ 110 kg dus aux renforts de structure. Le Sport Leicht ( SL, Sport Léger tout simplement ) en prenait un coup, portant la balance à un peu plus de 1330 kg. L’essieu arrière est modernisé, notamment avec un troisième ressort compensateur, afin de stabiliser la poupe. Le fameux 6 en ligne de 3 litres incliné à 45° ( pour abaisser le centre de gravité ), dérivé de la berline 300 « Adenauer », reçoit aussi quelques modifications idoines, un nouvel arbre à cames notamment, afin de le rendre plus docile. Plus adapté au goût de la clientèle américaine, surtout. Plus facile, ou plutôt moins rude que le SL papillon, le roadster aime la flânerie. Mais toujours avec attention et application. Aujourd’hui, on a tendance à s’amollir avec nos GT modernes qui se mènent comme un vélo à des allures insensées. Ici, en comparaison, même piloter le 300 SL normalement, c’est presque physique. Mais si on se met dans le contexte de l’époque, elle s’apprivoise facilement. On s’habitue aux quelques subtilités d’ergonomie, comme le cerceau central au centre du volant, activant les clignotants, ou cette position de conduite si spéciale, avec un volant posé sur les jambes. N’accrochons pas nos ceintures, il n’y en a pas, et en route… Mercedes 300 SL Roadster : supercar… à retardement Le volant très large, à jante fine, la fait virer… à retardement. La direction à billes, surmultipliée à l’excès, impose de faire plusieurs tours pour les manœuvres en ville. Les 4 tambours freinent à retardement, et l’effet « seau de galet » de la boite vous fait changer les 4 rapports… encore à retardement. Les pistes sont brouillées avec cet engin de course civilisé et lâché sur route, et on se dit qu’il fallait avoir un sacré cran pour l’emmener à ses limites et exploiter ses 215 ch ( à 5800 trs/mn ). Ce 6 en ligne à injection ( une première à l’époque ) se montre souple, avec son architecture longue course ( 85 x 88 mm ), mais aime aussi prendre des tours. Là encore, cette solution est en décalage avec ce qui est généralement pratiqué sur nos sportives d’aujourd’hui. On hésite d’abord à donner franchement du gaz. Il tourne rond ce 6 cylindres, mais il s’en tire déjà plutôt bien vers les 3000 tours… Puis on se souvient qu’il s’agit aussi d’un moteur de course. Et c’est magique. On passe du registre d’une vieille voiture, au fonctionnement un peu heurté, à une dimension brutale. Métal hurlant… 4500, 5000 tours. Le cri est devenu perçant, coup de tonnerre d’airain. La zone rouge est à 6000. Halte, nous n’oserons pas en approcher davantage. Certes, les performances sont modestes comparées à n’importe qu’elle GT moderne ( un peu moins de 10 s pour le 0 à 100 km/h, et environ 230 km/h en pointe ). Mais lorsque nous sommes ainsi en prise directe avec la route, la mécanique et les éléments ( si il pleut, on n’ose imaginer les dérobades du train arrière déjà baladeur ), ces chiffres sentent le souffre. Le roadster devient étonnamment précis, plus le rythme s’accélère. L’équilibre paraît sain, même avec nos références contemporaines, presque soixante ans après. En fait, il n’y a guère que les freins et cette position de conduite incongrue aujourd’hui, avec l’immense volant posé sur les cuisses, qui perturbent réellement. Le reste, on s’y fait. Même à la direction qui s’allège et devient plus floue à haute vitesse…Étonnant. On ressent très peu de vibrations à rythme de croisière. Sauf sur le rétroviseur central, symbolique. Les kilomètres s’égrènent, préférons oublier la faune qui nous entoure et nous double, malgré nos 140 km/h bien sentis sur cette voie rapide andalouse. Au-delà, cela semble héroïque malgré le confort général de suspension, surprenant pour une auto de cette génération. Les freins toujours, mon bon monsieur… À partir de 1961, 4 disques viendront corriger le problème. Et puis, avoir entre les mains l’une des 1858 représentantes de l’espèce ( certaines ont disparu ) impose un tantinet de réserve. Mercedes 300 SL Roadster : au final C’était bien joué. Dans les années 50, avec les références de l’époque, on comprend que le 300 SL se soit érigé en archétype de la supercar. Le mythe perdure aujourd’hui, notamment sur le marché de la collection. Son aura et ses estimations se maintiennent : en général, un beau modèle est rarement adjugé en dessous des 400 000 €. Aujourd’hui chez Mercedes, la succession incombe plutôt au roadster SLS AMG qu’au nouveau SL, finalement. Reste à savoir si elle parviendra à la même postérité d’ici un demi-siècle. Aujourd’hui, son image est bâtie autour de son superbe V8 6.2 litres de 571 ch. Autres temps, autres mœurs. Ce n’était pas mieux avant, donc. Caractéristiques techniques : Moteur Architecture : 6 cylindres en ligne longitudinal avant, 12 soupapes Distribution : 1 ACT Cylindrée : 2996 cc Alésage x course ( mm ) : 85 x 88 Puissance maxi : 215 ch à 5800 trs/mn Couple maxi : 274 Nm à 4600 trs/mn Transmission : propulsion, boite manuelle 4 rapports Dimensions L x l x H ( mm ) : 4520 x 1778 x 1300 Empattement ( mm ) : 2400 Poids : 1330 kg Pneumatiques : 185 R15 Freins av/ar : tambours Performances : 0 à 100 km/h : 9,8 s vitesse maxi : 230 km/h
  5. Oliv est bien présent , cela fait plaisir , je n'ai plus l'impression d'être seul , c'est rassurant !" tu vas rêver de chevreuil héhéhé" , le coup de pied au cul j'ai bien compris que c'était cool de ta part et c'est vrai que ce genre de décision n'est pas facile à prendre car personne n'est indispensable et comme dit l'adage " ne pas perdre la poire pour la soif " , fais un business plan et si tu as des contacts alors barres toi de la France !!!! tu connais les critères pour les US ,le CANADA , SINGAPORE ??? là c'est du lourd surtout en Asie du sud est mais il faut les contacts et saches qu'en Asie tu ne peux être majoritaire dans le business ,tu dois être associé avec un local c'est la loi , donc bien réfléchir !!!!j'ai des contacts à SINGAPORE au cas ou???
  6. EH? BÔULE , je constate que tu disposes d'excellentes références journalistiques ??????? ou tu fais parti d'un club type " Hannibal lecteur" ??? vie trouble et connaissances du même acabit ???? Allez Bonne journée sous la flotte , ça rafraichira vos neurones égarés !!!!!!!!! Amitiés
  7. Salut !! Un niveau de LDR se fait toujours à froid ! Le volume LDR n'est pas le même à chaud qu'à froid. Et les risques de brulures et éclaboussures font qu’il ne faut pas l’ouvrir moteur chaud et même en faisant attention. si tu as le système LWS Il faut faire la purge sous pression pour forcer le LDR à purger le système d'accumulateur. @++
  8. re, j'ai éditer ton message, car les 7 derniers suffisent , ne jamais transmettre en entier sur un forum , ta voiture est de production 12/2006 Ton profil est à jour est j'édite ton titre. @++
  9. précise le numéro de série dans ton annonce , cela va surement intéresser quelqu'un qui restaure un véhicule d'origine et qui cherche un moteur avec le numéro de série qui correspond a l'année de sa voiture.
  10. Salut !! Côté assistance de freinage, tous se passe bien ? Tu ne parles pas de la dureté de la pédale , elle est dure ou pas lorsque la voiture freine mal ? @++
  11. re , sa c'est je sais qu'à partir de DDE 5 il peut etre taré . @++
  12. re, finalement avec le collègue ont en arrive à la même conclusion . reniflard !! si y a rien , une prise de compression parlera , @++
  13. welcomme.. et une GTI de plus.. beau programme pour la suite..
  14. ^^ soit joe opc a plus rien dans le boul, soit papy a mis des chevaux sous le capot sans nous imformé ! vosu avez test sur quel rapport ? a quel vitesse ?
  15. ben c'est bien pour une grosse barque comme ça j'espère qu'on te vera à villebon à la fin du mois
  16. Terrible la photo et terrible ta caisse, on dirait la première page d'un bon magasine aircooled
  17. Tiens c'est la premiere sierra réhaussée que je voie C'est pas un compteur de cox à l'intérieur ??
  18. Remyw1

    Petit problème d' essuie glace.

    une option de plus Bingo Phil regarde bien ton VIN elle y est peut-être dedans ... Sérieusement : c'est en changeant les bougies que tu as fait trop remonter le capot, qui a poussé le bras d'essuie glace dans le filtre à air qui a toussé, ça vidangé le bocal de lave glace ce qui a mis les essuie phares en route en dégonflant tes pneus à cause de tes jantes pas bien propres sous la pluie ça a provoqué des montées en régime plus claire s , et pour y voir mieux l'essuie vitre reste en position de qui vive en tre 10 -20 cm de son repaire normal : C'est une Mercedes prévoyante que tu as ... un look DTM y fallait y penser Phil !!!!!!!! Et après faut voir si il a pas des Leds l'andouille ..... ça viendrait de ça .... sans aucun doute et est ce qui a fait la vidange de boite ca vient peut etre de la Ah bah ouais ....... en espérant que ça ne vienne pas du convertisseur, il est pas dans la merde là faut qui esseye avec la position R y va se remettre en place son essuie glace Bah ouais ..... demain on lui expliquera comment on fait ouai ou y debranche la batterie quand il est a sa bonne place ça c'est une bonne idée ...... ça marche à tout les coups ...... y'aura juste un soucis avec le TDB, mais une fois la valise branchée y peux tout remettre en place
  19. c'est peut etre pas le meme diam de disque quand meme !!!! il est prévue en fonction ,,,, mais elle est pas mal celle là ,,, @++
  20. Remyw1

    RS5 - M3 - C63

    Contente-toi de regarder
  21. Remyw1

    Nouvelle Mercedes S63 AMG

    Le célèbre V8 AMG 6.3 atmosphérique vit ses derniers moments. Après avoir été remplacé sur le CL, voici qu'il cède également sa place sous le capot de la S63 AMG qui conserve pourtant son appellation "63". Il est remplacé par le nouveau moteur M157 qui équipe également le coupé CL AMG. Il s'agit donc du V8 5.5 double turbo. AMG s'engage ainsi dans une politique de "Downsizing" relatif. Ne croyez pourtant pas que la course à la puissance s'achève. Le nouveau moteur gagne pratiquement 20 ch puisqu'il développe désormais 544 ch, voire 571 avec le pack performance AMG. C'est surtout la valeur de couple qui impressionne : 800 Nm disponibles entre 2.000 et 4.500 tours minutes. Grâce à l'emploi de la technologie double turbo, Mercedes-Benz annonce une baisse de 25 % de la consommation en cycle mixte laquelle atteint désormais 10,5 litres aux 100 km. Plus important encore, les émissions de CO2 ont été abaissées de 29%, elles atteignent 244 g par km. La transmission est naturellement confiée à la boîte MCT-7 déjà bien connue. Le 0 à 100 km/h est abattu en 4,5 secondes et l'auto dépasse les 300 km/h avec le pack AMG performance. A noter que les chiffres de performances, de consommation et d'émissions sont rigoureusement identiques à ceux du coupé CL AMG.
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