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Léalors

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  • Pat

  1. les aiguilles rouges peintes en jaune........ ça aurait été parfait !!
  2. re, impossible elle est peut être désamorcée mais pas morte elle sont incassable ses pompes. @++
  3. C'est magnifique bravo !!! Dommage pour les portes c'est sûr, mais en attendant ça protège déjà bien de la poussière
  4. oui j'ai vu après qu'ils y allaient... je vais les MP pour savoir si on peut se retrouver !!!
  5. elle va arracher le slip !!!!!!!
  6. En changeant les headers, tu te dois de refaire faire la prog, surtout que si mes souvenirs sont correct tu as des silencieux non stock ainsi que l'alim d'air… En résumé: alim modifiée, ligne modifiée implique reprog impérative. sinon à la sortie tu perds des chevaux au lieu d'en gagné, et tu te retrouve avec 363 canaçons qui de plus ne veulent pas avancés en même temps.
  7. Juste une version plain body, pas de tuning en rose fluo
  8. La Mercedes codée W205 va devenir très rapidement la nouvelle Classe C pour le grand public. Cette auto vue à maintes reprises sous forme de prototype abrité sous une robe de protection se dévoile au grand jour un peu avance par rapport aux plans initiaux de Mercedes. Voici 4 images pour la découvrir. Les Belges de auto55.be ont dégainé en avance 4 photos du pack de photos officielles à venir concernant la nouvelle Mercedes Classe C dont la sortie est imminente (16 décembre). Le modèle de couleur grise est probablement une version pack AMG contrairement à la bleue, plus classique. On retrouve les thèmes esthétiques déjà explorés sur tous les autres nouveaux modèles tricorps de la gamme, de la Classe S à la CLA, soit des lignes plus douces qu'auparavant et ce, à tous les niveaux. Idem dans l'habitacle où l'on retrouve les fameux aérateurs qui essaiment là aussi dans toutes la gamme et une thématique là aussi à peine réinterprétée. Le site auto55.be nous dit que cette Classe C grandit de 10 cm (4,69 m) dont 8 pour le seul empattement (2,84 m), ce qui devrait profiter aux occupants. Le poids est par contre en baisse de 100 kg selon les modèles. Trois moteurs sont prévus au lancement : un 1,6 l turbo de 157 ch et 250 Nm pour la C180, un 2,0 l turbo de 186 ch et 300Nm pour la C200 et un 2,2 l turbodiesel de 170 ch et 400 Nm pour la C220 CDI. L'auto pourra recevoir pour la première fois la transmission intégrale 4Matic en option tout comme la suspension pneumatique.
  9. La puissance ne fait pas tout Avec son 4 cylindres turbo de 360 ch, Mercedes fait une entée fracassante chez les compactes teigneuses. La A45 AMG est l'une des créations de l'Etoile les plus délurées de ces dernières années. En face, sa rivale naturelle est la BMW M135i dotée de la transmission intégrale xDrive. Presque timide, avec son style plus discret et ses 40 ch de moins. Attention, le duel n'est pas joué d'avance. Mercedes l'avait promis, la Classe A aurait droit à sa version sportive AMG. Ne serait-ce que pour une question d'image, c'était nécessaire. La première vraie compacte de la marque étant désormais en concurrence directe avec les BMW Série 1 et Audi A3, il fallait proposer une rivale aux versions de pointe de ces dernières… Un peu moins de deux ans après l'arrivée de cette nouvelle Classe A, c'est chose faite : voilà qu'une A45 AMG sort des ateliers du préparateur officiel Mercedes. Pas de méprise : derrière ce chiffre, point de moteur de 4,5 litres de cylindrée, mais un double sens. 45, c'est un clin d'œil aux 45ème anniversaire de la maison AMG, fêté l'an dernier. Plus techniquement, c'est aussi une référence aux 450 Nm de couple délivré par son 4 cylindres de 2 litres. Travailler sur un bloc moteur si modeste était nouveau pour AMG, habitué aux V8 et V12. Le traitement est tout de même musclé : avec 360 ch, la petite allemande dispose du 4 cylindres de série au rendement le plus élevé de la production actuelle. En face, changement d'approche avec la M135i : la A45 AMG est à la frontière du monde de la préparation (AMG reste une officine en partie externe à Mercedes), tandis que la BMW occupe le rôle de sommet de la gamme Série 1 conventionnelle. BMW n'ayant pas encore prévu de vraie version Motorsport de la Série 1, il faut se contenter de cette "simple" déclinaison M Performance de la compacte. Pour mémoire, ce label intermédiaire prend place entre la gamme conventionnelle et les modèles M. Sans prétentions purement sportives, et davantage orienté vers un dynamisme BCBG. La Série 1 reprend ainsi le 6 en ligne 3 litres de 320 ch, déjà vu sur d'autres modèles (de la Série 1 à la Série 6). Moins spectaculaire sur le papier, mais éprouvé et reconnu pour son agrément. Ces divergences se traduisent aussi à l'œil. Le style déjà musclé de la Classe A gagne quelques attributs : bouclier avant ajouré, calandre spécifique, sorties d'échappement anguleuses… En comparaison, la BMW se fond discrètement dans le paysage. Si l'on oublie le badge M135i, la double sortie d'échappement et les étriers de freins bleus, il pourrait s'agir de n'importe quelle Série 1 en finition M Sport (jantes de 18 pouces, boucliers avant et arrière au style plus sportif). La Mercedes part donc avec un petit plus en terme d'exclusivité. Et aussi de tarif : la A45 démarre à 51.900 €, contre 50.200 € pour la M135i en version comparable (5 portes, transmission xDrive). Un écart a priori modeste, d'autant que la Mercedes affiche 40 ch de plus… Mais sur la BMW, la facture grimpe moins vite : équipée notamment du pack Connected Drive (avec GPS Professional) et du pack Safety (alerte de franchissement de ligne, prévention de collision), notre M135i est affichée à 56.810 €. À comparer aux 62.900 € de notre A45 AMG à dotation similaire. Enfin, pour qui se contente d'une carrosserie 3 portes et fait l'impasse sur la transmission intégrale, le prix d'appel descend à 45.100 €. Chose impossible sur la A45 AMG… Le bilan financier plaide donc légèrement en faveur de la BMW. A bord Dans la A45 AMG, le style intérieur est à l'image du reste de l'auto : aguicheur, avec ses aérateurs ronds devenus marque de fabrique, et quelques éléments propres à notre version dotée du pack Performance AMG (levier de boite auto frappé AMG, sièges baquet, volant cuir/alcantara…). L'ambiance est au sport du côté Mercedes… La présentation est plus classique à bord de la BMW. Planche de bord légèrement inclinée vers le conducteur, instrumentation épurée et parfaitement lisible, inserts façon alu… Seuls quelques rares détails distinguent la M135i d'une Série 1 classique : seuils de porte, volant et instrumentation siglés M Performance. Toutes deux sont aussi sérieusement construites, avec toutefois un léger avantage au compte de la Série 1. Sur la Classe A, les plastiques durs en partie basse de l'ensemble planche de bord-tunnel central détonnent compte tenu de son positionnement premium. Même constat pour la tôle apparente des montants de portes, détail peu élégant. L'habitacle de la BMW semble plus abouti. La Série 1 prend encore une longueur d'avance avec son interface iDrive, plus intuitive que le système Comand Mercedes. Par ailleurs, l'écran de la BMW est de meilleure qualité. Même si les aspects pratiques sont souvent secondaires sur ces GTI de luxe, notons que la Classe A se montre plus accueillante pour les passagers arrière (plus facile d'accès et plus spacieuse). La BMW prend le dessus côté coffre, plus volumineux (360 contre 341 litres) et plus accessible. En revanche, ses contours moins rectilignes rendent le volume utile moins facile à exploiter. Moteur Du côté BMW, la M135i reprend le principe du gros moteur greffé dans une carrosserie compacte. En face, l'Etoile avance un plus petit moteur, au rendement très élevé. 360 ch pour 2 litres de cylindrée, soit 180 ch/l, c'est un record pour un 4 cylindres. Le bloc AMG offre presque un tempérament on/off à l'ancienne, comme une voiture de rallye ! On se retrouve vite haut dans les tours, avec des montées en régime toniques, rythmées de détonations à chaque passage de rapport. Face à cette méchante fille, la BMW parait presque bourgeoise avec son 6 en ligne délivrant son couple très tôt. Dans les deux cas, on dispose de 450 Nm (dès 1.300 tr/min sur la BMW, contre 2.250 tr/min chez Mercedes). Toujours est-il que le 6 cylindres bavarois est autrement plus mélodieux que le 4 cylindres de la Classe A (dérivé de la A250), avec un agrément typiquement BMW à la clef : feutré en bas, puis progressivement rageur à mesure que l'on grimpe dans les tours. D'ailleurs, il prend aussi 800 tours de plus que le moteur AMG. Ce dernier compense son allonge moindre par un caractère brut, avec force crépitements et retours de gaz grâce à un gros travail sur l'échappement. Une fois n'est pas coutume chez Mercedes, la boite de la A45 est plutôt bien gérée et réactive. Sauf au rétrogradage, où l'on est souvent tenté de recourir aux palettes… La BMW prend le dessus sur ce point, avec sa boite 8 rapports qui anticipe mieux les changements en conduite sportive, et n'hésite pas à tomber deux, voire trois rapports au kick-down. Il s'agit pourtant d'une transmission à simple embrayage, tandis que la Speedshift DCT Mercedes adopte un double embrayage… Un comble ! Grâce à sa puissance supérieure, la A45 AMG prend les devants en accélérations pures : le 0 à 100 km/h tourne en faveur de la Mercedes (4,6 contre 4,9 s), tout comme le 0 à 200 km/h (18,5 contre 17,3 s). Mais les chronos s'équilibrent sur d'autres exercices : la BMW reprend la main sur le kilomètre départ-arrêté (23,7 s contre 24,1 s), et relance plus fort à haute vitesse (environ 5 s d'écart de 80 à 150 km/h). Une différence qui s'explique par deux éléments : l'étagement de la boite 8 rapports BMW (plus court en 4, 5 et 6 que la boite Mercedes), et l'allonge supérieure du 6 en ligne. L'écart de performances est donc plus réduit que la différence de puissance ne le laissait prévoir. Et nous allons le voir, tout ne se passe pas qu'en ligne droite. Comportement routier Fermeté ne rime pas forcément avec dynamisme. La A45, en plus d'être extrêmement raide, ne donne pas pour autant le grand frisson quand la route commence à tourner. Au lieu de cela, elle reste neutre et rassurante, avec des limites très élevées grâce à son "faux" 4 Matic. 100 % traction en situation normale, la A45 reçoit au maximum 50 % du couple au train arrière. Terriblement efficace mais finalement peu joueuse, elle incite à être poussée toujours plus fort, en espérant qu'un petit grain de folie vous saute au visage. Mais non. Rien de plus que les détonations du 4 cylindres, paraissant bien artificielles dans cette auto plus sage que prévu. La Mercedes souffre aussi d'une direction trop légère et manquant de rappel. Celle de la M135i est nettement plus consistante. La BMW parvient à concilier les deux : elle se paie le luxe d'être plus confortable, tout en étant plus dynamique grâce à sa transmission intégrale typée propulsion (40/60 en temps normal). Le xDrive peut même amener 100 % du couple au train arrière, selon les conditions de motricité, compensant ainsi tout effet de sous-virage. Plus agile, la Série 1 est aussi plus généreuse en sensations. Mais attention, le xDrive vous coupe la chique, même en mode Sport Plus, à l'amorce d'une glissade de l'arrière trop prononcée. Même si son dynamisme est supérieur au 4Matic Mercedes, le système sert avant tout la sécurité. Ne perdons pas de vue que la M135i est plus GT que sportive. Pour un tempérament sauvage, il faudra attendre l'héritière de la 1M. Au moins, on peut tout de même goûter (un tout petit peu) au survirage avec cette M135i. Dommage que la suspension, plus souple, ne parvienne pas à contenir quelques mouvements de caisse en enchainements de courbes et changements d'appui. La BMW se montre alors moins précise et moins facile à placer en conduite sportive. Voilà le seul réel reproche que nous adressons à la M135i. En plus de son freinage, hélas : sur ce point, la Classe A avance un sérieux atout. En usage un minimum dynamique, les freins de la A45 (disques 350 mm ventilés/percés, étriers 4 pistons) offrent un mordant et une endurance rassurants. Notre avis De cette A45 AMG, on retient surtout son sens du spectacle. Le jeu de la BMW paraît plus authentique en comparaison… Aux simagrées explosives et à la fermeté de la Classe A, la M135i oppose une plus grande polyvalence et un agrément mécanique supérieur. Ce qu'elle concède en efficacité et en sécurité, la BMW le rend en sensations, pour environ 1.700 € de moins (et encore, sans parler de la dotation un peu plus riche de la bavaroise). Entre une A45 AMG à la sportivité artificiellement brutale et une M135i, plus bourgeoise mais apte à donner le frisson si on la mène avec poigne, notre choix est fait. BMW M135i xDrive 320 ch Les plus -- Dynamisme du xDrive typé propulsion - Confort préservé - Allonge du 6 en ligne - Sonorité envoûtante - Boite 8 rapports intuitive et très douce Les Moins - Quelques mouvements de caisse - Freinage décevant - Habitabilité et accès à l'arrière Mercedes Classe A45 AMG 360 ch Les Plus - Efficacité du "faux" 4Matic - 4 cylindres explosif - Chronos détonants - Tempérament teigneux - Présentation aguicheuse Les Moins - Amortissement imparfait - Direction légère et artificielle - Tarif costaud avec options - Caractère trop facile ?
  10. Béquet reçu. dès que je reçois les decals, je ferais un beau shooting. Je voudrais le faire en extérieur, mais comme il annonce de la pluie pour les 10 jours qui viennent...
  11. Pour ceux qui chercheraient une 405 Otto... Un peu spéciale... http://www.leboncoin.fr/collection/561783550.htm?ca=12_s
  12. c'est normal ; c'est pas des Polakof !!!!!cest des rikofff !!
  13. c'est a dire y en a qui n'arrive pas a demarrer le rodage je crois.... et quand je vois tout ce que vous bricolez je pense que je me .....ouep mais bon c'est chiant une voiture où y a rien à bricoler !! tu peux juste te consacrer a d'autre loisirs....
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