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Tout ce qui a été posté par Uscars
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Americains, c'est vite dit. Pagenaud est français. Dalziel est écossais. Wilson, britannique. Power, australien. Briscoe et Courtney sont aussi australiens. Et Hinchcliffe est canadien. Et je ne crois pas qu'ils aient naturellement envie d'aller en F1. Mais Haas saura peut être les convaincre. Pourquoi quitter une série où on gagne pour être la 13ème écurie de F1? Et savoir que suivant les années c'est telle ou telle écurie qui va gagner le titre?
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Je vois qu'au final il y a deux questions. Haas est-il capable de faire de la F1. Je ne sais pas. Haas est capable de faire de la course auto et de gagner. La F1 est-elle encore de la course auto? Le chassis sera Dallara. Un très grand constructeur de chassis . Est-ce suffisant pour faire de la F1? Voir question précedente. Coté moteur? Il y a appel d'offres, avec un regard tourné vers Cosworth/Ford bien sur. Seconde question, les pîlotes. Je ne crois pas en Bourdais. Pagenaud est clairement un cran au dessus. Les meilleurs polyvalents? Pagenaud. Dalziel. Allmendinger. Kyle Busch, mais il restera en Nascar. Conway. Power. Hinchcliffe. Briscoe. Wilson ,mais il est un peu agé comme Courtney, ou un des frères Taylor, Rickie ou Jordan.
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Je viens de finir de regarder les 12h de Sebring. Beau panachage de Daytona prototypes et de P2. 1er, marino Franchitti. 2ème Ryan Dalziel. J'adore ce pilote écossais (et oui, encore un!) Puis la brochette de petits frenchies : Bourdais, Olivier Pla et Simon Pageneau. Cocorico. Dès demain je regarde la première course d'Indy.
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12H Sebring : la pole à S.Bourdais (Corvette Action Express), première ligne tricolore… 15 mars 2014 par Claude Foubert Après des essais libres nettement dominées par les Riley Ford EcoBoost, que ce soit celles du Chip Ganassi Racing ou celle du Michael Shank Racing, on était curieux de voir comment la concurrence allait réagir. En fait, on n’a pas été déçu, puisqu’elle a réagi, et bien réagi. Les Riley Ford ont été en retrait dans ces qualifications, puisqu’il faut descendre à la sixième place pour voir la première d’entre elles, la Riley Ford Ganassi n°02 de Scott Dixon… La première ligne va associer un Daytona Prototype et une LMP2, et nous pouvons même pousser un petit cocorico, puisque ce sont deux pilotes français qui ont réussi les meilleurs chronos, avec la pole position pour Sébastien Bourdais et la Corvette DP Actionn Express Racing n°5, sur la lancée de la victoire des 24 Heures de Daytona. Saluons également la très belle performance de Olivier Pla, sur la Morgan Nissan du OAK Racing, qui a réalisé le deuxième chrono. Prenons les choses dans l’ordre, et revenons sur ces qualifs catégorie par catégorie. GTD Très belle séance, marquée par une très belle diversité, plusieurs marques s’étant disputé la pole. L’Aston Martin Vantage TRG/AMR n°007 de James Davison avait tout d’abord pris l’avantage, mais Leh Keen (Porsche 911 GT America Alex Job n°22), Dane Cameron (BMW Z4 GTE Turner Motorsport n°94), Jeroen Bleekemolen (Viper GTS-R GT3 Riley Technologies n°33) et Alessandro Balzan (Ferrari 458 GTD Scuderia Corsa n°63) lui contestèrent rapidement sa position. Dans cette furieuse bataille, c’est finalement la BMW de Cameron qui est sortie victorieuse, mais il s’en est fallu d’un cheveu, Dane Cameron ayant tourné en 2’04’’258 et ne devançant la Porsche AJR de Leh Keen (2’04’’268) que d’un centième de seconde ! La Viper de Bleekemolen, troisième, n’est pas très loin, en 2’04’’311, la Vantage de Davison non plus, quatrième en 2’04’’320 et Balzan est lui aussi très près, cinquième en 2’04’’460. Cinq marques différentes aux cinq premières places de ces qualifs, voici qui promet… GTLM Porsche devancé de justesse en GTD s’est rattrapé en GTLM avec la pole pour la 911 RSR Porsche North America n°912 de Michael Christensen qui a justifié la confiance du constructeur allemand. Curieusement d’ailleurs, comme en GTD, ce sont encore BMW et Porsche qui sont devant, mais dans l’ordre inverse cette fois. Le premier à réaliser un chrono significatif était Wolf Henzler, à bord de la Porsche n°17 du Team Falken, mais était vite dépassé. Après un échange des meilleurs chronos entre Porsche, Corvette et Ferrari, les BMW Z4 GTLM rentraient en action et Dirk Mueller (BMW n°55) et Bill Auberlen (BMW n°56) prenaient les devants. Le rythme était élevé et, alors qu’on pensait que les Z4 allaient garder l’avantage, Christensen passait sous la barre des 1’59’’ en 1’58’’933 et personne n’allait pouvoir le déloger de sa pole position. Les BMW de Mueller et de Auberlen n’étaient quand même pas très loin, avec 1’59’’024 pour Mueller et 1’59’’094 pour Auberlen. Les Corvette C7.R sont elles aussi dans le match, quatrième et cinquième, avec 1’59’’222 pour Oliver Gavin (n°4) et 1’59’’224 pour Antonio Garcia (n°3). Richard Lietz (Porsche n°911) est sixième en 1’59’’248, à trois dixièmes de Christensen donc. Gianmaria Bruni (Ferrari 458 Risi Competizione n°62), septième, est un peu décroché en 1’59’’890, le dernier sous les deux minutes, puisque la Viper GTS-R n°93 de Kumo Wittmer est huitième en 2’00’’111. Il semble que la balance de performance ne soit pas très favorable aux Viper. LMPC La séance a donné lieu, dans cette catégorie également, à une très belle explication entre Colin Braun (FLM09 CORE autosport n°54), Raphael Matos (FLM09 Performance Tech Motorsports n°38), Tom Kimber-Smith (FLM09 8 Star Motorsport n°25) et Bruno Junqueira (FLM09 RSR Racing n°09), rien que des pointures donc. La pole a changé de mains à plusieurs reprises mais le brésilien Junqueira a rapidement atomisé la concurrence, s’immisçant même pendant un temps au milieu des DP et des LMP2. Junqueira allait être le seul à passer sous les 1’55’’ en 1’54’’839, laissant son second à sept dixièmes de seconde et se classant au onzième rang général. Ce second était finalement Kimber-Smith, qui précédait Raphael Matos, Colin Braun et Renger van der Zande (FLM09 Starworks n°8), ce dernier légèrement distancé. Prototypes « P » Très belle séance également. Jon Fogarty était chargé des qualifications sur la deuxième Corvette Action Express, la n°9 et c’est lui qui se hissait dans le haut des moniteurs en 1’53’’590, suivi par la RileyFord Michael Shank n°60 de Ozz Negri et la Corvette Spirit of Daytona n°90 de Richard Westbrook. Ryan Dalziel (HPD ARX-03b Extreme Speed Motorsports n°1). Ricky Taylor (Corvette Wayne Taylor Racing n°10) passait à l’offensive et passait en deuxième position, suivi par l’Oreca Nissan Muscle Milk n°6 de Klaus Graf. C’est à ce moment que Sébastien Bourdais (Corvette Action Express n°5) sonnait la charge. Il prenait tout d’abord le meilleur temps en 1’52’’581 puis tombait régulièrement ses chronos en enchaînant les tours rapides. Il descendait rapidement en 1’52’’1055 et fixait définitivement la pole position dans son cinquième tour en 1’51’’917. Olivier Pla était également à l’attaque dans cette fin de séance et la Morgan Nissan du OAK Racing allait se hisser en première ligne, pas très éloignée du chrono de Bourdais en 1’52’’086. Les deux français ont fait le trou puisque Ricky Taylor est troisième en 1’52’’544, à plus de cinq dixièmes de la Corvette n°5, Ryan Dalziel est quatrième avec la HPD ESM n°1 en 1’52’’662, Klaus Graf et l’Oreca Nissan Muscle Milk n°6 cinquième en 1’52’’667 et Scott Dixon (Riley Ford Ganassi n°02) sixième en 1’53’’098, à plus d’une seconde de Bourdais. Johannes van Overbeek estseptème avec la HPD ESM n°2 et Scott Pruett huitième avec la Riley Ford Ganassi n°01. Les quatre premières lignes associent donc chacune un Daytona Prototype et une LMP2, ce qui laisse à entendre que la BoP est assez réussie… La DeltaWing de Andy Meyrick s’est qualifiée en treizième position, juste derrière la Riley Honda Starworks de Pierre Kaffer.
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Kimi? Je ne saurais le classer par rapport à Alonso et au gamin. Il est dans les 3 premiers. Le gamin c'est un métronome Alonso c'est un hargneux qui ne supporte pas de ne pas gagner Kimi c'est un artiste, avec du bon et du fantasque. Après? Disons Button, mais il a le flegme anglais et manque de combativité. Hamilton? Il a battu Massa, à vous d'évaluer l'exploit. Ou le non-exploit. Rosberg? A voir, je ne sais pas trop. Quand à Grosjean? Il peut gagner si les autres ne finissent pas.
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Creedence? Proud mary ou Looking out my back door. Oh que oui je connais, et j'achète toujours les derniers album de John Fogerty leur ex leader qui joue maintenant en solo. Mon univers musical c'était avant tout Deep Purple, mais aussi led Zeppelin, les Who, Creedence et Colosseum. Triangle et Dynastie crisis en France.
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Pour Audi, Porsche et Toyota, le futur entre en piste dès maintenant… 9 mars 2014 par Laurent Mercier Nouveau venu cette année en LM P1, Porsche doit faire face au même dilemme que ses deux adversaires directs, Audi et Toyota : Aller le plus vite possible en consommant le moins possible. Sauf que là on ne parle pas de passer au point mort dans les descentes pour réduire la consommation. On parle bien d’une technologie avancée, poussée et inédite. Chez Toyota, la TS040 HYBRID est une LM P1 équipée d’un V8 essence où l’on a ajouté un moteur/générateur sur l’essieu avant, combiné à une unité à l’arrière, soit un système hybride qui fournit désormais de la puissance aux quatre roues. La nouvelle arme développée par TMG est certes plus conventionnelle que ses concurrentes. Le camp Audi fait à nouveau confiance au V6 TDI sur sa R18 e-tron quattro, celui-ci étant accouplé à un volant d’inertie branché sur l’essieu avant. Le deuxième système hybride permettra de récupérer l’énergie au niveau des turbos à l’accélération. Si la réglementation LM P1 2014 est de taille pour Audi et Toyota, c’est encore plus compliqué chez Porsche qui ne peut pas bénéficier de l’expérience d’une ancienne auto dans la catégorie. Porsche a opté pour un moteur thermique 4 cylindres de 2 litres suralimenté à injection directe où la géométrie des chambres de combustion s’inspire de la 918 Spyder. Le moteur thermique est épaulé par deux systèmes de récupération d’énergie. Un moteur/générateur électrique, monté sur l’essieu avant, récupère l’énergie au freinage tout en délivrant sa puissance en accélération. L’énergie produite par les différents systèmes est stockée dans une batterie lithium-ion refroidie par liquide. Efficience maximale, tel est le leitmotiv des bureaux d’études où il s’agit de trouver le meilleur compromis entre caractéristiques aérodynamiques et prise au vent. Porsche pense avoir trouvé la meilleure solution, Audi et Toyota aussi. Le résultat se fera sur la piste, mais qui aura l’avantage ? On a bien des informations qui nous sont revenues des premiers essais des trois constructeurs mais rien d’officiel. Il n’est pas encore question pour le moment de tourner 24 heures sans problème car les différentes parties ont besoin d’appréhender cette nouvelle réglementation. Chacun a de sérieux atouts dans son jeu mais le temps est compté. La Formule 1 a du mal avec sa nouvelle réglementation, le SUPER GT prend ses marques avec ses nouvelles GT500, et la catégorie reine de l’Endurance fait face à un sacré challenge technologique. Les sous-traitants travaillent à pleine charge, ce qui n’est pas sans poser problème car les mêmes travaillent à la fois pour la F1 et pour l’Endurance. Chez Porsche, on ne vient pas en FIA WEC et au Mans pour une seule saison et pour les débuts de la 919 Hybrid, les objectifs sont bien de terminer les courses et d’accumuler de l’expérience en vue du futur. Le constructeur a toujours confié que la charge de travail était ardue et que les objectifs devaient être réalistes pour cette première année. Les essais réalisés cette semaine à Sebring avec une auto bien différente de celle que l’on a pu voir au début n’ont pas servi de confrontation directe avec Audi, également présent en Floride. Pour cela, il faudra attendre Silverstone. On ne sait pas grand-chose du look de la Toyota TS040 HYBRID puisque l’auto ne sera présentée que le 27 mars. Et si la meilleure option était de faire rouler une auto plus conventionnelle comme va le faire Toyota sachant que la technologie hybride n’a plus de secret pour le constructeur japonais… Ce qui est acquis, c’est que les trois constructeurs partent dans l’inconnu sur une course de 24 heures avec une telle technologie même si des essais de longue durée sont prévus avant Le Mans. Audi compte boucler un test de 30 heures et les deux autres ne seront pas en reste. Au Mans, Audi aura l’avantage du nombre à trois contre deux. Il y aura deux courses préparatoires mais pour la troisième manche, il faudra tourner quatre fois plus longtemps pour espérer inscrire son nom sur les tablettes. Il se pose aussi la question de savoir où seront la ou les Rebellion R-One, seules LM P1-L confirmées parmi les usines. La nouvelle réglementation doit permettre de rapprocher les privés des constructeurs. Le team suisse va une nouvelle fois être bien esseulé dans une classe “Light” bien pauvre, qui plus est avec une toute nouvelle auto. Et si le Rebellion Racing alignait finalement une R-One et une grand-mère Lola-Toyota, dont la fiabilité est bien connue. Peut-être y a t-il un bon coup à jouer avec une auto qui n’a plus de secret pour l’équipe même si pour cela il faut savoir ce que le législateur autoriserait à cette bonne vieille B12/60. On aura logiquement neuf LM P1 au Mans. Attention car en cas de problèmes a répétition dans les équipes de pointe, une escouade de LM P2 toutes aussi affûtées les unes que les autres seront prêtes à sortir les griffes. A ce jour, le meilleur résultat d’une LM P2 au Mans reste une 5ème place en 2010 (Strakka Racing), année où 18 LM P1 étaient en piste. L’an passé, la Morgan LM P2 victorieuse a terminé 7ème en concédant 19 tours à l’Audi des lauréats. En politique, on connaissait : “le changement c’est maintenant”. Le slogan des 24 Heures du Mans 2014 est lui bien à la hauteur de l’évènement : “le futur entre en piste”.
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Pas de problème, tout est permis. On fini les miles à Indianapolis, helicoptère, et on passe dans la Nascar C'est un autre pilote qui fait les essais, donc on part juste du fond de grille ce qui pour une telle longueur n'a absolument aucune importance Et au final miles derrirère le volant (mile terrestre = 1.609 kms, mile marin = 1.852 kms, à peu de chose près). Pour info le dernier à l'avoir fait n'est pas Tony Stewart, mais Robby Gordon.
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Deux nouvelles officielles concernant les 500 miles d'Indianapolis : - engagement de Jacques Villeneuve qui a déjà gagné cette épreuve en 1995. Il sera dans la même écurie que Simon Pagenaud. - engagement de Kyle Busch! Qui fera le même jour les 600 miles du Coca 600 en Nascar. Ils sont très peu de pilotes a avoir fait les 2 courses le même jour. Le dernier en date devant être Tony Stewart. Sans oublier le retour de Montoya dans la discipline. A ne louper sous aucun pretexte!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Cosworth avait bien avancé sur son moteur V6 turbo F1. Mais faute d'écurie pour l'acheter ils l'on gardé dans les tiroirs. Et comme finalement l'architecture est proche de la règlementation Indy, ils pensent y revenir. Soit sous leur propre marque, soit rebadgés. On parle de Audi, mais ils sont tellement engagés en Endurance que je n'y crois pas. Par contre ça pourrait simplement être le retour du Ford Cosworth.