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Uscars

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Tout ce qui a été posté par Uscars

  1. Sur les plages normandes, une Willis fait plus d'effet qu'une Mustang finalement. Bon, ok c'est pas le même usage. Ni le même confort.
  2. Ce serait presque mieux qu'une Mustang. J'ai regardé sur le site Ford, la Mustang sera vendue en France 35K€ en version 4 cylindres Ecoboost et 40K€ en version V8. A comparer aux 24K$ aux States pour un V6 3,7l, c'est une belle marge. Donc il me faut abandonner tout espoir d'en posseder une. Je garde ma chignole, de toute façon les routes normandes son sinueuses et toutes vitesse excessive est dangereuse. Et puis comme on dit : vivons heureux, vivons cachés. Et une Mustang ça se voit.
  3. Uscars

    Nascar

    AB Moteurs continuera de diffuser la Sprint Cup AB Moteurs diffusera bien les NASCAR Sprint Cup Series en cette année 2015. Pour la douzième année consécutive les courses seront diffusée en majorité en direct. © Sean Gardner/Getty Images Comme c'est le cas depuis 2004 AB Moteurs assurera en 2015 et pour les trois années à venir (2015, 2016 et 2017) une diffusion en direct de la grande majorité des épreuves de NASCAR Sprint Cup, à commencer par les DAYTONA 500 le 22 février prochain avec aux commentaires Pat Angéli et Philippe Chéreau. Les courses diurnes seront diffusées en direct sur AB Moteurs, alors que les courses nocturnes du samedi soir seront diffusées en différé le dimanche à partir de 19 h 00, mais dans les conditions du direct, puisque les commentateurs ne connaîtront pas le résultat de la course. Pour ce qui est des Speedweeks, le Sprint Unlimited devrait être diffusé sous forme de résumé de 52 minutes le mardi 17 février à 21 h 30, mais l'information n'a pas encore été commentée par la chaîne. Pour ce qui est des Budweiser Duels, elles ne devraient pas être retransmises. La chaîne du groupe AB diffusera-t-elles d'autres séries NASCAR ? Il n'y a rien de certain pour le moment, mais il n'est pas exclu que le championnat européen, les NASCAR Whelen Euro Series, soit de nouveau diffusé, mais les modalités restent encore à définir.
  4. Une Ford GT mi-LMP mi-GT 6 février 2015 par Laurent Mercier Ce design de Ford n’a rien officiel même s’il fait suite à un arrière plan vu il y a peu dans une vidéo. On a appris plus ou moins officiellement hier lors de la conférence de presse donnée à Paris que Ford pourrait bien revenir au Mans l’année prochaine. rc82 workchop a imaginé un design de Ford plutôt convaincant à mi-chemin entre une LMP et une GT.Ne vous fiez pas aux stickers P2 et HY qui font partie du décor. Cette Ford “GT” est tout de même séduisante. Le programme sportif de la nouvelle Ford GT devrait être annoncé plus tard dans l’année, peut-être en marge des 24 Heures du Mans. rc82 workchop a même imaginé une livrée Gulf qui rappelle le temps des Ford GT40. 2016 marquera le 50ème anniversaire de la première des quatre victoires de la GT40 au Mans aux mains de Chris Amon et Bruce McLaren.
  5. L'affiche officielle du Mans 2015 vient d'être publiée :
  6. C'est vrai qu'avec un "vrai" pilote ça pourrait aller mieux.
  7. C'est un peu la F1 actuelle qui se joue sur un coup de dés. La voiture est bien née, ou a un "truc" spécial et elle est au top alors que les autres restent derrière. Ce fut parfaitement illustré par Brawn GP qui est passée de moribonde après le départ de Honda à CDM. Peut être la Sauber 2015 a-t-elle trouvé la panacée 2015?
  8. Moi au contraire ça me plait bien. Ce sera Jupiter (3D) et La Nuit au Musée 3.
  9. Qui voulait connaitre la puissance du monstre? 1250 cv! Le début d’une nouvelle ère pour Nissan avec la GT-R LM NISMO 2 février 2015 par Laurent Mercier Attendue depuis longtemps, cette Nissan GT-R LM NISMO est maintenant bien réelle. Présentée en grandes pompes hier lors du Super Bowl après que Nissan ait signé un gros chèque, la LM P1 du constructeur japonais va maintenant se confronter à la concurrence en Championnat du Monde d’Endurance de la FIA. Fidèle à sa communication bien fournie, Nissan n’a donné aucun objectif sportif pour cette première année de compétition. Avec la GT-R LM NISMO, on ne parle pas d’une GT3 mais bien d’une LM P1 bardée d’innovations technologiques. Depuis la DeltaWing, Nissan va à contre-courant de la concurrence avec un nouveau projet qui ne déroge pas à la règle : moteur à l’avant, petites roues à l’arrière, boîte à 5 vitesses, look différent, échappements spéciaux, répartition des masses différentes de la concurrence, etc… Tout pour se faire remarquer en juin prochain aux 24 Heures du Mans. Cependant, le plus dur reste à faire car mener la vie dure à Audi, Porsche et Toyota ne va pas être une partie de plaisir quand on connaît le budget des autres constructeurs qui en plus ont l’expérience de l’hybride. Nissan annonce une puissance de 1250 chevaux (550 par le moteur et 700 par le ERS). Michelin travaille en collaboration avec le constructeur japonais pour la partie pneumatique. Que l’on aime ou que l’on n’aime pas cette GT-R LM NISMO, elle a le mérite de ne pas laisser indifférent. Le nouveau règlement LM P1 était fait pour l’innovation et Nissan créé l’innovation. La piste rendra son verdict et il ne faut peut-être pas attendre trop de l’auto pour cette première année. Certes, la présence de Marc Gené est un atout non négligeable, lui qui connaît déjà la technologie hybride de part son passé de pilote Audi. On connaîtra deux autres pilotes jeudi (sous réserve que Nissan aligne bien trois autos au Mans), dont à coup sûr Jann Mardenborough, pur produit GT Academy. Au fil du temps, Nissan s’est tissé un réseau en sport automobile avec une vraie plate-forme : GT4, GT3, motoriste LM P2 et maintenant LM P1. Présent depuis le début des projets, Darren Cox ne peut qu’être fier du travail accompli depuis ces années, avec la mise en place de la GT Academy à travers le monde, ou comment passer de gamer à pilote, même si le plus dur n’est certainement pas encore accompli avec ce nouveau défi. Troisième des 24 Heures du Mans 1998 avec la R390 GT1 partagée par Masahiko Kageyama, Aguri Suzuki et Kazuyoshi Hoshino, Nissan a depuis remporté le World GT1 avec sa GT-R. S’imposer en FIA WEC et au Mans fait partie des ambitions. En 1998, 150 personnes étaient dépêchées au Mans pour superviser l’engagement des quatre R390 GT1. Sur l’effectif présent en 1998, Satoshi Motoyama et Michael Krumm pourraient bien être de la partie en juin prochain. Certains diront que la GT-R LM NISMO est une Panoz revisitée, d’autres diront que ça ne marchera jamais. Jusqu’à présent, personne ne peut dire où va se situer l’auto face aux autres LM P1. Ce que l’on sait en revanche, c’est que Nissan a parfaitement géré sa communication comme c’est le cas depuis le début malgré une prestation bien terne de la ZEOD RC avec quelques tours couverts au Mans pour finalement s’en aller par la petite porte avec une communication un brin surfaite. Maintenant, Nissan joue dans la cour des grands. Être le bad boy du paddock, ça a du bon et le camp Nissan va tout faire pour montrer que ses solutions technologiques sont les bonnes. Le temps est maintenant compté à 68 jours du coup d’envoi du championnat. Après le #welcomechallenges de Audi, il va falloir s’habituer au #HeroComeHome de Nissan… [size=14][/size]
  10. L'électronique n'est pas limitée en endurance, alors il doit y avoir tout ce qu'il faut pour faire passer la puissance sous la pluie.
  11. Vu leurs ambitions elle doit être au niveau. N'oubions pas qu'ils font déjà de la competition automobile au plus haut niveau, Super GT et V8 Supercars en particulier, et qu'ils sont déjà motoristes en endurance. Seule l'hybride est nouveau pour eux.
  12. Non, pas encore précisé. Chez Toyota et Porsche on tire vers 650 cv + la motorisation électrique ce qui donne au total 1000 cv chez Toyota et 750/800 chez Porsche.
  13. Quelques détails sur la Nissan GT-R LM NISMO… 2 février 2015 par Laurent Mercier Dès le début du programme Nissan GT-R LM NISMO, le constructeur a indiqué vouloir sortir des sentiers battus avec une LM P1 réglementaire mais non conventionnelle. Déjà à l’œuvre sur la DeltaWing, Ben Bowlby s’explique : « Nous avons un moteur essence V6 double turbo 3 litres très moderne mais classique. Il s’agit d’un système très efficace de sorte qu’il produise une grande quantité de puissance pour utiliser au maximum la quantité d’essence allouée. La limite du débit de carburant est l’une des nouveautés du règlement pour Le Mans. Nous ne sommes pas limités par la capacité du moteur, la pression de suralimentation ou le régime moteur, mais uniquement par le débit de carburant. Pour être plus efficace, il faut plus de puissance. Nous brûlons une petite quantité de carburant, environ 30% de moins de ce qui était utilisé au Mans en 2013. Nous avons donc un moteur essence capable de produite d’une manière efficace une certaine quantité d’énergie, et en plus de cela, nous utilisons un système de récupération d’énergie cinétique (ERS). Nous voulons libérer l’énergie très rapidement pour ramener la voiture à une bonne vitesse le plus vite possible. La clé est de stocker l’énergie, puis de relâcher le plus rapidement possible, ce qui rend notre système très compétitif. » Le moteur à combustion interne entraîne les roues avant de la Nissan GT-R LM NISMO et la récupération d’énergie aux roues avant. Nissan utilise le moteur à combustion interne pour entraîner les roues avant, en ajoutant la puissance de l’ERS pour augmenter l’accélération. « Le règlement dispose de quatre options de motorisations hybrides, définis par la quantité d’énergie » poursuit Bowlby. « Vous pouvez aller dans la classe 2MJ, 4MJ, 6MJ ou 8MJ. Notre objectif est d’être au poids de 880 kg. » Du côté des pneumatiques, les pneus avant font 14 pouces de large contre 9 à l’arrière.
  14. Nissan présente sa GT-R LM NISMO ! 2 février 2015 par Laurent Mercier Nissan a donc profité de la pause du Super Bowl pour donner un aperçu de sa GT-R LM NISMO qui viendra se frotter aux ténors de la catégorie LM P1 en Championnat du Monde d’Endurance de la FIA et aux 24 Heures du Mans. C’est devant plus de 110 millions que les téléspectateurs ont pu voir le spot « With Dad ». Pour cette Nissan BGT-R LM NISMO, le constructeur japonais a interprété les règlements techniques d’une manière innovante en proposant une traction à moteur avant alimentée par un moteur V6 3 litres à double turbo et un système de récupération d’énergie cinétique. « C’est une grande fierté pour nous que de révéler la Nissan GT-R LM NISMO durant le Super Bowl » a indiqué Roel de Vries, responsable mondial de la marque, en charge du marketing. « La combinaison du Super Bowl et des 24 Heures du Mans, qui sont deux des évènements les plus regardés au monde, nous donne une occasion unique de présenter notre programme de sport automobile le plus ambitieux de ces dernières années. La GT-R est notre modèle phare. Ce modèle est l’ultime version d’une lignée sportive qui remonte à trois décennies avec NISMO, le bras armé de Nissan en sport automobile et sur le plan de la performance. Le Mans stimule l’innovation, ce qui nous mènera à une plus grande innovation dans notre gamme de modèles routiers. Nous sommes les petits nouveaux au Mans et nos adversaires sont les meilleurs au monde, mais nous sommes prêts. » Shoichi Miyatani, président de NISMO, est tout aussi impatient de ce nouveau challenge : « L’innovation est excitante. Durer dans le temps est ce que nous voulons et les règlements techniques pour Le Mans nous donnent la liberté d’explorer de nouvelles idées dans ce domaine. Ce sera la troisième fois que nous retournons au Mans et il y a un goût d’inachevé. Nous voulons gagner et nous avons les connaissances nécessaires pour le faire, pour nos clients, nos employés et nos fans. La compétition est exceptionnellement forte et nous sommes excités par ce défi. » « Notre programme LM P1 fait le lien entre NISMO sur la route et sur la piste »a précisé Darren Cox, responsable mondial de la marque NISMO, en charge du marketing et des ventes. « Nous prenons le sport automobile pour raconter des histoires avec une innovation technologique, mais aussi des histoires humaines via tous les canaux de communication passionnants qui sont ouverts à nous maintenant. Nous allons innover hors des sentiers et vous pouvez être assurés que ce n’est que le début de l’histoire. » Le programme d’essais a débuté l’an dernier en Arizona va maintenant se poursuivre aux Etats-Unis. Nissan profite de cette présentation pour annoncer trois partenaires avec TAG Heuer, Motul et Michelin.
  15. Ca y est, présentation officielle avec photos de bonne qualité : Toutes les photos de la Nissan GT-R LM NISMO sont ici
  16. Je suis partant pour la Leffe.
  17. bla bla bla, bla bla bla. C'est ce qu'on appelle parler pour ne rien dire, ou activer la langue de bois.
  18. Un bleu oublié depuis Prost GP et Ligier.
  19. En 2014 il y avait les P1H (hybrides) et P1L (light). Mais cette distinction sera supprimée en 2015. Dans les fait bien entendu on continuera de façon non officielle à faire un double classement sachant que de toutes façons il n'y a que 2 écuries (3 voitures) en P1L. Les Rebellion et la Lotus.
  20. Simon Pagenaud : “Mon rôle est compliqué et simple à la fois” 23 janvier 2015 par Laurent Mercier Twitter 0 [size]Facebook [/size]6 [size][size=28]6FLARES[/size] [/size]Voir Simon Pagenaud au départ des 24 Heures de Daytona n’est pas une surprise en soi, mais le voir au volant d’une GT est plus surprenant. Confirmé chez Corvette Racing pour les 24 Heures de Daytona et les 12 Heures de Sebring, le pensionnaire du Penske Racing en IndyCar Series relève un nouveau défi ce week-end d’autant plus que la Corvette C7.R qu’il partage avec Oliver Gavin et Tommy Milner partira de la pole demain. La Corvette C7.R est conforme à tes attentes ? « Je n’avais encore jamais piloté de GT avant la Corvette. Ma seule expérience reste une V8 Supercar quelques années plus tôt mais la C7.R est très différente. C’est une auto plus « normale ». Mon adaptation a été bonne même si le style de pilotage n’a pas grand-chose à voir avec ce que je connais. Les pneumatiques Michelin fonctionnent parfaitement, ce qui nous met en confiance. « Les bons chronos sont venus assez rapidement avec des temps proches de ceux de mes coéquipiers. La Corvette est très efficace avec un mouvement différent au niveau du freinage. L’auto a du grip mais avec moins d’aéro que la monoplace. Je dois encore être précautionneux dans les zones de freinage. Ce n’est pas évident de juger où il faut ralentir. Il faut trouver la bonne vitesse dans les virages. Par chance, j’ai beaucoup roulé durant le Roar Before the 24. » Comment en es-tu arrivé à rouler en GT ? « Les discussions avec Corvette Racing ont débuté fin 2014 et Penske Racing a vite donné son accord. De par mon contrat avec Penske, c’était plus facile pour moi de rouler sur la Corvette. » La Corvette possède une caméra qui semble ravir les pilotes. C’est aussi ton cas ? « Cette caméra est tout simplement bluffante. Je sais quel type d’auto arrive avec des flèches de couleurs différentes. Cela permet de délaisser les rétroviseurs traditionnels tellement le système est efficace. Je n’ai pas l’habitude de me faire autant dépasser de part mon expérience en LMP. » Quelles sont tes attentes pour la course ? « J’ai un peu la pression car la #4 part en pole (rire). Je ne suis pas habitué à ce genre d’autos mais je serai prêt pour la course. En GT, la position de départ est très importante car ce n’est pas facile de passer. Le niveau en GT est incroyable car tout le monde est en 0.1s. J’ai une bonne chance de bien faire et je ne compte pas laisser passer l’occasion. Je viens pour deux courses, ce qui fait que mon rôle est simple et compliqué à la fois. Je vais tout faire pour aider mes coéquipiers, car outre la victoire à Daytona, il y a un titre à aller chercher pour Oliver et Tommy. » Le Mans ne sera pas au programme… « C’est sûr que c’est dommage de ne pas prendre part aux 24 Heures du Mans, mais un meeting IndyCar tombe le même week-end. Ma saison 2015 va déjà être bien chargée et je vais pouvoir me concentrer sur un seul objectif. »
  21. Sébastien Bourdais : “J’ai la passion de l’Endurance” 23 janvier 2015 par Laurent Mercier Twitter 0 [size]Facebook [/size]30 [size][size=28]30FLARES[/size] [/size]Fidèle à Action Express Racing, Sébastien Bourdais compte bien faire la passe de deux aux 24 Heures de Daytona. Pour cette 53[size=11]ème édition du Rolex 24, le Manceau fait confiance au même package avec une Corvette DP à nouveau partagée avec Joao Barbosa et Christian Fittipaldi. La séance qualificative s’est soldée par une place sur la deuxième ligne à seulement 374 millièmes de la pole.[/size] Si l’an passé Action Express Racing n’a jamais quitté les positions de tête, le trio de la #5 ne s’attend pas à une course facile ce week-end avec une forte concurrence en DP et des P2 qui semblent revigorées. « C’est assez difficile pour nous » nous confie Sébastien Bourdais avant les qualifications.« La température extérieure pourrait bien jouer un rôle important. Nous avons moins d’appui et donc plus de traînée. » Cet hiver, les Corvette DP ont quelque peu évolué même si les changements restent mineurs : « Les modifications sont de l’ordre du design. La Balance de Performance a elle aussi été revue et l’auto est un peu moins bien équilibrée. Des ajustements ont déjà eu lieu en cours d’année la saison dernière. Depuis le Roar Before the 24, nous sommes à la limite. Il est clair que sur le plan du chrono, nous ne sommes pas favoris. Cependant, ce n’est pas toujours le plus rapide qui gagne à Daytona. On assiste quasiment systématiquement à une course d’attente avec un vrai sprint final durant les deux dernières heures. C’est sur le final qu’il faudra être rapide mais il faudra déjà arriver à se mettre dans cette position. Il y a beaucoup de bonnes autos cette année. » Pour le vainqueur en titre, les 24 Heures de Daytona restent une course à part : « Je ne peux pas nier que cette course me tient à cœur. Je suis un peu la pièce rapportée dans le puzzle vu que je ne dispute pas l’intégralité du championnat. Même si je ne prends part qu’à trois courses par an, on se connaît parfaitement et il n’y a aucune guerre d’ego entre nous. Nous avons la même façon de travailler et les mêmes attentes. » Compte tenu de ses obligations en IndyCar, Seb Bourdais ne pourra être au départ des 24 Heures du Mans en juin prochain : « Pour moi, il y avait deux solutions : arrêter l’IndyCar pour rejoindre un constructeur en Endurance ou poursuivre en monoplace aux Etats-Unis. J’ai un contrat de deux ans pour l’IndyCar avec une saison bien chargée. A la fin de mon contrat, la question va se poser. Je tiens à rouler à nouveau au Mans mais pour gagner. J’ai terminé à trois reprises à la deuxième place et pour gagner, il faut être dans une équipe officielle. » Malgré son absence des pelotons d’Endurance, l’ancien pilote Pescarolo Sport reste au contact de la discipline : « Je suis de près tout ce qui se passe. Le Mans est une course particulière pour moi. J’ai la passion de l’Endurance. Je n’ai que 35 ans et j’espère bien encore séduire un constructeur (rire). C’était une chance pour moi de rouler avec Peugeot. La nouvelle réglementation permet un meilleur équilibre. Avec une BOP, cela devient plus compliqué car cela frustre forcément quelqu’un. Cela fait longtemps que l’on parlait d’avoir la même quantité d’énergie. Il faut laisser libre cours au développement. Il n’y a qu’en Endurance que l’on retrouve une avancée technologique aussi poussée. « Claude Galopin et Henri Pescarolo ont toujours prôné un rapprochement entre les constructeurs et les équipes privées. Avec l’arrivée de l’hybride, seuls les constructeurs peuvent jouer la victoire mais les privés ne doivent pas être trop loin. La partie récupération d’énergie demande beaucoup de moyens. »
  22. 24H Daytona : Les essais libres en photos… 22 janvier 2015 par Laurent Mercier Les photos des Essais Libres 1 by Laurent Chauveau sont ici et 2 là
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