Blutch1

Ah oui, j'oubliais, belle photo Clou !

Chouette résumé Clou, tu fais ça très bien ! (l'ai pas vu --> ma moto !)

Malaisie, c'est Dovizioso ! Le pilote italien devient le 9e vainqueur différent cette saison, après avoir livré une bagarre enthousiasmante avec Rossi et Iannone. Crutchlow et Marquez à terre, l'espganol repart, pas l'anglais. La victoire semble à portée de Rossi, lorsqu'il négocie très large le premier virage, à cinq tours de la fin. C'est l'opportunité qu'attendait Dovizioso pour prendre l'ascendant ! Rossi ne pourra pas répliquer, et perd même quatre secondes en l'espace de deux boucles. La Ducati frappée du numéro 4 franchit donc la ligne d'arrivée en vainqueur, une première depuis Donington il y a six ans ! Les positions au classement général sont définitivement figées : Rossi finit l'année 2e, Lorenzo 3e et Marquez Champion du Monde. Le français Zarco devient Champion du Monde en Moto2. Et en Superbike, c'est l'anglais Rea à bord d'une Kawasaki qui devient lui aussi Champion du Monde. Belle moto (ben oui, c'est une Kawa !) :

C'est surtout très plat !

Mais non fieu, c'est parce-que le nain à dit "95, tapette ! Ma ballade d'aujourd'hui. 2 choses : - Mettre les pneus à t° - Les tournants dans l'ombre, protégés du vent, et ou les feuilles des caduques jonchent la route, mais, hé, pas à moi hein ! (ha !)

Dans ce cas particulier, l'article parlait des freins en général, avec un qui a prit feu à la fin de son tour de décélération et en rentrant dans les stands.

Et oui, un accident vraiment à pas de chance, sans les suiveurs, il s'en tirait en une glissade. Rossi s'en est voulu longtemps, d'autant qu'ils étaient amis.

L'important c'est qu'il y ai encore de la bagarre, et il y en aura... Pôle à Sepang ? C'est Dovizioso devant Rossi et Lorenzo, Crtuchlow tombe, mais termine quend même 5ème sur la grille. En attendant, Valentino Rossi et Marc Marquez ont rendu un hommage à Simoncelli, juste dans le tournant où il a trouvé la mort en 2011 : Le photographe italien Roberto Rimorini était posté à l'intérieur du virage 11, dans la voie de service. C'est là que Marco Simoncelli avait été victime d'un accident fatal le 23 octobre 2011. C'est Valentino Rossi qui fut le premier à arriver sur les lieux lors de sont tour de rentrée aux stands. L'Italien, proche du regretté pilote, a levé sa roue avant pour effectuer un wheeling. Quelques instants derrière, arrivait Marc Márquez, qui décidait d'imiter Rossi. Après avoir déclenché son appareil, le photographe a cru à une chorégraphie préparée entre les deux hommes. Et effectivement, le pilote espagnol a confirmé au journal hispanique El Periódico que cette belle image avait été planifiée dans son esprit. "Nous nous sommes retrouvés ensemble. Lorsque je l'ai vu faire le wheeling, j'ai pensé qu'il rendait hommage à Simoncelli. Alors, j'ai suivi son geste et je me suis joint à lui." RIP Marco !

Oui Las, tu as probablement raison. Cela me rappelle Ross Brawn du temps de Brawn GP qui avait dit "quand Jenson ramène la voiture après la course, on n'a presque pas de travail à faire sur elle" - Prost était aussi très coulé au volant. Je crois que Jean Alesi était un des pires...?

Plusieurs pièces internes de la Red Bull ont été endommagées par l'incendie et Verstappen, qui s'est classé 14e de la séance, n'a pu effectuer plus de dix tours de piste. "Les freins sont devenus incontrôlables, et cela a endommagé le circuit électrique", explique Christian Horner, directeur de Red Bull Racing, pour Sky Sports F1. "Par conséquent, il a fallu beaucoup de temps pour réparer. Les freins arrière sont devenus un tout petit peu trop chauds lors du tour de rentrée au stand et l'afflux de chaleur, à l'arrêt, a endommagé le circuit électrique." Mais ? Que Mad Max ? Est-ce-qu'il freinerait plus que Ricciardo, entrée en courbes + vite ? Note : si le carbone est porté à ne serait-ce que 1000°C au contact de l'air, il brûle. Les disques de freins étant en carbone...

Mais non fieu, c'est parce-que le nain à dit "95, tapette !

Non, la Bol d'Or, qu'elle soit en 750, 900 F/F2 ou en 1100 sont construites entre 1979 et 1984 Dom mon petit ! Moi je l'avais aux States en 1983...

Trop petite pour moi, javais opté pour la 900 Bol d'Or.

Vais me gêner... Mais là, au contraire, quand il y a du trafic, je m'arrête et attends, le fun c'est de couper le tournant pour après mieux l'attaquer à la corde en sortie, yahoo...

Une route sympa que j'ai prise il y a quelques temps en moto : Là, on peut presque y mettre le genoux : C'est rare par ici, alors celle-là je la garde pour moi !

EL1 à Sepang, c'est Marquez, Rossi 5ème.

L'a une tronche de cake, quoi ?

En Allemagne, les diesels sont surtaxés, et le lobbying des écolos fait le maximum(avec succès) pour stopper cette mode. Apparemment le diesel n'a plus la cote, et pour la différence de prix à la station comparée aux coûts des taxes de roulage, n'est plus, ne sera plus, très vite plus justifiée. Je crois qu'en Belgique aussi, où bcp. de sociétés offrent une voiture de fonction à leurs employés, l'essence est/sera de retour...

Austin : Sergio Perez >Je me suis fait touché fort par l'arrière, quel c*n, mais quel c*n" Team >Assure-toi que l'on puisse terminer la mission Max " - "Je ne suis pas là pour terminer quatrième" Team >Tu es plus rapide que Kevin Joylon" - "Ah non, sans blague, ça je le sais depuis l’entièreté du GP" Ricciardo à propos de la VSC et le fait que Rosberg se soit arrêté : "Donc il a eu en fait un passage gratos dans les stands, hein ? C'est put*in de mer*e parfait ça !" Ricciardo : "Tenez moi au courant des temps de Nico, j'aimerais bien de rattraper ce co**ard !" (et oui, même Ricciardo ) "Yeeeehaw" - Fernando passe Sainz à l'avant dernier tour...

Diesel = chaudière à mazout pour Us, Clou.

On comprends mieux maintenant. Photo volée du serveur secret de RBR :

Je fini aujourd'hui avec "La Chronique Randy Mamola" que j'ai trouvé ô combien intéressante et à propos de Jorge Lorenzo : "Jorge a peur et c'est le pire qui puisse arriver à un pilote MotoGP. Il a peur de tout, mais surtout de tomber et de se blesser. Il l'a lui-même reconnu samedi, à Phillip Island, après une journée durant laquelle il avait eu l'air d'être un tout autre pilote, complètement tendu, lent et déconnecté. Le Jorge que l'on a vu en Australie serait incapable de réunir un palmarès comme le sien. Il insiste sur le fait que le changement de pneus mis en place par Michelin après les frayeurs de Baz et Redding l'ont pénalisé plus que quiconque. Je suis d'accord avec lui, mais je crois aussi que lorsque vous connaissez un revers pour une raison quelconque, il faut trouver une façon de le surmonter. C'est son job, au même titre que ses adversaires affrontent les obstacles qu'ils rencontrent, quels qu'ils soient. En ce sens, il n'y a pas de meilleur exemple que ce que Marc a fait cette année, qui a su s'adapter à une moto très difficile au début de la saison et qui est devenu petit à petit de plus en plus fort. Si l'exemple de Marc ne le convainc pas, il peut regarder beaucoup plus près de lui, de l'autre côté de son stand, où il trouvera un Valentino qui s'est débrouillé pour dépasser tous les problèmes qu'il a rencontrés. Ce qui se passe c'est que, à la différence de Rossi, Lorenzo est incapable de dépasser les problèmes générés par les pneus, que ce soit le manque de sensations à l'avant ou le manque de grip à l'arrière. Valentino est un génie quand il s'agit de trouver le grip qui, pour une raison ou une autre, n'est pas généré par le pneu arrière. On l'a vu piloter plus ou moins de travers, glisser plus ou moins en fonction des besoins qu'il rencontre dans chaque situation et des caractéristiques de la moto. Jorge n'a qu'un seul registre et cela le rend intouchable quand tout est à son goût, mais complètement vulnérable quand il ne peut pas l'utiliser. Or, dans les conditions actuelles, avec tant de nouveaux éléments entrés en jeu et qui ne sont pas prêts, cela n'est pas possible. On ne peut pas oublier que Jorge est triple Champion du monde MotoGP, mais ce week-end il a été dépassé et s'est montré beaucoup plus lent que des pilotes qui ont beaucoup moins de talent que lui. Dimanche, j'étais en bord de piste pour regarder la course et il semblait être un pilote différent, il était perdu, seul et très lent. Quand je dis que, de mon point de vue, Lorenzo a peur, je me base sur certains signes qui m'ont mené à cette conclusion. Avant tout, les problèmes qu'il rencontre quand il pleut. Pour justifier ses difficultés sous la pluie, il parle toujours des chutes dont il a été victime lorsque la piste était mouillée. Mais cela n'est arrivé que depuis quelques temps, parce qu'auparavant on l'a vu être l'un des plus rapides sur le mouillé. C'est précisément pour cela que je crois que l'accident qu'il a eu à Assen il a quelques années, dans lequel il s'est cassé la clavicule, continue de le hanter comme un cauchemar. Outre les conséquences physiques, qui ont été résolues avec du titane et des vis, je pense qu'il y a des conséquences psychologiques dans son esprit. Quelqu'un de son calibre doit réagir et trouver une façon de surmonter ces obstacles. Au final, c'est son job et il en vit très bien."

C'est le mot "boucher" qui m'a inspiré, il en a la tête, pas un personnage que j'adore... Quel est donc cette curieuse F1, et quelle a été sa particularité ?

Vais devoir regarder ça, mais il faut du recul, merci Dom !

Un génie en chaise roulante qui me fait un peu peur : Stephen W. Hawkins