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Carlos Tavares pose trois conditions à un retour de Peugeot en LM P1 et deux sont réglées 25 septembre 2016 par Laurent Mercier Président du directoire de PSA la semaine, Carlos Tavares passe du costume cravate à la combinaison de pilote le week-end. Pilote émérite depuis plusieurs décennies, le Franco-portugais roule aussi bien sur une Peugeot RCZ en TTE qu’en Lola 70 sur les meetings historiques. Ce week-end, c’est une Ligier JS P3 du OAK Racing qui l’attend à Spa-Francorchamps en European Le Mans Series. De quoi faire un point avec le Carlos Tavares pilote, mais aussi sur la possibilité de revoir Peugeot en Endurance. Comment se passe la découverte de la Ligier JS P3 ? “J’ai plutôt l’habitude de rouler sur des prototypes nettement plus anciens comme une Lola T70 équipée d’un V8 de 560 chevaux. La Lola est surmotorisée avec son châssis en alu et aucune dimension aéro. Une LM P3, c’est l’inverse. Plus les virages sont rapides, plus c’est excitant de passer à fond. C’est une auto qui demande du roulage et son grip aéro est spectaculaire. On peut partir facilement en tête à queue dans les parties plus lentes. Lorsque Jacques Nicolet m’a invité à tester l’auto, j’ai de suite dit oui. Le premier roulage s’est déroulé au Paul Ricard en août dernier juste pour découvrir l’auto.” [size=14] [/size]On pourrait vous revoir en compétition en LM P3 ? “En principe, ce n’est qu’un one-shot mais on ne sait jamais. Malgré un emploi du temps bien chargé, j’arrive à dégager du temps pour prendre part à 20 courses par an. Dans un team comme dans une entreprise, c’est important d’avoir une bonne équipe derrière soi. Pourquoi pas revenir en ELMS, mais rien n’est défini à ce jour. La course automobile est ma passion depuis 35 ans. Je n’arrête pas de rouler et j’ai tendance à dire aux membres de ma famille que c’est une maladie (sourire).” Quel est votre regard sur le plateau European Le Mans Series ? “Le niveau de pilotage est très relevé tout comme la qualité des équipes. Je pense que le niveau ELMS en LM P2 est supérieur à ce que l’on a en FIA WEC. J’ai toujours un oeil sur les courses d’endurance.”[size] [/size]Revoir Peugeot en Endurance fait partie des possibilités ? “Les choses ont évolué. J’avais posé trois conditions à un possible retour de Peugeot en Endurance. La première était de redresser PSA et l’objectif est atteint. Au premier semestre, le taux de rentabilité de PSA était le 4ème de l’industrie mondiale. Il y a deux ans, le groupe était encore en quasi faillite. La deuxième condition était de gagner le Dakar et là aussi c’est atteint. La troisième est de stopper l’inflation des coûts en LM P1. Si on met ‘x’ millions, on doit s’assurer que la rentabilité soit bonne et meilleure que les autres vecteurs comme la publicité dans les journaux ou à la télévision. Cela pose la question de savoir si le FIA WEC apporte plus que le Dakar. L’avantage du WEC est de laisser libre court à l’innovation mais le coût est important. Il y a des sommes qu’on ne peut plus dépenser dans certaines activités. Nous avons demandé à la FIA et l’ACO comment on pouvait mettre un terme à cette inflation et de savoir comment il était possible de gérer l’arrivée de nouveaux constructeurs. Cette troisième condition n’est pas entre mes mains. Les façons de limiter les coûts sont multiples, notamment le développement aéro.”[size] [/size]Le passionné de sport automobile que vous êtes peut aider à appuyer sur le bouton plus facilement ? “Il ne faut pas mélanger les genres et rester rationnel. L’intérêt de tout le monde est de maintenir les coûts et que les différents acteurs s’y retrouvent. Un Garage 56 n’est pas à exclure totalement mais c’est encore trop tôt. Le coeur de la compétition de PSA est composé de 250 à 300 personnes avec DS Performance, Peugeot Sport et Citroën Racing. Pour un nouveau programme, il est entièrement normal que la Direction Générale pose des questions. La Formula E est dans l’air du temps, le FIA WEC avec ses nouvelles technologies participe aussi aux voitures de demain. Le FIA WEC est un vrai succès, la FIA et l’ACO font un travail remarquable. Les technologies employées sont un accélérateur aux autos de série.”
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Petit Le Mans : 37 concurrents attendus pour la finale 22 septembre 2016 par Laurent Mercier C’est désormais une tradition, le Petit Le Mans refermera la saison IMSA. Les organisateurs ont dévoilé la liste des engagés qui fait état de 41 autos, mais on peut légitimement tabler sur 37 autos en piste sur le tracé de Road Atlanta. Tout le monde a encore en mémoire l’édition précédente remportée sous la pluie par Patrick Pilet, Nick Tandy et Richard Lietz sur une Porsche 911 RSR. Tout juste auréolé d’un titre IndyCar, Simon Pagenaud retrouvera Action Express Racing. Le Poitevin partagera le baquet de la Corvette DP #31 avec Dane Cameron et Eric Curran. Filipe Albquerque épaulera quant à lui Christian Fittipaldi et Joao Barbosa sur la #5. Avant la finale, le tandem Cameron/Curran compte 1 point d’avance au championnat sur leurs équipiers. Les frères Taylor chassent à 7 longueurs de la tête et ils seront épaulés par Max Angelelli sur la Corvette DP du Wayne Taylor Racing. L’ancien lauréat d’Indy 500 Ryan Hunter-Reay retrouvera le baquet de la Corvette DP/VisitFlorida.com en compagnie de Marc Goossens et Ryan Dalziel. Attention au Michael Shank Racing qui verra le retour du rapide Olivier Pla pour accompagner John Pew et Ozz Negri. Vainqueurs à Daytona et Sebring, Tequila Patron ESM tentera d’accrocher une victoire de prestige supplémentaire avec sa Ligier JS P2 partagée par Pipo Derani, Johannes van Overbeek et Scott Sharp. Chez Mazda, Spencer Pigot est annoncé sur les deux autos. Pour l’ultime course de la DeltaWing, Andy Meyrick aura à cœur de briller eux côtés de Katherine Legge et Sean Rayhall. On devrait avoir six Prototype Challenge en Georgie. Vainqueurs à COTA, Alex Popow et Renger van der Zande ne peuvent pas de reposer avec une petite avance de 10 points au championnat. David Heinemeier-Hansson sera en soutien dans la #8. Johnny Mowlem viendra faire ses adieux avant de se consacrer au coaching. Le Britannique renforcera l’équipage du BAR1 Motorsports où il fera cause commune avec Tomy Drissi et don Yount. Robert Alon et Tom Kimber-Smith pourront compter sur José Gutierrez pour tenter d’aller chercher la couronne, en l’absence attendue du CORE autosport. Pas de révolution en GTLM où Mike Rockenfeller et Marcel Fässler seront chez Corvette Racing, comme à Daytona et Sebring. Mal récompensé de ses efforts à COTA, le Risi Competizione pourra compter sur Giancarlo Fisichella et Toni Vilander auront James Calado avec eux au volant de la 488 GTE. La Scuderia Corsa fera son retour avec Daniel Serra, Alessandro Pier Guidi et Andrea Bertolini. Ford Chip Ganassi Racing voit le renfort de Sébastien Bourdais sur la #66 et Scott Dixon sur la #67. Kuno Wittmer et Augusto Farfus défendront les intérêts de BMW sur les M6 GTLM #100 et #25. Porsche North America doit encore annoncer ses équipages, et il se pourrait bien qu’un pilote soit inscrit sur les deux 911 RSR sachant que ce pilote devrait être Richard Lietz. Avant d’aborder la finale, Gavin/Milner (Corvette) comptent 11 longueurs d’avance sur Westbrook/Briscoe (Ford). La catégorie GTD sera à nouveau la plus fournie avec une belle diversité. Christian Nielsen et Alessandro Balzan mène au championnat sur la Ferrari 488 GT3/Scuderia Corsa avec une confortable avance de 32 points sur la Dodge Viper GT3-R/Riley Motorsports de Keating/Bleekemolen. Jeff Segal et Marc Miller seront en renfort chez Scuderia Corsa et Riley. Stevenson Motorsports fera confiance à Mike Skeen et Dion von Moltke pour épauler Liddell/Davis et Aschenbach/Bell sur les deux Audi R8 LMS. Marco Seefried roulera pour le compte du Magnus Racing et Richard Antinucci chez Change Racing. Paolo Ruberti poursuivra l’aventure sur la Lamborghini Huracan GT3/Dream Racing avec Cédric Sbirrazzuoli et Lawrence DeGeorge. On devrait se passer de Black Swan Racing, CORE autosport, Change Racing et Alex Job Racing. La liste des engagés est ici
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Scott Sharp (ESM) : “Nous voulons remporter des courses devant nos fans” 21 septembre 2016 par Laurent Mercier Tequila Patron ESM revient sur ses terres la saison prochaine avec un programme DPi emmené par deux Ligier Nissan. Exit donc le Championnat du Monde d’Endurance de la FIA et les 24 Heures du Mans. « La plus grande course du monde ne permet pas de mettre en avant Patron, notre partenaire principal, en raison des règles françaises sur l’alcool » a déclaré Scott Sharp, propriétaire de l’équipe, à Sportscar365. « Si vous ne pouvez pas faire cela, il y a une partie du projet qui ne peut pas être mise en place. Le cas est le même à Bahrain et même le Mexique avait ses limites. Ainsi, lorsque deux ou trois courses ne permettent pas de porter les logos de votre partenaire, cela rend les choses plus coûteuses car il faut réévaluer les choses. » Le team américain n’a pas été pris par surprise puisque les lois dans les différents pays traversés par le championnat sont en place depuis longtemps. Tequila Patron ESM avait trouvé de nouveaux partenaires pour Le Mans ces deux dernières années. (In English) « Nous avons adoré rouler sur quelques unes des pistes les plus incroyables au cours des deux dernières années » a souligné Scott Sharp.« Au bout du compte, nous sommes une équipe américaine et nous voulons remporter des courses et des championnats devant nos fans. » Le programme officiel ESM mettra en avant la nouvelle Ligier JS P217 équipée d’une carrosserie Nissan développée conjointement par le constructeur et Onroak Automotive. Le moteur sera le V6 bi-turbo 3,8 litres vu dans la Nissan GT-R NISMO GT3 et non celui qui équipe actuellement la majorité du plateau LM P2. Scott Sharp a confié que le programme avec Nissan courait sur plusieurs années. Les débuts se feront au Roar Before the 24 en janvier prochain. Rappelons que la Ligier JS P217 a bouclé son shakedown hier à Magny-Cours. [size=14] [/size]Si les détails de l’accord avec Nissan n’ont pas été divulgués, Scott Sharp a tout de même précisé que tous les éléments sont englobés dans le partenariat avec Nissan, à savoir le moteur, la carrosserie et l’accord de l’IMSA. Cet engagement se fera en collaboration avec OAK Racing comme c’est le cas actuellement en FIA WEC. « Nous avons été tellement impressionnés par Philippe (Dumas), Jacques (Nicolet) et toute l’équipe » a déclaré Sharp. « Ils ont fait un travail incroyable à nos côtés dans le championnat nord-américain. » Après avoir engagé une LM P2 sous l’entité OAK Racing dans le championnat IMSA, Philippe Dumas et son équipe ont brillé sous les couleurs Tequila Patron ESM aux 24 Heures de Daytona et 12 Heures de Sebring, à chaque fois avec une victoire. Les pilotes n’ont pas été annoncés mais on sait déjà que ce sera un mix de l’effectif actuel. Ed Brown, président de Patron Spirits, sera en piste sur l’intégralité du championnat. En attendant 2017, Scott Sharp, Johannes van Overbeek et Pipo Derani seront en piste au Petit Le Mans. Les 24 Heures du Mans ne feront pas partie du programme 2017, mais Scott Sharp n’a pas exclu un retour dans la Sarthe : « Nous faisons en fonction des règles. Je pense que l’ensemble du système de classification du pilote a vraiment besoin d’être repensé. L’interprétation d’un pilote Silver est très large. Nous sommes probablement la seule équipe à courir avec deux pilotes Silver. Quand on voit que certains Silvers sont plus rapides que les Platinum au sein d’un même équipage, c’est que quelque chose ne va pas avec les règles, ce qui est le cas. »
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Erreur de ma part, c'est bien AB! Trop bu chez Laulau hier, plus les yeux en face des trous. Le premier magasin Au Bon Marché fut fondé en 1838 par les frères Paul et Justin Videau sous la forme d'une grande boutique (douze employés et quatre rayons) de mercerie vendant aussi des draps, matelas et des parapluies. Ils s'associent en 1852 avec Aristide et Marguerite Boucicaut qui se lancent dans la transformation du magasin, développant alors le nouveau concept de grand magasin avec un vaste assortiment large et profond, des prix fixés à faible marge et indiqués sur une étiquette, un accès direct, le principe du satisfait ou remboursé et une mise en scène de la marchandise dans un espace de vente : ce type de magasin ne vend plus simplement des marchandises mais le désir d'acheter lui-même. En 1863, les Boucicaut rachètent les parts sociales des frères Videau, lesquels étaient effrayés par les idées commerciales du couple. En 1869, grâce à leur succès commercial, les Boucicaut se lancent dans l'agrandissement du magasin confié à l'architecte Alexandre Laplanche[size=11]1. La première pierre est posée le 9 septembre 18691. Les travaux, pratiquement terminés, sont interrompus par le siège de Paris en 18701, pendant lequel le bâtiment sert de centre de distribution des vivres1. Les travaux reprennent ensuite et le nouveau magasin, qui borde la rue de Sèvres sur 45 m et la rue Velpeau sur 35 m, est inauguré le 2 avril 18721. Mais le magasin s'avère rapidement trop exigu et les travaux reprennent dès 18721. L'architecte Louis-Charles Boileau, succédant à Alexandre Laplanche, fait appel à l'ingénieur Armand Moisant pour la construction de la structure du bâtiment (1870-1887) ; Gustave Eiffel, qui est couramment considéré comme étant le constructeur du Bon Marché, n'interviendra qu'en 1879 pour réaliser un agrandissement qualifié de peu considérable. Le Bon Marché passe d'un chiffre d'affaires de 500 000 francs, d'une surface de 300 m2 et de 12 employés en 1852, à 72 millions de francs, une surface de50 000 m2 et 1 788 employés en 1877. Cette expansion marque l'apparition d'une nouvelle classe sociale, les employés, classe moyenne qui constituera la future clientèle des grands magasins2.[/size] Pour attirer sa clientèle féminine, Boucicaut crée également les premières toilettes pour femmes, un salon de lecture pour leurs maris le temps qu'elles fassent leurs emplettes, poste plus de 6 millions de catalogues de mode (accompagnés d'échantillons de tissus découpés par 150 jeunes femmes uniquement affectées à ce travail) dans le monde entier au début duxx[size=10]e siècle, parallèlement au développement du service de livraison à domicile et de la vente par correspondance franco de port. Il développe la publicité (affiches, calendriers, réclames, agendas annonçant des évènements quotidiens). Après les épouses, il cible les mères en distribuant des boissons, ballons rouges ou des séries d'images pédagogiques en « Chromos » pour leurs enfants, organisant aussi des promenades à dos d'âne. Les bourgeoises peuvent s'échapper du logis où la société les cloître et passer plus de douze heures dans le magasin à essayer les produits, notamment des vêtements, avant faits sur mesure, et désormais aux tailles standardisées. Certaines d'entre elles s'endettent ou deviennent cleptomanes, d'autres sont troublées à l'idée de se faire effleurer par des vendeurs qui leur enfilent gants ou chapeaux. La respectabilité du magasin étant remise en cause, Aristide Boucicaut fait engager des vendeuses qu'il fait loger dans les étages supérieurs du magasin et qui représentent la moitié du personnel dans les années 1880. En uniforme noir strict, elles peuvent être renvoyées pour n'importe quelle faute et sont à la merci des clientes. Mais elles peuvent bénéficier de la promotion interne (second, chef de comptoir puis gérant selon une progression non plus à l’ancienneté mais au mérite). Avec une gestionpaternaliste inspirée par le socialisme chrétien de Lamennais, Aristide Boucicaut crée notamment pour ses salariés une caisse de prévoyance et une caisse de retraite, un réfectoire gratuit, un jour de congé payé hebdomadaire2. Ce paternalisme a aussi pour objectif d'attacher les employés à l'établissement : par exemple, le fonds de prévoyance pour les employés est disponible après 20 ans d'ancienneté3. Une salle de mille places est installée au sommet de l'immeuble pour accueillir des soirées.[/size] En 1910, afin de loger les clients à proximité, est créé l'hôtel Lutetia qui reste le seul palace de la rive gauche. Le développement du chemin de fer et des expositions universelles attire à Paris les femmes de province et Le Bon Marché cherche désormais à toucher une clientèle ouvrière par des prix toujours plus bas. En 1911-1913, à l'angle de la rue de Sèvres et de la rue du Bac, un deuxième bâtiment de style art déco, est construit par les Ateliers Moisant-Lauren-Savey, successeurs d'Armand Moisant. Le bâtiment, en voie d'achèvement, est réquisitionné pendant la Première Guerre mondiale pour être transformé en hôpital militaire[size=11]1. Détruit par un incendie le 22 novembre 19154, il est reconstruit en 1924 par Louis-Hippolyte Boileau1,5. Destiné à l'origine à accueillir l'univers de la maison1, il abrite désormais La Grande Épicerie.[/size]
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Hier a eu lieu la première course du Chase. C'est quoi le Chase? Un final par élimination qui permet de ne connaitre le champion qu'à la dernière course. Une saison de Nascar comprend 38 courses. Deux hors championnat, donc 36 qui comptent pour le titre. A l'issue des 26 premières on prend 16 pilotes. Tous ceux qui on gagné au moins une course, à condition qu'ils se classent dans les 30 premiers. Comme ça si un pilote vient pour une course ou deux seulement, et qu'il gagne il ne pourra pas participer au Chase. Et s'il n'y a pas 16 vainqueurs differents on prend les autres suivant leur classement. Pour les 10 courses du Chase tous les pilotes courrent, mais seuls les "chasers" peuvent sa battre pour le titre. A l'issue des 3 premières courses on élimine les 4 moins bons de ce groupe de 16 à l'origine. Une victoire dans cette serie de 3 courses étant de fait qualifiante. Par exemple si un pilote gagne une course et abandonne les deux autres il sera surement dernier des 16, mais sera qualifié. Seront donc éliminés les 12, 13, 14 et 15ème. Encore 3 courses et même principe, il ne reste que 8 pilotes chasers. Encore 3 courses, et il ne reste que 4 pilotes et 1 course. Et là c'est simple, pour cette dernière course de la saison le titre est donné au 1er des 4 restants. Quelque soit sa position, c'est pour le mieux classé des 4. Une loterie en somme. Mais il faut déjà être l'un des meilleurs pour en arriver là. Ca c'est du spectacle, et pas de calcul, il faut se battre, un point c'est tout.
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Double meeting à Austin ce WE. L'USCC et la WEC. A noter qu'avec les reglementations differentes (brides sur les LMP2 européennes pour être à niveau des DP ricains) il y a 4 secondes de difference entre les P2 européennes et américaines. On peut penser que ce sera different en 2017 puisque les DPI américaines seront à motorisation libre alors que les européennes auront un moteur Gibson unique (qui fera tout de même 100 cv de plus que les moteurs actuels, Nissan, Judd ou Honda). Voici les qualifs US :
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2017, l'année du défi ?
Uscars a répondu à un(e) sujet de Blutch1 dans Les pilotes et les teams de F1 CLUB
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Je viens de rentrer. Un topo sur la dame, copié-collé de mon ami Wiki. Marie Skłodowska-Curie, née Maria Salomea Skłodowska (prononcé [ˈmarja salɔˈmɛa skwɔˈdɔfska] audio) le7 novembre 1867 à Varsovie, au sein du Royaume du Congrès (actuelle Pologne), et morte le 4 juillet 1934 au sanatoriumde Sancellemoz situé à Passy (Haute-Savoie, France), est une physicienne et chimiste polonaise, naturalisée française. Pierre Curie — son époux — et Marie Curie reçoivent une moitié du prix Nobel de physique de 1903 (l'autre moitié est remise à Henri Becquerel) pour leurs recherches sur les radiations[size=11]1. En 1911, elle obtient le prix Nobel de chimie pour ses travaux sur le polonium et le radium2.[/size] Scientifique d'exception, elle est la première femme à avoir reçu le prix Nobel, et à ce jour la seule femme à en avoir reçu deux. Elle reste à ce jour le seul lauréat à avoir été récompensé dans deux domaines scientifiques distincts (par la suite, et en dehors strictement des sciences, Linus Pauling obtint le prix Nobel de chimie en 1954 et le prix Nobel de la paix en 1962[size=11]3).[/size] Elle est également la première femme lauréate en 1903, avec son mari, de la médaille Davy pour ses travaux sur le radium
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[size=36]GoPro Grand Prix of Sonoma - Présentation de la course Horaires, pilotes engagés, anciens vainqueurs, retrouvez toutes les informations de la course du week-end à venir en Verizon IndyCar Series. [/size]© IndyCar Series / Chris Owens La grande finale de l'IndyCar se déroule cette semaine sur le circuit routier de Sonoma. La seule certitude est le sacre d'un pilote de la Team Penske puisque seuls Simon Pagenaud et Will Power sont encore éligibles pour le titre de champion des pilotes de la saison 2016. Le Français, qui a fait cavalier seuil en tête du championnat pendant la grande majorité de la saison devra se méfier de son coéquipier vainqueur à trois reprises ces dix dernières années à Sonoma, mais aussi quatre fois lors des huit dernières courses disputées cette saison. Après avoir manqué la première course de la saison sur blessure, l'Australien de la Team Penske a su se replacer au classement général en s'imposant dans la seconde course de Detroit, puis à Road America, à Toronto et enfin Pocono pour remonter au classement général et se classer en deuxième position, alors que dans le même temps Simon Pagenaud ne gagnait qu'une seule fois, à Mid-Ohio, alors qu'il avait signé un départ de championnat canon avec deux deuxièmes places puis trois victoires lors des cinq premières levées de l'exercice 2016. Simon Pagenaud, qui dispute sa seconde saison au sein de la Team Penske dispose d'une avance de 43 points sur son dauphin avant la dernière course de la saison, mais à Sonoma les points seront doublés. Toute contre-performance du Français pourrait donc s'avérer catastrophique dans l'optique du titre. [size=36]L'épreuve[/size] Nom de la course GoPro Grand Prix of SonomaCircuitSonoma Raceway (circuit routier de 2,385 miles)Distance85 tours / 195,755 milesLes engagésListe (PDF)Les horairesSonoma - les horaires Les anciens vainqueurs 2015 Scott Dixon2014Scott Dixon2013Will Power2012Ryan Briscoe2011Will Power2010Will Power2009Dario Franchitti2008Hélio Castroneves2007Scott Dixon2006Marco Andretti
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Souvenirs, souvenirs.
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