Clousot

Exact MB je reconnais les pilotes dans la même écurie par leur casque d'abord..

Qualifs: 1 Vettel 2 Hamilton 3 Bottas Pole: 1.33.320 Course: 1 Vettel 2 Verstappen 3 Hamilton MT: 1.36.020

Sotchi, L2 : Les deux Ferrari devant les Mercedes La Scuderia poursuit sur sa lancée 28 avril 2017 - 15h37, par D. Thys C’est sous une température ambiante de 22° que commence la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de Russie, quatrième manche du championnat 2017 de F1. Notons que Stoffel Vandoorne a cassé un autre moteur Honda ce matin et il faut tout remplacer sur sa voiture, ce qui lui coûtera 15 places sur la grille de départ de dimanche. Et pour couronner le tout, il ne devrait pas beaucoup tourner cet après-midi…Quant au Russe Sergey Sirotkin, il se faisait une joie de disputer la première séance d’essais libres de son Grand Prix national au volant de la Force India de Nico Hulkenberg, mais son bonheur a été très bref puisqu’il n’a bouclé qu’un seul tour… Les premiers pilotes s’élancent dès l’ouverture de la piste et c’est Kimi Raikkonen qui signe le premier chrono de référence en 1’36"842. Ils sont ensuite plusieurs à se relayer en tête du classement : Vettel (1’36"524), Raikkonen (1’35"980) et Lewis Hamilton (1’35"752, 1’35"710). Il reste un peu plus d’une heure avant le drapeau à damier lorsque les Ferrari se relancent avec les pneus ultra tendres et c’est Kimi Raikkonen qui tire le premier en 1’34"721 et 1’34"383, ce qui lui donne plus d’une seconde d’avance sur Hamilton et ses pneus super tendres. Sebastian Vettel fait mieux que son équipier quelques instants plus tard en 1’34"120. Les Ferrari ont signé leur meilleur chrono lors de leur deuxième tour rapide et il faudra peut-être tenir compte de cela demain en qualification. Personne ne parviendra à déloger les Ferrari des deux premières places du classement. En fin de séance, les équipes travaillent surtout sur l’évaluation des différents pneumatiques pour préparer la course de dimanche. Chez McLaren, Stoffel Vandoorne a réussi à faire quelques tours, mais ses chronos ne sont pas très flatteurs puisque le Belge est très nettement distancé par son équipier Fernando Alonso avant de revenir sur lui en fin de séance. Chez Haas ça va mieux, mais à peine. Les pilotes se plaignent en effet d’une pédale de frein très longue et ensuite Romain Grosjean a des soucis avec son embrayage. Il a juste le temps de communiquer ses soucis à son équipe avant de partir à la faute (sans rien toucher) à 20 minutes de la fin. [th][/th][th][/th][th][/th][th][/th][th] [/th]01Sebastian VettelFerrari1:34.1203602Kimi RaikkonenFerrari1:34.3833603Valtteri BottasMercedes AMG1:34.7903604Lewis HamiltonMercedes AMG1:34.8293405Max VerstappenRed Bull Tag Heuer1:35.5401506Daniel RicciardoRed Bull Tag Heuer1:35.9102607Felipe MassaWilliams Mercedes1:36.2613908Nico HulkenbergRenault F11:36.3293809Kevin Magnussen Haas Ferrari1:36.5063110Sergio PerezForce India Mercedes 1:36.6003811Esteban OconForce India Mercedes 1:36.6543912Fernando AlonsoMcLaren Honda1:36.7652713Jolyon PalmerRenault F11:36.7712214Romain GrosjeanHaas Ferrari1:37.0393115Carlos SainzToro Rosso Renault1:37.0833616Stoffel Vandoorne McLaren Honda1:37.1252517Daniil KvyatToro Rosso Renault1:37.3003518Pascal WehrleinSauber Ferrari1:37.4413019Lance StrollWilliams Mercedes1:37.7473620Marcus EricssonSauber Ferrari1:37.81929

Les sponsors doivent être écouté car sans eux pas de compétition ni de F1...

Une rose bonbon comme ça en F1 j'aurais jamais cru.

pour Mick S. je mets à sa décharge qu'il dit lui même que son nom n'est pas nécessairement un atout pour sa personne. "Mon nom ? Je pense que ça m’offre pas mal d’opportunités, c’est mon nom, je ne peux pas le changer. J’adore piloter, c’est pour ça que je le fais et pas à cause de mon nom,"

Mick Schumacher : Je rêve de piloter une F1 "Et j’espère que ce sera bientôt !" 28 avril 2017 - 08h12, par Olivier Ferret Mick Schumacher, le fils de Michael Schumacher, a donné une interview exclusive à Jules Deremble sur le circuit de Monaco. A tout juste 18 ans, il est pilote de Formule 3 et aspire à évoluer dans la catégorie reine. Un échange diffusé dans 19H30 SPORT sur CANAL+SPORT et à retrouver dans FORMULA ONE dimanche à 15h50 sur CANAL+. "Mon nom ? Je pense que ça m’offre pas mal d’opportunités, c’est mon nom, je ne peux pas le changer. J’adore piloter, c’est pour ça que je le fais et pas à cause de mon nom," lance l’Allemand. "Je ne ressens aucune pression, peut-être que c’est ce que certains voudraient mais moi je fais ce que j’ai à faire, je pilote et c’est tout." Les ambitions du fils du septuple champion du monde sont claires : "C’est mon rêve de piloter une F1. Ça doit être des sensations terribles de courir sur le circuit de Monaco. Et j’espère que ce sera bientôt !" Mick Schumacher vient de passer son permis de conduire, l’occasion de produire quelques films amusants sur les réseaux sociaux. "Ça n’a pas été si facile. J’étais stressé, comme tous ceux qui passent le permis. C’était une pression différente de la compétition. Je suis heureux, je viens juste d’avoir 18 ans donc je suis un peu plus libre, plus indépendant."

Et s'il les laissait croire ce qu'ils veulent ?

Yessssssss....;-)

Et Rock Hudson un des premiers acteur célèbre décédé du VIH Lui qui incarnait la beauté masculine de l'époque, ça m'a marqué aussi.

Je me rappelle de cette photo incroyable où l'on voyait le richissime Onassis sur son lit d'hopital aux portes de la sortie. je me suis dit pour la première fois de ma vie " Et donc avec tout son argent et sa puissance, il est comme un autre il est foutu" J'avais 25 ans et je venais de me rendre compte que l'on était (forcément) tous égaux quelque part.

Il sait y faire c'est clair...

Vettel pilotera sans chaussures à Sotchi L’Allemand va innover avec Puma 26 avril 2017 - 11h03, par Olivier Ferret Sebastian Vettel va devenir le premier pilote au monde à conduire une monoplace sans les traditionnelles bottines exigées pour l’exercice. Comment l’Allemand va-t-il bien pouvoir se passer de chaussures ? Tout simplement grâce à une innovation qu’il a développé en collaboration avec Puma, l’équipementier de Ferrari. Cette innovation, ce sont des chaussettes de compétition qui permettent de se passer de bottines. Renforcées là où il le faut et ignifugées, ces chaussettes viennent tout juste d’être homologuées par la FIA. Vettel va donc pouvoir les utiliser dès la Russie, ce week-end. Parmi les bénéfices, il y a en premier lieu un poids réduit : 135 grammes seulement. Mais le pilote devrait aussi avoir de meilleures sensations avec ses pieds. "Nous avons essayé de réduire la chaussure de compétition au strict minimum," explique-t-on chez Puma. "C’est la première chaussette - chaussure de sport qui résiste au feu et peut être utilisée en course. Sebastian a été central dans le développement, le ressenti d’un pilote est toujours la partie la plus importante. Nous voulions vraiment lui donner ce qu’il souhaitait. Et nous avons réussi."

Je comprends Las et le cou aussi il paraît que celui çi en prend "plein la vue"...;-/

Vas t'on encore obliger le podium a arborer ces ridicules chapeaux ?

Quelle guerre entre le pilote et la voiture par rapport à la F1...

Il doit être dans ses petits souliers. Je parie..

Et si la Sauber avait un meilleur chassis pour accueillir Honda ?

Valé porte la motoGP à bout de bras depuis plus d'une décennie. C'est une situation pratiquement inconnue dans les autres sports motorisés. Tout à une fin mais on voudrait qu'il l'emporte encore une fois c'est surréaliste mais bon tant qu'il peut le faire alors qu'il le fasse...

Montoya explique les principaux défis auxquels sera confronté Alonso aux 500 Miles Le trafic et la longueur de la course 24 avril 2017 - 08h27, par Alexandre Combralier Juan Pablo Montoya est l’un des rares pilotes encore en activité à pouvoir encore prétendre à l’obtention de la triple couronne. Vainqueur aux 500 Miles en 2015, vainqueur aussi au Grand Prix de Monaco lors de son passage en F1, le Colombien n’a hypothétiquement besoin que d’une victoire au Mans pour rejoindre Graham Hill au Panthéon du sport… En attendant, Fernando Alonso, qui a déjà gagné à Monaco, se lance lui à la poursuite de la triple couronne. Il commencera à chercher la victoire aux 500 Miles, le mois prochain, avec McLaren-Andretti. Et croisera donc sur sa route le Colombien (Penske) – pour la première fois depuis le Grand Prix des Etats-Unis 2006. Montoya ne s’attendait visiblement pas à retrouver Alonso aux 500 Miles. Mais il souhaite entière bonne chance à son futur rival. « J’aurais pensé que nous nous serions retrouvés dans une course d’endurance, ou quelque chose comme ça, pour être honnête – pas aux 500 Miles d’Indianapolis. Je pense que c’est formidable. » Pour un pilote de F1, quels sont les principaux défis que posent les 500 Miles d’Indianapolis ? Montoya est évidemment un des mieux placés pour conseiller Alonso. « En F1, vous avez votre propre espace, et les gens le respectent vraiment… et ici… non. Les fans, les sponsors, tout le monde est ici et tout le monde veut une photo, et vous devez leur faire plaisir. C’est étrange et vous vous dites après avoir pris des photos, que vous avez ensuite 15 minutes pour aller dans votre voiture, et une fois que vous y êtes, vous vous dites que c’est un petit peu dur, par rapport à ce à quoi vous étiez habitué. Le défi le plus important ? Tout d’abord, il n’a jamais concouru dans une course qui est aussi longue. Et puis vous avez le trafic. Alonso devra apprendre à comprendre le trafic. Je pense que s’il est assez patient durant la semaine, alors ce sera bon. C’est vraiment un bon pilote. Il a vraiment de bons coéquipiers. » Pour l’ancien pilote Williams, l’environnement, la qualité d’une équipe, sont des facteurs-clefs dans un succès aux 500 Miles d’Indianapolis. En 2015, le Colombien avait lui-même pu s’appuyer sur l’expertise du team Penske. « Avec un jour entier consacré aux essais, Alonso aura un peu une idée de ce dont il a besoin, et c’est une bonne chose. C’est bon d’avoir un jour sans aucune pression, où vous pouvez progresser et comprendre ce qu’il faut pour réussir. Je pense que ce sera OK pour lui. Il est avec une bonne équipe et McLaren-Andretti se débrouille toujours bien aussi. Ce sera intéressant. » Juan Pablo Montoya se dit lui-même impatient de courir aux 500 Miles d’Indianapolis. « Je sais que j’ai une bonne chance de gagner. Je le sens vraiment bien, ce devrait être amusant. »

Content pour Valé et j'avais prédit une valse pour Vinales. Mon Hamster était à son affaire et intouchable aux States comme toujours. La situation actuelle est idéale pour la rentrée de la motoGP en Europe.

Pour moi Vinales est encore jeune donc assez crédule quand à la façon de s'y prendre face aux pointures. Rossi devra faire attention au Maverik qui s'y croit déjà.

Pedrosa mon Pedro c'est ta dernière saison pour dire, alors vas y et assure le coup chez Honda. Marquez a trouvé un nouveau sponsor Gilette. On avait dit pas la barbe...;-)

Ricciardo aurait probablement fait le même choix qu’Alonso mais... ... il ne manquerait pas Monaco [center] 23 avril 2017 - 08h42, par Olivier Ferret Daniel Ricciardo serait-il intéressé par relever un défi hors de la Formule 1, comme ont pu le faire Nico Hulkenberg en 2015 avec Le Mans et Fernando Alonso cette année, qui vient de décider de participer à Indy 500 ? L’Australien a déjà évoqué Le Mans et la Nascar il y a quelques mois... mais il ne se voit pas mettre la F1 de côté pour cela pour le moment. Pas même pour une seule course. "Je ne manquerai pas un Grand Prix pour faire faire autre chose. Et certainement pas Monaco. Fernando va manquer un très bon Grand Prix. Maintenant je peux le comprendre : quand vous ne roulez pas devant à Monaco, la course est probablement bien longue," dit-il. Et s’il devait faire un choix, ce serait comme Hamilton. "Plutôt les Daytona 500 qu’Indy 500. Indy me fait un peu peur en vérité. Mais c’est cool que Fernando décidé de faire cette course. Personnellement, je pense qu’il a fait ce choix à un bon moment. C’est une opportunité pour lui, il peut en plus la concrétiser avec une très bonne équipe. Je sens aussi sa frustration chez McLaren en ce moment. A sa place ? Je ferais probablement la même chose, si j’avais son âge. Quant au Mans, je m’y verrais plutôt à la fin de ma carrière en Formule 1, quand je commencerai à explorer d’autres options. Pour l’instant, rien ne me semble attractif en dehors de la F1. Tout ce que je souhaite, c’est une Formule 1 plus rapide plutôt qu’une Indycar très rapide," ajoute-t-il, en référence claire à sa Red Bull RB13 qui manque encore de performance... [/center]