Clousot

Ils sont musclés du "haut" ces jeunes hommes di dju !

Ce Kimi tout de même....

Le cinéma de Valé, un régal.

Vivement dimanche pour voir ça. Vinales doit avoir retenu la leçon tout de même...;-)

Ca y est il décroche je m'y attendais. Bravo Us tout baigne...

Carey : La gestion d’Ecclestone avait mené à de la frustration Bernie en prend pour son grade 5 mai 2017 - 10h38, par Alexandre Combralier Le temps des hommages et des politesses est décidément clos entre Chase Carey et Bernie Ecclestone. Carey, nommé par Liberty Media, a critiqué le management de son prédécesseur qui aurait mené à une certaine « frustration » partagée par le monde de la F1. « Jour après jour, je trouve un certain niveau de frustration » a commenté Carey dans une interview pour Press Association. « Le sport avait l’habitude de dire ‘non’ trop souvent. Je veux dire ‘oui’ beaucoup plus de fois. A quoi bon avoir une idée si la réponse à tout ce que vous voulez faire est ‘non’ ? Tout cela ne crée que de la frustration. » Chase Carey critique donc l’immobilisme de la F1 sous le règne de Bernie Ecclestone. C’est ainsi que Bernie aurait tout fait pour que Fernando Alonso n’aille pas aux 500 Miles d’Indianapolis, tandis que Chase Carey, même à contrecœur, a compris la décision de l’Espagnol. « Il y a eu bon nombre de choses qui n’ont pas été faites alors qu’il le fallait » poursuit, vindicatif, Carey. « Nous avons senti que le sport, depuis les cinq ou six dernières années, n’avait pas été géré pour atteindre son plein potentiel. Nous faisons tous des erreurs et personne n’est parfait. Bernie a repris ce business il y a des décennies et l’a vendu pour 8 milliards de dollars. Tout le mérite du monde lui revient pour ce qu’il fait. Mais dans le monde d’aujourd’hui, vous avez besoin de marketer un sport. Nous ne le faisons pas. Quand vous avez une personne qui s’est identifiée avec le sport pendant une si longue période de temps, il y a toujours un certain degré de complexité. Je ferai ce que je crois juste. Le style de Bernie était de diviser pour régner – pour tout garder sous son contrôle. Mais nous voulons avoir un esprit de partenariat. Les équipes, les promoteurs, le Formula One Groupe et la FIA ont tous une vision partagée à propos de la direction que devrait prendre le sport, de manière à ce qu’il soit sain pour tout le monde. »

Pas mauvais mais unique en son genre di dju!

Implacable Us. Si on ne te connaissais pas..

Thanks Us.

La franchise c'est le même chassis pour tout le monde etc.. ?

Force India est la bouée de sauvetage du frêle Vijay Mallya et donc l'écurie qui se porte bien épongera ses dettes à n'en pas douter. Maintenant à l'achat Brabham gagnera du temps et de l'argent pour se relancer. A n'en pas douter non plus.

Regardez le renfort carrosserie autour du casque de Fernando, il verrouille littéralement la tête du pilote. Sans cela j'imagine que le pilote ne supporterait pas les G imposés par la configuration de l'ovale sur plus de 200 tours.

Thanks Us je n'en attendais pas tant..... La vitesse à moto est encore plus dangereuse mais bon l'excès nuit en tout comme dirait l'autre.

Alonso : Mon pied droit avait son propre cerveau ! L’Espagnol a débuté son adaptation à l’IndyCar 4 mai 2017 - 08h27, par Emmanuel Touzot Fernando Alonso est revenu sur sa première journée en tant que pilote d’IndyCar, disputée sur l’ovale d’Indianapolis où il prendra part à la course de 500 miles à la fin du mois. Avec un meilleur tour à 358 km/h de moyenne et 110 boucles parcourues, l’Espagnol a impressionné et validé sa participation à l’épreuve mythique. "Au départ, pour être honnête, mon pied droit avait son propre cerveau, sa propre force !" s’amuse Alonso. "Il n’était pas connecté à mon cerveau, je voulais aller à fond mais mon pied droit faisait sa vie. Je contrôle maintenant mieux mon corps et la voiture, donc je suis capable d’aller à fond. Il y a eu du vent en fin de journée et sur mes derniers relais, mais les difficultés rencontrées ici permettent quand même d’avoir des informations précieuses. Jusqu’ici, tout s’est bien passé". Découvrant un environnement totalement nouveau pour lui, tant par la voiture que le circuit, le pilote McLaren ne cache pas son manque d’habitude lorsqu’on lui demande s’il est à l’aise dans la voiture. "Pas du tout ! Je commençais à augmenter le rythme mais le circuit parait si étroit quand on est à ces vitesses. Quand on regarde à la télé ou qu’on roule dans le simulateur, tout semble plus large et plus simple mais quand on est réellement dans la voiture, c’est très, très étroit. J’ai essayé différentes traductions mais je ne me sens pas à l’aise et ce sera sûrement le cas lors des prochains jours". Durant les 88 tours parcourus, Alonso a toutefois commencé à étudier les réglages possibles depuis le cockpit de la voiture afin de comprendre ce qu’il pouvait tirer directement de ses ajustements. "Quand on met des pneus neufs, cela masque les problèmes. Cela masque un peu le faible niveau d’appui, donc nous jouons un peu avec des pneus usés, plus neufs, et différents équilibres. J’ai joué un peu avec la barre anti-roulis à l’avant, avec la répartition du poids, ce sont des choses nouvelles pour moi et je dois directement les tester" conclut-il.

Intéressant. Je me demande comment et si un jour la FIA va se mettre dans l'idée de fourrer son nez dans ces petits bijoux de volants. Ils pèsent la voiture, analysent constamment ses dérives mais ne font rien sur le cerveau de la bête.

Et si ce circuit était simplement mieux adapté pour la motoGP ?

Je suis étonné de lire "monter et descendre les rapports" il faut donc comprendre que de tourner en rond exige en plus de changer souvent de rapports de vitesse ?

Thanks Us.

C'est correct pour le prix en tous cas.

Thanks Las j'adore... Question: en ovale ce sont les mêmes pneus des deux côtés ? Même texture ? Je ne vois plus la ligne en brique sur le circuit ou alors c'est à Daytona.

Et tu peux rester pour regarder ?

Jeux de mots.

McLaren et Alonso ont présenté leurs couleurs de l’Indy 500 Une livrée hommage et un casque rétro 3 mai 2017 - 16h50, par Emmanuel Touzot C’est à l’occasion des premiers essais de Fernando Alonso au volant d’une IndyCar que McLaren et Fernando Alonso ont présenté les couleurs de la Dallara que pilotera l’Espagnol ainsi que du casque du pilote. Alonso fait ses premiers tours de roues sur ovale aujourd’hui sous les yeux de l’équipe Andretti. McLaren a tenu à célébrer ce retour en engageant une Dallara DW12 ornée du célèbre ’orange papaya’ que portait déjà la voiture de Woking lorsque Johnny Rutherford a remporté la célèbre épreuve en 1974 et 1976. Un clin d’œil à l’histoire conjointe de l’équipe et de l’épreuve, mais la monoplace numéro 29 portera également un bout de museau argenté, comme toutes les monoplaces engagées par Andretti dans la discipline, afin de sceller son identité. De son côté, Fernando Alonso a présenté un casque à dominante noire, au design rétro, lequel il a orné de couleurs rappelant son couvre-chef en Formule 1.

Bien avant le GP le plus glamour de la saison et en l'absence de Fernando.... ------------------------------------------------------------------------------- Monaco dément une rumeur tenace Oui, la Principauté paie pour son Grand Prix 2 mai 2017 - 18h13, par Olivier Ferret La principauté de Monaco paie-t-elle quelque chose à la Formule 1 pour avoir son Grand Prix ? Pendant de nombreuses années, les rumeurs affirmaient que Bernie Ecclestone et Monaco avaient un accord pour que Monaco n’ait pas à payer le prix du plateau, qui varie de 20 à 35 millions d’euros par an selon les pays. Le Prince Albert II a tenu à démentir ce qui est entré dans le domaine des croyances. "C’est juste une rumeur. Peut-être que nos droits sont moins élevés que pour d’autres circuits mais nous avons bien une facture à régler. Bernie Ecclestone avait bien conscience de ce que Monaco apportait (comme prestige) à la Formule 1. Il l’a dit lui-même, comme le disent les sponsors et les pilotes," dit-il. Pas question de connaitre en tout cas le montant du rabais consenti. "Cela fait partie des négociations menées l’ACM [Automobile Club de Monaco]. Bernie a toujours pris soin de nous mais il nous a toujours fait payer le prix qu’il jugeait juste. Je ne connais pas tous les chiffres et c’est peut-être moins que pour certaines autres courses, mais il faut considérer ce que représente le GP de Monaco d’un point de vue historique. Nous ne pensons pas avoir été injustement favorisés et nous payons ce que nous devons payer," conclut le Prince.

Thanks MB ;-)