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Indycar by Us
Clousot a répondu à un(e) sujet de Clousot dans Nascar Indycar et Endurance de F1 CLUB
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Clousot a répondu à un(e) sujet de Clousot dans Nascar Indycar et Endurance de F1 CLUB
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Et notre Stoffel national qui mettait sa McLaren en 10 avant son tout droit à la reprise en fin de course. Ici on dit que les 3 pilotes qui ont fait le même tout droit au même endroit on comme "glissé" sur l'asphalte trop chaud. L'inexpérience est là aussi mais la palme revient à Stroll qui demande à son stand ce qu'il faut faire après que sa voiture (comme les autres) signale qu'elle refroidit de partout. Réponse du stand "C'est à toi à la remettre à température" un comble, le pilote demande ce qu'il faut faire pour remettre sa voiture à température. Ici notre consultant et d'Ambrosio n'en revenaient pas. En tous cas ce sera Merco et Ferrari à armes égales cette année. Manque plus que la nouvelle RB pour faire un beau trio en tête. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Arrivabene : Il n’y a pas eu de consigne d’équipe Vettel a gagné parce qu’il le méritait selon Ferrari 28 mai 2017 - 16h57, par D. Thys Les deux Ferrari de Kimi Raikkonen et de Sebastian Vettel étaient sur la première ligne de la grille de départ du Grand Prix de Monaco et on pouvait donc imaginer que l’une des deux allait s’imposer. C’est effectivement ce qui s’est produit, mais ce n’est pas le poleman Kimi Raikkonen qui s’est imposé, mais son équipier Sebastian Vettel. "Le résultat d’aujourd’hui est la preuve que le travail paye et nous sommes donc très contents," déclare Maurizio Arrivabene, le patron de la Scuderia Ferrari. Il ne semblait pas vouloir s’étendre outre mesure sur le doublé de ses pilotes en Principauté, mais les journalistes ne voulaient pas le laisser filer aussi vite...Car cette victoire est-elle vraiment celle de Sebastian Vettel ou est-elle celle de Kimi Raikkonen sacrifié sur l’autel des intérêts de l’équipe ? C’est en effet grâce à une stratégie plus judicieuse que Sebastian Vettel a dépassé son équipier après le seul arrêt au stand. La tête de Raikkonen à l’arrivée valait toutes les explications… Pourtant, Raikkonen ne s’était pas encore exprimé que Maurizio Arrivabene avait déjà son explication à lui."Malgré ce qui se dit, nous n’avons donné aucune consigne d’équipe. Nous voulions ce résultat, car cela fait partie de notre ADN, mais ce sont les pilotes qui se battent pour ça en piste. Aujourd’hui, Sebastian a été très rapide avec des pneus usés et c’est comme ça qu’il a pris la tête de la course. Je dois encore féliciter tout le monde dans l’équipe et dire que nous avons une voiture incroyable," précise Arrivabene. Le directeur a aussi un petit mot pour Raikkonen. "Je n’oublie pas que Kimi a signé la pole position hier. Il n’est pas avec nous pour faire le nombre, mais pour faire sa propre course. C’est ce qu’il a fait aujourd’hui et il a fait une très belle course, comme Sebastian," ajoute-t-il. Quant à savoir qui a décidé d’arrêter Raikkonen, lui ou l’équipe, il faudra encore attendre pour avoir une explication...
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Première pole de Räikkönen depuis 2008, Ferrari verrouille la première ligne Un travail parfait au sein de la Scuderia 27 mai 2017 - 15h29, par Emmanuel Touzot Ferrari a conquis la première ligne complète à Monaco aujourd’hui, c’est la deuxième fois de la saison que la Scuderia y parvient après le Grand Prix de Russie. Mais pour la première fois depuis 2008, c’est Räikkönen qui s’élancera premier. "C’est génial, ce n’était pas un week-end facile mais nous avons réussi à bien régler la voiture pour les qualifications" explique le Finlandais. "C’est difficile d’atteindre un bon rythme ici mais c’est le meilleur endroit pour piloter et j’espère en tirer le maximum demain. C’est difficile d’être régulier mais la voiture était très bonne, c’était plaisant". Sebastian Vettel a permis à Ferrari de faire des qualifications parfaites en s’emparant de la deuxième place à 43 millièmes de son équipier et verrouille la première place face à Valtteri Bottas pour seulement 2 millièmes ! "Je félicite Kimi" a-t-il commencé. "On sait qu’on peut toujours aller un peu plus vite, la voiture était très bonne. Je ne sais pas quelle est la cause des problèmes de Mercedes mais nous avons réussi à progresser à chaque séance. C’est l’une des meilleures courses de la saison, c’est difficile d’y faire une performance parfaite mais quand c’est le cas, on est félicité. Il ne faut pas oublier Valtteri qui a fait un très bon tour. Je suis d’ailleurs surpris de le voir si proche de nous..." Maurizio Arrivabene a tenu à féliciter ses deux pilotes pour le travail accompli : "Je suis très heureux pour Kimi car il le mérite, il montre de nouveau qu’il est un champion. Sebastian a fait une erreur dans le virage 5 mais avec deux voitures en première ligne, je ne peux qu’être heureux. Nous devons toutefois être prudents suite à ce qu’il s’était passé à Sotchi". En Russie, les Ferrari avaient été battues par Bottas en course malgré une première ligne le samedi. Toutefois, les caractéristiques du circuit monégasque pourraient faciliter le travail à Räikkönen et Vettel.
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Motos, en général...tout sauf les courses...
Clousot a répondu à un(e) sujet de Blutch1 dans Moto GP de F1 CLUB
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Je me demande tout de même si la prestation remarquable des McLaren touchera le moral de Nando ? Il savait que Monaco représentait le seul GP où il pouvait faire quelque chose, la preuve aujourd'hui. C'est donc en pilote de grande classe qu'il a choisi la solution la plus difficile, Indianapolis et ses 500 miles à plus de 300 kmh en circuit ovale.
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Clousot a répondu à un(e) sujet de Clousot dans Nascar Indycar et Endurance de F1 CLUB
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Que pensez de la loterie monégasque si ce n'est qu'elle est souvent déroutante. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Hamilton : J’adore ce duel avec Vettel C’est un vent de fraicheur ! [center] 27 mai 2017 - 10h58, par Olivier Ferret Dans un entretien au quotidien sportif L’Equipe, Lewis Hamilton a admis être très motivé par le duel que lui offre cette saison 2017, un duel avec Sebastian Vettel, un pilote d’une autre écurie. Voilà qui remotive le Britannique après trois ans de lutte en interne face à Nico Rosberg, aujourd’hui à la retraite. "Dès que nous sommes arrivés aux essais hivernaux, nous avons su que Ferrari serait un adversaire redoutable. Mais en arrivant en Australie, il était quelque peu troublant de voir que nous n’étions pas loin," dit-il. "J’adore ce championnat. C’est frais, c’est nouveau. C’est l’un des plus beaux auxquels je peux participer. Lorsque vous vous retrouvez à vous battre contre votre équipier, le sentiment que vous ressentez est... le manque d’excitation. Pour l’équipe, il y a forcément un manque de motivation. J’adore les quatre années passées dans l’équipe et les trois dernières où nous avons dominé. Mais cette saison, c’est réellement différent. Lorsque Valtteri a gagné en Russie, j’étais super heureux pour l’équipe. C’est un sentiment extraordinaire, totalement distinct de ce que je ressentais les années précédentes." Et Hamilton l’avoue : Rosberg ne lui manque pas, même pour lui reprendre son titre en piste. "Franchement, pas une seconde. En fait, peu de personnes me manquent : ma tante, décédée et qui est sur mon téléphone, mes chiens, ma mère. Mais c’est tout. Cette année, je me bats contre Vettel, l’un des meilleurs pilotes dans l’histoire. C’est frais, c’est intense et c’est excitant." Ce duel surclasse même leurs équipiers respectifs. "Il faudrait peut-être que la bataille soit également plus serrée avec les autres," reconnait-il. "C’est vrai qu’à Barcelone, avec Seb, on s’est retrouvés un peu tout seuls. Je veux le battre sur la piste à la régulière. Il semble bien que nous soyons très proches l’un de l’autre. Et j’adore cela. Je n’aimerais pas remporter la couronne sur des questions de fiabilité. Chaque Championnat, lorsque vous le remportez, est spécial. Pour gagner, il faut toujours, à un moment de la saison, faire face à l’adversité, résister à des courants contraires. Ce n’est jamais facile. Et puis, il est encore tôt. Mais cela me rappelle 2008 quand Massa est devenu champion en franchissant la ligne et que je l’ai finalement emporté en doublant dans le dernier virage. Ce titre sera plus gratifiant que ceux gagnés contre mon équipier." Comment Hamilton explique-t-il cette relation presque amicale avec le pilote Ferrari ? "Justement parce qu’il s’agit de Sebastian Vettel. C’est génial de devoir combattre un gars de ce calibre. Il faut être à son meilleur pour espérer finir devant lui. Seb est l’un des rares pilotes de très haut niveau. Pouvoir me battre avec un tel pilote, doté d’une machine si performante, je vous promets que c’est quelque chose de rare. Il nous arrivera peut-être de rencontrer, sur la piste, des problèmes. Mais je crois être devenu assez vieux et sage pour vivre avec ce genre de problème. C’est un très grand pilote." [/center]
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L'informatique pour les nuls, et les moins nuls
Clousot a répondu à un(e) sujet de Blutch1 dans Vos autres passions de F1 CLUB
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Je suis évidement d'accord avec toi Us. La Formula "I" comme ils disent (pour mieux se démarquer) est soutenue comme jamais par les lobbies et les capitales qui les accueillent. C'est un monde à part qui draine également une nouvelle catégorie de spectateurs. C'est comme une course cycliste qui attire tout le patelin. La comparaison s'arrête là car maintenant ils en arrivent à greffer "un son" aux voitures électriques pour faire plus sérieux. Lorsque je les vois se toucher et exploser en morceaux au moindre contact je me demande où on est. Sans cesse un visage connu pour nous rappelez qu'on est pas dans une kermesse. Allez j'arrête là et je leur souhaite bon courage.
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Regardez les 12 pipes d'admission au dessus du moteur, une par carburateur et donc par cylindre. C'était l'époque où l'injection et la gestion électronique n'existaient pas encore. Le flux de carburant était directement vaporisé via une rampe dans les pipes d'admission, c'était la voie la plus directe pour alimenter le moteur. Ces moteurs tournaient tellement vite que pour les alimenter par la voie classique "cuve et carburateur" c'était juste impossible. D'où l'injection directe dans la pipe d'admission. Séquence blabla moteur ;-)
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C'est tout simplement fabuleux de technologie. Tout est pensé pour la course. Même posée comme elle est là en cours de montage cette voiture est captivante. Je la regarderais un sacré bout de temps avec un profond respect pour les ingénieurs. Ca me rappelle mes 24 heures au Mans dans les années 80 où je suis resté une heure accoudé à la barrière devant le stand Porsche. C'était clinique, les voitures était sur tréteaux à hauteur d'hommes et l'outillage rangé comme en salle d'op'. Chacun avait sa tâche et Jacky Ickx voyageait entre tout le monde le sourire au lèvres et l'attention pour tous. Une ambiance d'avant course que je n'oublierai jamais.
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Hamilton ne ressent pas de pression à l’idée d’égaler Senna Il lui manque une seule pole position 26 mai 2017 - 09h26, par Emmanuel Touzot Lewis Hamilton n’est plus qu’à quelques longueurs de devenir le pilote ayant signé le plus de pole positions de l’histoire de la Formule 1 puisqu’il pointe à la troisième place du classement à quatre longueurs de Michael Schumacher et à une unité d’Ayrton Senna. Bien que Senna soit son idole, le Britannique ne ressent aucune pression quant à l’idée d’égaler et dépasser ce qui a longtemps été le record détenu par le Brésilien. "En grandissant, je regardais les Grands Prix en rentrant à la maison, je ne m’en lassais pas" explique Hamilton. "A chaque fois que je rentrais, je regardais des caméras embarquées d’Ayrton à Monaco et c’est désormais ce que je fais tous les ans. Et de manière plus importante, j’atteins son record en qualifications, ce qui me paraît irréel. Je suis très fier d’être au milieu des grands. Je ne ressens pas de pression, si ça arrive ce week-end, ça arrive. Si ce n’est pas le cas, ça finira par arriver. J’aurai une autre pole à un moment ou un autre dans ma vie. Je continuerai à attaquer et c’est assez remarquable de me rendre compte de ce que ma famille et moi avons accompli". L’histoire entre Senna et Monaco est spéciale, mais elle est surtout mystifiée par le tour de qualification du Brésilien en 1988, où il avait expliqué avoir eu une expérience quasi extra-corporelle et très spirituelle à l’origine de son tour qu’il décrivait comme parfait. Hamilton est bien plus cartésien que cette citation qu’il apprécie cependant. "Je pense que Ayrton était spécial et très bon dans sa manière d’utiliser les mots, un peu comme Mohamed Ali. Mohamed utilisait des phrases car il savait que tout le monde les noterait ! C’était pareil pour Ayrton car je sais qu’il n’existe pas de tour parfait, on peut toujours progresser. Il y a un sentiment incroyable quand on se sent à la limite, cette sorte de ligne parfaite que l’on essaie d’atteindre chaque année, mais je ne l’ai jamais trouvée. J’ai fait de bons tours qui en étaient proches mais comme je l’ai dit, on peut toujours progresser. On peut trouver quelques millimètres ici et là et c’est le meilleur au sujet de notre sport. Lorsque l’on signe le tour parfait, il n’y a rien de mieux. J’aime à penser qu’on chasse toujours quelque chose, qu’il y a toujours un défi. La cible est toujours mouvante et si l’on arrive à l’atteindre, elle peut toujours bouger" poursuit le triple champion du monde. Il a remporté à deux reprises le Grand Prix de Monaco et bien qu’il ait dû attendre huit ans entre ses deux victoires en principauté, il estime que ces deux succès sont un gage de qualité dans sa carrière. "Je suis heureux de ceux que j’ai, peu de gens peuvent dire qu’ils ont gagné à Monaco. Surtout de la manière dont ces deux victoires ont été acquises, parfois la quantité ne fait pas tout et la qualité importe, et je suis fier d’avoir acquis des victoires de qualité, même si j’en veux forcément d’autres" conclut-il.
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Considérer qu'il faille passer par un pilote payant pour assurer la vie d'une écurie, est en soi dangereux. En effet ce pilote apporte de l'argent via ses sponsors mais demeure inexpérimenté donc dangereux pour lui mais aussi pour les autres. Ne faudrait il pas, dans ce cas, intéresser la FIA sur sa responsabilité car c'est elle qui force les écuries à toujours allez plus haut. Comprenez, la FIA serait reconnue coupable de ne pas avoir assurer la sécurité du plateau par laxisme sur les investissements. Partant de là ce serait à elle de niveler le plateau F1 en uniformisant les budgets et le matériel engagé. On en reviendrait à s'inspirer du modèle américain qui favorise d'abord le spectacle en uniformisant le matériel. Mais j'y pense, depuis peu c'est une société américaine qui est à la tête de la F1, alors ne serait il pas possible enfin d'y arriver ?
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Clousot a répondu à un(e) sujet de Blutch1 dans Moto GP de F1 CLUB