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Clousot

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Tout ce qui a été posté par Clousot

  1. Donc en LMP1 il n'y a plus que Toyota Hybride et Porsche c'est ça ?
  2. Alonso n’est pas certain de disposer d’un Honda évolué Il ne croît que ce qu’il voit 5 juin 2017 - 11h25, par Emmanuel Touzot Malgré l’annonce de Honda qui avait assuré amener un moteur évolué au Canada, il se pourrait que la nouvelle mouture du bloc japonais ne soit pas prête pour le week-end prochain. Fernando Alonso ne le croira que lorsqu’il le verra. "Je ne sais pas si nous aurons une nouveauté au niveau du moteur au Canada, mais je l’espère" déclare celui qui revient à la F1 après sa pige en IndyCar."J’ai lu ça aujourd’hui mais je lis souvent des choses contradictoires selon où je les lis. Nous ne saurons pas avant d’arriver au Canada, mais à chaque fois que nous mettrons un nouveau moteur, nous partirons derniers car nous avons déjà dépassé nos quotas. Il faudra donc choisir très prudemment les courses lors desquelles on effectue ces modifications". Après un week-end de bonheur à Indianapolis, où il se battait pour la victoire jusqu’à la casse de son moteur, Alonso revient en F1 avec des attentes positives mais réalistes. "Je pense que nous progresserons bientôt mais je sais que ça ne sera pas immédiat. Mais nous progresserons et tout le monde l’attend avec impatience". Ravi de son expérience outre-Atlantique, l’Espagnol avoue qu’il envisage de disputer les 24 heures du Mans, même s’il n’a pas de plan précis. "Cela arrivera dans le futur, je n’ai pas de date exacte. Depuis que je suis gamin, à l’époque ou j’étais pilote de karting, je rêve de F1, du Mans et d’Indy".
  3. La mentalité de Lewis passe mal car elle n'est pas en phase avec l'Indycar et son monde. Hamilton ne connaît pas et se réfère au retour provoqué après l'investissement de Fernando. Il est incapable de se projeter dans ce monde beaucoup plus disputé et bien moins aseptisé que celui de la F1. Maintenant qu'il se permette de critiquer l'affaire est une autre paire de manche. En effet Lewis Hamilton est reconnu ici mais pas chez eux où il fait bien trop précieux. Je crois que Lewis ne mettra jamais les pieds dans une autre voiture qu'une F1 et ce pour le restant de sa carrière. Fernando a prouvé au monde entier quel pilote il était et personne ne le critiquera de se risquer un jour à prendre la place de Bottas. Mais voilà, Fernando Alonso est un homme de parole et si Honda trouve la solution il sera à nouveau champion du monde envers et contre tous. Lewis quand à lui restera ce qu'il est, un pilote de course très talentueux mais impossible à glisser dans une autre voiture qu'une F1.
  4. En effet belle leçon pour tout le monde..
  5. Hulkenberg : Le week-end du Canada est exceptionnel "Eviter le Mur des Champions" 3 juin 2017 - 08h33, par Olivier Ferret Débordant d’énergie après une expérience monégasque plus courte que prévue, Nico Hülkenberg veut réaliser une performance de premier plan sur le Circuit Gilles Villeneuve, le week-end prochain. Appréciez-vous le Grand Prix du Canada ? Le week-end du Canada est exceptionnel. J’adore le circuit, la ville et l’atmosphère qui y règne. La piste mêle tracés urbains et classiques. Des murs vous attendent en sortie de virage et il faut chevaucher de gros vibreurs. Le rythme est vraiment sympathique, d’où une certaine affection. Et la semaine à Montréal est l’une des meilleures de l’année. Une météo de prédilection ? Des conditions mixtes rendent toujours les choses plus intéressantes et épicées, mais je n’ai aucune préférence à ce sujet. Nous ferons tous avec ce que nous aurons. Il y a généralement quelques surprises au Canada. Décrivez-nous l’ambiance de cette épreuve... À l’épingle, on est entouré de tribunes à gauche et à droite. On peut vraiment ressentir l’atmosphère. Durant la parade des pilotes, on est acclamé par les fans et on en a la chair de poule. C’est très amusant, surtout quand c’est à guichets fermés. On peut voir à quel point le Canada aime la F1. La ville entière accueille la course, bourdonne d’événements et l’accueil des locaux est très chaleureux... Tout cela crée un climat vraiment particulier. À quel point ce circuit est-il complexe ? Au Canada, l’accent est mis sur la vitesse de pointe avec des lignes droites reliées à de gros freinages. C’est l’une des pistes les plus délicates pour les freins, avec lesquels il faut être en confiance, notamment lorsque l’on veut plonger dans les virages. La chicane finale est toujours piégeuse puisqu’on peut y perdre beaucoup de temps. Comme la vitesse maximum est primordiale, cela pourrait être dur. La configuration aérodynamique à faibles appuis rend la voiture plus sensible. Les vibreurs sont importants et on doit les emprunter le mieux possible pour s’assurer un bon chrono. Où se situent les occasions de dépassement ? C’est difficile de dépasser ici, mais la dernière chicane représente assurément la meilleure opportunité. Il n’y a qu’à tenter, tout en évitant le « Mur des Champions » ! Les pneumatiques choisis sont parmi les gommes les plus tendres. Nous devons donc nous attendre à des stratégies agressives. Nous verrons ce que nous pouvons faire.
  6. 1955 alors je m'en rappelle parfaitement à la fin 50 début des années 60. On est est passé par là avec l'école lors d'une excursion à Malmédy et environ. Le circuit était toujours ouvert c'était la nationale. Merci Dom..;-)
  7. Incroyable j'ai l'impression de l'avoir connu comme ça tout au début est ce possible ? Les gendarmes dans cet uniforme j'ai connu et si cela date des années 50 alors c'est bien possible que j'y soit passé avec mon père voir mon grand père. Thanks Us vraiment...;-)
  8. Mario Andretti a trouvé Fernando Alonso ’phénoménal’ Il le considère comme le meilleur pilote de F1 2 juin 2017 - 08h34, par Emmanuel Touzot La performance de Fernando Alonso lors de l’Indy 500 n’est pas passée inaperçue, y compris dans la sphère de l’IndyCar où les pilotes et observateurs ont été impressionnés par l’Espagnol. C’est le cas de Mario Andretti, ancien champion de F1 et vainqueur de l’épreuve américaine, qui n’a trouvé qu’un mot pour décrire la course d’Alonso. "Phénoménale" a-t-il tranché. "Je suis très, très impressionné mais pas surpris car il a montré sa détermination dès le début des essais. Il roulait dès que possible pour maximiser ses performances dans toutes les conditions possibles. Je pensais que beaucoup de choses lui arriveraient pendant la course et le pire, c’est que ça a été le cas et qu’il a su quoi faire. Je suis vraiment impressionné et c’est pour cela que je suis désolé pour lui qu’il ait été trahi par sa mécanique lors d’une journée qui aurait dû être fabuleuse. Sa fin de course aurait été très intéressante". Mario Andretti considère qu’Alonso peut revenir la tête haute en F1 et s’autoproclamer meilleur pilote s’il le souhaite : " Je garantis que sa cote a encore augmenté. Il mérite ce respect, il a fait tout ce qu’il devait faire et même plus. On ne peut pas faire vraiment mieux, il n’y avait aucun perdant dans cette opération si ce n’est ce moteur !" Alors qu’il va retourner se battre pour éviter le fond de grille en Formule 1 dès le week-end prochain au Canada, Alonso avait été conseillé par Andretti de s’engager une saison complète en IndyCar, mais l’Américain pense toutefois que la fin de saison sera moins compliquée pour Alonso. "C’est difficile car la compétitivité est ce qui rend un pilote heureux, tout le reste n’est que pure frustration et l’on ne sait même pas sur qui s’épancher ! Je suis désolé pour lui car il est à son meilleur niveau et il perd du temps. McLaren ressent la même chose car c’est une équipe qui ne sait qu’être en haut des classements et qu’elle en paie le prix en même temps que lui. C’est pour cela qu’ils lui ont offert cette opportunité afin qu’il retrouve le sourire, et il l’avait jusqu’à la fin de la course ! Du côté de la F1, ça ne peut qu’aller mieux pour lui et il semble que le châssis soit bon. Du point de vue du moteur, cela va progresser, je suis certain qu’il sera dans les points avant la fin de saison" conclut Andretti.
  9. Bottas a une théorie sur les problèmes de la Mercedes W08 Un point qui pêche en particulier 1er juin 2017 - 09h57, par Olivier Ferret Valtteri Bottas, l’équipier de Lewis Hamilton chez Mercedes, semble souffrir un peu moins des problèmes d’exploitation des pneus Pirelli sur la W08. Le Finlandais s’en est ainsi bien mieux sorti à Sotchi et à Monaco, les deux circuits qui ont posé le plus de difficulté à Mercedes. Mais Bottas reconnait que ce n’est pas facile de piloter sa monoplace dans ces conditions et tente une explication. "Nous avons, à la base, un problème pour bien équilibrer la voiture dans les virages lents ou très lents, comme à Monaco. Nous souffrons d’un problème de stabilité à l’arrière et, quand le train arrière n’est pas stable, vous ne pouvez pas passer toute l’énergie possible au train avant non plus. Le train avant ne bouge pas et reste sur sa ligne, il n’est donc pas à la limite," dit-il. "Quand nous arrivons à stabiliser l’arrière, pour attaquer comme nous le voulons, alors nous trouvons la limite du train avant avec du sous-virage. Cela met un peu plus de température dans les pneus et le cercle redevient vertueux. Dans ce cas vous pouvez passer de plus en plus vite dans les virages, vous gagnez de l’énergie à utiliser dans les pneus avec les températures qui croissent." Mercedes doit donc travailler sur l’arrière. "Il faut travailler sur le grip mécanique et les appuis, afin d’avoir plus d’adhérence et une meilleure motricité. C’est ce qui nous permettra de stabiliser le train arrière. C’est ce que réussit Ferrari, ils semblent toujours réussir à faire fonctionner leurs train avant et arrière en harmonie. Pour nous, ce n’est pas vraiment le cas. Ils ne sont jamais ensemble dans la même fenêtre de fonctionnement des pneus. Ferrari fait du meilleur travail que nous, pour le moment."
  10. Carey précise ce qu’il souhaite changer en Formule 1 Il passe en revue plusieurs domaines 29 mai 2017 - 18h16, par Elisabeth Nay Chase Carey, le nouveau président de la FOM, revient en détails sur les points les plus importants à travailler pour Liberty Media. Les nouveaux propriétaires de la Formule 1 ont du pain sur la planche, beaucoup de domaines sont à améliorer selon lui. Une des priorités, selon Chase Carey, c’est la satisfactions des fans et la qualité de l’expérience qui leur est offerte lors d’un week-end de Grand Prix. "Aujourd’hui, il te faut aller directement à la rencontre des fans" insiste-t-il. "Tu ne peux plus attendre qu’ils viennent eux-mêmes vers toi. Les plateformes digitales nous ouvrent de nombreux chemins. Elles vont être un outil important pour nous. C’est le premier pas à faire, avec un meilleur marketing du sport. Nous devons pouvoir raconter des histoires. Nous avons besoin de héros dans les voitures. Les fans veulent pouvoir suivre leurs stars. Si tu ne leur offres pas la possibilité de le faire, ils vont alors perdre leur intérêt et ils vont se tourner vers autre chose. La Formule 1 a une magnifique base, des histoires intéressantes à raconter. En plus de cela, il nous faut être prêts à partager des informations et des données avec les fans. De ce point de vue, je suis un fan. Pirelli nous a emmené rapidement dans leur garage et nous a expliqué les pneus dans les moindres détails. J’ai trouvé cela terriblement excitant. Il nous faut trouver des moyens d’apporter ces informations de manière divertissante aux gens. Plus tu comprends ces choses-là, plus elles deviennent intéressantes. Et cela concerne tous les domaines de ce sport." Comme l’a laissé récemment entendre Ross Brawn, Liberty Media ne prévoit pas de changement du format des courses à court ou moyen terme. "Nous ne voulons pas changer ce qui fonctionne, nous voulons mieux le vendre. Une course ne doit pas seulement être une course, mais un évènement, avec beaucoup d’attractions pour les spectateurs. Ils doivent pouvoir vivre tout ce que le sport peut offrir. Son histoire, ses voitures, ses pilotes. Tout simplement une sorte de fête du sport automobile, un grand évènement dans chaque pays."La méthodologie de travail est aussi à revoir selon Carey, afin de pouvoir travailler sur la durée de manière efficace, avec tout le monde."Il nous faut remanier le processus de prise de décisions. Cela n’apporte rien de se tirer une balle dans le pied. Si nous introduisons quelque chose de nouveau, ou que nous changeons quelque chose, cela doit être alors mûrement réfléchi. Nous voulons rendre le sport aussi excitant que possible, et je suis certain que nous allons réussir. Si les courses sont bonnes, alors c’est beaucoup plus simple de construire quelque chose autour, avec les équipes." La redistribution de l’argent et le financement des équipes sont un sujet au centre des craintes et des débats actuellement. "Il nous faut tout d’abord améliorer l’affaire que représente la F1 dans son ensembre. Plus de recettes signifie plus d’argent pour les écuries. La deuxième étape est que nous avons besoin d’une structure économique qui améliore la compétition. Cela peut être par exemple un contrôle des coûts et une répartition équitable de l’argent. Mais, également, un moteur plus simple, où il n’y aurait pas de trop grandes différences entre les différents moteurs en compétition. Nous voulons de la technologie, parce qu’elle fait partie du sport. Mais elle ne doit pas au final éclipser les pilotes. C’est pourquoi la technologie a besoin d’un cadre qui ait du sens, qui permet à chacun de pouvoir prendre sa part au succès. Cela ne doit pas décider de combien d’argent tu dois dépenser, mais de quelle manière tu investis ton argent." L’Américain évoque un autre problème récurrent de ces dernières années, qui va être observé à la loupe : les organisateurs de Grands Prix ont du mal à assumer les frais demandés par la FOM. "Autant que je sache, chaque contrat avec les organisateurs a été signé par les deux parties. Là où nous devons faire mieux, c’est au niveau du marketing de ces courses, afin d’aider les organisateurs. Cela n’apporte rien de signer un contrat et de dire ’Nous nous rencontrerons de nouveau l’an prochain pour la course’. Il faut qu’il y ait plus de choses venant de notre part. Par exemple, donner plus de liberté aux organisateurs, pour faire de la publicité pour leur course, d’en faire un grand évènement, ou trouver des sponsors locaux. C’est la raison pour laquelle nous voulons nous réunir bientôt avec les organisateurs qui ont des difficultés. Mais nous n’avons aucun plan pour renégocier les contrats. Nous ne le souhaitons pas. Notre produit, la Formule 1, a un certain prix. Et ce n’est pas comme si nous n’avions aucune autre alternative." Carey conclut en effet qu’une longue liste de pays et de villes attendent toujours leur Grand Prix...
  11. C'est de Yves Clairac il ne s'arrête jamais ce passionné. Ca promet car il sait y faire le bougre...
  12. Clousot

    MotoGP 2017

    C'est jeune de mourir à cet âge là et de cette façon compte tenu de tout ce qu'il a vécu et fait dans sa jeune vie de pilote de course.
  13. Alonso : Revenir en F1 ne m’est pas pénible Son souhait pour l’avenir est clair 29 mai 2017 - 13h50, par Elisabeth Nay L’aventure de Fernando Alonso à Indianapolis s’est terminée avec une sensation de déjà-vu : le pilote a dû abandonner à 21 tours de la fin de la course avec une casse de son moteur Honda. L’Espagnol n’a pourtant pas démérité lors de la célèbre course de l’Indy 500, pointant plusieurs fois en tête et, juste avant son abandon, à la 7e place. Malgré le fait qu’il n’ait pas passé la ligne d´arrivée, le Taureau des Asturies ne regrette pas d’avoir choisi de disputer l’Indy 500. "Pour moi, ça a été une expérience incroyable. J’ai pu découvrir une nouvelle série, j’ai appris de zéro. J’étais un rookie, un débutant absolu. Et ça éveille tous tes sens ainsi que le pilote de course qui sommeille en toi." Le pilote de 35 ans n’est pas peu fier de la performance qu’il a su livrer sur le sol américain. "Je n’ai pas commencé aux 20 Miles de Cincinnati, mais aux 500 Miles d’Indianapolis. C’est la plus grande course du monde. Il n’y a pas de temps pour apprendre, tu dois performer tout de suite. C’était un défi extrême, mais aussi enrichissant. La course a été très bonne, ma performance aussi. J’ai mené plusieurs fois, devant les grands noms de l’Indycar. Nous étions là pour la gagne. Je me suis senti compétitif donc, si je reviens, je sais à quoi m’attendre maintenant et ce sera plus facile. Je me suis beaucoup amusé, l’une des meilleures expériences de ma carrière mais je ne suis pas prêt à en dire plus sur quand je reviendrai."La priorité reste en effet la Formule 1. Le fait d’avoir dû faire l’impasse sur le prestigieux Grand Prix de Monaco ne lui pose aucun problème... cette année, puisque McLaren est peu performante. Il reste toutefois solidaire de son équipe, qui a terminé avec un double abandon à Monte-Carlo. "Je ne suis jamais heureux quand McLaren ne termine pas une course. C’est vrai que beaucoup de personnes m’ont demandé comment je peux piloter à l’Indy 500 à la place de Monaco. Parce que (à Monaco), c’est la meilleure occasion pour l’équipe d’inscrire des points. J’ai déjà gagné deux fois là-bas, je suis double champion du monde. Alors piloter à Monaco à la 6e, 7e place… même pour la 5e… » Alonso ne redoute pas son retour dans la compétition de Formule 1, même après avoir vécu des moments intenses aux Etats-Unis. Et il se montre déjà bien pessimiste quant aux chances de briller de McLaren. "Je reviens à une routine normale. D’une certaine manière, c’est une bonne chose, car c’est plus simple et j’y suis habitué. Ce ne sera donc pas difficile. D’un autre côté, nous savons ce qu’il va se passer au Canada, en Azerbaïdjan, en Autriche, à Silverstone et ainsi de suite."Force est de constater que l’écurie basée à Woking est la seule équipe qui ne comptabilise à ce jour aucun point cette saison. Même Sauber, considérée comme une écurie de fond de grille devance McLaren au championnat constructeurs. Malgré tout, Alonso remarque des progrès. "Je pense que la voiture devient de mieux en mieux. A Barcelone, nous étions 7e en qualification. A Monaco, les deux voitures ont réussi à aller en Q3." C´est pourquoi l’Ibère pense que McLaren sera "plus compétitive". De toute manière, il a déjà la tête ailleurs. "Pour moi, en ce qui concerne la Formule 1, je ne pense plus à cette année, mais à l’année prochaine et à ce que je vais faire. C’est ma motivation." Et il précise ce qu’il projette, sans préciser avec quelle équipe : "je veux gagner mon troisième titre de champion du monde l’année prochaine." Et s’il trouve cette équipe, il est peu probable qu’Alonso puisse faire l’Indy en même temps..
  14. J'ai bien aimé cette ambiance typiquement américaine mais ces courses sont bien longues pour nous (ou pour moi tout seul). Est ce le cas de toutes les courses Indy ou seulement pour l'Indy500 ? Les relais TV, les interviews, les relances et puis ce gros pickup au début qui tire un drapeau aussi large que la piste, vraiment je comprends mieux l'idée de "l'Américan First" prônée par Trump tout au long de sa campagne. Les américains ont ça dans le sang et on le cultive sans cesse pour eux. Quel spectacle...
  15. On a toujours fait comme ça depuis plus de 10 ans. On part du principe qu'un bonus vient après le classement par points. On a le bonus où on ne l'a pas. Il existe ou pas sinon ce ne serait plus un "bonus" voilà tout.
  16. Hamilton : La passion est à son apogée "Un championnat comme je l’aime" 29 mai 2017 - 09h32, par Olivier Ferret Lewis Hamilton, triple champion du monde de Formule 1, s’est prêté au jeu de l’interview face à Jean Alesi, ancien pilote de Formule 1 et consultant CANAL+. Septième à Monaco et deuxième au classement mondial des pilotes, le Britannique s’est confié, avant la course, sur sa semaine spéciale, son équipe et son sport. C’est une longue semaine…"C’est une longue semaine, surtout avec le festival de Cannes. (…) Je fais beaucoup d’aller-retours, c’est une semaine très chargée. Ce n’est pas facile de vivre dans deux mondes à la fois." Même si vous n’êtes pas en tête du championnat, vous avez l’air heureux…"Oui, je prends beaucoup de plaisir. Je suis très fier de tous les gars à l’usine. Je ne sais pas si tu as pu aller dans une usine de Formule 1 récemment. Il y a tellement de gens qui travaillent si dur pour que je puisse courir. Je suis fier d’eux.Malgré les changements de réglementation, on est toujours compétitif. Lutter contre une autre écurie plutôt qu’avec son équipier, c’est vraiment rafraichissant. Quand vous optimisez la voiture et vos performances pendant un weekend, et que vous vous retrouvez au top, leader de votre équipe et encore mieux devant Ferrari, quand vous êtes si proche, la passion est à son apogée. Quand vous vous battez avec votre équipier, il n’y a pas de passion." Quand vous avez vu Vettel sortir des stands à Barcelone, vous avez dû être surpris ?"Je ne me souviens pas d’une sortie des stands aussi limite. Cela ne m’était jamais arrivé. C’est la course comme je l’aime." Quand commence vraiment votre weekend ?"Je suis arrivé samedi dernier (le 20 mai). Ton rythme de sommeil, l’entrainement, la gestion de l’énergie, tout cela est capital pour être dans le bon état d’esprit. C’est très exigeant. Les pilotes ne profitent pas vraiment. Tout le monde s’amuse, il y a du soleil, de beaux endroits, de bons restaurants, des soirées… Mais pour les pilotes, les mécaniciens, les ingénieurs, c’est un weekend qui nous prend énormément d’énergie. Comment vous gérez cela, c’est capital." Quel est votre virage préféré à Monaco ? "J’aime bien celui du Casino (photo). En haut de la montée, quand vous freinez sur la partie qui descend, c’est incroyable ! Vous arrivez dans ce virage à plus de 160 km/h. Comme j’habite ici, ça m’arrive de passer là en marchant, en courant ou en voiture pour aller au supermarché ou pour faire les magasins. Une fois en haut, on se dit : « c’est dingue de passer ici à cette vitesse ! » C’est vraiment un sport à part, c’est impossible de se mettre à notre place. Vous ne pouvez pas imaginer ce que l’on ressent au volant. Vous n’avez pas la possibilité d’essayer une Formule 1. Ce n’est pas comme le foot où vous pouvez tous essayer d’imiter Messi ou LeBron James au basket. Mais faire comme moi c’est impossible. Même si vous faites du karting ce n’est pas pareil. Et c’est dommage. C’est impossible d’imaginer les sensations au volant. J’aimerais que tout le monde puisse connaître ces sensations, parce que ce serait alors le plus grand des sports."
  17. Stoffel doit vraiment s'en vouloir di dju!
  18. Clousot

    Pronos - Les points.

    A ce train là Blutch va s'appeler Lewis2015 (celui qui gagnait tout)
  19. Super MB bien vu et encore bravo à toi....
  20. Une part d'aléatoire c'est bien possible au vu de la fraction de seconde qu'il suffit pour déclencher l'imprévu. Maintenant une casse moteur échappe forcément à l'aléatoire compte tenu de l'exigence des contraintes mécaniques. Ces moteurs fleurtent allègrement avec la zone rouge et pratiquement en continu. Au final je me demande comment ils résistent à pareilles tortures des heures durant. C'est une marque en particulier qui fera la une d'ici peu. Vin dju!
  21. Shuutt EPT n'en dit pas plus car Us ne sait pas. Enfin je crois...
  22. Yes EPT mais le championnat est encore long et totalement différents des autres depuis 3 saisons. Il ne s'agit plus de rivalités entre pilotes d'une même écurie mais de la vraie rivalité entre plusieurs écuries. Ne boudons pas le plaisir de revivre enfin la F1 du temps de mon Schumi et des autres...
  23. Yes EPT je regarde les 500 miles pour le moment via ESPN Live est c'est quelque chose mais je n'en dirai pas plus pour not'Us.
  24. Pour l'instant ça va pas d'alerte de mon anti virus etc..;-) C'est BT Sport ESPN qui diffuse donc c'est réglo de ce côté là.
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