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Corrado1111

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  1. Pour l'alcool au volant : Article L234-13 : Toute condamnation pour l'une des infractions prévues aux articles L. 234-1 et L. 234-8, commise en état de récidive au sens de l'article 132-10 du code pénal, donne lieu de plein droit à l'annulation du permis de conduire avec interdiction de solliciter la délivrance d'un nouveau permis pendant trois ans au plus. NOTA : Loi n° 2003-495 art. 3 III : Les dispositions du deuxième alinéa de l'article L. 234-13 dans leur rédaction antérieure à l'entrée en vigueur de la loi n° 2003-495 demeurent applicables aux infractions commises avant cette entrée en vigueur. Récidive en plus des sanctions pénales (jusqu' à 2 ans d'emprisonnement, de 4 500 euros d'amende) il risque une suspension ou une annulation de son permis pour une durée pouvant atteindre dix ans. Conduire sans permis : La loi n° 2004-204 du 9 mars 2004 portant adaptation de la justice aux évolutions de la criminalité, dite " loi Perben II ", publiée au Journal Officiel du 10 mars 2004, apporte plusieurs innovations en matière de sécurité routière, dont l'une concerne la conduite sans permis : La conduite sans permis est un délit puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende. Jusqu’alors, seule la récidive de la contravention de 5°classe de conduite sans permis constituait un délit (puni de 2 ans d’emprisonnement et de 3 750 € d’amende). Rappelons que la conduite malgré la rétention, la suspension, l’annulation ou l’invalidation du permis sont des délits punis de 2 ans d’emprisonnement et de 4 500 € d’amende. Les disposition de cette loi sont appliquée depuis le 12 mars 2004. source stagespointspermis
  2. PISTON Les parties mobiles: Le Piston: Constitution: - Coulé en alliage (alpax) - Coulé en fonte ( très rare) Conditions à remplir: - Résistant et rigide, subit des pressions de 40 à 50 bars - Bien ajusté : un jeu trop grand ( usure) un jeu insuffisant ( grippage) - étanche dans le cylindre ( segments) - léger - bien guidé ( hauteur de jupe) - soumis à des frottements minimums (graissage, usinage) - posséder une bonne conductibilité thermique - éviter les points chauds - permettre des taux de compression élevés - améliorer le graissage Organisation Différents type de pistons Conçus pour limiter la dilatation - piston monobloc - piston constitué d'un alliage à haute teneur en silicium, ayant un très faible coefficient de dilatation - piston thermostatique - piston elliptique - piston à jupe indépendante - piston élastique à jupe fendue L'axe de piston: rôle: assurer la liaison, piston bielle Organisation Tube en acier cémenté, trempé, rectifié, il travaille à la flexion Les segments Rôle : assurer l'étanchéité entre cylindre et piston, répartir l'huile de graissage Constitution: En fonte douce en acier ( segments spéciaux) Qualités: - élastique ( étanchéité et montage) - résistant - bon conducteur de la chaleur - faible coefficient de frottement Bielle: Constitution: Elle est matricée - en acier - en alliage léger ( rare et coûteux) - titane ( compétition) travail à la flexion et à la compression Montages particuliers: - bielle à fourche et bielle plate (moteur) en V ou à plat) - bielle déportée ( moteur plus compact) Le vilebrequin: Constitution: Il est forgé ou matricé en acier ou en fonte ( coulé) il subit des efforts de torsions et de flexions Conditions à remplir: - rigide et résistant - d'un faible encombrement - bien équilibré - Conçus de façon à respecter la régularité cyclique rep désignation rôle remarques 1 Fond de la tête reçoit la poussée des gaz Le fond peut être plat ou concave ou convexe, l'intérieur est nervuré pour augmenter la résistance pour améliorer et le refroidissement 2 Gorges reçoivent les segments d'étanchéité le segment d'étanchéité supérieur est appelé segment de feu 3 Gorge inférieur elle reçoit le segment racleur d'huile ( appelé aussi segment régulateur d'huile) sont en nombre et de forme variable 4 Bossage reçoivent l'axe du piston ils sont renforcés pour résister aux efforts de fonctionnement 5 Jupe assure le guidage dans certain cas elle est fendu Montage de l'axe: rep Montage de l'axe Observation 1 Fixe dans les bossages et libres dans le pied de bielle Graissage par le pied de bielle 2 Fixe dans le pied, libre dans les bossages Graissage par retombé d'huile 3 Libre dans les bossages et libre dans le pied de bielle L'axe est maintenu en translation par des circlips Formes de pistons: Piston thermostatique Piston elliptique des entretoises et des couronnes en métal Invar ( acier+nickel) sont noyé dans le métal constituant les bossages et la tête et réduisant ainsi la dilatation La partie qui possède le + de métal ce dilate+ fortement la dimension de l'ellipse est minimum au niveau des bossages D2= + petit D1 Piston à jupe indépendante Piston à jupe fendue ( à élastique) La tête et la jupe sont nettement séparées, leur liaison n'est assuré que par les bossages au diamètre de la tête est inférieur au diamètre de la jupe à cause de la différence de dilatation La jupe est fendue de manière à permettre à celle ci de suivre les variations de dilatation, au montage la fente de la jupe est placée côté bielle descendante, opposée à la réaction latérale en raison de la fragilité du piston à ce niveau
  3. Moteur - Fonctionnement Cycle de Beau de Rochas Temps ADMISSION COMPRESSION Piston Le piston va du PMH au PMB Va du PMB au PMH Soupape D'admission La soupape d'admission est ouvertes Fermé Soupape D'échappement Fermé Fermé Bougie Évolution des gaz Les gaz frais pénètrent dans le cylindre Les gaz frais sont comprimés Rotation du vilebrequin Inertie Inertie Travail Résistance Résistance Temps Combustion détente Echappement des gaz brûlés Piston Va du PMH au PMB Va du PMB au PMH Soupape D'admission Fermées Soupape d'admission fermée Soupape D'échappement Fermé Ouvertes Bougie Production d'étincelles Évolution des gaz Combustion et détendent des gaz Les gaz brûlés sont évacués par la remontée du piston Rotation du vilebrequin Est entraîné Inertie Travail Moteur travail Résistance Le bloc moteur: Fabrication: Matière: Fonte spéciale ou alliage léger (à base d'aluminium) Obtention: Par moulage Usinage: par rabotage, alésage, taraudage, rectification Forme: A= du nombre de cylindre : soupape latérale B= du mode de distribution : soupape en tête (culbuté) C= du mode de refroidissement : par air, par liquide D= de la disposition des cylindres: en ligne, verticale incliné, horizontale, en V, en Flattwin ( à plat) Disposition des cylindres: Montage des chemises: h= Dépassement de la chemise par rapport au plan de joint du bloc moteur ( quelques dixièmes de mm) C'est un fourreau en fonte ou en acier emmanché dans le bloc après avoir été refroidis à l'air liquide ou à l'azote liquide C'est un fourreau en fonte ou acier d'une épaisseur plus importante que la chemise sècheelle repose sur un joint d'étanchéité (joint d'embase) elle est en contact direct avec l'eau Usure des cylindres: Usures Causes Remèdes Conicités Dus aux coups de feux combustion détente Traitement thermique et emploi de métaux très résistant pour l'élaborations des cylindres Ovalisations Frottement du piston dans le cylindre Lubrification du cylindre, chromage des chemises, emploi de matériaux résistant et coefficient de frottement des pistons faibles Basculement du piston au temps moteur Déport de l'axe des pistons côté bielle montante, ( augmente l'effort latéral) Frottement à la combustion détente côté bielle, pour les trois temps Axe du cylindre déporté du côté de la bielle descendante et emploi aussi d'une bielle plus longue (rare) Usure et remèdes: Remèdes contre l'excentration de l'ovalisation Basculement du piston Le déport augmente la force latérale, mais les frottements et l'usure sont réparties sur les deux côtés du cylindre La culasse: rep désignation rôle remarques 1 Chambre de combustion ( espace morte) Espace dans lesquels les gaz sont comprimés et enflammés Peut avoir différents forment 2 Joint de culasse Assure l'étanchéité entre la culasse et le bloc cylindres Composés de cuivre ou acier plus amiante ou amiante armé (amiante plus utilisé) 3 Bougie d'allumage Enflamme le mélange gazeux au moment précis Vissée sur la culasse 4 Guides de soupape Assure le guidage de la soupape Rapporté 5 Conduit du circuit de refroidissement Permet la circulation du liquide de refroidissement Remplacé par des ailettes dans le cas de refroidissement par air 6 Conduit des gaz Permettent l'admission des gaz frais et l'évacuation des gaz brûlés Réalisé en fonderie avec la culasse 7 Sièges de soupapes Assure l'appuis et l'étanchéité de la soupape Ils sont rapportés Formes des Chambres: rep désignation remarques 1 Chambre en T Très peut utilisé car mauvaise turbulence donc mauvaise combustion et distribution complexe 2 Chambre en L Légère amélioration de la chambre en T la turbulence reste encore faible mais la distribution est moins complexe ( 1seul arbre à came) 3 chambre en I très bon remplissage ( les gaz frais tombent dans la chambre) elle a une très bonne turbulence et une distribution par soupape en tête 4 Chambre en toit Montage des soupapes d'un diamètre plus grand et donc remplissage améliorer un meilleur balayage des gaz et une distribution par soupape en tête 5 Chambre Hémisphérique Très bonne turbulence, très bon remplissage, très bonne combustion et une distribution par soupape en tête
  4. ahhhhhhhh enfin une bonne nouvelle on pourra garder notre département....
  5. yes voilà ciel de toit j'avais oublié la désignation merci dady
  6. Le graissage: Nécessité : Le mouvement de deux pièces en contact produit un frottement évalué par un coefficient compris entre 0 et 1 Ce frottement qui transforme en chaleur provoque une perte d'énergie, Cet échauffement peut entraîner une fusion partielle des pièces. Le graissage est donc nécessaire pour empêcher le contact direct des pièces en mouvement Facteurs conditionnement le frottement: nature des pièces en contact, emploi de matériaux ayant un coefficient de frottement faible Exemple: acier sur régule, bronze sur acier, fonte sur acier, fonte sur fonte État de surface: Rigoureusement usinées et polies Conditions de travail: Efforts subis par les pièces, pressions de contact des pièces Situation des pièces: Proximité d'une source de chaleur (dilatation) Rôle du graissage: Interposer entre les surfaces frottantes une couche continue d'huile, de graissage ou de graphite afin de transformer le frottement sec ou direct en frottement fluide ou indirect But du graissage: Diminuer l'usure et la détérioration des organes, évacuer et répartir la chaleur ( circulation d'huile), améliorer l'étanchéité piston cylindre. Préserver les pièces contre la corrosion, éliminer les déchets (limaille) Théorie du graissage: Graissage imparfait: Certaines pièces soumises à un mouvement alternatif rapide ( piston, queue de soupape) n'autorise pas le graissage parfait: le graissage se fait alors grâce à une fine couche de lubrifiant Principaux organes à graisser > Les paliers de vilebrequin, Les têtes de bielle et les manetons, >Les paliers de l'arbre à cames, >Les engrenages et la chaîne de distribution >Les rampes de culbuteur, la queue de soupapes, le guide, le poussoir, >Les pistons et la paroi du cylindre, >Les commandes d'organes annexes Systèmes de graissage des moteurs: Graissage par barbotage: Les bielles portent sous la tête une cuillère qui puise et projette l'huile, assurant ainsi le graissage des organes à l'intérieur du carter, ( système retenu que pour les moteurs fixes et de petites cylindrées) Avantage: Simple Inconvénients: Insuffisant pour moteur de moyenne et grosse cylindrée, contrôle du graissage pratiquement impossible Graissage sous pression,sous pression normal,sous pression intégrale: Avantage: Graissage efficace, meilleur refroidissement de l'huile, contrôle possible Inconvénient: Réalisation complexe Graissage à débit réglable et à huile perdue(motocyclette)graissage par carter sec Le carter ne sert que de collecteur d'huile, il comporte des puits dans lesquels des pompes d'épuisement envoient l'huile vers un réservoir jouant le rôle de radiateur. Une autre pompe assure la lubrification sous pression des organes Avantages: Meilleur refroidissement de l'huile, évite le barbotage du vilebrequin lors d'inclinaison trop importante, favorise l'emploi de blocs horizontaux et en flat Inconvénient: Système complexe et coûteux Organes constitutifs d'un système de graissage sous pression: Le réservoir d'huile: Généralement le demi carter inférieur Les canalisations: Venue de fabrication (bloc, culasse,vilebrequin) - rigides (cuivre, acier) - souples ( caoutchouc+gaine métallique tressée Les pompes à huile: A engrenages: Avantage: simple, robuste (usure pratiquement nulle) inconvénient: aspiration faible ( nécessité de noyer la pompe) A palettes: Avantages: très bonne aspiration, très grande pression de refoulement Inconvénient: complexe, usure importante Le filtre à huile: Rôle: " retenir les impuretés qui se forment pendant le fonctionnement du moteur:" > boues, vieillissement de l'huile, >produits charbonneux, usure des pièces, >poussières provenant de l'atmosphère, >essence,mélange trop riche (abus du circuit de départ), >eau, condensation de l'air Différents montage: En série, en dérivation Le radiateur d'huile: Monté en général sur engin spéciaux ou sur moteur à refroidissement par air Organes soumis au brouillard et aux projections d'huile: Emploi de joint ( papier, liège, caoutchouc synthétique) Palier arrière du vilebrequin: Garde d'huile ( profil triangulaire, vis sans fin ou profil hélicoïdal) L'avant du vilebrequin (coté distribution): Bague d'étanchéité ( joint spi) Graissage des organes autres que le moteur: Boîte de vitesses et pont moteur: Barbotage des engrenages dans l'huile ( vidange périodique) Boîtier de direction: Graissé ou huilé suivant le type Les lubrifiants: Caractéristiques des huiles: Viscosité: Force de cohésion des molécules entre elles ( formation et continuité du film) fonction chimique, physique, mécanique. Onctuosité: Pouvoir mouillant de l'huile qui permet d'adhérer aux surfaces (épilamens) Fluidité: Propriété qui permet à l'huile de s'écouler plus ou moins facilement ( c'est l'inverse de la viscosité) Fixité: C'est l'endurance de l'huile à conserver ses qualités à l'usage Les huiles de graissage: Huile d'origine minérale avec additifs pour en améliorer les caractéristiques L'huile compound: Huile minérale + huile végétale ( ricin) augmente l'onctuosité Les huiles graphitées: Huile minérale+graphite ( augmente le poli des surfaces) Les huiles détergentes: Huile minérale + additifs ( dopés) qui ont la propriété de dissoudre les goudrons et les produits issus de l'oxydation Remarques : les huiles employées actuellement sont des huiles minérales détergentes, une huile détergente ne peut être utilisée après une huile non détergente ( l'inverse est possible) Les graisses: Huiles minérale+savon ( graisse animale) >graisse d'usage général, >graisse pour pompe à eau ( résiste à l'eau chaude), >graisse graphitée ( résiste aux températures élevées) >graisse filante ( joint de transmission) Spécification des huiles: Les huiles sont caractérisées par leur viscosité suivant un code normalisé: Exemple: SAE 10: extra fluide SAE 20: fluide SAE 30: demi fluide SAE 40: demi épaisse Incidents de graissage: > remontée d'huile ( segmentation, usure du cylindre) >émulsion de l'huile présence d'eau ( joint culasse, d'embase chemise ou bloc fendu) >dilution de l'huile essence ( abus circuit de départ, pompe essence détériorée) >les fuites ( joint et canalisation) >le colmatage ( crépine et filtre) >rupture d'entraînement (pompe) >rupture ressort de clapet de décharge >rupture du film d'huile ( pression des pièces trop grande de l'huile) "Les moteurs diesel nécessitent l'utilisation d'une huile particulière (pour combattre les effets du soufre)" Théorie du graissage: Graissage parfait: 1) pièce en contact directe 2) épilamens 3) film d'huile Le lubrifiant interposé entre les pièces ce dispose en 5 couches , 2 couches appeler épilamens qui adhèrent au paroi et le film qui ce déplace entre les deux épilamens ( le coefficient de frottement est alors très faible épilamens = viscosité/film=onctuosité Graissage des paliers: 1) Au repos l'arbre repose sur la génératrice inférieur du coussinet 2) Le mouvement de rotation entraîne le lubrifiant qui ce comporte comme un coin et soulève l'arbre 3) La pression d'huile augment, l'arbre ce centre dans le palier, dans lequel il est supporté par le lubrifiant ( film ) Graissage sous pression: rep désignation rôles et remarques 1 Carter inférieur constitue le réservoir d'huile porte un orifice de vidange décanteur ( reniflard) recycle les vapeurs d'huile pour le filtre à air, il est parfois muni d'ailettes de refroidissement 2 Crépine tamis qui retient les grosses impuretés pour protéger la pompe à huile 3 Pompe à huile assure la pression de refoulement 4 Filtre à air assure la filtration de l'huile pour protéger l'usinage des pièces en mouvement ( il est toujours monté en dérivation) 5 Rampe principale assure l'alimentation en huile des rampes secondaires 6 Rampe secondaires assurent le graissage sous pression des paliers du vilebrequin, des manetons et têtes de bielles, des paliers de l'arbre à cames, et de la rampe des culbuteurs ( les autres organes sont graissés par projection et retombée d'huile) 7 Retour d'huile permets le retour (de l'huile non utilisée dans le carter) Remarques: Ce dispositif constitue un graissage sous pression normale, par contre le graissage sous pression intégrale assure en plus, le graissage sous pression des pièces de bielles, l'axe du piston Carter sec - les pompes: 1 Puisard de récupération d'huile 2 Huile ( en très faible quantité) 3 Pompe d'épuisement 4 Filtre à huile 5 Réservoir radiateur 6 Pompe de refoulement (assure la mise sous pression et l'envoi au organe à huilé) 1 Pignon claveté sur l'arbre d'entraînement (menant) 2 Corps du pignon menant 3 Pignon libre en rotation sur son axe (mené) 4 Clapet de décharge ( limiteur de pression) 1 Corps de pompe 2 Arbre menant excentré par rapport au corps de la pompe 3 Palettes au nombre de deux 4 Ressorts appliquant les palettes contre le corps de la pompe cette pompe est munie aussi d'un clapet de décharge Les Filtres: 1 Élément filtrant 2 Clapet de décharge sécurité 3/4 joint d'étanchéité 5 cuve ou corps du filtre 1 Élément filtrant 2 Couvercle 3/4 joint d'étanchéité 5 cuve ou corps Dans ce montage , il n'y a qu'une partie de l'huile qui passe par le filtre Vérification niveau: Les rainures servent de réservent d'huile, afin d'éviter le grippage des pièces lors de la mise en rotation du moteur 1 Sonde ou manocontact situé a proximité du filtre 2 Contact d'allumage 3 Manocontact fonctionne suivant la pression d'huile 4 Lampe placée au tableau de bord, ne s'allume que si la pression d'huile est trop faible Source : bielles.free.fr
  7. okok tu parles de la lumière de plafonnier, parce que pour moi plafonnier c'est euh comment dire le plafonnier
  8. ouais mais non c'est pas ce queje voulais dire , pourquoi spécialement un de w8 et pas d'une autre passat, ce ne sont pas les mêmes?
  9. Oulà bonne question , là je peux pas trop t'aider, faut voir avec les possesseur de passat là dsl... Où t'en procurer? bin chez vw mais à mon avis tu vas taxer un max, après faire le tour des casses, ebay, leboncoin.... Mais pk spécialement un de w8?
  10. Répartiteur à tarage variable: REP désignation Rôles- Remarques 1 Arrivée du liquide En provenance du maître-cylindre 2 Départ du liquide Vers les cylindres de roues ou étrier de frein arrière 3 Soupape Autorise ou interdit le passage du liquide vers le circuit arrière en fonction de la charge 4 Ressort Solidaire de la caisse (masse suspendue sa tension ou tarage sur la soupape est fonction de la charge) En fonction de la charge C à l'arrière du véhicule au moment du freinage pour un effort E sur la pédale, la pression P est limitée dans le circuit arrière alors quel continu d'augmenter dans le circuit avant Répartiteur simple effet: REP désignation Rôle Remarques 1 Arrivé du liquide de frein (maître-cylindre) Le liquide est sous pression 2 Départ vers les cylindres arrière (liquide) Système se monte aussi sur un véhicule équipé de frein à disque à l'arrière 3 Soupape autorise ou interdit le passage du liquide vers le circuit arrière 4 Ressort taré Détermine la valeur de la pression maxi dans le circuit arrière A partir d'un effort sur la pédale, le répartiteur limite la pression dans le circuit des roues arrière à la valeur de P1, il est noter que la pression continue à croître dans le circuit avant Cylindre de roue: rep désignation Rôle Remarques 1 Corps du cylindre de roue Ce fixe sur le flasque est alimenté en pression par le maître-cylindre par raccordement de tuyauterie 2 Piston Transforme la pression du liquide en force appliqué sur les segments 3 Coupelles Assure l'étanchéité du corps du cylindre de roue grâce à la pression résiduelle 4 Le ressort Sert à maintenir les coupelles contre les pistons lors du montage 5 Tige de commande Transmettent la poussée des pistons sur les segments, sur les montages actuels, ce sont les becs des mâchoires qui est en contact permanent avec les pistons 6 Cache poussière Protège le corps du maître-cylindre 7 Vis de purge Permet la purge du circuit hydraulique par évacuation de l'air 8 Arrivé du liquide de frein Par canalisation rigide ou souple en provenance du maître-cylindre Amélioration frein à segment: Surface des garnitures différentes f de 3=F de 4 surfaces de 1 supérieur à la surface 2 pression 1 inférieur à pression 2 repère 1 mâchoire engageante repère 2 mâchoires dégageante F=PxS F= force en bar, P= m/dans S=section en cm3 Dispositif à 2 cylindres récepteurs (1 par garniture) la disposition des cylindres par rapport au sens de rotation rend les 2 garnitures engageantes Freins auto-serreurs . système BENDIX , montage flottant au moment du freinage la garniture primaire par intermédiaire de la biellette 3 s'appuie sur la garniture secondaire la surface des mâchoires (garnitures) est identique Système qui n'est plus utilisé, cependant chaque mâchoires comporte deux cames de réglage 2 talons Seul la pointe ce règle par l'excentrique (r1) le talon 3 ce centre automatiquement, le ressort (r2) rappel le talon à la cessation du freinage rep désignation effets remarques F.F' Forces d'application des segments il faut que F.F'= aient une force= sur chaque segments F=F' 1 Segment primaire ou engageant Segment entraîné par le tambour 2 Segment secondaire ou traînant Segment repoussé par le tambour 3 Tambour Son sens de rotation détermine les effets de 4 et 5 4 Effet engageant Applique le segment primaire sur le tambour S'ajoute à F 5 Effet dégageant Repousse le segment secondaire Ce retranche de F' Remarques: Conclusion, déséquilibre entre la puissance de freinage du segment primaire et celle du secondaire, le segment primaire s'use plus rapidement Source : bielles.free.fr
  11. REP désignation fonctionnement 2 Piston Le conducteur relâche son effort sur la pédale, donc le ressort ramène l'ensemble coupelle piston, l'orifice de dilatation est découvert le liquide retourne au réservoir 7 Soupape double effet S'ouvre sous l'effet de la pression dans les canalisations laquelle est dû aux rappels des segments par l'intermédiaire de leurs ressorts 3 Coupelle primaire Conserve sa forme initiale 9 Chambre avant Reprend son volume initial 11 Orifice de dilatation Permets le retour du liquide dans le réservoir 8 Ressort de rappel Repousse à la fin du freinage la soupape double effet sur son siège et maintient une pression résiduelle dans le circuit La pression résiduelle a pour effet d'assurer l'étanchéité de l'ensemble coupelle piston du cylindre récepteur= valeur moyenne : 0.3 à 0.7 bars Mastervac fonctionnement: Organisation du mastervac: rep désignation rôles - remarques 1 tige de poussée Directement commandé par la pédale de frein 2 Ressort de rappel de la tige 1 Rappel la tige lorsque le conducteur n'appuie plus sur la pédale 3 Clapet déformant Par sa déformation elle permet la mise en P.A de la chambre B et la communication entre la chambre A et B 4 Distributeur Directement actionné par la tige de poussée, il commande le clapet déformable 5 Diaphragme Il permet le déplacement du piston tout en préservant l'étanchéité du système 6 Piston + ressort de rappel Le piston assure le déplacement de la tige du maître-cylindre sous l'effet des différences de pression, le ressort ramène le piston au repos 7 Butée du distributeur Limite le déplacement du distributeur et permet le freinage sans l'assistance 8 Disque de réaction Il permets la stabilisation, il est constitué en caoutchouc 9 Tige du maître-cylindre Transmet la poussée au maître-cylindre 10 Clapet de retenue Maintient la pression dans la chambre A, lorsque le moteur est arrêté 11 Chambre arrière Chambre mise à la P.A 12 Mise en communication des chambres A et B, de la chambre B avec la chambre arrière P.A= pression atmosphérique AR= arrière AV= avant Hydrovac: Renforce la pression émise par le maître-cylindre, le circuit est placé après le maître-cylindre, action commandé par la dépression du moteur Mastervac: Renforce l'action du conducteur lorsqu'il appuie sur la pédale de frein placé avant le maître-cylindre, commandé par la dépression du moteur et l'action mécanique de la pédale de frein. utilisé sur les véhicules européens position arrêt: Les chambres A et B sont mis à la dépression le piston est en équilibre l'action de son ressort est prépondérante le distributeur est en butée vers la droite est en contact avec le clapet déformable début de freinage: 1 phase : sous l'action de la pédale de frein, la tige de poussée ce déplace le clapet déformable vient en contact de sa portée, ce qui ne permet plus la communication entre la chambre A et B est resté à la dépression freinage assistance: La tige de poussée continue d'appuyer sur le distributeur, qui vient en butée vers la gauche, le clapet déformable étant en butée, il y a donc mise à la pression atmosphérique de la chambre B. Le piston ce déplace entraînant avec lui le disque de réaction qui fait ce déplacer le piston du maître-cylindre stabilisation: Sous la réaction de la pression du maître-cylindre, le disque de réaction ce déforme et repousse le distributeur contre le clapet. La chambre B est donc isolée de la P.A le piston ce stabilise et maintient la pression dans le circuit de freinage. Augmentation du freinage: Si on désire augmenter le freinage, la tige de poussée fait avancer de nouveau le distributeur et on est ramené à la phase freinage Cessation de freinage, retour au repos: Si on désire augmenter le freinage, la tige de poussée fait avancer de nouveau le distributeur et on est ramené à la phase freinage Cessation de freinage, retour au repos: Le conducteur lâche la pédale, la tige de poussée est ramenée par le ressort, le distributeur revient en contact avec le clapet déformable le repousse ce qui permet la communication entre la chambre A et B Freins à disque à étrier fixe: REP désignation repos freinage 1 Étrier Contient du liquide de frein à la pression atmosphérique Liquide mis sous pression 2 Disque Tourne librement avec la roue Reçoit le serrage des plaquettes 3 Piston Immobile Poussé par le liquide 4 Plaquettes Éloigné du disque (jeu de fonctionnement faible) Viennent serrer le disque son commandé par le piston 5 Joint torique( joint étanchéité) Assure l'étanchéité du piston Maintient l'étanchéité Remarques: Au moment du freinage, lors du déplacement du piston je joint (5) torique ce déforme, ce qui permet lors du cessation du freinage le rappel du piston Freins à disque à étrier flottant: Rattrapage de jeu automatique: 1 Étrier 2 Piston 3 joint torique 4 Axe solidaire de l'étrier 5 jonc 6 Butée avant 7 Butée arrière 8 Jeu normal de fonctionnement ce jeu augmente entre la plaquettes et le disque au moment du freinage la course du piston augmente et entraîne le jonc au maximum sur la butée avant, et immobilise le piston, la course excessif du piston est donc rattrapé Repos: 1 Étrier 2 Piston 3 Arrivé du liquide 4 Plaquettes commandé par le piston 5 Plaquettes commandé par réaction de l'étrier 6 disque Soupape double effet Montage 4 freins à disques La soupape double effet est inexistante afin d"éliminer toute pression résiduelle (l'étanchéité du piston ainsi que le rappel est assuré par le joint torique) Montage mixte: 1 Alimentation vers les freins à disques on remarques que la soupape est inexistante 2 Alimentation vers les freins arrières la pression résiduelle nécessaire à l'étanchéité des coupelles des cylindres de roues est assuré par la soupape double effet Répartiteur double effet: REP désignation Rôles - Remarques 1 Arrivée du liquide Sous-pression provenant du maître-cylindre 2 Départ du liquide vers les cylindres récepteurs 3 Soupapes et ressorts Limite la pression sur le circuit arrière 4 Piston et ressorts En se déplaçant avec la soupape renforce le freinage dans le circuit arrière Pour effet E1 sur la pédale la soupape s'appuie et limite la pression à la valeur de P1 dans le circuit arrière, si E augmente l'ensemble piston soupape se déplace et renforce la pression dans le circuit des roues arrières.
  12. Généralités: L'énergie est fournie par de l'air comprimé envoyé dans des cylindres munis de piston, lequel se déplaçant sous l'effet de la pression de l'air agit sur la came du frein par l'intermédiaire d'une tige et d'un levier. L'installation nécessite un compresseur d'air entraîné par le moteur qui doit avoir une marge de puissance suffisante. Les freins se prêtent fort bien au freinage des remorques dont ils assurent l'immobilisation en cas de rupture d'attelage de la remorque. Servofrein électrique: Un électro-aimant est monté flottant sur le flasque, il peut donc tourner d'un certain angle. Dans ce mouvement, il commande l'écartement des mâchoires de frein par l'intermédiaire d'un levier terminé par une came. L'électro-aimant est alimenté par un rhéostat commandé par la pédale de frein Les ralentisseurs: généralités: Appareil permettant de réduire sensiblement la vitesse du véhicule par action indépendante de celle des freins à friction. Utiles dans les grandes descentes Frein moteur WESTINGHOUSE: Consiste en un obturateur monté sur l'échappement du moteur qui transforme momentanément celui-ci en compresseur d'air. Parallèlement l'alimentation en combustible est coupée. Tableau de dépannage: Anomalies causes remèdes la pédale est dure <<<<<<<<<<<<<<<<< <<<<<<<<<<<<<<<<< <<<<<<<<<<<<<<<<< source de vide défaillant grippage du pédaliergarniture grasse ou glacéeservofrein vérifier la canalisation (durit) de vide, les valvesdégripper et graisserremplacer les garnitures remplacer pédale dur, le régime moteur change au couple de frein membrane du servofrein percée remplacer le servofrein pédale devient dur de temps en temps mauvaise étanchéité du clapet changer le clapet contrôle servofrein : moteur arrêté, actionner plusieurs fois la pédale de frein, elle doit rester dure et devenir haute, mettre le moteur en marche, la pédale doit s'enfoncer légèrement anomalies: Contrôle de la source à vide, désaccoupler en tirant le clapet d'alimentation le moteur au ralenti, appliquer le doigt sur le clapet si une aspiration franche est ressentie, le servofrein est bloqué changer Organisation du maître-cylindre tandem REP désignation observations 1 Corps du maître-cylindre 2 Piston primaire Assure la mise en pression du liquide dans le circuit AV 3 Orifice de remplissage Permets le passage du liquide de frein de l'arrière de la tête du piston 4 Orifice de dilatation Assure l'alimentation de la chambre avant 5 Piston secondaire Assure la mise en pression du liquide dans le circuit AR 6 Coupelles primaires Assure la mise en étanchéité du piston au moment du freinage 7a/b Coupelles secondaires ) Joue le rôle de coupelle secondaire pour le circuit secondaire b) Assure l'étanchéité entre les deux circuits 8 Orifice de compensation Permets le passage du liquide de frein de l'arrière de la tête du piston vers la chambre avant au moment de la compensation 9 Vis d'assemblage 10 Ressort du piston primaire 11 Ressort du piston secondaire 12 Réservoir Contient du liquide freins 13 Sortie vers les freins AR Munie d'une soupape double effet pour les freins à tambour 14 Sortie vers les freins AV idem 15 Vis butée du piston 16 Butée du piston primaire 17 Cache poussière 18 Tige de commande 19 butée en tôle Consiste avec le piston 2, la vis 9 et le ressort 10 un ensemble indemontable Fonctionnement: En appuyant sur la pédale de frein, le piston primaire 2 se déplace vers le fond de l'alésage. La colonne de liquide située entre le piston 2 du circuit AV et le piston 5 du circuit AR provoque le déplacement du 5 vers le fond de l'alésage, on obtient un freinage sur les roues AV et AR Cas d'un accident sur le circuit AV: La pression dans le circuit AV est nulle.Le piston primaire 2 se déplace sans effet hydraulique jusqu'au contact de la butée 19.Le piston secondaire 5 est poussée mécaniquement et provoque le freinage sur les roues AV et AR Cas d'un accident sur le circuit AR: La pression dans le circuit AR est nulle. Les deux pistons se déplacent sans effet hydraulique jusqu'au contact du piston secondaire 5 dans le fond de l'alésage, a ce moment, le piston 2 continuant sa course comprime le liquide dans le circuit AV et provoque le freinage des roues AV Nivocode: indique au conducteur la suffisance de liquide de frein dans le réservoir du maître-cylindre Indicateur de freinage: commande les deux feux de stop généralement la commande est mécanique I.C.P= indicateur de chute de pression MAÎTRE-CYLINDRE (simple) REP désignation Rôle et remarques 1 Le corps Supporte le réservoir et constitue le cylindre émetteur de pression 2 le piston Assure la mise sous -pression du liquide 3 Coupelle primaire Assure la mise en étanchéité du piston au moment du freinage 4 Le joint ou coupelle secondaire Assure l'étanchéité à l'arrière du piston 5 Butée arrière Limite le retour du piston 6 Tige de commande En liaison avec la pédale transmet l'effort du pilote en assurant la poussée du piston 7 Soupape double effet Permets le départ et le retour du liquide 8 Ressort de rappel Maintient la coupelle primaire et maintient la soupape double effet assure aussi le retour du piston 9 Chambre avant permet la mise sous-pression du liquide de frein 10 Réservoir Le réservoir alimente le maître-cylindre comporte un niveau à respecter est équipé d'un témoins lumineux 11 Orifice de dilatation Assure l'alimentation de la chambre avant 12 Orifice de remplissage Permets le passage du liquide de frein de l'arrière de la tête du piston 13 Orifice de compensation Permets le passage du liquide de frein de l'arrière de la tête du piston vers la chambre avant au moment de la compensation 14 Cache poussière Protège l'intérieure du maître-cylindre 15 Joint d'étanchéité Assure l'étanchéité de la soupape double effet j Jeu de garde Évite le contact permanent entre la tige et le piston, le jeu ce mesure à la pédale Maître-cylindre / freinage: REP désignation fonctionnement 6 Tige de commande Commandé par la pédale assure le déplacement du piston 7 Soupape double effet Assure le passage du liquide par le clapet central 8 Ressort de rappel Comprimé par le piston il maintient la coupelle primaire qui assure l'étanchéité 9 Chambre avant Son volume diminue lorsque le piston avance 2 Piston Obstrue l'orifice de dilatation donc met le liquide sous-pression Cessation de freinage: REP désignation fonctionnement 6 Tige de commande Le pilote relâche son effort sur la commande cependant on est toujours en position freinage 8 Ressort de rappel Essaye de repousser le piston 2 Piston Obstrue toujours l'orifice de dilatation 7 Soupape double effet Étanchéité toujours assuré par le siège arrière 9 Chambre avant La pression n'est pas la même, inférieure à celle qui est dans les canalisations dans les cylindres récepteurs 3 coupelle Ce déforme sous l'effet de la différence de pression 13 Orifice de compensation Permets le passage du liquide de l'arrière à l'avant 12 Orifice de remplissage Assure le remplissage derrière la tête du piston Maître-cylindre / Repos:
  13. Prescription légales Tout véhicule pesant en charge plus de 350Kg doit être muni: - d'un frein principal, généralement à commande au pied agissant simultanément sur toutes les roues - d'un frein de secours à commande à main agissant: * soit sur les roues avant, * soit sur les roues arrière, * soit sur l'arbre de transmission But du freinage Obtenir: - un ralentissement rapide et l'arrêt net du véhicule devant un obstacle, - le maintient du véhicule à l'arrêt, - un ralentissement modéré, Principe Chaque frein comporte: - une partie solidaire de la roue - une partie ne pouvant tourner, qui vient se frotter sur la partie tournante après un léger déplacement, le frottement absorbe l'énergie cinétique de la partie tournante et la transforme en énergie calorifique de longues durées Principe de freinage Ce sont des problèmes de frottement - Frottement d'une surface de friction sur un tambour ou un disque (évacuation des calories). Si le frein chauffe trop, son efficacité est réduite (le coefficient de frottement des garnitures diminue quand la température augmente). Sur les freins à tambour la dilatation du tambour et des segments est inégale. - Frottement de pneus sur le sol, il faut éviter le blocage de la roue car le coefficient de frottement du pneu sur le sol est supérieur au coefficient de glissement. Lorsqu'il y a blocage, la partie fixe (surface de friction) est alors solidaire de la partie mobile ( tambour ou disque). Il n'y a plus transformation d'énergie au niveau des freins et le véhicule s'arrête par le glissement du pneumatique sur le sol. Puissance de freinage Le freinage brutal provoque: - des poussées importantes (inertie) sur les passagers et les marchandises, - des efforts anormaux sur les essieux, la transmission et la suspension, - éventuellement le blocage d'une ou plusieurs roues ( pertes de tenue de route) La puissance de freinage dépend: - de la force d'appui (F) de la partie frottante ( démultiplication de la commande, force physique du pilote, commande assistée), - du coefficient de frottement (f) de la partie frottante ( limité à 0,3 - 0,4 sinon broutement et blocage) - du nombre de tours - minute (N) de la partie tournante ( dépend de la vitesse du véhicule). Il sera plus grand si le frein est placé sur la transmission. - du rayon de la partie tournante ( limité par le diamètre de la roue) on voit l'avantage à loger les freins à la sortie du différentiel. P=puissance de freinage= 2pRN ------- =Fxf 60 Distance de freinage - Distance parcourue par un véhicule avant de s'immobiliser, la décélération possible est limitée par l'adhérence des pneus sur le sol qui dépend: - de la vitesses du véhicule, - de l'usure et du gonflage des pneumatiques, - de la charge - de la nature et de l'état de la chaussée ( pluie) un bon freinage assure une décélération de 6m/s² Répartition des efforts de freinage L'effort de freinage doit être identique sur les roues d'un mêmes essieu pour éviter le déport du véhicule Le freinage doit être plus énergique sur les roues avant que sur les roues arrières L'essieu arrière est surchargé Les roues déchargées vont perdre plus rapidement leur adhérence et vont se bloquer, il est donc nécessaire d'appliquer une puissance de freinage sur les roues arrières. La prépondérance sur les roues avant est facilement réalisable grâce aux commandes hydraulique ou avec un montage mixte freins à disque à l'avant et tambour à l'arrière Qualités des freins efficacité: se situe à la limite du blocage Progressivité:La puissance de freinage doit être proportionnelle à l'effort du pilote. Régularité: Peu sensible aux variations du coefficient de frottement des garnitures (influence de l'eau, de la chaleur) effort constant malgré l'usure des garnitures Bruit: indice d'un mauvais fonctionnement: - vibration d'un tambour - ressort de rappel cassé - mauvais réglage - disque voilé Échauffement: normal après un long usage (descente,conduite au frein), sinon il provient soit d'un déréglage, soit du faux rond du tambour un tambour épais ou en alliage léger muni d'ailettes favorise l'élimination de la chaleur, les ailes enveloppantes diminuent la pénétration de l'air. On voit l'intérêt d'accoler les tambours au différentiel. Cette solution offre par ailleurs l'avantage de supprimer les tuyauteries souples des freins à commande hydrauliques ( sécurité). Entraîne le bruit: - segment déformé - mauvais réglage - tambour ovalisé Broutement: Se manifeste par une action irrégulière et saccadée du frein peut être du: - à un coefficient de frottement des garnitures trop grand - à un défaut de rigidité des segments - à un défaut d'étalonnage des garnitures - à une ovalisation ou un excentrage des tambours - à un jeu excessif des roulements de roues - à un disque voilé - à des plaquettes déformées Organisation d'un système de freinage: Tout système de freinage comprend: - les freins - leurs commandes, - un servofrein qui multiplie l'effort du pilote Classification des freins: - freins à ruban - freins à mâchoires extérieures - freins à mâchoires intérieures ou segments Avantages: - simple, - efficace, - protégé contre les souillures extérieures Avantages du frein à disques: - facile à disposer hors des roues -usure uniforme -refroidissement plus facile - efficacité plus constante (meilleur refroidissement) - jeu non modifier entre disque et garniture (dilatation se faisant suivant le rayon) - moins sensibles à la présence d'eau (force centrifuge) Les garnitures: qualités recherchées: - constance du coefficient de frottement, - usure faible (fréquence des réglages), - plasticité suffisante (mise en forme) Constitution: Amiante imprégné de résine et de caoutchouc (maintenant les garnitures et les plaquettes ne dispose plus d'amiante ainsi que le joint de culasse) Fabrication: Tissées ou moulées sous pression Montage: Par rivet ou collage sur segment en fonte, en acier ou aluminium Les commandes: Mécaniques: Utilisées pour les freins de secours Organisation: à tringles ou à câbles souples Inconvénients: - démultiplication limitée, - élasticité qui empêche l'application d'efforts importants, - difficulté d'équilibrer les efforts de freinage, - rendement passable, - risque de rupture, - entretien régulier Hydrauliques: Basées sur l'incompressibilité des liquides Principe de fonctionnement: Le rapport des forces pressantes est égal au rapport des surfaces Les canalisations: En cuivre, en acier ou en nylon, la liaison entre cylindres récepteurs est assurée par des canalisations souples Répartiteurs de freinage: Rôle et but: l'adhérence (influencée par la charge) des roues avant augmentera au détriment de celle des roue arrières en fonction de l'effort de freinage. Pour que le freinage soit optimum en efficacité et sécurité il faut faire varier dans les mêmes proportions l'effort de freinage exercé sur les roues arrières par rapport à celui des roues avant. Le rôle est donc d'assurer la prépondérance des roues avant sans provoquer le blocage des roues arrières - répartiteur simple effet - répartiteur à double effet - répartiteur à tarage variable Avantages de la commande hydraulique: - transmission instantanée, - rendement excellent, - grande démultiplication de l'effort, - bonne uniformité du freinage sur les roues, - entretien réduit réglages des freins: freins à segment: La distance entre les garnitures et le tambour doit être le plus faible possible Prépondérance de freinage: Sur voiture légère les roues avant doivent subir une puissance de freinage supérieure aux roues arrières. les dispositifs sont: - diamètre des cylindres récepteurs plus grand à l'avant qu'à l'arrière, - montage d'un répartiteur de freinage, - montage mixte (étriers avant, tambour arrière) - diamètre des cylindres d'étrier plus grand à l'avant qu'à l'arrière, - montage de 2 étriers à l'avant Les servofreins: But: Renforcer l'action du pilote au cours du freinage Conditions à remplir: Laisser au pilote le contrôle du dosage de l'effort de freinage, en cas de panne le pilote doit pouvoir assurer le freinage Principe: Repose sur l'utilisation d'une énergie fournie par le véhicule, au moyen d'un appareil à la disposition du pilote Réalisations: Varient suivant la source d'énergie qui peut être: - mécanique : abandonnée - pneumatique - à dépression: utilisation de la dépression existant dans le collecteur (courant sur vl) - pneumatique: l'air est employé directement pour manœuvrer les freins (courant sur pl) - électrique: peut développer Servofrein hydrovac: Source d'énergie: Dépression prélevée en aval du papillon des gaz Valeur de la dépression: Elle est fonction: - de la vitesse de rotation - de la position du papillon des gaz ( fermé au moment du freinage) Servofrein à air comprimé:
  14. LA DIRECTION Rôle: diriger le véhicule Qualités: - Sécurité (du à la qualité des matériaux, précision de montage aux contrôle fréquents) - Précisions du à la démultiplication du mouvement aux jeux peut important, douceur à la démultiplication à l'assistance, la pression des pneumatiques corrects L'irréversibilité: - Un choc sur une roue ne doit entraîner aucune réaction au volant, elle dépend essentiellement des angles de direction La stabilité: - Direction qui reprend elle-même sa position d'équilibre en ligne droite: dépend surtout des angles de direction La fixité ou indépendance: - Doit être insensible au freinage ainsi qu'au fonctionnement de la suspension La géométrie du train avant: Constitue les différents angles du train avant "pourquoi"= pour améliorer la tenue de route+d'adhérence, rendre une direction souple et sur modérer l'usure du pneumatique, l'effort de couple si le pneumatique est perpendiculaire au plan de roulement (sol) = résistance à l'avancement entraîne des sens giratoires d'efficience de la tenue de route ( usure du pneumatique). L'avantage: - L'angle de châsse donne un supplément d'adhérence, meilleur rappel en ligne droite et donne une importante autostabilitée Influence d'un réglage incorrect: - Angle trop faible ou contre chasse la direction est incontrôlable amorce SHIMMY, - Si l'angle est trop importante, direction dur, l'autostabilitée trop poussée engendre aucune usure sur le pneumatique LE SHIMMY: oscillation rythmique du train avant de gauche à droite, qui pour un véhicule doit débuter et ce terminer au même vitesse, ces oscillation dangereuse et gênante, peuvent avoir de nombreuses causes.... Les causes: - Effets gyroscopiques, surtout quand la roue rencontre un obstacle - pressions différentes des pneumatiques, - mauvaises équilibrages des roues, - angle de châsse trop grande, - mauvaises états des suspensions, - jeux anormaux dans le train avant Les Boîtiers: 1 Vis 2 secteur 3 bielle pendante 1 Vis 2 écrou 3 bielle pendante 1 Vis 2 galet 3 bielle pendante 1 pignon 2 crémaillère La bielle de direction se monte directement sur la crémaillère La Timonerie: 1 Volant de direction 2 Colonne de direction augmente la sécurité du conducteur si colonne brisée en cas de choc 3 Boîtier de crémaillère 6 Levier d'attaque 9 L'axe de pivot 10 La fusée 12 Le pneumatique 13 Biellette de direction 1 Carter 2 Ressort assurant le métrage de jeu 3 Coquille en acier, en bronze, en nylon 4 Vis de réglage, freiner par une goupille 5 Rotule en acier L'angle de chasse: Ch Angle de chasse 1 L'axe de pivot 2 Le point de pivotement de la rotule au sol 3 Point de contact F poussée motrice F' Réaction du à l'adhérence Angle de chasse forme la verticale et l'axe de pivot le véhicule étant vue de côté But: Stabiliser les roues en ligne droite et favorise le rappel des roues en virage Remarques: La chasse est toujours positive le véhicule est en ordre de marche, elle s'obtient par l'inclinaison de l'axe de pivot rarement réglable sur roues indépendantes, réglable par interposition de cales sur essieu rigide Les Angles: L'angle inclus: C'est l'ensemble des angles: P+C90+P= l'angle obtus Angle compris entre axe de pivot et la fusée véhicule étant vue de face But: éliminer l'usure de pneumatique, le déport au sol participe au rappel et maintient des roues Le Parallélisme: Différence de distance entre AVANT et ARRIÈRE qui sépare les bords de jantes des pneumatiques avant But: Éviter l'usure du pneumatique en absorbant le jeu et l'élasticité des organes afin que les roues soient parallèles,le véhicule étant en mouvement, réglage ce fait en millimètre sur les directions à crémaillère Le carrossage: Angle que forme le plan de la roue avec la verticale, le véhicule étant vue de face But: Diminuer le déport au sol: distance entre point de pivotement de la roue et la surface de contact du pneu sur le sol Inconvénient: Effort de flexion sur la fusée usure des roulements, montage du roulement plus gros à l'intérieur, engendre une usure d'un coté de la bande de roulement L'inclinaison du pivot: Angle que forme l'axe de pivot par rapport à la verticale, le véhicule étant vu de face, n'entraîne pas l'usure des pneumatiques But: Participe avec l'angle de chasse au rappel et au maintient des roues en ligne droite. élimine l'inconvénient de l'angle de carrossage n'a aucune incidence sur l'usure des pneumatiques un déréglage de l'angle de pivot entraîne généralement un carrossage défectueux. source bielles.free.fr
  15. Le différentiel : Les roues motrices doivent tourner à des vitesses de rotation différentes: - En virage: ( la roue intérieure au virage parcourt moins de distance que la roue extérieure) - Lorsque l'adhérence des roues sur le sol varie ( l'état de la route, état des pneumatiques, usure, gonflage) Rôle: Transmettre le mouvement aux roues motrices en leur permettant de tourner à des vitesses de rotation différentes Blocage du différentiel: Nécessité: Sur un terrain difficile (neige, boue,sable) les roues motrices doivent tourner à la même vitesse de rotation afin d'assurer la propulsion du véhicule Rôle: Supprimer temporairement l'action du différentiel rép. désignation rôle remarques 1 Pont moteur Assure la transmission du mouvement aux roues 2 Renvoi d'angle (pignon d'attaque couronne) Entraîne le boîtier de différentiel 3 Boîtier de différentiel Solidaire de la couronne, il entraîne l'axe des satellites 4 Axe des satellites Libre en rotation, fixe en translation 5 Satellites Pignon libre en rotation, fixe en translation sur leur axe 6 Planétaires Pignon des demi arbres en prise avec les satellites 7 Demi arbres de roue Solidaire des roues Remarques: Dans tous les cas N= vitesse du boîtier et P= vitesse des planétaires N= P1+P2 2 Blocage du différentiel 1] Carter de pompe contenant le différentiel et le renvoi d'angle 2] Crabot rendant solidaire le boîtier du différentiel d'un demis arbre de roue dont un planétaire, (commande mécanique ou pneumatique) La commande du blocage de différentiel est commandé par pilote vitesse et en terrain difficile et si possible en ligne droite pour l'engrènement P1= solidaire du boîtier pour le demi arbre de roue à la même vitesse que celui-ci P1= entraîne donc les satellites dans un sens qui est contraire à celui de la rotation de P2 Les satellites sont donc immobilisés et les planétaires tournent à la même vitesse que le boîtier. La Poussée - La Réaction: 1) pont moteur 2) roue motrice P) effort de poussée Le mouvement reçus par les roues doit être transmis à l'ensemble du véhicule Les roues motrices et le cadre non pas de liaison rigide afin d'assurer la suspension 1] Pont moteur 2] Sens de rotation de la roue 3] Effet résistant R] Effet de réaction Au moment du démarrage, du freinage des accélérations, la roue par ses efforts résistants à tendance à s'opposer la rotation de la couronne du renvoi d'angle, le pignon d'attaque tend alors à remonter sur la couronne ce qui à pour effet de provoquer le basculement du pont. Nécessité d'un organe de réaction, afin d'absorber cet effet Le pont non suspendu montage des 1/2 arbre de roue 1) Carter de pont contenant le différentiel et le renvoi d'angle 2) Trompette de pont solidaire du carter et contenant les demis arbres de roues Montages des 1/2 arbres: Les 1/2 arbres de roues transmettent le couple moteur, il subissent donc des efforts de torsions selon leur montage, ils peuvent subir des efforts de cisaillement ou de flexion. 1/2 arbre entièrement porteur Le 1/2 arbre subit un effort de cisaillement entre C et C' (plus employé) 1/2 arbre Effort de cisaillement est supprimé côté différentiel il subit côté roue ( montage très rare) 1/2 arbre 3/4 flottant Le demis arbre de roue ne sont plus portés mais subits des efforts de flexion dans les virages 1/2 arbre entièrement flottant Le demis arbre de roue ne subit plus d'efforts de flexion grâce au montage d'un 2ieme roulement Montage des ponts suspendus 1) cadre 2) arbre menant 3) arbre intermédiaire 4) arbre mené 5) roue motrice A et B) joint déformante C) joint coulissant Roue motrice avant GMP avant 1) cadre 2) arbre menant 3) arbre mené 4) roue motrice A) joint déformable source bielles.free.fr
  16. Principe du démarreur : B: intensité du champ magnétique I: intensité du courant dans la spire F: force électromagnétique L: longueur du conducteur soumis à B Une spire parcourue par un courant est placée dans un champ magnétique est soumise à un couple F,F' qui la fait tourner Lorsque la spire a fait 1/2 tours, elle continue à tourner dans le même sens, car le courant qui la parcourt change de sens ceci est réalisé par le collecteur et les ballais Alimentation du démarreur 1 Vers le circuit de charge 2 Vers les récepteurs (alimenté avant l'interrupteur allumage) 3 récepteur alimenté après l'interrupteur allumage 4 Circuit d'allumage 5 Circuit de démarrage ( gros section) 51 Batterie 52 Démarreur 53 Contacteur manuel de démarrage 6 Circuit du relais de démarrage 61 Contacteur du relais de démarrage ( poussoir ou clef de contact) 62 Relais électromagnétique de démarrage Description du démarreur REP désignation description - rôle 1 Carcasse culasse cylindrique en acier doux, qui porte les bornes d'alimentation elles supportent les inducteurs, elles font parties du circuit magnétique 2 Masse polaire ou inducteur sont des électroaimant, ils créent le champ magnétique, ils sont constitués par des noyaux de fer doux. Autour desquelles sont bobiné des conducteurs à forts section 3 Induit ou Rotor Tambour en fer doux feuilleté qui comporte des encoches contenant les fils en forme de spires, ils tournent dans des paliers 4 Collecteur Tambour fragmenté solidaire de l'induit il assure l'alimentation des spires avec l'aide des ballais et permet le changement de sens du courant dans chaque spires, les lames sont isolées entre elle 5 Les ballais ou charbons Ils sont métallographiques ( CU+C)le ballais positif est isolés, ils assurent la continuité du circuit électrique dans l'induit 6 Flasques Ils portent les paliers le flasque avant ou nez de démarreur contient le lanceur . Le flasque arrière supporte les ballais 7 Le lanceur Constitue le dispositif d'engrènement et de désengrènement du démarreur, le moteur caractérise le démarreur Lanceur à Inertie REP désignation observations 1 Pignon inertie Comporte une masse inertie et un taraudage intérieur, il assure l'entraînement de la couronne 2 Douille filetée Permet le déplacement du pignon inertie lorsque l'induit tourne 3 Douille d'entraînement Solidaire de l'induit (clavetage) permet la fixation du ressort d'entraînement 4 Ressort d'entraînement Assure l'entraînement de la douille filetée, par la douille d'entraînement absorbe l'effort de torsion 5 Écrou de butée Limite la course du pignon inerte 6 Ressort antagoniste Limite la brutalité d'engrènement, facilite le retour du pignon inerte, évite le blocage du pignon Lanceur à commande positive REP désignation observations 1 Lanceur Libre en translation, fixe en rotation sur l'arbre d'induit (cannelure) il est généralement muni d'un dispositif de sécurité ( roue libre ou limiteur de couple) 2 relais électromagnétique Assure la commande du lanceur et l'alimentation du démarreur, comporte un enroulement d'appel (gros fil) et un enroulement de maintient (fil fin) Roue libre: 1) solidaire du pignon 2) solidaire de l'arbre Lorsque le démarreur tourne les billes ce déplacent et entraîne le pignon qui entraîne la couronne. Lorsque la couronne devient motrice, le pignon tourne plus vite que l'induit et ce dégage de l'emprise des bielles. source bielles.free.fr
  17. Description de l'alternateur rep désignation observations 11 Induit ou Stator Siège du courant induit bobiné soit en mono ou triphasé 12 Inducteur ou rotor alimente en courant continu (excitation) il est entraîné par la poulie, sa rotation crée des variations de flux, généralement il comporte 6 paires, l'extrémité de son arbre comporte des pistes 13 Balais Assure l'alimentation en courant d'excitation du bobinage du rotor 14 Diode de redressement Permettent le redressement du courant produit 16 Diode d'isolement Protège le stator et empêche le retour du courant (sens batterie alternateur) 14 Poulie et ventilateur La poulie assure l'entraînement du rotor, le rapport est environ 3 1/2le ventilateur permet le refroidissement de l'alternateur Précautions à prendre Débrancher la batterie pour toutes interventions sur le circuit de charge - Débrancher la batterie lors de l'utilisation d'un chargeur de batterie - Débrancher l'alternateur en cas de soudure électrique sur le véhicule - Ne pas débrancher la batterie (cosses) moteur tournant source bielles.free.fr
  18. Rôle d'une batterie la batterie est un réservoir électrique, qui a deux fonctions - emmagasiner sous forme chimique l'énergie reçue du générateur(alternateur ou chargeur)et il restitue l'énergie sous forme de courant continu en fonction du besoin de l'équipement électrique Composition les plaques sont constituées d'une quille en plomb antimonie (environ 10% d'antimoine) dont les alvéoles sont garnies d'une matière active L'antimoine A pour but de rendre l'alliage plus fusible ce coule mieux que le plomb pur et permet des grilles à arrête vif, d'augmenter la résistance à l'attaque par l'acide sulfurique. Permets d'augmenter la caractéristique mécanique du plomb Type matière active positive du bioxyde de plomb(pb02 couleur chocolat) Matière active du plomb pur ou spongieux Les séparateurs isolant, empêche le contact des plaques de polarité différentes Espaceurs maintiens un écartement invariable entre les plaques Écran s'oppose aux cheminements de la matière active d'une plaque vers l'autre, assure la diffusion de l'électrolyte et dégagement des gaz. Composition des séparateurs en ébonite, en bois, en laine de verre, en aggloméré, en chlorure de polyvinyle, polystyrène Composition de l'électrolyte densité 1.28kg par dm3, l'eau qui sert à sa préparation, doit être la plus pur (pas d'eau de robinet trop de calcaire,rien que de l'eau distillée) de l'eau+acide sulfurique Vérification de la charge d'une batterie avec un pèse-acide, 28° à 30° baumé(pour que la batterie soit chargée) Exemple influence du froid sur une batterie l'électrolyse à 30° baumé gèle à -40°c à 10° baumé, gèle à -5,5°c 1 bac 2 couvercle 3 plaques 4 séparateurs 5 bornes, le + gros diamètre c le + 6 barrettes 7 électrolyte, aqueuse baumé Pour recharger une batterie ou un groupe de batteries toujours 1/10 de l'intensité, une batterie se répare plus, vérifier les niveaux de l'électrolyte surtout l'été (niveau d'eau) si vous le pouvez (cache démontable)bien vérifier les cosses, vérifier si elle ne sulfate pas (sulfate de plomb)si sa revient souvent et qu'elle se recharge mal à changer. mails: On m'a envoyé un mail en me disant si on pouvait mettre de l'alcool dans la batterie pour empêcher qu'il gèle Réponse : non ,l'alcool n'empêche pas le gel de l'électrolyte et attaque les plaques positives par temps froid, il est préférable de mettre l'eau distillée pendant la charge, l'eau distillée resterait à la partie supérieure du bac si le liquide n'était pas remué par le bouillonnement donc pourrait congeler, à part l'eau distillée ne rien mettre dedans. Addition d'eau L'électrolyte est un mélange d'eau pure et d'acide sulfurique pur, l'eau s'évapore ou est décomposée, l'acide lui il reste. Il faut donc ajouter de l'eau sans acide, le niveau ne doit pas descendre au-dessous de l'arête supérieure des séparateurs afin que les plaques ne soient jamais découvertes. Il faut donc ajouter de l'eau distillée quand le niveau baisse. La fréquence dépend du travail de la batterie et de la température ambiante. Le niveau normal doit être situé à un centimètre au-dessus de l'arête supérieur des séparateurs Inconvénients de l'insuffisance de charge La batterie doit recevoir plus d'énergie qu'elle en fournit pour les récepteurs du véhicule(phares,ventilations etc....) c'est le rôle de l'alternateur,lorsqu'une batterie a été complètement déchargée, il faut la recharger mais il vaut mieux ne pas attendre qu'elle soit déchargé, même une recharge partielle est mieux à une recharge complète. Une batterie restée sans emploi perd chaque jour une fraction de sa capacité que l'on peut évaluer à moins de 1% si elle est en bon état et à plus de 1% si elle a des dérivations, ou si elle est souillée par des impuretés. Elle se sulfate donc plus ou moins rapidement, ses plaques deviennent irréductibles dans les conditions ordinaires de charge. La sulfatation progressive et lente qui diminue la capacité et le rendement doit donc être évitée en chargeant périodiquement. La périodicité de ces charges peut varier de 15 jours à 1 mois , un régime de charge égal au vingtième de la capacité jusqu'à dégagement gazeux dans tous les éléments. Inconvénients d'une surcharge excessive à trop fort régime La surcharge immodérée est non seulement un gaspillage d'énergie mais elle présente les graves inconvénients suivants: - la batterie n'est jamais bien chargée car le courant intense qui produit le bouillonnement n'est employé qu'à détruire l'eau de l'électrolyte et non à désulfater. - le niveau de l'électrolyte baisse rapidement. En effet un ampère-heure de surcharge détruit un tiers de gramme d'eau,avec un régime de surcharge double ou triple du régime normal le niveau du liquide baisse de plus d'un millimètre à l'heure ce qui fait qu'après dix heures de surcharge la partie supérieure des plaques commence à se découvrir et se désagrège rapidement. -La concentration de l'électrolyte augmente du fait de la disparition de l'eau. L'élévation température de qui résulte de la surcharge aggrave l'usure des plaques en augmentant la solubilité du sulfate de plomb. Le violent dégagement gazeux qui accompagne la surcharge accélère par effet mécanique la désagrégation des plaques Indices de décharge d'un accumulateurs Un accumulateur équipant un véhicule n'a pas, normalement , à être rechargé, l'alternateur du véhicule assure cette fonction.Cependant l'utilisation intense de la batterie ( départ en saison froide,coups de démarreur répété, etc......) peut entraîner la nécessité d'une recharge d'appoint. Les indices suivants révèlent qu'un accumulateur est insuffisamment chargé: -affaiblissement de la lumière émis par les phares -entraînement difficile ou impossible du moteur à l'aide du démarreur -densité de l'électrolyte inférieure à 20° B -couleur gris foncé des plaques. source bielles.free.fr
  19. cool ça...et ce musée serait basé où? (et pas dans mon ... ), clair que l'une des partie les plus interessantes sera l'atelier de restauration.....
  20. pi y a un i en trop à améliorer
  21. d'autres post vont suivre , n'hésitez pas à enrichir, améliorier ou coriger
  22. très utile ce lien quand t'as oublié d'aller en chercher un..... Merci bien pour ce lien...
  23. Rôle de l'Allumage C'est de permettre l'inflammation du mélange gazeux dans un cylindre en compression en créant une étincelle entre les électrodes de la bougie. Éléments qui constitue un système d'allumage classique, il comprend: - une batterie d'accumulateur - une bobine d'induction(bobine haute tension) - un condensateur - un allumeur+rupteur - des bougies Rôle d'une batterie La batterie est un réservoir électrique, qui a deux fonctions : - emmagasiner sous forme chimique l'énergie reçue du générateur (alternateur ou chargeur) et il restitue l'énergie sous forme de courant continu en fonction du besoin de l'équipement électrique (voir chapitre batterie) - Bobine d'induction (haute tension). La bobine d'allumage sert à amplifier du courant électrique " basse tension " (12 v) qui vient de la batterie en courant haute tension (H.T 20.000V). Pour alimenter les bougies grâce au distributeur REP DÉSIGNATION OBSERVATIONS 1 couvercle en matière isolante, il supporte les bornes d'entrée et de sortie du courant primaire (enroulement) ainsi que la sortie de l'enroulement secondaire 2 boîtier il est en matière isolante, il est étanche et peut contenir de l'huile pour améliorer le refroidissement 3 noyau de fer doux feuilleté il est constitué de lames ou des fils de fer doux, il assure la concentration des lignes de force, il repose sur un silo isolant 4 enroulement primaire il est bobiné à l'extérieur de l'enroulement secondaire, fil de cuivre émaillé de faible longueur et de gros diamètre (300 spires résistance R= 3 5 enroulement secondaire il prend naissance à l'entrer du primaire (retour à la masse) il est de grandes longueurs et de faible diamètre(1500 spires R=3000 À chaque variation de flux dans la bobine (flux créé par le passage du courant dans l'enroulement primaire renforcé par le noyau doux et coupé par le rupteur) il y a création dans l'enroulement secondaire d'une F.E.M induit HT:(Force Electro Motrice) pour bobine: le rapport de transformation est le rapport entre le nombre de spires secondaires, ce rapport est de 60 la tension primaire (U et P) lors de l'écartement des rupteurs est de 300 volts. vérification du circuit allant de la sortie bobine au contact fixe du rupteur contact ouvert (rupteur ouvert), la lampe doit briller contact fermé, la lampe doit s'éteindre organisation du circuit d'allumage par batterie REP DÉSIGNATION OBSERVATIONS 1 vers circuit de démarrage 2 vers circuit de charge 3 récepteur avant contact allumage 4 récepteur situé après contact allumage 5 batterie fournie le courant basse tension temps que le circuit de charge ne débite pas 6 ampèremètre renseigne sur le bon fonctionnement du circuit de charge 7 contact allumage assure l'alimentation du circuit d'allumage et de certains récepteurs 8 bobine (induction) permet avec l'aide du rupteur la création du courant Haute Tension (H.T) 9 rupteur hache le courant primaire afin de créer des variations de flux magnétique dans la bobine 10 condensateur absorbe l'extra courant de rupture ce qui rend la rupture plus franche et protège les contacts, restitue l'énergie absorbée ce qui renforce la F.E.M (Force Electro Motrice) 11 distributeur assure la distribution du courant Haute Tension aux bougies 12 bougies permettent la création des étincelles Le condensateur Constitution du condensateur Il est constitué de 2 feuilles d'aluminium ou d'étain isolé entre elles par de minces feuilles de papier. Ces feuilles sont roulées sur elles-mêmes et introduite dans un boîtier qui constitue l'une des bornes du condensateur, l'autre borne isolée étant reliée à la borne d'arrivée du courant à l'allumeur. L'isolement intérieur est généralement réalisé à la cire, quelques fois par de l'huile. Rôle du condensateur Son rôle est de rendre aussi rapide que possible la rupture du courant primaire pour que la tension secondaire soit maximum. Il absorbe pour cela les courants (dus à la self induction) qui se produisent entre les contacts au moment de la rupture évitant ainsi leur détérioration. Par ailleurs si le condensateur se charge à chaque ouverture, il se décharge à chaque fermeture des contacts renforçant ainsi le courant primaire à son établissement. La capacité du condensateur doit être suffisante pour absorber le courant de self induction.Elle est de l'ordre de 0,2 à 0,3 microfarad si la capacité est insuffisante, cela se traduira par une détérioration rapide.A la fermeture des contacts, il renforce le courant primaire en se déchargeant, réduisant de ce fait le temps de remplissage magnétique de la bobine.A l'ouverture des contacts, il absorbe le courant d'extrarupture dû à l'enroulement primaire, protégeant alors les contacts du rupteur, il réduit le temps de variation de la bobine primaire. distributeur: rupteur 1 plateau porte- rupteurs 2 borne isolée d'entrée aux rupteurs 3 ressort de rappel du linguet 4 linguet mobile isolé sur son axe 5 contact mobile en tungstène solidaire du linguet (grain de contact) 6 contact fixe 7 vis de blocage du contact fixe 8 vis de serrage 9 touchau isolant du linguet 10 arbre porte linguet E écartement des contacts (0.40) distributeur 1 entrée courant haute tension (vient de la bobine) 2 charbon conducteur 3 lame conductrice solidaire du doigt 4 plot périphérique isolé 5 sortie courant haute tension, vers les bougies 6 doigt du distributeur 7 entraînement du doigt (arbre porte came) 8 disrupture l'espace compris entre le doigt et le plot périphérique contrôle du rotor (doigt de distributeur) contrôle tête de distributeur fêlure plot central fêlure plot périphérique fêlure plot central et périphérique fêlure entre plots périphériques vérification de l'enroulement primaire de la bobine la lampe s'allume enroulement primaire bon lampe éteinte, bobine hs description des bougies REP DÉSIGNATION RÔLE 1 borne d'entrée reçoit le courant induit haute tension par le fil de bougie 2 isolant assure l'isolement électrique de l'électrode centrale (corindon ou porcelaine) 3 électrode centrale assure l'acheminement du courant secondaire (haute tension) 4 culot permets la fixation de la bougie sur la culasse filetage 14x125 ou 18x150 5 joint métalloplastique il assure l'étanchéité au moment du montage de la bougie 6 joint assure l'étanchéité de la bougie, absent sur les bougies à sièges conique 7 électrode de masse assure la continuité du circuit secondaire E écartement des électrodes assure la création des étincelles (de 4 à 6 dixièmes d'écartement (document Bosch) Ordres d'allumage suivant type de moteur 4 cylindres en lignes: 1.3.4.2 6 cylindres en lignes ou V : 1.5.3.6.2.4 source bielles mécanique automobile
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