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Le premier modèle qui a porté le nom de la marque Lotus date de 1967. Pour fêter ses quarante ans, la célèbre marque anglaise dévoile une version spéciale : la Lotus Exige Sprint. Seulement 40 exemplaires seront produit (chacun des châssis portera une année de production de la marque), ce qui fait de cette Exige Sprint une nouvelle série limitée parmis les nombreuses de la marque. La Lotus Exige Sprint rend également hommage à l'Elan Sprint commercialisée entre 1971 et 1973. Elle se caractérise par sa teinte jaune, ses bas de caisse blanc et sa frise dorée séparant les deux couleurs et rappelant le modèle d'antan. Pour rappel, ces couleurs étaient celles de la marque "Gold Leaf Tobaccoo" du team Lotus Formula One. Sous le capot, on trouvera le moteur de l'Exige S Pack Performance, à savoir le 4 cylindres compressé Toyota développant 243 chevaux. Grâce à lui, le 0 à 100 km/h est abattu en 4,2 secondes et le 0 à 160 km/h en 6 secondes. Prix : 42 500 £ (soit environ 57 000 €) avec certificat d’authenticité signé par Mike Kimberley, directeur de Lotus et un livre collector sur l'historique de la marque.

La rigueur militaire et l’art du design automobile feront bon ménage le mois prochain à Paris. Du 7 au 10 février se tiendra en effet dans la fastueuse cour des Invalides la première exposition mondiale de concepts-cars. Ces études futuristes, pour certaines proches de la série, sont d’ordinaire dévoilées lors des grands salons de Paris, Genève, Francfort ou Tokyo. L’idée de Remi Depoix, initiateur du projet et Président du Festival Automobile International, a été de les réunir en un même lieu. Sous une structure transparente de 4 000 m2 mise en scène par le célèbre architecte Jean-Michel Wilmotte, une vingtaine de concepts vont être exposées, dont la BMW CS star du dernier Salon de Shangaï, les Citroën C5 Airscape et C-Cactus, la Saab 9-4X (une première en Europe), la Mercedes F700 Diesotto, le Volvo XC 60 et la Nissan GT-R amenée du Japon pour l’occasion. Une pléiade de designers et stylistes débattront de la création automobile et des métiers associés tandis qu’un hommage sera rendu à l’art des carrossiers. Cette manifestation est organisée dans le cadre du XXIIIe Festival Automobile International dont Motorlegend est partenaire, un rendez-vous annuel permettant notamment d’élire la plus belle voiture de l’année. Après la sélection d’un jury d’experts, restent en lice en 2008 la Fiat 500, La Mercedes Classe C, la Peugeot 308 et la Renault Laguna. Au grand public de 54 pays d’élire l’une des quatre en votant par internet. La soirée inaugurale de remise des prix du Festival est prévue le mercredi 6 février 2008, veille de l’ouverture de l’exposition des concepts-cars.

Il y a maintenant quelques semaines, le petit monde de l'automobile s'était enflammé autour de photos volées d'une supercar prises sur le circuit de Lotus en Angleterre. La localisation aidant, les spéculations allaient bon train pour savoir si il s'agissait d'une nouvelle Esprit ou d'un nouveau modèle de la gamme Lotus. La réponse est désormais arrivée : ni l'une, ni l'autre ! En effet, déguisée sous les traditionnels camouflages noirs se cachait le projet d'un studio de design nommé MCE (Motor City Europe) basé au Royaume-Uni et dirigé par le britannique David Hilton. Ce dernier est connu pour avoir signé entre autre les Ford Focus ST et S-Max. Baptisée MC1, la supercar devrait être équipée d'un V10 d'environ 600 chevaux situé en position centrale arrière. La MCE MC1 devrait chausser des jantes de 20 pouces à l'avant et 21 à l'arrière. Hormis ces maigres informations, on ne connait pour l'instant que de ses dimensions : 4,5 mètres de long, 1,9 de large et 1,15 de haut. C'est à dire légèrement plus courte et moins large qu'une Lambroghini Murcielago, mais un brin plus haute. D'un point de vue purement stylistique, la MCE MC1 n'est pas sans rappeler les Vector qui firent rêver des milliers d'enfants dans les années 80. Belle ? On laissera chacun juge ; mais bestiale, la MC1 l'est clairement. Reste donc la question d'une commercialisation. Car nombre de studios se sont cassé les dents sur les contraintes de la fabrication en série d'un tel engin. Cependant, les prototypes aperçus prouvent que la MCE est déjà à un stade avancé de développement. En tout cas, Motor City Europe nous promet de nouvelles informations au printemps. Vivement le retour des hirondelles !

Si le thème du salon de Bruxelles est l’environnement, au salon de Détroit, les préoccupations semblent être les mêmes. Pour preuve, un constructeur pas spécialement réputé pour ses modèles écologiques, vient justement de présenter une variante fonctionnant au bio-éthanol ! J’ai nommé Ferrari ! La F430 vient en effet de subir quelques modifications pour lui permettre de carburer au E85, soit un mélange composé de 85% d’éthanol et de 15% d’essence. Le caractère de la bête ne souffre pas de la transformation, car aux dires du constructeur, la puissance gagne 10 chevaux (soit 500 au total) et le couple progresse de 10%. Quant aux émissions, elles sont en baisse de 5%... Venant de 420 grammes de CO2 au kilomètre, on se dit qu’il y a encore du progrès à effectuer... Mais l’opération mérite tout de même d’être saluée !

La Ford GT40, voilà une auto mythique que l’on ne présente plus ! Née pour vaincre les Ferrari en Europe, elle atteignit son but à de maintes reprises su le non moins mythique circuit du Mans, lors des 24 heures. Bien des décennies plus tard, Ford décida de construire un GT évoquant la glorieuse GT40. La Ford GT était née. Mais celle-ci n’était jamais qu’une sportive moderne rappelant, certes fidèlement, l’ancêtre. Auto Fura a agi autrement : il s’agissait de refaire une GT40 de la grande époque, mais en l’adaptant à un usage routier. Si le cuir omniprésent et la position de conduite adaptable à tous les gabarits peuvent faire penser à un engin aseptisé, sachez qu’il n’en est rien. Le V8 de 5.7 litres caché sous le long capot arrière se nourrit via de bons gros carbus, comme au bon vieux temps ! Une injection reste cependant disponible. Avec une puissance allant de 400 à 450 chevaux, voire plus, les performances sont plutôt intéressantes : 4,5 secondes sont nécessaires pour atteindre 100 km/h et 9,5 pour franchir la barre des 160 km/h. Les boîtes sont manuelles et à 6 vitesses. Montée sur des suspensions modernes et ajustables, le comportement routier devrait se montrer à la hauteur ! Mariant de nouvelles et anciennes technologies, cette Auto Fura est irrésistible ! Votre serviteur craquerait bien… Il n’y a plus qu’à jouer au lotto !

Au salon de Detroit, Ford présente la troisième version de son concept Verve. Après la 3 portes de Francfort et la 5 portes de Guangzhou, la marque américaine dévoile la déclinaison à quatre portes de son concept verve. Cette nouvelle mouture dévoile les lignes de la future Fiesta nord-américaine. Difficile de trouver de grands changements avec la dernière déclinaison nommée Notchback, seule la teinte rouge s'en distingue et rappelle le concept Verve vu au Salon de Francfort. La face avant adopte une nouvelle grille de radiateur, le hayon devient un coffre pour plaire aux américains et des feux anti-brouillards plus expressifs. Le constructeur ne dit rien concernant sa motorisation, si ce n'est qu'elle sera équipée d'un nouveau quatre cylindres économique. Le prototype Verve remplacera l'actuelle Ford Fiesta sur le marché européen dès 2009.

Le préparateur suisse Rinspeed adore les Porsche. Après s'être attaqué aux 911 et Cayman, c'est au tour du Cayenne de subir de nombreuses modifications techniques et esthétiques. La dernière création du suisse est appelée X-Trem ce qui représente plutôt bien le pack aérodynamique de l'auto. D'ailleurs, esthétiquement, cette Porsche se distingue par ses pare-chocs couleurs carrosserie, une calandre plus agressive, ses nervures ouvertes reprise du Cayenne Turbo sur le capot, des rétroviseurs extérieurs en aluminium poli et des jantes de 23 pouces (chaussées de pneumatiques 315/25 R23). L'ensemble a été rabaissé de 35 mm. Rinspeed ne donne malheureusement pas d'infos sur la préparation moteur. Pourtant, le monstre passe à 600 chevaux et peut atteindre facilement une vitesse maximale de 300 km/h. Pour info, le Cayenne Turbo S développe 521 ch, abat le 0 à 100 km/h en 5,2 secondes et atteint 270 km/h en vitesse de pointe.

Des Porsche en Le Mans Series, il y en a déjà plein. Mais l’année dernière, l’une des autos de Stuttgart manquait cruellement pour animer le championnat Européen : la Porsche RS Spyder. Présentée au salon de Genève 2007, cette barquette est préparée par le constructeur au centre d’essai de Weissach, puis vendue à des écuries privées. Et malgré la différence de catégorie (elle court en LMP2), elle a animé le championnat d’American Le Mans Series (ALMS) durant toute la saison en osant même ravir quelques premières places aux Audi R10 (LMP1). L’annonce de l’arrivée dans le championnat Européen (LMS) de plusieurs RS Spyder est donc une bonne nouvelle pour l’attrait de cette catégorie plutôt morose (on se souvient des 24 Heures du Mans avec seulement 2 LMP2 à l’arrivée sur... 11 engagés !). Ce n’est cependant pas sans contrainte que les petites RS Spyder se réengagent pour la saison 2008. En effet, suivant les habitudes de l’ACO, les règlements ont une nouvelle fois changé. Et pour ce nouveau cru, les chances de voir des LMP2 « titiller » les LMP1 sont désormais très minces. Car le poids minimum a été augmenté à 800 kilos en ALMS et 825 en LMS (contre 775 l’an dernier) tandis que la contenance du réservoir a été réduite de 90 à 80 litres pour le championnat Européen. « La différence de poids est passée de 150 à 75 kilos entre LMP2 et 1. Et la réduction de la contenance du réservoir signifie au moins un arrêt aux stands supplémentaire sur une course normale de plus de 1000 km », déplore Hartmut Kristen, directeur de Porsche Racing. « Les clients de Porsche en Europe seront désormais loin derrière les LMP1 ». Si les conditions établies aux Etats-Unis sont plus clémentes, la partie sera rude et les chances de victoire absolue pour 2008 semblent hors d’atteinte. Mais les surprises sont légion Outre-Atlantique. Dommage que l’ACO ne semble pas décidé à offrir aux spectateurs européens le même suspense...

Le préparateur allemand Edo Compétition s'attaque à la belle et puissante Audi R8. Celle-ci s'équipe d'un nouveau système d'échappement en acier inoxydable qui peut délivrer deux sons différents selon le choix du conducteur. Sous le capot, le V8 4,2 l FSI passe de 420 à 442 chevaux et son couple de 430 à 450 Nm. Grâce à ce gain en puissance, l'Audi R8 modifiée abat le 0 à 100 km/h en seulement 4,5 secondes (contre 4,7 auparavant) et peut atteindre 310 km/h ! Esthétiquement, on est toujours content de voir qu'Edo Compétition laisse la beauté du modèle d'origine opérer. On remarquera tout de même le spoiler avant, les lamelles arrière et l'extracteur d'air plus efficace en fibres de carbone et de nouvelles jantes en aluminium poli de 19 ou 20 pouces. Ces jantes pourront être peintes suivant les souhaits des clients.

Lancée au salon de Genève 2004, la Mercedes CLS a connu depuis un succès important pour une auto dont les tarifs oscillent entre 60 000 et 100 000 euros. Les 100 000 exemplaires vendus ont même été dépassés en mars 2007. Un succès du notamment à une ligne très pure de « coupé à 4 portes ». Mais après 4 ans de carrière et alors que les ventes sont en déclin, Mercedes a jugé utile de faire quelques modifications. Surtout à cette heure où le segment des coupés 4 portes se développe aux deux extrêmes : d'un côté avec la Volkswagen Passat CC, de l'autre, avec l'Aston Martin Rapide et la Porsche Panamera. Pas de panique cependant, le style de la CLS n’évolue que par petites touches. Ainsi, la face avant est revue au niveau du bouclier et de la calandre (qui ne compte plus que 2 barres au lieu de 4). Le bouclier arrière descend désormais plus bas et intègre ainsi les échappements. On remarque aussi un nouveau dessin des jantes 17 pouces, des rétroviseurs et des répétiteurs de clignotants à LED qui y sont intégrés. A l’intérieur, les seules modifications concernent le volant, désormais à trois branches, et l’amélioration du système de divertissement « télématique » pour la musique, le téléphone et le visionnage de DVD. Pour la version musclée de la gamme, la Mercedes CLS 63 AMG, de nouvelles options sont désormais disponibles (volant aplati, jantes peintes en gris titane...) et le système d’échappement est retravaillé. Elle s’équipe également de jantes 19 pouces spécifiques ainsi que de la boite « AMG Speedshift Plus 7G-Tronic » (ouf !) qui gratifie les rétrogradages d’un coup de gaz façon « talon pointe ». Mercedes profite enfin de ce « facelift » pour introduire un nouveau modèle d’entrée de gamme, la CLS 280. Equipée d’un V6 de 2996 cm3, elle développe 231 chevaux et 300 Nm de couple. Cela permet donc à la Mercedes CLS de s’afficher à des tarifs allant de 55 692 euros (CLS 280) à 106 624 euros pour le haut de la gamme, la CLS 63 AMG. Cette nouvelle version sera disponible dès mars 2008 mais les carnets de commandes sont déjà ouverts.

La filiale anglaise de Volkswagen a révélé le 10 janvier dernier lors de l’Autosport Show de Birmingham la nouvelle Jetta TSI Sport. Le bloc de ce félin qui devrait faire ses débuts le lundi de Pâques lors de la course d’Oulton Park affiche la bagatelle de 230 ch, soit soixante de plus que le quatre-cylindres 1.4 16v qui sert de base à cette préparation. Il accueille pour ce faire supercharger et turbo, binôme qui lui permet d’afficher un couple élevé sur une vaste plage de régime moteur. LE NEC PLUS ULTRA A l’occasion de l’Autosport Show de Birmingham qui s’est tenu du 10 au 13 janvier, la branche anglaise de Volkswagen a présenté au public la toute nouvelle Jetta TSI Sport. Ce bolide accueille sous son capot le quatre-cylindres 1.4 16v maison, mais ce dernier gagne pour l’occasion 60 ch, affichant ainsi une puissance maximale de 230 ch. Ce bloc, qui fut élu Meilleur nouveau moteur de l’année 2006, reçoit un supercharger et un turbo. Le premier lui permet d’offrir du couple dès les bas régimes quand le second prend le relais – sans à-coup – à hauts régimes. Une nouvelle cartographie moteur est également de la partie. A noter que ce bloc équipait, en 2007, la Golf du team VW Racing outre-Manche. AFFUTEE POUR LA COURSE Cette Jetta qui affiche un poids de forme de 1 223 kilos est pourvue d'une boite sport à six vitesses et d'un différentiel à glissement limité. Elle reçoit également des amortisseurs course à deux positions et une barre anti-roulis ajustable. Elle sera engagée dès le 24 mars dans le championnat Volkswagen Racing qui débutera à Oulton Park en Angleterre. La Jetta trouvera également un débouché outre-Atlantique où le Sports Car Club d’Amérique organise une coupe dédiée aux voitures mues par un bloc turbo-diesel. Une Jetta ainsi motorisée y défendra les couleurs de VW…

Après une première vente européenne à Maranello l’année dernière puis une seconde à Londres à l’automne, RM Auctions associé à Sotheby’s reviendra pour la seconde fois au chef-lieu de Ferrari le 18 mai 2008. Et si la première vente fut exceptionnelle, cette nouvelle édition s’annonce également mémorable. Car parmi les lots déjà connus, on retrouve une Ferrari Enzo, ou encore une partie de la collection de Jacques Swaters (gérant de la fameuse écurie belge « Ferrari Francorchamps »). Au sein de celle-ci, un modèle unique et emblématique se démarque : le concept Ferrari Pinin de 1980, unique berline à 4 portes portant le cheval cabré jamais construite. Mais les « top lots » seront incontestablement 2 Ferrari 250 California Spyder. Construite à moins de cent exemplaires, la 250 California Spyder fait partie des voitures les plus désirables de tous les temps, et l'apparition de l'une d'entre elles dans une vente est toujours un petit événement. En retrouver 2 dans une même vente est donc, le mot n’est pas trop fort, rarissime. Question pedigree, on sait que l’une d’entre elles (Châssis court noire de 1961) a longtemps séjournée à Hollywood où elle appartenait à l’acteur James Coburn (qui avait joué dans La Grande Evasion aux côtés d’un autre amateur de Ferrari : Steve McQueen). La seconde (Ferrari 250 California Spyder châssis long de 1958, rouge « classic rosso ») fut le troisième exemplaire à sortir des chaînes de Maranello. Après avoir séjourné plus de 40 ans sur la côte Ouest des Etats-Unis, elle est revenue en Angleterre en 1999. Historique parfaitement clair, entretien méticuleux, rareté du modèle et force de l’Euro : tous les ingrédients sont réunis pour que les prix atteignent des sommets à Maranello en mai. A titre indicatif, les estimations sont à l’heure actuelle entre 4 et 6 millions de Dollars US, mais lors de la vente précédente les prix avaient dépassés toutes les prévisions...

Le Designer belge Dirk Van Braeckel vient de recevoir le prix « European Automotive Design Award by Designers ». Décerné en reconnaissance de l’excellence et de l’originalité du travail d’un designer dans le monde de l’automobile, le prix place Dirk Van Braeckel au Panthéon de la création automobile, aux côtés de Marcello Gandini, Giorgetto Guigaro et Sergio Pininfarina. Après un apprentissage chez Ford, Dirk Van Braeckel intègre le prestigieux « Royal College of Art » de Londres pour y étudier le design automobile. Il rejoint en 1984 le groupe Volkswagen, d’abord chez Audi (chez qui il signe les Audi 80 Avant et Cabriolet) puis en tant que responsable du style de Skoda en 1993 (on lui doit notamment la Fabia et l’Octavia). C’est en 1999 qu’il prend les commandes du bureau d’études de Bentley. Chargé d’étoffer la gamme en offrant une petite sœur à l’Arnage, il aura une inspiration de génie en traçant les lignes de la Continental GT. Continuant sur sa lancée, il offrira ensuite à Bentley une gamme complète avec la berline Flying Spur et le cabriolet GTC. On lui doit également les nouvelles Bentley Azure et Brooklands coupé. La cérémonie de remise des prix a eu lieu à Bruxelles le 16 janvier 2008, en présence de la Princesse Astrid de Belgique.

Sur la place d'armes cette jolie jaguar ma sourit donc petite photo rien que pour vous malgrès la pluie!

puis au moins on est sur de pas le louper!

ca fait parti de l'actu sportive de notre region quand meme!

Samedi 2 et dimanche 3 février 2008 Week-end de la moto Le Touquet/Pas-de-Calais - 3ème Enduropale/Quaduro Site Internet : http://www.enduropaledutouquet.fr

Fisker présente, au salon automobile de Detroit, un prototype de sportive hybride rechargeable, baptisée Karma. Sportive et hybride, les deux adjectifs ne sont maintenant plus incompatibles. Quelques prototypes apperçus lors de ces derniers salons automobiles, comme les Honda Small Hybrid Sport ou Toyota FT-HS, en sont les plus illustres exemples. Mais lorsque ce genre de concept est le fruit d'un préparateur de prestige comme Fisker, on commence à penser que l'idée a de beaux jours devant elle. Baptisée Karma, le prototype du préparateur américain peut parcourir 75 km sur son moteur électrique, alimenté par une batterie lithium-ion, avant d'être relayé par un moteur essence traditionnel. Pour l'instant, il faut huit heures pour recharger ces batteries. Une durée que le constructeur voudrait ramener à trois à l'horizon 2020. La Karma permet le zéro emission jusqu'à 80 km/h et côté performances le 0 à 100 km/h est assuré en 6 secondes. La voiture dispose en outre de panneaux solaires sur le toit, permettant limiter léchauffement intérieur et de recharger les batteries en cas d'arrêt prolongé. Plus qu'un concept, la Karma est assurée d'une production commerciale, prévue au quatrième trimestre 2009. La voiture devrait être déclinée en coupé, cabriolet et peut-être même en tout-terrain. Fisker espère en produire 50 000 par an et la commercialisation de la Fisker Karma sera mondiale. Le prix de la version de base a été estimé à 80 000 dollars, et les réservations ont été officiellement lancées le 14 janvier.

Quelle est votre priorité ? Voila la question à laquelle il va falloir répondre lorsque vous voudrez acheter une BMW M3. Car en plus du coupé et de la berline, c’est la petite dernière de la famille qui nous est présentée cette semaine : la BMW M3 Cabriolet. Et, comme toujours lors du décapsulage, la fiche technique s’annonce plus terne que celle du coupé. D’autant plus que la marque à l’hélice a favorisé le toit en dur de la Série 3 à la capote en toile de la Série 1. Alors forcément, en ajoutant les différents renforts afin de conserver la rigidité attendue de toutes les BMW « M », la note est salée : + 230 kilos, pour un total de 1810 à vide. Du coup, les performances s’en ressentent, et cheveux au vent, il vous faudra désormais une demi seconde de plus pour atteindre les 100 km/h (5,3s contre 4,8s). La vitesse maximum ne change cependant pas, l’électronique bridant de toute manière la M3 à 250 km/h. Grâce à ses 4 places, le cabriolet pourra, comme le coupé, emporter 3 passagers pour peu que les occupants des sièges arrière ne soient pas trop exigeants en matière d’habitabilité. BMW profite également de cette sortie pour annoncer l’arrivée de la nouvelle boite SMG, disponible sur les 3 modèles (coupé, berline et cabriolet). Cette boîte à 7 rapports s’équipe enfin d’un deuxième embrayage, ce qui devrait la rendre considérablement plus douce et rapide. La marque annonce même un gain de performance de 0,2s sur le 0 à 100 km/h. Par contre, elle conserve ses 11 modes de gestion programmables, qui, ajoutés aux différents réglages disponibles via l’iDrive, annonce de beaux maux de tête. Mais après tout, êtes-vous si pressé ? En réfléchissant bien, il doit être facile de trouver une bonne raison de patienter 22 petites secondes pour décapoter. Car le V8 de 420 chevaux ne demande qu’à s’éclaircir la voix dans le tunnel qui arrive. Et là, aucun doute possible, le toit gâcherait tout. Peut-être est-ce ça, la force de cette BMW : qu’une sportive de cette trempe se permette de faire l’éloge d’un petit moment de patience.

bon anniversaire a vous les gars

Après le concept Mercedes Vision GLK Freeside, Mercedes dévoile à Detroit la version Townside. Le concept comporte des éléments tirés du design angulaire d’origine de la Classe G. Le Townside reprend les caractéristiques typiques des SUV, comme la solidité et les capacités tout-terrain. Esthétiquement, Le Townside se distingue du Freeside par ses jantes de 20 pouces chaussées de pneumatiques Dunlop 235/45 R20. Le capitonnage en cuir aigue-marine pâle et les éléments de garnitures en aluminium de l’intérieur de la Townside définissent un look résolument sportif. La suspension "Agility Control" promet une conduitedynamique et souple. Élément central, la caisse extrêmement robuste forme une base solide pour un certain nombre d’autres caractéristiques également majeures : une stabilité de comportement, ainsi qu’un confort au niveau des vibrations et un confort acoustique quelles que soient les conditions de conduite, plus la sécurité passive qui est conforme au standard habituel et élevé de la marque. D’excellentes performances sont garanties pour les deux versions du modèle GLK, quelles que soient les conditions, grâce à la dernière génération de moteurs quatre cylindres Bluetec, économiques et respectueux de l’environnement, qui fonctionnent à l’unisson avec la transmission automatique sept rapports 7G-Tronic et la transmission intégrale 4Matic. Ce modèle compact disposent également d’un certain nombre de données techniques essentielles qui sont habituellement réservées à des catégories de véhicules plus prestigieux. Outre le concept de sécurité préventive Pre-Safe et l’Intelligent Light System ILS, on compte le système Comand Aps avec son concept de fonctionnement intuitif, un système de divertissement pour les sièges arrière comprenant deux écrans, ainsi qu’un climatiseur automatique confort trois zones Thermotronic.

Ce concept de Jeep grenouille tout terrain de segment B (idem Clio, 207) a pour double-vocation de présenter la technologie Bluetec empruntée chez Mercedes et les possibilités d'hybridations sur le segment des 4x4. Cette Jeep Renegade Concept batie en aluminium cache donc un petit moteur diesel aux rejets de Nox interceptés par le système Bluetec assistant un moteur électrique à batterie Lithium-ion capable de propulser l'engin à lui tout seul sur 60 km. L'autonomie totale serait de 480 km.

Le Dodge Zeo se présente comme un 2+2 sportif propre dans le sens où il est entièrement électrique. Zeo est d'ailleurs une abréviation pour "Zéro émission". Son courant est sorti d'une batterie de batterie Lithium-ion qui propulse(rait) l'engin jusqu'à 100 km/h en 6 secondes grâce aux 268 ch. Aucun chiffre d'autonomie n'est encore apparu. Cependant il faut avouer que le design est comment dire... particulier! On aime ou on aime pas, a chacun son avis. En tout cas moi j'ai le mien!

Après les photos prises à la va-vite dans dans un entrepôt pré-salon de Shanghai, sur lesquelles on pouvait déjà se rendre compte que la Buick Riviera Concept était ce qui arrivait de plus intéressant de la marque depuis des lustres, voici les photos officielles du constructeur, et elle s’en sort très bien, cette Riviera qui est sensée donner le La du design des Buick à venir. On a également un peu plus de détails sur ce qui se cache sous la carrosserie de 4,7 mètres en fibre de carbone. Si les Buickologues sont sensés retrouver dans les lignes des rappels des Buick du passé, le reste d’entre nous sera plus estomaqué d’apprendre que le communiqué de presse mentionne la Formule 1 pour évoquer la forme des rétroviseurs. Buick et la F1 dans la même phrase il y a vraiment du changement dans l’air. Moins inattendu, la motorisation envisagée (ce qui, pour un concept car qui n’est pas destiné à être produit, ne mange pas de pain) est le système hybride qui équipera les Buick chinoises. L’intérieur typiquement concept car incorpore un éclairage qui évoque la Jade, en une référence discrète au centre de design de Shanghai où a été dessinée la voiture. Reste à voir maintenant de ce qui passera de ce concept car réussi dans les futures Buick…

Le concept Cadillac CTS coupé fait sa première apparition au salon nord-américain de Detroit 2008. Ce prototype a une disposition classique 2+2. Il est conçu afin de recevoir divers moteurs pour le marché du luxe, qui comprennent le V6 3.6L à injection directe populaire de Cadillac et un nouveau 2.9L turbo-diesel actuellement en développement. Esthétiquement, le coupé CTS affiche un profil différent de tout ce qui roule. Son style très plongeant, il a le même empattement que la CTS, mais une hauteur hors-tout inférieure d’environ 51 mm et une longueur hors-tout inférieure de 51 mm, se mélange avec la carrosserie sculptée manuellement qui gonfle autour des roues, ce qui donne au véhicule un air d’être prêt à sauter spectaculaire, puissant et profilé. Bien que basé sur la berline, le CTS coupé partage seulement le tableau de bord, la console, les phares, les ailes avant et la calandre avec le modèle de production. Les éléments uniques incluent : - Le style de toit rigide classique sans montant B - Le pare-brise de production de la CTS posé selon un angle plus aigu pour créer un profil plus lisse - Le style chromé des roues à sept bâtons fendus, avec des roues de 20 pouces à l'avant et de 21 pouces à l'arrière - La face inférieure avant sculptée avec des bouches de refroidissement des freins uniques - Les rétroviseurs extérieurs à profil aminci - Les poignées de porte cachées de type XLR avec l’ouverture sans contact de proximité - Les évents uniques des ailes avant - Le panneau arrière taillé comme un diamant avec des grilles inférieures et une sortie d’échappement centrale - Les feux arrière intègrent un aileron subtil et sont soulignés par la technologie d’éclairage à DEL avec des guides lumineux - Le déflecteur arrière intégré dans le feu stop central monté en hauteur - L’antenne de toit sculptée pour OnStar, la radio satellite XM, etc. Les surfaces du concept CTS coupé sont complexes, les ailes arrière sont biseautées, en raison du thème du diamant taillé, et s’intègrent à un plan horizontal qui part du bord d’attaque des feux arrière pour se fondre dans le toit. A l'intérieur, les sièges sport Recaro sont plutôt réussis. Ils sont recouverts d’un riche matériau microfibre noir de type daim avec des inserts ocre jaune. Des coutures ocre jaune sont utilisées sur l’ensemble, y compris les sièges, le tableau de bord, le bouton de levier de vitesses et autres. Un tissu en microfibre noir recouvre l’accoudoir avant et un accoudoir situé entre les sièges arrière. Les accoudoirs font partie d’une console continue qui s’étend du tableau de bord aux sièges arrière. Une garniture en fibre de carbone souligne la console. L’intérieur est également parcouru par un éclairage d’ambiance qui crée un environnement de nuit distinctif. Comme dans la berline, l’intérieur du concept CTS coupé accueille une foule de technologies, y compris un système audio haut de gamme Bose, un disque dur de 40 gigaoctets et une radio satellite XM. OnStar avec la navigation à chaque changement de direction améliore le système de navigation embarqué du véhicule, qui, comme pour la CTS, intègre un écran qui sort au centre du tableau de bord. Sous le capot, le coupé peut accueillir les moteurs V6 3.6L de la berline, y compris le puissant moteur à injection directe de 304 chevaux (227 kW). Le concept est également conçu pour un nouveau turbo-diesel de 2.9L développé pour les marchés internationaux. Ce nouveau moteur, taillé pour la CTS, fournira environ 250 chevaux (184 kW) et un couple de 550 Nm. Une boîte de vitesses manuelle six vitesses accompagne le moteur pour envoyer le couple à un essieu arrière suspendu indépendant. La suspension au réglage sport du CTS coupé lui donne une garde au sol légèrement inférieure à celle d’une CTS de production, un aspect renforcé par la forme élancée de la voiture et les grandes roues de 20 pouces à l’avant et 21 pouces à l’arrière. Derrière les roues en alliage d’aluminium chromées à bâtons fendus on trouve un ensemble de freins à hautes performances sur des disques à perçages transversaux. Les étriers à six pistons serrent les disques avant alors que des étriers à quatre pistons saisissent les disques arrière. Tous les disques ont une finition de peinture jaune distinctive.