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Bob_wallace11

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Tout ce qui a été posté par Bob_wallace11

  1. jolie prise et bien rare de ce coté de l'atlantique. C'est pas chere parce que cette mustang n'a pas remporté un franc succés!
  2. C'est fait ! Le préparateur allemand Abt s'attaque au tuning de sa supercar R8. Il s'agit pour l'essentiel de retouches carrosseries, au niveau du spoiler, des jupes latérales et des ailettes d'arrivée d'air (en rouge). Le tout en carbone bien évidemment ! A noter que la sportive opte pour des jantes 20" et des suspensions toujours plus sport, idem pour les freins… Sous le capot pas de changement… What esle ?
  3. Pour certains riches amateurs, le break représente le sommet de la classe et de l'exclusivité... surtout s'il porte un blason prestigieux, italien de préférence. On se souvient encore des Ferrari 456 break « Venice » commandés par le sultan de Brunei au carrossier Pininfarina. Sans doute inspiré par cet exemple, un client arabe a exprimé le désir de traverser les vastes étendues désertiques aux commandes d'un break Maserati. Les stylistes de StudioM et du bureau de design d'Alfredo Stola, StudioTorino ont répondu à cet original appel d'offre en réalisant cette maquette à l'échelle 1:4, fort logiquement baptisée Maserati Cinqueporte (« cinq portes »). Comme tout break qui se respecte, la Maserati Cinqueporte reçoit une banquette fractionnable. Le réservoir d'essence a été déplacé afin d'améliorer la capacité de chargement. Côté style, en revanche, le résultat risque de ne pas être du goût de tout le monde. Mais qu'importe ! Cette Cinqueporte, véritable rêve d'émir, restera un modèle unique et totalement exclusif. C'est probablement le plus important ! Quant à parler de prix, ce serait déplacé...
  4. Voila pour les photos de l'eplanade, j'ai mis que les plus grosse après c'est trop long d'en charger sur le fofo , en tout cas pour les photos en roulant on repassera on etait que deux a rester "civiliser" : Pour finir une superbe cayman "je l'emmenerai bien faire un tour celle la"
  5. clair! beau rasso, avec des gens sympas et merci a marsu pour ce petit moment bien sympathique et comme tu dis julien "ouvre la portière ca ira mieu" . Les photos arriverons après!!
  6. Tinkièt cti-59 l'appareil est chargé a bloc mais moi je conduis donc pour les photos en roulant ce sera julien!
  7. Ben ca va on va etre relativement nombreux! En tout cas pour ce qui viennent merci d'avoir un comportement routier irréprochable notemment evitez les courses merci de votre compréhension!
  8. Moi c'est les aerations latérales que je trouve bizar mais c'est mon avis!
  9. le tout maintenant c'est que tout le monde soit a l'heure pour pas arriver trop tard a l'esplanade!
  10. Que l'on apprécie ou pas le nouveau design des Mercedes SL restylés, il faut reconnaître qu'en matière de technologie, les roadsters à l'Étoile sont toujours au top. C'est encore plus vrai dans les déclinaisons AMG que Mercedes vient de dévoiler, plus méchantes que jamais. Le SL 55 AMG est ainsi poussé à la retraite par une nouvelle version SL 63 AMG dotée du V8 6,2 litres déjà largement répandu dans le reste de la gamme. S'il abandonne le compresseur, ce nouveau bloc n'affiche pas moins de 525 ch (au lieu de 517 auparavant). Et si le couple disponible est plus modeste (630 Nm contre 720), il devrait être mieux exploité par la nouvelle boîte AMG Speedshift MCT à 7 rapports qui remplace le traditionnel convertisseur de couple par un système d'embrayage humide. Un système qui reste encore mystérieux mais que nous avons hâte de découvrir... volant en mains. Cette nouvelle boîte offre quatre modes de fonctionnement (confort, sport, sport plus et manuel), qui se caractérisent par des temps de latence décroissant jusqu'à 100 millisecondes. Elle autorise également les changements de vitesse multiples (par exemple de la 7e à la 4e sans passer par la 5e) et gère également le double débrayage au rétrogradage. Enfin, cette boîte s'accompagne d'une fonction d'assistance au départ arrêté baptisée « Race Start ». De son côté, la SL 65 AMG reste au programme et son V12 biturbo de 612 ch (et 1000 Nm de couple !) n'évolue guère. Du moins sur le plan purement mécanique, puisque toutes les SL AMG reçoivent le nouvel ESP à trois niveaux (branché, mode sport et débranché) ainsi qu'une suspension active ABC revue et une direction assistée affinée. Les Mercedes SL 63 AMG et SL 65 AMG seront commercialisées en avril 2008.
  11. On a beau être un modeste constructeur français de répliques Porsche, on peut se sentir impliqué dans les grands débats écologiques qui secouent la société. La preuve : PGO présentera au salon de Genève une version de son roadster Cévennes pouvant carburer au gaz naturel. Pour effectuer cette conversion écolo, la PGO Cévennes a troqué son 2.0 injection contre un 1.6 turbo plus moderne. Alimenté par un réservoir contenant 22 kg de gaz naturel sous pression, ce moteur développe 150 ch et propulse le mignon roadster de 0 à 100 km/h en 6,5 secondes. Mais surtout, la PGO Cévennes GNV ne consomme que 4,6 kg de gaz aux 100 km en moyenne, ce qui équivaut à des rejets de CO2 limités à 118 grammes par kilomètre... soit le niveau d'une honnête citadine diesel. Avec un plein de gaz, le véhicule pourra parcourir 450 km. Une fois n'est pas coutume, ce démonstrateur ne restera peut-être pas sans suite. En effet, PGO pourrait lancer la production en petite série si suffisamment de clients se montrent intéressés. Mais attention : le prix d'un tel modèle friserait les 50 000 euros !
  12. Depuis qu' Aston Martin a quitté le giron du groupe Ford, le constructeur de Gaydon ne peut plus compter sur l'immense banque d'organes du géant américain pour développer ses nouveaux modèles. Un point qui risque de poser problème de coûts et de rendre les Aston du futur peu compétitives par rapport à leurs concurrentes. La solution serait donc de nouer un partenariat avec un grand constructeur afin de partager les coûts de développement de moteurs, boîtes, châssis... Une solution très sérieusement envisagée par le fonds d'investissement koweitien Dar, actionnaire majoritaire et grand argentier d' Aston Martin . Et le candidat idéal aux yeux des émiratis serait... Mercedes ! La coopération technologique pourrait aller de la mise au point d'un moteur jusqu'à la conception d'ensemble d'un nouveau modèle. Aston Martin a produit 7000 voitures l'an dernier, et espère bien amener rapidement l'usine de Gaydon à sa capacité de production maximale de 9000 unités par an, notamment en boostant les ventes au Moyen-Orient, en Chine et en Russie. Le constructeur espère ensuite ouvrir d'autres usines afin de produire de nouveaux modèles... mais cette extension se fera exclusivement au Royaume-Uni : pas d'usine sur le continent, contrairement à ce qui s'est vu chez TVR. Que l'on se rassure, Aston Martin restera anglais !
  13. Après l'Atelier Renault, qui lui a dédié une exposition, c'est maintenant le Tour Auto 2008 qui rendra hommage à Jean Rédélé, père des Alpine disparu en août 2007. Les organisateurs ont en effet réussi à réunir pas moins de... 17 berlinettes A110 sur la grille de départ ! Il faut dire que Rédélé avait participé à plusieurs reprises au Tour de France Automobile, d'abord en tant que pilote, puis plus tard à travers ses A108 et A110. Mais le Tour Auto nous réserve d'autres merveilles à travers un plateau qui donne le tournis. On y dénombrera en effet pas moins de... 39 Ferrari, 45 Porsche, 22 Alfa Romeo, 18 Jaguar, mais aussi 8 Osca. Parmi ces dernières figurent quatre MT4 de 1949, doyennes de ce Tour Auto 2008, ainsi qu'un modèle de 1954 qui sera piloté par Sir Stirling Moss ! La présence en nombre de ces rares oeuvres roulantes signées des frères Maserati marque les 55 ans de la victoire d'une Osca au Tour de France 1953. Comme l'an dernier, les vérifications techniques auront lieu dans la grandiose enceinte du Grand Palais, qui accueillit le salon de Paris de 1901 à 1961. Cela donnera l'occasion aux visiteurs d'admirer l'exceptionnelle et éphémère collection d'automobiles qui s'offrira aux regards le lundi 14 avril, de 11h à 18h30 (entrée 10 euros, 5 euros en tarif réduit). Dès le lendemain, les concurrents s'élanceront à travers la France. Terminus : Marseille et son Vieux-Port, après avoir fait étape sur les circuits de Magny-Cours, Charade et du Castellet.
  14. Les fans de « muscle cars » n’auront pas eu à attendre le salon de Chicago pour admirer la capacité de la Dodge Challenger à faire fumer ses pneus arrière ! Car après le concept, les images de « teasing », les différentes fuites et photos volées, Dodge a fini par renoncer à garder le secret des formes définitives de son futur « hit ». Une fois le nuage de fumée dissipé, on peut donc admirer en intégralité l’une des voitures les plus attendues de l’année outre Atlantique. Et au chapitre du style, les amateurs ne devraient pas être déçus. L’interprétation moderne de la Dodge Challenger originale qu’offrait le concept est conservée. A vrai dire, trouver les différences entre celui-ci et la version de production tient presque du jeu des sept erreurs ! En mettant les deux côte à côte, on repère ainsi une grille simplifiée, des rétroviseurs un peu moins stylisés et un peu plus éloignés de la carrosserie ainsi que la disparition de la grande bande de feux arrière au profit de blocs optiques plus conventionnels. C’est à l’intérieur que les choses se gâtent. Même en photo, l’habitacle apparait bien triste et de qualité moyenne. On repère nombre d’éléments issus du Dodge Nitro (hélas !) au milieu desquels viennent se greffer des cadrans moins « funky » que ceux du concept ou encore un système de navigation. Même le volant à trois branches au look terriblement rétro a cédé sa place à un dérivé de celui à 4 branches du Nitro. Pour se consoler, il suffira cependant de tourner la clé de contact. Le V8 de 6,1 litres s’ébrouera alors et ses 425 chevaux et 570 Nm de couple devraient ramener le sourire sur votre visage. Il devrait surtout permettre à la Dodge Challenger d’effectuer le 0 à 100 km/h en environ 5 secondes et le 0-160-0 en moins de 17 secondes. Question tarif, les 26 000 euros (38 000 dollars US) demandés tiennent presque de la science-fiction pour nos yeux d’Européens. Dommage que la traversée de l’Atlantique ne soit pas au programme pour l’instant.
  15. Soucieux de développer ses activités de compétition client, Porsche étend sa gamme de 911 destinées à la piste avec cette GT3 Cup S, qui vient s'ajouter à la GT3 Cup normale. Par rapport à cette dernière, qui dérive des 911 GT3 de série, la GT3 Cup S est une évolution de la GT3 RS. La Porsche 911 GT3 Cup S se dote d'un 3,6 litres de 440 ch, doté d'un calculateur moteur remanié et d'un échappement spécifique. Par rapport à la GT3 Cup normale, la « S » possède des ailes élargies qui permettent d'accueillir des roues de plus grandes dimensions. Certains éléments de suspensions proviennent quant à eux des 911 GT3 RSR qui courent en endurance en catégorie GT2. L'aérodynamique a également été retravaillée, avec une lame ajustable à l'avant ainsi qu'un aileron arrière surélevé et de taille supérieure. Le prix de la bête : 250 000 euros... hors taxes. Les premières livraisons auront lieu en avril 2008.
  16. Cti-59 a raison reveillez vous 9h30 a decathlon c'est pas trop tot pour un dimanche!
  17. Après le concept-car Delta HPE, présenté à Paris en 2006, le salon de Genève marquera le coup d'envoi de la version définitive de la Lancia Delta. Après près de quinze ans d'absence, la marque italienne revient donc sur l'énorme marché des berlines compactes. Un segment ultra-concurrentiel, où se démarquent désormais les constructeurs « premium », avec leurs Audi A3, BMW Série 1 et autres Volvo C30. Avec la Delta, Lancia se verrait bien en haut de l'affiche, à grappiller de lucratives parts de marché à ces stars désormais plutôt bien établies. Un challenge délicat pour un constructeur à l'image passablement écornée par des années passées à l'état végétatif. Pour l'emporter, la Delta pourra compter sur son style original, fait de courbes audacieuses et de volumes rebondis. Une évolution par rapport au design néo-rétro jusqu'alors privilégié par Lancia. Dérivée de la Fiat Bravo, la Delta est cependant plus grande (4,50 m contre 4,34) et repose sur un empattement plus généreux (2,70 m au lieu de 2,60). Voilà qui devrait promettre une belle habitabilité, d'autant que la banquette arrière sera coulissante. La planche de bord présente pas mal de similitudes avec celle de la Fiat, mais bénéficie d'une apparence plus haut de gamme. Les détails de l'offre moteur n'ont pas été dévoilés, mais on sait d'ores et déjà que la gamme ne comprendra que des moteurs suralimentés, dont les puissances s'étendront de 120 à 200 ch. Le châssis pourra quant à lui adopter un amortissement piloté en plus du traditionnel ESP. La commercialisation de cette nouvelle Delta interviendra à la mi-2008.
  18. À peine lancée, déjà restylée ! La Ford Focus Coupé-Cabriolet n'aura passé qu'un été à bronzer au bord de mer avant de recevoir son lifting. La raison d'une telle précipitation ? Le restylage anticipé des autres Focus, retouchées en septembre 2007 lors du salon de Francfort, pour cause de ventes un peu trop calmes. La Focus Coupé-Cabriolet adopte donc à son tour le style « Kinetic », marqué par des optiques au contour plus agressif, une calandre largement dimensionnée et un capot sculpté. La partie arrière reste cependant inchangée, les autres modifications concernant la planche de bord, dont la qualité a été revue à la hausse. L'habitacle peut désormais recevoir quelques équipements inédits jusqu'alors, tels que la surveillance de la pression des pneus, l'allumage automatique des feux de détresse, un système de navigation modernisé ou encore une meilleure connectivité des baladeurs numériques. Calme plat en revanche côté motorisations : la gamme est reconduite à l'identique, la seule modification concernant l'insonorisation renforcée de la version diesel 2.0 TDCi 136 ch. La Ford Focus Coupé-Cabriolet new look sera présentée au salon de Genève et commercialisée dans la foulée.
  19. 1800 chevaux. Non ce n’est pas une faute de frappe ! Pendant que 9FF se penche sur le capital génétique de la Porsche GT3 pour en sortir près de 1000 chevaux et que SSC bat le record de vitesse de la Bugatti Veyron, le propriétaire d’une paisible Mosler MT900S est passé chez le préparateur Nelson Racing pour obtenir quelque chose d’un peu plus funky. Pour rappel, la Mosler MT900S est une Supercar américaine proche de sa compatriote la Saleen S7 par son allure et ses performances : Elle accueille un V8 de Corvette, qui développe de 435 à 600 chevaux selon les versions. Là, pour cette “Red Devil”, le V8 originel est jeté aux oubliettes pour être remplacé par une production maison de chez Nelson Racing : Le 427 SBC Twin Turbo, Un Small Block Chevy de 7L complètement modifié et gavé par deux turbocompresseurs Ce moteur est équipée d’une technologie qui lui permet d’accepter deux types de carburants : Un carburant « normal » avec lequel il développe 1150 chevaux, et un second avec lequel il atteint sa puissance maximale de 1800 chevaux. La puissance est celle de deux Bugatti Veyron… Et son poids est presque deux fois moins important : 1100 kilos ! Un rapport Poids/puissance de 0.6 kilos par cheval. Du jamais vu sur un engin à quatre roues, que ce soit sur route ou sur circuit. Mais comment diable cette Mosler pourrait supporter une telle puissance? Nelson Racing annonce un dispositif de modulation progressive de la puissance envoyée aux roues arrières, qui augmente progressivement avec chaque passage de vitesse. Le conducteur dispose également d’un bouton sur le tableau de bord qui lui permet de faire varier la puissance de 600 à 1800 chevaux. Des essais vont être menés pour tester la vitesse de pointe de l’engin. Même si cette machine semble plus tenir du délire d’un préparateur que de la mécanique de grande précision, ça risque de faire mal…
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