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Bob_wallace11

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Tout ce qui a été posté par Bob_wallace11

  1. Les ténors allemands ont du soucis à se faire : le coupé G37s de Nissan débarque à Genève la mois prochain et risque bien de jouer les trouble-fête... Synonyme de luxe à la japonaise, Infiniti est à Nissan ce que Lexus est à Toyota. Créé de toute pièces en 1989 pour pallier au manque de légitimité de Nissan dans le secteur du haut de gamme Nord-américain, Infiniti s'est rapidement présenté comme un sérieux concurrent des productions allemandes et entend faire de même sur le sol européen. Officiellement présenté et commercialisé aux Etats-Unis en mars 2007, le coupé G37S devrait être distribué en France d'ici quelques mois. Proposé avec un V6 3.7 de 330 ch, ce coupé 2+2 associe des caractéristiques techniques plutôt séduisantes et gages de fiabilité. Issu du bloc 3.5 présent sous le capot des 350Z (313ch) et associé à une transmission manuelle 6 rapports, l'origine mécanique semble saine. La puissance maximale atteinte à 7 000 tr/min et le couple de 366 Nm disponible à 5200 tr/min laissent présager de performances appréciables, malgré les 1664 kg qu'elle accuse sur la balance. Sur le papier, ces données placent naturellement cette américano-japonaise en concurrente directe des Mercedes CLK, Audi A5 et surtout série 3: avec ses 306 ch et 400 Nm, la 335i semble être sa rivale idéale. La G37S semble en tout cas très proche de la bavaroise: elle affiche sans complexe son dynamisme, sa ligne agressive et ses galbes. Aujourd'hui proposés au prix d'environ 61 000e par certains importateurs privés, la G37 s fait cher payer ses charmes et son exclusivité. A titre de comparaison, une 335i coupé est disponible dès 46 500e... Ce problème devrait être résolu par la prise en charge de sa distribution par le réseau officiel. Pour Infiniti, le défi est herculéen: ébranler la suprématie des productions d'outre-Rhin. Gageons que le comportement routier soit à la hauteur de son originalité et oublie le caractère sécuritaire propre aux productions d'outre-atlantique. La Nissan G37 S pimenterait ainsi d'une dose d'exotisme les éternels matchs 100% teutons.
  2. Alors que Ford et le groupe indien Tata ont entamé la phase finale des négociations concernant la cession de Land Rover et Jaguar, cette dernière reprend espoir en l'avenir et se lance même dans de nouveaux projets. Jaguar envisage ainsi de lancer un nouveau coupé au début de la prochaine décennie. Plus compact et plus sportif que le XK figurant déjà dans la gamme, ce nouveau modèle s'inspirerait en fait de la légendaire Type E qui fit les grandes heures de la marque entre 1961 et 1974. Le constructeur britannique avait déjà failli ressusciter la Type E au début des années 2000, comme en témoigne le concept-car F-Type dévoilé lors du premier salon de Detroit du millénaire. Mais Ford avait finalement tué le bébé dans l'oeuf en préférant lancer la berline X-Type... avec la réussite que l'on sait. Alors que Jaguar a désormais pour vocation de se recentrer sur le haut de gamme et les véhicules de niche, la résurrection de la Type E prend tout son sens. La Type E des années 2010 viserait carrément la Porsche 911, et utiliserait une version raccourcie du châssis tout aluminium de la limousine XJ. Côté motorisations, on évoque bien entendu l'actuel V8 4,2 litres, mais également une version suralimentée portée à 5 litres et... 500 ch pour la version de pointe. Espérons enfin qu'en matière de style cette nouvelle Type E saura se montrer à la hauteur de sa glorieuse aînée... Jaguar type-F concept :
  3. Maserati nourrit de grandes ambitions pour l'avenir ! La marque au Trident entend booster ses volumes de ventes en élargissant sa gamme. Alors que l'on évoquait la possibilité de voir débarquer un 4X4 de luxe griffé Maserati, le PDG de la marque Roberto Ronchi a écarté cette hypothèse : « le segment est en déclin et déjà trop encombré. » Fermez le ban ! En revanche, Maserati regarde avec intérêt l'importante part de marché que s'est octroyée au fil des années la 911. « Nous voulons viser Porsche avec une voiture de sport à un prix de 80 000 à 90 000 euros », a indiqué Roberto Ronchi. Ce nouveau coupé (et cabriolet ?) Maserati s'inscrira en complément du Granturismo récemment commercialisé qui, comme son nom l'indique, se veut au moins aussi confortable que performant. Le nouveau modèle aura moins de scrupules à orienter sa philosophie vers la sportivité pure. Il adopterait le V8 4,2 litres du Granturismo, mais dans une version « dégonfléee » à 350 ch.
  4. Hummer persiste et signe en présentant une déclinaison pick-up du « petit » H3. Un utilitaire « léger » ne roulant qu'à l'essence. Malgré la présence d'une baie de chargement de 1,5 m de long, le Hummer H3T est encore capable d'accueillir cinq personnes dans sa cabine. Ce pick-up quatre portes de plus de 5 m dispose d'une banquette arrière rabattable en 60/40 pour transporter des personnes ou des bagages devant rester à l'abri du vent et de la pluie. La benne, elle, peut recevoir, notamment, plusieurs VTT, deux motos de cross, un quad, un jet-ski ou une motoneige. Le Hummer H3T ne perd pas ses capacités en tout-terrain. D'ailleurs, il est capable d'affronter les pentes les plus raides aves son angle d'attaque de 38,7°, sa garde au sol de 285 mm et sa technologie Hill Hold Assist. Toutefois, il faut, pour cela, le doter du pack de suspension Off-Road et des pneus de 33 pouces. Sans ces derniers, le H3T reste encore un très bon franchisseur doté de trois différentiels verrouillables et d'un angle d'attaque de 37°. Sous le capot du 4x4 américain de 2 tonnes, que des moteurs essence. Le premier est un cinq cylindres, le Vortec 3.7 L de 242 chevaux et 328 Nm. Il est associé à une boîte manuelle à cinq vitesses ou, sur option, d'une automatique à quatre rapports. Plus costaud, le second est un V8. Le 5.3 L Alpha développant 300 chevaux et 434 Nm. Ce bloc en aluminium est accouplé à la boîte automatique Hydra-Matic 4L60 à quatre rapports. Avec cette motorisation Alpha, le H3T est capable de tracter 2676 kilos, contre 1996 kg pour le Vortec. Le Hummer H3T, dévoilé à Chicago, arrivera sur le marché américain dès cet automne.
  5. Difficile d'imaginer ligne plus pure et classiquement élégante que le roadster Mercedes SL. Si bien qu'à l'heure de lui offrir le traditionnel lifting de mi-carrière, on imaginait que les stylistes de la marque à l'Étoile se contenteraient de retouches mineures afin de ne pas altérer la beauté de la silhouette. À notre grand étonnement, il n'en est rien ! Sans doute dans un souci de faire du zèle, les designers Mercedes ont retouché le style du SL à grands coups de crayon. Calandre, capot, optiques, boucliers, ouïes latérales et même canules d'échappement : aucun détail n'a échappé à ce restylage à marche forcée, qui succède à un autre lifting, bien plus discret celui-là, effectué au printemps 2006. Le SL y gagne en agressivité ce qu'il y perd en finesse. À se demander s'il n'y a pas lieu de préférer la précédente version ! Heureusement, les stylistes ne sont pas les seuls à s'être penchés sur le roadster Mercedes SL : les ingénieurs ont eu également voie au chapitre. Et leur travail est plus convaincant, puisqu'ils ont ajouté une nouvelle motorisation six cylindres en entrée de gamme (SL 280 de 231 ch), boosté la puissance du SL 350 (dont le V6 passe de 272 à 316 ch) et obtenu une réduction des consommations de toutes les versions allant jusqu'à 0,4 l/100 km en moyenne... Il n'y a pas de petites économies ! Le nouveau SL s'offre également une direction à démultiplication variable en fonction de l'angle de braquage du volant (en clair : plus facile à doser en ligne droite, mais plus directe en courbe), une suspension active ABC aux lois revues ainsi qu'une des phares directionnels. Enfin, côté confort, l'Airscarf, système apparu sur le SLK qui envoie un doux courant d'air chaud sur des nuques des passagers, est désormais proposé également sur le SL. Présenté officiellement à Genève, le Mercedes SL restylé sera commercialisé en avril 2008.
  6. Chose promise, chose due : Renault présentera enfin sa Twingo RS au prochain salon de Genève ! Une petite Renault Sport qui viendra compléter la gamme, aux côtés des Clio RS et Mégane RS. Le constructeur a dévoilé cette nouvelle sportive en marge de la présentation de la nouvelle F1 R28. Mais Renault laisse pour l'instant filtrer bien peu d'informations concernant cette nouvelle sportive qui s'offre le look gentiment méchant déjà aperçu sur le concept-car Twingo Concept du dernier salon de Paris. Au programme : grosses prises d'air (parfois factices !), ailes renflées, roues surdimensionnées et becquet arrière. Sous le capot, on nous annonce un moteur 1.6 de 133 ch « rageur » et à la « sonorité spécifiquement travaillée ». Quant au châssis, on nous le promet « réactif et homogène ». En attendant d'en savoir plus au salon de Genève – et de prendre les commandes de cette nouvelle petite GTI dans la foulée ! – il faudra se contenter d'admirer ces quelques photos.
  7. C'est pas le meme gabarit la S8 c'est plus pour la ligne droite la lotus dans les petites routes de montagnes ou de campagnes aie aie ca doit etre terrible
  8. L'offre existait déjà Outre-Manche, elle débarque désormais en France : l'Atelier 46 est à la fois un garage permettant d'entreposer son ancienne sous bonne garde, et un club permettant à ses membres de louer des voitures de collection et d'exception. Il s'agira d'un club plutôt sélect, puisque ses 100 membres (numerus clausus fixé par les fondateurs), devront s'acquitter d'une cotisation annuelle de 1 500 euros. Une somme qui leur donnera accès à un parc composé notamment de Ferrari Dino GT, Jaguar Type E, Mercedes 190 SL, Porsche 356... Des voitures disponibles pendant 4 jours, avec un forfait journalier de 100 km. Partenaire de Peter Auto, le Club Atelier 46 offrira également à ses membres des places de choix pour assister au Tour Auto (éventuellement comme copilotes des deux voitures engagées par le Club !) et au Mans Classic (loge spéciale Atelier 46 dans la ligne des stands). Nul besoin d'être membre cependant pour disposer d'un parking sécurisé accessible 24h/24 et 7j/7 à Courbevoie (92) : 30 places généreusement dimensionnées afin d'éviter tout coup de portière sont disponible à la location, moyennant 320 euros par mois. Un tarif qui inclut des services tels que le nettoyage de la voiture à son retour à l'Atelier 46, la mise hors-circuit de la batterie en cas de stationnement prolongé, ou la vérification du niveau d'huile et de la pression des pneus. Les travaux d'entretien courant (vidanges, graissages, plaquettes, réglage carburateur) peuvent être assurés sur place. Enfin, l'Atelier 46 assurera également la mise en conformité des véhicules au regard des règlements sportifs en vigueur. Le site de l'Atelier 46
  9. Le salon de Genève est réputé pour la multitude de carrossiers italiens qui jouent à saute-montagne chaque année en amenant sur les rives du lac Léman quelques magnifiques concept-cars. L'édition 2008 ne fera pas exception, et c'est Pininfarina qui ouvre le bal des avant-premières. Le carrossier turinois dévoilera à Palexpo la Sintesi, dessinée par le studio maison dirigé depuis fin août 2007 par Lowie Vermeersch, jeune designer de 33 ans qui a fait l'essentiel de sa carrière chez Pininfarina. Trois ans après l'impressionnante Birdcage et un an et demi après la Ferrari P4/5 réalisée pour un riche collectionneur, Pininfarina va donc à nouveau nous gratifier d'un concept-car auquel Andrea Pininfarina, le patron du carrossier, fixe d'ambitieux objectifs : « Avec notre nouveau prototype Sintesi, nous voulons anticiper les nouvelles tendances du design. » En attendant l'ouverture du salon, il faudra se contenter d'une esquisse qui laisse entrevoir un véhicule aux formes épurées et tendues. « Ce concept-car est la synthèse de nos valeurs, de l'amour de notre métier et de notre passion pour l'innovation », explique le designer Lowie Vermeersch, « mais il adopte également des technologies qui nous permettent d'explorer de nouveaux modes de mobilité, de sécurité active et de conception d'ensemble. » Voilà qui promet ! La suite début mars à Genève, donc.
  10. Difficile de contester le vote des 95 000 lecteurs du magazine d’outre Rhin « Auto Motor und Sport » : la Porsche 911 Carrera cabriolet a été nommée meilleure automobile du monde dans sa catégorie. Une victoire à ajouter aux 36 précédentes de la 911 en... 32 éditions du concours ! Porsche précise également que les rares fois ou la 911 n’est pas montée sur la première marche du podium dans les catégories ou elle concourrait, c’était pour laisser la place à un autre modèle de la marque, Carrera GT ou 959... La 911 type 997 gagne donc son troisième titre décerné suite à un vote du public après sa victoire aux « Autozeitung Auto trophy » dans les catégories « automobile sportive » et « cabriolet à plus de 30 000 euros ». Coïncidence, tous ces titres ont été décernés à nos voisins germaniques. Chauvins les Allemands ?
  11. Après le succès dans les sondages l’année dernière, Audi en remet une nouvelle couche en s’appropriant la tête de 4 catégories dans les « best car of the world award » (prix de la meilleure voiture du monde) du magazine allemand « Auto Motor und Sport ». Sans surprise, l’Audi A4 se place en tête de la catégorie des petites berlines. La petite A3 dame quand à elle le pion aux autres compactes : BMW Série 1, VW Golf ou Ford Focus, pas une n’a su s’imposer face à l’entrée de gamme Audi. On retrouve également la marque aux anneaux dans les berlines premium avec l’A6. Un choix plus discutable vu la concurrence féroce des BMW Série 5 et autres Mercedes CLS, présentes dans le même groupe. Enfin, et c’est une surprise sans en être une, « Sa Majesté » la Porsche 911 a été détrônée par l’Audi R8 ! Acclamée partout dans le monde, encensée par la presse et adulée par le public, cette nouvelle venue dans le monde des coupés super-sportifs aura réalisé un parcours sans faute, raflant toutes les récompenses sur son passage depuis son apparition. Qu’adviendra-t-il si c’est une fumée noircie de gazole qui sort de ses échappements ? Audi devrait peut-être se poser la question...
  12. Après avoir présenté un premier concept-car de Lancer à 5 portes - le « Sportback » à Francfort en 2005 - Mitsubishi révèlera au salon de Genève la deuxième étape dans le développement de la voiture, le « Prototype-S ». Par rapport à l’étude précédente, on remarque surtout des lignes plus tendues et un dessin plus agressif. La ligne reste cependant proche des critères habituels du genre, dans l’esprit des berlines sportives comme la Ford Focus ST ou.... La Subaru Impreza WRX. Rien d’étonnant ici puisque la « Sub’ » est la concurrente historique de la Mitsubishi Lancer. Le style de cette dernière est toutefois plus convainquant que celui de la Subaru, principalement grâce à un traitement de la face avant très dynamique. Elle se pare de la désormais traditionnelle calandre « Jet Fighter », mais Mitsubishi nous annonce déjà une évolution de celle-ci sur le Prototype-S. Techniquement, Mitsubishi annonce que le Prototype-S sera un mélange du concept original, de la Lancer Evolution X et de la Lancer Ralliart. Cette dernière, présentée au salon de Detroit au début du mois de janvier 2008, affiche une puissance de 240 chevaux pour 343 Nm de couple et s’équipe de la boite de vitesse SST à double embrayage ainsi que de la transmission intégrale à différentiel actif. Autant dire que l’on croise les doigts pour que la Mitsubishi Lancer Sportback aille piocher le plus de gènes possibles dans la division Ralliart du constructeur...
  13. Les 24 heures de Daytona se tenaient le week-end des 26 et 27 janvier 2008. Avec 695 tours bouclés à plus de 165 km/h de moyenne, c’est un prototype « GrandAm » Lexus emmené par Dario Franchitti et Juan Pablo Montoya qui s’est imposé dans l’épreuve la plus longue d’Amérique du Nord. Sur les secondes et troisièmes marches du podium, on retrouve deux Pontiac. Du côté des GT, c’est une Mazda RX-8 qui s’est montré la plus rapide en terminant à la neuvième place du classement général, suivie à 7 tours par une Porsche 911 GT3 Cup. La GT3 pilotée en partie par Romain Dumas et Emmanuel Collard termine troisième de la catégorie et onzième au général. Le premier prototype Porsche se classe quand à lui quinzième de l’épreuve et la première Ferrari 430 Challenge 34ème.
  14. Alors qui vient? moi je pense y aller avec un ami, si il y a du monde on pourrait faire un depart groupé ca fait longtemps. PS : pour ceux qui viendront attention sur la route, la dernière fois que je suis parti en groupe on a eu un petit incident! Liste des participants : - cti-59 (a confirmer) - Marsu59 (a confirmer) - squeaky - tetsuya46 - keutain - SLEiZY - Vandegt - golfgti8s - Bob_wallace
  15. Malgrès une météo peut clémente voilà ce que l'on peut trouver dans les rues de VA.
  16. Mercedes vient de dévoiler toutes les informations sur celle qui doit remplacer la classe C Coupé Sport : la CLC. Esthétiquement, la face avant reprend exactement les traits de la Classe C berline tout en adoptant de nouveaux projecteurs. A l'arrière, on remarque un troisième feu stop à diodes, une malle haute abandonnant l'aileron intégré au hayon, celle-ci permet d'offrir un espace de 1 100 litres dans le coffre. Même si les nouveautés ne sautent pas aux yeux, Mercedes affirme que 1 100 composants sont nouveaux. Sous le capot, on trouvera une belle gamme de moteurs avec pas moins de quatre motorisations essence et deux motorisations diesel : - CLC 180 KOMPRESSOR : 1,8 litres essence de 143 ch à 5 200 tr/min et un couple de 220 Nm disponible entre 2 500 et 4 200 tr/min - CLC 200 KOMPRESSOR : 1,8 litres essence de 184 ch à 5 500 tr/min et un couple de 250 Nm disponible entre 2 800 et 5 000 tr/min - CLC 230 : 2,5 litres V6 essence de 204 ch à 6 100 tr/min et un couple de 245 Nm disponible entre 2 900 et 5 500 tr/min - CLC 350 : 3,5 litres V6 essence de 272 ch à 6 000 tr/min et un couple de 350 Nm disponible entre 2 400 et 5 000 tr/min. - CLC 200 CDI : 2,2 litres diesel de 122 ch à 4 200 tr/min et un couple de 270 Nm disponible entre 1 600 et 2 800 tr/min - CLC 220 CDI : 2,2 litres diesel de 150 ch à 4 200 tr/min et un couple de 340 Nm à 2000 tr/min Ces moteurs seront accouplés à une boîte manuelle à six rapport. En option, la Mercedes CLC propose une boîte automatique à cinq rapports pour les moteurs quatre cylindres et la boîte automatique à sept rapports 7G-Tronic pour les 6 cylindres en V. Mercedes affirme avoir fait de gros efforts pour que les consommations de la nouvelle CLC soient en baisse. La CLC 200 Kompressor devrait consommer entre 7,8 à 8,2 litres d'essence aux 100 km (soit 0,7 litres de moins que l'ancienne C 200 Kompressor). La CLC 200 CDI gagne plus d'un demi-litre au 100 km avec une consommation moyenne comprise entre 5,8 à 6,1 l/100 km. Les modèles CDI affichent ainsi une autonomie de plus de 1.000 km avec un plein (62 litres). L’équipement de série s’enorgueillit de sièges sport dont le maintien latéral a été encore amélioré, d’un volant multifonctions à trois branches, d’une climatisation automatique et d’inserts décoratifs en aluminium brossé. Pour permettre au client de personnaliser l’habitacle, les garnissages des sièges sont proposés en noir, en gris alpaga ainsi que dans une combinaison très chic en rouge et noir. Dans le domaine de l’info-divertissement, les ingénieurs Mercedes ont développé pour le CLC une nouvelle génération d’appareils qui introduit dans un Coupé Sport des technologies de pointe issues de la gamme prestige. Les trois appareils figurant au programme se distinguent notamment par leur écran couleur, leur double tuner, le réglage du volume asservi à la vitesse et l’interface Bluetooth pour le téléphone portable. Pour la première fois, il est possible de raccorder un « iPod », une clé USB ou d’autres appareils audio externes au système d’info-divertissement. Une nouvelle interface multimédia universelle (proposée en option) relie ce type d’appareils avec le réseau électronique de bord et le système de commande du Coupé Sport. De cette façon, les titres figurant sur l’iPod apparaissent sur le combiné d’instruments ainsi que sur l’écran couleur de la console centrale, et peuvent être consultés confortablement à l’aide des touches du volant multifonctions. Les nouveaux appareils Audio 50 APS et COMAND APS sont équipés d’un système de navigation par DVD, voire d’un disque dur, couvrant l’ensemble de l’Europe. En liaison avec le changeur intégré pour 6 DVD, la commande vocale LINGUATRONIC, enrichie par Mercedes-Benz de la technique de saisie par mots entiers, est fournie de série. Ce dispositif permet de piloter très confortablement le téléphone, l’autoradio et le système de navigation. La Mercedes CLC pourra se doter, en option, d'un Pack Sport exclusif. Il comprend des innovations technologiques exclusives et des équipements hors pair tels que des jantes alliage au format 18 pouces, des pneus larges, des phares avec cadre intérieur teinté en noir, un train de roulement sport avec carrosserie surbaissée, un volant sport en cuir et des inserts décoratifs en aluminium foncé. Une autre particularité du CLC venue tout droit du sport automobile est le combiné d’instruments et, plus particulièrement, les aiguilles rouges du tachymètre et du compte-tours. Une fois le contact activé, ces aiguilles effectuent d’abord le tour des graduations avant de se mettre en position de départ.La dotation de série du Pack Sport inclut un nouveau type de direction paramétrique qui intensifie encore la sensation d’agilité produite par le CLC tout en apportant un vrai plus en matière de sécurité. Le nouveau dispositif repose sur la direction paramétrique asservie à la vitesse qu’il complète par une démultiplication variable de la crémaillère, harmonisée avec l’angle de braquage. Avec la nouvelle direction paramétrique, l’automobiliste ne doit plus tourner le volant que très légèrement dans les virages. Le Coupé Sport réagit de manière encore plus spontanée aux ordres de la direction et se distingue ainsi par un comportement routier encore plus dynamique. La Mercedes CLC sera commercialisée dès mai 2008.
  17. « Passion Alpine, Hommage à Jean Rédélé », une annonce qui fait plaisir à voir sur les Champs-Elysées ! L’Atelier Renault présente en effet une exposition consacrée à Jean Rédélé et à la marque de Dieppe. L’exposition doit son existence à l’initiative de Renault Histoire et Collection, qui l’a mise en musique avec l’Atelier en association avec Madame Rédélé et ses enfants. En ces temps d’autophobie primaire, on ne saurait trop louer l’audace de Renault de consacrer en son prestigieux Atelier une exposition à des voitures de course. Dédiée aux Alpine de compétition, l’exposition offre un florilège des créations de Jean Rédélé. Huit autos ont été élues pour habiter un temps sur les Champs-Elysées. Inaugurant une présentation chronologique, une 4 CV 1063 témoigne des débuts héroïques de Jean Rédélé. La puce a servi de base à la création de l’A106, première Alpine à voir le jour en 1955 et présentée ici dans la configuration du Tour de France Automobile de 1958. Après deux monoplaces, une F2 et une Formule Renault A366, le visiteur découvre l’A110 1800 confiée à Bernard Darniche lors du Rallye Monte-Carlo de 1973. Place ensuite à celle qui lui succède, une A310 aux couleurs de Calberson. A son volant, ce dernier empocha le titre national. La piste mancelle constitue l’aboutissement de l’exposition, qui présente côte à côte une A210 pilotée aux 24 Heures 1969 par Alain Serpaggi et l’A442B de Didier Pironi et Jean-Pierre Jaussaud victorieuse en 1978. Certes, cet hommage vient tard et on aurait aimé le voir du vivant de Monsieur Jean. Après avoir manifesté à Renault une fidélité sans faille tout au long de sa carrière, le créateur d’Alpine aurait été sensible à cette marque de reconnaissance du constructeur de Billancourt… Ouverte depuis le 18 janvier, l’exposition Passion Alpine est à l’affiche de l’Atelier Renault jusqu’au 16 mars 2008. L’Atelier Renault : 53, Champs-Elysées. Ouvert tous les jours de 10h30 à 0h30 (2h30 les vendredi et samedi).
  18. Quand il s'attaque à la Porsche 911 Turbo, le préparateur allemand Gemballa ne fait pas les choses à moitié ; la sportive hérite en effet d'une panoplie d'éléments esthétiques et d'une sacrée préparation mécanique ! Petit arrière goût de démesure Les kits carrosserie sur bases de sportives ne font pas toujours l'unanimité, surtout lorsqu'il s'agit d'une Porsche. Et l'Avalanche GTR 800 EVO-R ne devrait pas déroger pas à la règle ! Gemballa, tuneur allemand qui a fait des modèles de la firme de Stuttgart sa spécialité, signe aujourd'hui l'une de ses réalisations les plus excentriques. Outre son kit optique assez curieux, son imposante prise d'air sur le capot et ses jantes mates, l'Avalanche GTR 800 EVO-R arbore un aileron proéminent sur son coffre. Le résultat est impressionnant mais laisse tout de même un petit arrière goût de démesure. Une mécanique tonitruante ! Sous le capot, le travail apporté par les ingénieurs de chez Gamballa est tout aussi impressionnant que pour la partie carrosserie. La cylindrée du Flat-Six grimpe à 3.8l grâce à l'ajout de nouveaux turbos, des Garret T035. La puissance de la belle passe alors de 480 ch d'origine à 850 ch. Son couple culmine lui à 935 Nm. Hélas, aucune information n'a été communiquée sur ses performances, ni sur ses tarifs.
  19. S'il est un constructeur qui a bâti son image de marque sur le sérieux, la robustesse et l'aspect sécuritaire de ses modèles, c'est bien Volvo. A l'heure où tous les concurrents ont axé leur communication sur ce thème, le constructeur suédois entend bien conserver une longueur d'avance, comme en témoignent les nombreuses innovations technologiques récemment dévoilées. Après les systèmes d'alerte à l'endormissement du conducteur, Volvo s'attaque maintenant à la prévention des collisions, sur voies rapides comme en circulation urbaine. En marge du salon de Detroit, le constructeur a ainsi dévoilé les systèmes CWAB (Collision Warning with Auto Brake) et City Safety. Déjà disponible sur les S80, V70 et XC70 depuis fin 2007, le premier dispositif est une évolution du CWBS lancé en 2006, où le radar anticollision est complété par une caméra. « La confrontation des données en provenance du radar et de la caméra fait du CWAB un système si fiable que le freinage automatique est désormais possible en cas de collision imminente » , selon Jonas Tisell, responsable du projet CWAB. En clair, non seulement le conducteur est averti du risque d'accident, mais s'il ne réagit pas assez rapidement... la voiture freinera toute seule ! L'objectif est d'au moins réduire la vitesse d'impact, afin de réduire les conséquences d'une collision. Le système City Safety – qui sera disponible sur le futur XC60 – utilise quant à lui un radar laser actif jusqu'à 30 km/h qui détecte les véhicules situés jusqu'à 6 mètres devant. De la même manière, il détecte tout brusque ralentissement et sera capable d'intervenir à la place du conducteur afin d'éviter la collision ou, à tout le moins, d'en diminuer les dommages.
  20. Le pilote de F1 Felipe Massa a reçu le 21 janvier 2008 à Monte Carlo une Fiat 500 flambant neuve équipée très spécialement pour l’occasion. En effet, en attendant la « super Fiat 500 » retouchée par Abarth, le moteur le plus punchy proposé sur la petite italienne est le bloc 1.4 100 chevaux. Sympathique et vivant, certes, mais pas franchement sportif. Et surtout pas de quoi contenter un pilote de la trempe de Felipe Massa, 4ème au championnat du monde 2007. Alors pour honorer le membre de la Scuderia Ferrari, la division sportive de Fiat – la Fiat Powertrain Technologies – s’est chargé de pimenter le moteur afin d’en tirer 120 chevaux. Cela préfigure-t-il une proposition à la clientèle ? Difficile à dire, mais bon nombre d’amateurs de la 500 rêveraient de profiter de cette mécanique plus généreuse ! Côté finition, la Fiat 500 spéciale « Felipe Massa » reçoit une peinture blanche perlée, des jantes diamantées de 16 pouces, des étriers de freins peints en rouge, une sellerie cuir marron ainsi que le toit ouvrant électrique. La touche finale est mise avec l’apposition de la signature du pilote sur les seuils de portes.
  21. Remplaçant la maison Christie’s suite à la cessation de leurs activités automobiles, c’est Bonhams qui assurera la traditionnelle vente aux enchères de Rétromobile cette année. Et cette première devrait être exceptionnelle : si le catalogue complet n’est pas encore disponible, les quelques lots déjà connus mettent l’eau à la bouche. Ainsi, une superbe Mercedes Benz 500K Cabriolet A de 1936 ayant appartenu au peintre Mathieu devrait côtoyer l’une des plus belles Aston jamais réalisée : une DB4 GT. Mais l’un des lots les plus importants de la vente sera la Sauber-Mercedes C9 victorieuse du championnat du monde 1989. C’est avec cette voiture, châssis numéro 5 (sur 6 produites), que Jean-Louis Schlesser et son coéquipier Jochen Mass se sont approprié les titres de champion et vice-champion du monde lors de cette saison remarquable. La voiture termina ainsi 5 fois à la première place sur les 7 courses disputées (Jarama, Nürburgring, Donington, Mexico et Suzuka). Ses seules ombres au tableau furent de ne pas rejoindre l’arrivée à Spa et de finir 5ème aux 24 Heures du Mans. Entretenue et révisée chez Sauber, la C9 numéro 5 est en parfait état et prête à courir en groupe C des compétitions historiques. Elle est de plus fournie avec un ensemble de pièces de rechange (carrosserie et mécanique). Enfin, il y a de fortes chances pour que la numéro 5 soit la dernière à apparaitre sur la marché, les autres étant réparties entre le musée Mercedes, les réserves Sauber et une collection privée. Cela justifie une estimation oscillant entre 1,5 et 2,5 millions d’euros... Petite surprise supplémentaire pour ceux qui assisteront à la vente le 9 février 2008 : les mécaniciens de Sauber démarreront la C9 et c’est Jochen Mass en personne qui la conduira jusqu’au podium !
  22. J'aime bien moi sutout le bleu OPC je trouve ca très discret!
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