Bob_wallace11

L'expression « super-Bugatti » a de quoi étonner, la Bugatti Veyron faisant déjà figure de « super-supercar » ! Pourtant, la filiale très haut de gamme du groupe Volkswagen travaillerait sur un nouveau projet, celui d'une sportive encore plus extrême que la Veyron. C'est du moins ce que révèle l'hebdomadaire allemand Auto Motor und Sport, qui indique que cette nouvelle Bugatti (nom de code « Lydia », prénom de l'épouse d'Ettore Bugatti) serait moins une GT comme la Veyron qu'une pure sportive destinée en priorité à une utilisation sur circuit. La Bugatti « Lydia » reprendrait le moteur W16 de la Veyron, mais avec une puissance portée de 1 001 à... 1 175 ch ! Dotée d'un châssis particulièrement affûté, d'une aérodynamique soignée (lame de pare-chocs, aileron massif), cette nouvelle version aurait notamment pour objectif d'établir un nouveau record du tour sur le circuit allemand du Nürburgring. Le meilleur temps actuel, détenu par une Radical SR8, est de 6 minutes et 55 secondes. La Bugatti « Lydia » viserait elle un chrono de 6 minutes et... 40 secondes ! Si ce nouveau bolide devait véritablement voir le jour (on l'espère !), il ferait l'objet d'une production limitée et s'afficherait à des tarifs jamais vus jusqu'alors : on parle de 2,5 millions d'euros l'unité !

Voila ce qui confirme mon dicton : " Porsche! c'est d'un commun." vu a la sentinelle, pas loin du stade pour ceux qui connaissent.

Je l'ai vu sur le parking de Paul a coté de la prison. Désolé mais qualité portable!

Elle est pas mal c'est vraie, mais ils pourraient faire un effort en developpement, c'est pas l'argent qui leur manque chez toyota. On finit vraiment par se demander si ils concourent vraiment pour le titre!!

Ah je viens de comprendre

Lassé de ne plaire qu'aux retraités et aux chauffeurs de voitures de place, Lincoln renouvelle son haut de gamme. Etait-il bien avisé de miser sur la traction alors que Cadillac renoue avec la propulsion ? Sans le savoir, les fidèles des séries télévisées du samedi soir connaissent la Town Car. La longue limousine noire dans laquelle s'engouffre l'homme d'affaires véreux ? C'est elle ! La berline anonyme qui glisse devant les palaces ? Encore elle. La vaste malle qui digère jusqu'à trois cadavres ? C'est la sienne… La grande Lincoln est à l'image des Safrane et des Vel Satis bien de chez nous, la réputation sulfureuse en plus. Cette longue lignée de limousines au luxe et au confort de bon aloi est idéale pour ceux qui désirent échapper au côté tapageur des belles étrangères : hommes d'affaires inquiets du qu'en dira-t-on, septuagénaires nostalgiques des belles américaines d'antan et gestionnaires de flotte séduits par son rapport inégalé entre coût d'entretien, longévité mécanique, valeur de revente et prestige. Sans le soutien de cette profession et celui, plus anecdotique, de la pègre, la Town Car n'aurait jamais connu une telle longévité. Car à bien y regarder, sa fiche technique sort tout droit du musée. C'en est fini du châssis séparé ! La Town Car incarne l'ultime représentante des conceptions qui avaient cours autrefois à Detroit. Avec ses sœurs Ford Crown Victoria et Mercury Grand Marquis (plus humbles mais mécaniquement identiques), la grande Lincoln est la dernière propulsion américaine à moteur V8 construite sur un châssis séparé. Ce qui explique son habitabilité ridicule au regard de ses mensurations imposantes. Avec sa boîte à quatre rapports et son 4,7 litres de seulement 289 chevaux, la Town Car est un véritable dinosaure au pays des mécaniques aux rendements prodigieux des orfèvres japonais et allemands. Tout pour le couple ! semble être sa devise, à l'instar de sa concurrente la plus proche, la Chrysler 300 C 5.7 Hemi de 340 ch. Révolution de style La Town Car sillonne les beaux quartiers et les parkings d'aéroport sous sa forme actuelle depuis 1998, date de sa dernière refonte en profondeur. Mais elle repose sur une plateforme Panther conçue dans les années 1970 ! Ne croyez pas que la FoMoCo en tire un bénéfice particulier : de tous les modèles que compte sa vaste gamme multimarque, la Town Car est le plus coûteux à produire. Dommage. Pour autant, et c'est là que l'histoire confine à l'extraordinaire, cette Lincoln n'est pas encore bonne à ranger parmi les "antiquités" qui sillonnent les routes des pays émergents. Songez qu'elle est la première voiture de tous les temps à laquelle le NHTSA (National Highway and Trafic Safety Administration) ait décerné la note maximale de cinq étoiles dans toutes les catégories (protection des adultes, des enfants comme des piétons). Il s'agit là d'une belle démonstration de savoir-faire de la part des ingénieurs de chez Ford, sinon de leur obstination. Mais c'est surtout la preuve qu'un long capot fait décidément beaucoup pour l'absorption de l'énergie cinétique en cas de choc… De quoi mieux apprécier l'allongement généralisé des modèles chez tous les constructeurs. Une succession difficile Sachant cela, on comprend qu'ils soient quelques-uns à pleurer la Town Car, dorénavant disponible en une seule finition destinée aux loueurs. Ils regrettent déjà son velouté et son charisme, sa ligne élégante et sa calandre imposante. Pour ses aficionados, la conversion risque d'être difficile. Comme s'il fallait signifier la fin des temps euphoriques, Lincoln a décidé d'en finir avec les noms évocateurs du passé. Fini les Town Car, Zephyr ou Aviator : aujourd'hui s'ouvre le règne des combinaisons de lettres ineptes. On connaît le raisonnement qui pousse les constructeurs à préférer des désignations alphanumériques aux patronymes francs et entiers. Ils espèrent ainsi favoriser la notoriété du nom de leur marque plutôt que celle d'un modèle à succès. Mais qui voudrait troquer la flamboyance d'une Town Car contre l'anonymat d'une MKS ? Traction et V6 La grande Lincoln renonce aux roues arrière motrices pile au moment où Chrysler et Cadillac renouent avec cette formule. La 300 C et la toute dernière CTS démontrent de fort belle manière que l'Américaine de luxe et de caractère n'est pas un genre désuet. La nouvelle MKS devra se mesurer au V8 Hemi ainsi qu'au magnifique V6 Northstar à injection directe de 304 chevaux avec, au lancement, un simple V6 3.7 de 270 ch apparu sous le capot du Mazda CX-9, évolution du 3,5 litres Ford lancé l'an dernier. Les Américains devront patienter jusqu'en 2010 pour que la MKS hausse le ton avec une version double turbo à injection directe estimée à quelque 415 chevaux. Une puissance qui nécessitera l'adoption de la traction intégrale. Pour l'heure, aucun V8 n'est inscrit au programme. Et d'aucuns d'espérer voir une Lincoln plus vaste encore venir chapeauter la gamme… Nous n'en sommes pas encore là et, comme chez Cadillac, Lincoln s'en tient à sa volonté d'égaler le rendement et la souplesse d'un V8 avec un V6 de pointe. En somme, la méthode du downsizing vue par les américains. Gageons que sur un marché où prime traditionnellement l'attrait des grosses cylindrées, la tâche de la MKS s'annonce difficile. Au moins sa malle se montre-t-elle à la hauteur de la tâche qui l'attend. Qu'il s'agisse d'accueillir des sacs de golf ou quelque mauvais payeur qui aura oublié ce qu'il en coûte de traiter avec la Mafia… Au moins un parrain sera satisfait de sa nouvelle Lincoln, c'est déjà ça de pris. Mais la MKS devra faire mieux car, comme le disait avec malice Coluche, " un parrain, c'est bien. Mais deux par deux, ça irait plus vite !"

oui pourquoi cette question?

Skoda vient de dévoiler les premières photos et informations de sa nouvelle berline dénommée Superb. Cette seconde génération sera dévoilée au salon de Genève en mars prochain. L'ancienne Skoda Superb pouvait presque se confondre avec l'ancienne Volkswagen Passat tant le nombre de pièces partagées était important. Aujourd'hui, la marque tchèque change radicalement sa nouvelle mouture en adoptant le design propre à la gamme actuelle en plein renouvellement. La calandre avant reprend le dessin des nouveaux modèles Skoda commercialisés. A l'arrière, on note l'apparition d'un hayon et de feux au dessin très classique s'allongeant sur les flancs. Cette nouvelle Superb sera sans doute un peu plus habitable que l'ancienne (la préférée des taxis ?) avec des dimensions en hausse : + 35 mm en longueur (4,838 m de long) et + 18 mm (1,783 m de large). La hauteur et l'empattement généreux de l'ancienne qui faisait le bonheur d'Adriana Karembeu ont été réduit sur la nouvelle mouture (2,761 m pour l'empattement et 1,461 m pour la hauteur) mais cela ne devrait guère influer sur l'habitabilité. Sous le capot, le constructeur tchèque annonce trois moteurs essence et trois diesels en transmission manuelle et automatique (DSG) dont la puissance sera comprise entre 105 et 260 ch. Skoda n'a pas lésiné sur la sécurité avec 9 airbags à bord. Côté équipements, on devait trouver un éclairage auto-adaptatif aux conditions de circulation, une nouvelle climatisation électronique et un assistant intelligent permettant de faire un créneau sans toucher au volant.

Le constructeur indien vient de révéler un modèle révolutionnaire à très bas coût. Dénommée Nano, cette voiture sera commercialisée pour 2 500 dolars ($), soit 1 700 euros... Une prouesse dans un marché automobile qui voit les prix des modèles vendus augmenter d'années en année. Ainsi, après la Logan de Renault, Tata Motors profitera de la 9ème édition du Salon de New Delhi pour présenter sa Nano. La Tata Nano ne sera bien sûr pas vendue en Europe mais en Inde avant la fin de l'année 2008. La marque indienne parle déjà d'une motorisation diesel et d'une future commercialisation en Europe. Pour cela, la voiture devra repasser dans les bureaux d'études pour respecter les normes de sécurité en vigueur dans notre continent. Le Président Ratan Tata, a donc annoncé pouvoir produire la voiture la moins chère du monde avec un tarif de base deux fois moins important qu'une Dacia Logan. Pour ce prix, l'auto s'équipe du minimum, à savoir des vitres à ouverture/fermeture manuelle, une sécurité active et passive probablement absente, des plastiques ultra dur, des finitions aléatoires et des matériaux choisis quelconques. La Nano proposera néanmoins 4 places et 5 portes. Sous son capot, on trouvera un tout petit moteur avec une cylindrée de seulement 624 cm3. Avec une telle motorisation, les déplacements ne pourront s'effectuer qu'en ville. Tata Motors veut vendre son modèle fétiche sur les marchés émergents (Inde, Chine, Amérique latine, Afrique et Russie). La marque compte écouler 250 000 exemplaire dès la première année et atteindre un million de modèles dès 2010.

C'est encore un moteur Bi-rotor en ligne, mais les nouvelles caractéristiques ne sont pas encore communoquées.

En attente d'une future RX-9 et surfant sur la vague du magnifique concept Furai, mazda présente la nouvelle RX-8, qui, il faut l'avouer, est superbe. Aucune version Convertible n'est prévue pour cette RX8 Phase 2 qui inaugure de tous nouveaux boucliers ainsi que des optiques au dessin plus aggressif. Selon Motorauthority, la définition des réglages de suspensions aurait également été revue. Notons egalement qu'une future version RS et en préparation.

Imaginé par un groupe de jeunes étudiants en design, le Hummer HX préfigure le futur petit 4x4 du constructeur américain. Fun, agile et innovant L’histoire est véridique ! Fraîchement diplômés du collège Creative Studies de Detroit (USA), Robert Jablonski, Min Young Kang et David Rojas ont eu la formidable surprise d’être embauchés, dès leur sortie de l’école, par le groupe automobile General Motors. Objectif avoué du géant américain : faire plancher ces jeunes sur le dessin du futur petit 4x4 de la célèbre marque Hummer. Mais attention, pas n’importe comment ! Encadrés par Carl Zipfel, responsable du design, les trois étudiants ont dû composer avec un cahier des charges leur imposant notamment les dimensions de l’engin ainsi que ses angles d’attaque et de sortie. Le résultat devant être à la fois fun, agile et innovant. Un véritable défi pour Robert, Min et David, qui, au bout de trois mois de recherches, ont dû soumettre leurs dessins à l’œil avisé de Bob Lutz, vice-président de General Motors. Ce dernier ayant l’importante tâche de choisir lequel des trois dessins donnera naissance au concept Hummer HX. Un 4x4 modulable Le modèle sélectionné, présenté en première mondiale au salon de Detroit, se dote d'une mécanique flexfuel, c’est à dire pouvant fonctionner indifféremment à l’essence ou au bioéthanol. Il bénéficie également de panneaux de carrosserie amovibles (toit, portes, ailes). Les différentes parties du toit, totalement indépendantes, permetteront par exemple au conducteur de rouler à ciel ouvert tandis que ses passagers resteront à couvert. Enfin, une fois dépourvu de ses ailes et de ses portières, le Hummer HX offre une configuration idéale pour la pratique du tout-terrain. Aux vues de ses dimensions, son potentiel rival ne sera autre que le Jeep Wrangler.

Alors que la nouvelle berline sport CTS gagne des approbations et des nouveaux propriétaires, Cadillac passe à l’étape suivante en présentant en avant-première la CTS-V 2009, l’expression ultime des performances et du luxe de la marque. La toute nouvelle CTS-V qui sera lancée le quatrième trimestre de 2008 a l’intention de combiner les performances sérieuses d’une voiture de sport d’élite avec l’équilibre et l’élégance d’une berline de luxe prestigieuse. Membre de la gamme V acclamée des modèles à hautes performances de Cadillac, la CTS-V offre environ 550 chevaux (410 kW). Au-delà de la puissance, la CTS-V inclut également un ensemble complet de perfectionnements techniques et stylistiques, y compris la commande magnétique de suspension, un programme de gestion de traction à hautes performances qui est une première et une nouvelle transmission automatique à commande des vitesses par palettes. Alors qu’une toute nouvelle version de la berline sport CTS était préparée pour 2008, les ingénieurs et les stylistes de Cadillac ont commencé à étudier une nouvelle CTS-V qui atteindrait de nouveaux sommets en termes de performances et de luxe. Avec la CTS-V originale, Cadillac a prouvé qu’elle pouvait développer une berline très puissante aux performances élevées. Le défi du modèle 2009 était d’améliorer chaque aspect d’une façon complète, tout en atteignant des limites de performances plus élevées. Plusieurs éléments techniques et stylistiques essentiels se combinent pour transformer la CTS déjà très capable en la nouvelle série V. Comme la CTS existante, la série V est le produit d’un processus de développement intensif dans toute l’Amérique du Nord et l’Europe, y compris des pistes de test célèbres et les millions de kilomètres de route. Pour soutenir l’expansion globale continue de Cadillac, la CTS-V 2009 sera offerte en dehors de l’Amérique du Nord pour la première fois, ce qui comprend des exportations vers l’Europe, le Moyen-Orient et l’Asie. Perfectionnements techniques sophistiqués La Cadillac CTS-V 2009 intègre la technologie de suspension à la réaction la plus rapide du monde, la commande magnétique de suspension (MRC, Magnetic Ride Control). Elle utilise des amortisseurs commandés par des électro-aimants à la place des clapets mécaniques, ce qui réduit considérablement le délai de réaction. Les capteurs électroniques des quatre roues « lisent la route » littéralement chaque milliseconde pour régler en permanence l’amortissement afin de créer une commande pratiquement instantanée et extrêmement précise des mouvements de la carrosserie. C’est particulièrement intéressant pour une berline à hautes performances, afin de préserver la totale sérénité de la voiture en virage, accélération ou freinage intensif et lors d’autres manœuvres dynamiques. En offrant le contrôle précis attendu dans une berline à hautes performances, la CTS-V intègre le système de gestion de la traction hautes performances, emprunté aux équipes de course des championnats. Cette technologie utilise une électronique avancée pour gérer le couple moteur afin d’obtenir une traction optimale pendant l’accélération. Dans des situations telles que l’accélération à partir de l’arrêt ou en sortie de virage, la gestion de traction hautes performances régule la distribution du couple pour le meilleur lancement possible. La gestion de traction haute performance emploie le même type d’électronique que des programmes de contrôle de stabilité tels que le système StabiliTrak de Cadillac, mais l’applique d’une façon différente. Au lieu de surveiller et contrôler le patinage des roues pour faciliter l’arrêt ou le ralentissement de la voiture, le PTM régule la distribution du couple pour l’adapter instantanément à l’adhérence disponible aux pneumatiques afin d’obtenir l’accélération maximale. La CTS-V inclut également des systèmes de freinage et de pneumatiques sophistiqués, en partenariat avec deux sociétés renommées pour leur technologie à hautes performances : Brembo et Michelin. Les freins Brembo des quatre coins comprennent des étriers puissants à six pistons à l’avant et à quatre pistons à l’arrière. Michelin a travaillé avec les ingénieurs de Cadillac pour développer son pneumatique été Pilote Sport 2 (PS2) pour la CTS-V et ses roues de 19 pouces. Puissance et couple Et, naturellement, il y a la question de la puissance. Elle a augmenté de pratiquement 35 de cent sur la CTS-V 2009, avec un nouveau moteur LSA V8 6.2L suralimenté qui produit environ 550 ch. (410 kW) et un couple de 745 nm. Le moteur fournit cette puissance avec un raffinement remarquable. Un compresseur Eaton de sixième génération réduit au minimum le bruit supplémentaire précédemment associé aux moteurs suralimentés et commande précisément la température de l’air admis pour des performances optimales. Les choix de transmission incluent une boîte à six vitesses manuelle ou une boîte à six vitesses automatique exclusive avec des palettes de changement de vitesse montées sur le volant. C’est la première boîte automatique offerte sur la CTS-V. Le style Esthétiquement, la série V offrira des sièges de conduite sportive Recaro, qui fournissent un excellent soutien en conduite soutenue et qui complètent l’intérieur luxueux et réfléchi. Ces nouveaux sièges sportifs réglables de 14 manières incluent des commandes pneumatiques de soutien dans leur coussin et leur dossier. Un matériau microfibre est appliqué sur le volant, sur les sièges et sur le levier de vitesses. Les commandes centrales intégrées de la voiture sont garnies d’un nouveau matériau d’obsidienne également appliqué sur la console centrale et les garnitures de porte. Comme toutes les CTS, la série V inclut un tableau de bord, des panneaux de porte et une console centrale cousus à la main. Les fonctionnalités d’infodivertissement de pointe incluent un disque dur de 40 gigaoctets, un système de navigation avancé avec un écran escamotable et un audio surround numérique Bose, développé dans la série V, ainsi que des capacités Bluetooth en standard. L’extérieur de la nouvelle CTS-V amplifie la position autoritaire et les détails élégants de la voiture standard et communique les capacités remarquables de la voiture. La calandre Cadillac en dièdre est plus grande pour permettre une entrée d’air plus importante, elle reçoit un fini satin. Le capot surélevé englobe le moteur suralimenté, et les nouvelles plages avant et arrière identifient le véhicule de la série V. Les roues de 19 pouces renforcent la position de la voiture sur la route.

Apparue en 2000, la Classe C Coupé Sport, première du nom avait étonné un public qui voyait encore Mercedes comme une marque un peu trop austère. Les années ont passé, et le constructeur a su moderniser son image. Le Coupé Sport lui, continuait à évoluer discrètement, mais dans l’ombre de plus en plus pesante de la berline. Et avec l’arrivée de la nouvelle Classe C, la petite Mercedes a pris un très gros coup de vieux. La marque de Stuttgart a donc décidé de réagir et présentera à l’occasion de la Fashion Week de Berlin sa remplaçante : la Mercedes CLC. Afin d’attiser les curiosités, ce sont seulement quelques images de « teasing » qui viennent d’être dévoilées, sur lesquelles la robe de la voiture est en partie masquée par les robes du mannequin – et ambassadeur de Mercedes – Eva Padberg. Côté technique, on sait cependant déjà que, si elle reprend la plate forme de la génération précédente, plus d’un millier de composants ont été retravaillés ou développés spécifiquement pour la CLC. Mercedes promet également une nouvelle direction plus affûtée ou encore un système multimédia incluant un GPS couvrant toute l’Europe. Côté motorisation, la marque à l’étoile n’évoque pour l’instant qu’un 4 cylindre de 184 chevaux particulièrement sobre, mais on devrait en savoir plus lors de la présentation complète. Les mystères sur cette « Baby Merc » seront levés le 27 janvier 2008 lors de l’ouverture de la Fashion Week de Berlin.

Imposant SUV 5 ou 7 places disponible exclusivement avec un moteur 3 litres essence, le Subaru Tribeca est virtuellement invisible sur nos routes. Malgré un lifting et une nouvelle motorisation, la situation risque de ne pas évoluer. En effet, le « flat six » 3 litres essence de 245 ch se voit rejoint par... un autre « flat six » essence, de 3,6 litres et 258 ch celui-là. Plus coupleux (343 Nm contre 300), ce bloc se révèle également moins gourmand, avec 11,6 l/100 km au lieu de 12,3 pour le moteur plus ancien. Mais point de diesel pour le moment, et si Subaru travaille actuellement sur un boxer quatre cylindres fonctionnant au gazole, ce bloc d'environ 150 ch ne sera probablement pas adapté sous le capot du Tribeca. Le Subaru Tribeca 2008 reçoit par ailleurs une nouvelle calandre, plus classique que la précédente, et une partie arrière légèrement remaniée. Les tarifs débutent à 48 100 € pour la version 3 litres et 49 500 € pour la 3,6 litres.

BMW semble avoir remporté son pari : le constructeur à l'hélice, qui a racheté de haute lutte Rolls-Royce en 1998, a réussi à replacer la légendaire marque britannique au sommet de sa gloire. La preuve ? Il s'est vendu pas moins de 1 010 Rolls-Royce en 2007 ! Selon Rolls-Royce, la limousine Phantom (en versions normale et longue) représente 75 % des ventes. Le quart restant est le fait du seul cabriolet Phantom Drophead Coupé, qui rencontre semble-t-il un succès supérieur aux attentes. C'est grâce à lui que Rolls franchit la barre symbolique des 1 000 immatriculations. Pour l'anecdote, parmi les 80 concessions disséminées à travers le monde, les trois plus importantes en termes de ventes sont celles de Beverly Hills, Londres et... Abu Dhabi. La hausse des volumes est appelée à se poursuivre à l'avenir : Rolls compte en effet lancer deux nouveaux modèles d'ici à 2010. Le premier, attendu cet été, est un coupé étroitement dérivé de la Phantom Drophead. Mais le plus important arrivera dans deux ans : il s'agira d'une « baby Rolls », plus petite et moins chère que la Phantom. Développée sur la base de la future BMW Série 7, cette nouvelle Rolls risque de mener la vie dure à une certaine Bentley Continental Flying Spur... Tarif attendu : pas moins de 180 000 euros !

Avec 3 modèles différents de GT de course, Aston Martin est présent depuis 2007 sur presque tous les fronts. En effet, non content de gagner la catégorie GT1 des 24 heures du Mans avec la DBR9, les Aston Martin s’illustrent également en GT3 avec la DBRS9 et en GT4 avec la V8 Vantage N24. Il ne restait plus qu’un trou à combler afin d’avoir le quatuor parfait, permettant d’aligner une voiture dans chaque plateau. Ce sera bientôt chose faite avec l’ Aston Martin Vantage GT2 dont une image de synthèse vient d’être révélée. Développée sur une base de V8 Vantage, cette nouvelle venue a été spécifiquement pensée afin de pouvoir être alimentée aussi bien par de l’essence que par du bioéthanol E85. Cet attribut vert lui permettra notamment de s’aligner en American Le Mans Series. On peut également espérer entendre prochainement le grondement métallique du V8 aux 24 heures du Mans ou elle se mesurera aux Porsche GT3 RSR, aux F430 GT et autres Panoz Esperante. Vantage GT2 : DBR9 (GT1) : DBRS9 (GT3) : V8 Vantage N24 (GT4) :

Empêtrée dans le bourbier moyen-oriental, l'Amérique a fait un rêve : celui de se passer de pétrole ! Pas facile dans un pays archidépendant à l'Or noir, mais les constructeurs n'en font pas moins des efforts, comme General Motors. Sa division haut de gamme Cadillac présentera ainsi à Detroit le « crossover » Provoq, doté d'une pile à combustible. Cette nouvelle pile à combustible « de cinquième génération » a réduit son encombrement de moitié par rapport à sa devancière. Elle permet à la Cadillac Provoq de parcourir 450 km sur un plein d'hydrogène. Deux réservoirs situés sous le coffre à bagages abritent 6 kg de gaz comprimé à 700 bars. Une batterie Li-Ion supplémentaire offre quant à elle 32 km d'autonomie additionnelle. La pile fournit jusqu'à 88 kW de puissance, tandis que la batterie en fournit 60 kW supplémentaires en cas de grosse demande. Toute cette énergie est utilisée pour alimenter trois moteurs électriques : un de 70 kW (environ 94 ch) à l'avant, et deux de 40 kW (environ 54 ch) logés dans les roues arrière. L'ensemble propulse la Cadillac Provoq de 0 à 100 km/h en seulement 8,5 s, la vitesse maximale atteignant 160 km/h. Pour parvenir à des résultats aussi éloquents, la Provoq a été l'objet d'une étude aérodynamique soignée, avec volets de calandre pilotés ou encore soubassements carénés. L'habitacle accueillera quant à lui 5 passagers dans le confort attendu d'un SUV Cadillac. Vu comme ça, le futur n'a rien de triste !

Nardo, véritable temple de la vitesse n'en finit pas de voir des bolides toujours plus puissants les uns que les autres tenter de battre des records de vitesse. Il faut avouer que les près de 13 kilomètres de tracé (12,4 plus exactement) sont propices pour permettre d'atteindre des allures supersoniques. Lorinser, le préparateur spécialisé sur les modèles de la marque à l'étoile, n'échappe pas à cette envie de record et s'est attaché à transformer le SL65 AMG, pourtant pas déjà avare avec ses 612 ch d'origine. Après un passage cosmétique dont certaines aérations tiennent autant du look que de l'efficacité aérodynamique et de refroidissement de certains organes mécaniques, Lorinser s'est penché au-dessus du V12 biturbo. Désormais, le V12 gronde avec 660 ch et un couple gargantuesque de 1 013 Nm qui doit mettre à mal le convertisseur de couple de la boîte auto. Le châssis et trains roulants sont complétement revus car amener les 2 tonnes de ce roadster à la base plus luxueux que sportif à plus de 325 km/h n'est pas si simple. Cette "Nardo 3" est commercialisée à moins de 50 exemplaires par Lorinser.

Lorsque la presse auto choisi une auto en fonction de certains critères objectifs face à la concurrence, les constructeurs y sont plus qu'attentifs. Surtout lorsqu'il s'agit de l'élection de la sportive de l'année chez nos confrères d'Echappement. Pour cette édition 2008, c'est la Mégane RS F1 Team R26 qui remporte la palme devant des autos pourtant très sportives. Renault Sport très réactif depuis plusieurs années n'est pas resté de marbre devant cette victoire... Au contraire une série limitée "Echappement" à 34 exemplaires seulement est disponible à la vente. Et il y a fort à parier qu'il faudra être dans les premiers à la commander car sa dotation est particulière : Couleur blanc avec jantes noires vernies, plaque numérotée dans l'habitacle et équipement luxueux de série avec phares xenon, kit bluetooth, pack luxe (sellerie cuir intégrale, carte main libre, accoudoir central avant, rétroviseur intérieur électrochrome et tapis). Ainsi dotée, la Mégane RS R26 "Echappement" affichée à 30 940 euros représente un avantage client de 1 550 euros pour obtenir la même en partant d'une F1 Team R26 "standard". Cette dernière reste encore au catalogue pour le premier semestre 2008.

Pour ceux d'entre nous qui auraient vu "Mr et Mme Smith", ils auront pu remarquer qu'il y avait trois M5 e39 du plus belle aspect. Elles nous ont offert une superbe course poursuite sur le highway, mais malheureusement elles finissent toutes en pièces détachées et oui c'est souvent comme ca avec les voitures de méchants .

Ford profitera du salon de Detroit pour dévoiler un nouveau concept préfigurant le futur SUV de la marque en Amérique. La marque américaine à mis l'accent sur l'écologie avec des moteurs consommant jusqu'à 30% moins de carburant. Sous le capot de ce gros SUV, on trouve un 4 cylindres 2.0 litres à technologie EcoBoost développant pas moins de 275 chevaux et un couple de 387 Nm et un V6 3,5 litres de 340 ch allégé de 70 kg. Selon Ford, ces moteurs consommeraient de 20 à 30 % de carburant en moins que les motorisations actuelles. Ils sont accouplés à une boîte automatique à 6 rapports. D'un point de vue technique, le châssis a été spécialement conçu pour réduire la consommation (construction monocoque). Ford a également retravaillé l'aérodynamique ou des systèmes embarqués comme la direction assisté (gain de 5%). Esthétiquement, le Ford Explorer America est robuste. Il se distingue par un style sans le moindre coin, des portes à ouvertures antagonistes (qui ne verront probablement pas le jour en série). La face avant est imposante avec une calandre grise à deux barrettes incluant les clignotants. Le pourtour de cette calandre accueille les feux avant. On remarquera également les imposants pare-chocs qui entourent tout le concept et les feux arrière en forme de trapèze. Le toit est entièrement vitré et adopte un style très particulier. A l'intérieur, l'habitacle est très futuriste, il se caractérise par quatre sièges indépendant très fins sur rails et une banquette arrière en cuir marron situé sur troisième rangée. Les sièges de la seconde rangée peuvent s'incliner afin de faciliter l'accès des passagers. La planche de bord est étonnante avec sa grosse boussole centrale verte (un compas en 3D), son volant à la forme particulière et son compteur original. Ce concept préfigure le futur Ford Explorer qui devrait arriver sur le marché américain en 2010.

A l'approche d'un salon de Detroit qui s'annonce à nouveau labellisé « écolo », Porsche a annoncé que sa future GT 4 portes Panamera existera en version hybride. Une nouvelle peu surprenante puisque cette offre sera également proposée sur le Cayenne (soit sur l'actuel, soit plus probablement sur la prochaine génération), avec lequel la Panamera partage bon nombre d'éléments techniques. Rappelons que la Porsche Panamera sortira en 2009, et qu'elle s'inscrira en concurrente de l'Aston Martin Rapide... pour ne citer qu'elle. Cette berline très élancée marquera une nouvelle étape dans l'élargissement de la gamme Porsche. Dans sa version hybride, la Panamera devrait afficher une consommation moyenne sensiblement inférieure à 9 litres aux 100 km, chiffre déjà annoncé pour le Cayenne Hybrid. Avec ce système de propulsion, Porsche nous promet à la fois des émissions polluantes réduites et un agrément de conduite sportif préservé.

Steven Spielberg est un amateur de Lexus. C'est pourquoi il a personnellement demandé à la marque de lui concevoir un véhicule futuriste pour sa dernière production. Ce modèle 2054 comporte, entre autres, un moteur électrique de 500 kW et des batteries à recharge intelligente, des serrures à reconnaissance d'ADN, un autodiagnostic, un système de concierge activé par la voix et un contrôle de stationnement assisté par sonar. Il n'en fallait pas moins pour transporter Tom Cruise.

C'est clair mais tout n'est pas a jeter dedans, moi j'y etais allé juste pour voir la lamborghini mais hyper decu on la voit presque pas