annamat38

wahouuuuuuuuuu avec ça tu as tout de la "Fashion victime" J'te ferais une tof à la semaine....

T'as pas compris, c'est une E avec 9 places ! Dans les boites à E, il n'y a que 6 places !!! ...pas mal....

Moi aussi, hier. Chambre n°15.

il sait pas etre si précis....lui il a jamais conduit une Benz....ni autre chose d'ailleurs....

nan c'est pas la voiture qui fait l'homme.... T'as raison, c'est sa bite.Alors j'suis un mec....

non pas activer et pas brancher juste poser car pas le temp de finir

le signe de vitz

Bon ok la voiture je suis pour! Mais alors le maillot de Marseille... Supporte une vrai équipe quoi. lol A se soir.

Chez le fabricant de Car Audio Alpine, il semble avoir une certaine attirance pour la marque à l’étoile puisque cette CLS en est déjà à sa 2éme version, et par le passé nous avons eu droit au RLS. Ce show car a ainsi pour vocation de présenter la gamme 2010. Esthétiquement on remarque immédiatement la peinture satinée, avec une association blanc/noir assez racing et étonnante sur une telle auto. Pour continuer sur ce chemin, elle reçoit des jantes OZ Ultraleggera ainsi qu’une suspension légèrement rabaissée. Dans l’habitable l’installation reste relativement discrète au premier abord, et on constate avec bonheur que les douillets sièges d’origines ont été troqués contre des Recaro Sportster CS. Et ainsi pas question de boum-boum sans grâce, la recherche est avant tout qualitative avec l’utilisation du système hi-fi F1 Status et de la platine DVD DVI-9990R en collaboration avec 2 processeurs PXI-H990, avec pour finalité le 6.1. Tout ce petit monde s’articule autour de la station multimédia double din, dotée d’un logement spécifique, et des multiples fonctions habituelles. Niveau implantations on retrouve un kit 3 voies dans les portes, une voie centrale sur la console, à l’arrière un 2 voies, et dans le coffre, des subwoofers de 30 cm et toute l'amplification. La qualité d’assemblage est irréprochable, et le niveau de finition réellement impressionnant.

C'est clair que c'est desser !! Y'avai rien pour nous proteger du vent Sa fait plaisir les com's merci les gars !! Et les fillles !!!

Vlà la golf 5 posé sur les jantes lambo

super shooting les gars, vos mk2 sont sublimes

même réflexion..................alors que l'an dernier il y avait ML et R... Vous avez pas reçu les invitations?

Bon je viens donner des nouvelles de la petite. Debut janvier je suis aller au controle technique et elle a été refusé a cause des freins arriere. Donc cet aprem je vais a la contre visite. Et entre temps le silencieux central a du etre changer car a force de frotter il a fini par explosé. Je les remplacer par un simple tube (monter sur les 1,1L) qui ne frotte plus.

le decapsuleur ouvre une mousse bele photo en tout cas bonne idée

Alors voilà qui devrait te plaire Yoh. Une petite entrée chaude que j'ai réalisée il y a environ 1 an et que j'ai retrouvée parmi mes recettes. Idem à ma recette d'hier, simple à faire, peu onéreux et très goûteux, bref, une entrée gourmande... :-) Tartines gourmandes, (pour 4 personnes) Ingrédients ! 4 «bonnes » tranches de pain de campagne 1 gousse d’ail coupée en 2 1échalote finement ciselée 1 ou 2 cassolettes d'escargots, (selon la quantité) Quelques olives vertes coupées en 2 2 tomates fermes épépinées et coupées en brunoise 2 tranches de jambon de pays Quelques copeaux de parmesan Sel, poivre Préparation : Couper les tomates en 4, les épépiner et les recouper en brunoise. Ciseler finement l’échalote. Couper les olives vertes en 2. Mélanger le tout dans un saladier et réserver. Couper grossièrement les 2 tranches de jambon de pays style «chiffonnade». Tailler à l’économe des copeaux de parmesan, réserver. Dans une poêle, faire revenir la cassolette d’escargots, saler, poivrer. Dans une autre poêle, faire de même avec le mélange d’échalote, olives et tomates, saler, poivrer. Simultanément, griller légèrement les tranches de pain au toasteur et les laisser à peine tiédir. Puis, les frotter avec les gousses d’ail. Ceci fait, étaler dessus le mélange d’échalote, olives et tomates, puis, y déposer les escargots, ajouter la chiffonnade de jambon de pays et enfin, parsemer avec quelques copeaux de parmesan. Servir aussitôt. Si on le désire, on peut accompagner cette entrée avec quelques feuilles de roquette légèrement «fatiguée» avec une vinaigrette balsamique.

Je sais se coup si ces sa !!! Une alarme !!!! personne repond pour lalarme donc c'est sa

J'ai longuement hésité entre la 22 et la 31 et au final, il n'en faut qu'une, hélas... Alors, je choisis la 31, car elle m'a fait craquer par son petit plus, le travail en bi-tons. Mais félicitations aussi à la 22 pour son originalité.

te trompes pas, c'est pas donné ces trucs. Bah garde le ticket pour que je puisse echanger a ucas ou Si, il m'était fort aise de te parer des souliers de ton choix....

jolie ma caille, j'espère avoir un intérieur comme ça un de ces quatres...c'est du full op ça

des photo dans mon projet

Les folies douces 1.025 chevaux qui s'affolent sous le capot de deux limousines pas comme les autres - avouez que c'est prometteur. Des promesses tenues par la Porsche Panamera et la Mercedes CLS AMG, qui réalisent une nouvelle synthèse de luxe, élégance, et sportivité. Avec la Mercedes CLS 63 AMG (à gauche) et la Porsche Panamera Turbo, la puissance n'est plus seulement synonyme de plaisir, mais aussi de confort. Il fut un temps où l'arrivée d'une nouvelle Porsche suscitait l'inquiétude. Dans l'ombre de la 911, chaque nouveauté de la marque était accueillie avec méfiance par les puristes. Aujourd'hui, rien de tout cela : on peut même compter sur un Cayenne diesel estampillé Porsche. Du coup, cette Panamera, qui ose le V8 avant et s'offre quatre grandes portes et un hayon, surprend à peine. Cette gamine de presque cinq mètres de long et cinq cents bons canassons dans sa version turbo, accuse un grand gabarit. L'intérieur est tiré à quatre épingles, même si le nombre de boutons dans le cockpit déroute quelque peu. L'espace à bord est tout simplement royal, aussi bien à l'avant qu'à l'arrière. S'il semble évident qu'à 136.917 € (prix en 2009), tout l'équipement souhaité est proposé, il n'en est rien. Pour profiter de suspensions pneumatiques, doublées du différentiel arrière à glissement limité actif, il faut allonger un paquet de billets en plus. Sans oublier les freins en carbone-céramique facturés 8.754,72 € ! A ce rythme, l'addition dépasse vite les 150.000 €. A bord de la CLS, nous sommes en terrain connu : sérieux, bien fait, mais un rien tristounet. Mercedes ne pratique pas le discount non plus. Mais avec son ticket d'entrée à 118.800 €, la CLS est quand même beaucoup moins chère. De quoi réfléchir sérieusement, même si l'Etoile fait l'impasse sur la transmission intégrale. La Mercedes reste confortable et très efficace avec son gros V8 et son châssis équilibré, qui permet aussi bien les petites folies que le tout-venant. Il faudra néanmoins composer avec une direction dotée de trop de rappel, qui impose de nettes remontées au volant sur les bosses, ainsi qu'une boîte automatique à convertisseur, certes douce, mais un peu trop lente par rapport à celle de sa concurrente, dotée d'un double embrayage. A bord de la CLS, l'ambiance est également très différente. Le son grave, guttural du V8 atmosphérique est réjouissant sans être trop présent. Et ça "dépote" méchamment. Du AMG pure souche. De gabarit plus raisonnable et proposant une position de conduite plus haute, la CLS est mieux adaptée à une utilisation quotidienne. Certes, son intérieur commence à dater un peu, mais il a le mérite d'être bien doté et mieux fini que celui de la Porsche. L'arrivée de la Panamera dans le microcosme des sportives quatre-portes fait vieillir implacablement la Mercedes. Bref, la CLS 63 AMG demeure très attachante, probablement pour ce côté grenade dégoupillée masqué par une apparence élégante et indémodable. Quoi qu'il en soit, la Panamera bouscule les références. Grave, plaisant, le son du V8 4.8 reste, esprit limousine oblige, très discret. Pour l'ambiance "course", mieux vaut aller voir ailleurs. Pour l'efficacité, en revanche, la grande Porsche place la barre haut. Certes, en ville, son encombrement est un handicap. Mais ailleurs... Ailleurs, elle offre une direction d'une douceur parfaite, qui se raffermit au fil de la vitesse, et dirige un ensemble rigide, réactif et imperturbable. Du grand art que le châssis de cette Panamera, qui fait oublier son poids et vous laisse profiter d'un V8 aussi musclé que doux. Grave, plaisant, le son du V8 de la Porsche reste, esprit limousine oblige, très discret. Pour l'ambiance "course", mieux vaut aller voir ailleurs. En revanche, question efficacité, rien à redire. Coller aux sièges votre petite famille est une formalité pour ce bloc. Il abat le 0 à 100 km/h en 4,2 s et grimpe dans la rare sphère des plus de 300 km/h. En prime, les suspensions pneumatiques apportent un confort majestueux, malgré des trépidations sensibles à basse vitesse, et le freinage est tout bonnement monstrueux. La transmission est bien gérée en mode automatique et rapide en mode sport, le plus poussé. Mais elle pourrait être encore plus prompte à monter les vitesses et impose quelques à-coups. Regrettons également que les commandes au volant ne soient pas ergonomiques du tout. Mais cela n'empêche pas de profiter des qualités impressionnantes de cette Panamera. Face à ce monstre d'équilibre, la CLS fait grise mine. Et même les puristes les plus méfiants n'ont plus d'arguments. Finition, confort, efficacité, puissance et freinage : la Panamera met son adversaire d'accord. Porsche Panamera Turbo Avantages -Transmission rapide et bien gérée -Freinage monstrueux -Châssis efficace -V8 musclé et doux Inconveniants -Commandes au volant peu ergonomiques -Finition perfectible -Options onéreuses Mercedes CLS 63 AMG Avantages -Facilité d'utilisation -Tempérament attachant -Châssis équilibré -Bon confort Inconveniants -Rappel de direction excessif -Boîte un peu lente -Habitabilité arrière en retrait Fiche technique Versions Galerie Photos Si son allure reste plutôt sage, la Mercedes sait devenir une vraie furie dès qu'il s'agit de coller la famille aux sièges. Un véritable salon roulant que l'habitacle de la Panamera, à la fois pratique, vaste, bien fini et élégant. Rien que ça ! L'accès aux places arrière est plus difficile dans la CLS, qui se révèle aussi moins habitable. Espace généreux, confort de très bon niveau : la Panamera n'a pas de réelle faiblesse. La boîte automatique clasique de la Mercedes est certes douce, mais elle se révèle un peu lente. La transmission PDK de la Porsche est très bien gérée en mode automatique et relativement rapide en mode sport le plus poussé. Le coffre de la CLS manque de largeur, mais il est relativement haut et ses formes sont assez régulières. Un hayon, un volume de chargement généreux : la Panamera dévoile des aspects pratiques inhabituels pour une Porsche. Déraisonnable, mais plus ramassée et très équilibrée, la CLS est la mieux adaptée à un usage quotidien. Finition, confort, efficacité, puissance et freinage : la Panamera met son adversaire d'accord. La gabarit de la Porsche est bien plus imposant que celui de la Mercedes. L'AMG demeure limitée à 250 km/h... ce qui, dans nos contrées, est déjà hors de propos. Grave, plaisant, le son du V8 de la Porsche reste, esprit limousine oblige, très discret. Pour l'ambiance "course", mieux vaut aller voir ailleurs. En revanche, question efficacité, rien à redire. La poupe de la CLS 63 AMG s'orne d'un discret becquet fixe. Sophistiqué, l'aileron rétractable de la Panamera Turbo. Non seulement, il se relève à haute vitesse. Mais il peut même prendre quatre positions différentes.

ca c'est pour Nicko ou Caesard...

rien a dire c'est une turie