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Flying French Man-lepique

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Tout ce qui a été posté par Flying French Man-lepique

  1. trés bonne question , mais je dirais pourquoi il y en a plus qu 'un ange Je suis dépité... . Euh...j'ai oublié mes clés...J'y vais donc. [/qu di angello parrilla ,s'ecrit avec 2r , j'ai dit une connerie !! Rien de personnel Vénérable, l'inculte que je suis n' a même pas la réponse a ta devinette, je faisais de l'humour sans humeur...
  2. trés bonne question , mais je dirais pourquoi il y en a plus qu 'un ange Je suis dépité... . Euh...j'ai oublié mes clés...J'y vais donc.
  3. bonjour fred ! tu brule !!!! J'dirai...Tic et Tac??? Bon je sors... bonjour ffm ! tu sors et vite !!!! Si tu m'cherches j'suis au bar...
  4. bonjour fred ! tu brule !!!! J'dirai...Tic et Tac??? Bon je sors...
  5. Note tu n'es pas mieux loti, dans les deux cas t'es dans la merde. Bonsoir à tous, je passe mais.. 350 photos en deux jours... ça use ça use.
  6. Superbe Topic vénérable.. Ivan rebroff? Pardon, je sors...
  7. L'année dernière, c'est lui qui a roulé et cette année, c'est moi ! Fait pareil ou t'es une couille molle ! J'abonde j'abonde, la garde meurt mais ne se rends pas...JAMAIS. Tovaritch, officiellement je te demande en mariage. Je contacte a l'instant Notre Dame de Paris, tu publies les bancs ?
  8. Je suis le prof.. con triste sir, ectoplasme, tête d'alevin, comment n'ai je pu saluer une fois encore ce partage des sages, que le cul me pèle.. Bravo Dom.
  9. Nous avons terminés de nuit et tellement crevés, que l'envie d'en finir a prit le pas sur le reflexes de photographe.
  10. Ben, planqué derrière l'objectif.. comme souvent.
  11. Fred... pas toi lui? Un ami avec qui nous avons commencé le karting.
  12. Hop quelques nouvelles: Hier gros déménagement, c'est fou tout ce que l'on peut stocker dans une si petite surface. Pas moins de 3 voyages...
  13. Il s’appelle Sidibé, modeste nettoyeur certes mais si beaucoup le raille, tout l’équipage le craint. Faut bien avouer qu’il en impose, 56 ans, long maigre comme un coup de trique, et débordant d’énergie, dur au mal, voilà pour le physique. Sur le cv, sorcier Comorien d’un petit village à côté de Douniani, qu’il quitte 9 mois par an. Musulman de confession, il n’en a pas moins gardé la culture de sa tribu, avec ses traditions mais aussi sa magie, réservée aux initiés. Avant de rentrer dans sa cabine qui jouxte la mienne, il se livre a un étrange rituel, il prie invoque les dieux pour chasser le mauvais œil, agite un talismans en décrivant le contour de sa porte, son antre que personne ne franchira jamais. Mon premier contact avec est fut houleux, lors d’un contrôle machine de routine, je croise un fût rempli de vieux chiffons, en me baissant pour le déplacer, une tête apparait entre les passerelles, et jaillissant de son trou comme un djinn, Sidibé me saisit les bras, en m’invectivant. - Toi tu pas tousser, c’est à moi. Son regard plonge dans le mien, ses yeux rouges expriment une lourde colère, j’avoue ne pas en mener large. Ce vieux bonhomme a une puissance incroyable, il m’immobilise totalement, Je sais qu’il ne me veut pas de mal, juste m’impressionner. J’en suis quitte pour une bonne frayeur. A quelques mètres de là, les mécanos rigolent mais pas un n’a bougé le petit doigt. Ce sera la seule fois ou je serai le sujet de sa colère, l’occasion de gagner sa confiance ne tardera pas à arriver 10 jours plus tard à Djibouti. C’est à ce point du voyage que le cargo, fait un ravitaillement en fuel et gasoil, généralement de nuit, la température y est plus fraiche, sauf pour le troisième mécanicien. 19 heures et déjà ivre mort dans sa cabine. Il assure avoir préparé le raccord, ouverts les réservoirs, il a juste oublié d’enlever le « joint plein »…lui aussi. Au moment de remplir les ballasts, la bride cède et toute cette partie du pont est repeinte d’une bonne couche bien grasse… Sidibé et moi passerons une partie de la nuit à nettoyer tout ça. Lui tenant le balais et l’étoupe, moi convoyant les fût jusqu’au ballast de récupération. Oui surtout ne pas empiéter sur ses prérogatives. A partir de ce moment là il m’acceptera, me confiant même qu’il me prenait pout « Chetan », un être diabolique. Qu’il avait eu peur en apprenant que je m’installais a deux pas de ses quartiers, pour se protéger il a revêtu ses deux talismans, une ceinture en cuir au niveau de l’abdomen et un bracelet en cuir fixé juste sous son épaule, et le cérémonial sur le pas de porte m’était destiné. Si nous gardons tout de même nos distances, il ne manque jamais de me réconforter quand j’ai un coup de blues. Sur le pont arrière vers 17 heures nous partageons le Thé. Il me parle de son pays, de sa nature hostile avec les hommes, mais aussi de la chaleur de ses habitants, parfois sanguins. Son initiation aux rites religieux, par son grand père auquel il a succédé. De ses deux femmes ses 10 enfants, dont le fils ainé reprendra le flambeau, mais pas sans avoir finit ses études. Oui les études qui permettent de lire et comprendre le monde, de ne plus subir les quolibets de ses collègues, d’être a nouveau fier. En echange je lui sers de fusible, lui lis et explique ses différents courriers. A chaque repas, doutant des intentions des cuisiniers, il m’interrogea des yeux… Halouf ? Un signe de la tête pour le réconforter, il avale rapidement son repas. Il courrait des bruits à ce sujet. Un cuisinier avait eu l’idée saugrenue de lui en faire manger à son insu, pire encore de s’en vanter sitôt la première bouchée avalée, la réaction fut, dit on, mémorable. Sidibé, file dans sa chambre sous les éclats de rires du personnel, mais en ressort avec un coupe-coupe, et se met à courser le cuisto, qui en perd sa toque. Je n’étais pas présent ce jour, alors il se peut donc que j’alimente les « bruits de coursives », mais un autre épisode m’aide à croire que cela fut possible. Car le coupe-coupe je l’ai vu, les douaniers anglais aussi. Lors d’une escale à Hartpool, le Service des Douanes demande a inspecter les cabines. Sidibé, pas franchement favorable à ce genre d’exercice a du mal a se contenir, il est agité. Quand le douanier met la main, sur l’objet sacré, il perd tout contrôle se rue sur le douanier, lui arrache le coupe-coupe, le pose au sol et s’agenouille pour prier. Personne n’a bougé devant la rapidité de l’action, douaniers et équipage se regardent interloqués, c’est la stupeur générale. Il faudra un trésor de diplomatie pour que le Capitaine appelé a la hâte calme les autorités locales, qui finalement nous autorisent a repartir sans aucune poursuite. La dernière chose que je garderai de lui est une chaleureuse poignée de main lors de son débarquement à la Réunion, pas de grandes effusions, mais la fermeté de son empoignade bouclait le cycle. Cette fois encore, ses yeux étaient rouges et j’ai l’audace de croire que ce n’était pas de colère.
  14. Le soleil décline dans le port de Tamatave en cette fin de journée, le ciel revêt cette teinte rouge, qui donne au ciel un aspect d’immense brasier. --Eh ti boug, tu es seul ? C’est Mama Sophie, la maitresse de maison, elle veille sur tous, ces filles, mais aussi ce « clients ». -Oui Mama, mon esprit et mon cœur sont ailleurs. Mama fait la moue, elle se demande ce qui ne tourne pas rond chez moi, comment ce petit blanc peu refuser un peu de douceur après 20 jours de mer. Elle me jauge, fais rouler ses yeux ronds et enfin éclate de rire. ; -Tu aimes les garçons ? Je luis souris : - Non Mama, mais je n’ai pas le cœur à la fête, elle m’attend en France, c’est mon dernier voyage. J’ai promis, tu comprends ? Son sourire découvre une belle rangée de dents blanches, et malgré son quintal, elle se déplace avec légèreté. Se rapproche de moi, m’étreins…je suffoque, la truffe collé entre ses seins empêche toute respiration, quand enfin elle desserre l’étreinte, je suis bleu. - Une promesse ça se respecte, Et c’est rare on va fêter ça me lance t elle, mais ça ne doit pas t’empêcher de faire la fête. Elle plonge la main dans son sac et en ressort un petit sac en plastique, me fixe : - Tu n’as rien contre un petit splif ? C’est la première fois que j’entends ce nom, et pour ne pas passer pour un crétin j’acquiesce. Elle extrait un peu d’herbe, une feuille à rouler et confectionne son missile. - C’est de la locale, pas ce que vous achetez en France celle ci se consomme pure. Elle me le tends, sors un Zippo l’allume, je tire longuement sur la tige, et commence le voyage. La chaleur a cessé, il fait doux, écroulé sur le transat, j’écoute Mama me faire le récit de ses premiers amours, son premier enfants, disparu a l’âge de trois mois du paludisme. Obligée d’abandonner ses rêves d’institutrice pour devenir « Ramat », fille du port, troquant ses charmes pour quelques francs, 2 jours lui suffisant a faire vivre sa famille pendant un mois. Oui elle en a vu passer des hommes, des doux, des gentils, des brutes épaisses des bizarre, mais aussi les Babylones termes empruntés aux rastas. - A cette époque seul comptais ce que tu ramenais, 2/3 pour « homme » un 1/3 pour la fille. Il fallait faire avec. Puis sa prise pouvoir sur la bande, son accession au plus haut grade, Aujourd’hui ce sont ces « filles », elles passent chez le médecin tous les mois, et celle qui refusent sont exclus, Mama ne rigole pas avec ca, elle en a perdu des copines emportées par de vilaines syphilis. Quand elle évoque ses souvenirs ses yeux brillent, mais elle ne se détache pas de son large sourire, et en roule un deuxième. Une de ses filles nous rejoins, en créole elle lui demande ce que je fais là avec elle, Sophie réitère son offre, je la décline et décline. Nous passerons une bonne partie de la nuit a discuter, surtout elle. Je savoure, écoute, m’en nourris, au petit matin, je me réveille dans la même position que la veille, une couverture posée sur moi. Je souris, Sophie et ses filles ont quitté les lieux, je le sais je ne la reverrai jamais.
  15. Son apprentissage est fait et à ce stade, c'est, à mon avis, lui qui a le plus gros potentiel. Chez Lotus, s'ils gardent le niveau de cette année, il ferait un malheur ! Il a un niveau supérieur à Grosjean mais ne lui ferait paradoxalement pas l'ombre d'un kimi. Si ça se fait, on aura une paire d'enfer ! Plusieurs inconnus? Lotus peut elle encore performer avec ses soucis d'argent récurrents? Quid du Pastor chez Lotus ? Mais le fait est, Hulk est un sacré client.
  16. Alex a dépoussiéré le topic, un grand bol d'air frais. En 2014 nous ferons un sous topic "endurance", avec Weber il y aura le retour de Porsche, notons qu'il ne seront pas la pour ramasser les miettes. Côté français : Grosjean, a confirmé qu'il pouvait être rapide, mais plus encore, qu'il avait le potentiel pour devenir un grand, un très grand, j'avoue humblement que je n'y croyais pas. Bianchi : Confirme lui aussi qu'il apprend vite très vite, mais une saison de plus chez Marussia est ce une bonne chose ? Pic, lui me semble un peu moins solide en fin de saison il s'est fait plusieurs fois mettre a l'amende par son coéquipier, il va lui falloir confirmer sa main mise dans l'équipe . Vergnes : Je dois avouer une certaine frustration, sa saison est à l'image de son dernier grand prix. Un potentiel certain, mais une confirmation qui se fait attendre, et Marko n'attendra pas une saison de plus.
  17. Merci Chicane, un vrai bon Topic appréciable pour le Parigot que je suis, avoir un garage, du temps pour bricoler, seul ou entre potes. Bref un vrai plaisir.
  18. Plus de 20berges après, ce mec arrive encore a ma faire shaker mon body
  19. Nom d’un chien.. Si le début laissait supposer une énième provocation, la suite fut un formidable contre pied. Une analyse brillante, rafraichissante et j’ose l’écrire presque impartiale. Cette année de compétition a terminé le polissage du diamant que tu es, ta plume nous manquait, nous voilà servit, merci Tovaritch.
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