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Bonjour je m'appelle Pierre
Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de pierrick111 dans Mise en grille de l'epique
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Pour le meilleur et pour le rire...
Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Flying French Man-lepique dans "Kart & Prose" de l'epique
Aluga-se (A louer). Nazaré, petit port sardinier de la côte Atlantique du Portugal, pittoresque et traditionnel. C’est le souvenir que j’en avais, il y a 6 ans. Mais après les années de dumping et une crise monétaire plus tard la donne n’est plus tout a fait la même. Les kreidler et autres Zundap ont été remplacé par les derniers scooter Yamaha, les 404 break ont laissé la place a de gros SUV flambants neufs, les séchoirs à sardine n’ont pas résisté a l’assaut des structures parrainées par un fabricant de boisson énergisantes. Et c’est au rythme d’une musique assourdissante que la cohorte de touriste déambule sur le front de mer. Mais cette image idyllique ne saurait masquer la réalité, la population est aux aboies, comme en témoigne cette directrice d’école, obligée de louer sa maison pour joindre les deux bouts, et se refugiant dans un sous sol aménagé. Pour le touriste moyen ceci étonne, effraie aussi renvoyant aux plus sombres heures de notre histoire, des temps déraisonnables, mais dans le cas présent il s’agit plus d’une habitude que d’une nécessaire urgence. Mais elle en témoigne, la vie est dure, et cette année le sera encore plus. Dans un parfait français elle explique que le sort certains de ses collègues est déjà scellé, et que le sien ne tient qu’à un fil. Une chose n’a pas changé, ces dames d’un âge certain qui le séant vissé sur un siège en osier a chaque carrefour, proposent non pas leur charmes, mais des locations d’appartement, Aluga-se. Mais si cette société de consommation a balayé les derniers vestiges d’un art de vivre tombé en désuétude, elle n’a en rien, entamé ce qui fait aussi la spécificité des Lusitanien, un sens profond de l’hospitalité. A grand renfort de bises appuyées et fraternelles, ils ont le perpétuel soucis que tout soit en ordre, n’hésitant pas a passer plusieurs fois par jour pour s’assurer que leur hôtes ne manquent de rien. Les jeunes textotent, les moins jeunes enchaînent déjeuner et souper, parlent fort, fument et boivent jusqu’à très tard dans la nuit, ou très tôt le matin, tout dépend de quel point de vue on se place. En ces temps d’uniformisation des peuples et des cultures il est bon de voir que certaines choses semblent immuables, le temps qu’une génération chasse l’autre. Si vous recherchez des vacances dépaysantes, où il fait bon trainer sans but, juste observer, prendre son temps pour trouver et se retrouver alors Nazaré est une destination idéale, en un mot comme en cent…. Aluga se. -
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Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Flying French Man-lepique dans "Kart & Prose" de l'epique
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Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Flying French Man-lepique dans "Kart & Prose" de l'epique
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Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Flying French Man-lepique dans "Kart & Prose" de l'epique
Oscar Benamou jette la pièce en l’air. Face ! Ce sera donc à Karl Hinterholz d’assurer le dernier relais. François Felix de Manicourt grimace, les dieux ne sont décidément pas avec lui. La joie dans le paddock contraste quelque peu avec la mine renfrognée de Vilovalvovitch. Cette fuite pourrait bien réduire a néant le travail de toute l’équipe. Il sursaute quand une main se pose sur son épaule, le Cheik Est là et aux anges, sans les milles vierges. Samedi 15 h30, les voitures sont sur la grille, Chris dans les stands, le cheik a ses côtés, ils ont reçu la visite et un mot d’encouragement du Dr Ullrich et cela ne présage rien de bon. La lutte sera forcement intense, mais Chris a lui aussi définit une stratégie qui devrait en surprendre plus d’un. Le premier relais sera effectué par Karl Hinterholz, son calme olympien devra faire illusion c’est le seul a pouvoir contenir cette frénésie au depart, le second relais sera confié a Oscar Benamou, un triple relais cette fois carson pilotage coulé devrait permettre de ménager la voiture, de rester en attente. François Felix , lui prendra un double relais de nuit, son agressivité portera la première attaque, par temps frais le moteur donnera alors son plein potentiel. - Karl, depart dans une minute. Toute l’équipe s’emploie a débarrasser le plancher et regagner les stands. Déjà le commissaire de piste brandit son drapeau vert pour le tour de formation, Karl actionne l’interrupteur qui reveille le Judd. Et entame son tour de formation, il vérifie pressions d’huile et d’eau tappe dans ses freins pour les maintenait a temperature., Au virage Porsche, son rythme cardiaque s’accélère, a la chicane Ford, il a reprit le contrôle, dernière chicane, les Audi resserrent les rangs, et c’est le depart. Le pif paf du Dunlop Karl est encore deuxième l’Audi N°1 a portée de tir, puis la descente de la foret, les esses, deux Audi en profitent pour déboiter Karl, rien de grave. Le tertre rouge, il recolle au peloton, mais bute contre la numéro 3, une Toyota lui grille la politesse. Il est quatrième a la première chicane, ressors juste derrière la Toyota lui fait l’aspi dans la ligne droite, et l’intérieure dans la chicane suivante, son train arrière tente de se dérober, il est contraint de lever un peu, mais une fois la ligne de mire choisie, il s’élance a la poursuite de la 3e position, Le moteur hurle la route semble se rétrécir, et le pilotage devient intense, il pointe a moins de deux seconde de l’Audi de tête. Au freinage de Mulsanne il a déjà regagné du terrain. La ligne droite de la forêt le catapulte vers Indianapolis, la piste est piégeuse, pleine de bonne par endroit, son fond plat en fait les frais, il relâche a l’entrée d’Indianapolis, et plonge a la corde en faisant tomber les rapports, courte ligne droite vers Arnage, et c’est l’accélération vertigineuse vers les virages Porsche. Eux se passent en levant a peine, en enroulant le virage du karting il appuie doucement sur la pédale de frein, et relâche pour accélérer vers maison blanche, les deux chicanes arrivent maintenant, il les passe sans encombre, rassuré de voir que pilotant le coude à la portière il est possible de rester au contact des « gros ». Sur le muret tous ont la mine un peu triste, tous pensaient a un combat plus viril, marquer ses positions et confirmer que cette course serait une bataille sans prisonniers, c’est mal connaître Chris. - Karl, tu roules encore un peu trop vite. Immédiatement le teuton soulage, son côté discipliné. Tout au long de son relais Karl va s’employer a rester dans le tour des leader, en attente. Quand il s’arrêtera au stand deux heures plus tard aucune trace de fatigue ne se lira sur son visage, tout au plus adresse t il un clin d’œil complice a son coéquipier Oscar. Première vague de ravitaillement. Lui aussi fera le spectacle, il va lui falloir tenir plus longtemps que son coéquipier, et commencer a gérer un traffic de plus en plus a la peine, Chris compte sur la fluidité de son pilotage pour se jouer des réactions de pilotes pour certains déjà à l’agonie. Si les Audi confirment leur main mise sur la tête de course, Toyota a déjà fait les frais de dépassements hasardeux, après trois heures de courses, l’une est déjà hors jeu. C’est en gardant ca a l’esprit qu’il pilote et comme l’avait prévu Chris, revient comme un fusée sur les 3e et deuxième position. A la sortie de la dernière chicane des Hunaudières il est maintenant dans leurs échappements. A la bosse qui précède Mulsanne, ils sont de front, et il n’y aura pas de place pour tout le monde, il le sait. A 150M il saute sur les freins, l’Audi elle est déjà trop loin, et tire tout droit, se plante dans les graviers. Oscar n’a pas sourcillé, le voilà troisième. Sur le muret le Dr Ullrich, plisse les yeux et regarde vers le stand du Spetnaz Team,. Chris qui se sait observé se referme un peu plus, le Cheik, savoure, Vilovalvovitch s’inquiète. François Felix savoure cette douceur qui tombe sur le circuit, il grille en cachette une dernière clope avant de l’écraser dans le Goblet qui lui fait office de cendrier. Il s’apaise, rien de l’extérieure ne le touche, ne le perturbe, Chris a été clair, il est temps de porter une première estocade, d’immiscer le doute dans la tête des leaders. Mais c’est un jeu dangereux, a cette heure les corps donnent des signes de fatigue les esprit ne sont plus très clairs, il existe un risque. L’arrivée de la voiture a son stand le sort de sa réflexion, machinalement il passe coté passager, aide Oscar a s’extraire du véhicule, et installe son baquet, et se sangle : Oscar lui adresse une tape sur l’épaule. Le changement de pneumatique parait interminable, le ravitaillement en essence est une véritable torture. En piste il applique à la lettre les consignes prodiguées pas Chris, s’il reste prudent en dépassant les GT, il attaque fort , trop fort parfois fliretant avec la limite, 4eme a l’issue du ravitaillement il revient maintenant sur la Toyota, a moins d’une seconde. Il la dépose au esse de la forêt. Les deux Audi pointent a 14 secondes devant. Cet écart fond comme neige au soleil, la numéro 2 doit composer avec une crevaison lente, et repasser par les stands. Apres une heure et un relais sur un rythme hallucinant le voyant de pression d’huile s’allume, Chris ne laisse rien paraître et lui demande de rentrer , Coup d’œil a Vilovalvovitch, il est déjà prêt. Quand la voiture rentre c’est sans panique que chacun s’affaire a sa tache, l’huile sera remplacée le carter changé, coup de poker.. 10 minutes plus tard, un orage éclate quand Karl ressort des stands mais s’il n’est qu’en 4eme position c’est en pneus pluie et la piste détrempée va contraindre tout le monde a repasser par la case départ. Chris adresse une accolade a Vilovalvovitch. Plus loin Le docteur Ullrrich, peste contre les éléments. Oui, une fois encore il vient de se faire enrhumer. Les dernières onze heures suivantes seront un véritable supplice pour l’équipe. Vilovalvovitch surveillera comme le lait sur le feu cette maudite pression, Chris lui imperturbable distillera ses consignes, ajustant sa stratégie aux éléments et aux faits de course. Karl a ferraillé dur contre les voitures d'Ingolstadt dont la numéro deux a finit par lâcher prise, un alternateur récalcitrant. Ils ne sont plus que deux dans le même tour et Karl sait qui lui faut impérativement mettre la pression, l’Audi N1 sort le grand jeu et a la régulière rien ne sera simple. Pourtant Chris est formel, les temps du leader chutent, et on s’active dans les stands, La R21 rentre maintenant, la jonction est faite tout les secondes gagnées seront maintenant déterminante, Karl s’emploi comme jamais, laisse parfois échapper un juron. Et l’écart se creuse, pas suffisant pour anticiper une victoire, mais au moins un relais supplémentaire. -10 minutes tu n’en a pas un de plus. Chris semble un peu tendu, Vilovalvovitch le rassure. - En moins de 8 vous serez en piste. Karl se jette dans la voie des stands, et se gare prestement, s’éjecte et laisse la place a Oscar. Le capot arrière et démonté, sous la voiture on s’affaire a la vidange, c’est décidé on passe au grade supérieure ca limitera la casse et comme les températures ne sont pas fortes, ca devrait faire l’affaire et comme il l’avait prévu 8 minutes plus tard Oscar rejoint la piste, L’Audi contre toute attente est repassée devant, Oscar accuse un retard de 23 secondes, mais rien d’insurmontable, certes la température moteur commence a monter, la boite donne des signes de fatigue, mais le châssis lui se comporte bien. Oscar veut tout donner il vaut mieux avoir des remords que des regrets lui a dit le Cheik avant cet ultime relais. A 30 minutes de la fin les deux autos sont roues dans roues, mais au passage de Mulsanne Oscar a du mal a rétrograder, il cède un peu de terrain L’Audi elle ne semble pas affectée par ces heures de course, passé cette frayeur Oscar reprend le déroulé et bataille ferme pour rester au contact. Le docteur n’en mène pas large, Chris agite frénétiquement son stylo. A dix minutes du terme ils n’auront plus aucune influence sur le résultat. C’est maintenant le dernier tour L’Audi ne lâchera rien, pourtant a Mulsanne Oscar lui fait l’intérieure et enjambe le vibreur, le châssis soulève sa carcasse et retombe lourdement, le voyant s’allume a nouveau, L’Audi en profite pour repasser devant. Dans la ligne droite avant Indianapolis, une sourde détonation et un long panache de fumée s’échappe de la Chicken Car, la messe est dite, mais Oscar refuse de lever le pieds, pire encore il enfonce la pédale suivant le leader au plus près redoutant les consignes de Chris, il coupe la radio. Au freinage de Mulsanne, l’Audi a du mal a rester en ligne, elle semble être sur le point de lâcher, Oscar freine plus tôt et suis patiemment. il sait ou tenter une attaque, dans les derniers mètres du circuit,. Arnage, les virages Porsche, la température moteur ne cesse d’augmenter, le Judd est a l’agonie, il libère pourtant ses dernières forces, le châssis tremble rendant le pilotage incertain le virage du karting, et les deux voitures arrivent aux dernières chicanes, Oscar d’boite l’Audi, mais freine plus tôt, mais cette fois ci le pilote ne se laisse pas surprendre et reprend sa trajectoire, mais lors de la ré accélération il perd le train arrière et part en toupie Oscar ne peut l’éviter et le percute les envoyant tous les deux hors piste, moteur coupé. Oscar reprend ses esprits, actionne le démarreur en priant tous les saints, rien, deuxième tentative, et le V10 rugit, il passe la première en luttant contre une direction devenue lourde, et la carcasse fumante s’extrait du carnage en sautillant. Il franchit la dernière chicane, et coupe la ligne d’arrivée, le moteur se bloque il n’y aura pas de tour d’honneur, l’ensemble vient de rendre son dernier souffle. Chris qui n’a rien perdu du spectacle retombe lourdement sur son siège et toute l’équipe accoure pour l’enlacer, Karl se laisse aller a un numéro de claquette, François Felix écrase son paquet de clope, il arrête de fumer. Apres la remise des trophées, tout ce petit monde se retrouve dans l’intimité du stand, le champagne ayant coulé a flot, Le druide sort sa potion. Procès verbales du poste de Mulsanne Ce 17 juin 2014 : Un groupe d’individus dont le taux d’alcoolémie n’a pu être défini avec précision a été appréhendé courant nu sur la nationale en direction de Mulsanne, Les individus n’ont opposés aucune résistance mais semble éprouver quelques difficultés a décliner leur identité. -
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Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Flying French Man-lepique dans "Kart & Prose" de l'epique
Le pire avait finalement eu lieu. C’est en tout cas ce qu’avait cru François Felix de Manicourt quand au petit matin il avait recue l’appel de son agent Walt Hair. Total finalement avait prit sa decision, il ne financerait pas pour les 6 heures de suzuka. En creusant un peu Walt Hair avait finalement apprit que le budget avait été redistributé pour l’épreuve Sartoise a un equipage de pointe, Tic Tac et Toc. A cet instant il pensait toucher le fond, son petit monde s’écroulait, mais Walt lui refusait de baisser les bras, il lui restait une dernière carte a abattre. Orly, 6 heures du matin, François Felix triture machinalement son billet d’avion pour Dubai, Walt Hair a refusé de lui donner d’autres explications. Sa voix ne trahaissait aucune emotion, il faut bien dire que dans sa partie, c’était un signe de faiblesse et lui était une pointure. Il i avait simplement demandé a François Félix de bloquer son planning pour deux jours. A Dusseldorf, Karl Hinterholz lui n’est pas du genre a s’angoisser, son coté germain, il est là ou il doit etre et fait ce qu’il doit etre fait, son côté scientifique. Il a reçu lui aussi le billet pour Dubai, mais n’en sait pas plus. La saison fut longue et pleine que pouvait il y a voir de plus? Enfin c’est ce qu’il croyait. A Dubai, Walt Hair et Oscar Benamou discutent autour d’un café, les deux avions arrivent à dix minutes d’interval, les deux “colis” seront réceptionnés a temps. Oui juste a temps pour se render au palais, ne pas faire attendre le Prince. Dans le hall d’arrivée les deux “colis” se croisent se toisent, puis Karl Hinterholz se fend d’un long sourire et donne l’accolade a son collègue. Ils partagent le meme agent, les deux hommes n’ont pas besoin d’un long discours. Tout ce petit monde se retrouve enfin, le dénouement est proche. Dans la limousine qui les ammène au Palais, ils font la connaissance d’ Oscar Benamou, le contact est immediat, Enfin l’info tombe, ils sont ici pour trouver le financement nécessaire pour disputer les 24 heures du Mans, mais cette fois dans la catégorie reine, en LMP1. François Félix jubile, Karl s’autorise un sourire, Oscar était ne dit rien il semble préoccupé, extrèment concentré. Il mènera les négociations, sa grande culture du monde Arabe fait de lui l’interlocuteur idéal, mais il sait la marge de manoeuvre étroite. Contacté par Walt un mois auparavant il a remué ciel et terre pour obtenir cet entretien, passant les différents barrages, attendant des confirmations qui tardaient a venir. Puis 15 jours après, tout s’accélère, il enchaine rendez-vous, voyages, coup de fil a Walt pour le choix des pilotes et de l’équipe, la liste est faite et validée par les deux hommes. La négociation s’opère en triangle, Oscar soumet sa requête dans un arabe littéraire impeccable, le traducteur, et homme de confiance transmet au Cheik Omar-a –Tôn. Le Cheik ne lache pas des yeux cet ensemble improbable, nul doute qu’il a diligenté une recherché d’information sur le groupe. Sa decision est prise, depuis le début, il se lève, se dirige vers la fenêtre qui donne sur les jardins royaux : - C'est par ses branches que l'arbre révèle ses racines. Mr benhamou plus que votre détermination, c’est le choix de votre équipe qui a attiré mon attention, vous faites preuve de sagesse et de témérité. Vous pouvez compter sur moi, je ne vous demande qu’une chose, a tous. Allez au bout quel qu’en soit la difficulté. Réglez les derniers détails avec mon homme de confiance. Bon retour a vous messieurs. L’affaire était bouclée, rien de plus a dire, il ne restait maintenant qu’à reconstituer le puzzle. Pour la fourniture du châssis, l’équipe ferait confiance a Fred Chickenhead, un artisan, un artiste du genre. Petite structure mais un magicien, le gars est une pointure, il ajoutait, ajustait, détectait et se délectais de voir ses pilotes la mine ravie quand sous sa houlette les chronos tombaient. Un passionné que rien, ou pas grand chose n’arrêtait, et quand Walt lui fait sa proposition sa réaction ne se fit pas attendre, comme une évidence. Son équipe est prête il sera assisté de, Thomas Benzine, un solide gaillard, trentenaire et de Nicolas Lavisovitch un jeune aérodynamicien plein de promesse. Côté moteur, cette dream team avait misé sur le shaman, Vilovalvovitch. De l’aveu de tous, un des plus douée de sa génération. Homme à la parole rare, mais d’une incroyable technicité. Originaire de la Marne, il s ‘était retiré près du Mans pour être au plus prêt de sa passion, sa charmante femme cuisinait de formidable tarte, et commercialisait de fabuleuses rillettes conditionnés dans des pots de confiture. Il avait en son garage récupéré deux moteurs Judd essence qu’il ne cessait d’améliorer, d’optimiser. Pour cette épreuve il avait donné son accord, mais posé une condition, que l’accompagne un paria. Un homme dont personne à part lui n’avait de nouvelles, José Pateledir. Il y avait entre les deux hommes une sorte d’affiliation, de reconnaissance mutuelle. Le Doc, comme on le surnommait était capable de tout, le parfait pendant de son celui qu’il considérait comme son maitre. Restait tout de même un problème de taille, qui pourrait être assez consensuel, mais aussi déterminé pour manager cette folle équipe ? Qui pourrait avoir assez de charisme, et de pédagogie pour accepter ce défi, tous tombèrent d’accord, le seul et unique capable d’une telle prouesse était Le chief Crew, un Chris Rossprol, de mère irlandaise, il en aimait le scotch, de père Suédois , les petits pains. Tous se l’arrachaient louant son sens innée du groupe, sa science de la tactique était souvent copié mais jamais inégalé, Audi avait bien tenté de le débaucher, Toyota lui avait fait un pont d’or. Même la prestigieuse avait tenté de l’amadouer en le couvrant de cadeau, mais lui ce qui l’interessait c’était les projets auxquels personne ne croit, ceux qui sont la risée du plus grand nombre, a cette condition celui que l’on surnommait « le taiseux » était capable de se laisser aller… a une franche accolade. Et ce défis là était tout a fait dans ses cordes, c’était a ceci qu’il pensait a bord du Jet privé du Cheik, contemplant sa petite troupe. Le gros du matériel était sur place, venu par la route. Deux camions, l’un piloté par les frères Nanvilecci contenait la voiture, dans l'’autre toute l’assistance nécessaire moteur et chassis a son bord les deux frangins Mica et Yo Casiragh. Dans moins d’une heure ils seraient tous réunis pour préparer les journées test. -
Le Jukebox du Forum!!!
Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Senna83 dans Art comptant pour rien de l'epique
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Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Flying French Man-lepique dans "Kart & Prose" de l'epique
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Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Flying French Man-lepique dans "Kart & Prose" de l'epique
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Grand Prix de la Ville de Sens , 13 juillet
Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Chicane11 dans En piste, ensemble de l'epique
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Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Flying French Man-lepique dans "Kart & Prose" de l'epique
RTA du Padre (Daron comme se plaisent a le nommer une jeunesse inconsciente) Caractéristique technique: Modèle 65 : Triple arbre a came en tête Hauteur : 1,72 Poids aime a croire 62 kg mais la balance indique maintenant 68kg Consommation : En famille : 10 clopes/ jours En mode examens : 25 clopes. 1 Est tout le temps angoissé 2 cavale aux 4 coins de l’ile de franc pour donner la becquée a d’ingrats rejetons. 4 Aime a croire qu’il est un Daron plutôt cool 5 Déteste qu’on fouille dans ses affaires. 6 Sait depuis longtemps ouvrir une bouteille de jus d’orange mais rechigne a remplir une feuille pour l’assurance maladie. 7 Trouve qu’il prend du bide. 8 Déteste les grandes surfaces, mais exècre encore plus le shopping où sa femme a parfois l’outrecuidance de le trainer. 9 Rêve d’être adulé. 10 Aime ses potes tout autant que lui même (ce n’est pas peu dire). 11 Ses potes l’aiment bien, d’ailleurs qui ne l’aime pas. Soit, il peut subsister ca et là quelques irréductibles ne sachant goûter son génie, sa finesse d’esprit. 12 Se sent comme un jeunot se rendant a son premier rendez-vous a moins de 500 mètres du rendez-vous annuel avec ses potes. 13 Jure qu’il ne picolera pas . 14 Mais bafoue rapidement le vœu sus cité. 15 Ne rechigne pas a relever les défis un peu fous. 16 Malgré un langage parfois un peu cru, est un de ces derniers romantiques. Procédure de mise en route : Attention, mécanique fragile car ancienne, tout est manuel, et le démarrage parfois un peu long. Ne tourne qu’au jaune, avant de faire le plein vérifier toujours la compatibilité des carburants proposés. Prévoir un pochon pour les virées nocturnes, un fossé pour les envies pressantes, et de la potion pour les nuits sans fin. Le démarrage doit être progressif, pour assurer un fonctionnement régulier et opti mâle. Une fois lancé attendre la panne sèche pour un retour au garage sans encombre. L’avantage des vieilles technologies, c’est un démarrage au ¼ de tour. NB (Note du benêt) : Le modèle n’étant plus depuis longtemps sous garantie, une utilisation ne respectant pas la procédure peut entrainer un dysfonctionnement exposant son utilisateur a de cuisantes déconvenues. -
Dans l'enfer du BFC...
Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Kalach Hikov dans Chroniques en BFC de l'epique
Je postule ! À l'instar des pétroliers pollueurs, je vais ainsi également contribuer à la destruction prematurée d'espèces... Ce n'est pas que tu n'aies pas le profil, mais j'ai peur que tu ne t'en remette pas, et a ton retour ne foute le feu a ton matos, Nico ne nous le pardonnerai pas. Le drole a trimé dur toute l'année pour rouler. -
Dans l'enfer du BFC...
Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Kalach Hikov dans Chroniques en BFC de l'epique
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Grand Prix de la Ville de Sens , 13 juillet
Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Chicane11 dans En piste, ensemble de l'epique
A ce train là rien n'est moins sur donc.. Attention, ceci pourrait bientôt rentrer dans le langage commun... "Un lapin" pourrait devenir une "sennade". Un lapin est quasi dans la même conception qu'un félin Non plus sérieusement , je voudrais bien tenter l'aventure mais il faut également que je trouve un moyen d'acheminement du félin étant donné que je n'ai ni remorque ni utilitaire donc le probleme des courses hors "kartland" est toujours le même.. l'acheminement. L'investissement d'une boule pour l'année prochaine va être une priorité ! Là, a l'instant present loue un utilitaire... chez Buzz.com -
Grand Prix de la Ville de Sens , 13 juillet
Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Chicane11 dans En piste, ensemble de l'epique
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Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Flying French Man-lepique dans "Kart & Prose" de l'epique
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Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Flying French Man-lepique dans "Kart & Prose" de l'epique
Ami lecteur bonjour. Si je prends une fois de plus la plume, c’est pour manifester un certain courroux devant l’absence d’émotion que suscite ce topic. J’ai naïvement cru que ma dernière folie aurait eu au moins le mérite d’aiguiser vos velléités textuelles, il n’en est rien. L’argument du manque de talent qui tenterait d’expliquer ce silence, je le réfute, car tout de même, pour être membre de ce forum, vous en être forcement doté. Ici, point d’hommage de gloire ni de peine, juste l’envie de partager, de mieux se connaître. Faites donc fi de cette coupable fainéantise, envoyez balader cette crainte du ridicule, il ne tue pas. La preuve, je suis toujours debout et droit dans mes bottes. Enfin n’oubliez jamais, j’ai la commande d’auto-destruction de ce forum a portée de main (oui, je sais c’est du chantage, mais je suis vil et mesquin) mais je ne peux me résoudre a laisser péricliter la tôle. Bien à vous, moi. -
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Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Kalach Hikov dans Chroniques en BFC de l'epique
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Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de Kalach Hikov dans Chroniques en BFC de l'epique
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kesako les moulinots????
Flying French Man-lepique a répondu à un(e) sujet de bigtom dans 100 de l'epique