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Damien Pujol

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Tout ce qui a été posté par Damien Pujol

  1. Damien Pujol

    La Mercedes 600

    C'est quand même une sacrée auto pas à la portée de tout le monde en achat mais aussi en entretien
  2. Gros gros boulot Tu vas devoir démonter la moitié de la voiture, l'immobiliser un bon moment, tout monter et mettre en route. Ce n'est pas infaisable mais c'est très dur et long à faire. Car par exemple sur la pompe d'injection il faut que l'électronique envoie l'info que le compresseur est en route pour éviter de caler au ralenti etc...
  3. Si tu veux lire les 8 premiers, je les ai Je déplace ton topic dans la bonne section
  4. Bonjour à toutes et à tous Voici un tuto pour régler le jeu dans le boîtier au niveau du bras de direction. Avant tout, cette intervention se situe sur un organe de sécurité alors toute casse ou dégats matériel ou physique ne peut résulter du suivi de ce tuto. Si vous ne le sentez pas, allez voir le mécano. Les symptômes : la voiture n'est pas stable à haute vitesse et il y a un gros jeu au niveau du point milieu du volant obligeant à sans cesse corriger la trajectoire. Préparation de la voiture 1- Serrez le frein à main et mettez une vitesse 2- Calez les roues arrières 3- Levez le train avant complet de la voiture et faite-la reposer sur des chandelles roues pendantes Outillage - Clé 6 pans mâle 8 mm - Clé mixte de 19 mm Déroulement 1- Repérez les éléments en passant sous la voiture Attention : il y a plusieurs endroit d'où peuvent provenir les jeux, alors suivez ces indications dans l'ordre. a) Regardez l'état du flector de colonne de direction et assurez-vous que le jeu n'est pas là b) Contrôlez, en faisant osciller une roue, que le bras bouge sans jeu, dans ce cas les rotules de direction n'ont rien c) Contrôlez l'état du jeu des roulements et réglez-les si nécessaire d) Contrôlez de même les rotules de suspension et les caoutchoucs supports de tête d'amortisseur e) Controlez qu'il n'y a pas de jeu dans l'axe d'entrée du boîtier après le flector, s'il y en a il faut remplacer le boîtier f) Si tout ça est bon, on pourra régler le boîtier lui-même sinon, c'est pas la peine il y a trop de jeu partout et vous n'allez que le réduire 2- Observez le jeu du bras de commande avec quelqu'un qui fait osciller le volant 3- Repérez dans le compartiment moteur la vis de réglage du bras de commande 4- Enlevez ce qui gêne, en ce qui me concerne c'était le bocal de lave-glace mais pour les atmosphériques il faudra déposer le boîtier de filtre à air 5- Débloquez l'écrou de 19 mm, placez la clé mâle de 8 mm et dévissez la vis tout en maintenant l'écrou à sa place. Mais attention, n'agissez qu'un quart de tour, controlez dessous et revenez-y à chaque fois que le jeu se réduit sans s'éliminer. Il ne faut pas aller plus loin sinon c'est la casse du boîtier assurée. 6- Une fois le jeu du bras éliminé, bloquez l'écrou de 19 mm 7- Redéposez la voiture sur le sol, enlevez les cales et faites un essai routier. Si après élimination du jeu au bras de commande il y a toujours du jeu c'est qu'il est ailleurs, ne cherchez pas à recommencer.
  5. Damien Pujol

    Brabus EV12 Black Baron

    Le carénage arrière
  6. Damien Pujol

    La SLS AMG Roadster Avant Première

    Voilà, là je craque, mais si je le fais, mon banquier me coupe les c.....
  7. Oh le beau document Ca me fait rire les commentaires sur les 111 quand les autres sortaient, au mieux, des 404 et autres Fregates
  8. Dans cet état ça n'a plus vraiment de prix, mais pour un superbe 220SEb c faut pas compter moins de 20000 euros, plus pour un 250SEb c et ça s'envole avec les calandres basses des 280 et 280 3.5.
  9. J'y reviendrai, la noire me manque même si elle n'était pas d'origine, un jour je m'en trouverai une belle
  10. Voici quelques lignes à lire avant de réaliser un achat sans surprise. Une berline W110 accompagnée d’un cabriolet W111 Une berline W111 Un superbe coupé W111 et son intérieur Un superbe cabriolet 300 La berline W112 300SE La limousine W112 300SEL Les W110/111 ne sont pas rares en annonces, mais les prix varient énormément. De l’épave à 200 euros à la pure beauté à plus de 10000 euros, il n’y a que l’embarras du choix. Quant à la W112, la version 300SE et SEL à moteur tout alu, elle se fait très rare en bon état car l’entretien est en accord avec le standing de la voiture surtout concernant les suspensions et le moteur fragile. Les versions coupés et cabriolets sont même moins rares à trouver que les W112, mais là, les prix s’envolent pour de très beaux exemplaires. Il a existé des break Universal assez rares à trouver en bon état et s’il faut restaurer, c’est limite du sur-mesure : bonjour la facture ! Comme toute ancienne qui se respecte, la première chose qui emportera ces automobiles : la rouille. A surveiller de très près, si elle est visible à l’extérieur, c’est que l’intérieur est mûr : passer son chemin à moins d’avoir un porte-feuille de ministre ou d’être attaché sentimentalement à l’exemplaire. Mais cela ne veut pas dire que si elle est invisible il n’y en a pas ! Pour réellement savoir, il faut déshabiller entièrement la voiture. La rouille commence sa sinistre besogne dans les corps creux du plancher, à l’intérieur et sur les pointes de la traverse avant, à l’intérieur des ailes avant et arrière, aux pointes des bas de caisse, sous les joints des éléments vitrés, dans le bas des portières, dans le coffre. Si une aile avant présente des cloques de peinture : dessous c’est pourri donc gros boulot de carrosserie en perspective. Il est donc essentiel de trouver un exemplaire sain, quitte à mettre les bouchées double pendant la signature du chèque, vous retrouverez votre argent très vite ! Bien vérifier l’état des joints de portières, des joints de pare-brise et de lunette arrière, du joint de malle : chacun coûte plus de 200 euros, alors s’il faut tous les remplacer, ce qui n’est pas rare, le calcul est vite fait ! Autres éléments à surveiller de près, les pare-chocs chromés. Ils sont énormes. Vu le coût prohibitif du chromage d’un petit élément, il vaut mieux trouver une autre voiture avec ses chromes parfaits que les faire refaire. Il va de soi que la calandre est logée à la même enseigne. Concernant la mécanique, c’est du solide, mais un ensemble moteur-boîte peu entretenu aura des faiblesses très rapidement. Il doit tourner rond, essayez la reprise en quatrième à 50 km/h jusqu’à haute vitesse, il ne doit pas y avoir de trou, le six cylindres est très souple. La sellerie est aussi difficile à trouver en bon état, donc privilégiez un intérieur propre car refaire le cuir ou le tissu coûte une fortune. Vérifiez l’état des caoutchoucs des berceaux avant et arrière. L’état aussi des pneumatiques peut avoir son importance si le modèle convoité possède encore ses 7.25 d’origine. Ils sont encore disponibles chez Michelin mais à des tarifs prohibitifs, on peut mettre des 185 80 R13 tubeless à la place, la jante les tient bien qu’elle soit conçue pour des chambres à air. Après achat, je conseille fortement le changement systématique des bougies, des vis platinées, du condensateur ainsi qu’une vidange de l’huile moteur (avec le filtre), de l’huile de boîte, de l’huile de pont. Il faudra aussi faire les graissages des roulements, des rotules et charnières. Une vidange du réservoir de carburant est peut-être aussi à envisager pour un modèle qui roulait peu. Il se peut que de l’eau due à la condensation stagne au fond du réservoir et provoque de la corrosion jusqu’à le percer. Si le moteur claque, enlevez le couvre-culasse (deux boulons) et réglez le jeu des culbuteurs (voir section Technique moteur), s’il claque encore, il se peut que des guides de soupapes bougent (c’est cher à corriger). Pour la version 220SE, la pompe à injection est à deux pistons, loin d’être fragile sa réparation est très chère et son réglage peu aisé. Les versions 300SE ont une pompe à six pistons, plus facile à régler mais pas moins chère. La pompe à essence étant contre le moteur, des risques de vapor-lock (évaporation de l’essence dans la pompe) sont à prévoir en cas de forte chaleur ou de côte longue. Dans ce cas précis il suffit d’attendre la baisse de température du moteur pour repartir. Pour les pressés, une éponge trempée fixée sur la pompe permet de la refroidir temporairement. Voici les endroits à surveiller concernant la rouille :
  11. Essai Mercedes berline W111 La berline W111 est une auto statutaire, avec ses chromes largement dimensionnés on approche ce qui était considéré comme luxueux. Larges pare-chocs avec bananes aux quatre coins d’une épaisseur à faire pâlir ses contemporaines, gare à ceux qui auraient la malchance de la trouver sur sa trajectoire. De gauche à droite dans l'ordre chronologique : une Ponton, une W111 et une W108/109 En faisant le tour, on se rend compte du gabarit de l’auto un peu dissimulé par la hauteur du toit, bombé comme les Pontons de la série précédente et qui disparaîtra pour un toit plus plat sur les W108. Cette voiture est longue. On le voit aussi nettement à la longueur des ailes avant et arrière accentuée par les « ailerons » chromés à leur sommet. Les roues de 13 semblent petites comparées à la taille des passages de roue mais ça lui va bien, surtout avec les pneumatiques d’origine 7.25. La calandre dressée telle un mur face à la route en impose avec la solide étoile plantée à son sommet. En caressant la carrosserie, on sent l’épaisseur de tôle déjà importante des éléments extérieurs, mais la tôle de l’habitacle est proprement hallucinante, avant que la rouille ne traverse ça, il faudra quelques décennies. Les chromes sont bien répartis : tous les éléments vitrés en possèdent, les bas de caisse, le seuil de malle arrière, c’est beau ! Concernant l’habitabilité, le coffre est immense, pas très haut mais d’une profondeur qui vous obligera à vous contorsionner pour attraper ce qu’il y a de placé au fond. La roue de secours est logée à droite dans le bac d’aile. Seul reproche, la malle ne s’ouvre que peu et empêche de rentrer des objets encombrants, mais finalement, ça interdit les objets qui de toute façon ne permettraient pas la fermeture de la malle. L’intérieur de la cellule habitacle est très grand dû au fait que les pare-brise sont panoramiques et peu inclinés. Ambiance luxueuse de bois très épais (pas de plaquage) vissé, de cuir et de chromes de rigueur. On se croirait dans un meuble de grande facture, c’est solidement assemblé et au roulage, pas de grincement agaçant. Il y a de la place, pas de doute, même pour les grands gabarits à l’arrière. On s’enfonce confortablement dans la sellerie munie d’accoudoirs centraux à l’avant et à l’arrière très larges. Comme dans un fauteuil de très grande qualité, on ne craint pas les kilomètres. A l’avant, même confort royal avec réglage de l’assise en profondeur et du dossier en inclinaison (commandes épaisses et chromées gage de solidité). Au passager avant, on se sent perdu tant la place est immense pour les jambes, les épaules (même de rugbymen). A la place du conducteur, la meilleure, nous sommes en face de l’immense volant en bakélite noir souligné par l’avertisseur entièrement rond et chromé (seul élément fragile de la voiture, pas besoin de le bousculer pour qu’il fonctionne, car il est mince). Tachymètre vertical déroutant, on se demande où sont les informations, mais elles y sont toutes : tachymètre, manomètre de pression d’huile, température de liquide de refroidissement, jauge de carburant, voyant de charge, témoin de blocage du frein de stationnement, témoin de feux de route, témoins de clignotants et les deux totaliseurs (kilométrique et journalier). Pas de compte-tours, pas besoin en réalité. Et tout ça dans un petit rectangle de quelques centimètres carrés. Le cendrier courbé en tôle est habillé de bois, tout comme la boîte à gant, et agrémenté d’un allume cigare. Une horloge rectangulaire de belle facture achève de donner la classe à cette planche de bord. Deux interrupteurs à votre gauche : essuie-glace et commande de feux. A votre droite les commandes de la ventilation et du chauffage séparé gauche-droite ainsi que la commande d’orientation des volets de ventilation, on n’a rien inventé de mieux depuis hormis la climatisation. Au pied gauche, deux boutons poussoirs : essuie-glace avec lave-glace et inverseur code phare. Un emplacement pour un haut-parleur et un autoradio est prévu. Si l’auto n’en est pas équipé, un cache en bois avec le monogramme 220SE chromé le remplace. On hésite même à mettre l’autoradio tellement ce cache est beau. Du cuir partout, sur les portes, sur le tableau de bord, dessous, sur la plage arrière, une moquette épaisse habille le sol et le tunnel de transmission, le ciel de toit discret et beau, du bois partout aussi : sur les cadres de portes, autour du pare-brise, bienvenu dans le luxe automobile ! Il est temps de regarder un peu le compartiment moteur pour savoir ce qui anime une telle voiture. L’exemplaire que j’ai entre les mains possède le moteur de la 230S : le M180. Six cylindres en ligne, 2.3 litres de cylindrée gavés par deux carburateurs double-corps. Une sacrée artillerie, un véritable meuble métallique traverse le compartiment moteur, c’est superbe. Il y a de la place pour travailler, tout est accessible. Attention toutefois en reculant pour fermer le capot, la calandre descend bas, plus d’une fois j’ai testé la solidité de mon crâne ! On referme tout ça dans un bruit sourd de métal épais, ça donne confiance. On saisit la poignée munie d’un bouton pour ouvrir la portière conducteur, c’est du lourd, du solide. En refermant, pas besoin d’envoyer la porte contre la voiture, il suffit de l’accompagner et le poids s’occupe de verrouiller la bête. Ca y est on démarre ! Lancement du moteur accompli et une fois les allumages réguliers, le moteur ronronne tout doucement sans vibrations. On desserre le frein de stationnement le long de la colonne de direction. Levier de vitesse au volant, première en haut vers soi et on lâche tranquillement l’embrayage tout en donnant un peu de gaz, c’est parti ! Impression de dominer la route avec ces deux ailes avant nettement détachées du capot tout aussi bombé et là-bas, très loin, l’étoile magique. Le moteur est nerveux et souple à la fois, on peu reprendre très bas dans les tours pour peu que la carburation et l’allumage soient correctement réglés. La voiture s’insère très bien dans la circulation actuelle et les 120ch de son cœur sont loin d’être ridicules ! Le poids de la bête et la hauteur de la voiture, ils génèrent un peu de balourd sur routes sinueuses mais rien d’alarmant, le comportement est serein. Attention toutefois au freinage un peu juste et au blocage des roues qui arrive très vite contrairement à ce que l’on pourrait croire eu égard du poids la voiture. En fait, cette auto se savoure coude à la portière, six cylindres sur un filet de gaz sur routes nationales ou départementales, même à des vitesses non-autorisées. D’ailleurs l’autoroute ne lui fait pas peur, elle est souveraine, comme sur un rail, sauf par grand vent qui vous emmène la voiture de gauche à droite, la puissance suffisante pour doubler proprement. C’est étonnant de voir la tête des autres conducteurs quand ils se font doubler par une telle auto dont le premier exemplaire fête ses 51 ans cette année. En ville elle se manie bien en disposant d’un bon rayon de braquage insoupçonné. Même l’absence de direction assistée n’est pas gênante vu le diamètre du volant et la taille des pneus. La visibilité est excellente grâce à de larges surfaces vitrées. La marche arrière se situe vers soi et en haut. La consommation en conduite normale (en s’insérant dans la circulation d’aujourd’hui) avoisine les 15 litres au cent sur cette version carbu. Il faut compter un peu moins sur les versions à injection. En bref, cette voiture est utilisable au quotidien, rassurante, belle et assez puissante. De quoi rouler décalé sans se ruiner seulement si la voiture est en bon état. Il faut en profiter tant que la cote n’est pas trop élevée, mais comme signalé : faire attention à la rouille et aux multiples pièces qui coûtent très cher ! Mais tout se trouve chez Mercedes à des tarifs Mercedes aussi… Bonne route !
  12. Voici ma préférée, la berline 111 : La première à profiter de recherche en crash test pour des zones déformables avec habitacle rigide :
  13. Tu m'as dit que mon M110 tournait mal et pour la R16, la galva fonctionne
  14. Si tout le monde apportait autant que toi je mettrais tout le monde admin
  15. Bonsoir à tous, voici quelques photos glanées sur le net. Dans cette galerie, le sujet est le coupé W111 220SEb, 250SE, 280SE.....
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