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Rosberg très remonté contre son équipe. Il lui reproche le manque d’informations... Nico Rosberg était en colère après le Grand Prix de Malaisie qu’il a terminé en troisième position. Le pilote allemand reproche à son écurie de ne pas lui avoir donné suffisamment d’informations durant la course, même si beaucoup sont désormais bannies par la direction de course. "Les ingénieurs ne sont pas dans la voiture, ils ont leurs ordinateurs et tous leurs chiffres, moi je n’ai rien alors je me bats pour comprendre ce qu’il se passe," déclare Rosberg. "Ne serait-ce que pour la motivation, c’est important d’avoir des détails et cela me manquait un peu en course aujourd’hui. Nous devons voir ce qui peut être fait pour que je puisse avoir une meilleure vision du déroulement de l’épreuve." Rosberg était notamment mécontent du choix de pneumatiques, lorsque son équipe lui a fait chausser les gommes les plus dures contre des médiums à Hamilton au même moment. "Par exemple, je n’ai pas compris ce qu’il s’est passé lors du premier arrêt, j’étais proche de Lewis à un moment donné, puis nous avons effectué l’arrêt et je ne l’ai jamais revu. Ensuite, il s’est avéré que nous avions des pneus différents, ce dont je n’étais pas au courant, alors nous devons travailler sur ces choses-là." Source Nextgen-Auto.com Motorsport

Montoya vainqueur, Pagenaud 5e. La première course d'Indycar de la saison, disputée dimanche sur le circuit floridien de St Petersburg, a été remportée par l'ancien pilote de F1 Juan-Pablo Montoya. Le Colombien a devancé son coéquipier du Team Penske Will Power et le Brésilien Tony Kanaan (Ganassi). Helio Castroneves (Team Penske) prend la quatrième devant le dernier membre du Team Penske, le Français Simon Pagenaud, et l'autre Tricolore en lice, Sébastien Bourdais (KV Racing). La lutte pour la victoire a été intense. Power, le champion en titre, a fait la course en tête après être parti de la pole, mais il a été dépassé par Montoya après le dernier passage aux stands. L'Australien a attaqué pour reprendre la première place, provoquant même un accrochage avec le Colombien, lors duquel il a endommagé son aileron avant. C'est la seconde victoire de Montoya depuis son retour dans la discipline l'an dernier, après son succès à Pocono (Pennsylvanie). Les six premières monoplaces sont des Chevrolet puisque la première Honda, celle de l'Américain Ryan Hunter-Reay (Andretti Autosport), est septième. Source l'Equipe

Grand Prix du Qatar : L'éternel Valentino Rossi débute par une victoire, la 109e de sa carrière ! L'Italien a profité d'une erreur de Marquez pour s'imposer sur le fil après une fantastique bagarre avec Dovizioso et sa Ducati, dimanche, lors du Grand Prix inaugural de la saison, au Qatar. On a beau savoir que Rossi est meilleur en course qu’en qualifications, peu nombreux étaient ceux qui lui donnaient une chance de remporter la première levée de la saison. Le seul qui aurait pu, comme l’an passé, le priver de cette entrée en fanfare, s’est mis d’emblée hors jeu: Marc Marquez a fait un tout droit dans le premier tour et est revenu en piste en dernière position. Le champion du monde a eu beau cravacher pendant les 22 tours de la course, il n'a pu que revenir en cinquième position. Loin devant, un quatuor composé de deux Yamaha (Lorenzo et Rossi) et deux Ducati (Dovizioso et Iannone) s'est livré à une belle bagarre. C’est la grande information de cette course d’ouverture: la moto italienne est revenue aux avant-postes après plusieurs saisons de galère. Mais, au bout du compte, le métier de Valentino Rossi a fait la différence. Et s'il allait chercher le record d'Agostini ? Avec Andrea Dovizioso à ses basques, le célèbre N°46 savait qu’il serait battu à l’aspiration en fin de ligne droite par la Ducati un peu plus véloce, mais il a fait le nécessaire dans les dernières courbes pour obtenir la petite avance qui l'a mis à l’abri du retour de la moto italienne. «On avait commencé cette semaine plutôt difficilement, mais on a fait un super boulot, expliquait le doyen des pilotes (36 ans). Je ne sais pas comment dire merci à tous ceux qui m’ont aidé à remporter cette victoire fantastique». La 109e de sa carrière. Il n’est plus qu’à 13 succès du record d’Agostini, que l’on croyait définitivement hors de sa portée. Maintenant, on n’est plus trop sûr... Source l'Equipe

Ca roule Las et bon GP à toi ! Au fait, si tu veux poster des photos de voitures, camions ou autres, il y a une nouvelle rubrique qui s'appelle "Ces véhicules qui nous font rêver".

J’espère que ça se passera mieux qu’à Melbourne ! La Ferrari encore meilleure qu’en Australie ? En grande forme lors du Grand Prix d’Australie, les Ferrari étaient clairement les meilleures du peloton derrière Mercedes. Sebastian Vettel s’offrait un premier podium en rouge alors que le malheureux Kimi Raïkkönen devait abandonner, la faute à une roue arrière gauche mal fixée. « Évidemment, j’espère que ça sera mieux que Melbourne ! déclare le Finlandais. Nous avons la vitesse et les choses se passent bien. Il nous faut juste éviter les erreurs et les contacts au départ. La voiture s’est bien comportée sur chacun des circuits où elle a roulé jusqu’à présent et je ne vois donc pas pourquoi ce ne serait pas le cas ici. Je pense même qu’elle pourrait être encore meilleure qu’en Australie. Le circuit de Sepang est un tracé permanent alors nous devrions y être bien. » Après une saison 2014 pour le moins délicate à bord de la F14-T, Raïkkönen savoure ce début d’année prometteur. « Il est évident que nous sommes en bien meilleure forme qu’à la fin de l’année dernière et c’est une situation confortable. Nous devons néanmoins nous améliorer encore si nous voulons être tout devant, mais pour l’instant nous n’avons pas la vitesse nécessaire pour y parvenir, tout du moins en qualifications. En course, je pense que nous sommes un peu plus forts, comparés à Mercedes. » « La saison va être amusante, poursuit le Finlandais. Bon, je n’ai pas pris un départ idéal cette année puisque ma voiture a été endommagée dès le début de la course avant de rencontrer quelques problèmes aux stands, mais ça peut arriver. Au moins nous sommes plutôt rapides et je suis certain que nous allons prendre part à quelques batailles. » « Je pense que c’est l’ensemble de la voiture qui est meilleur, pas seulement le moteur. On ne peut pas désigner un seul élément. Tout le monde travaille en équipe et tout va dans la bonne direction. Mais il est encore tôt dans la saison et nous savons qu’il va encore nous falloir travailler sans relâche. » Source Nextgen-Auto.com Motorsport

http://www.allocine.fr/film/sorties-semaine/ A part "Diversion", pas grand chose d'attrayant cette semaine...

Oui, ça serait bien qu'il revienne aussi parmi nous.

Oui, en qualif et en course mais pas sur les stats. Mais bon, ça ne veut trop rien dire car leur saison a été cahoteuse et leur voiture jamais performante. Il aurait fallu qu'ils soient présents tous 2 cette année pour se faire une idée, ce qui n'est pas le cas. Ericsson a trouvé un bon baquet mais pas Koba et c'est bien dommage car lui aussi est un bon pilote quand il a une bonne voiture. Avec Sauber, il a fini quand même 12ème au CDM de 2012 avec une 3ème place au GP du Japon et 60 pts marqués au cours de la saison. Plutôt pas mal...

Battu régulièrement, je ne m'en souviens plus et puis, il a eu 2 équipiers en cours de saison, Kobayashi et Lotterer. A savoir (concernant la saison 2014) : Ericsson : *16 participations dont 5 abandons. Kobayashi : *15 participations, 5 abandons et 1 non participation. Lotterer : 1 participation avec abandon. * Toujours classés au-delà de la 10ème place. Difficile donc de juger quel était le meilleur entre Kobayashi et lui sur un tel bilan, non ? Dans le doute, laissons lui une chance de démontrer qu'avec une voiture compétitive il est capable de réaliser de bonnes courses voire, de marquer des points.

Sauber surpris par la puissance du moteur Ferrari. La Directrice de l’équipe Sauber Monisha Kaltenborn affirme être surprise par l’ampleur des progrès de l’unité de puissance Ferrari, qui a conduit son équipe à placer ses deux voitures dans les points en Australie. Si Kaltenborn a toujours défendu son motoriste et s’attendait à des améliorations en 2015, elle ne s’attendait pas pour autant à constater de tels progrès. Le moteur Ferrari est à présent la deuxième force du plateau derrière l’unité de puissance Mercedes, mais clairement devant le V6 Renault. "Les progrès sont impressionnants," confie la directrice de l’écurie suisse. "Je suis agréablement surprise car je m’attendais à quelques améliorations mais là, ils ont vraiment réalisé du très bon travail. C’est ce dont tout le monde a besoin à l’heure actuelle : un bon groupe propulseur." Kaltenborn confirme que le moteur Ferrari est l’élément déterminant dans la progression fulgurante de l’équipe Sauber entre la saison dernière et la présente campagne. En 2014, Sauber n’avait pas inscrit un seul point tandis qu’à Melbourne, Felipe Nasr a terminé à une excellente cinquième place et son équipier Marcus Ericsson a conclu la course en huitième position. "C’est évidemment le moteur qui nous permet de réaliser une telle progression. Nous étions si loin l’an dernier que nous ne pouvions pas viser les points, ce que nous pouvons réaliser à présent. Nous devons saisir les opportunités dès qu’elles se présentent." Les résultats n’occultent pas la situation financière En difficultés financières malgré l’apport de partenaires liés aux présences de Nasr et Ericsson, sans occulter non plus l’affaire van der Garde, l’équipe Sauber ne compte pas sur ses performances actuelles pour attirer de nouveaux sponsors. "En 2012, nous avions obtenu d’excellents résultats," rappelle la directrice de Sauber. "Hélas, cela ne signifiait pas que le lundi matin, des gens m’attendaient devant l’entrée de l’usine avec des propositions de contrats. Ce n’est malheureusement pas aussi simple que cela. Il est toutefois important pour nous de montrer que la saison 2014 était une exception et que nous sommes en pleine progression." Source Toile F1

12h de Sebring : Victoire historique pour Bourdais et Chevrolet ! Le trio Sébastien Bourdais, Christian Fittipadi et Joao Barbosa décroche la première victoire de Chevrolet depuis 50 ans. C'est également la première pour le Français. Le tracé de Sebring est un des plus exigeants au monde avec ses différences de revêtement et ses bosses. Son virage le plus célèbre est la grande courbe en béton à 180°, très bosselée, qui donne sur la ligne d’arrivée. Il fut le terrain d’essai privilégié des grandes marques participants aux 24h du Mans à l’époque où les LMP1 étaient autorisées dans cette course. Bourdais, Fittipadi et Barbosa apportent à Chevrolet une victoire qui leur échappait depuis 1965. Le succès est d’autant plus impressionnant qu’ils terminent avec 1 tour d’avance sur la concurrence, à la régulière. Double victoire pour “Chevy” La marque américaine décroche les 2 victoires les plus convoitées ; celle au classement général, avec la Chevrolet Corvette version prototype Daytona, et celle en GTLM avec une autre Corvette ; la C7.R en version Grand Tourisme. Les honneurs en GT reviennent au trio Garcia/Magnussen/Briscoe (pilote IndyCar en 2014). La chance n’était pas du coté de la Chevrolet de Simon Pagenaud, déjà en difficulté pendant les qualifications. Un moment en tête et longtemps 2ème, le proto Ford Riley de Scott Dixon termine finalement 4ème. La Ligier-Judd du Français Olivier Pla, parti en pole position, a été victime d’un accrochage et ne termine que 8ème malgré une bonne vitesse de pointe. Juste une journée pour se reposer Sébastien Bourdais, Simon Pagenaud et Scott Dixon ont leur dimanche pour se reposer avant de reprendre les essais en IndyCar. Les deux Français restent en Floride, ils courront sur la version courte du circuit de Sebring. Le Néo-Zélandais part pour la Louisiane, sur le tracé du NOLA Motorsports Park. Source Motor Inside

12h de Sebring - Qualifications : Bourdais bien placé. Du vert pour la Saint-Patrick ! La première ligne de départ des 12h de Sebring sera composée de 2 voitures vertes ; une Ligier-Judd du Krohn Racing à coté d'une Honda HPD du Tequila Patron ESM. Bourdais partira 3e sur un proto Daytona. À 3 jours de la reprise des essais d'avant saison et à une semaine de la première course d'IndyCar 2015, certains pilotes de monoplace s'attardent en Endurance, sur les 12 heures de Sebring. C'est le cas de Scott Dixon. Le prototype Daytona Ford du Néo-Zélandais partira de la 9ème place. Il fait équipe avec Joey Hand (venant du DTM) et Scott Pruett, 54 ans, qui est passé par la NASCAR et le CART (IndyCar). Il est le vainqueur de l'an dernier. Le mieux placé des pilotes IndyCar au départ est Sébastien Bourdais ; 3ème place sur la grille pour son Prototype Chevrolet : « C’est une grosse GT. C’est une voiture qui est lourde, qui a maintenant pas mal d’aéro et qui fait aux alentours de 600 chevaux. C’est une auto qui roule relativement souple pour générer du grip mécanique. C’est une auto que j’aime beaucoup conduire. Ça permet de toucher à autre chose. L’indyCar est assez spécifique et là ça permet de développer une autre petite finesse au volant. » Le Manceau retrouve l'équipe avec qui il a gagné les 24h de Daytona 2014 : João Barbosa et Christian Fittipaldi, lui aussi un ancien de la Formule 1 et du CART. Simon Pagenaud, 25ème au départ et 7ème en classe GTLM, est associé à Tommy Milner et à Oliver Gavin, 4 fois vainqueur des 24h du Mans en catégorie GT sur la Corvette : « C'est assez impressionnant de voir comment les GT sont rapides et efficaces sur un tour. Le poids est la grosse différence par rapport à la monoplace mais il y a un anti-patinage qui fonctionne très bien, un gros V8 plein de puissance et puis beaucoup d'appui aérodynamique sur cette voiture qui est magnifique. » Des anciens pilotes d'IndyCar sont présents derrière le volant à Sebring : - Justin Wilson cherche toujours un budget pour revenir en IndyCar. Il pilote une Ligier-Honda du Michael Shank Racing ; - Ryan Briscoe, il était l'an dernier chez Ganassi, il est aujourd'hui pilote officiel Chevrolet en GT ; - Katherine Legge, pilote sur la Delta Wing ; - Bruno Junqueira, 3 fois vice champion de Champ Car ; - Max Papis, passé par la NASCAR et la Formule 1. Source Motor Inside

Ericsson espère briller avec Sauber. Caterham était trop loin pour ça... Après des débuts anonymes l’an dernier avec Caterham, Marcus Ericsson espère pouvoir montrer son potentiel avec Sauber. L’écurie suisse a démarré l’année en trombe avec les 5e et 8e place au Grand Prix d’Australie et se retrouve 3e au championnat des constructeurs, derrière Mercedes et Ferrari. « C’est le problème quand on pilote pour une équipe comme Caterham, déclare Ericsson, on se retrouve trop loin derrière. » « Il est très difficile de montrer ce dont vous êtes capable. C’était très amusant de piloter en Australie et de montrer mes compétences roue dans roue. Un excellent résultat à la clef, pour moi et pour l’équipe, avec la 5e position de Nasr. Vraiment un bon début pour nous. » « Un tel résultat est fantastique. Quand je suis retourné voir les mécaniciens, tout le monde avait le sourire. Nous en avions vraiment besoin. Démarrer la saison avec ce résultat est tout simplement parfait, et nous sommes donc vraiment contents. » Source Nextgen-Auto.com Motorsport

Pas mal non plus. C'est le retour de Ford en endurance ?

Qu'elle soit rouge, noire ou autre, cette Nissan est vraiment superbe. Elle a tout pour elle, c'est juste un rêve "roulant"...

Bonne course pour Ericsson, Kaltenborn soulagée... Sauber a su rester concentrée malgré ses ennuis. Après une première année difficile chez Caterham en 2014, Marcus Ericsson devait se dire que ça ne pourrait qu’aller mieux avec Sauber. Mais c’était sans compter sur le contrat de Giedo van der Garde, qui menaçait la participation du Suédois à ce Grand Prix d’Australie. Ce contretemps a priori réglé, Ericsson et son coéquipier Felipe Nasr ont pu terminer dans les points. Malgré un départ du fond de la grille ou presque, le Suédois est parvenu à remonter à la 8e place, aidé il est vrai par divers abandons, mais également grâce à un dépassement sur Carlos Sainz en fin de course. « Ce fut une semaine difficile mais le dimanche a été fantastique, déclare Ericsson. Tout le monde est vraiment content et ces résultats posent des bases saines pour la suite en Malaisie. [Le dépassement à la fin] n’a pas été facile parce que bien que j’aie rattrapé Carlos, il défendait plutôt bien dans la ligne droite avec le DRS et j’ai dû le surprendre, en quelque sorte. En définitive, je pense que c’était une bonne manœuvre, et c’est super pour l’équipe d’avoir terminé aux 5e et 8e place après tout ce qui s’est passé ce week-end. » « Je pense que nous étions en bonne forme durant toute l’intersaison. Bien sûr, aujourd’hui nous avons bénéficié de quelques abandons, mais c’est ce genre de résultat que nous devons viser. » La directrice de Sauber, Monisha Kaltenborn, se dit soulagée par les résultats de son équipe, et bien que Nasr termine son tout premier Grand Prix de F1 devant son équipier, Ericsson n’a pas démérité. « Il a commencé la course différemment mais je pense qu’il a fait un très bon travail, déclare Kaltenborn. Ils ont tous les deux eu des parcours différents et ils peuvent en être fiers. » « C’est un grand soulagement. Ça a été un week-end difficile, mais l’équipe toute entière a réussi à se concentrer sur le travail à faire. Ça n’a pas été facile évidemment, car les pilotes sont très exposés aux médias, on ne peut pas les en préserver. Mais ils sont restés concentrés sur leur travail. » Source Nextgen-Auto.com Motorsport

Notre "Sage" a parlé et c'est paroles d'évangile, amen...

Certes Yoh, mais force est de reconnaître que lorsque Peter Sauber était à la tête de son team ça marchait beaucoup mieux et il n'y a jamais eu de problème de ce genre quand il était présent. Alors, manque d'expérience en F1 et en management, incompatibilité d'humeur, mauvaise gestion humaine, financière et politique, quel est dans tout ça le problème de Monisha Kaltenborn ?

On dirait que chez Sauber on l'a bien compris. Les 2 pilotes dans les points dès le 1er GP, ça le fait et ça change de l'an dernier où ils étaient à la ramasse. Dommage qu'il y ait ce problème avec VDG et que Monisha Kaltenborn ne sache pas gérer son team. Pour moi, Peter Sauber manque à la tête de cette écurie qui promet cette année.

Felipe Nasr cinquième et Marcus Ericsson, huitième à Melbourne : Sauber entre joie et soulagement... Felipe Nasr et Marcus Ericsson ont apporté dimanche à Sauber des points providentiels. Felipe Nasr et Marcus Ericsson, respectivement cinquième et huitième à l'arrivée, ont permis à Sauber de marquer ses premiers points depuis 2013 lors du Grand Prix d'Australie ce dimanche. Le week-end fut quelque peu agité pour l'équipe suisse, impliquée dans une bataille juridique avec Giedo van der Garde, même si un premier accord a finalement été trouvé avec ce dernier. Ce résultat très encourageant est donc plus que le bienvenu. "Je suis très soulagée, a confié la directrice d'équipe Monisha Kaltenborn. C'est un super résultat pour l'équipe et cela montre à quel point nous sommes concentrés et avons travaillé à l'usine pour préparer cette voiture. L'équipe et les pilotes se sont focalisés à 100% sur ce week-end et n'étaient pas distraits par le moindre élément extérieur. Le résultat parle pour toute l'écurie. Je suis confiante quant au fait qu'on abordera désormais davantage la course automobile, plus quoi que ce soit d'autre." De son côté, Felipe Nasr n'a pas caché sa joie après cette très belle cinquième place, le meilleur classement pour un Brésilien lors de ses débuts en Formule 1. "Je suis très heureux de ce résultat pour ma toute première course en F1, s'est-il exclamé. C'est un immense soulagement pour l'équipe et moi d'avoir été capables d'inscrire des points et je suis très satisfait de cette réussite, car c'était une course difficile. Les pilotes qui me suivaient m'ont pas mal mis la pression durant toute l'épreuve, ce qui n'était pas très confortable. C'était une course émouvante pour moi et pour tout le monde dans l'équipe." Ericsson premier Suédois dans les points depuis 1989 La patronne de la formation suisse s'est d'ailleurs dite particulièrement impressionnée par la performance du rookie brésilien : "Il a fait tout ce qu'il fallait aux bons moments, a-t-elle commenté. Il a très bien géré sa course et a montré de quoi il est capable". Quant à son équipier Marcus Ericsson, il est le premier Suédois à marquer des points en F1 depuis Stefan Johansson lors du Grand Prix du Portugal en 1989 alors qu'il courait pour Onyx. "Nous avons vu notre belle progression durant les essais de pré-saison et le fait de marquer des points d'emblée est génial pour l'ensemble de l'équipe. J'inscris ici mes premières unités en Formule 1, ce qui, en tant que pilote, est l'accomplissement d'un fameux objectif", a-t-il déclaré. Source Eurosport

Räikkönen confirme son optimisme à Melbourne. En retrait durant la première séance d’essais libres à Melbourne, Kimi Räikkönen a su travailler sur les réglages de la SF15-T avec son équipe pour trouver un meilleur confort de pilotage dans l’après-midi. Des ajustements qui se sont immédiatement traduits au chronomètre, le Finlandais se positionnant dans le sillage de son coéquipier. "C’était un vendredi d’essais libres typique", note Iceman. "Dans la première séance je ne pouvais pas très bien piloter et c’était difficile de faire un bon tour. Nous avons donc fait quelques changements sur la voiture pour la deuxième séance et au final, la sensation était meilleure. Maintenant, si nous pouvons tout mettre ensemble et trouver un bon tour, nous devrions être OK." Résolument optimiste, le Champion du Monde 2007 a confirmé ses propos tenus après les essais hivernaux. Ferrari s’est installé derrière Mercedes au terme de cette première journée, mais il faudra toutefois confirmer lors de la séance de qualifications. "C’était une journée positive dans l’ensemble, et le feeling n’a pas changé depuis les tests hivernaux : Je crois que le package a progressé dans sa globalité. D’un autre côté, c’est seulement vendredi, et nous savons que nous avons beaucoup de travail à faire." Source Toile F1

Impressionnant, on dirait une protection faite pour la voiture de Mad Max !

Salut Nicko et bon retour parmi nous !

Sauber a voulu jouer les "STR" mais a été déboutée et c'est tant mieux ainsi. Certes, VDG roulera sûrement ce week-end à Melbourne, mais il n'empêche que dès ce début de saison la F1 tend déjà à donner une mauvaise image d'elle... Ce n'est pas ce que l'on attend de notre sport alors espérons que sur la piste cela soit autre chose.

Nan, nan, moi je suis pour la retransmission gratuite des sports auto et moto à la télé ! Le foot c'est gonflant mais gratuit et on nous en gave chez nous. Alors pourquoi pas l'Indy ou la F1 ? J'oubliais, ça n'arrange pas Bernie financièrement...