Clousot

Toro Rosso a sacrifié 2017 pour préparer 2018 Franz Tost le reconnaît 13 décembre 2017 - 10h37, par Alexandre Combralier Toro Rosso a connu une deuxième moitié de saison extrêmement difficile. L’écurie italienne visait initialement la 5e place au classement des constructeurs, mais une fiabilité catastrophique, couplée à un manque de développement du châssis, ont eu raison de ces espoirs. Faenza a dû également laisser partir Carlos Sainz pour Renault, afin de récupérer Honda pour la saison prochaine. Par conséquent, Toro Rosso s’est même fait doubler par l’écurie tricolore, lors de la dernière course, dans la lutte pour la 6e place. Toro Rosso donne le sentiment d’avoir passé 2017 pour pertes et profits afin de mieux préparer la saison prochaine. Est-ce aussi le sentiment du directeur de l’écurie, Franz Tost ? « Oui, dans une certaine mesure. Jusqu’au au milieu de la saison, nous étions en 5e place, ou non loin, mais lors de la deuxième moitié de la moitié de la saison, nous avons souffert en raison de beaucoup d’incidents, avec des problèmes de fiabilité, et à l’exception de Singapour, nous avons toujours eu au moins une voiture en fond de grille. Avec des nouveaux venus dans notre équipe [Pierre Gasly et Brendon Hartley en cours de saison] et compte tenu de notre package actuel, qui n’est pas le meilleur, c’est difficile de dépasser les autres écuries et de finir dans les points. » En termes de performance, cette saison n’était donc pas évidente à gérer pour Franz Tost. Le management humain n’était pas non plus un chantier facile, entre l’éviction de Daniil Kvyat, le départ de Carlos Sainz et l’arrivée de deux nouveaux pilotes.« Bien sûr ce n’est jamais facile de tout gérer comme il le faut parce que nous avons perdu Carlos pour trouver l’accord avec Honda. Ensuite nous avons décidé de prendre un autre pilote à cause de Daniil [renvoyé pour insuffisance de résultats]. Nous sommes donc repartis avec deux nouveaux pilotes, inexpérimentés. Mais au bout du compte je pense que c’était une bonne décision parce que nous leur avons donné la possibilité d’apprendre la F1 en général, de s’habituer à la voiture, et d’être mieux préparé pour la saison prochaine. La F1 aujourd’hui est vraiment, vraiment complexe et il n’est pas aisé de tout comprendre, de tout utiliser de la meilleure des manières. Je parle ici de l’utilisation de l’unité de puissance, de la gestion des pneus, ce n’est pas une tâche facile. Donc c’était vraiment important que ces deux pilotes aient quelques courses d’expérience. » ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Vous savez quoi ? J'ai hâte de composer ma nouvelle sign' STR Honda 2018.

Entre Toro Rosso et Honda, une coopération ‘déjà très étroite’ Une lune de miel avant la gueule de bois ? 13 décembre 2017 - 09h15, par Alexandre Combralier Toro Rosso a perdu la 6e place du classement des constructeurs lors de la dernière course – doublée au finish par Renault et Nico Hulkenberg. Il faut dire que l’écurie italienne a perdu en compétitivité tout au long de la saison. La fiabilité déplorable du V6 Renault fut bien sûr en cause en fin d’exercice, mais il ne faut pas occulter le développement aérodynamique du châssis globalement décevant. Pourtant, la première partie de l’année fut assez prometteuse…« Nous avions pris un très bon départ » confirme le directeur de Toro Rosso, Franz Tost. « Nous avons eu beaucoup de succès lors de la première moitié de la saison : nous étions soit 5e au classement des constructeurs, soit proches de cette position. Mais ensuite, lors de la deuxième moitié de la saison, ce fut une autre affaire…Nous n’étions pas aussi compétitifs qu’attendu, pour des raisons différentes. L’une d’entre elles fut le départ de Carlos Sainz, ce qui n’a pas vraiment aidé. Mais le développement de la voiture ne fut pas aussi bon que planifié, et nous n’avons pas autant progressé que les autres dans le même temps. Et nous avons eu bien sûr des problèmes de fiabilité. A part à Singapour, nous avions toujours une voiture à l’arrière la grille, et ça ne vous aide jamais à marquer des points ! » Cela fait plusieurs saisons maintenant que Toro Rosso vise la 5e place au classement des constructeurs… C’est une fois encore raté, mais que cette saison doit être encore plus frustrante pour Tost ! « En connaissant l’arrière-plan – nous avons dû laisser Carlos Sainz partir pour avoir Honda – et avec le recul, la promesse d’un futur formidable est plus grande que la déception du moment présent » philosophe le directeur de Toro Rosso. On pourrait pourtant penser que la perspective d’un mariage plus ou moins forcé avec Honda n’a rien de réjouissante, vu le niveau de compétitivité des Japonais avec McLaren…« Nous sommes dans les temps avec Honda » détaille Tost. « Bien sûr, tous les deux jours, nous avons des vidéoconférences, donc oui, c’est déjà une coopération très étroite. C’est comme une lune de miel, oui, et j’espère que ça durera longtemps. Je suis très heureux d’être passé chez Honda, parce que nous sommes leur unique partenaire en F1. Nous pouvons arriver avec nos propres idées sans voir ce que les autres ont déjà prévu. C’est un grand avantage. Et puisque nous sommes les seuls clients de Honda, nous sommes certains d’avoir assez d’unités de puissance et de pièces pour toute la saison ! C’est fantastique d’être le repère et l’étalon d’un motoriste. » Red Bull surveillera cette lune de miel avec les yeux de Chimène. On sait que l’écurie autrichienne pourrait rejoindre Honda après 2018, et Toro Rosso servirait en quelque sorte de test grandeur nature pour la maison-mère…« Je suis sûr que Red Bull va regarder de très près cette collaboration » confirme Tost. « Et peu importe leurs plans pour le moteur en 2019… ce sera une décision prise par Red Bull Racing. »

Ouchhhhhh c'est pas évident évident ça... Venant du Las c'est du lourd.

Thanks pour toutes ces infos inédites ici Mb..

Décidément Tyrrell avait de l'imagination. Question sécurité du pilote par contre rien de nouveau. Exposition maximum. Pas facile d'imaginer un Halo sur cette voiture, il serait du genre hamac. On mesure l'évolution depuis 30 ans bienfaits. Après une voiture à 6 roues celle çi n'est pas en reste et question look elle faisait fort. Ken Tyrrell était un vrai carnassier ;-)

Splendide vidéo. Thanks Dom. Comme il fallait se battre avec la voiture en ce temps là. Le pilote devait en sortir complètement brisé tellement il était secoué. Magic Senna était vraiment sur une autre planète. J'ai cru le voir avec Soichiro Honda vers la fin est ce possible ?

Sirotkin favori chez Williams, Kubica hors course ? Le Russe serait convaincant sportivement et financièrement 11 décembre 2017 - 19h27, par Emmanuel Touzot Le seul baquet encore à attribuer pour 2018 se trouve chez Williams et l’équipe anglaise a procédé à un test de sélection entre Robert Kubica et Sergey Sirotkin. Les deux hommes étaient déjà les favoris au remplacement de Jolyon Palmer chez Renault cet été et se sont retrouvés en lutte pour le baquet de Felipe Massa, qui a quitté la Formule 1. Robert Kubica semblait tenir la corde pour faire équipe avec Lance Stroll en 2018 mais il apparaît aujourd’hui que Sergey Sirotkin aurait finalement pris la main pour obtenir le volant chez Williams. Selon des sources concordantes, notamment le journal britannique Express ainsi que la tribune canadienne, le Journal de Montréal, Sirotkin proposerait une valise de 15 millions de dollars pour assurer son entrée en Formule 1. Les soutiens à Sirotkin sont nombreux en Russie puisque le pays n’a plus de représentant en F1 depuis le départ de Daniil Kvyat, lâché par Red Bull et Toro Rosso. Mais la raison de ce recrutement, encore à confirmer, ne serait pas uniquement financière. Il se murmurait, après leur essai commun, que Sirotkin avait nettement plus impressionné Williams que Kubica, encore limité par sa blessure au bras. Si une annonce est attendue dans le courant du mois de décembre, il apparaît que Kubica serait sur le point de perdre toute chance d’être en Formule 1 en 2018. Quant à Sirotkin, il serait au moins assuré d’être troisième pilote pour Williams, s’il venait à ne pas être titulaire. Cette information condamne par la même occasion les espoirs de F1 des autres prétendants à ce baquet que sont Pascal Wehrlein, Paul Di Resta et donc Daniil Kvyat.

En fait en terme d'aéro on est proche de l'avion. Il ne faut rien voir dépasser sinon...;-/

Attention ce type de voitures exceptionnelles vendues ou réservées dés leur mise en vente voir en projet reflète un signe. Il y a des ultra riches et de plus en plus donc ce type de produit est fait pour eux sinon à quoi bon. Lewis saura les conduire toutes mais ça s'arrête là ou presque. Avec beaucoup d'argent vous pouvez tout acheter excepté la santé et le bonheur simple qui sont hors de prix. C'est connu.

Connaissais pas du tout celle là bravo Dom et à demain

Genre caisse à savon carrément et en 4/4 svp je ne vois aucun avantage. Tout comme la Tyrrell P34 à 6 roues (1976).

Celle que Lewis n'a pu garder ou alors..? Nicole S. avant et après, de droite à gauche si jamais.

Allez oui pour Kimi !

Un dépossédé ?

Un déporté mais non..;-)

Lewis et son monde c'est ça aussi. Le faut débraillé ultra chic. Attention rien n'est laissé au hasard de son dressing.

Kimi la classe tel Daniel Graig alias Bond my name is Bond.

Perso je me suis posé la même question à 200 kmh sur ma 500 Four avant d'abandonner la route pour la moto verte. C'est dingue ce TT. Je me suis laissé dire que certain pilote le connaissait par coeur avant de se lancer. Plus de 60 km par coeur avant de partir si jamais..

Pauvre pilote. Exposé plus que ça... vous connaissez la suite. Voiture ultra simpliste en même temps. On dirait que le carbone faisait son apparition.

Bien vu Dom, pas mieux...;-)

Pour faire écho à la MacLaren Senna de Us... ----------------------------------------------------------------------------------------------------- McLaren a fait de sa dernière hypercar un hommage à Ayrton Senna La successeur de la P1 a été dévoilée 11 décembre 2017 - 07h54, par Emmanuel Touzot McLaren a dévoilé, à la date prévue du 10 décembre, sa nouvelle création dédiée à la piste. Sur la base de sa dernière supercar, la 720S, le constructeur de Woking a révélé une version chargée aérodynamiquement qui reprend une grande partie de la mécanique de la 720S. Pour mettre en avant la recherche de compétition que ce modèle inspire et, selon les dires du constructeur, honorer celui grâce à qui un grand nombre de trophées trônent dans les couloirs de l’usine, McLaren a décidé d’appeler cette nouvelle voiture du nom de son triple champion du monde brésilien, Ayrton Senna. La McLaren Senna reprend donc le moteur V8 4.0 litres de la 720S qui développe cette fois 789 chevaux et un couple impressionnant de 800 N.m contre les 710 chevaux et 770 N.m de la McLaren 720S. Cette nouvelle venue dans la gamme des Ultimate Series de McLaren est composée d’un châssis en fibre de carbone et d’un panneau vitré fin, composé d’un minimum de pièces afin de réduire le poids des fixations, comme c’était déjà le cas sur la P1. La Senna reste donc en dessous des 1200 kilos sur la balance, à 1198 kilos précisément, ce qui lui en fait gagner 85 par rapport à la 720S. Les freins en carbone-céramique, la matière offrant le meilleur rapport poids / solidité, n’y sont pas étrangers. La McLaren Senna sera produite à 500 exemplaires et tous ont déjà été réservés. Elle fera sa première apparition publique à Genève lors du Salon de l’Auto en mars et la production démarrera lors du troisième trimestre 2018. Elle rejoint donc la P1 et la P1 GTR dans les Ultimate Series de McLaren, une gamme qui sera complétée par celle qui est actuellement connue sous le nom de BP23, une voiture à trois places qui sera la fille spirituelle de la première supercar de l’histoire de la marque, la McLaren F1. McLaren décrit ce futur modèle comme une Hyper GT qui ne sera produite qu’à 106 exemplaires, eux aussi déjà tous réservés !

Et c'est reparti....

Un crétin oui.