PAULIN111

cool....quand tu recois tu tof please.....

beh du coup c'est pas la meme alors

tres jolie cette golf

tiens voila l'ami ca devrais etre bon.......

Allé on veux des photos

Les flics n'ont pas débarquer... On est parti vers 1h de là bas.

C'est pour faire réfléchir Caesard, çà

Surtout en CDI

Merci pour cette exclu, Nicko Put1 t'as fait plus de photo en 2 minutes que pendant tout le rasso.

COUCOU DENIS , je vois que ça ne se bouscule pas ce soir

Avec la Mercedes 300, lancée en 1951, Mercedes renoue après la guerre avec sa tradition des limousines de très grand standing. La même année, un coupé dérivé est présenté au salon de Paris, la 300 S, dont la ligne magnifique, le luxe et… le prix exorbitant (34 500 DM contre 19 900 DM pour la 300 déjà très chère) en font le fleuron de la gamme. L'empattement de la berline a été raccourci de quinze centimètres et le moteur porté à 150 ch, grâce notamment à un troisième carburateur Solex. Quatre ans plus tard, apparaît la 300 Sc, qui se caractérise extérieurement par l'ajout de chromes et de déflecteurs aux vitres latérales. Surtout, la voiture est équipée d'une nouvelle suspension arrière et son moteur reçoit l'injection Bosch, qui lui permet d'offrir 175 ch - une mécanique montée également sur la 300 SL mais poussée à 215 ch. Cette seconde série sera produite jusqu'en 1958 à 200 exemplaires, dont 68 coupés. Pinin Farina n'a réalisé que quatre concept cars sur des châssis Mercedes d'après guerre : deux coupés exécutés en 1955 et 1956 sous la responsabilité de Sergio Pininfarina, le premier sur la base de la berline 300 b, le second sur le coupé 300 Sc. Dans les années soixante, le maître italien exercera son talent sur une Pagode 230 SL et un coupé 300 SEL 6,3 L. Fred Kriz, un collectionneur américain de Los Angeles, ne possède rien moins que les deux concept cars Pinin Farina 300 b et Sc. Ce sont bien sûr des exemplaires uniques. Celui que nous vous présentons, le 300 Sc de 1956, correspond à une commande spéciale réalisée pour une personnalité transalpine, le docteur Pastora. La voiture est construite sur le châssis de série (si l'on peut dire s'agissant de voitures fabriquées au compte-gouttes), dont elle emprunte la mécanique. Son design n'est pas sans rappeler celui du coupé 220 S/SE de 1957 dans la ligne de toit et l'épure des ailes arrière. La découpe du panneau de custode et de la lunette arrière annonce par ailleurs les coupés des séries 111 et 112 dessinés par Paul Bracq. De même, les projecteurs sous verre préfigurent ce que seront, en plus développé, les Lichteinheiten de ces modèles. A l'intérieur, on retrouve par contre l'habitacle typiquement Mercedes de la 300, notamment la planche de bord. C'est à la fin des années 80 que Fred Kriz a fait l'acquisition de ce coupé 300 Sc très exclusif. La voiture se trouvait en assez bon état, mais elle avait été repeinte en blanc, avec un intérieur noir. Il fut décidé de procéder à une restauration complète. Initié au début des années 90, le chantier fut confié à Scott Restaurations, une entreprise située à Van Nuys, près de Los Angeles. La 300 Sc a ainsi retrouvé sa livrée originelle bleu marine et son habitacle le cuir gris - ces couleurs ont été dégagées lors du travail de restauration, car on ne disposait que de photographies d'époque en noir et blanc. Fred Kriz présente régulièrement sa voiture dans les concours d'élégance américains, notamment à Pebble Beach en 1993, où elle fut primée. Voiture originale, ce coupé 300 Sc Pinin Farina illustre les tentatives des carrossiers italiens d'exercer leur art sur les modèles allemands, en particulier ceux de Stuttgart - un exercice qui n'a pas toujours été des plus convaincant. Outre son caractère exclusif de concept car unique, l'intérêt historique de la voiture tient à ce qu'elle annonce certains éléments du style des coupés Mercedes des années soixante.

environ 900€ pièce Tiens, ça me rappelle quelque chose Hein Joz Je préfère celles à 1000

A l'occasion du Salon de New York, Mercedes retouche la Classe S. Peu de modifications esthétiques au programme, mais l'apparition d'une version hybride avec la S400 Hybrid. La Classe S ne se voit pas bouleversée par ce restylage : la calandre retouchée pointe sensiblement vers le bas, le bouclier avant a tété remodelé, et les nouveaux optiques, tout comme les nouveaux feux arrière et les antibrouillards, intègrent désormais des LED. En outre, les rétroviseurs affichent désormais un design rectangulaire. A l'intérieur, le volant s'est vu redessiné, et les matériaux, bois et cuir, ont été revus, et l'écran du système multimédia sur la console centrale peut se dédoubler afin de permettre aux passagers de visionner un film indépendamment du conducteur. En revanche, en matière d'équipements technologiques dédiés à la sécurité, l'arrivée de la nouvelle Classe E bien pourvue dans ce domaine permet à la nouvelle Classe S de voir sa dotation enrichie. Ainsi, celle-ci adopte la luminosité automatique des phares, le détection des piétons avec le système de vision de nuit et l'avertissement de franchissement de ligne. En outre, l'ESP est désormais sensible aux rafales de vent, et l'avertisseur d'assoupissement fait son apparition. Enfin, le Torque Vectoring Brake permet de freiner la roue arrière du côté intérieur du virage afin d'améliorer la tenue de route en virage. Sous le capot, quelques nouveautés. Le moteur V8 diesel développe désormais 320 ch et désigne désormais la version 450 CDI. De son côté, le V6 adopte l'appellation 350 et équipe la version Blue Efficiency affichant une consommation de 7,6 l/100 km en cycle pour 199 g de CO2 par km. Le restylage de la Classe S est également l'occasion pour Mercedes de présenter la S400 Hybrid, annoncée au dernier Mondial de Paris. Avec son V6 3.5 l de 279 ch secondé par un moteur électrique de 20 ch et 160 Nm de couple, celle-ci affiche une consommation en cycle mixte mixte particulièrement contenue de 7.9l/100 km pour 186 g/km de CO2 rejetés. Basée sur la S350, la S400 Hybrid gagne 7 chevaux sur le moteur thermique, plus 20 ch avec le moteur électrique, soit 27 ch au total : les consommations sont réduites de 28 % et les rejets de CO2 de 23 %.

j ai pas réussit au remettre le compteur révision a zéro .j ai aussi un soucie avec mon commodo la journée quand je veut faire appel de phare il ne revient plus tout seul il faut que je repousse en arrière sinon je reste en phare . :face:

C'est fait c est l interieur de la gti que tu nous a mis pas de la gtd C'est le même, la seul chose qui change c'est le sigle GTI, à la place ça sera marqué GTD

l'interieur a l'air sympa...mais faudrais plus de Tofs...

moi je l'ai fait avec un entonnoir sans aucun soucis

mon dieu mais c'est le titanic!!!

tu est a combien au lieu de combien en fond de 1,2,3 et 4? t'arrives a combien avant le freinage de la ligne droite?

tu fais collection de boite ou quoi j'enn est une de 106 S16 un si tu veux lol

c'est quoi cette boite? sa fait long!!!!!!

a oui quand meme...

sa fait court par rapport a l'origine sa... lol c'est quoi le couple d'origine et le tien?

oui je n'y manquerais pas!

et en juilet la focus RS... 2.5T duratec 305ch 449Nm a 2300tours 1468kg je la suit depuis un moment et les reportages magazines commencent a arriver Par contre, 33650euros auquel il faut ajouter la cg (21cv), la taxe de 1600euros.... tu vas a clastres gweez? on se voit la bas alors, je vais rejoindre des potos du 106teamracing. je viens avec la so6 mais en spectateur par contre