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FOURNIER11

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Tout ce qui a été posté par FOURNIER11

  1. Une photo avec Jacques....petit !
  2. FOURNIER11

    Le Quizz

    Oui c'est une Brahbam en 1967 !
  3. Ancien pilote de F1 et ex-pilote Ferrari de 2000 à 2005, Rubens Barrichello s'est exprimé sur les 5 titres que Michael Schumacher a obtenu entre 2000 et 2004 estimant que ce dernier aurait dû n'en remporter que 4. Le Brésilien justifie ses propos avec l'affaire de l'Autriche en 2002 : "Je pense que sur les titres de Schumacher, il y en a un que j'aurais pu avoir. En ce qui concerne l'Autriche en 2002, je ne voulais pas le laisser passer mais j'en ai reçu l'ordre de Ferrari et ainsi j'ai retiré mon pied de l'accélérateur. Désormais je suis passé à autre chose, mais quand Ferrari parle de famille cela me dérange." Information rédigée par : Mathias Berthault
  4. J'avais interview Jonathan Williams (décédé en Août 2014) pour le livre John Woolfe ! Voici l'article il parle du Film.
  5. Quelques infos supplémentaires de ma part L’accident constitue la représentation exacte de la mésentente entre deux pilotes, aggravée par la différence de vitesses. Jochen Mass pense laisser la place à Gilles Villeneuve en serrant d’un côté, c’est ce côté que choisit Gilles, le phénomène d’engrenage des roues joue à plein, la Ferrari décolle très haut puis retombe et se désintègre en piquant le sol par le nez. Le cockpit se casse au niveau du dos du pilote qui est projeté dans les airs à son tour et percute le sol. Villeneuve est mort. Aujourd’hui, cet accident affecte toujours Jochen Mass, probablement l’un des deux réels gentlemen du plateau de l’époque, un type bien, et qui courait « à l’ancienne ». L’autre gentleman était John Watson et c’est lui qui gagna le Grand Prix de Belgique : « Gentleman John » titra Johnny Rives qui offrit dans les colonnes de l’Equipe un vibrant hommage à Gilles qui se concluait par « …un homme qu’on était fier d’avoir pour ami ».
  6. Tu dois bien connaître quelques secrets ?
  7. Business, Business... Le contexte actuel des tensions entre Red Bull et son partenaire Renault ont relancé les rumeurs d'une possibilité de voir le taureau rouge se doter de ses propres moteurs. Cette piste avait été évoquée l'été dernier, mais avait été rejetée par Christian Horner qui insistait sur l'importance de privilégier une collaboration plus étroite avec Renault Sport F1. Mais après le désastre du Grand Prix d'Australie, une telle probabilité doit se trouver à nouveau sur la table... Il apparaît en effet que Red Bull Technologies va équiper son usine de Milton Keynes d'un banc d'essai permettant de tester moteurs et boîtes de vitesses, tandis que l'ingénieur motoriste Mario Illien a été appelé à la rescousse pour tenter de sauver les meubles avec Renault. Toutefois, si la mayonnaise ne prenait pas du côté de Viry-Châtillon, Red Bull pourrait commissionner Ilmor Engineering, la société de Mario Illien, pour concevoir un V6 turbo hybride qui serait fabriqué par l'entreprise autrichienne AVL. Red Bull powered by Red Bull ? La balle est dans le camp de Renault, mais la tentation est bien là. Une telle éventualité pourrait aussi permettre à Dietrich Mateschitz, le big boss de la boisson énergisante, de redéployer sa stratégie en cédant Red Bull Racing (châssis et moteurs) au groupe VW/Audi, en proposant la Scuderia Toro Rosso à Renault et en se positionnant en repreneur de la Formule 1 toute entière par le biais d'un rachat des actions de CVC dans le Formula One Group. Politique-fiction ? "Wait and see", comme disent les Anglais.
  8. René Arnoux se souvient aujourd'hui ! David Hallyday et Stéphane Ortelli parlaient hier d’humilité en évoquant les F1 des années 1970-1980… « De manière générale, on ne peut pas tricher en sport automobile. Ni l’équipe sur le plan technique, ni le pilote dans la voiture. Il y a les feux qui s’éteignent et le verdict du drapeau à damiers. C’est une leçon d’humilité tous les quinze jours. Ce n’est pas un métier que l’on fait : c’est ce que l’on aime. « Concernant les voitures, il y a beaucoup de choses que les autos d’aujourd’hui pardonnent. Elles sont plus faciles à conduire. Avant, on se battait : il n’y avait pas le moindre confort, le levier de boîte de vitesses nous faisait des trous dans le gant et on ressortait « fracassé » ! Les choses ont évolué, et j’aurais certainement aimé avoir ces évolutions de confort. Car le confort fait aussi la performance. Mais il est clair que ces autos étaient plus brutales, plus difficiles… et fatigantes. » Revenons à 1979. A l’époque, avez-vous conscience de la portée de ce duel avec Gilles Villeneuve ? De la rareté de l’instant ? « Sur le moment, non : on pense à faire deuxième ou troisième ! Mais oui, il y a de la rareté car c’était presque de l’équilibrisme. Ce qu’il faut savoir, c’est que Gilles, c’était l’un de mes meilleurs copains, si n’est le meilleur. A l’époque, j’allais manger les pates avec lui chez Ferrari, et lui venait avec moi chez Renault pour la cuisine française. Ce que je veux dire, c’est que l’on se connaissait très bien. Pour avoir un tel duel, il faut aimer la personne en face de vous, l’apprécié, connaître son caractère. Nous avions le même caractère, le même tempérament, la même rage de vaincre. Je connaissais le phénomène qu’il était : il y avait de la confiance et du respect entre nous, et c’est ce qui a fait la rareté de ce duel. Nous étions tous les deux les roues encastrées à haute vitesse ! Sincèrement et avec humilité, je pense qu’il n’y avait que nous deux pour faire ça à l’époque. »
  9. On attend le prochain à jeter l'éponge en Europe. Heureusement Bernie est très ami...avec Poutine !
  10. F1 - Le Nurburgring renonce à son tour : pas de Grand Prix d’Allemagne en 2015 Aucun accord n’a été trouvé 19 mars 2015 - 17h32, par Paul Gombeaud StandF1.com Après Hockenheim, le circuit du Nurburgring a à son tour déclaré qu’il n’accueillerait pas le Grand Prix d’Allemagne cette saison.La présence de Mercedes, de Vettel ou de Rosberg n’aura rien donc rien changé à l’issue de la course située outre Rhin. Bernie Ecclestone déclarait la semaine dernière que le Grand Prix d’Allemagne était "mort" suite à des négociations qui avaient duré plusieurs semaines sans aboutir. Le président de la FOM espérait un soutien de la part des champions en titre Mercedes pour financier la course, mais Toto Wolff a affirmé à Melbourne que ce ne serait pas le cas. "En raison du manque de temps, de l’organisation et pour des raisons économiques, cela n’a aucun sens d’organiser une course maintenant," déclare Pietro Nuvoloni, un porte-parole du circuit. "Le Nurburgring a soumis une offre très détaillée et souligné sa volonté malgré un possible endettement. Mais comme aucun accord n’a pu être trouvé, nous avons mis fin aux discussions. Nous le regrettons sincèrement." Pour la première fois depuis la saison 1960, aucun Grand Prix n’aura lieu en Allemagne. 19 mars 2015 - 17h32, par Paul Gombeaud StandF1.com
  11. FOURNIER11

    Le Quizz

    Affirmatif mon colonel !
  12. Toujours notre chère langue de bois pour cacher l'immense déception du début de saison. Même si je pense que cela ne peux qu'aller mieux ! il faisait idem cher Lotus. Avec Grosjean ils font une bonne paire !!!
  13. FOURNIER11

    Le Quizz

    N° 35 Du classique !
  14. Prost ne dément pas ! Alain Prost, qui est ambassadeur pour la marque Renault, confirme que le Losange réfléchit actuellement à la suite à donner à son programme F1, qui pourrait se traduire par un retour du Renault F1 Team. Le directeur général de Renault Sport F1, Cyril Abiteboul, déclarait en début de semaine que le rachat de Toro Rosso par le constructeur français était une "possibilité". "Je ne ferai pas de commentaires sur le nom d’une équipe, c’est évident", a déclaré Prost à F1i. "Mais il y a une analyse qui est en cours dans la mesure où un constructeur comme Renault, qui est en F1 depuis longtemps, doit, à un moment donné, voir quel est le meilleur scénario possible s’ils décident de rester en F1 ou non par rapport à l’investissement qui est fait, et ils le font régulièrement." "Ce n’est pas illogique d’avoir cette réflexion en ce moment. Donc, oui, Renault réfléchit à ses options." Prost déplore par ailleurs l’image négative qui est actuellement associée à Renault, alors que le motoriste a aussi joué un rôle important dans les huit titres mondiaux obtenus par Red Bull et Sebastian Vettel entre 2010 et 2013. "Pendant quatre ans, Renault a gagné quatre années de suite et on parlait plus de Red Bull que de Renault. C’est donc vrai qu’on peut se poser des questions. Pourquoi le fait-on ?" s’interroge le quadruple champion du monde français. StandF1.com
  15. FOURNIER11

    Le Quizz

    Oui Mike Beuttler Brabham BT28 au Trophée Gardes en septembre 1969.
  16. Ok quel chanceux tu nous fais !
  17. FOURNIER11

    Photos1968

    Oui CMTARGA de très belles images que j'apprécie. Pour moi aussi c'est une super année. Continue et si je peux de me joindrais à tes trouvailles et commentaires.
  18. Peut être @Michel Lovaty a t'il plus d'infos sur Gilles ?
  19. Moi aussi ce texte m'avait plus. En voici d'autres ! Toujours par Philippe Crépeau. On connait la suite : Villeneuve furieux, à la fois de se sentir trahi par son équipier et pas soutenu par son équipe, relança le projet de "Team Villeneuve" imaginé l'hiver précédent, avec Gérard Ducarouge comme directeur technique et son ancien compagnon d'écurie Jody Scheckter à la direction sportive. Au lieu de moteurs Renault, comme prévu à l'origine, il fut même question de moteurs Ferrari, alors que Maranello n'avait jamais partagé ses mécaniques auparavant. Selon notre collaborateur italien Alfredo Filippone, témoin des événements de Zolder en 1982, Villeneuve aurait eu le feu vert du Commendatore pour cette collaboration inédite. Plus de détails sur cette histoire méconnue dans la chronique d'Alfredo dans le dernier numéro de F1i Magazine actuellement en kiosque. Si Gilles avait survécu au sursaut d'orgueil suicidaire du 8 mai 1982 (il était reparti avec des pneus usés, sans aucune chance de battre le chrono établi par Pironi en pneus neufs), il aurait vraisemblablement quitté la Scuderia en 1983 pour emmener sa propre écurie. A condition évidemment de gommer l'accident de Didier à Hockenheim, qui décima Ferrari à l'été 1982. Avant même ce tragique coup du sort, Pironi semblait rongé par le remords à propos de la mort de Villeneuve. La suite lui réserva une fin peu enviable, faites d'opérations multiples et de longues périodes de convalescence durant lesquelles il plongea parfois dans une profonde déprime. En 1987, après s'être essayé au volant d'une AGS et même d'une Ligier, Didier Pironi comprit qu'il ne pourrait plus jamais courir en F1. Il se lança alors à corps perdu dans les courses d'offshore, en allant au bout de sa passion pour se crasher en mer, au large de l'île de Wight, à la fin de l'été 1987, il y aura bientôt 25 ans. Quelques mois plus tard, sa veuve Catherine donna naissance à deux jumeaux. Elle les a prénommés Didier et Gilles.
  20. Trente ans après la mort de Gilles Villeneuve, le mystère plane toujours autour de l'état d'esprit du pilote québécois dans les jours, les semaines et même les mois qui ont précédé le drame de Zolder. On sait que la cohabitation avec son équipier Didier Pironi devenait délicate, le pilote français ayant compris qu'il ne battrait pas Villeneuve à la régulière, en vitesse pure, et qu'il valait mieux prendre l'ascendant sur lui au sein de l'équipe. Le directeur sportif de la Scuderia, Marco Piccinini, avait même été le témoin du mariage du Français à l'intersaison (célébré par le jeune maire de Neuilly, un certain... Nicolas Sarkozy !), montrant ainsi une grande complicité. A contrario, il ne cachait plus une certaine lassitude face aux "figures" du Canadien, dont les performances allaient trop souvent - selon lui - en dents de scie. La trahison d'Imola, où Didier Pironi brisa le pacte qui voulait que les pilotes Ferrari restent sur leurs positions en cas de doublé, a été tolérée par Piccinini et même par le Commendatore en personne. "Je peux comprendre la frustration de Villeneuve", déclara Enzo Ferrari à l'époque, sans pour autant condamner la manoeuvre de Pironi.
  21. On a vraiment le même texte. Mais cherchons encore !
  22. Reste de la Ferrari. A noter que la voiture n'est pas coupée en deux, seul l'avant et l'arrière sont partiellement détruit. Ce qui tendrait à penser que le siège a été arraché ! Alors la rumeur était-elle fondée ? cela restera un mystère.
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