FOURNIER11

Tient toujours pas de réponse...La grève ?

Bravo à Ferrari, toutefois ne pas perdre de vue et cela fait parti de la course, sans safety car il aurait pu en être autrement. L'équipe Ferrari a super bien travaillé au niveau de la stratégie concernant la gestion des pneus et cela dès les qualifications. Le circuit en Chine devrait révéler les vraies forces en présence. Mais dès lors Ferrari a déjà atteint son objectif mini "gagner un GP".

Bérezina chez McLaren !

1 S. VETTEL Ferrari-Pirelli 1h41'05''793 Moy. : 184.2 km/h 2 L. HAMILTON Mercedes-Pirelli à 8''569 3 N. ROSBERG Mercedes-Pirelli à 12''310 4 K. RÄIKKÖNEN Ferrari-Pirelli à 53''822 5 V. BOTTAS Williams-Mercedes-Pirelli à 1'10''409 6 F. MASSA Williams-Mercedes-Pirelli à 1'13''586 7 M. VERSTAPPEN Toro Rosso-Renault-Pirelli à 1'39''085 8 C. SAINZ JR. Toro Rosso-Renault-Pirelli à 1 tour 9 D. KVYAT Red Bull-Renault-Pirelli à 1 tour 10 D. RICCIARDO Red Bull-Renault-Pirelli à 1 tour 11 R. GROSJEAN Lotus-Mercedes-Pirelli à 1 tour 12 F. NASR Sauber-Ferrari-Pirelli à 1 tour 13 S. PEREZ Force India-Mercedes-Pirelli à 1 tour 14 N. HÜLKENBERG Force India-Mercedes-Pirelli à 1 tour 15 R. MERHI Manor-Ferrari-Pirelli à 3 tours

Ice est à 53 secondes mais il a crevé !

Bertrand gachot sur Pacific Illmor GP de Grande Bretagne 1995

Et bien ça paye ! Première victoire de Vettel (que n'aime pas...on s'en fiche) sur LA Ferrari. Bravo d'avoir cassé le mano à mano mecredes, qui sont quand même 2é et 3è.

Alonso le pliote le plus rapide en dernière position avec une voiture à la traîne ! Quelle claque ! Il doit regretter la "scuderia" ! Non ?

Pour revenir à Ferrari...je pensais que cela fait 50 années qu'ils n'ont plus gagné au Mans ! J'aimerais qu'ils reviennent sérieusement. Il y a 2 ans Montezemolo l'avait laissé entrevoir. As-tu des infos ?

En tout cas voici la grille de départ. [th]Pos.[/th][th]Pilote[/th][th]Equipe[/th][th]Temps Q1[/th][th]Temps Q2[/th][th]Temps Q3[/th]01Lewis HamiltonMercedes AMG1:39.2691:41.5161:49.83402Sebastian VettelFerrari1:39.8131:39.6321:49.90803Nico RosbergMercedes AMG1:39.3731:39.3761:50.29904Daniel RicciardoRed Bull Renault1:40.5041:41.0841:51.54105Daniil KvyatRed Bull Renault1:40.5461:41.6651:51.95006Max VerstappenToro Rosso Renault1:40.7931:41.4301:51.98007Felipe MassaWilliams Mercedes1:40.5431:41.2301:52.47308Romain GrosjeanLotus Mercedes1:40.3031:41.2091:52.98009Valtteri BottasWilliams Mercedes1:40.2481:40.6501:53.17910Marcus EricssonSauber Ferrari1:40.3401:41.7481:53.26011Kimi RaikkonenFerrari1:40.4151:42.17312Pastor MaldonadoLotus Mercedes1:40.3611:42.19713Nico HulkenbergForce India Mercedes1:40.8301:43.02214Sergio PerezForce India Mercedes1:41.0361:43.46815Carlos SainzToro Rosso Renault1:39.8131:43.70016Felipe NasrSauber Ferrari1:41.30817Jenson ButtonMcLaren Honda1:41.63518Fernando AlonsoMcLaren Honda1:41.74519Roberto MerhiManor Ferrari1:46.67720Will StevensManor Ferrari- :—.--- Alonso partira dernier. Les 2 Manor sont éliminées en dehors des 107%

J'aime bien ce que tu écris ! Oui bien sûr le sport auto à toujours coûté cher, mais là tout dérape. Oui sombre personnage ! Déjà à l'époque de Jochen Rindt il faisait des "affaires".

Je réfléchis !!!

Que reste t'il en réalité de la F1 constructeurs. Mercedes et Ferrari. Le reste ce ne sont que des assembleurs. C'est peu. Si Ferrari partait pour aller vers les protos et les 24 h du Mans bien plus porteur lors d'une victoire, s'en serait fini de la F1. Enfin je le pense !

Pas mal, mais moi je crois à une réaction des constructeurs ! Si l'investissement ne vaut plus le coup en terme d'image et de retombées économiques certains partirons. Il restera Ferrari les vrais passionnés. Allez les rouges !!!

La F1 est en train de couler à Sepang lors des qualifications. McLaren coule à pic dès le début (les deux pilotes éliminés en Q1). Maintenant en Q2 la piste est impraticable. Report demain ? Sinon Rosberg devant.

Il est temps pour les constructeurs de peser de tout leur poids pour changer tout cela ! Car il ne faut pas compter sur la FIA.

Renault sur le départ ? Cyril Abiteboul, le directeur de Renault Sport F1, a annoncé vendredi en conférence de presse à Sepang que le constructeur français pourrait quitter la F1. «Je peux confirmer que nous étudions plusieurs options, y compris tout arrêter. Honnêtement, si la F1 devient néfaste à la réputation de Renault, si nous nous rendons compte que nous continuons à avoir des problèmes avec la formule actuelle, si les résultats ne sont pas à la hauteur de l'investissement... Nous pensons être un joueur crédible, mais il faut penser à ce que nous devons faire en plus pour rester au sommet. Cela dit, actuellement, la priorité est de se concentrer sur le moteur.» Ces déclarations arrivent dans un climat assez pesant entre Renault et Red Bull, qui achète les moteurs français. Après le Grand Prix d'Australie (Daniel Ricciardo 6e, abandon de Daniil Kvyat avant le départ), les dirigeants de l'écurie avaient ouvertement critiqué le motoriste. Cela dit, une autre possibilité à l'étude, complètement à l'opposé, est de voir Renault acquérir une écurie et, dans ce cas-là, Toro Rosso serait l'option la plus envisageable, comme l'a rappelé Franz Tost, le patron de l'écurie italienne : «L'équipe veut s'établir dans le futur parmi les cinq meilleures du championnat, et être la propriété d'un constructeur serait la prochaine étape idéale pour y parvenir.» L'équipe

CMTARGA je me suis permis d'éclaicir ta photo ! Il ne reste vraiment rien !

JP Jaussaud qui venait de descendre de la voiture lui avait conseillé de ne pas dépasser 8000 tr/mn...a-t'il été plus loin ? Mystère !

Les causes de l’accident étant attribuées à une prépondérance de poids sur l’avant, qui devenait gênante à grande vitesse, plusieurs configurations de capots arrière munis ou non de becquet, sont testées. Les 2 seules voitures qui ont pu être préparées pour les 24 Heures du 10 et 11 juin 1967 avaient un capot arrière pourvu d’un becquet qui chargeait le train propulseur.

La 630 BRM 01 n° 31 châssis 620 05 dit "la maudite""

8 avril 1967 : Le Drame du Mans chez Matra ! "Tout le monde est fatigué et tendu car il faut absolument être prêt pour les essais du Mans, aucun autre circuit n'offre une ligne droite aussi longue que les Hunaudières pour tester la 630. Dans ces mauvaises conditions, le vendredi 7 avril, Bernard (Boyer) fait régler les suspensions de la 630 en adoptant les valeurs qui donnaient satisfaction sur la 620. Par manque de temps, il ne suit ni ne vérifie le travail. La voiture fait ses premiers tours de roue, sans capot arrière, sur les voies de circulation de l'aérodrome de Villacoublay. La carrosserie, enfin terminée, est montée sur la voiture au moment de partir pour Le Mans. Samedi 8 avril, pour le premier jour des essais, Jean-Pierre Jaussaud prend le volant de la 630 qui roule pour la première fois avec sa carrosserie complète. De son coté, Roby Weber prend la piste avec la 620 équipée du moteur Ford 4,7 litres. Dès le début des essais, Jaussaud dénonce l'instabilité de la 630 alors que Weber ne rencontre aucun problème avec la 620. Sans notes précises prises sur le moment Bernard se sent incapable de reconstituer avec certitude les sensations décrites à chaud par Jaussaud. Son souvenir est celui de critiques envers un train avant trop guidé (ou d'un arrière sous-guidé) qui exagérait les corrections émises par le volant. Bernard préconise des évolutions, mais la voiture n'y répond pas avec logique. Sans appareil précis pour mesurer les réglages, Bernard s'éloigne des données de base, mais sans trouver la solution. De son côté, Jean-Pierre Jaussaud ne parvient pas à identifier formellement l'origine de l'instabilité. Dans cette situation imprécise, Bernard aurait logiquement du décider de suspendre les essais et de rentrer au garage pour tout vérifier et analyser clairement la situation. Pourquoi ne l'a-t-il pas fait ? C'est une question qu'il se pose encore. Pilote très doué et rapide, mais à l'expérience encore assez mince au volant de prototypes puissants, Roby Weber a-t-il exagéré l'aisance avec laquelle il s'était adapté à la 620 Ford, pour convaincre Jean-Luc Lagardère de le laisser essayer la 630 ? Dès son premier tour, ne le voyant pas repasser, Lagardère et Bernard vont prendre des nouvelles à la direction de course. Là ils apprennent l'accident et le décès de Roby. Lagardère est effondré. Pelletier, le responsable du service course de BP, tente de le réconforter et il doit même le secouer. Jean-Luc Lagardère était très choqué car il était très proche des pilotes dont il mesurait l'importance dans la réussite de son entreprise. Le soir même, au garage, il réunit le personnel déplacé au Mans pour ces essais. Il annonce que si un seul renonce il arrêterait la compétition. Personne n'a bronché." Les Matra 630 représentent un maillon essentiel de la chaîne menant à la victoire aux 24 heures du Mans, objectif fixé par Jean-Luc Lagardère en octobre 1965. Après les M620 qui se devaient pour des raisons marketing de ressembler à la 530, et qui firent une pâle apparition aux 24 Heures de 1966, la MS630 va naître sous la coupe entre autre de Bernard Boyer qui vient de quitter Alpine. Elf se joint alors au projet. Parallèlement aux projets du Mans et de Formule 2 et 3, il s’agit aussi pour Matra de se lancer dans la Formule 1 et de développer son propre moteur : un V12 dont une version 4.7litres pour les protos, les autres GT et les formules 2 et 3 de la gamme. Aux essais d’avril, Matra arrive avec une 620 équipée d’un V8 Ford de 4.7litres et la nouvelle 630, équipée du nouveau V8 BRM dont la cylindrée est passée de 1915 à 1998 cm3 et dont les échappements sont maintenant logés au centre du V. Les lignes de cette nouvelle version se différencient de celles de la Matra 530 GT apparue un mois plus tôt au salon de Genève, les services commerciaux n’ayant plus exigé que la nouvelle voiture de course s’en inspire. Cette Matra 630 se singularise par sa carrosserie redessinée dont les ailes avant plongent brutalement afin de dégager les énormes bouches d’air des radiateurs latéraux. C’est Jean-Pierre Jaussaud qui prend d’abord les rênes de ce nouveau bolide, et constate une instabilité en ligne droite. Le jeune Robby Weber, prendra à son tour le volant pour essayer de comprendre le comportement douteux de la voiture, mais sur la ligne droite des Hunaudières la voiture se retourne et brûle instantanément, tuant son pilote. Les causes de l’accident étant attribuées à une prépondérance de poids sur l’avant, qui devenait gênante à grande vitesse, plusieurs configurations de capots arrière munis ou non de becquet, sont testées. Les 2 seules voitures qui ont pu être préparées pour les 24 Heures du 10 et 11 juin 1967 avaient un capot arrière pourvu d’un becquet qui chargeait le train propulseur. Témoignage de Jean-Pierre Jaussaud Enfin, pouvez-vous nous parler de votre plus mauvais souvenir des 24 Heures du Mans ? « Je crois que cela remonte aux essais d'avril 1967, avec le décès de Roby Weber. Il s'est tué avec la voiture que j'ai pilotée toute la journée en m'étant fait très très peur. 15 minutes avant la fin de mes essais, je venais enfin de comprendre pourquoi la voiture était inconduisible au-delà de 8000 tours minute ! En effet, j'ai observé dans mes rétroviseurs que l'arrière de ma Matra se levait car je pouvais observer le ciel dans mes rétros ! Je m'en expliquais avec M. Jean-Luc Lagardère et certains ingénieurs de chez Matra qui ne voulaient pas croire que l'arrière de l'auto puisse ainsi se délester car il y a avait tout sur l'arrière : moteur, boite, essence, huile.... ! Pendant cette discussion, Roby Weber quitte le volant de sa Matra 620 Ford pour quelques tours pour prendre, dans mon dos, celui de ma Matra 630 BRM V8 2l ! Quand je m'aperçois de cela, je me précipite vers Roby en lui disant : "Roby ne dépasse surtout pas 8000 tours, au-delà tu ne la contrôles plus". Roby, qui avait le 3e temps sur sa Matra Ford, pensait sûrement qu'il ferait mieux que moi dans mon auto ! Hélas, il ne fera pas un tour complet. Il sortira de la route avec la Matra, se tuant sur le coup ». Le lendemain avec la 620 BRM je ferais un tour de circuit au ralenti pour Roby.

Oui c'est très juste. Elle fut donc pilotée par JP Jaussaud le lendemain de l'accident de Roby Weber sur la n° 31 630 BRM., en hommage à Roby il tournera très lentement !

J'adore les discours vite faits de ces Grosses têtes qui dirigent aujourd'hui ! "Oui on regarde vers l'avenir pas le passé", on trouve cela partout chez ces gens là ! En tout cas j'espère que si Peugeot revient il laisserons leurs poêle à mazout au musée !

Excellent ! Bernie ne se rend plus compte ! Et cela fait longtemps. Les époques changent. Fric et pubs font dorénavant la loi ! Merci à Fourneyron d'avoir résisté. Et à toi d'avoir lu "le Monde" !