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Tom Kristensen est un pilote automobile danois né le 7 juillet 1967 à Hobro. Il est notamment connu pour avoir remporté à neuf reprises les 24 Heures du Mans, un record, ce qui lui vaut le surnom de Monsieur Le Mans. Kristensen effectue ses débuts en compétition en 1984 en karting et devient vice-champion du monde en 1989. Il passe à la monoplace en 1990, en intégrant le championnat d'Allemagne de Formule 3, formule dans laquelle il est sacré en 1991. Il part au Japon en 1992 pour participer à plusieurs championnats en monoplace et en grand-tourisme (GT). Il est sacré champion du Japon de Formule 3 en 1993. De 1994 à 1995, il participe au championnat du Japon de voitures de tourisme et également en F3000 japonaise. Il est vice-champion en tourisme en 1994, puis vice-champion en F3000 en 1995. En 1996 et 1997, il partage son temps entre l'Europe et le Japon, mais ne réussit pas à réaliser de coups d'éclats dans les différents championnats auxquels il prend part. Nommé pilote essayeur de Minardi en Formule 1, il pilote pour Audi Sport Team Joest durant les 24 Heures du Mans 1997 avec aucune expérience de la voiture, mais décroche la victoire. En 1998 et 1999, il retente sa chance durant les 24 Heures du Mans avec BMW mais ne parvient pas à retrouver le chemin de la victoire. En parallèle, il devient pilote essayeur Tyrrell, Williams et Jaguar. De 2000 à 2005, de nouveau avec Audi Sport Team Joest, il remporte six 24 Heures du Mans consécutives, avec sept équipiers différents, ce qui fait de lui le recordman de l'épreuve devant Jacky Ickx. En parallèle, il est sacré champion American Le Mans Series 2002 (ALMS). Il remporte également les 12 Heures de Sebring, aux États-Unis plusieurs fois, et fait ses débuts en Deutsche Tourenwagen Masters (DTM), poussé par Audi. Il y inscrira quelques victoires en six saisons. De nouvelles victoires aux 12 Heures de Sebring et surtout aux 24 Heures du Mans (la dernière en 2013) le font rentrer un peu plus dans l'histoire. En plus de ses neuf victoires aux 24 Heures du Mans (record), et de ses six succès aux 12 Heures de Sebring (record), Tom Kristensen est sacré champion du monde d'endurance en 2013. Il prend sa retraite à l'issue de la saison 2014.
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Loïc Duval (né le 12 juin 1982 à Chartres, France) est un pilote automobile français. Après plusieurs années de karting, Loïc Duval a débuté sa carrière en sport automobile en 2002, à l'âge de 19 ans, dans le championnat de France de Formule Campus. Sacré champion dès sa première année dans la discipline, il passe en 2003 dans le championnat de France de Formule Renault 2.0, où il décroche un nouveau titre. En 2004, avec le soutien du Renault Driver Development (la structure mise en place par Bruno Michel et Flavio Briatore pour dénicher les futurs pilotes du Renault F1 Team), il intègre les rangs du relevé championnat de Formule 3 Euroseries, au sein de l'écurie française Signature. Deux années durant, il lutte régulièrement dans la première partie du peloton, mais sans parvenir à remporter la moindre course, ce qui lui vaut de perdre fin 2005 le soutien du RDD. Son horizon sportif semblant bouché en Europe, il s'exile au Japon à partir de 2006, suivant le chemin tracé par Érik Comas et de nombreux autres pilotes français. Recruté par l'écurie de l'ancien pilote Satoru Nakajima, il s'impose rapidement comme l'un des acteurs majeurs du championnat de FormulaNippon , qu'il termine à la quatrième place finale avec deux succès au compteur dès sa première saison. Il connaît un peu moins de réussite en 2007, avec la sixième place, mais sans victoire. Parallèlement, comme la plupart des pilotes de Formula Nippon, il participe au championnat de Super GT. Lors de l'hiver 2006-2007, il intègre également l'équipe de France de A1 Grand Prix, d'abord dans un rôle de pilote de réserve (derrière Nicolas Lapierre) puis en tant que pilote titulaire en fin de championnat. Il disputera la totalité de la saison 2007-2008. Lors de l'année 2008, il se fait remarquer en devenant le meilleur jeune des 24 Heures du Mans et en terminant 8e au général. En 2009, il devient champion de Formula Nippon avec trois victoires (lors des deuxième et cinquième manches à Suzuka et lors de la quatrième manche à Fuji) et deux pole positions (lors de la quatrième manche à Fuji et de la cinquième manche à Suzuka) pour un total de 51 points, avant la dernière course de l'année qui doit se disputer à Sugo les 26 et 27 septembre. Il participe au 24 Heures du Mans 2010 et 2011 sur une Peugeot 908 du Team Oreca-Matmut avec Olivier Panis et Nicolas Lapierre. Il participe ensuite aux 24 Heures du Mans 2012 sur une Audi R18 et il est vainqueur des 24 Heures du Mans 2013 sur Audi R18 e-tron quattro. En parallèle de son programme en championnat du monde d'endurance FIA, il signe en 2015 avec Dragon Racing pour réaliser la course de Miami en Formule E.
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Romain Dumas (né le 14 décembre 1977 à Alès, Gard) est un pilote automobile français. Romain Dumas découvre la compétition automobile par le biais du karting en 1992. En 1996, il fait ses débuts en monoplace en disputant le championnat de France de Formule Renault, puis en 1998, celui de Formule 3. En 1999, il dispute la Formule Palmer Audi et tente de se qualifier pour une manche de Formule 3000 pour l'équipe Oreca. En 2001 et 2002, il dispute le championnat Euro Formule 3000. Fin 2002, après avoir terminé vice-champion en Euro Formule 3000, il réalise des tests pour l'équipe de Formule 1 Renault. En 2004, il essaye une monoplace du Conquest Racing en Champ Car, mais il n'a jamais couru dans une de ces deux disciplines. Depuis 2001 il a participé à chacune des éditions des 24 Heures du Mans et de 2004 à 2008, il a disputé le championnat American Le Mans Series. En 2007, il remporte les 24 Heures du Nürburgring et, avec Emmanuel Collard et Jean-Christophe Boullion, termine troisième des 24 Heures du Mans au volant de la Pescarolo n° 16. Puis, à l'automne, Romain remporte le championnat ALMS aux USA en LMP2 après avoir triomphé à de multiples reprises au volant de la Porsche spyder du Team de Roger Penske, s'offrant même le luxe de battre plusieurs fois les Audi R10. Il totalise 21 victoires pour 49 courses disputées en ALMS, dont un succès dans la prestigieuse épreuve des 12 Heures de Sebring en 2008. En 2009, Roger Penske ayant perdu des sponsors pour disputer la saison ALMS, Romain Dumas rejoint l'équipe Audi pour disputer les 24 Heures du Mans, mais il ne termine que 17e cette année-là. Toutefois en 2010, il remporte les 24 Heures du Mans avec Timo Bernhard et Mike Rockenfeller. Il est également le second pilote, après Luigi Chinetti en 1949, à remporter les 24 Heures du Mans et les 24 Heures de Spa à la suite. Romain est également un grand amateur de rallye automobile. Il participe au championnat de France lorsque son emploi du temps le lui permet. Il a débuté sur une Porsche 996 GT3 en 2007 avant de passer sur une Porsche 997 GT+ dérivée du circuit en 2011. Il reste sur deux podiums consécutifs au rallye Lyon-Charbonnières, en 2011 et 2012. Il court également de temps en temps sur des épreuves nationales en Corse, et dans le sud de la France notamment au Critérium des Cévennes. Romain Dumas sur une Porsche 911 GT3 RS du groupe GT de série
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Takuma Satō , Satō Takuma[size=13]?, né le 28 janvier 1977 à Tōkyō) est un pilote [/size]automobile japonais, qui a disputé le championnat du monde de Formule 1 entre 2002 et 2008. Sans volant en Formule 1 à la suite de l'arrêt de l'activité de l'écurie Super Aguri Formula 1 Team pour laquelle il courait depuis 2006, il court depuis 2010 en IndyCar Series. Ce n'est qu'en 1996 que ce grand amateur de vélo (adolescent, il rêvait de disputer le Tour de France) effectue ses débuts dans les sports mécaniques. Après une première année de karting, il s'inscrit en 1997 au championnat organisé par la Honda Suzuka Racing School. Victorieux, il se voit offrir par Honda un baquet pour le championnat du Japon de Formule 3 chez Dome, mais Takuma préfère décliner l'offre et part commencer sa carrière en Europe. En 1998, Takuma fait ses premiers pas en sport automobile dans le championnat britannique de Formule Vauxhall, puis, en 1999, il dispute le championnat de Formule Opel Euroseries, qu'il termine à la sixième place. En fin d'année, il participe à quelques épreuves de Formule 3. À partir de la saison 2000, Sato est engagé à temps plein dans le championnat britannique de Formule 3, au sein de la puissante équipe Carlin Motorsport. Avec cinq victoires, il termine la saison à la troisième place. Ses belles performances attirent l'œil de Honda, qui le place en 2001 chez BAR-Honda en qualité de pilote essayeur. Parallèlement à ses essais en Formule 1, il dispute en 2001 une nouvelle saison en F3 britannique, et remporte aisément le titre, avec 12 victoires. En outre, il s'impose dans des courses de prestige telles que les épreuves internationales de Spa-Francorchamps, les Masters de Zandvoort et le Grand Prix de Macao. En 2002, toujours soutenu par Honda, Takuma fait ses grands débuts dans le championnat du monde, chez Jordan. Auteur de prestations brouillonnes, et nettement dominé par son coéquipier Giancarlo Fisichella, il sauve sa saison en décrochant en fin de saison une belle cinquième place à Suzuka. C'est également l'occasion pour Sato, qui a effectué toute sa carrière en Europe, de se faire connaître du public japonais. Honda et Jordan se séparant fin 2002, Sato se retrouve sans volant de titulaire en 2003. Il reprend tout de même son poste de pilote essayeur chez BAR-Honda. Le limogeage en fin de saison du Québécois Jacques Villeneuve lui permet de disputer le GP du Japon et comme l'année précédente, il s'y distingue en terminant 6e. Titularisé chez BAR en 2004, le Japonais connaît une saison de contraste : rapide en qualification où il parvient plus d'une fois à soutenir la comparaison avec son réputé coéquipier Jenson Button, il fait également preuve en course d'un sens de l'attaque qui réjouit le public, mais gâche plusieurs performances par la faute de son impétuosité. Il est également victime au cours de la première moitié de saison d'une mystérieuse épidémie de moteurs cassés. Il signe son meilleur résultat au GP des États-Unis, qu'il termine sur la troisième marche du podium derrière les Ferrari. Lors de la deuxième moitié de saison, plus régulier, il inscrit régulièrement des points et contribue à la deuxième place finale du BAR au classement des constructeurs. Avec 34 points, il boucle sa saison au huitième rang mondial. Très attendu en 2005, Sato va fortement décevoir. Nettement dominé par Button, et auteur de nombreuses erreurs, il ne marque qu'un seul point alors que Button en a inscrit 37. Assez logiquement, et malgré le rachat de BAR par Honda, il est remplacé pour la saison 2006 par l'expérimenté pilote brésilien Rubens Barrichello. L'éviction de Sato créant un important mouvement de contestation au Japon parmi les amateurs de sport automobile, Honda, craignant pour son image, est amené à trouver rapidement une solution de repli pour son protégé. C'est dans ces circonstances que l'équipe Super Aguri Formula 1 Team est créée en un temps record et que Takuma Sato en est intronisé premier pilote en 2006. Malgré un matériel dépassé (la SA05 n'est autre qu'une Arrows de 2002, adaptée à la réglementation technique 2006) qui le condamne aux dernières lignes, il séduit les observateurs par sa combativité. En 2007, les progrès de Super Aguri (qui aligne une voiture conçue sur la base de la Honda de l'année précédente) lui permettent d'inscrire les premiers points de la petite écurie japonaise. Arrivé huitième du Grand Prix d'Espagne, il réalise sa meilleure prestation de l'année quelques semaines plus tard au Grand Prix du Canada qu'il termine en sixième position après s'être défait de la McLaren du champion du monde en titre Fernando Alonso dans les derniers tours. Sa deuxième partie de saison s'avère plus délicate : non seulement il subit la baisse de performance de son écurie, qui faute de ressources financières est contrainte de geler son développement technique, mais il commence en outre à souffrir de la comparaison avec son équipier anglais Anthony Davidson, régulièrement plus rapide en qualifications. Sato reste chez Super Aguri en 2008 pour une troisième saison. Mais après une inter-saison quasiment vierge d'essais privés en raisons des problèmes financiers de l'écurie, puis quatre courses passées dans l'anonymat du fond de grille, Super Aguri est contrainte de cesser son activité à la veille du Grand Prix de Turquie, laissant ses deux pilotes sans volant. Takuma Sato retrouve un volant au mois de septembre 2008 à l'occasion d'un test d'évaluation avec la Scuderia Toro Rosso en vue d'une place pour la saison 2009 mais le Français Sébastien Bourdais est finalement reconduit. En 2010, après avoir cherché sans succès un volant en championnat du monde de Formule 1, Sato s'engage en IndyCar Series au sein de l'écurie KV Racing Technology. Sa saison est moyenne puisque qu'il ne termine que six courses sur dix-huit. Sur le circuit urbain de Sao Paulo où il s'est qualifié en dixième position, il rate un freinage lors du départ et crée un gros crash dans le peloton. À Saint Petersbourg, il s'encastre dans le mur alors qu'il était dans les dix premiers. À Barber Motorsports il se qualifie en sixième place mais son moteur le trahit en course (il sera réparé mais Sato, à la dixième place à deux tours de l'arrivée, s'accroche avec Danica Patrick et repartira avec plusieurs tours de retard). Au Kansas Speedway, pour sa première course sur circuit ovale, Sato atteint la sixième place en fin de course mais, lors du dernier restart, s'accroche avec son compatriote Hideki Mutoh. Sur l'Iowa Speedway, il se crashe alors qu'il était en troisième position. Sur le circuit routier de Mid-Ohio, il se qualifie en troisième position mais abandonne en course lors d'une tentative de dépassement. À Sonoma, il effectue une course sage et finit en dix-huitième position. Sato réussit à faire une course solide à Edmonton où il finit neuvième et à Motegi au Japon où il termine douzième. Il n'inscrit que très peu de points pour pointer au vingt-et-unième rang du championnat. Malgré cette saison décevante en termes de résultats pour un ancien pilote de Formule 1, Jimmy Vasser accorde une nouvelle fois sa confiance au pilote nippon. Bien décidé à montrer qu'il mérite sa place, Sato réussit une saison bien plus correcte que la précédente. Dès la première manche il signe la cinquième place à Saint-Pétersbourg. Il crée la surprise à Sao Paulo où il profite de conditions météorologiques chaotiques pour mener une grande partie de la course et passe la ligne d'arrivée à la septième position à cause d'une erreur stratégique. Le Japonais signe même deux pole positions à l'Iowa et à Edmonton, devenant ainsi le premier japonais à décrocher une pole dans le championnat. À l'Iowa, il perd le contrôle de sa voiture alors qu'il est quatrième et à Edmonton il se fait harponner par Ryan Hunter-Reay alors qu'il se trouvait en seconde position. Sato ne connaît que deux abandons en 2011, et signe sept top 10 et trois top 5 (à Saint-Pétersbourg, au Texas Motor Speedway, et à Mid-ohio). Il a mené 61 tours et finit treizième du classement général. KV Racing Technology souhaite le conserver pour la saison 2012 mais le passage au moteur Chevrolet est problématique vis-à-vis de Honda, la carrière de Sato étant totalement liée à Honda puisqu'il n'a jamais conduit une voiture motorisée par une autre marque en compétition. Le Japonais signe alors un contrat d'une saison avec le Rahal Letterman Lanigan Racing qui fait son retour dans la série pour la saison 2012. Pendant les négociations le Japonais effectue des tests pour l'équipe au volant de la nouvelle monoplace du championnat, la DW12, baptisée ainsi en l'honneur de Dan Wheldon. Les ingénieurs se disent très satisfait de son retour technique et les tractations sont rapidement réglées. Bobby Rahal déclare qu'il veut que son équipe gagne une, voire plusieurs courses dès cette saison, ce qu'il pense pouvoir faire avec Sato. Takuma Satō se montre en meilleure forme qu'en 2010 et en 2011 : il s'améliore en qualifications et obtient son premier podium à Sao Paulo. Cependant, tout comme en 2010, il n'est pas épargné par les abandons ou la malchance : à Long Beach il tient la troisième place avant qu'un accrochage dans le dernier tour ne ruine ses espoirs de podium et, aux 500 miles d'Indianapolis, il se montre très performant durant toute la course et joue la victoire mais sort de la piste dans le dernier tour alors qu'il essayait de prendre la tête face à Dario Franchitti. Après l'échec de l'Indy 500, il connaît une série de trois abandons consécutifs alors qu'il était bien placé pour jouer le top 5. Il retrouve le chemin des points en terminant douzième sur l'ovale de Iowa puis neuvième à Toronto. À Edmonton, il décroche le second podium de sa carrière, puis, à Mid-Ohio, termine treizième. Il connaît ensuite deux abandons consécutifs à Sonoma et Baltimore. Enfin, pour la dernière course de la saison, sur l'ovale de Fontana, il bataille dans les derniers tours pour la quatrième place avec Ryan Hunter-Reay et sort de la piste dans le dernier tour : il franchit néanmoins la ligne d'arrivée à la septième place et termine le championnat quatorzième avec 281 points. Pour la saison 2013, Takuma Sato rejoint AJ Foyt Enterprises et, après un début de saison discret, où il ne termine que huitième à St Petersburg puis quatorzième en Alabama, il remporte sa première victoire en Indycar Series et devient le premier pilote japonais à remporter une course dans la discipline nord-américaine lors de la troisième manche de la saison, à Long Beach. Il termine ensuite deuxième à Sao Paulo où il s'incline dans le dernier virage face à James Hinchcliffe. A l'Indy 500, Takuma Sato termine treizième, malgré un tête à queue en pleine course. La course suivante à Detroit est difficile : il ne termine que dix-neuvième lors de la première manche et abandonne lors de la deuxième épreuve. Ensuite, il termine onzième au Texas puis retrouve le top 10 en finissant septième à Milwaukee. Malheureusement, Takuma Sato connait par la suite une série noire de quatre abandons consécutifs, qui le font chuter au classement général. Il retrouve le chemin des points en finissant vingt-deuxième à Mid-Ohio mais connait de nouveau quatre abandons consécutifs, à Sonoma, Baltimore et aux deux manches à Houston, où il s'accroche violemment avec Dario Franchitti. Il réalise néanmoins la pole position lors de la première manche à Houston. Enfin, pour la dernière course de la saison, à Fontana, il abandonne de nouveau et termine le championnat dix-septième avec 322 points. En 2014, Takuma Satō signe chez Amlin Aguri pour la Formule E, le championnat de monoplaces électriques.
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Yuji Ide, (né le 21 janvier 1975 à Saitama, Japon - est un pilote automobile japonais. Yuji Ide commence sa carrière de pilote par le biais du karting, en 1990. Passé à l'automobile en 1994, il dispute les championnats japonais de Formule 3 et de Grand Tourisme. Après une incursion victorieuse en 1999 dans le championnat de Formula Dream où il termine champion, il revient à la Formule 3 en 2000 et devient vice-champion du Japon. Septième du championnat de France de Formule 3 en 2002, au sein de l'équipe Signature Team, il rentre au Japon participer au championnat de Formula Nippon ; septième du championnat pour sa première saison dans la catégorie en 2003, Yuji Ide termine troisième en 2004 avec une victoire. En 2005, il prend la deuxième place du championnat avec deux victoires. Considéré comme une valeur sure du sport automobile japonais, Yuji Ide est choisi, début 2006, à de 31 ans, pour débuter en Formule 1 au sein de la nouvelle écurie japonaise Super Aguri F1, créée en un temps record par l'ancien pilote japonais Aguri Suzuki, avec le soutien de Honda. Au volant d'une monoplace qui date de 2002 (Super Aguri ayant racheté les anciennes monoplaces de la défunte écurie Arrows), Ide est logiquement réduit à se battre en fond de grille. Toutefois, l'important écart de performance avec son coéquipier Takuma Satō, son manque de maîtrise en piste et le fait de mal parler l'anglais lui valent d'être rapidement contesté. Les critiques culminent à l'issue du Grand Prix de Saint-Marin où il provoque la violente sortie de piste du pilote Midland F1 Racing Christijan Albers après une mauvaise manœuvre. Plusieurs figures emblématiques de la Formule 1, dont Stirling Moss, demandent la suspension de sa superlicence. Quelques jours avant le Grand Prix d'Europe, suivant les recommandations de la FIA, son employeur le remplace par Franck Montagny puis, le 10 mai 2006, la FIA annonce qu'elle suspend la superlicence de Ide jusqu'à la fin de la saison. Depuis juillet 2006, Yuji Ide est de retour dans le championnat de Formula Nippon et fait quelques apparitions en Super GT. Il a notamment réalisé une deuxième place aux 1000 km de Suzuka 2008.
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Franck Montagny est un pilote automobile français né le 5 janvier 1978 à Feurs. Il a notamment pris le départ de sept Grands Prix de Formule 1 en 2006 au sein de l'écurie japonaise Super Aguri F1. Depuis 2013, il est consultant-envoyé spécial sur les Grands Prix pour la chaîne Canal+, diffuseur de la Formule 1 en France. En 2014, Andretti Autosport le recrute pour participer aux débuts du nouveau championnat de monoplaces électriques, la Formule E. Franck Montagny débute sa carrière en sports mécaniques par le karting en 1988 et devient champion de France cadet de la discipline en 1992. Il passe au sport automobile en 1994 et réussit ses débuts en remportant la même année le championnat de France de Formule Campus. L'année suivante, il intègre les rangs du championnat de France de Formule Renault qu'il termine à la 4e place, devenant le meilleur débutant de l'année. Il vise le titre en 1996 mais un grave accident lors d'une course au Mans l'oblige à tirer un trait sur la majeure partie de sa saison. En 1997, il s'engage en championnat de France de Formule 3 et à nouveau termine à une honorable 4e place au championnat pour sa première saison. En 1998, il échoue à conquérir le titre de champion, battu par le Belge David Saelens. Montagny se fait néanmoins remarquer au niveau international en signant la pole position des Masters de Zandvoort de Formule 3. Il poursuit logiquement son ascension en participant à partir de 1999 au championnat international de Formule 3000. Au sein d'une écurie DAMS loin de son niveau d'antan, Montagny n'a guère l'occasion de se mettre en valeur. Après deux années décevantes qui mettent sa carrière en péril, il choisit de s'exiler en Espagne pour disputer les World Series by Nissan à partir de 2001. Dès la saison 2002 il est devenu un des ténors du championnat qui s'est entre-temps internationalisé et dont le niveau est désormais équivalent voire supérieur à celui de la F3000 internationale. Fin 2002, à l'issue d'un test comparatif avec trois autres pilotes (Sébastien Bourdais, Tiago Monteiro et Romain Dumas), Montagny devient pilote essayeur de l'écurie Renault F1 Team de Formule 1. En 2003, parallèlement à sa victoire dans le championnat de Nissan World Series, il est le quatrième pilote de Renault (Allan McNish étant le troisième pilote), puis devient pilote essayeur à temps plein en 2004 et 2005. Chez Renault, Montagny, s'il a la satisfaction de participer aux titres mondiaux de la marque au losange, ne parvient pas à accéder au poste de titulaire. Malgré une séance d'essais pour le compte de l'écurie Jordan à l'occasion du GP d'Europe en 2005, il ne décroche pas là encore de contrat de titulaire en F1. En 2006, Renault ne renouvelant pas son contrat de troisième pilote préférant miser sur le jeune espoir finlandais Heikki Kovalainen et après avoir tenté sans succès de se tourner vers le Champ Car (Franck réalise des essais prometteurs pour le compte des écuries Rocketsports et PKV Racing, mais ne parvient pas à apporter le complément budgétaire requis), Montagny se résout à se contenter d'un programme en Endurance et signe avec l'écurie Pescarolo Sport pour disputer en juin les 24 Heures du Mans (épreuve à laquelle il a déjà participé à six reprises) aux côtés de Sébastien Loeb et Eric Hélary. Montagny ne perd toutefois pas totalement le contact avec la F1 puisqu'il est engagé en début d'année par la nouvelle écurie Super Aguri F1 en tant que troisième pilote pour les premiers GP de l'année. La petite équipe japonaise ne disposant pas de troisième voiture, il s'agit plus d'un rôle de consultant que de pilote d'essais. Cette collaboration avec Super Aguri semble sans lendemain jusqu'à ce que quelques jours avant le GP d'Europe 2006, la FIA demande à Aguri Suzuki de ne plus faire rouler son pilote néophyte en F1 Yuji Ide dont la conduite est jugée dangereuse. Super Aguri se tourne alors vers Franck Montagny pour le remplacer. Le 7 mai 2006 au Nurburgring, Franck participe à son premier GP en s'élançant de l'avant-dernière position sur la grille de départ (mais en signant le dernier temps) au volant de la Super Aguri-Honda. Auteur d'un solide début de course, proche de son coéquipier Takuma Satō, il est victime d'une casse moteur au 35e tour. Le 10 mai 2006, alors que la FIA suspend jusqu'à la fin de saison la super-licence de Ide, Montagny est confirmé pour le GP d'Espagne (après des essais laborieux, Montagny se reprend en course en signant un superbe départ, mais est à nouveau trahi en course par sa mécanique) et le prestigieux GP de Monaco (qu'il termine dernier classé). Puis, le 23 mai 2006, peu avant le GP de Monaco, Super Aguri titularise Montagny pour les Grand Prix automobile de Grande-Bretagne, du Canada et des États-Unis. Malgré des performances satisfaisantes et après une ultime apparition en course à l'occasion du GP de France, Montagny doit céder sa place au pilote nippon Sakon Yamamoto, dont la présence aux côtés de Satō était vivement souhaitée par les sponsors de l'équipe très attachés à l'idée d'un duo de pilotes japonais. C'est en qualité de troisième pilote, avec la possibilité de rouler lors des essais du vendredi, qu'il termine la saison. Sportivement frustrante compte tenu du faible niveau de compétitivité de son matériel, la saison 2006 de Montagny chez Super Aguri n'entache pas sa réputation, mais confirme au contraire ses qualités de metteur au point qui lui permettent d'être recruté par Toyota F1 Team en tant que pilote essayeur pour la saison 2007. Le manque de compétitivité de Ralf Schumacher, l'un des deux titulaires de l'équipe, alimente un temps les rumeurs de titularisation de Montagny, mais a surtout pour effet de conduire le pilote allemand à effectuer plus d'essais privé que prévus, réduisant d'autant le roulage du Français, qui quitte l'écurie japonaise en fin de saison. Au mois de décembre, il fait partie des nombreux pilotes qui essayent la Force India en vue de décrocher une place de titulaire pour la saison 2008, mais l'équipe indienne opte finalement pour Giancarlo Fisichella. En février 2008, il participe sur le tracé de Sebring en Floride à des tests collectifs pour le compte de l'équipe de Champ Car Forsythe/Pettit Racing. Ses excellents chronos semblent devoir lui permettre de décrocher un volant de titulaire pour la saison 2008, mais l'arrêt du Champ Car et l'impossibilité pour le Forsythe Racing de rejoindre le championnat unifié IndyCar Series en raison de difficultés financières le laisse sans volant. Avec Forsythe, il participe tout de même au Grand Prix de Long Beach (dernière manche de l'histoire du Champ Car, intégrée au calendrier de l'IndyCar Series) qu'il termine en deuxième position. Il effectue ensuite quelques apparitions dans le championnat A1 Grand Prix, puis participe aux 24 Heures du Mans qu'il termine à la 3e place au volant de l'une des trois Peugeot 908 et en équipage avec Christian Klien et Ricardo Zonta. Quelques jours après les 24 Heures du Mans, il est recruté par l'écurie Andretti Green Racing pour terminer la saison d'American Le Mans Series. Il devient le premier pilote de l'Acura n°26, son équipier étant amené à changer au fil des courses. En 2009, il prend la deuxième place des 12 Heures de Sebring en compagnie de Sébastien Bourdais et de Stéphane Sarrazin à 22 secondes des vainqueurs Dindo Capello, Tom Kristensen et Allan McNish. Il remporte avec Stéphane Sarrazin la course américaine de Petit Le Mans. 24 HEURES U MANS 2010 - La 908 PEUGEOT de Franvk MONTAGNY En 2010, il remporte pour la deuxième année consécutive le Petit Le Mans en compagnie de Stéphane Sarrazin et Pedro Lamy. Cette course est inscrite au championnat ILMC avec les 1 000 kilomètres de Zhuhai qu'il remporte en compagnie de Stéphane Sarrazin. En 2011, il remporte pour la troisième année consécutive le Petit Le Mans en compagnie de Stéphane Sarrazin et Alexander Wurz sur Peugeot 908. À la suite du retrait de Peugeot Sport en 2012, il se retrouve sans volant et devient consultant de l'émission Dimanche F1 sur Eurosport. En mai, il est engagé par Level 5 Motorsports pour courir en ALMS puis aligné dans l'OAK Pescarolo 01 - Judd aux 24 Heures du Mans où il remplace Guillaume Moreau, blessé. En 2013 et 2014, il est présent, aux côtés de Thomas Sénécal et Laurie Delhostal, sur la grille et dans les stands en tant que consultant lors des Grands Prix de Formule 1 pour Canal+. Franck Montagny, qui avait fait part de son envie de participer au nouveau Championnat de Formule E FIA en s'inscrivant au Driver's Club, est titularisé par Andretti Autosport, l'écurie avec laquelle il a couru en Grand-Am en 2008 et à Sonoma en 2009. Lors de la manche uruguayenne, Franck Montagny laisse sa place à Jean-Éric Vergne annonçant simplement qu'il était malade. Il révèle finalement mal vivre depuis plusieurs mois et sa séparation avec sa femme et avoir été contrôlé positif à un dérivé de la cocaïne lors de la manche de Formule E en Malaisie : « À la sortie de l'épreuve, je vois le gars du contrôle qui me fait signe. Là, dans ma tête, j'ai compris de suite. Je savais que c'était mort. J'ai repris l'avion. J'ai fait des courses pour deux jours, pour ne pas sortir, être seul, chez moi, entre mes quatre murs. Puis j'ai appelé mes parents pour leur expliquer. J'avais honte. » Montagny, suspendu à titre conservatoire avant de connaître la nature de sa sanction conclut ainsi : « Le sport auto, c'est peut-être fini pour moi. […] après l'arrêt du programme Peugeot en Endurance, c'était déjà difficile. Je ne sais pas décrocher mon téléphone et me vendre. J'avais déjà commencé à ranger à la cave les casques et les quelques coupes que j'avais. Aujourd'hui, je peux dire que je suis allé en F1, j'ai roulé en F1, j'ai couru en Grand Prix, j'ai couru en Endurance, j'ai gagné des courses, je n'ai pas été champion mais j'étais rapide. J'ai couru parfois avec la jambe cassée, avec des côtes cassées, sans jamais rien dire, sans que cela n'affecte mes performances car, dans la voiture, une fois casqué, j'étais bien. »
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Maria Grazia Lombardi, dite Lella Lombardi, née le 26 mars 1941 à Frugarolo, en Italie, et décédée le 3 mars 1992 à Milan, était une pilote automobile italienne. Grâce à sa sixième place lors du Grand Prix d'Espagne 1975, elle est devenue la seule femme à être classée au championnat du monde de Formule 1 (21e avec 0,5 point). En 1975, elle participe également aux 24 Heures du Mans et aux 1 000 kilomètres de Monza (1res en catégorie 2L.) avec la Française Marie-Claude Charmasson (sur Alpine A441), revenant au Mans en 1976 (avec Christine Dacremont, 20e), 1977 (voir ci-dessous) et 1980 (avec le fils de Margaret Thatcher, Mark). Lella Lombardi reste la seule femme à avoir terminé un Grand Prix de Formule 1 dans les points, en Espagne en 1975 (où elle se classe 6e, sur une March). Néanmoins, ce Grand Prix ayant été interrompu avant les deux tiers de la distance totale de la course, Lella n'inscrit qu'un demi-point (la moitié du montant normal). De ce fait, elle détient le record du plus petit nombre de point inscrit durant une carrière (0,5) (ce modeste score n'a rien d'infamant puisque plus de la moitié des pilotes ayant couru en F1 n'ont jamais marqué le moindre point). Si d'autres femmes ont, depuis, été inscrites au championnat du monde de Formule 1 (Divina Galica, Desiré Wilson et Giovanna Amati) Lella Lombardi reste, à ce jour, la dernière femme à s'être qualifiée pour une course. Elle termine 11e des 24 Heures du Mans en 1977 avec la Belge Christine Beckers, sur Inaltéra GR 6, ce qui constitue à ce jour le meilleur résultat final d'un équipe féminine. Atteinte d'un cancer, Lella Lombardi est décédée le 3 mars 1992.
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William Stevens, plus connu sous le nom de Will Stevens, né le 28 juin 1991 à Rochford dans le comté d'Essex, est un pilote automobile britannique. Après trois saisons en Formula Renault 3.5 Series, Stevens participe à son premier Grand Prix en Formule 1 avec Caterham F1 Team, en difficultés financières, lors du Grand Prix d'Abou Dabi 2014, la dernière course de la saison. Il termine dix-septième quand son coéquipier Kamui Kobayashi abandonne à cause d'un problème mécanique. L'année suivante, il signe avec Manor F1 Team, une semaine après la fin de la mise sous administration judiciaire de l'équipe, soit deux semaines et demi avant le début de la saison.
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Roberto Merhi né le 22 mars 1991 à Castellón de la Plana, est un pilote automobile espagnol. Il s'est fait connaître en monoplace avec deux titres en Formule 3 en 2011 mais a également participé à quelques courses de Grand Tourisme en Espagne. Il fait ses débuts en Formule 1 au Grand Prix d'Australie 2015. Seulement quelques jours avant le début de la saison 2015 de Formule 1, Merhi rejoint Manor Marussia en tant que titulaire au côté de Will Stevens.
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2015
scuderia57 a répondu à un(e) sujet de scuderia57 dans Formule 1, AURORA AFX, Formule 5000 de RacingMania
Classement Grand Prix de Malaisie 2015 1 Sebastian Vettel – Ferrari – 25 points 2 Lewis Hamilton – Mercedes – 18 points 3 Nico Rosberg – Mercedes – 15 points 4 Kimi Räikkönen – Ferrari – 12 points 5 Valtteri Bottas – Williams-Mercedes – 10 points 6 Felipe Massa – Williams-Mercedes – 8 points 7 Max Verstappen – Toro Rosso-Renault – 6 points 8 Carlos Sainz Jr. – Toro Rosso-Renault – 4 points 9 Daniil Kvyat – Red Bull-Renault – 2 points 10 Daniel Ricciardo – Red Bull-Renault – 1 point 11 Romain Grosjean – Lotus-Mercedes 12 Felipe Nasr – Sauber-Ferrari 13 Sergio Pérez – Force India-Mercedes 14 Nico Hülkenberg – Force India-Mercedes 3 15 Roberto Merhi – Manor Marussia-Ferrari Abd. Pastor Maldonado – Lotus-Mercedes Abd. Jenson Button – McLaren-Honda Abd. Fernando Alonso – McLaren-Honda Abd. Marcus Ericsson – Sauber-Ferrari Np. Will Stevens – Manor Marussia-Ferrari -
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Carmen Jordá, née le 28 mai 1988 à Alcoy, est une pilote automobile espagnole. Après quatre années de compétition en karting alors qu'elle vivait en Angleterre, Carmen s'engage dans le championnat espagnol European F3 Open. Elle termine quatrième, avec trois podiums, pour sa seconde saison, en 2007. En 2010, elle s'installe aux États-Unis pour participer au championnat Indy Lights avec Andersen Racing 1. En 2012, elle signe avec Ocean Racing Technology pour sa première saison en GP3 Series. Elle reste en GP3 trois saisons (jusqu'en 2014). En quarante-quatre départs, elle n'est jamais entrée dans les points ; son meilleur résultat en course est une quatorzième place et son meilleur classement en championnat est une vingt-huitième place. En 2015, Carmen Jordá rejoint Lotus F1 Team en tant que pilote d'essais et doit piloter la Lotus E23 Hybrid en cours de saison. Sa nomination est vivement critiquée au sein du paddock ; Rob Cregan, son coéquipier en 2012, déclare : « Carmen Jorda ne saurait même développer une pellicule photo alors une F1 hybride... La Formule 1 est une question de talent, pas d'argent ou de positions lascives. » Mitch Evans, champion GP3 en 2012, interpelle Lotus sur Twitter : « Ce n'est pas encore le 1er avril ! »
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2015
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