Dramatikz

pas faux tout ça Daniel, j'y ai pensé aussi........mais mon idée était la black pour les circuits et la white pour les balades........... c'est acceptable si elles sont à deux côte/côte dans mon garage....... en même temps je suis en train de chercher une autre maison............je vais peut-être rajouter une condition dans mes critères......... bOule(blackandwhite) ps : je relève même pas la proposition indessante de Houba(lescouilles)

N'oublie pas les Antibrouillards

re, les traces blanches c'est pas le jeu c'est le mécanisme bimasse à ressort. je connais pas la tolérance. par contre il faut vérifier tout les autres points aussi. mais en générale si ta voiture ne claquait pas avant ya pas de grande raison de le remplacer mise à part si tu retrouve un défaut gènant comme sur la vidéo. @++

Tiens en parlant de C7....un petit exercice........... PAS BIEN.....!!!!!! TRES BIEN....ENFIN.....MIEUX!!!!!! Cdlt Philippe

Je sais pas, à méditer...

Des petits détails à rectifier en cas de réédition mais qu'ils n'enlèvent en rien la beauté de cette miniature.

@ Yannick : il est vrai que l'on ne peut pas comparer une 19 16S à une M5 E34 mais la 309 GTI 16 a pour principale concurrente la première citée. @ Hervé : je suis tombé dans le gouffre OttOmobile et à présent je ne peux plus en sortir (au minimum 3 OttOs à venir pour les mois de juillet et août).

Pré-commandée

bonjour ! si vous avez des questions, remarques ou remerciements à faire en ce qui concerne ces tutoriels vous pourrez vous manifester dans ce sujet: [E36 M51 an??] questions/remarques démontage de l'échangeur Air-air (tutoriel) @++

j'adore la couleur de tes jantes.. jolie Rrr

Le dernier Scirocco existe aussi en rouge chez Norev non ?

le corbeau ! ce pseudo lui va comme un gant !

Et puis une bonne reco, c'est celle où à la fin le GPS tombe en panne avec la trace dessus

et ben BOULE; tu la vends déjà ??????? http://www.leboncoin.fr/voitures/400845787.htm?ca=16_s

on est bien avancé avec ça !!!

Et la Corvette ma poule, rien de trop grave ?

notez qu'en même temps, après la Camaro, la Mustang va être de nouveau vendue en France.

Toi, tu travailles avec SPY Seulement moi, j'ai confiance à la fiabilité des nouvelles Renault ..... du moins, c'est pas pire qu'ailleurs

C'est pas le même intérieur non plus

Premier "ratatouillage" à 65/35 ..... y'a quelques trous à l'accélération ...... bon bah y reste plus qu'à prendre le boitier du coup Ratatouille, 50% Disney / 50% Pixar Va falloir que je lui mette un boitier "Cars" alors

Met lui en une de ma part a l'occasion il la merite bien !!!

Novice , je suis dubitatif ???????

merci Rocc j appel demain bien que je ne sache comment je vais faire je suis en région parisieen ca fais qd mm un bout a bientot

Il n'a jamais été question que les Lettres soient les indicateurs du classement de gamme.ça a toujours été comme cela .... de la plus petite (A) à la plus grosse (S) en passant par la C qui est plus petite que la E ...... Pas convaincu, tu peux avoir une C mieux qu'une E et une E mieux qu'une S. C'est plus la motorisation et les finitions qui peuvent différencier les gammesJ'ai édité mon message ........ A équipement et motorisation équivalente, la E est mieux, mais moins bien que la S

Disparue en 2010, la Mercedes SLR McLaren a achevé sa carrière de supercar avec un modèle d’exception : la SLR Stirling Moss. Hommage au légendaire pilote britannique, le bolide se veut à la fois ancré dans le passé et archi-moderne. Stirling Moss est un symbole du sport automobile britannique. Quatre fois vice-champion du monde de Formule 1, le Londonien est également l’auteur d’un triplé mémorable en 1955, remportant coup sur coup les Mille Miglia, le RAC Tourist Trophy et la Targa Florio. Ces trois épreuves mythiques figurent alors au calendrier du championnat du monde des Voitures de Sport (WSC). Le point commun à ces victoires ? Point son copilote, mais son véhicule : la Mercedes-Benz 300 SLR. Avec elle, Moss et son coéquipier chez Daimler-Benz AG, Juan-Manuel Fangio, dominent l’année 1955. Il est presque logique que la dernière version de la Mercedes SLR McLaren, née de la collaboration entre les constructeurs allemand et anglais, ait pris le nom de Moss. Un modèle d’exception pour un bolide ultra-exclusif, produit à seulement 75 exemplaires, réservés au conducteurs déjà propriétaires de SLR. Sportive de la semaine Dessinée par le Sud-Coréen Yoon Il-Hun, la Mercedes SLR McLaren Stirling Moss est autant inspirée de la SLR 300 que de la SLR moderne. Comme cette dernière, elle présente une face avant extrêmement acérée, digne du surnom de Flèche d’Argent des McLaren, avec un diffuseur béant. Mais comme sa glorieuse aînée, elle présente une carrosserie unique. Le speedster est totalement dépourvu de toit et de vitres latérales, et n’a pour seul pare-brise que deux petits sauts de vent placés devant chaque siège. Deux bosses surmontées de prises d’air prolongent la forme des sièges sur l’arrière du bolide, qui affiche une silhouette plus ronde que celle de la SLR, le rendant plus proche de la SLR 300. En témoignent la forme des ailes avant, des optiques, ainsi que les deux prises d’air aux grilles noires, de chaque côté du véhicule. Les portières en élytre, très effilées, rappellent également le bolide piloté autrefois par Stirling Moss. Entièrement fabriquée en fibre de carbone, la carrosserie de cette SLR Stirling Moss est totalement vouée à l’aérodynamisme. Grâce à elle, le poids de la voiture est allégé de 200 kg. Ce bolide sculptural pourrait passer pour une oeuvre d’art ou un concept, s’il n’était pas motorisé comme une véritable supercar. Car l’engin qui la propulse n’est autre que le bloc 5.5 l V8 de la Mercedes SLR McLaren 722, sortie quelques mois plus tôt. Un moteur turbocompressé développant pas moins de 650 chevaux. Une arme qui lui permet d’atteindre les 350 km/h en vitesse de pointe et dévorer le 0 à 100 km/h en moins de 3,5 secondes. Pour 750 000 euros, 75 heureux propriétaires de la SLR de série ont donc pu s’offrir des sensations de pilotage à l’ancienne dans un speedster ultra-moderne, orné d’une superbe plaque en aluminium gravée de la signature de Stirling Moss. De quoi se rêver en lieu et place de l’auguste champion.