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ProfilM31

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Tout ce qui a été posté par ProfilM31

  1. Quand on voit comme il se fait traiter le nôtre d'homme d'état je ne vois vraiment pas qui et comment faire quoi que ce soit! C'est un boulevard que nous faisons au FN! :rambo: Vraiment triste dans un des plus beaux pays du monde! :pale: Allez, restons positifs, on va bientôt s'éclater, les calibres à la main à se buter pour qlq litres de gasoline.... tiens ça m'rappel un truc ça... :scratch: Euh ... Mad Max peut-être ???!!!??? :geek: Avec une M3 E30 Turbo + compresseur noir mat ... ça aurait de la gueule non ???!!!???
  2. Surtout tous ne sont omnibulés que par une seule et unique chose ... leur réélection ... et le maintien des avantages qui vont avec !!! Il nous manque surtout un vrai et grand "Homme d'Etat" !!!! Le dernier devait être Pompidou si j'en crois mes lectures sur le sujet ... depuis ... :rambo:
  3. Dernier exemple en date, article paru dans le Figaro (désolé de la dérive purement capitaliste de ce post ... ), c'est un peu long mais édifiant ... http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/07/31/01016-20100731ARTFIG00004-insecurite-c-etait-intenable-nous-sommes-partis.php "Agressions, incivilités, trafics, montée du communautarisme, des tensions raciales et des violences tribales... Victimes de cette situation, des familles migrent. Des anonymes qui vivent aujourd'hui en France comme des exilés de l'intérieur. Après les émeutes de Grenoble et Saint-Aignan, reportage à Perpignan. Myriam P. s'en souvient comme si c'était hier. Elle se souvient des cris dans la rue, des insultes qui montaient, de la horde qui gonflait, se massait sous ses fenêtres, des projections de pierres et de carrelages qui menaçaient de tomber dans la chambre de sa fille endormie et bientôt des coups de boutoir dans sa porte, après qu'une quinzaine de jeunes eurent défoncé le portail de son immeuble. Réfugiée dans les toilettes de son appartement, tenant blottie contre elle son bébé tandis qu'elle essayait désespérément de joindre la police, elle pouvait les entendre qui hurlaient:« On va vous crever, sales céfrans (Français, ndlr). » Son mari, lui, arc-bouté derrière la porte d'entrée, pouvait voir voler en éclats son mur devenu poussière de plâtre. « On a cru vivre nos derniers instants. Sans l'intervention de la BAC, c'en était fini. » C'était dans la nuit du 17 au 18 avril, au 14 de la rue des Trois-Journées, en plein cœur de Perpignan. A cinquante mètres de la splendeur gothique qu'est la cathédrale Saint-Jean-Baptiste, et à deux cents mètres à peine du commissariat principal. Coupables d'avoir osé demander que cessent sous leurs fenêtres les rodéos de scooters et menacé de prévenir les flics. Pendant cinq jours, encore traumatisé par la violence de l'agression, le jeune couple a bénéficié, grâce à leur assureur, de la protection d'un vigile. Mais après? Renforcer la cloison? Dérisoire! S'en remettre aux caméras de surveillance installées dans la ville pour prévenir des agressions? Elles ont fait la démonstration que la dissuasion ne suffisait pas face à des délinquants mineurs le plus souvent impunis. A quoi bon vouloir rester dans ce quartier quand leurs agresseurs étaient déjà libres, alors qu'eux-mêmes, à quatre heures du matin, n'avaient pas fini de déposer plainte? L'un d'eux, à 15 ans, comptait déjà 122 arrestations à son actif. Rester? Autant tenter le diable! « C'était intenable, donc nous sommes partis. Il aurait fallu me payer très cher pour que j'y reste un mois de plus », dit-elle aujourd'hui avec le sentiment coupable qu'en choisissant l'exil, elle démissionne et abandonne le terrain à ces nouveaux barbares. Pour autant, cette jeune femme énergique sera la seule à témoigner à visage découvert, parce qu'« il faut sortir de l'omerta, briser la spirale du silence ». C'est qu'elle n'est pas seule à avoir connu l'enfer. Certains n'ont pas eu sa «chance». Direction Saint-Assiscle, un quartier résidentiel de Perpignan. Le 2 juillet, Katy et Thierry, son compagnon, ont été à leur tour victimes de la violence ordinaire. Sur sa page Facebook, la jeune femme de 35 ans livre, lasse, ses sentiments:« C'est pas la joie en ce moment avec la merde qui traîne dans mon quartier... J'ai failli perdre la vue à l'œil gauche. Voilà, c'est pas trop la fête à Perpignan. » Lorsqu'elle consent à nous parler, enfin, elle explose. Son compagnon ? Agressé au poing américain et à la barre de fer, alors qu'il était descendu s'interposer, voyant que deux gamins à vélo qui rentraient du cinéma étaient sur le point de tomber dans un guet-apens, au milieu de jeunes caillassant des voitures. Ils étaient quinze à s'acharner sur lui. Résultat : douze points de suture sur le visage et trois autres sur le crâne. Elle ? Rouée de coups par des gosses à qui elle distribuait des bonbons à l'occasion des fêtes de quartier! « Pendant que nous déposions plainte, certains jeunes étaient déjà à nos fenêtres, salissant d'insultes notre fille de 10 ans qui n'arrivait plus à dormir et qui attendait notre retour... la menaçant : "On va t'attraper !" Depuis, elle fait des cauchemars ! » Et son petit frère de 8 ans, un garçon qui ne s'est jamais battu et, insiste Katy, a toujours été premier de sa classe... lui ne cesse désormais de répéter:« Quand je serai grand, je vous tuerai tous. » Depuis, des bandes traînent sous leurs fenêtres et font pression pour qu'ils retirent leur plainte. « Nos voisins eux-mê mes nous le demandent, pour en finir avec cette histoire qui empoisonne la vie de l'immeuble. Boîte à lettres fracassée, courrier volé, je suis aujourd'hui obligée de convenir de rendez-vous avec la postière pour récupérer mes lettres ! » Intimidations, menaces, comment, dans ces conditions, rester plus longtemps ? Pour Katy, la conclusion s'impose d'elle-même : « Longtemps, la France a été une terre d'asile. Aujourd'hui, c'est à notre tour de nous réfugier, parce que c'est trop tard et que la situation nous a échappé. » Comme Daniel W. Rossé, passé à tabac pour un paquet de cigarettes, alors qu'il déambulait dans les rues du quartier Saint-Matthieu, il a fui le centre-ville où il vivait depuis dix ans. « Lorsque je me suis relevé, j'ai mis une heure à faire trois cents mètres pour rentrer chez moi. Quand je me suis présenté au commissariat quelques jours plus tard, les flics n'ont même pas daigné enregistrer ma plainte. » Les histoires se ressemblent comme de tragiques copiés-collés. Comme si rien n'était fait. Ou que ce qui est entrepris l'était en vain. Difficile pourtant de croire qu'une telle violence peut régner à Perpignan, et qu'en plein centre-ville, certains quartiers sont de véritables zones de non-droit, aux mains de petits caïds à peine sortis de l'adolescence. Les façades, pour beaucoup, sont ravalées, lessivées. Il n'y a pas de tags. Tout juste quelques travellers, comme on les appelle, qui quémandent trois sous et une cigarette en jouant de la guitare sur le trottoir, une bouteille de Bud à la main. Un calme trompeur. « C'est que les racailles qui habituellement squattent le quai Vauban, terrorisent le quartier Saint-Jacques ou le quartier Saint-Matthieu, ont quitté la ville, tous frais payés par la municipalité, pour la Côte d'Azur », observe un commerçant excédé. Abdel, lui, a anticipé le retour de ces « fils indignes » de l'immigration. Agressions, insultes, il a fini par fermer son restaurant de couscous en centre-ville, qui faisait le bonheur des troupes de théâtre à la sortie des spectacles, pour en ouvrir un autre à la fin du mois d'août, dans un quartier plus paisible, en périphérie. Latifa (le prénom a été changé), une Algérienne aujourd'hui à la retraite, a honte elle aussi. Honte que ces « Arabes » ou ces « Gitans », dit-elle sans s'entourer des précautions dont le plus souvent usent les commerçants ou les politiques, qui préfèrent évoquer « les populations difficiles », puissent imposer aux habitants de Perpignan un « quasi couvre-feu». « Vous comprenez, insiste-t-elle au téléphone, moi, j'ai connu la guerre. » Les rodéos de scooters, les vols à l'arraché, les trafics, les gosses camés ont fini par dissuader les gens de sortir le soir. Quai Vauban, où a été délocalisé le Quick, les restaurants font le plein de leurs terrasses en journée. Le soir, la clientèle, lorsqu'elle se déplace, se réfugie dans les arrière-salles. « Quand on sort, dit Latifa, on ne peut s'empêcher de se retourner en sursaut au moindre bruit. Ce n'est pas normal. » Exaspérés, certains parlent de s'organiser en milice Quartier Saint-Matthieu, nous avons rencontré Carlos, une grande carcasse brune qui ne craint pas grand monde. C'est lui qui, au début du mois, est venu porter secours à André Crémer, 88 ans, agressé avec sa femme alors qu'il venait d'acheter du pain, et qui mourra quelques jours plus tard des suites de ses blessures. Assis sur les marches qui conduisent à la CAF, Carlos raconte, jetant parfois un regard un peu inquiet sur les passants qui nous observent, saluant aussi des voisins, des amis. Ceux qui restent encore. Il raconte l'absurdité d'une ville, où bientôt il faudra renoncer à se défendre, renoncer à dire non, sous peine d'être accusé de provocation. Lui vient d'Argentine. Il vit ici depuis plus de vingt-cinq ans. Il a vu se dégrader la situation, se déshumaniser le centre-ville, se transformer la rue Petite-la-Monnaie, autrefois l'artère la plus commerçante. Aujourd'hui, les échoppes sont presque toutes fermées. Ce ne sont plus que rideaux de fer baissés. Il a vu, il y a quelques années, arriver les bobos qui cherchaient à investir l'un des quartiers historiques de Perpignan, avant de quitter leurs appartements au bout de trois mois. Il a entendu et cru les discours sur la mixité sociale. Aujourd'hui, il constate que les communautés s'affrontent, qu'il n'y a plus aucune volonté d'assimilation, et que les gens ne se contentent pas d'importer leur culture, mais aussi leurs problèmes. « Vous imaginez, moi, si j'étais arrivé en bombacha (pantalon gaucho, ndlr), le sombrero vissé sur la tête, avec mon cheval et mes moutons que j'aurais laissés ch... dans la rue ? » Maire adjoint UMP chargé de la sécurité, Pierre Parrat minimise. Pour lui, depuis 2005, et les émeutes qui ont vu s'affronter les populations gitane et maghrébine, la situation s'est améliorée. Chiffres à l'appui, il nous en fait la démonstration. On veut bien le croire, croire qu'il ne s'agit que d'un sentiment d'insécurité exacerbé par la crise. Et pourtant, il faut pouvoir entendre cette exaspération sourde qui monte, cette colère qui gronde, la désespérance de beaucoup. Certains parlent à demi-mots de s'organiser en milice pour rétablir l'ordre. D'autres font provision d'armes. « En face, ils ne nous ont pas attendus pour s'équiper. » Le maire lui-même, dans une réunion publique, le 8 juillet, reconnaissait le phénomène:« Ce sentiment d'impunité et d'insécurité prend le pas sur notre vie en société. Il n'y a qu'à voir les magasins qui vendent des bombes lacrymogènes et des matraques électriques littéralement dévalisés par des particuliers. C'est inacceptable. » Perpignan est une poudrière. Dans certains quartiers, comme le Bas-Vernet, les médecins ne se déplacent plus en urgence le soir et vous dirigent directement vers l'hôpital. Comme à Béziers. Ou à Nîmes. En mai dernier, un praticien de SOS Médecins a été agressé dans la cité du Valdegour. En réponse, Bernard Sialve, fondateur de la structure nîmoise, a fait valoir son « droit au retrait », « parce qu'il n'est pas de métier qui mérite que l'on puisse mourir pour l'exercer ». « Depuis, dit-il au téléphone, la situation est redevenue normale. » Lorsqu'ils sont appelés en pleine nuit pour ausculter les malades, ils demandent aux habitants d'assurer la sécurité de leur véhicule et de leur personne, faute de quoi, ils ne peuvent intervenir. Bernard Sialve se contente de cela. Un Etat de non-droit où émergent partout des zones d'inégalités territoriales."
  4. ProfilM31

    bmw turbo

    3.8 bars de pression de turbo !!! J'aimerais pas être à la place des vis de culasse moi ...
  5. :welcome: Ah le Nogaro Silber ... !!! C'est quel n° ???
  6. C'est clair que sans verser dans le facisme pur et dur il y a quand même de quoi se poser des questions quand on voit le train de vie de familles entières qui passent leurs journées à ne rien foutre ... En roulant j'écoutais RTL Soir, avec un débat animé au sujet des récentes déclarations de notre President de la République ... et bien il y a encore 3/4 de nos élites bien pensantes (journalistes, écrivains, sociologues ...), peu importe la tendance politique ... qui soutiennent ces populations je cite "opprimées, stigmatisées, rejetées ... ", alors que les + racistes sont sans doute ceux qui se disent victimes !!! Depuis quand on peut forcer un ou deux barrages routiers et venir se plaindre de s'être fait tirer dessus ? Quand on braque un Casino cela fait partie des "risques du métier" que de prendre une "bastos" si ça tourne mal ... et pour autant ces populations se permettent de mettre à sac la terre qui les accueille royalement elles et leur -nombreuse- progéniture ... tout ça au frais de la princesse !!! :rambo: "tout ça c'est la faute du chômage ..." ... comme s'ils avaiant soit l'envie soit la compétence pour travailler dans quoi que ce soit ... "ça fait le lit de l'extrême droite ..." si je ne m'abuse cela représente quand même quelques centaines de milliers, voire qques millions de Français (des vrais ??? ) qui expriment leur opinion ... doit-elle être ignorée au bénéfice des agissements de ces saloperies ??? :rambo: :rambo: :rambo: :rambo: :rambo: Mais bon ce discours fait de moi un sympathisant d'extrême droite, un facho et j'en passe ... alors comme la plupart je me demande où cela va se terminer ...
  7. ProfilM31

    Coupures intermittentes d'allumage

    Même pas besoin, en le secouant lorsque ton moteur tourne ça doit suffire à décelncher le phénomène ...
  8. ProfilM31

    Coupures intermittentes d'allumage

    A l'époque j'ai eu ça sur ma 1ère M3 E30 ... c'était l'Eprom du calculateur qui s'était dessoudée et de façon aléatoire se déplaçait légèrement ... Après un changement de boitier tout a été solutionné ... Peut-être une piste ??? :scratch:
  9. Là je suis en déplacement jusqu'à dimanche mais je regarde ça au + vite ... Si je retrouve ma carte grise je te fais passer le VIN par MP si tu veux ... :o
  10. Je te confirme mon intérêt ... pas de souci pour verser un acompte ... de toutes façons il va falloir que j'y passe ... autant que ce soit avec des pièces de qualité !!! :geek:
  11. ProfilM31

    Couleurs d'origine

    Bah entre un 0 et un 6 il n'y a qu'une histoire de queue ...
  12. Sinon on peut toujours centraliser une cde de 5 ! Il m'en faut une complète ... ça tomberait bien !!!
  13. Ce serait nickel, pour un RDV à NSG !!! Je t'appelle au + vite ... samedi je pense !!! Merci !!!
  14. Salut à tous ! Tout est dans le titre ... c'est pour mon ex-rallycross ... le support d'étrier a cassé dans une épingle lors de l'ouverture du dernier Rallye des Gueules Noires ... La proirité est pour le gauche ... mais je suis aussi acheteur du droit si dispo, à titre préventif ... Je peux me déplacer dans pas mal d'endroit pour un éventuel enlèvement !!! :pirat: C'est bien sûr asez urgent ... Merci de vos offres !!! Fabrice
  15. +1, ça fout vraiment les boules de ne pas avoir pu se joindre à vous ... Sinon pour février faudra qques Sport Evo, sortir les lames ... ça fera chasse-neige ...
  16. ProfilM31

    Bon aniv à........

    Avec beaucoup de retard ... ... MERCI à tous !!!
  17. Que te dire d'autre que de garder malgré tout le goût de la vie et des bonnes choses ... De tout coeur avec toi ...
  18. ProfilM31

    24H Nürburgring 2010

    J'y ai fait un saut également .... qques photos de ce qu'il y avait dans le hall d'exposition ... Une bien belle Cecotto ... même si pas 100 % d'origine ... ... et sa grande soeur ... :geek:
  19. ProfilM31

    792 hp, 943nm

    Un turbo de la taille d'une soupière !!!
  20. Pas vraiment du simple au double quand même (32%) ... et peut-être le prix de la tranquillité ... Après niveau look ...
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