ExEcho

Décidément incollable... Juste que suite a ma référence elle n'abandonnas pas mais termina 10ème. Mais comme cette référence viens d'un forum, je fais confiance a notre pro http://forum.tt-hardware.com/topic-82444-6.htm#lnk_140

L'abrasif m'a bien aidé je dois dire... C'est à moi? Allez, je crois que c'est assez simple. Je vous demandes la marque, le type, et son année de construction. Et pour nos pros, ils devraient aisément trouver la course, et la classement de la dite voiture Amicalement Jean-Mi

Emery GT 63 http://www.imps4ever.info/specials/emery_gt.html Jean-Mi

Boxstphil, J'ai un souvenir... En ce temps là, nous couvrions encore les GP motos avec nos VI... Un pilote, dont je ne me souviens pas du nom, que j'avais ramassé dans le rail au 15, avec une triple fracture de la jambe gauche (les 3 os petés) a exigé, a l'hopital de Malmedy, où il avait été transporté, qu'on plâtre sa jambe en la pliant suivant un angle particulier qui lui permettrait de participer à la course du lendemain... Je te rassure, les médecins de la FIM lui interdirent le départ...

Pas à dire, ce sont de grands sportifs... Et leur capacité à récupérer est au dessus de la moyenne... On parie qu'il reprend le volant de la Lotus Renault bien avant la fin de la saison?

Allez, pour les photographes qui zoneraient dans les classiques... La Mini Orange et blanc portera le N° 101... Et ne l'oubliez pas dans la Clem, si vous y êtes, surtout... Allez, un indice de pourquoi la Clem: Amicalement Jean-Mi

Edité car il semble que l'accident se soit produit en ES. Je n'ai donc rien dit... PS: Boxstphil, non le rallye n'est pas plus dangereux que le circuit, les risques sont simplement différents...

La Clem au programme MAIS... http://www.speedactiontv.be/Legend_Boucles_de_Spa__la_Clementine_oui_mais-6652-1.aspx Pourvus que les spectateurs se tiennent à careau, mais j'ai des doutes suite à ce qui s'est passés l'an dernier... Le passage dans notre Turini sera-t-il un adieu?

Et notre Raf sur la Mustang... Raf, tu roules en 80? Tu me passeras tes notes après les recos?

Eric, Confirmés ce jour par MP, JLC seras présent... Pour tes tofs... Amicalement Jean-Mi

Oui Phil, les commentaires de nos 2 spécialistes étaient plus qu'intéressant, même instructifs... Quand au 3ème, il ne faut pas oublier qu'il est journaliste et que, de mon point de vue, la seule chose qui lui incombait , était de tenter d'intéresser une frange de spectateur complètement néophite... Mais ces spectateurs se trouvaient-ils devant la TV pour cette nuit du Turini? J'en doute, les seul qui semblaient s'y trouver (je ne parles pas des vrais amateurs), suites au différents message du chat FB qui déroulait sur le net, étaient les promeneurs de Jupiler que l'on rencontres malheureusement de plus en plus le long de nos rallyes... Et eux se foutent bien du rallye, ils sont juste là pour boire et foutre le binz... Ceci dit, ayant suivis tout le rallye sur Eurosport, nous n'avons pas à nous plaindre, je penses, car notre commentateur ne se fait pas pipi dessus dès qu'un pilote Français fait un temps... Mais il est vrais que la RTBF possède de meilleurs journalistes pour la partie course auto, quel que soit le type...

Nouvelle postée dans mon Post, mais je la met ici aussi ;o) http://www.autonews-magazine.com/blog/?p=14253

Ben mon cher Phil, ceci devrait te plaire: http://www.autonews-magazine.com/blog/?p=14253 Et oui, il revient...

La réglementation est claire : trois minutes, ni plus, ni moins, doivent s’écouler entre le pointage au contrôle horaire qui clôture un tronçon de liaison et le départ d’une épreuve spéciale de vitesse pure chronométrée, dorénavant, au dixième de seconde. Trois minutes pour un rite gestuel précis et immuable. Les mouvements sont d’abord automatiques et calmes, quotidiens ou détachés. Ils se ralentissent ensuite, traduisant la progression de la concentration, comme une lente mise en condition, une entrée en transe calculée – un passage dans un autre monde. D’abord, le pilote se coiffe de sa cagoule en matière ignifugé qu’il positionne au millimètre près en prenant soin de bien dégager les yeux avant de chercher, à tâtons, un casque que le copilote – mère poule – se charge souvent de lui tendre. La mutation physique et mentale franchit une étape décisive lorsque le casque est enfilé, transformant un simple conducteur en un guerrier prêt au combat, patient mais décidé. Il ne faut plus qu’attendre. Le pilote s’empare ensuite de ses gants. Il moule méthodiquement chacun de ses doigts tandis que son regard se perd dans le vide. Jusqu’au moment du départ, les yeux apparaitront vides et intenses à la fois, absents et profonds, expression d’une volonté totale de concentration et d’isolement. Le pilote s’engonce, se love ensuite dans son siège – baquet. Il se colle à lui jusqu’à en faire une seconde peau qui est aussi une carapace de protection. Assis le dos bien droit, il tire énergiquement, de toutes ses forces, sur chaque lanière du harnais de sécurité afin que son corps soit à chaque instant maintenu bien en place, quels que soient les chocs qu’il ait à supporter. Puis il s’empare doucement du volant, il le frôle, le caresse pour créer la connivence avec la machine, pour amadouer le monstre rétif et si docile à la fois. La caresse du cuire se transforme alors en étreinte. Les mains serrées entourent la jante. Les bras mi-pliés, la tête penchées en avant, ce n’est plus un pilote qui se livre aux ordres du starter, mais un taureau prêt au combat et un toréador prêt a affronter << la bête >>, les deux réunis en une seule et même personne qui joue l’indifférence mais qui suit avec une attention contenue et continue le départ de l’équipage qui le précède. Klang ! La boite de vitesse aux rapports non synchronisés manifeste sa désapprobation, mais la première est enclenchée et la voiture s’en vient se placer sur la ligne de départ. Plus que 30 secondes. Derniers coup d’œil aux cadrans et à l’affichage digital tandis que, de sa propre initiative, le copilote égrène les notes qui décrivent les premiers virages de la spéciale. L’exercice ravive la mémoire et donne le rythme des premières courbes, comme un diapason donne le ton. 15 secondes. Le regard se fixe et se fait plus brillant, il ne cille pas. L’esprit se vide, les doutes s’évacuent, l’avenir et l’univers se réduisent à un seul ruban de bitume, à un seul chemin de terre. Cinq secondes. Klang. La première est enclenchée, puis le régime – moteur grimpe progressivement. Quatre… Trois… Deux… Un…Zéro ! Le drapeau se lève, l’embrayage est torturé, l’aiguille du compte-tours flirte avec la zone rouge, tombe, repart à l’assaut du rupteur. Le moteur hurle, les vitesses passent à la volée pendant que, dans le casque, le pilote entend distinctement : <<Gauche à fond ; cinquante, droite à fond pour attention ! Freins et gauche>>. Les notes s’enchainent les unes aux autres au rythme des virages qu’elles annoncent. Instantanément, le cerveau de pilote transforme le langage codé utilisé par son équipier en visions concrètes dans le temps et dans l’espace, en trajectoires idéales, en précision de pilotage et, surtout, en gestes mesurés, raffinés, construits, élaborés et mis en œuvre au millimètre près. La musique des mains est d’une harmonie étonnante, d’une grande lenteur et d’une impressionnante efficacité. Le rallyman se sert des ronds mouvements de ses mains pour recréer à chaque instant le bruit, la musique, la fureur et la danse, maître d’une œuvre éphémère qui naît et disparaît aussitôt dans la poussière de chaque mètre de route. A l’arrivée de la spéciale, le pilote évacue d’un coup toute sa tension. Il laisse lentement glisser sa monture fourbue jusqu’au point Stop, tandis qu’il arrache ses gants, qu’il délivre sa tête de la pression d’un casque soudain devenu trop petit, puis de la cagoule détrempée. Le regard est un moment perdu, vaincu par l’effort, inexistant. Quelques instants encore. Enfin, un visage blanc marbré de rouge, aux traits tirés et boursouflés à la fois, marqué mais heureux, se tourne vers les contrôleurs, les journalistes, les spectateurs. Vers le monde. La transe est terminée. L’éphémère œuvre d’art est achevée. Elle a vécu et a disparu au fil de sa construction. Voici revenu le temps de la normalité. BJÖRN WALDEGÂRD.

Merci, elle est facile pour moi lol l

Allez, quelques petits infos des 2 amis... La Mini est presque prête pour ce qui devrais être son second et dernier rallye... Elle redeviendras ensuite ce qu'elle fût, une voiture de course de côte... C'est ce qui est prévus en tout cas... Nous sommes bien engagés... Même si certains sponsor qui avaient fait des promesses se sont désistés... (trop, même de ceux qui voudraient voir, malgrés tout, leur marque sur la voiture...) Nous y serons de nouveau: JUST FOR FUN Et nous devrions avoir, cette année, une caméra on board pour revoir nos bêtises lol. C'est arrangés avec un pote, pro de la TV, ayant travaillé pour Eurosport... Ceci dit, comme tout vas en ce moment, j'en serais certain une fois la cam dans l'auto au start de la 1... Reste a passer le CT, mais, même si c'est toujours mon gros stress, c'est la même auto qu'en 2010 donc... Et moi perso, j'espère que nous irons dans la Clem, mais je sais pourquoi... Si nous la faisons et que vous y êtes pour le passage des 50, et que vous voyez passer notre Mini, je serais preneur de toutes les photos, images vidéo et tout et tout car cela risque d'être un grand moment... (Vous pouvez y venir un peus avant le passage des premiers en 80 non?) Amicalement Jean-Mi

Si je croises JP, je lui demanderais si il se souviens de sa combi...

Ah mon Pote Raf... As tu remarqués que depuis que je ne suis plus sur VI, tu nous gagnes plein de courses? Je continuerais donc a copiloter en rallye Histo, NA. Et qui sais, un jour serais-je aussi au départ du Monte Histo? Ben oui, j'ai l'age des autos qui... Ce que tu ne sais pas, c'est que suite à ton retour, en Fun, je dus repartir, par la piste, pour une voiture en rade... Et je me suis fais sonner les cloches car, au sommet du raidillon, j'ai passés une Fun... (encore une anecdote tiens) Vrais que ça la foutais mal, un VI qui passait une voiture en course... En tout cas, ce BBQ fût un vrais plaisir, il me permit de te rencontrer... Amicalement Jean-Mi

Laissons le temps au temps, je sais qu'il a le caractère pour se battre... Allez Oli, tiens le coup....

Arf, me serais-je trompés de nuit? Il est vrais que lors des Fun cup, nous t'avons aussi rammennés, même que la voiture aimais pas le passage de la barriere au pied de la tour pit F1.... Amicalement Jean-Mi

Je continues avec une petite gentille... C'était les 25H Fun Cup, sur Echo, au poste 21 (Pardon, le pilote dont question m'a corrigés plus bas... Les 24H 2CV ) La nuit s'était installée. Nous venions de faire une opération ficelle... vous savez, le retour des véhicules en panne... Nous allumons le BBQ, commençons à préparer les viandes. L'oreille toujours à l'écoute de la radio, on ne sait jamais... C'est à ce moment qu'une voiture stoppe le long du rail, juste avant la baillonette. Nous donnons un coup de main aux commissaire du 21 pour rentrer la voiture derrierre Echo. La tour nous informe que nous avons déjà notre prochaine ficelle, mais... Dans 1 heure.... Le pauvre pilote semble très déçus de devoir attendre aussi longtemps... Mais il comprend que nous n'en sommes pas responsable... De plus il est bien sympa et la discution se prolonge. Entre temps, nous avons cuit nos viandes sur le BBQ. Mais nous ne pouvons pas décement laisser le pilote en plan... Nous lui proposons... Et il accepte de se joindre à nous... Bah, il roules pas, autant manger... Quand nous l'avons enfin rentrés dans les stands, nous nous étions fait un ami.... Je sais qu'il se reconnaitra.... PS: Me doutais bien que la fameuse roue trainait dans un salon Amicalement Jean-Mi

Tu dois t'imaginer qu'en 20 ans de piste, j'en ais connus... Sans compter celles dans les différents bacquets en rallye... De la naturiste située entre le 3 et le 4, au petit matin d'un 24H moto, alors que nous tournions en vue d'effacer une trace d'huile (une 30 aine de tours et elle nous faisait de grands signes à tous les passages), à bien d'autres situations, tant coquasse que bien plus graves... Tiens, un souvenir dont j'aurais voulus garder une photo... Charly, toujours, mais j'étais encore copi... Fersang comme pilote... Il faut savoir que mon amis Fersang (souviens toi, j'en ai parlés dans le post des Boucles, la Porsche au turbo KC), est un fumeur de pipe. Et il avait toujours sa pipe en bouche... Nous partons en inter sur un pilote piqués, en course, par une gueppe Le toubib décide d'embarquer direct... Une fois le pilote embarqué (celui-ci toujours casqués), le doc lui demande où il est picqués... Moi, en bon assistant médic, je suis tournés vers le pilote en question. Celui-ci ouvres sa combi, lève son sous-vetement ignifugés et nous dévoiles une de ces paire de seins... Quand elle à, de plus retirés son casque, nous nous sommes rendus comptes que la demoiselle était bien plus que jolie... Je ne suis pas prêt d'oublier les vibrations de la pipe de mon amis, ni cette envie d'aller plus loin que les gestes médicaux... Mais, nous sommes restés sérieux... J'en aurais bien d'autres à te compter, mais est-ce la place? Amicalement Jean-Mi

Boxstphil, J'ai le souvenir d'un matin de course, où, par habitude, j'effectuais un tour lent au volant de Charly (qui se trouvait alors en poste entre le 12 et le 13 à toutes les courses), quand, à la sortie du 19, je tombes, capot à museau avec.... Une vache.... Cette brave bête, ainsi que ses consoeur (je n'ai pas dit connes de soeur ) avaient brisés les clotures de leur patures et tentaient le GP des fermes... Ceci dit, elle avait quand même franchis le tunnel sous le 20 (qui ne s'étais pas encore avachis), puis, ayant tentés la piste de motocross de l'époque, avait choisis la piste, sans doute plus stable pour son lait Je ne te dis pas le rodéo pour faire comprendre à la pauvre bête qu'elle devait rentrer dans son stand à elle.... Et je ne te parles pas des lievres, faon, biches et autres... Ni d'ailleur d'une certaine roue de F1 qui doit encore se trouver dans le salon d'un combatant du feu et pour lequel je fus entendus, comme bien d'autres, en tant que témoin, par la maréchaussée de l'époque suite à une plainte des italiens qui en voulaient à un écossais d'avoir embrochés leur allemand... (pour la disparition de la roue, pas pour le carton) Mais...., ceci est une autre histoire... Amicalement Jean-Mi

[quote="Marshall"]43 ans séparent ces deux photos Malheureusement, il n'y a pas que 43 ans... Que notre circuit était un vrais circuit en ce temps là...

Jérôme d'Ambrosio est sur le point de signer en tant que titulaire chez Virgin. Le Belge de 24 ans devrait être le coéquipier de Timo Glock, qui s'est dit pilote Virgin "à 100%" dans le courant de la semaine dernière. D'Ambrosio remplacerait Lucas Di Grassi. Avant Noël ? Le dernier obstacle à l'officialisation de D'Ambrosio est l'approbation du nouveau sponsor titre de Virgin, Marussia, selon la presse belge. Mais celui qui pilotait le vendredi en essais libres pour Virgin en fin de saison 2010 s'est dit confiant que la situation soit régularisée avant Noël. "J'ai fait tout ce que je pouvais. Maintenant, il me faut attendre", a déclaré D'Ambrosio. http://fr.espnf1.com/virgin/motorsport/story/35867.html