-Olivier

Le garage de Ben

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Une idée pour modifier Aston Martin Vantage GT12 appartient à Wheelsandmore tuning studio. De nos jours, GT12 est une voiture rare car elle a seulement 100 exemplaires lancés et vendus dans le monde entier. Les tuners ont travaillé sur l'apparence extérieure. En conséquence, le modèle GT12 dispose d'un ensemble de roues FIWE forgées en plusieurs pièces avec un fini noir mat. Chacun des quatre virages est conçu par une roue de 10,5 × 20 recouverte de pneus Dunlop Sportmaxx GT. Une centaine d'exemplaires de la Vantage GT12 sont équipés d'un moteur V12 modifié de 5,9 litres développant une puissance accrue (592 ch et 625 Nm de couple). A titre de comparaison, la puissante Aston Martin V12 Vantage S génère 565 ch et 620 Nm. Les constructeurs ont ajouté de nouvelles prises d'air, un système d'échappement en titane et une géométrie améliorée permettant d'atteindre ces niveaux. En outre, le magnésium léger utilisé pour le tube de torsion a réduit le poids de 19 kg. La version de tuning Vantage GT12 prend 3,5 secondes pour obtenir une vitesse de 96 km / h plus rapide que celle de Vantage V12 S en 0,2 seconde. Cependant, il y a quelques inconvénients tels que les éléments supplémentaires générant des appuis, qui ont influencé la vitesse maximale. C'est seulement 297 km / h. La transmission à 7 vitesses a quelques améliorations.

Photo espions remarqué une nouvelle modification de l'Aston Martin Vanquish 2019 lors des essais routiers. Cette fois, la voiture de sport est testée sur les routes enneigées de Grande-Bretagne. Des photos de la voiture de sport phare de la classe Gran Turismo Aston Martin Vanquish 2019 ont été partagées par des publications automobiles étrangères. Au cours des derniers mois, les paparazzi ont vu plus d'une fois des échantillons d'essai de la version mise à jour de la voiture de sport britannique, et de nouveau les ingénieurs ont recouvert la voiture de l'année modèle 2019 d'un film noir mat.

L'Aston Martin Vanquish entrera prochainement dans sa dernière phase de production, et comme il est de coutume en pareille circonstance, le constructeur de Gaydon a souhaité célébrer sa GT en proposant une dernière série aussi spéciale que limitée baptisée « Ultimate Edition ». Disponible en versions Coupé et Volante, cette Vanquish S Ultimate est proposée dans trois finitions au choix assorties d'éléments de carrosserie en carbone. Elle demeure équipée du bloc V12 6.0 litres de 600 ch (associé une boîte automatique 8 rapports Touchtronic III) et se dote d'une suspension ajustable et de freins en carbone céramique. Le premier modèle Vanquish S Ultimate est revêtu d'une livrée « Ultimate Black », clin d'œil à la première Vanquish S Ultimate Edition pour qui ce coloris avait été créé, et se présente avec un marquage de couleur « Copper Bronze ». D'autres détails incluent des sorties d'échappement, des étriers de freins ainsi que des jantes en finition noire, l'habitacle accueillant pour sa part un habillage en cuir « Obisidian Black » et « Chestnut Tan ». Un habillage intérieur que l'on retrouvera d'ailleurs dans le deuxième modèle proposé, revêtu celui-ci d'une livrée « White Gold » (avec marquage couleur « Bronze »), tandis que la troisième Vanquish S Ultimate sera proposée dans une teinte « Xenon Grey » rehaussée d'un marquage extérieur « Cobalt Blue », son habitacle faisant la part belle à un cuir de couleur « Phantom Grey ». 175 exemplaires de cette Vanquish « Ultimate Edition » sont proposés à la vente, aux prix de 278 995 € (Vanquish S Ultimate Coupé) et 293 995 € (Vanquish S Ultimate Volante).

Avant de contrôler démarré le moteur 15 a 30 secondes pour avoir une lecture correcte ! devisé le bouchon du réservoir d huile avant démarrage Après démarrage, rajoute de l huile ci nécessaire

C’est en septembre 2003 qu’Aston Martin a ouvert son centre de Gaydon, 22,5 hectares à 150 km au nord-ouest de Londres. Outre son siège social, s’y trouve aussi son principal outil de production, dans lequel travaillent environ 300 personnes. L’autre, au Pays de Galles, assemblera le SUV DBX qui devrait être présenté cette année. L’usine de Gaydon est bien située, à proximité de l’autoroute M40, et à moins de 2h de l’aéroport d’Heathrow. A quelques kilomètres, Jaguar dispose aussi d’installations, notamment son département Heritage, tout comme Prodrive. Et il ne faut pas plus de 45 minutes pour se rendre sur le circuit de Silverstone. Une vraie pépinière ! L’usine Aston Martin, quand on la découvre, n’a rien de gigantesque. On a affaire à un bâtiment en grès jaune, ultramoderne et léché, de la hauteur d’un immeuble à deux niveaux, protégés par des douves sur lesquelles on a installé des autos, donnant l’impression qu’elles flottent. Cet endroit, à taille humaine (100 x 150 x 10 m), n’a rien à voir par exemple avec le domaine que possède Ferrari à Maranello, carrément impressionnant par son étendue et le nombre de bâtiments qui s’y trouvent. Mais au contraire du Cheval Cabré, Aston ne fabrique pas ses moteurs, qui sont assemblés à Cologne, en Allemagne. Donc n’a pas besoin de fonderie par exemple. A l’intérieur, le hall d’accueil se présente sous la forme d’une rotonde éclairée par une immense baie vitrée à travers laquelle passent d’agréables rayons de soleil automnaux. Ils mettent en valeur, si besoin est, les quelques autos exposées ici : Vantage AMR, Vanquish Zagato Volante, DB11... De l’autre côté, sur un mur, sont présentées des couvertures de magazines parlant d’Aston, dont Top’s Cars. Sympa ! On accède à un petit salon où on nous sert des rafraîchissements, avant de passer à la visite de l’unité de production, non sans avoir passé en revue les modèles d’un mini-musée qui lui sert de vestibule Un hall de rêve Photo 1/16 Grande baie vitrée, doux soleil de décembre, couleurs claires, ambiance relax... Le hall d'accueil de l'usine Aston de Gaydon est un endroit bien agréable. On est très loin du gigantisme qu'on attend de la part d'un constructeur aussi renommé, certaines concessions étant bien plus spacieuses ! Avant d'accéder à l'atelier proprement dit, on passe par un mini-musée où trônent quelques-unes des Aston les plus emblématiques. En premier plan, une Tourer de 1924, une auto simple, rustique mais déjà extrêmement soignée. Elle est robuste et légère, des caractéristiques indispensables pour une voiture de course de cette époque. En effet, avant l'avènement des circuits, les épreuves sportives consistaient en des courses de côte, sur des terrains très mauvais. Ici, les robots servent plus à soulager les employés de certaines tâches pénibles. Le travail manuel conserve une part importante, comme ici en sellerie. Un technicien installe le revêtement en cuir sur un siège, dont seule l'armature est livrée déjà assemblée, par Lear Corporation notamment. Tout comme les sièges, les tableaux de bord sont assemblés manuellement, sur une armature en aluminium fournie par un prestataire extérieur. Celui qu'on voit ici, devant prendre place dans une DB11, n'a pas encore reçu son combiné d'instruments. Chez d'autres constructeurs, ils arrivent prêts à être installés dans la voiture. Il serait particulièrement fastidieux (et peu productif) de réaliser à la main ces coutures au motif très complexe. C'est une machine qui s'en charge, avec un rapport vitesse/précision impossible pour un être humain. Sur ce tableau, on découvre tous les types de couture disponibles au catalogue. Les motifs révèlent un soin extrême en matière de design, ainsi qu'une sophistication permise par une automatisation ultramoderne. Quand la technologie rencontre la tradition. Il est toujours étonnant de voir cohabiter des machines du 21ème siècle et des méthodes de travail héritées de la révolution industrielle. Ici, ces personnes d'une adresse assez fascinante assemblent à la machine à coudre des ciels de toit. Mais qu'est-ce donc ? Il s'agit d'un revers de coiffe d'appuie-tête en cuir, sur lequel on voit le numéro de série de la voiture dans laquelle il va prendre place. A retenir si un jour vous voulez vous assurer de l'authenticité de votre Aston ! Cette carrosserie de DB11 sort tout juste de l'atelier de peinture. Tous les éléments sont peints en même temps pour éviter les différences de teinte, mais ils ne sont pas fabriqués sur place. On voit bien le volume impressionnant de l'ensemble moteur-boîte-pont réalisé selon un schéma transaxle. Ici, les techniciens assemblent manuellement un V12 au tube de poussée qui le reliera à la boîte en premier plan. Dans ce tube tourne l'arbre de transmission. Ceci est un train avant. Il est d'abord installé sur une structure amovible qui sera ensuite fixée sur le châssis de la voiture. Un vrai puzzle ! Notez les disques en carbone-céramique. Ici, la base roulante est presque terminée : moteur, transmission, suspensions. Le tout va être monté, par en-dessous, dans les structures déjà assemblées par ailleurs. Sur cette chaîne, on voit les voitures qui viennent de recevoir leur base mécanique ainsi que leurs roues. Ne reste plus qu'à y installer les éléments d'habitacle, réalisés juste à côté. Les Zagato sont assemblées sur ces chaînes et non en Italie, comme on pourrait le croire Cette DB11 est presque terminée. Le technicien finit d'installer les éléments d'habitacle. Ensuite, elle passera à la vérification finale, où ses moindres défauts seront examinés sous une lumière spéciale. Au besoin, elle sera rectifiée.

La petite astuces du jour avoir le bluetooth et écouter les MP3 en Aston Martin vantage ci-joint une petite vidéo [ltr] Pause -1:24 Paramètres visuels supplémentaires Accéder au mode Regarder et défiler Diffuser sur Chrome Cast Cliquez pour agrandir Remettre le son[/ltr]

traitement céramique Aston Martin Vantage mettre quelque goutte sur le tampon, mouvement de haut en bas et de droite à gauche, une pellicule légèrement opaque, 15 minutes de séchage, chiffon coton des mouvements circulaires jusqu à la suppression de l'opacité, finition a la polisseuse 3h00 de travail !!

Aston Martin vient de confirmer que la dernière phase de construction de la nouvelle usine au Pays de Galles avait été démarrée. La production débutera l'an prochain avec le premier SUV Aston Martin, qui aura droit à une motorisation hybride en provenance de Mercedes. 2019 sera une étape importante pour Aston Martin qui présentera son premier SUV et ira concurrencer Porsche, Lamborghini ou encore Maserati sur un segment inédit pour la marque anglaise. Le constructeur vient en effet de confirmer que la phase finale de la construction de la nouvelle usine, dans le sud du Pays de Galles, avait débuté. Elle est installée, en partie, dans des anciens locaux du ministère de la défense et permettra à Aston Martin d'embaucher 750 personnes au total pour travailler sur l'assemblage du SUV qui serait lancé fin 2019. Nous ne connaissons pas encore son nom définitif mais la rumeur annonce déjà la présence d'une motorisation hybride en provenance de Mercedes. Un partenariat qui existe déjà puisque le géant allemand fournit le V8 4.0 biturbo pour l'Aston Martin Vantage, notamment, qui va bientôt être proposée en transmission manuelle. Depuis le lancement de la DB11, Aston Martin est en pleine phase de croissance, et l'arrivée du SUV pourrait permettre à la marque de Gaydon d'augmenter sensiblement ses ventes. Chez Lamborghini, par exemple, l'arrivée du SUV devrait faire doubler les ventes annuelles. Si le modèle Aston Martin est bien accueilli par le public, le constructeur aurait alors des chances de tutoyer les 10 000 ventes annuelles.

Avec l'arrivée d'un V8 plus rationnel sous le capot de l'Aston Martin DB11 à peine quelques mois après son lancement, le V12 biturbo perdait une partie de sa raison d'être. Performances proches, poids plus élevé… L'arrivée de la version AMR, désormais seule DB11 à profiter du 12 cylindres, entend combler cette lacune en mettant l'accent sur la sportivité. Une simple façon de parler, l'Aston Martin DB11 étant l'héritière de la très bourgeoise DB9. Partant, une grande et distinguée GT pas spécialement alerte, avec peu d'appétence pour le sport. Le comble : sa version la plus modeste, dotée du V8 d'origine Mercedes AMG, se permet même d'être plus plaisante que le V12 de 5,2 litres biturbo. Moins puissante (510 ch contre 608 ch) mais moins lourde (115 kg d'écart) et mieux équilibrée, le V8 étant implanté davantage en retrait de l'essieu avant. Il n'y avait plus grand-chose à mettre au crédit du V12, Shocking ! Des turbos dans une Aston ? Oui, la DB11 les a inaugurés en 2016, à sa sortie. Simplement, le travail porté sur la gestion moteur et l'échappement vise ici à faire oublier, en partie du moins, les reproches émis à cette époque. Trop sage, trop lissé et timide dans les tours. 639 ch désormais, soit 30 ch de gagnés. Pas plus coupleux (toujours 700 Nm dès 1.500 trs/mn !), mais la gestion de la boite a été rendue plus rapide, surtout notables avec les modes Sport et Sport plus. Notons que la DB11 V12 AMR remplace purement et simplement la DB11 à V12 classique. AMR, pour Aston Martin Racing Il y a du mieux, soyons honnêtes, même si nous sommes encore loin de la virulence du V12 atmosphérique de la Vanquish S bientôt remplacée par la DBS Superleggera (elle aussi convertie au V12 biturbo). Sa furia s'arrête net à 6.500 tours, et se contente de délivrer une poussée linéaire 1.000 tours plus tôt. Essai Aston Martin DB11 AMR On trouve néanmoins de bonnes intentions dans ce gros moteur downsizé. Il gronde, tonne et sonne comme un beau diable à tous les étages et même s'il ne crépite pas et n'offre pas le même déchirement métallique que le vénérable 6 l atmosphérique (moins puissant mais autrement plus expressif), on est bluffé par sa vigueur. Les chronos progressent, aussi : 2 dixièmes de gagnés sur le 0 à 100 km/h (3,7 s, ce qui lui permet de prendre un peu plus ses distances avec le V8), et 335 km/h à bout de huitième. Chiffre que nous n'avons pu vérifier malgré de longues portions d'Autobahn, autour du lieu de notre essai aux environs du Nürburgring. Excellent terrain, néanmoins : le ruban est libre, pied droit, la boite descend deux rapports sans à-coup mais avec une relative paresse. On accroche 308 km/h quelques instants plus tard, ceci dit. Essai Aston Martin DB11 AMR Le nom est trompeur, finalement. Même estampillée Aston Martin Racing, la DB11 est loin d'être aussi radicale que l'appellation AMR laisserai présager. Mais le train arrière est devenu moins brouillon et la motricité bien plus rassurante. Même en mode Sport Plus, les déhanchements se rattrapent aisément. Simplement, l'endurance du freinage nous aura fait pester et vite rappelé à l'ordre. D'accord, profitons simplement de ses vocalises, du grondement rauque assez présent, en enroulant sans brusquerie. La suite du parcours, sur les routes du massif de L'Eifel entre Francfort et Cologne, nous fait sentir notre anglaise à l'étroit. Le bosselage du long capot, sous les yeux, et ses cabrages encore un peu trop prononcés en mode Confort... Sans parler de son empreinte au sol imposante : 4,74 m de long, quasiment 2 m de large. Essai Aston Martin DB11 AMR Avec 1.870 kg à déplacer, seulement 5 kg de moins que la DB11 V12 classique, le gain est symbolique. Lourde GT Certainement pas sportif, en tout cas. On compte toujours un quintal de différence avec la V8, et la direction n'a pas amélioré son toucher de route pas très communicatif. Sans réel bouleversement, l'amélioration est pourtant sensible. Surtout à mettre au crédit de la gestion de la boite améliorée, et les tarages de suspensions plus fermes font oublier les reproches que l'on faisait à la DB11 à sa sortie : trop placide, à la manière d'une lourde et grande GT qu'elle est. Là, le ressenti général est tout de même plus vivant, plus homogène sur les deux modes les plus sportifs, sans pour autant métamorphoser l'esprit initial. Une bête de chronos toute en retenue, en quelque sorte. Cette grosse mise à jour (ou rectification ?) nous laisse surtout le sentiment que la DB11 initiale serait sortie avec précipitation. L'AMR en serait donc l'arrivée à maturité. Essai Aston Martin DB11 AMR Raffinement intact Par contre, les étriers de freins et détails jaunes (ou verts, difficile à décrire…) ne sont pas obligatoires mais spécifiques aux 100 exemplaires de la série spéciale "Signature Edition" proposée au lancement. Tout comme les inserts de carbone que l'on trouve au niveau des ouïes latérales, du diffuseur... 30.000 € à ajouter aux presque 220.000 € demandés pour cette AMR (environ 10.000 € d'inflation par rapport au V12 classique), à vous de juger. Idem pour les rappels du même ton qui barrent la sellerie, et là encore, beaucoup (trop ?) de carbone orne l'habitacle. Dans une configuration plus conventionnelle, très peu de choses distinguent la V12 classique de l'AMR (calandre, optiques et sorties d'échappement plus sombres, seuils de portes siglés AMR). A lire : L'Aston Martin DB11 à l'essai, les performances sont-elles à la hauteur de sa ligne ? Essai Aston Martin DB11 AMR Fiche technique Aston Martin DB11 AMR Moteur : 12 cylindres en V, biturbo, 5.204 cm3 Puissance : 639 ch à 6.500 tr/mn Couple maximal : 700 Nm à 1.500 tr/mn 0 à 100 km/h : 3,7 s Vitesse maximale : 335 km/h Dimensions (L/l/h) : 4,739 m / 1,940 m / 1,279 m Empattement : 2,805 m Coffre : 270 dm3 Poids : 1.870 kg (1.770 kg à sec) Consommation (mixte / urbaine / extra-urbaine) l/100 km : 9,5 / 13,8 / 7,1 Emissions : 265 g de CO2/km Malus : 10.500 € Prix à partir de : 218.595 euros Prix du modèle essayé : 250.000 euros environ (Signature Edition) Bilan Nouvelle Vantage, DBS Superleggera... Cette AMR n'est pas la plus enthousiasmante de l'actualité Aston Martin, mais le surcroit de tempérament et de précision du châssis a le mérite de redonner au V12 son intérêt sous le capot de la DB11. Simple question de stature, pour tenir tête à des rivales qui se conjuguent elles aussi en 12 cylindres.

astuce prévention graissé le câble du frein à main

Petite astuce pour mettre le capuchon central de roue bien positionner son ergo avec le détrompeur de la jante le capuchon seras automatiquement dans l'axe de la valve de la roue

Aston Martin Vantage - Bientôt disponible avec une boîte manuelle Elle sera plus exigeante à conduire qu'avec la boîte automatique. L'Aston Martin Vantage est actuellement animée par le moteur V8 d'origine Mercedes-AMG. Ce moteur est couplé à une boîte automatique ZF à huit rapports et il développe 510 ch. Les choses pourraient s'accélérer pour la supercar anglaise, en recevant un moteur V12 ainsi qu'une boîte manuelle. C'est en tout cas ce qu'a laissé entendre Matt Becker, ingénieur en chef chez Aston Martin : "Le moteur V8 4,0 litres de Mercedes-AMG n'existe pas en boîte manuelle... le logiciel de gestion n'existe pas et nous devons le créer, de même pour le système de transmission" et de poursuivre : "C'est assez complexe à réaliser, mais nous aimons les challenges".Voilà qui est clair, Aston Martin travaille sur la mise au point d'une boîte manuelle qui sera couplée au gros moteur V8. L'ingénieur en chef n'a toutefois indiqué aucune date de commercialisation, laissant ainsi planer le doute quant au lancement de cette version. Cette version ne sera qu'une première étape, la Vantage devrait étoffer sa gamme comme l'explique Matt Becker : "La voiture que nous avons présentée n'est que le point de départ. Nous pouvons aller beaucoup plus loin, et nous avons toutes les compétences en main". En coulisses, il se dit que l'Aston Martin Vantage aura le droit à la version AMR, pour Aston Martin Racing, qui sera capable de faire beaucoup mieux que le modèle standard.

Aston Martin : Phase II atteinte à St Athan Aston Martin Lagonda a annoncé aujourd'hui la fin de la deuxième phase de travaux de son futur site de production de St Athan, en Galles du Sud, au sein duquel sera notamment produit le premier SUV de la marque dès 2019. Lancés en février 2016, les travaux sur le site de St Athan ont progressé suivant le planning originellement fixé par le constructeur britannique, avec une première phase complétée en février dernier comprenant un nouveau bâtiment dédié à l'accueil de la clientèle, à l'administration, aux bureaux du management ainsi qu'au restaurant des employés. La deuxième phase qui touche aujourd'hui à son terme a quant à elle été lancée en avril 2017, et sera suivie de deux autres phases qui verront notamment les trois super-hangars de St Athan (ancien site du Ministère de la Défense), transformés en véritable site de production high-tech. Les membres du Conseil d'Administration d'Aston Martin ont procédé à leur première réunion commune sur le site gallois, et 150 des 750 employés attendus à terme, ont déjà pris leurs fonctions dans le cadre des préparations de la phase de pré-production. Quand le site de St Athan sera achevé (fin 2018 début 2019), Aston Martin disposera de trois centres opérationnels avec ceux de Gaydon (son quartier général) et de Newport Pagnell (production).

La nouvelle sportive d'Aston Martin recevra bientôt des versions plus épicées. Pour l'instant, lAston Martin Vantage[/url] de nouvelle génération se contente d'un V8 biturbo de 4,0 litres de cylindrée développant 510 chevaux et 685 Nm de couple. Mais on le sait, il s'agit seulement de l'entrée de gamme. La sportive anglaise doit recevoir des versions plus performantes et plus puissantes à l'avenir. La Vantage S débusquée ? Ces images diffusées montrent justement un prototype de cette future Vantage plus puissante. Il s'agit probablement de la prochaine Vantage S, qui recevra un V8 plus puissant. Rappelons qu'Aston Martin pourrait également dévoiler une V12 Vantage dans les années à venir, histoire de donner une remplaçante à feue la V12 Vantage S. Mais il faudra se passer de la belle sonorité atmosphérique dans tous les cas...

En prévention de perforation ou encrassage . une petite astuce pour la protection métal déployé alu noir .

quelque photo pour réparation il est possible de le recoller ' super-glue' photo ci-dessous

Contrôler les fixations des durites. Pas de risque . Malgré ma passion pour la mécanique je ne peux m'empêcher d'enlever les caches pour admirer la qualité et le sérieux sur ce moteur malgré tout je vais apporter quelques petites modification pour éviter les futurs problèmes

Le rapport étroit Sportshift II 7 vitesses est la seule option de transmission pour le Vantage S, une toute nouvelle unité sur mesure par Graziano avec l'hydraulique de Magneti Marelli. Fonctionnant par palettes derrière le volant pour le mode manuel, il peut également être utilisé comme une voiture normale en appuyant sur le bouton D sur le tableau de bord. Les avantages de Sportshift II sont nombreux, il est nettement plus léger que précédemment - et plus léger que les boîtes de vitesses DSC similaires utilisées sur les concurrents, il est 20% plus rapide en changement de vitesse et avec des rapports rapprochés et permet au moteur de fonctionner dans la partie optimale de la courbe du tourque lors de l'accélération dure. Le moteur équipant la Vantage S est une version révisée du V8 de 4,7 litres, maintenant avec une puissance de pointe de 430 ch et un couple de 490Mn (10bh et 20Nm de plus que la V8 Vantage standard de 4,7 litres)). Ceci a été réalisé par un système d'admission d'air à soupape qui permet à plus d'air de circuler dans le moteur au-dessus de 3500rpm et une stratégie d'allumage agressive qui permet un allumage avancé pour une puissance maximale. Le léger inconvénient est que pour bénéficier le plus de cette stratégie, le S nécessite un indice d'octane élevé (99 ou 100 RON). Afin de distinguer le moteur S spec, le collecteur d'admission est peint en noir au lieu d'argent. L'échappement a également été modifié à celui de la V12 Vantage avec une plus grande capacité et moins de contre-pression, plus en mode «sport», la soupape d'échappement reste ouverte pour une plus grande partie de la plage de régime. La performance du S a été significativement améliorée par rapport à la voiture ordinaire avec une augmentation de la vitesse maximale de 180 mph à 189 mph. Les révisions du châssis comprennent une crémaillère plus rapide, un système de freinage avant à disques flottants avec six disques Brembo, de nouveaux ressorts et amortisseurs Bilstein, des pneus plus larges tout autour, des pneus arrière plus larges et un nouveau système dynamique de contrôle de la stabilité. La plupart des nouvelles caractéristiques extérieures de la Vantage S proviennent de la V12 Vantage . Ceux-ci incluent le nouveau pare-chocs inférieur avec le diviseur avant pleine largeur et la grande prise d'air inférieure qui alimente également l'air de refroidissement aux freins avant. Les seuils de style N24 / N400 ont été encore plus larges et sont identiques à ceux du V12. Sur le coupé, le couvercle de la botte a un rabat beaucoup plus grand pour donner une meilleure stabilité à haute vitesse en réduisant la portance arrière. Ci-dessous, sur le pare-chocs arrière est un nouveau diffuseur en fibre de carbone fabriqué à la main. Malgré les nombreuses similitudes extérieures entre le V8 'S' et le V12, le S n'a pas hérité des quatre grandes sorties d'air du capot. Le «S» a également reçu de nouvelles jantes de 19 pouces, uniques à la V8 Vantage S, avec un design distinctif en «V» qui donne une vision claire des freins avant de plus grand diamètre et des 6 étriers de pot. Disponibles en option sont une roue forgée légère à 10 rayons, même conception que celle utilisée sur le N420 mais plus large d'un demi-pouce à l'arrière. Afin de distinguer le S de la voiture standard, l'intérieur a quelques caractéristiques uniques pour représenter la nature sportive de la voiture. L'accrochage distinctif de triple voie est utilisé à l'intérieur des portes (avec le cuir plié), sur la console centrale et les panneaux de centre de siège. Les logos «Vantage S» sont brodés sur les dossiers des sièges (ou appuie-tête sur les sièges légers optionnels). Pour le 2012MY, en ligne avec le Virage , la voiture a adopté le design d'essuie-glace et de balayage «lame de poutre» de Garmin, incorporant des balais d'essuie-glace Bosch Aerotwin. À partir de 2016, le Vantage a reçu une nouvelle console centrale, basée de près sur celle déjà équipée du Vanquish . La V8 Vantage S est le modèle le plus ancien de la gamme Aston Martin 2017, qui devrait être remplacé par un nouveau modèle, propulsé par un moteur V8 construit par AMG vers la fin de 2017.