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Le constructeur automobile suédois Saab a été finalement placé vendredi 8 janvier en liquidation judiciaire, selon le syndicat IF Metall, dont un représentant est membre du conseil d'administration de la société. General Motors (GM), propriètaire de Saab, a engagé la firme spécialisée dans les restructurations AlixPartners pour procéder à un démantèlement ordonné du constructeur. Un liquidateur doit être théoriquement nommé samedi 9 janvier. Les repreneurs potentiels qui se sont manifestés au cours des derniers jours auront à négocier directement avec ce liquidateur. Pas moins de quatre offres auraient été formulées à la fin de la semaine. L'une d'entre elle a été faite par le milliardaire et grand argentier de la Formule 1, Bernie Ecclestone, associé au fonds d'investissement Genii Capital. Cette offre intervient après celle formulée par le petit constructeur néerlandais d'automobiles sportives haut de gamme Spyker. Par ailleurs, deux groupes suédois auraient également fait une offre de reprise de Saab selon le secrétaire d'Etat suédois Jöran Hägglund, responsable du dossier automobile. Selon la presse suédoise, parmi ces groupes figure un groupement dirigé par Haakan Samuelsson, 58 ans, ex-PDG du constructeur allemand de poids lourds Man, qui a quitté ses fonctions en novembre, et Jan Nygren, ancien secrétaire d'Etat social-démocrate et ancien directeur général du groupe de défense Saab. Le projet de ce groupement serait de produire de 45.000 à 50.000 voitures seulement par an, sans emprunt auprès de la Banque européenne d'investissement (BEI). En 2008, Saab avait vendu 93.295 voitures. Mais manifestement GM ne voulait pas revendre Saab en dépit des pressions du gouvernement suédois. Ed Whitacre, PDG de General Motors, estimait il y a quelques jours qu'un accord de dernière minute pour sauver Saab était peu probable. «Nous avons fait tout ce qu'il était humainement possible pour sauver Saab» a-t-il déclaré, ajoutant qu'aucun acheteur potentiel du groupe n'avait «mis de l'argent sur la table» et que le constructeur était «en mode de démantèlement». Saab a été mis en vente en début d'année 2009. Le fabricant suédois de voitures de luxe Koenigsegg avait trouvé un accord préliminaire avec GM en juin avant de s'associer en septembre avec le chinois BAIC pour financer cette transaction. Mais le groupe suédois a finalement renoncé fin novembre à cette opération. Le 18 décembre, GM avait annoncé la fermeture de sa filiale, faute de repreneur.

Les espoirs d'une reprise de Saab se sont un peu accentués vendredi avec l'arrivée de nouveaux candidats même si General Motors , maison mère du constructeur suédois en difficulté, envisage toujours son démantèlement. Le fabricant de voitures de luxe néerlandais Spyker a déposé jeudi soir une offre de reprise améliorée juste avant l'expiration de la date butoir fixée par GM. Le grand argentier de la Formule Un, Bernie Ecclestone, s'est lui aussi jeté dans la bataille en s'associant à l'offre présentée par la société d'investissement luxembourgeoise Genii Capital. GM a confirmé vendredi avoir reçu des propositions et être en train de les étudier. Mais le constructeur américain a aussi dit qu'il avait fait appel au cabinet de conseil Alixpartners pour superviser le démantèlement de sa filiale suédoise. Saab emploie 3.000 personnes en Suède. GM avait annoncé il y a trois semaines un "démantèlement ordonné" de Saab et, mercredi, son directeur général Ed Whitacre s'est montré peu optimiste sur la possibilité d'un sauvetage, évoquant les difficultés rencontrées par les candidats pour financer la reprise d'une société qui fonctionne à perte. "IRRESPONSABLE" Un responsable syndical de Saab a accusé vendredi GM de courir deux lièvres à la fois. Selon Stefan Lofven, président d'IF Metall, le conseil d'administration du constructeur suédois a décidé, lors d'une réunion vendredi, d'entamer la liquidation de la firme. "C'est irresponsable de la part de GM d'avancer en même temps dans deux directions différentes - à la fois vers une vente et un démantèlement", a-t-il dit dans un communiqué. Genii, qui a racheté récemment une grande partie du capital de l'écurie de F1 de Renault, a dit vouloir "travailler avec dynamisme à la conclusion heureuse d'une transaction avec tous les actionnaires appropriés de la société". Genii a ajouté que Saab était une "marque de valeur avec une image innovante sur de nombreux marchés automobiles clés". De son côté, Victor Muller, directeur général de Spyker, a déclaré poursuivre "un dialogue constructif avec GM concernant l'acquisition de Saab". "Nous pensons que la marque Saab a beaucoup de potentiel et nous aimerions sceller un accord aussi vite que possible", a-t-il dit dans un communiqué. Un média suédois rapporte par ailleurs que Jan Nygren, un ancien dirigeant de la branche aérospatiale de Saab également passé par le ministère de la Défense, est à la tête de l'un des groupes d'investisseurs suédois ayant également soumis une offre de dernière minute. Jan Nygren, joint par téléphone, a confirmé qu'il faisait partie d'un groupe d'investisseurs intéressés mais a refusé de donner davantage de détails sur l'offre qu'ils ont soumis. Des responsables du gouvernement suédois doivent rencontrer des représentants du conseil d'administration de GM en début de semaine prochaine à Detroit pour faire le point sur les garanties de prêts disponibles pour les repreneurs éventuels, mais aussi pour envisager le processus de démantèlement si aucun accord n'est conclu. "D'un côté, il s'agit de poursuivre le dialogue avec GM pour faciliter le processus de garanties de prêts", a déclaré le porte-parole du gouvernement, Frank Nilsson. "De l'autre, il s'agit d'obtenir plus d'informations sur l'avenir de Saab s'ils ne renoncent pas à leur décision de liquider."

Le fabricant de voitures de luxe néerlandais Spyker a déposé jeudi soir une offre améliorée pour Saab juste avant l'expiration de la date butoir fixée par General Motors, maison-mère du constructeur suédois en difficulté. "Nous avons poursuivi un dialogue constructif avec GM concernant l'acquisition de Saab. Nous pensons que la marque Saab a beaucoup de potentiel et aimerions sceller un accord aussi vite que possible", a déclaré dans un communiqué Victor Muller, directeur général de Spyker. GM, qui avait annoncé il y a trois semaines le démantèlement de sa filiale suédoise, n'a pas fait de commentaire à propos de l'offre de Spyker, ni d'autres offres éventuelles. Selon des informations de presse, au moins deux autres propositions de reprise ont été soumises à General Motors. "GM continue à recevoir et à jauger les offres pour Saab", a déclaré le constructeur américain dans un communiqué. "Nous considérons les discussions comme confidentielles et nous n'évoquerons aucun détail avant qu'une décision ne soit prise." Mercredi, le directeur général de GM, Ed Whitacre, s'était dit "peu confiant" dans le fait de parvenir à un accord de sauvetage, évoquant les difficultés rencontrées par les candidats pour financer la reprise d'une filiale qui fonctionne à perte. Faute d'accord, le géant de Detroit compte démanteler Saab, qui emploie 3.000 personnes en Suède. Selon une source au fait du dossier, des candidats de dernière minute se sont manifesté jeudi soir. Un quotidien suédois a rapporté que deux groupes suédois dont l'identité n'a pas été précisée allaient probablement lancer une offre sous la forme d'un rachat par les dirigeants (MBO). Une publication syndicale suédoise, Dagens Arbete, a par ailleurs rapporté que la société d'investissement Genii Capital, basée au Luxembourg, avait fait une offre sur Saab et rencontré le gouvernement suédois pour lui présenter ses projets .

Brésil: l'armée de l'Air préfère l'avion suédois au Rafale français L'armée de l'Air brésilienne préfère le chasseur suédois au Rafale pour moderniser son aviation en raison du prix de l'appareil français, affirme mardi le quotidien Folha de Sao Paulo qui dit avoir eu accès à un rapport technique confidentiel. Le Rafale de Dassault est en lice avec le F/A-18 Super Hornet de Boeing et le Gripen NG de Saab pour fournir 36 avions de combat multi-rôles au géant sud-américain, un contrat d'une valeur de plusieurs milliards de dollars. Folha, qui dit avoir eu accès aux conclusions d'un rapport de 30.000 pages, affirme que "le facteur financier a été décisif pour placer le Gripen NG, encore en phase de projet, en première position (...) Il est le moins cher des trois concurrents". Selon le journal, "Saab offre le Gripen pour la moitié du prix du Rafale, soit quelque 70 millions de dollars et l'heure de vol est quatre fois moins chère que celle du Rafale". Interrogé mardi par l'AFP, le ministère de la Défense s'est refusé à tout commentaire. Un porte-parole de l'Armée de l'Air (FAB) a déclaré à l'AFP "n'avoir rien diffusé sur la préférence de l'avion ou la remise du rapport au ministre (de la Défense Nelson) Jobim". Le président Luiz Inacio Lula da Silva, qui a exprimé sa préférence pour le Rafale en raison des transferts de technologie promis sans restriction par la France, a déclaré plusieurs fois que la décision finale serait politique et qu'il aurait le dernier mot. Dassault avait affirmé que si le Rafale était choisi par le Brésil, les six premiers appareils seraient construits en France et les autres 30 assemblés au Brésil. Le rapport des militaires souligne toutefois que le Rafale fait face à trois handicaps: - Son prix est resté prohibitif, contrairement à ce que le président français Nicolas Sarkozy avait promis à Lula. - Le transfert de technologie promis a été considéré en deça de l'ambition brésilienne. - L'avionneur brésilien Embraer, consulté par l'armée de l'Air, s'est dit peu intéressé par le projet en raison de ses faibles retombées technologiques et financières. Le rapport de l'armée de l'air brésilienne, plusieurs fois reporté, est technique et consultatif. Néanmoins, selon Folha, il va provoquer un bras de fer entre Lula et le commandement de la force aérienne qui n'ont jamais accepté la décision politique de leur président.

Spyker présentera une troisième offre au plus tard jeudi Le constructeur néerlandais de voitures de sport Spyker Cars planche sur une offre définitive de rachat de Saab, filiale de General Motors, et la déposera avant la date butoir du 7 janvier, a déclaré lundi le directeur général du groupe néerlandais. Selon l'édition de lundi du quotidien suédois Dagens Industri, Spyker Cars devrait réviser pour la troisième fois son offre concernant le constructeur suédois en difficulté, après le rejet par General Motors de deux précédentes propositions. "Nous avons obtenu le temps nécessaire pour formuler une offre définitive. Rien n'a été rejeté", a déclaré à Reuters Victor Muller, directeur général de Spyker. Il a refusé de dévoiler les détails de cette nouvelle offre. Saab a annoncé la semaine dernière que sa maison-mère General Motors avait renoncé à la date butoir du 31 décembre pour le choix d'un repreneur. Selon Paul Akerlund, responsable syndical chez Saab, General Motors a laissé aux candidats potentiels jusqu'à jeudi pour déposer leurs dossiers et mènera le cas échéant son projet de démantèlement progressif des activités du constructeur automobile suédois. "General Motors n'a fermé aucune porte", a-t-il déclaré.

La vente ou encore la fermeture définitive ou non de la filiale suédoise Saab du groupe automobile américain General Motors (GM) est toujours à l’ordre du jour. Alors que le constructeur automobile néerlandais Spyker, selon son P-DG cité par les agences de presse, s’attendait à une réponse à son offre de la part de GM, ce dernier a repoussé la date butoir initialement fixée au 31 décembre 2009 pour l’éventuel rachat de sa filiale et continue à examiner les offres selon un porte-parole de Saab. «Ce qui se passe, c’est que la date du 31 décembre n’est plus valable parce que General Motors a annoncé qu’il commençait à fermer [Saab] mais qu’il continuait en même temps à évaluer les offres», selon les déclarations à l’AFP d’Eric Geers, porte-parole de la marque suédoise en difficulté. Les discussions de GM sont toujours en cours avec le néerlandais Spyker qui a déposé une nouvelle offre le 21 décembre pour acquérir Saab. Sur une nouvelle éventuelle date butoir fixée pour le 7 janvier prochain, le porte-parole de Saab n’a pu faire de commentaire, précisant que c’est là une affaire entre le vendeur et l’acheteur. Cette filiale de GM en difficulté, employant 3 400 personnes, compte reprendre la production le 11 janvier après quatre semaines d’interruption. Cette décision «est conforme au plan de fermeture contrôlée de Saab annoncé par General Motors à la mi-décembre», a affirmé M. Geers. Toutes les commandes des clients de la filiale seront donc honorées, rassure son porte-parole. Rappelons que le groupe General Motors, déficitaire depuis près de vingt ans, cherche, depuis une année, à céder sa filiale suédoise qui produit Saab, dans le cadre de son plan de redressement. Une première tentative de reprise par le constructeur de voitures de luxe suédois Koenigsegg avait échoué en novembre de l’année dernière. Alors que le 18 décembre dernier, General Motors avait annoncé son intention de fermer Saab «de façon contrôlée» et au moment où les discussions étaient entièrement consacrées à la fermeture de cette filiale, le néerlandais Spyker, candidat au rachat, n’a pas baissé les bras et avait déposé une nouvelle offre trois jours plus tard et garde son optimisme. La presse suédoise avait écrit que GM avait accepté de reprendre les négociations sur la vente de Saab à Spyker après le retrait d’investisseurs russes impliqués aux côtés de ce dernier. Faut-il encore rappeler que la survie de Général Motors en 2009 est due à l’aide octroyée par le gouvernement américain, d’où sa volonté de vendre Saab avant la fin de l’année. Sa fermeture risque d’entraîner la perte de plus de 8 000 pertes d’emplois, sous-traitants compris.

GM se donne encore du temps pour céder Saab Le groupe automobile américain General Motors a repoussé la date-butoir initialement établie au 31 décembre pour une éventuelle cession de sa filiale suédoise Saab et continue à examiner les offres, a-t-on appris mercredi auprès d'un porte-parole de Saab. "Ce qui se passe, c'est que la date du 31 décembre n'est plus valable parce que General Motors a annoncé qu'il commençait à fermer (Saab) mais qu'il continuait en même temps à évaluer des offres", a déclaré à l'AFP Eric Geers, porte-parole de la marque suédoise en difficulté. General Motors est actuellement en discussions avec le néerlandais Spyker qui a déposé une nouvelle offre le 21 décembre pour acquérir Saab, qui compte 3.400 employés. Interrogé sur des rumeurs d'une possible nouvelle date butoir le 7 janvier, M. Geers a dit ne pas pouvoir faire de commentaire. "Je ne peux rien dire là-dessus parce qu'il s'agit de quelque chose entre le vendeur et l'acheteur", a-t-il dit. Saab va par ailleurs reprendre la production le 11 janvier après 4 semaines d'interruption, a indiqué M. Geers, une décision conforme au plan de "fermeture contrôlée" de Saab annoncé par General Motors mi-décembre, selon lui. "Nous produirons toutes les commandes de nos clients", a-t-il assuré. General Motors cherche depuis un an à céder Saab, déficitaire depuis près de 20 ans, dans le cadre de son plan de redressement. Un premier projet de reprise par le constructeur de voitures de luxe suédois Koenigsegg avait échoué en novembre. Le 18 décembre, General Motors avait annoncé son intention de fermer Saab "de façon contrôlée", mais le néerlandais Spyker, candidat au rachat, avait déposé une nouvelle offre trois jours plus tard. Spyker attend "cette semaine" une réponse de GM au sujet de son offre, a déclaré mercredi le PDG du constructeur automobile néerlandais, Victor Muller, à un quotidien suédois.

Pour Office, les bugs viennent de la traduction en français et des dictionnaires. Pour le 7, le système de sécurité des données est identique à celui de vista. Il existe un "Super Admin" caché qu'il faut activer et prendre sa place pour ne plus avoir ce problème.

Bonne et heureuse année 2010 à toutes et tous. Longue vie à SAAB ..... Maryline et Dominique

J'ai revu pour la Xième fois "Deep Impact" et j'ai constaté que la fouineuse roulait en 900 Classic 4P.

Je suis toujours sous Windows 7 ultimate 64 et j'en suis très content. La version définitive est vraiment d'une stabilité et d'une rapidité incroyable. Je suis aussi sous office 2010 et je suis en train de le "maltraiter" Certains bugs du 2007, connus uniquement dans la version "frenchies", sont toujours là et devraient être corrigés...

Un porte-parole du constructeur automobile suédois Saab annonce que sa maison mère américaine General Motors a renoncé à la date butoir du 31 décembre pour le choix d'un repreneur. Le groupe américain a annoncé dans le courant du mois son intention de mettre fin aux activités de sa filiale suédoise si aucun repreneur ne se présentait d'ici au 31 décembre. Spyker, petite société spécialisée dans les voitures de sport, a présenté une seconde offre de rachat de Saab juste avant Noël, deux jours après le rejet d'une première offre. Selon le porte-parole de Saab, GM continue d'étudier les propositions qui lui ont été soumises et a renoncé à la date limite du 31 décembre. Le porte-parole a précisé qu'il était difficile de dire pour l'instant à quelle date le constructeur américain rendrait sa décision. Saab a l'intention de redémarrer ses lignes de production en janvier après une interruption partielle liée à une réorganisation de l'activité, a-t-il ajouté.

General Motors poursuit son projet de démantèlement de Saab /Sce DETROIT, 24 décembre General Motors [GM.UL] poursuit son plan de démantèlement de sa filiale suédoise Saab annoncé la semaine dernière, en l'absence d'un acquéreur, apprend-on jeudi de source au fait du dossier. GM discute avec d'autres parties dans le cadre de ce démantèlement et estime très faibles les chances d'un accord de cession avec le néerlandais Spyker , ajoute-t-on.

Si on était sur la racine de "La gazette" = je dirais OUI Mais vu que Frag a créé cette section, je crois que des posts séparés permettent de suivre plus facilement l'évolution du dossier.

BAIC s'active pour développer sa marque avec la technologie Saab Beijing Automotive Industry Holding Corp (BAIC) développera activement sa propre marque, tant en Chine qu'à l'étranger, après avoir racheté à General Motors la propriété intellectuelle de sa filiale suédoise Saab. Lire la suite l'article Le cinquième constructeur automobile chinois a indiqué qu'il allait investir 33 milliards de yuans (3,4 milliards d'euros) sur trois ans dans la recherche-développement, après avoir déboursé 200 millions de dollars (140 millions d'euros) pour reprendre les technologies de Saab en matière de plateformes et de moteurs. Xu Heyi, le président de BAIC, a déclaré à des journalistes que son groupe partageait l'analyse selon laquelle l'acquisition de la "propriété intellectuelle de Saab peut permettre de réduire le temps de développement pour les propres marques de Beijing Auto de quatre à cinq ans". Xu Heyi a indiqué que son groupe envisageait de vendre 100.000 voitures de tourisme développées par lui-même en 2011. Un objectif jugé un peu ambitieux par Tan Kunyuan, analyste chez Changjiang Securities, qui estime que "cela prendra au moins un an pour le marché pour reconnaître la marque et BAIC devra sans doute modifier l'apparence des voitures Saab pour les adapter à la demande du marché chinois". Outre l'exportation directe de ses véhicules, BAIC prévoit également de créer des coentreprises à l'étranger pour faciliter ses ventes, a précisé Xu Heyi. Il a ajouté que BAIC avait dégagé un bénéfice net de 6 milliards de yuans et un chiffre d'affaires de 116 milliards en 2009, en vendant 1,24 million de véhicules. BAIC envisage également de s'introduire en Bourse, a dit son président sans donner plus de détails. Si Morgan Stanley a conseillé BAIC dans sa transaction avec Saab, on ne savait pas si la banque américaine intervenait également dans le projet de cotation en Bourse du groupe chinois.

Spyker prolonge la date butoir de son offre sur Saab L'action Spyker a flambé lundi, un jour après que le constructeur de voitures de luxe néerlandais eut dit avoir présenté une nouvelle offre sur Saab, filiale suédoise déficitaire de General Motors. Le groupe américain a annoncé dimanche qu'il voulait étudier plusieurs marques d'intérêt pour Saab, deux jours après la rupture des négociations avec Spyker, détenu partiellement par des capitaux russes. Spyker avait initialement sommé GM de lui apporter une réponse avant lundi 22 heures GMT. Spyker a finalement annoncé que la date butoir fixée pour l'examen de son offre était prolongée sans donner de calendrier précis. La ministre suédoise des Entreprises Maud Olofson avait déclaré de son côté que le gouvernement consacrerait 542 millions de couronnes à des mesures destinées surtout à amortir les répercussions d'une éventuelle fermeture de Saab. Ces mesures toucheront l'innovation et l'éducation notamment. Elle a ajouté que le gouvernement devait prendre pour hypothèse que la décision de fermer Saab serait effectivement mise en oeuvre. Elle estime que la nouvelle offre de Spyker représente une très faible lueur d'espoir mais qu'elle tombe très tard. L'action Spyker a clôturé en hausse de 19,88% à 2,05 euros. "L'action ne vaut pas grand-chose mais si le groupe réussit à acheter Saab, à investir et à redresser l'entreprise, alors elle vaudra quelque chose", a dit un analyste financier sous couvert d'anonymat.

Une offre de la dernière chance pour le constructeur Saab. Au surlendemain de l'annonce faite par General Motors de fermer sa filiale, faute d'être parvenu à un accord avec les repreneurs potentiels, le néerlandais Spyker a soumis une nouvelle offre dimanche. « La direction de Spyker a soumis une nouvelle offre dans l'espoir d'assurer un avenir à Saab, à ses employés et à la marque », d'après communiqué de Spyker, qui précise que cette offre est valable jusqu'à lundi 17h00. La proposition faite en onze points, qui «répond à tous les problèmes surgis durant les premières négociations», a le «soutien entier» de la direction de Saab, toujours selon le constructeur néerlandais. La nécessité d'obtenir avant fin 2009 le feu vert de la Banque européenne d'investissement pour un prêt de 400 millions d'euros sollicité par Saab ne fait plus partie des conditions. Le constructeur américain General Motors, qui n'a pu survivre à la tempête financière de 2008 que grâce aux massives aides gouvernementales américaines, cherche depuis janvier à se séparer de plusieurs de ses filiales, et notamment de Saab, dans le cadre de son plan de restructuration. Un premier projet de reprise par le constructeur de voitures de luxe suédois Koenigsegg avait échoué le mois dernier.

Super la tof de ta collègue ... Tu pourrais l'aider au lieu de prendre sa photo ... Pulv: le mari de ma kiné a eu un prob avec le graveur de son Toshiba à Teneriff, réparé sous 24H (ils ont changés le graveur à l'hôtel !!!!).

Pulvé??? Il déguste des pâtes pour le moment ...

Gourré???? C'est bien un lynx, l'histoire du chat, c'est de moi ...

Carte SIM ..... Reste bien sur BXL avec cette merde ou bloque toi sur un seul réseau !!!! Ne t'approche surtout pas des frontières au sinon ta femme te tue ... Exemple: SFR (National Français) est très puissant et passe souvent au dessus des réseaux belges aux abords de la frontière (ex: BEAUMONT) Le roaming (navigation en dehors de ton réseau comme sur les gsm)sur le net coute la peau des fesses ...

9.3 & 9.5 "Anciennes générations" soit les modèles "Début 2000" pas les dernières versions. Il reste donc à SAAB les 9.3 et 9.5 de la dernière génération et les futures.

Le PDG de General Motors a indiqué mardi être en pourparlers avec le Hollandais Spyker pour la reprise du constructeur suédois Saab. Ed Whitacre a jugé "possible" de conclure un accord d'ici la fin, précisant que si tel n'était pas le cas, GM fermerait purement et simplement Saab. "Si nous ne trouvons pas d'acheteur d'ici la fin du mois, nous fermerons", a-t-il déclaré à des journalistes. Le gouvernement suédois a dit être actuellement en train de travailler sur la des prêts garantis par l'Etat pour vendre Saab, qui emploie au total 4,500 personnes.