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xavier-teufteufteam

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Tout ce qui a été posté par xavier-teufteufteam

  1. c'est qui henri ??? sinon demande à françois il connait pas mal de monde chez les bangers
  2. Et oui le 3 mai il y a ladies 's race normalement !!! alors à toi de jouer car avec les mecs c'est autre chose
  3. oui c'est vrai il y a le lait, les oeufs, les femmes mais pas ferrari !!! enfin on verra allez alonso !!!
  4. trés bonne nouvelle !!! commme quoi la crise a quand même du bon
  5. salut thierry et bienvenue (enfin ) sur le forum Pour mettre une image tu dois diminuer une photo en 100X100 pixels et l'installer en passant par ton profil. Héberge ton image avant et copie le lien pour le coller.
  6. oui c'est plutôt un tri-ovale assez valonné et le point chaud c'est un virage à gauche en bout de ligne droite qui est abordé complètement en aveugle ... En plus ce virage se prend sérré puis il s'élargi et fini en se resserrant!!! Beaucoup de belles figures dans l'herbe dans ce virage
  7. Papy Martin fait de la résistance A plus de 50 ans, le vétéran de la NASCAR Sprint Cup s'est imposé depuis la pole position samedi sur le Phoenix International Raceway. La 36ème victoire en carrière pour Mark Martin est peut-être la plus importante. Le poleman de 50 ans a réussi à distancer Tony Stewart après un restart à six tours de l'arrivée pour remporter samedi l'épreuve des Subway Fresh Fit 500 en NASCAR Sprint Cup sur le Phoenix International Raceway. Avec cette victoire, Martin est devenu le plus vieux pilote à s'imposer en NASCAR Sprint Cup depuis Morgan Shepherd qui avait remporté une course à l'âge de 51 ans le 20 mars 1993 à Atlanta. La victoire de Martin est sa première depuis le 9 octobre 2005 sur le Kansas Speedway et sa première depuis son arrivée à la Hendrick Motorsports au début de la saison 2009. Stewart a terminé la course à la deuxième place devant Kurt Busch, Jimmie Johnson et Greg Biffle. Denny Hamlin, Martin Truex Jr., David Reutimann, Sam Hornish Jr. et Carl Edwards ont complété le Top-10 après qu'une neutralisation en fin de course pour un accident ayant impliqué Dale Earnhardt Jr. et Casey Mears n'ait complètement modifié le classement. "En 1989 avec Jack Roush (ancien patron de Martin), quand j'ai décroché ma première victoire à Rockingham, je me suis dit: C'est bon ! J'ai accompli tout ce que je veux dans ma vie. Mais je pense que je pourrais redire exactement la même chose ce soir. Cette victoire veut dire tellement de choses qu'elle est presque aussi importante que ma première. Nous avons fait quelques ajustements en début de course, mais après plus rien. Certaines voitures étaient plus rapide que nous à la mi-course, mais à la fin, personne ne pouvait rivaliser." Martin a pris la tête de la course à Earnhardt avec un dépassement dans le virage n°2 du 256ème tour des 312 que comptait l'épreuve sur le circuit de 1 mile. Il a ensuite creusé le trou sur ses poursuivants jusqu'à compter plus de quatre secondes d'avance sur Stewart avant qu'Earnhardt et Mears ne s'accrochent dans le tour 301. Le coéquipier de Stewart, Ryan Newman, a décidé de rester en piste et pointait donc en tête du peloton au moment du restart au 307ème tour. Mais dès le drapeau vert, il a perdu du grip et a rapidement du s'effacer devant Martin et les autres. A l'arrivée, Martin a coupé la ligne avec 0.734 secondes d'avance sur Stewart qui est une nouvelle fois passé très près de la victoire. "Nous étions si proches de la victoire. Nous allons en gagner une bientôt. Mais je suis content de voir Martin sur la Victory Lance. Il le mérite. Il avait la meilleure voiture ce soir." Le leader du championnat Jeff Gordon est passé très près d'un désastre à la mi-course. Au tour 149, un contact entre Gordon et la Toyota n°11 de Denny Hamlin a endommagé le passage de roue de la Chevrolet n°24. La carrosserie s'est mise à frotter contre la gomme et Gordon a commencé à perdre du terrain. Heureusement pour lui, deux tours plus tard, A.J. Allmendinger est parti à la faute et est venu percuter le mur dans le virage n°2 forçant les officiels à neutraliser la course pour la troisième fois de la soirée. Gordon a alors pu rentrer à son stand pour réparer au tour 152. Au tour 165, un contact entre Robby Gordon et Michael Waltrip a déclenché la quatrième neutralisation. Earnhardt, Gordon, Marcos Ambrose et David Stremme sont restés en piste alors que les autres voitures dans le tour du leader sont rentrés aux stands. Malgré ses vieux pneumatiques, J. Gordon est parvenu à rester dans le Top-10 jusqu'à ce que ses mécaniciens ne rencontrent un problème avec un écrou de roue lors d'un pit stop au tour 233. Pénalisé, Gordon a quand même réussi à limiter les dégâts pour terminer 25ème. Il ne possède plus que 85 points d'avance sur son coéquipier Johnson au classement général. Après son accident en fin de course, Earnhardt a coupé la ligne à la 31ème place. Kyle Busch a réussi à battre Stewart dans les stands lors du dernier ravitaillement sous drapeau jaune au tour 302, mais il a ensuite été pénalisé pour vitesse excessive. Il a finalement terminé à la 17ème place. Résultats de la course Pos. Pilotes 1 Mark Martin 2 Tony Stewart 3 Kurt Busch 4 Jimmie Johnson 5 Greg Biffle
  8. Déclarations aprés la course Sebastian Vettel (Red Bull, vainqueur) : "C'était la bonne décision de démarrer derrière la safety car : il y avait pas mal de flaques d'eau et, même si ça allait à certains endroits, j'avais pas mal d'aquaplanage à chaque tour, plus ou moins selon l'intensité de la pluie. Ce fut très dur pendant toute la course. Moi et Mark Webber savions être sur une stratégie à un premier relais cours (seul la Renault d'Alonso était plus légère au départ), il fallait donc attaquer au départ pour se détacher du peloton. Nous y sommes parvenus. Ce fut une course très difficile, je le répète, avec beaucoup d'aquaplanage. Parfois je ne faisais juste que rattraper la voiture pour la maintenir sur le circuit, tout en essayant de m'enfuir, tour après tour. Mais j'étais dans les meilleures conditions possibles, sans voiture devant moi. Ce fut confortable de ce point de vue pendant à peu près toute la course. L'aquaplanage était un problème, spécialement dans le dernier virage. Il est en légère montée et l'eau coulait. A certains endroits, je ne contrôlais rien. Je tentais de ne pas rétrograder ou freiner trop violemment. Il fallait être très prudent à chaque tour. Je suis très content d'avoir gagné une deuxième fois sous la pluie. La voiture était fantastique. Il faut vraiment souligner le très bon travail accompli par toute l'équipe pour préparer hier, en qualification, où nous avons rencontré des problèmes de fiabilité. Nous avons pu les résoudre dans la nuit. Ça parle de la qualité du team. Les deux voitures ont fini, signant un doublé. J'en suis ravi". Jenson Button (Brawn, 3e) : "Nous avons marqué autant de points qu'il nous était possible. Les conditions étaient assez folles avec des rivières partout sur le circuit qui changeaient à chaque fois qu'on y revenait. Le dernier virage, en particulier, était comme un lac et il était impossible de freiner. Je me débattais avec l'aquaplanage et les pneus se tordaient dans tous les sens car je ne pouvais les monter correctement en température. J'ai eu une bonne bagarre, de plusieurs tours, avec Mark Webber mais je n'ai pu rester avec lui. Nous ne pouvions battre les Red Bull et félicitations à Sebastian et Mark pour ce super résultat". Rubens Barrichello (Brawn, 4e) : "Ce fut une course éprouvante dans des conditions changeantes. Je n'avais que trois disques de freins qui marchaient dans les 19 premiers tours, ce qui a rendu les choses encore plus difficiles pour garder la voiture sur la piste. Le problème s'est résolu de lui-même à mon premier pit stop". Ross Brawn (Brawn, P-DG et directeur technique) : "Nous avons une bonne stratégie : nos pilotes avaient des réservoirs bien remplis pour leurs premiers relais, ce qui leur a permis de tenir l'écart avec les leaders. Cependant, avec une charge de carburant comparable, Vettel et Webber se sont échappés. Felicitations à Red Bull pour leur doublé". Heikki Kovalainen (McLaren, 5e) : "La visibilité était incroyablement faible, surtout dans les premiers tours après la rentrée de la safety car. Mais notre vitesse était correcte, et dans les derniers tours j'ai pu me rapprocher de Rubens [Barrichello], pas suffisamment cependant pour tenter une attaque. Notre stratégie était adaptée : finir dans le top cinq n'était pas possible". Lewis Hamilton (McLaren, 6e) : "J'avais une bonne vitesse dans les premiers tours mais j'ai assez vite détruit mes pneus. J'ai commis un peu trop d'erreurs. C'était glissant et mon pneu avant gauche était fichu avant la fin mais j'ai donné le meilleur de moi-même. Cet après-midi a été une vraie lutte". Timo Glock (Toyota, 7e) : "J'ai été surpris au départ de la course. Quand on est dans le peloton, on ne voit rien et c'est comme piloter en aveugle. J'ai gagné du terrain mais j'ai endommagé mon aileron avant et j'ai touché Nick [Heidfeld]. C'était si difficile de voir quelque chose, j'ai mal jugé mon point de freinage et je l'ai percuté à l'arrière. Il a fallu rentrer plus tôt que prévu pour réparer. Plus tard, j'ai eu une bonne séquence de cinq-six tours. J'étais assez rapide, mais j'ai ensuite été bloqué derrière Kimi [Räikkönen]. Je ne voyais pas les flaques et j'ai du ralentir, particulièrement à des endroits où je pouvais le passer. J'y suis finalement parvenu". Jarno Trulli (Toyota, abandon - accident) : "Ce ne fut pas une bonne journée pour moi. Les conditions étaient très difficiles, il y avait beaucoup de flaques et beaucoup d'aquaplanage. Lorsque la safety car s'est effacée, j'ai pris un bon départ et mon allure était correcte dans les premiers tours. Puis j'ai commencé à lutter pour avoir du grip, ma vitesse a chuté et plus ça allait plus je perdais du terrain. Au tour 17, j'ai senti un énorme choc à l'arrière (ndlr, la BMW de Kubica) et j'ai perdu mon aileron arrière. Je suis rentré au stand mais il n'y avait rien à faire". Tadashi Yamashina (Toyota Motorsport, président) : "Timo [Glock] ne s'est pas très bien débrouillé dans son dernier tour de qualification mais il ne renonce jamais. Aujourd'hui, il s'est retrouvé deux fois en queue de peloton mais il a fait preuve d'un super esprit combatif en passant plusieurs voitures pour ramener deux points. Jarno [Trulli] a lutté pour fructifier sa bonne position sur la grille (6e) et nous devons y regarder de plus près pour comprendre se qui s'est passé". J'attend avec impatience les déclarations d'Alonso !!!
  9. Red Bull, le grand bond en avant Red Bull a signé sa première victoire, grâce à Sebastian Vettel, et même son premier doublé, avec Mark Webber, sous la pluie de Shanghai, dimanche. Jenson Button, victorieux des deux premiers GP, a terminé 3e, devant l'autre pilote Brawn, Rubens Barrichello. Nouvelle faillite de Ferrari. Après Brawn GP, Red Bull Racing est entré à son tour dans le cercle des écuries victorieuses cette année en marquant de son sceau le Grand Prix de Chine, 3e manche du Mondial, d'un doublé de fort belle facture. Dimanche, à Shanghai, Sebastian Vettel a livré un copier-coller parfait de sa chevauchée fantastique italienne de l'an passé. Comme à Monza, l'Allemand de 21 ans est parti en tête et a dominé le peloton sous la pluie. Avec l'assurance qui fait sa marque de fabrique, "Baby Schumi" - surnom "inventé par les journalistes" qu'il déteste mais qui lui colle à la peau, s'est même permis de régler Jenson Button dans les derniers tours alors qu'il avait juste à attendre que la Brawn rentre ravitailler pour repasser logiquement devant. L'Anglais, N.1 au classement de la Fédération internationale de l'automobile, a livré un beau duel à l'Australien Mark Webber, qui a magnifié la réussite de l'écurie de Milton Keynes en prenant la 2e place. Dietrich Mateschitz, homme d'affaire autrichien spécialisé dans les coups marketing, peut se frotter les mains : la Chine et ses 1,4 milliards de consommateurs potentiels était sûrement l'endroit rêver pour faire exploser la notoriété de sa boisson énergétique. "C'était la bonne décision de démarrer derrière la safety car : il y avait pas mal de flaques d'eau et, même si ça allait à certains endroits, j'avais pas mal d'aquaplanage à chaque tour, plus ou moins selon l'intensité de la pluie", a commencé par expliquer le génie, en référence aux neuf premiers tours de course sous régime de neutralisation. "Ce fut très dur pendant toute la course. Moi et Mark Webber savions être sur une stratégie à un premier relais cours (seule la Renault d'Alonso était plus légère au départ), il fallait donc attaquer au départ pour se détacher du peloton. Nous y sommes parvenus. Ce fut une course très difficile, je le répète, avec beaucoup d'aquaplanage. Parfois je ne faisais juste que rattraper la voiture pour la maintenir sur le circuit, tout en essayant de m'enfuir, tour après tour. Mais j'étais dans les meilleures conditions possibles, sans voiture devant moi. Ce fut confortable de ce point de vue pendant à peu près toute la course. L'aquaplanage était un problème, spécialement dans le dernier virage. Il est en légère montée et l'eau coulait. A certains endroits, je ne contrôlais rien. Je tentais de ne pas rétrograder ou freiner trop violemment. Il fallait être très prudent à chaque tour". "Nous avons marqué autant de points qu'il nous était possible" , a estimé Jenson Button, 3e devant son coéquipier Rubens Barrichello, et qui reste en tête de la série, avec 21 points soit six de plus que le vétéran brésilien. "Les conditions étaient assez folles avec des rivières partout sur le circuit qui changeaient à chaque fois qu'on y revenait. Le dernier virage, en particulier, était comme un lac et il était impossible de freiner. Je me débattais avec l'aquaplanage et les pneus se tordaient dans tous les sens car je ne pouvais les monter correctement en température. J'ai eu une bonne bagarre, de plusieurs tours, avec Mark Webber mais je n'ai pu rester avec lui. Nous ne pouvions battre les Red Bull et félicitations à Sebastian et Mark pour ce super résultat".
  10. normalement il t'inscrit sur la prochaine course, néanmoins il faudra faire l'appoint si la course est plus chère ou inversement, mais je te conseille de prendre contact avec lui par mail
  11. Pour le prochain meeting du 3 Mai Paul Poulter sera dans la voiture #77 de Tony Roots. Paul est un pilote très expérimenté ayant couru en Superstox pendant de nombreuses années, SHP Pick-Ups à Rockingham et l'année dernière, 3 participations dans la Craftsman Truck Series en Amérique. C'est un pilote trés vif et à condition qu'il puisse s'adapté au règlement de la ligne blanche, sa participation devrait être couronnée de succès. Pour Tony Roots le meilleur pilote du week end de pâques fût Christoff Vandekerkove qui a toujours été dans le top avec une voiture qui n'est pas la sienne. Il reste une voiture de location libre pour le prochain speedway, alors avis aux amateurs !!!
  12. En tout cas l'équipe de télévision a été trés impressionnée et ne s'attendait pas à autant de spectacle. Je communiquerais les dates de diffusion dés que je serais averti.
  13. Lydden Hill est confirmé pour le 27 Juin (la veille de Warneton !!!) et Tony Roots espère une forte participation des anciennes Camso V8 comme des anciennes Ascar qui roulent chez eux pour la première fois !!! car ELMS a investi en payant assez cher les entrées pour ce meeting et espère bien avoir fait le bon choix pour la réputation de la nouvelle série. Les essais sont prévus vers midi et aprés la pause déjeuner la première course de l'aprés midi. Il est prévu trois manches de 25 tours et si il y a un bon nombre de V8 la finale pourrait être plus longue. Aprés la finale retour par le ferry pour Warneton.
  14. xavier-teufteufteam

    sierra 2l

    Donc je ferme !!!
  15. Qualification : déclarations Voici ce qu'ont dit les principaux protagonistes après la qualification à Shanghai, samedi. Sebastian Vettel (Red Bull, pole position) : "Tout s'est fait à la dernière minute. Je n'ai fait qu'un tour chrono en Q1, à la fin en 'medium', et aussi en Q2, 'en très tendre'. Comme on l'a vu, ça suffisait mais ce ne fut pas facile car nous avions un problème avec la voiture. Nous devions tourner le moins possible. La voiture était rapide, j'ai de suite été bien classé en Q1 et Q2. Mais je n'avais qu'un tour, et tout écart de trajectoire ou toute erreur m'éliminait. En Q3, dans le premier run, tout le monde s'épiait entre équipes en regard de l'amélioration de la piste en Q2. Nous ne savions pas à quoi nous attendre dans le premier run avec la lourde charge d'essence. Il ne s'agissait pas de s'adapter : il fallait que tout marche dès le début. Par chance, j'ai fait un très bon tour. J'étais très content, même si vers la fin de mon tour mes pneus étaient bien entamés. C'était pile ce qu'il fallait et après le dernier virage, j'avais encore un bon grip. Je suis donc très, très content. Nous avons cette pole. Vendredi avait déjà été une bonne journée. Nous avions eu quelques problèmes ce matin (ndlr, suspension arrière en libres) et ce n'était pas idéal. C'était comme en Australie : moins je tournais en essais libres et plus j'allais vite en qualification ! Je suis ravi pour l'équipe. Je lui adresse un grand merci, spécialement aux mécaniciens qui ont travaillé très durs, toute la nuit. Dimanche, la course sera longue et nous n'avons pas encore marqué de point cette saison. Mais nous avons la voiture pour y parvenir". Fernando Alonso (Renault, 2e) : "C'est un week-end étrange pour nous, avec une voiture complètement nouvelle ce matin (équipée d'un double diffuseur livré dans la nuit). Je n'avais fait que trois tours chrono en libres 3 (six en tout) et je suis allé en qualification avec des doutes, en aveugle. Nous ne savions pas comment la voiture allait répondre. Nous sommes donc extrêmement contents du résultat. C'est une grosse motivation pour toute l'équipe qui a bossé à fond ces trois-quatre dernières semaines. Les gars n'ont dormi qu'une heure ou deux heures cette nuit. Quand les gens font un boulot pareil, il faut sortir une perf au volant. Il n'est pas question de faire une erreur, un truc de travers. Je suis heureux de cette performance. Tout le mérite en revient à l'énorme effort produit par le team. Les deux premières courses de la saison n'ont pas été un désastre. La voiture se comportait bien et n'était simplement pas assez rapide. En trouvant 0.3 ou 0.4 sec, on gagne 8 ou 9 places. C'est ce qui est intéressant dans ce championnat : tout pas en avant réalisé, toute nouvelle pièce mise sur la voiture peut faire gagner beaucoup de positions. Nous l'avons prouvé aujourd'hui. Mais il va falloir voir ce que ça donne dimanche, avec le plein et tout le reste. Nous avons atteint la Q3 de façon relativement confortable. C'est quelque chose de nouveau que nous n'avions pas connu dans les deux premières courses". Nelson Piquet (Renault, 17e) : "Je ne disposais pas des nouveaux éléments mécaniques apportés pour la voiture de Fernando (double diffuseur), mais c'est décevant de ne pas pouvoir entre en Q2 car malgré cela, la voiture fonctionnait très bien ce matin. Nous avions réussi à améliorer son comportement depuis vendredi". Pat Symonds (Renault, directeur exécutif de l'Ingénierie) : "La première ligne de Fernando [Alonso] est une belle réponse pour tout le travail effectué à l'usine afin de disposer de notre nouveau diffuseur à temps, juste après le verdict du Tribunal d'Appel de la FIA. Cet élément fonctionne comme prévu, mais nous avons connu une petite alerte ce matin, lorsque les échappements brûlaient la carrosserie. Une fois encore, les mécaniciens ont réalisé un magnifique travail pour corriger le problème. Maintenant, il nous faut fournir le même équipement à Nelson [Piquet] pour lui donner une chance de partir de plus haut sur la grille". Rubens Barrichello (Brawn, 4e) : "Ce fut une bonne qualification mais on a pu voir à quel point la F1 peut progresser rapidement. Nous avons été surpris de voir que les Red Bull étaient rapides et la compétition a été forte devant. Elles seront durs à battre. Mais nous avons une bonne stratégie et Jenson et moi connaissons le chemin du podium". Jenson Button (Brawn, 5e) : "Notre voiture est bonne ici mais d'autres ont été meilleures. On a pu voir en Q2 que les 'Bulls' étaient très rapides dans les virages à haute vitesse". Jarno Trulli (Toyota, 6e) : "La qualification fut rude pour moi et je suis déçu du résultat car, après les essais libres 3, je pensais que nous avions la vitesse pour être devant. Cependant, comme en Australie, le grip s'est évanoui entre le matin et l'après-midi. Quelque chose a manqué et, après ça, la voiture n'était était plus. J'ai même du attaqué fort pour rentrer en Q3. Je reste content de mon dernier tour et 6e est une place correct pour le départ". Timo Glock (Toyota, 14e+5 places) : "En libres 3, j'ai eu un problème de boîte de vitesses après trois ou quatre tours et nous avons perdu toute la séance. J'étais donc court en temps de piste en allant en qualification. La voiture était différente de vendredi et elle était déjà piégeuse en Q1. Je ne pouvais aligner un tour correct et j'ai dès lors su qu'il serait difficile d'aller en Q3 en raison des chronos serrés. C'était glissant et je n'avais pas confiance en la voiture. J'ai commis une erreur dans mon dernier tour. Ma pénalité signifie que je pars du fond de grille et que j'espère la pluie".
  16. Greg Biffle enlève la course de Nationwide à Phoenix Le pilote de la Roush Fenway Racing Greg Biffle a remporté cette nuit les Bashas' Supermarkets 200 sur le Phoenix International Raceway pour décrocher sa seconde victoire dans la série après son succès de Las Vegas. Il s'agit également de la centième victoire de la Roush Fenway Racing dans cette seconde division de la NASCAR. Biffle à pris la décision de ne pas s'arrêter aux stands au tour 181 tout comme Jason Leffler, alors que pas moins de quatorze des dix sept voitures dans le tour du leader ont pénétré dans la ligne des stands à ce moment là. Finalement, les deux pilotes cités ont terminé premier et second. Leffler termine a 0.339 secondes de Biffle alors que Brad Keselowski, Joey Logano et Kevin Harvick terminent également dans le top-5 de ce rendez-vous. Kyle Busch termine seulement dixième mais s'empare de la tête du championnat en profitant des malheurs de Carl Edwards, seulement 33ème hier soir à Phoenix. Busch a maintenant 47 points d'avance sur le champion 2007 avant l'épreuve toujours très attendue de Talladega. Les trajectoires de Busch et Edwards se sont inversées au fil de la course. Dans un premier temps, le plus jeune des frères Busch avait perdu deux tours lors d'un arrêt sous drapeau vert au tour 50 suite à une crevaison lente sur son pneu avant droit. Il a ensuite réussi à regagner un tour de retard sous drapeau vert en passant le poleman Carl Edwards au tour 95. C'est à ce même moment que le pilote Ford à commencé à avoir des problèmes moteurs que son équipe à décidé de traiter lors d'un prochain arrêt sous drapeau jaune. Busch a ensuite regagné son second tour en étant lucky log lors de la quatrième neutralisation au tour 109. Peu après le restart au tour 114, le champion 2007 de la Nationwide a emmené sa voiture dans les garages. Son équipe à diagnostiqué un problème de rappel de soupape et l'a renvoyé en piste avec une réparation de fortune. Edwards a perdu 25 tours dans l'affaire. Busch est ensuite parvenu à remonter jusqu'à la sixième place avant de perdre des position pour finalement terminé de justesse dans le top-10. Résultats de la course Pos. Pilotes 1 Greg Biffle 2 Jason Leffler 3 Brad Keselowski 4 Joey Logano 5 Kevin Harvick
  17. Mark Martin encore en pole position Mark Martin a signé vendredi soir sa troisième pole position de la saison en signant le meilleur temps de la séance de qualification des SUBWAY Fresh Fit 500 sur le Phoenix International Raceway. C'est sa 44ème pole position en carrière et sa première sur ce circuit. Le vétéran de la NASCAR a bouclé son meilleur tour en 26.903 secondes à 133.814 mph de moyenne. Lors de cette séance de qualification, il a devancé Kyle Busch au volant de sa Toyota n°18 de la Joe Gibbs Racing qui a bouclé son meilleur tour en 26.921 secondes à 133.725 mph de moyenne. C'est Kurt Busch qui a réalisé le troisième temps de la séance devant le leader du classement général Jeff Gordon et Brian Vickers qui complètent le Top-5. C'est Scott Speed (18ème) qui a été le meilleur rookie de cette séance de qualification. Ce bon chrono lui permet de décroché son billet pour la course qui se déroulera samedi soir. Todd Bodine, Jeremy Mayfield, Dexter Bean, Brandon Ash et Trevor Boys n'ont pas réussi à se qualifier pour la course. Résultats des qualifications Pos. Num. Pilotes Vitesse 1 5 Mark Martin 133.814 2 18 Kyle Busch 133.725 3 2 Kurt Busch 133.700 4 24 Jeff Gordon 133.690 5 83 Brian Vickers 133.551
  18. espéront qu'il fasse impression et peut être qu'il aura un bacquet prochainement.
  19. Sur camso.com : "privé car:La batterie doit être bien fixée. Si elle est placée à l’intérieur, elle doit être conforme au règlement général pour la construction des voitures d’autospeedway (voir page 6). " "page 6: BATTERIE et COUPE-CIRCUIT. La batterie doit être bien fixée et doit être munie d’un couvercle antiacide (en mousse ou caoutchouc), afin d’éviter l’écoulement d’acide. Le coupe-circuit doit être placé à un endroit facilement accessible du pilote et des services d’intervention. Le coupe-circuit doit être indiqué avec une flèche d’électricité rouge. " Voilà !!!
  20. Un démarrage réussi pour la Série ELMS La première des European Late Model Series a eu lieu pendant le week-end de Pâques, les 12-13 avril 2009, à l'International Speedway Warneton en Belgique. Une grille forte de 18 voitures en concurrence sur les 3/8 mile avec virages banking, excitant les foules avec pare-chocs contre pare-chocs et le vrombissement des moteurs V8. Le dimanche 12 avril, John Steward prend la pôle position avec les autres ex-pilotes ASCAR Daniel Boys et Tony Hurdle qui complètent la première série de voitures sur la grille. Steward a fait un bon départ dans la #75 et mène la course suivi de l'ancien pilote CAMSO V8 Gary Ellis, qui est rapidement remonter du fond de grille. Cependant, un drapeau jaune au 4ème tour est survenu après un tête à queue du N ° 07 Français Jean Vasseur. Dés que la course est relancée, Ellis en profite et dépasse Steward, il restera en tête jusqu'au drapeau à damiers. Le Belge Xavier Vandermeersch prend la deuxième place et la voiture # 77 de Roots V8 Racing, conduite par Christof Vanderkerckhove, arrache la troisième place. Tony Hurdle prend la pole pour la deuxième course du week-end. Boys commence à ses côtés avec Steward derrière suivis par les pilotes de location Franck Liotard et Serge Blanquart. T.Hurdle tiens la tête pendant une grande partie de la course, alors qu’ Ellis et Vandermeersch remontent tout le paquet de l'arrière du peloton. A mi-chemin, J.Steward dérape dans les virages 3 et 4, permettant à X.Vandermeersch de profiter du restart et d’assurer la première place, le # 95 d’ Ellis juste derrière, avec C.Vanderkerckhove troisième, quatrième T.Hurdle et le Néerlandais Wim Moonen en cinquième position. Dans la finale de Dimanche on a vu D.Boys en pôle maintenir T.Hurdle à bonne distance, J.Steward et B.Andrews jusqu'à G.Ellis dérapent dans les virages 3 et 4. La course a été verte pendant deux tours avant que sorte un autre drapeau jaune pour J.Vasseur qui a fait un tête à queue à l'entrée du virage 3. Au redémarrage, J.Vasseur, S.Blanquart et G.Ellis se retrouvèrent à trois voiture de face dans le virage 1. Comme D.Boys a pris large, J.Vasseur, C.Vanderkerckhove, G.Ellis et W.Moonen sont passé à l'intérieur. J.Vasseur se retrouva en tête, mais ne pouvait pas repousser Ellis, qui a réussi à prendre sa deuxième victoire de la journée. Pour la course de lundi le temps a continué à se réchauffer et c’est. J.Steward,pour la première de la journée européenne du Late Model Series tours, qui a pris à l'avantage sur la grille une fois de plus. B.Andrews a eu un bon départ avec sa Chevrolet Impala, en passant trois voitures dans les deux tours pour se positionner à la quatrième place. Un arrêt de course, qui a vu le # 88 Kelvin Hassell recevoir de lourds dégâts de carrosserie, a permis à Andrews de passer D.Boys et T.Hurdle pour la deuxième place. L’American a ensuite réussi à trouver l'espace pour passer J.Steward et franchir la ligne d'arrivée en première place. Dans le 4ème round de la saison on a vu D.Boys en pôle, avec Steward qui a rapidement accéder à la tête et augmenter son avance. T.Hurdle n'est pas loin derrière, avec W.Moonen en troisième et X.Vandermeersch en quatrième position. W.Moonen était dans le rythme, et passe le # 75 et T.Hurdle pour prendre la tête. X.Vandermeersch qui a réussi à réduire l'écart, passa W.Moonen pour se garantir la plus haute marche du podium. J.Stewart ne finira pas cette manche victime d’une crevaison. Lors de la dernière course du week-end, T.Hurdle a pris la tête, suivi par J.Steward et Boys. Une neutralisation pour le # 71 de Zore Bertrand, qui a glissé dans le virage 1, permettra à Jos Jansen (Raptor Racing) dans le # 222 de passer à l'extérieur pour prendre la tête. J.Jansen est sorti large laissant un trou que le # 77 de C.Vanderkerckhove a vite fait de combler. C.Vanderkerckhove a juste décroché la tête qu’un drapeau jaune est agité pour un incident impliquant J.Steward et Anton Gonnissen: J.Steward a été forcé de quitter la course, la voiture étant trop endommagée. Au redémarrage, G.Ellis attaqua par l’extérieur pour passer le # 77, tirant derrière lui C.Vanderkerckhove. X.Vandermeersch a également augmenté le rythme pour prendre la troisième place à J.Jansen. G.Ellis a obtenu sa troisième victoire de la saison et devient à présent le leader du championnat. Traduit par xavier : source www.latemodel.eu
  21. Ron Dennis officialise son départ Le président de McLaren-Mercedes Ron Dennis a officialisé jeudi son départ de McLaren Racing, une des divisions du Groupe McLaren qui s'occupe notamment de l'écurie de Formule 1 McLaren-Mercedes, où Martin Whitmarsh lui succède. Ron Dennis, 61 ans, avait annoncé mi-janvier qu'il allait céder sa place à Martin Whitmarsh pour prendre la tête de McLaren Automotive, une autre filiale du groupe, qui va lancer dans les mois à venir des modèles de voitures de sport haut de gamme. La passation de pouvoir était initialement programmée pour le 1er mars mais elle n'a été officialisée que jeudi matin lors d'une conférence de presse tenue à Woking au siège de McLaren, près de Londres. "En tant que directeur exécutif de McLaren Automotive, Ron Dennis va participer au développement de la nouvelle filiale des voitures de sport. À compter de ce jour, Ron Dennis a cédé ses responsabilités de président de McLaren Racing à Martin Whitmarsh, qui sera responsable des activités de McLaren Racing en plus de son rôle de chef d'écurie pour McLaren-Mercedes", a indiqué McLaren dans un communiqué. Ron Dennis occupait ces fonctions depuis plus de 27 ans. S'il avait assisté au Grand Prix d'Australie, en ouverture de la saison à Melbourne, Ron Dennis n'était en revanche pas présent en Malaisie pour la deuxième épreuve, le premier Grand Prix qu'il manquait depuis de nombreuses années. Polémiques "J'étais au Grand Prix d'Australie même si je n'étais déjà plus dans le rôle de directeur d'écurie, a indiqué Ron Dennis. Je l'avoue, c'était un sentiment étrange. La course suivante, en Malaisie, je l'ai regardée en Grande-Bretagne, à la télévision, une activité que j'ai trouvée très confortable. Je m'attendais à plus d'émotion après avoir assisté à tant de Grands Prix pendant tant d'années." Le départ de Ron Dennis n'est "pas lié" aux polémiques nourries auxquelles McLaren-Mercedes se retrouve confronté depuis le Grand Prix d'Australie, après que l'écurie et son pilote Lewis Hamilton eurent menti à la Fédération internationale de l'automobile (FIA), a indiqué de son côté Martin Whitmarsh à Shanghai, où va se courir le troisième Grand Prix de la saison ce week-end. Coupables d'avoir masqué la vérité sur un dépassement du Britannique par Jarno Trulli (Toyota) alors que la course était neutralisée, Hamilton et son écurie avaient été déclassés. McLaren-Mercedes en répondra le 29 avril devant le Conseil mondial de l'automobile, une instance de la FIA. "Ron, de ce que je sais, n'était pas impliqué dans ce qui s'est passé en Australie", a expliqué Martin Whitmarsh lors d'une conférence de presse à Shanghai. "Toute personne qui a observé les relations entre McLaren-Mercedes et la FIA comprendra qu'il est plus sain que ces relations s'améliorent", a toutefois remarqué le nouveau patron de McLaren-Mercedes, Ron Dennis entretenant des rapports notoirement mauvais avec Max Mosley, le président de la FIA.
  22. Flavio Briatore critique la FIA Flavio Briatore, le patron de l'écurie de Formule 1 Renault, s'est montré très critique, jeudi à Shanghai, envers la Fédération internationale de l'automobile (FIA), qui a déclaré conforme l'aérodynamique de Toyota, Brawn GP et Williams. Toutefois Renault, qui s'était déjà penché sur la solution du double diffuseur en 2008, part avec une marge d'avance sur les autres écuries et devrait avoir son diffuseur installé d'ici samedi, selon le patron de l'équipe. "Mais l'impact financier est énorme, c'est sûr", a-t-il tempêté. La décision de la FIA oblige en outre les autres écuries à développer leur propre diffuseur, ce qui pourrait leur coûter "10 millions d'euros" chacune, car elles doivent revoir "tout leur package aérodynamique", a expliqué Briatore. Mercredi, la Cour d'appel de la FIA a validé les diffuseurs (ou extracteur, un élément aérodynamique améliorant les appuis des monoplaces) de ces trois écuries, au grand dam de Renault, Red Bull, Ferrari et BMW Sauber, qui niaient leur conformité au règlement 2009. "Quand on parle du règlement, on parle aussi de son principe. On a toujours pensé, avec Ferrari et les autres, que les appuis devaient être interdits. C'est la direction qu'avait pris la FIA. L'année dernière, Renault voulait faire à peu près la même chose (au niveau des diffuseurs) et on a été stoppé par la FIA", a déploré Briatore. "Un problème comme ça, on doit le résoudre avant le premier GP", a affirmé Briatore, qui a appelé à plus de clarté dans le règlement. "Il faut que ce soit noir ou blanc. Si c'est gris, il faut prendre une décision pour tout le monde", a-t-il notamment déclaré. "Je veux des règlements que moi aussi je peux comprendre, pas seulement les ingénieurs et les avocats. (La réunion mardi de la Cour d'appel) en est la démonstration. Les avocats ont parlé pendant deux heures de ce qu'était un trou", soit le diffuseur, qui creuse le fond des F1, a critiqué l'Italien. Du coup, "le Championnat se joue à présent entre Nakajima, Barrichello et Gluck, pardon Glock. C'est comme si en Italie, on voyait la Reggina, Lecce, Bari en tête du calcio et Milan, l'Inter... derrière. On se demanderait ce qui s'est passé", a ironisé Flavio Briatore.
  23. Shanghai à la loupe Voici tout ce qu'il faut savoir sur le Grand Prix de Chine, la 3e manche du Mondial de F1 disputée ce week-end, à Shanghai. STAT Pour la première fois depuis la création du championnat Constructeurs, en 1957, la Scuderia Ferrari n'affiche aucun point. Elle est même dernière du classement. ILS ONT DIT Robert Kubica (BMW) : "C'est la première fois que nous venons à Shanghai à cette période de l'année (ndlr, course auparavant automnale) et il y a une forte probabilité de pluie". Bob Bell (Renault, directeur technique) : "Nous n'avons pas changé notre position vis-à-vis de l'utilisation du KERS dont la stratégie est de l'utiliser. Le KERS présente un avantage évident sur certains circuits et la Malaisie fut un de ces circuits mais nous verrons comment cela se déroule au courant de la saison. Peut-être pourrons-nous débattre de son efficacité sur certains circuits. Nous devons donc évaluer son avantage à chaque course et Shanghai est définitivement un circuit où nous devrions constater un bénéfice. Globalement, le système fonctionne bien et il nous amène les avantages escomptés comme dépasser ou défendre une position ainsi que le départ. Shanghai est un circuit moderne avec une surface lisse présentant une variété de virages lents et rapides : de longues lignes droites, des chicanes serrées, de longs virages. Ce genre de circuit présente un vrai challenge pour les ingénieurs concernant la mise au point de la voiture. Ce n'est pas un circuit très éprouvant pour les freins mais il peut l'être pour les pneus surtout dans le premier virage qui se resserre. Les appuis seront assez standards. La priorité sera de trouver un bon équilibre entre un set-up pour les endroits rapides et plus lents". Martin Whitmarsh (Team McLaren Mercedes, P-DG) : "Nous allons introduire de nouveaux composants (mécaniques et aéro) sur la MP4-24 mais nous ne nous attendons pas à ce que cela transforme radicalement le potentiel de la voiture". PNEUS "Medium" et "très dur" (« medium" et "dur" en 2008). Les écuries pensent plus utiliser le "medium" sur le sec. KERS Comme à Melbourne et Sepang : installé dans les Ferrari, les McLaren, les Renault. Et probablement dans la BMW de Nick Heidfeld, l'écurie attendant une monoplace allégée pour envisager de le placer dans la F1.09 de Robert Kubica. DIFFICULTES ET CARACTERISTIQUES Hermann Tilke a répondu au cahier des charges en dessinant un "Shang" en vue aérienne, qui signifie "au-dessus" en chinois. Il l'a garni d'immenses tribunes futuristes pour 200.000 spectateurs. A la démesure de ce bastion du communisme, ouvert en 2004 au plus capitaliste des sports. Les deux escargots sont un régal pour les pilotes. Le premier se présente dès le virage N.1, et se referme comme un piège sur les optimistes car la corde les renvoie systématiquement à l'extérieur, et souvent derrière le poursuivant. Le second escargot se déroule dans l'autre sens, et s'ouvre. Un peu moins sélectif mais la moindre perte pour s'extraire de l'étonnant virage surélevé se paye cash au bout de la longue ligne droite. Entre les deux, une variété remarquable de courbes, reliées par l'harmonie et un relief peu vallonné. Sur un tour, les V8 passent 55% d'un tour à pleine charge. La plus longue ligne droite s'étend sur 1360 mètres, soit à peu près 19 secondes à fond. Le circuit possède un autre rectiligne de 600 mètres. La surface abrasive tend à user les pneus, spécialement à l'avant dans les virages 1 (avant gauche), 2 (avant droit) et 8 (avant gauche), tandis que le N.13 (virage à 270°) est une épreuve pour les gommes arrière. Cartographie moteur à soigner en raison des nombreux freinages suivis de fortes réaccélérations. Le KERS pourra donc être un avantage. Nécessité d'avoir un train avant vif pour supporter les changements de direction. Les amortisseurs seront donc réglés plus durs à l'avant qu'à l'arrière. LES POLEMEN 2004 Barrichello (Ferrari), 2005 Alonso (Renault), 2006 Alonso (Renault), 2007, 08 Hamilton (McLaren) LES VAINQUEURS 2004 Barrichello (Ferrari), 2005 Alonso (Renault), 2006 Schumacher (Ferrari), 2007 Räikkönen (Ferrari), 2008 Hamilton (McLaren LE TOP 5 DU MONDIAL PILOTES 2009 1-Button (GBR/Brawn) 15 pts, 2-Barrichello (BRE/Brawn) 10 pts, 3-Trulli (ITA/Toyota) 8,5 pts, 4-Glock (ALL/Toyota) 8 pts, 5-Heidfeld (ALL/BMW) 4 pts LE TOP 5 DU MONDIAL CONSTRUCTEURS 2009 1-Brawn 25 pts, 2-Toyota 16,5 pts, 3-BMW 4 pts, 4-Renault 4 pts, 5-Williams 3,5 pts
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