FOURNIER11

Le crash au Japon en 1977. Au premier plan Peterson.

Une voiture secrète après l'abandon officiel de 1992 Alors que la voiture était encore en cours d'achèvement en 1992, le président de Honda Motor Company Nobuhiko Kawamoto reconnu que le projet existait, mais il a confirmé ne pas avoir eu le soutien de Honda. Le RC100 complété a été dévoilé devant les médias en Février 1993. Le RC101 légèrement évolué a débutée plus tard en 1993, avec des tests effectuer pilote Honda d'usine Satoru Nakajima sur le circuit de Suzuka, qui appartient à Honda. On sait peu sur la performance de la RC101 dans les mains de Nakajima avant que le châssis utilisé dans un essai de collision, détruisant la voiture. Le premier test public est venu à Suzuka en Janvier 1994, quand une autre voiture avait été construite. Le RC101B encore évolué la conception, avec Nakajima effectuer le test public. Peu de temps après, les tests sur le RC101B ont pris fin et Honda s’est concentré sur son nouveau programme de CART.

Totalement en accord avec toi ! Mais quand ?

17 mars 2015 - 16h50, par Olivier Ferret Le directeur du circuit d’Hockenheim, Georg Seiler, a indiqué au Bild aujourd’hui qu’un Grand Prix d’Allemagne sur son circuit n’était plus possible pour cette année. Aucun accord n’a été trouvé avec Bernie Ecclestone. "Nous n’avons plus d’espoir pour qu’une course de F1 se tienne ici. Nous avons tout tenté ces derniers jours pour que les fans soient heureux mais le temps manque maintenant pour organiser un Grand Prix sans que la qualité en souffre," indique-t-il. Le Nurburgring ne pouvant pas payer pour sa course, Ecclestone devrait indiquer à la FIA que le calendrier s’en tiendra à 19 courses seulement. La FIA devrait ratifier le nouveau calendrier lors du vote du Conseil Mondial vendredi. StandF1.com

Lewis Hamilton a répondu aux dirigeants de l’équipe Red Bull, Christian Horner et Helmut Marko. Horner a demandé à la FIA qu’elle intervienne afin de brider les Mercedes, après avoir vu son pilote Daniel Ricciardo terminer à un tour d’Hamilton en Australie dimanche dernier. Marko a pour sa part indiqué que la F1 courait à sa perte si rien n’était fait pour stopper la domination des Flèches d’argent, qui semblent encore plus performantes que l’an dernier. "Ce fut intéressant d’entendre leurs commentaires, a déclaré le champion du monde en titre ce mardi à Sydney, mais je ne souhaite pas m’immiscer dans le côté politique des choses. En ce qui me concerne, je ne fais que piloter." "De toute façon, les gens sont toujours mécontents quand ils ne gagnent pas. Et quand vous êtes dans cette situation, je suppose que l’une des solutions est d’engager de meilleures personnes." "Nous avons recruté d’excellentes personnes chez Mercedes et nous avons réalisé un travail remarquable. Et nous ne passions pas notre temps à nous plaindre quand c’était eux qui gagnaient sans arrêt…"

Suite ! Ce qu'il a voulu faire le 8 mai quand il s'est élancé pour un dernier tour de qualification. Pour aller encore plus vite. Pour être devant Pironi sur la grille de départ. Car Pironi était 6è en 1’ 16’’ 501 et Gilles 8è en 1’16’’616. Mais il ne pouvait aller plus vite. « Il a été trahi, c'est incontestable, car Pironi me l'a avoué ouvertement quelques années plus tard, avant qu'il ne meure (en 1986), se rappelle Christian Tortora, un des deux journalistes sur place mandatés par le Québec. Mais Gilles voulait battre son temps, comme pour lui dire : tu m'en as fait une, je t'en fais une! « Mais là, il y a une ambiguïté, et Mauro Forghieri (ancien directeur technique) me l'avait bien dit. Il est parti avec des pneus usés. Donc, en clair, il ne pouvait pas améliorer le temps qu'il avait fait, ce n'était pas possible. » Il a fallu dans ce tour qu'il croise la route de l'Allemand Jochen Mass, dans la March, lors de la descente après la chicane celui-ci s'est écarté sur sa droite pour le laisser passer dans la trajectoire. Mais ils ne se sont pas compris, Gilles a voulu passer aussi à droite, hors trajectoire, et la Ferrari a été catapultée dans les airs. La caméra n'a pas suivi la Ferrari, mais la March. Il faut dire que la télévision belge n'était pas en direct sur la séance de qualification. Elle effectuait avec ses techniciens des tests de caméra. Seule la présence d'esprit de ce caméraman belge nous permet de savoir ce qui s'est passé. Gilles Villeneuve a été arraché à sa voiture*, et est retombé lourdement dans le filet de sécurité. Certains disent que Gilles est mort avant même d'avoir touché le sol. Les vertèbres cervicales ont cédé. Plusieurs pilotes, dont René Arnoux, alors chez Renault, se sont arrêtés non loin du corps de Gilles. Ils ont constaté ce que tout le monde redoutait depuis longtemps. L'équilibriste venait de tomber de son fil. « Peut-être que l'animosité voulait le pousser à faire mieux que son coéquipier, affirme René Arnoux, peut-être qu'il aurait dû lever le pied, car en passant à droite c'est sûr que le chrono allait lui coûter une seconde dans ce virage. « Mais après, on peut refaire plein de choses. L'équilibriste est tombé, mais d'une façon dont je ne m'attendais pas », laisse tomber le pilote français, la voix triste. Dans le paddock, il y a eu un grand silence parce que plusieurs s'attendaient à cette issue compte tenu du personnage. Un silence que n'hésite pas à décrire le journaliste italien Pino Allievi. « Dans le paddock flottait un sentiment de résignation, presque une froide indifférence. Comme si le paddock était soulagé de pouvoir se libérer de cette angoisse difficile à vivre », a écrit M. Allievi, dans un cahier spécial du quotidien italien la Gazzetta dello Sport, publié mardi. Le lendemain, le Grand Prix de Belgique a été disputé, mais sans aucune passion de la part des pilotes qui avaient connu et aimé Gilles Villeneuve. « Les gars n'ont pas été au bout du Grand Prix, se souvient Christian Tortora. Ils ont abandonné pour des histoires bidon complet. Il n'y avait personne qui avait le coeur à l'ouvrage. Bernie, qu'est-ce qu'il a dit? J'ai perdu mon showman. » La F1 a tourné la page, car le « spectacle doit continuer », comme le dit souvent M. Ecclestone. Et Ayrton Senna est arrivé en F1 deux ans plus tard... Mais la mort de Gilles Villeneuve a rendu cette année 1982 difficile à vivre. Même si Ferrari a terminé la saison avec le titre des constructeurs. « On était tous orphelins. Perdus. Je n'osais pas aller voir Ferrari, car tout le monde chialait. J'étais très mal. Ça m'a pris 3, 4 courses à me remettre dans mon boulot », a conclu le journaliste québécois d'adoption. Didier Pironi aurait pu être champion du monde en 1982, mais il s'est cassé les deux jambes durant le week-end du Grand Prix d'Allemagne, ce qui a mis fin à sa carrière en F1. Il est mort en 1986 en participant à une course de bateaux hors-bord. Gilles Villeneuve, l'équilibriste, a parcouru la planète de la F1 sur son fil à la vitesse de ses bolides, de 1977 à 1982. Sa victoire à Montréal le 8 octobre 1978 a fait du Québec une terre de F1 et a donné raison à Enzo Ferrari, qui avait vu en lui tout ce qu'il aimait chez un pilote. Son duel avec René Arnoux au Grand Prix de France le 1er juillet 1979 a prouvé son respect des règles et de ses adversaires, sa dernière victoire à Jarama en Espagne le 15 juillet 1981 l'a rendu plus grand que nature. Il avait résisté à quatre adversaires (Jacques Laffite, John Watson, Carlos Reutemann, Elio de Angelis) collés à lui dans les 18 derniers tours. Imaginez... 18 tours à contrer les attaques de la Ligier de Jacques Laffite. « Personne ne peut faire de miracle, mais avec Gilles, on se demande », avait dit Jacques Laffite ce jour-là. * Une rumeur se fit jour plus tard. Le siège de Gilles n'était pas bien fixé ! Tout de suite démentie par Ferrari. A suivre !

Rappelons tout d'abord le contexte ! Et le GP à Imola précédent. Gilles Villeneuve est mort le 8 mai 1982 à la fin des qualifications du Grand Prix de Belgique. Plusieurs acteurs de l'époque ont accepté de parler à Radio-Canada Sports pour expliquer les circonstances de sa mort. Un texte de Philippe Crépeau Gilles avait une grande qualité, la loyauté. Il connaissait et comprenait ce mot. Alors quand dans les deux derniers tours du Grand Prix de Saint-Marin à Imola le 18 avril 1982, son coéquipier Didier Pironi l'a attaqué, l'a dépassé malgré les consignes de l'équipe (par panneautage) et a gagné, Gilles Villeneuve a été une première fois trahi. Et quand Ferrari n'a pas voulu appuyer son pilote numéro un dans la controverse, Gilles s'est senti doublement trahi. Didier Pironi avait réussi à rallier à sa cause le directeur sportif de Ferrari, Marco Piccinini. Il avait créé son propre clan au sein de l'équipe. « La consommation était limite, se rappelle Patrick Tambay, ancien pilote de F1 (McLaren, Ferrari, Renault). Il avait été décidé avec un panneau OK que les positions devaient être figées de façon à être certain de marquer des points très très précieux. Gilles était en tête, mais le panneau n'a pas été présenté par Marco Piccinini, et Didier l'a attaqué. Ils se sont fait la course, Gilles a repris la tête, et le panneau est sorti. « Mais Didier ne l'a pas respecté. Et de là est partie cette polémique, cette trahison que Gilles a ressentie comme tel. Car lui, en 1979, il avait respecté les consignes de l'écurie au profit de Jody Scheckter qui a été champion du monde. Et ce jour-là, il a eu le sentiment, alors qu'ils étaient très amis, qu'il avait été trahi. » Gilles a décidé qu'il ne parlerait plus jamais à Didier Pironi, qu'il croyait être son ami. « Il m'a dit qu'il était dans une colère noire, qu'il n'adresserait plus la parole à Didier, se souvient René Arnoux, ancien pilote de F1 (Renault et Ferrari). Ce qu'il a fait, car quand il disait une chose, il l'appliquait à la seconde qui suivait. Et une animosité est née ce jour-là qui ne pouvait que créer de la discorde au sein de l'équipe. » C'est dans ces circonstances qu'il est arrivé à Zolder pour le Grand Prix de Belgique. Gilles Villeneuve était déterminé à rester le pilote numéro un de Ferrari, et la seule façon était de devancer sur la piste son coéquipier et désormais adversaire. A suivre !

Ce formidable équilibriste a passé 5 saisons de 1977 à 1982 à nous faire vibrer et frémir. J'étais à Dijon lors du GP de France 1979. La bataille avec Arnoux est connue...mais je l'ai vu devant moi et la rumeur du public est encore dans mes oreilles. Il a cassé beaucoup de voitures et peu gagné de courses...mais loyal il aurait pu être champion du monde en 1979. Histoire peu connue, il avait un projet avec Ducarouge et Schecker pour monter son équipe en 1983...avec un moteur Ferrari (un renault était initialement prévu) ! Je reviendrai sur son terrible accident !

Je ne sais mais le ridicule ne tue point ! Il paraît !

La F1 devient pire que nos routes ! Le week-end dernier, la F1 était en Australie pour le premier grand prix de la saison.Durant le week-end, des enquêtes eurent lieu et des sanctions furent émises. Les voici :- Vendredi, lors de la séance d’essais libres 2, Marcus Ericsson fut flashé dans les stands à 62.7 km/h au lieu de 60.Son équipe doit s’acquitter de 300 € d’amende.- Vendredi, lors de la séance d’essais libres 2, Sergio Perez fut flashé dans les stands à 63.3 km/h au lieu de 60.Son équipe doit s’acquitter de 400 € d’amende.- Vendredi, lors de la séance d’essais libres 2, Carlos Sainz fut flashé dans les stands à 61 km/h au lieu de 60.Son équipe doit s’acquitter de 100 € d’amende.- Samedi, les commissaires ont demandé à l’équipe Manor Marussia d’expliquer par écrit leur absence. Les équipes ont l’obligation légale d’être présentes tous les week-ends de course et de rouler.Après avoir reçu les explications, l’équipe n’a pas été sanctionnée.- Samedi, lors des qualifications, Carlos Sainz fut flashé dans les stands à 61.8 km/h au lieu de 60.Son équipe écope de 200 € d’amende.- Dimanche, en course, Kimi Räikkönen n’est pas reparti des stands de manière sécurisée.Après enquête, il n’y a pas eu de sanction, car l’équipe lui a dit de s’arrêter immédiatement.

Tout cela est déjà arrivé maintes fois dans le long passé de la F1. Le pire c'était en 1982 lors du GP de Monaco avec 20 partants et 5 à l'arrivée ! 15 abandons !

On arrête car tout le monde va baver pendant toute la journée...et puis j'ai faim ! A plus cher scuderia 57 !

Ce qui me reste ce sont des photos de 1969 à l'épingle Rosier et un enregistrement sur une cassette de 30 minutes du départ et du ralentissement avant Rosier. Fabuleux les bruits du Cosworth et du V12 Ferrari...Bong sang quelle joie de réécouter ! Pas besoin de 1000 ch pour avoir la chair de poule !!!

Une autre prise de vue de Jo avec le staff RA302.

scuderia57 : je pense que cela est maintenant comme le reste de notre société. Le rapport avant tout. Pauvres spectateurs...ils sont mêmes frustés du bruit !

Je ne sais exactement où, mais c'était en hauteur un derrière les stands. Le V12 résonnait de façon merveilleuse. J'avais aux essais fait beaucoup de photos dans le paddock sur la MATRA avec les rapports de boîte à nus, et Bébel qui rallait auprès de Martin (et pourtant il était chez BRM). J'ai tout perdu. Mais Charade quel circuit et quelle ambiance !

Je préferais un côte d'Auvergne rosé de Corent. J'avais gouté celui-ci lors du GP de France 1972 !

Voilà ton quizz ! Il s'agit du fils de Patrick Depailler Loïc !

1 L.HamiltonMercedes1582 N.RosbergMercedes1583 S.VettelFerrari1584 F.MassaWilliams1585 F.NasrSauber1586 D.RicciardoRed Bull1577 N.HulkenbergForce India2578 M.EricssonSauber3579 C.SainzToro Rosso15710 S.PerezForce India15711 J.ButtonMcLaren15612 K.RaikkonenFerrari24113 M.VerstappenToro Rosso13414 R.GrosjeanLotus1115 P.MaldonadoLotus--116 D.KvyatRed Bull-----17 K.MagnussenMcLaren----- Que dire ! c'est 2014 qui recommence ! Les Lotus out les McLaren bof, seul Vettel tient le coup ! Cela ne nécessite pas plus de descriptions.

Toujours pas de nom ?

CMTARGA : cela me remu toujours lorsque l'on parle de Jo. Voici une photo aux essais !

A noter Beltoise sur la Matra MS11 V12.

Meilleure vitesse de pointe pour la Ferrari de Vettel 304 km/h. Aujourd'hui la SF15-T a confirmé son bon fonctionnement après un hiver studieux en se positionnant 4e et 5e sur la grille de départ. Pendant ces qualifications, Vettel a réussi à s'octroyer la meilleure vitesse de pointe, grâce entre autres à un nouveau diffuseur. Selon les relevés de la dernière séance de qualifications, Vettel a donc dominé le classement de la meilleure vitesse de pointe dans le 3e secteur avec 304km/h, devançant même la Williams-Mercedes de Valtteri Bottas à 302km/h. Ce nouveau diffuseur vient d'une idée de Red Bull, et a été essayé chez Ferrari pendant l'hiver, avec des résulats plutôt satisfaisants. Grâce aux générateurs de flux d'air à l'arrière positionné au début du coude de l'extracteur, l'appui à l'arrière est plus important et améliore donc la vitesse de pointe. DirectF1.com

Alors CMTARGA ? qui au premier plan ?

En dehors du quizz...un peu de nostalgie !