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Uscars

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Tout ce qui a été posté par Uscars

  1. Fonce, parce-que cela le sera...Combien ils veulent pour des entrées générales Us ? Tu connais mon opinion, le spectacle ne vaut pas 10€. Je me régale tant avec les protos d'endurance et les GT.
  2. C'est pas faux. Tout est fait pour qu'il gagne. Saison avec une seule LMP1 hybride, aucun constructeur intéressé à l'horizon, alors on mise sur la vedette américaine (enfin espagnole dans le cas présent).
  3. Elles sont solides ces LMP2.
  4. Des mecs traités comme des andouilles en F1 et qui font une magnifique carrière ailleurs, il y en a des dizaines. Je citerais peut être le meilleur en endurance actuellement : Buemi. Ou Rossi qui excelle en Indycar. Quand à Nakajima il est rapide et solide. Le diffuseur de l'Aston? Oui il est franchement laid. Mais pas hors la loi. Faut dire que ce modèle est assez vieux, et peu adapté aux effets aéro actuels. Reste que la dernière version n'est pas mieux. Alors que chez Porsche et Ford on a quelque chose de plus esthétique.
  5. En 2017 la Toy était en essais à 3'14. Donc ils ont bien réduit la voilure pour assurer la durée. 2 secondes aux tour ça fait 12 minutes au bout de 24h, soit pas loin de 4 tours. Ceci sans compter le fait que les Toy auront 2 ou 3 arrêts de moins à opérer.
  6. Un petit tour de circuit avec une LMP1 à moteur 100% thermique. https://www.facebook.com/rebellionracing/videos/10156610844128701/
  7. Tu es pour Toyota et Fernande ? (je ne le supporte plus ) J'aime bien Fernande car il voit plus loin que la seule F1. Mais je ne supporte pas, où que ce soit, les constructeurs en sport auto (le Forces de l'Argent comme aurait dit Mitterand). Donc je vais essayer à distance de créer des problèmes aux Toy. Alonso reviendra gagner Le Mans chez Rebellion. Les spécialistes vont me dire : oui mais il y a aussi des écuries d'usine en GTLM Pro. D'accord, mais aucune n'a l'influence des Peugeot, Audi et maintenant Toyota en Endurance, ou des gris en F1.
  8. J'ai déjà mis en place ma Toyota miniature vaudou, et un paquet d'épingles bien rempli.
  9. Oui j'ai vu la présentation de cet événement phocéen. J'ai déjà reçu, en tant qu'abonné au Paul Ricard, deux relances pour acheter un billet pour le GP de F1 (non compris dans ledit abonnement). Ils semblerait donc que tout ne soit pas encore vendu.
  10. Il faut espérer que la lutte dure jusqu'à la fin. Pour remettre les choses dans la réalité il faut dire qu'il y a deux voitures ultra favorites. Expérimentées. Bien plus rapide que les adversaires. Soutenues par leur usine. Mais! Mais ça dure 24h et donc tout peut arriver.
  11. Quelle réussite cette LMP2. Voiture ultra performante pour un prix assez bas. Moins chère qu'une LM GTE. Et de superbes bagarres. On aurait peut être pu laisser deux motoristes en conservant le prix plafond comme pour les chassis (4 constructeurs agréés).
  12. Encore un disque écouté en boucle. https://www.facebook.com/1974975289419563/videos/2038858603031231/
  13. Sans aucun doute, car Fernande est attendu en Endurance et surtout en Indycar.
  14. M'en fout, je suis à la retraite!
  15. Sans méchanceté, mais c'est trop drole. https://www.facebook.com/circuitclubAU/videos/2229494267091227/
  16. Gilles Simon (FIA) : « Avoir des règles qui ne permettent pas un développement technologique extrême » Par lm@endurance-info.com - 10 juin 2018 - 9h53 2020 c’est déjà demain et aussi bien la FIA que l’ACO travaillent en étroite collaboration pour coucher sur papier un premier jet des futures règles qui seront dévoilées vendredi au Mans. Présent à la FIA depuis la rentrée 2017 au poste de directeur technique de la FIA, Gilles Simon planche sur le nouveau règlement. La feuille de route est certainement loin d’être facile puisque l’objectif est d’attirer de nouveaux constructeurs sans faire fuir ceux qui sont présents, de diminuer drastiquement les coûts tout en gardant une technologie de pointe et de conserver un bon mix LMP/GT. En attendant, tous les regards sont fixés sur les écarts entre Toyota et la concurrence. Gilles simon a confié sa vision sur la période actuelle mais aussi sur le futur. Êtes-vous satisfait des différences de temps entre les Toyota et les équipes privées à Spa en mai dernier ? « Je dirais d’une façon générale que je suis content car le niveau d’expérience est plutôt différent. Nous pensons que les voitures non hybrides ont beaucoup de potentiel car le nombre de kilomètres effectué jusqu’à maintenant reste limité. Les équipes n’ont pas encore compris complètement le set-up de leurs autos, la direction dans laquelle elles veulent aller. Il y a des équipes moins expérimentées que d’autres. Ce que nous pouvons donc analyser à partir des données est donc cohérent en termes des effets de puissance, quels sont les effets du moteur et ainsi de suite. Nous pensons que globalement, en termes de temps au tour, les équipes ont besoin de plus de temps de roulage pour avoir une parfaite idée du potentiel de leurs voitures. Elles ne sont pas encore à leur plein potentiel et je crois que les teams le reconnaissent. » Pensez-vous que les équipes non hybrides pourront combler l’écart au cours des six prochains mois ? « Je pense qu’au Mans, nous verrons qu’elles ne seront pas si loin. Nous avons fait les simulations en octobre dernier, nous n’avions donc aucune information sur les vraies voitures que nous allions voir. Nous devions donc renforcer notre compréhension et nos connaissances. Je crois que nous avons vu à Spa que c’était bien en phase avec nos calculs et donc je m’attends à ce que le plein potentiel des autos sera vu une fois que certains problèmes ont été résolus. Je pense que le combat sera meilleur, que les autos seront plus proches, très bientôt. » En ce qui concerne 2020, d’une façon générale, quel est l’objectif de la FIA et de l’ACO sur l’avenir du LMP1 ? « Le premier objectif est d’avoir des règles qui ne permettent pas un développement technologique extrême, afin que nous puissions établir une réglementation à laquelle tous les concurrents pourront avoir accès, mais qui sera obligatoire pour tout le monde. C’est encore un peu tôt mais notre proposition est basée sur la définition de certains paramètres contrôlés. Grossièrement, nous contrôlons les performances du moteur, la performance du système hybride et la performance aérodynamique, et vous définissez la voiture avec laquelle vous voulez rouler sans qu’elle puisse dépasser la puissance donnée, le nombre de kilowatts du moteur électrique, les chiffres de la partie aéro. Nous voulons établir des limites physiques et mettre les chiffres au bon endroit pour que les concurrents puissent les atteindre, mais aussi les atteindre pour être compétitifs. Cela signifie que nous n’aurons pas d’Equivalence de Technologie (EoT) car il sera possible d’avoir la bonne puissance avec le débit de carburant, le nombre de cylindres, l’architecture du moteur, etc… Peut-être que parce que vous avez une identification à une marque, vous voudrez prendre un 4 cylindres, un 12 cylindres ou ce que vous voudrez, mais vous devrez respecter les chiffres. La partie aéro sera traitée de la même façon avec l’appui maximum que vous pouvez atteindre et que nous mesurerons, alors vous serez libre sur la conception de la voiture pour atteindre ces chiffres. » Le coût est au centre des discussions ? « Oui bien sûr. Nous voulons que les coûts de développement soient contrôlés ou du moins que même si vous dépensiez plus, cela ne vous donnera pas un avantage significatif, car si on définit des chiffres d’efficacité aéro, travailler pendant des heures ne vous donnera pas un gros d’avantage. Peut-être que vous aurez une voiture légèrement plus stable dans certaines conditions, mais en gros, l’appui maximal sera défini, la traînée minimale également, ce qui fait que c’est donc à vous de choisir. » Vous n’avez pas peur que les constructeurs présents actuellement en GTE qui participent aux discussions pour le futur du LMP1 se voient obligés de faire un choix entre les deux ? « Je pense que nous ne parlons pas des mêmes voitures car la catégorie LMP1 est réservée à des prototypes qui ne sont pas basés sur une voiture spécifique. Le programme est assez différent pour les constructeurs avec des objectifs différents. Nous croyons que, comme la catégorie GTE est réussie, nous ne la voyons pas diminuer. En réalité, nous avons même de nouveaux potentiels arrivants qui développent des autos pour 2020. Donc, nous sommes confiants sur le succès du GTE qui restera stable. » On peut vous poser la même question avec le LMP2 car si le futur LMP1 devient plus attirant, que feront les équipes LMP2 ? « Je pense que la catégorie LMP2 est un vrai succès. Elle est bien ciblée et les coûts sont assez réduits. C’est nettement moins cher de courir en LMP2 qu’en GTE par exemple. Avec la nouvelle catégorie LMP1, notre objectif est d’avoir des coûts identiques à ceux des équipes actuelles LMP1 non-hybrides, sachant que nous inclurons une technologie hybride, certes pas aussi sophistiquée ni aussi complexe que nous l’avons vu ces dernières années, mais tout de même quelque chose d’intéressant sur le plan technologique. Nous pensons donc que les équipes privées auront intérêt à concourir dans la catégorie LMP1. » Le système hybride sera simple ? « Il sera disponible à un prix raisonnable. Ce ne sera certainement pas quelque chose de standard, mais il sera disponible à un prix attractif. » Quelle est la prochaine étape ? « Le concept de base sera présenté au Mans sans que ce soit le règlement complet. Nous finaliserons les détails dans les prochains mois. » Qu’espérez-vous voir en 2020 en FIA WEC ? « Je pense que la catégorie LMP1 a le potentiel pour être très attrayante parce que les règlements que nous établissons seront plus proches des ‘Hypercars’ que des P1 actuelles. Je veux dire par là que ce sera des voitures de route extrêmes. J’appellerais cela ‘concept de voitures de course’. Autrement dit, ce sont des concept cars pour la course pour les grandes marques et les grands noms. Je pense que cela séduira pleinement les fans. »
  17. Mercedes dans la course aux 24 Heures du Mans avec… Aston Martin Source : Julien - 11 juin 2018 - 16h55 Non… les flèches d’argent ne sont pas – encore – de retour aux 24 Heures du Mans mais, pour la première fois depuis 15 ans, Mercedes assure une présence discrète comme motoriste d’Aston Martin. Apparue aux 24 Heures du Mans 2005, l’Aston Martin Vantage laisse cette année sa place à une nouvelle voiture. Et que l’on ne s’y trompe pas, le nom a beau rester le même, tout change : forme agressive, couleur vert acidulé et moteur Mercedes. Adieu le V8 de 4.3 litres à aspiration naturelle, bloc initialement conçu par Ford pour Jaguar en 1996. Bonjour le V8 de 4.0 litres turbo M177 estampillé AMG, de conception beaucoup plus récente. Ce changement est le fruit d’une alliance technique entre Mercedes et Aston Martin, la firme allemande fournissant désormais ses moteurs aux Anglais en échange de 5% de leur capital. Précisons au passage que cette situation n’est pas inédite dans l’histoire des 24 Heures du Mans, Mercedes ayant déjà motorisé des voitures autres que les siennes : la Pagani Zonda vue en 2003 et la lignée des Sauber de 1985 à 1991. Comme le veut la règlementation de la catégorie GTE-Pro, le moteur est dérivé de celui qui équipe la version route de la nouvelle Vantage. Il a déjà été vu en compétition dans la Mercedes-AMG GT4 apparue en fin de saison dernière (la GT3 bénéficiant quant à elle d’un V8 6.2 litres atmosphérique). Les motoristes d’Aston Martin y ont apporté leurs propres développements en améliorant notamment la souplesse d’exploitation. Accouplé à une boite séquentielle Xtrac à 6 rapports, il développe 510 ch et 685 Nm, de quoi couvrir le 0 à 100 km/h en 3″7 et atteindre les 314 km/h en pointe… Des chiffres que la Journée Test ont eu du mal à confirmer, les deux voitures d’usine ayant été flashées à « seulement » 283 km/h, loin des Ford GT et de leurs 299 km/h. Même si les résultats des premiers essais ont été un peu décevants, le nouveau moteur semble satisfaire les pilotes, à l’image d’Alex Lynn. « C’est très différent du moteur atmosphérique », affirme-t-il. « Les caractéristiques du turbo conviennent bien à mon style de pilotage, ça ressemble à la BMW M6 sur laquelle j’ai disputé les 24 Heures du Nürburgring l’année dernière. Dans les virages, il faut se concentrer pour bien préparer la sortie. C’est un défi, il faut adopter un pilotage plus doux. » A suivre de près cette semaine…
  18. Vivement mon prochain voyage pour aller le voir. https://www.facebook.com/johnfogerty/videos/10155344341582540/
  19. On ne peut pas être juge et partie. Les pilotes voient le travail qu'ils font. OK. Nous on ne voit pas ce travail (comme on ne voit pas ce qu'il y a sous le capot moteur). Nous on voit juste soit des voitures qui se suivant, soit des voitures qui se doublent. J'ai pu constater sur Internet des critiques très vives quand à cette procession, certains remerciant Stroll pour avoir donné un peu d'animation. J'ai pas loupé grand chose.
  20. Comme disait l'humoriste Roger Nicolas : "écoute, écoute" https://www.facebook.com/akrapovic/videos/10156727143792971/
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