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beamish

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Tout ce qui a été posté par beamish

  1. En 1974, Lancia lance un ovni sur les routes du championnat du monde des rallyes. Avec son moteur central et son design futuriste signé Bertone, la Stratos HF est la première voiture à être spécifiquement conçue pour la course. Elle s'impose trois années de suite, et demeure compétitive jusqu'en 1981. La version de route, produite à seulement 492 exemplaires, est particulièrement rare ; mais c'est la version de compétition, dans sa célèbre livrée Alitalia, qui deviendra un symbole de l'audace des "seventies". Lancia
  2. Elle est née en 1974, mais devient une icône des années 1980 : la Lamborghini Countach Quattrovalvole de 1985 marque la décennie par son design futuriste et son esprit sans concessions. Large, basse et dotée d'une visibilité ridicule, la Countach fait payer cher au conducteur ses excès d'audace stylistique. Goûter au feulement du V12 de 5,2 l mérite bien quelques sacrifices... Lamborghini
  3. Une minuscule citadine à la cylindrée modeste peut-elle faire une sportive mythique ? Dans le cas de la Mini Cooper S, la réponse est clairement oui. Dès 1960, la version Cooper S enchaîne les succès en rallye où sa conception simple mais efficace fait des merveilles. Elle connaîtra son heure de gloire à Monte-Carlo en 1964 : sa maniabilité exemplaire l'aide à surmonter des conditions climatiques dantesques. BMW AG
  4. Il est peut-être un peu tôt pour parler de légende, mais gageons que l'on parlera encore de la Bugatti Veyron dans quelques années. Deux chiffres peuvent résumer ce bijou lancé en 2005 : 407 km/h et 1 196 000 euros. La voiture homologuée la plus rapide du monde accumule les prouesses techniques pour atteindre un niveau de performance qui dépasse l'entendement : moteur W16 de 1001 chevaux, aérodynamique adaptive gérée électroniquement, carrosserie en aluminium... L'intérêt d'une telle débauche est peut-être limité, mais la Veyron reste un chef d'œuvre d'ingénierie. Bugatti
  5. "Light is right" (ce qui est léger est bien) : la devise du fondateur de Lotus n'aura jamais été aussi bien appliquée que dans la Lotus Seven, lancée en 1957. Un poids de 500 kg conférait à ce roadster dépouillé à l'extrême un comportement de kart rageur, et ce malgré des motorisations modestes. Sans la Seven, la Lotus Elise n'aurait pas été la même ; la série télévisée "Le Prisonnier" non plus... Franck Bouvier / L'Internaute
  6. Lamborghini a enregistré les premières commandes de la Miura au salon de Turin en 1965, alors que seul le chassis était exposé. Ce monstre racé a en effet inové par son architecture de propulsion à moteur central arrière, populaire sur circuit mais inédite sur route à l'époque. La Miura avait peut-être tendance à prendre feu facilement, mais elle a inauguré la tradition des "supercars" italiennes à moteur central emblématiques des années 1970. Lamborghini
  7. A près de 90 ans, Enzo Ferrari décide de laisser un testament durable avant sa mort : une "supercar" ultime, capable d'asseoir la suprématie de Ferrari chez les constructeurs d'exception. La F40 concrétise ce rêve en 1987, avec une conception proche de celle d'une monoplace de course. Cette obsession de l'allègement et de l'aérodynamique, conjuguée à un V8 de 471 chevaux, fait de la F40 la voiture homologuée la plus rapide du monde à sa sortie. Ses gènes se retrouveront dans les futures supersportives de la marque, la F50 puis l'Enzo. Ferrari
  8. En 1974, Porsche décide d'adopter le turbocompresseur pour ses modèles de course, et produit la 930 Turbo uniquement pour l'homologation. Cette 911 de course à peine civilisée gagne vite son surnom de "widow maker" (faiseuse de veuves) tant ses 260 chevaux sont délicats à gérer. Mais le succès est au rendez-vous : le "turbo look" (hanches larges, aileron imposant) marque les esprits, posant les jalons d'une longue lignée de GT d'exception. La 911 Turbo actuelle est bien plus puissante et sécurisante ; mais pour les puristes, Porsche n'aura jamais réussi à reproduire un tel concentré de sensations. Porsche
  9. Introduite en 1954, la Mercedes 300SL a marqué les esprits grâce à ses spectaculaires portes "gullwing" (ailes de goéland) et sa ligne raffinée. Mais ses performances inouïes pour l'époque (jusqu'à 260 km/h en pointe) se chargeaient de rappeler que la 300 SL était issue de la course automobile. L'influence de ce modèle a été déterminante pour Mercedes ; la récente SLS AMG en est un bel exemple. Mercedes
  10. Durant de nombreuses années, les Bentley ne furent que des Rolls-Royce au look légèrement plus sportif (seule la calandre et quelques détails mineurs différaient d'une marque à l'autre). Depuis le rachat de Rolls-Royce par BMW et de Bentley par Volkswagen, les deux marques ont divergé. Notamment, Bentley est revenu à des voitures plus sportives, plus proches de son histoire, puisque Bentley a plusieurs fois gagné les 24 heures du Mans. La Continental GT, avec son W12 de 560ch, est une belle illustration de cette évolution. Elle allie ainsi performance et luxe à l'anglaise. Bentley
  11. Construite de 1993 à 2002, la Toyota Supra est rapidement devenue l'icône des préparateurs automobiles et des films comme "Fast and Furious". Ses atouts : un style atypique et un rapport prix / performance quasi-imbattable. Dotée du 6 cylindres en ligne, la propulsion nippone développe 330 ch et avale le 0 à 100 km/h en 5,8 secondes. Toyota
  12. Sortie des usines de Sant'Agata Bolognese en 2002, la Lamborghini Murcielago est la première supercar commercialisée sous l'ère Audi. Si les lignes et la philosophie reste inchangées, la fiabilité et la finition sont quant à elles améliorées. Son V12 de 580 chevaux permet à la sportive de Lamborghini d'approcher les 330 km/h et d'abattre le 0 à 100 km/h en seulement 3,6 secondes. Lamborghini
  13. Le dessin, la planche de bord, l'instrumentation... Pour la première fois dans l'histoire de l'automobile, une voiture signée Nissan s'inspire de l'univers des jeux vidéo. La Nissan GTR fait ainsi figure d'ovni comparée aux autres sportives, à commencer par la Porsche 911. Equipée du V6 bi-turbo de 3,8 l de 486 ch, elle avale le 0 à 100 km/h en seulement 3,5 secondes et fait preuve également d'une efficacité rare. Pour couronner le tout, la japonaise s'affiche à "seulement" 85 000 euros en France, soit un rapport qualité/prix imbattable pour la concurrence italienne ou allemande. Nissan
  14. A l'image des Beatles et de la mini-jupe, la Jaguar Type E est le symbole des années 1960 en Grande-Bretagne. La belle incarne une certaine classe intemporelle, tout en disposant de motorisations performantes. Icône des voitures Grand Tourisme de l'époque, la belle de Coventry a toujours autant de succès auprès des passionnés. Jaguar
  15. Apparue en 1992, la Subaru Impreza WRX est rapidement devenue l'une des icônes des sportives japonaises et, par la même occasion l'emblème de la marque. Equipée du 4 cylindres à plat et réputée pour sa transmission intégrale, la Impreza se démarque en championnat du monde des rallyes avec 3 titres pilotes et 3 titres constructeurs et devient par la suite la voiture officielle de la Brigade Rapide d'Intervention de la gendarmerie française. Subaru
  16. La Tesla Roadster fait figure de prouesse technique : c'est la première automobile sportive entièrement électrique ! Ses faux airs de Lotus et son autonomie de 380 km s'accompagnent de performances stupéfiantes pour ce type de technologie : 200 km/h en pointe, et le 0 à 100 km/h abattu en seulement 3,9 secondes, le tout dans un silence absolu. Disponible à partir de 84 000 euros, la Tesla Roadster est la coqueluche des stars écolos d'Hollywood, dont George Clooney et Matt Damon. Tesla
  17. Quand on pense à l'Aston Martin DB5, on pense avant tout à l'agent secret James Bond. L'une des premières vedettes automobiles du cinéma, c'est elle. Elégante et racée, la belle anglaise produite de 1963 à 1965 se dote d'un 6 cylindres en ligne de 282 chevaux. Sa renommée internationale, sa ligne intemporelle et sa rareté font de ce modèle une sportive d'exception. Aston Martin
  18. Dévoilée en 2002, la Ferrari Enzo est un hommage au fondateur de la marque italienne, Enzo Ferrari. Embarquant les dernières technologies issues de la F1 ainsi que le V12 de 660 chevaux, la supercar abat le 0 à 100 km/h en seulement 3,6 secondes, pour une vitesse max de 353 km/h. A noter que seulement 400 exemplaires ont été produits. Ferrari
  19. Concessionnaire Renault, Jean Rédélé a toujours rêvé de créer une sportive française. Après un premier essai réussi avec l'Alpine A106 en 1955, c'est en 1961 qu'il présente celle qui va devenir une icône des sportives automobiles françaises : l'Alpine A110. Au cours de ses quinze années d'existence, la "Berlinette" va devenir une véritable légende grâce à ses victoires sur les routes sinueuses des rallyes. Aujourd'hui encore, le constructeur Alpine reste gravé dans les mémoires et de nombreux nostalgiques attendent en vain son retour... Renault
  20. Elle tue ta vidéo, et la mise en scène est terrible
  21. bisous.. a non une tite pipe!!!lol tu vas prendre chère à la rochelle Sido
  22. beamish

    Essai Mercedes ML 2010

    pas moi moi non plus.... Moi non plus !
  23. beamish

    Chassis Sport

    Ben en fait je sais pas si ma classe B a un chassis sport ou classique... C'est une 2nde main. Faut que j'me renseigne chez Merco.
  24. si tu veut ce soir je peut te ramener mon coffret dremel, je m'en sert pas en ce moment, comme ça tu pourras te faire aussi l'isv aussi ça se fait tout seul
  25. je ne suis pas sur d'etre sur le bon poste a deplacer si c'est pas bon La Caterham est probablement l’un des moyens les plus lents de se déplacer. Un exemple simple : allez chercher une baguette de pain à quelques minutes de votre domicile, et vous ne reviendrez probablement pas chez vous avant une bonne heure ! Si son style british inimitable n’a quasiment pas changé depuis 1957 et le premier dessin de Colin Chapman, Lotus puis Caterham n’ont pas cessé de la faire évoluer techniquement. Pour nous en convaincre, nous avons pris le volant de la dernière mouture proposée par la marque, la CSR 175. Cette version repose sur le châssis large « SV » de la marque, mais se distingue de ses soeurs « Superlight » (R300) et « Roadsport » par des trains roulants totalement revus. A l’arrière, le pont De Dion laisse la place à des suspensions indépendantes, tandis qu’à l’avant le McPherson est remplacé par des suspensions « Inboard », technologie empruntée à la F1. Sous le capot en aluminium, on trouve donc le bloc 2 litres Duratec dans sa version 175 chevaux. S'il ne manque pas de vigueur, d’autant qu’il n’a que 575 kilos à déplacer, on peut lui reprocher un manque de couple à bas régime. Les 139 Nm ne sont en effet disponibles qu’à 6 000 tr/min. Avec la boite à 5 rapports d’origine (une boite courte à 6 rapports est proposée pour 3500€), cela oblige à reprendre régulièrement le rapport inférieur pour être au mieux en sortie de courbe. Mais une fois le mode d’emploi compris, les courbes sont justement avalées avec une facilité déconcertante. Bien campée sur des gommes Avon CR500 (195/45 R15 à l’avant et 255/40 R15 à l’arrière), la Caterham CSR175 se place de façon précise, se bloque sur la trajectoire et n’en bouge plus. Les réaccélérations sont impressionnantes (0 à 100 km/h en 4,9 s) et le châssis est capable d’encaisser des remises en charge beaucoup plus tôt que la Roadsport équipée du même moteur. Avec cette dernière, la sensation d’avoir besoin de toute la largeur de la piste se fait plus présente et on remet le pied droit au fond plus tard sous peine de faire décrocher l’arrière. C’est plus ludique, certes, mais pas très efficace. Question de goût. Sur la route, Caterham assure que la CSR 175 monte d’un cran par rapport aux Roadsport 175 et R300. On constate en effet que les aspérités sont mieux gommées, permettant du coup une meilleure maitrise des changements de cap. En soi, la CSR est la GT de la gamme, toujours très efficace mais moins joueuse. En témoigne d'ailleurs le nouveau tableau de bord en option plus proche d'une « vraie voiture ». Les sportifs purs et durs lui préfèreront du coup la Superlight R300 avec ses gros freins et sa boite 6. Pour les 45 995€ qu'elle coute, la CSR 175 se place face à une Lotus Elise SC ou une Audi TT 3.2 Quattro. Trois philosophies différentes, entre originalité, précision et technologie. Mais une fois qu'on y a gouté, le choix s'impose de lui-même, car la Seven est ce genre de voitures rares pour lesquelles on se relève la nuit. Tiens, il n’y a plus de pain...
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