Harmotixz

M'en f.... Je suis MB et plus BM

Arf, époque bénie. On est pas prêt de revoir de tels kilométrages avec ces cochonneries de moteurs mazout à rampe commune s est la technologie qui au benefices des normes antie pollution et securiter s est sur a nuie a la fiabiliter des autos modernes on va dire ca comme ca....

je l'ai pensé tellement fort que tu l'a entendu Us..... :D

N'empeche que mon reve, c'est une maison avec un garage comme dans la maison...

Arrêt de la production je crois... Tu vas bientôt conduire piloter un collector Caesard !!! Il prendra de la valeur ! Put1 M...e pas encore un collector

J'étais à Cassis il y a 2 semaines

belle passat

Pas mal comme camion benne,

Essayer une Porsche 911, c’est toujours un grand moment. Et quand celle-ci respire sous assistance, développe désormais 500 ch et ôte le haut pour se muer en cabriolet, le bonheur automobile est à portée d’ongle. Comme les “neuf onze” normales, la Turbo a droit à son petit coup de rimmel. Elle récupère donc des feux avant et arrière à diodes, de nouveaux rétroviseurs et des sorties d’échappement plus larges. De menues modifications qui permettent de la distinguer du modèle précédent. En revanche, comme très souvent lors des restylages, le meilleur ne se voit pas. Il se trouve sous le capot arrière, compte six cylindres à plat, se convertit à l’injection directe et développe 500 ch. Conduite C’est vrai que l’on a quelques appréhensions avant de s’installer derrière le volant d’une voiture si puissante. Pourtant, malgré ses 650 Nm de couple disponibles dès 1 950 tr/mn (contre 620 Nm pour l’ancienne), voire même 700 Nm à 2 100 tr/mn avec l’optionnel Pack Sport Chrono, cette 911 bodybuildée de 500 ch est d’une facilité de conduite déconcertante. Essayée en boîte manuelle à six rapports, celle que les puristes de la conduite préfèrent, cette type 997 Turbo de deuxième génération étonne par la souplesse de ses commandes. Embrayage comme levier de vitesses sont aussi dociles que ceux d’une citadine de 70 ch et son moteur passé de 3.6 à 3.8 litres peut s’utiliser comme un gros diesel, en enroulant tout sur le couple. Rouler en sixième à 1 500 tr/mn ne la fait pas tousser. Sidérant. Mais une Porsche, c’est surtout fait pour être titillée. Ca devient un peu plus chaud. La poussée très linéaire mais d’une puissance quasiment sans fin vous propulse d’un virage à l’autre avant même qu’on ait le temps de le dire. On a le souffle coupé, au sens propre du terme. Seulement, comme toutes les 911, même celles dotées d’une transmission à quatre roues motrices comme la présente Turbo, dès que le rythme s’accélère franchement, il faut s’en occuper. L’avant se met à piocher, surtout sur routes bosselées, et on se bat (un peu) avec le volant. Bref, le néophyte risque d’être surpris mais l’amateur de 911 se régalera. Car depuis plus de 40 ans, le mode d’emploi demeure le même : pour tourner, il faut freiner pour mettre du poids sur l’avant. Enfin, pour davantage de facilité, Porsche propose enfin sa boîte robotisée à double embrayage et 7 vitesses PDK sur la Turbo. Renforcée pour digérer le couple d’engin de chantier, elle se dote enfin de commandes au volant à palettes (419 €) en remplacement des peu pratiques boutons. Pour l’avoir essayé sur circuit, son efficacité et sa rapidité sont impressionnantes. Mieux, si le conducteur (pilote, non ?) veut s’amuser à perfectionner ses trajectoires sans s’occuper du changement de rapports, placer le levier sur D, presser le bouton “Sport” et la boîte va gérer toute seule, et très bien d’ailleurs, les changements de rapports. Un puriste restera, je l’espère, fidèle à une bonne boîte manuelle. Au moins, on a l’impression d’être le seul maître à bord. Sécurité Tenant très bien la route par tout temps grâce à sa transmission à quatre roues motrices permanente, même si, répétons-le, une 911 reste délicate en conduite très sportive, cette Porsche rassure. Mais le plus bluffant vient du freinage, c’est une coutume sur la 911, il est littéralement indestructible. Et l’option freins céramiques PCCD (8 775 €) permet d’aller se défouler sur circuit en étant sûr d’avoir des freins en bout de ligne droite même après de bonnes heures de “pilotage”. Un exercice permis par l’exceptionnelle rigidité de ce cabriolet. Confort Certes, on ne s’offre pas une 911 pour profiter d’un confort de roulement de limousine. Pour ça, il y a la Panamera. Mais le confort étonne. La suspension pilotée PASM joue très bien son rôle et les différents programmes permettent de l’adapter au niveau de confort que l’on souhaite avoir. En tout cas, un long trajet n’a rien d’un supplice, au contraire. Et si vous avez deux petits passagers à embarquer, la 911 en est capable grâce aux deux minis places d’appoint. Seul problème, impossible de caser plus de deux petits sacs de week-end dans le minuscule coffre avant. Ou alors, on voyage à deux. Ecologie En passant à l’injection directe, les rejets de CO2 du Cabriolet sont passés de 309 à 275 g/km en boîte manuelle et de 328 à 270 g entre l’ex-Tiptronic et la nouvelle PDK. De même, Porsche annonce une consommation moyenne qui baisse de 9 % en boîte manuelle (11,7 l/100 km contre 12,9 l auparavant) et de 16 % quand elle est dotée de la PDK en lieu et place de la Tiptronic (11,5 l/100 km contre 13,7 l). C’est toujours ça de mieux. Même si durant notre essai l’ordinateur de bord était très souvent au-dessus de 22 l/100 km. Budget Une Porsche pas chère n’existe pas et n’existera jamais. Mais au regard des extraordinaires prestations, cette 911 Turbo Cabriolet est une affaire. La future Audi R8 V10 Roadster s’affichera sensiblement au même prix avec 4 cylindres et 25 ch de plus. Mais son utilisation risque d’être bien plus exclusive et justifie l’achat d’une autre voiture. Enfin, difficile de parler de la 911 Turbo sans évoquer la Nissan GTR, celle dont les temps au Nürburgring ont “pulvérisé” ceux de la Porsche. Et elle coûte deux fois moins chère… mais elle n’a ni le blason ni le toit en toile. Notre verdict Du bonheur à tous les instants. Vite, assez vite voire très, très vite, cette 911 Turbo Cabriolet sait tout faire et bien. Certains peuvent lui reprocher une conduite rapide qui demande un mode d’emploi, d’autres un look un peu voyant, mais après tout, on achète une 911 pour ça. Alors ? Les plus -PDK enfin disponible -Polyvalence incroyable -Performances ahurissantes Les moins -Conduite parfois délicate à rythme très (très) soutenu sur routes bosselées (et avec une main dans le dos).

C'est loin 10000km pour toi ou alors c'est dans 1 mois (Comme Pierke) moi 10 000...c'est dans un an.... Le mien approche des 50000 km en 3 ans ! Je n'ai jamais autant roulé avec une bagnole (surtout si on considère la distance boulot - travail) moi je disait que je faisait 10 000 par an non pas qu'elle auras 10 000 dans un an....là j'suis à 42 000....Ch'uis débile, mais j'avais bien compris ! ...non car en me relisant c'etait comment dire litigieux... Vu tous les rendez-vous que tu as avec Mickey, moins de 10000 c'est pas possible ben chez mickey j'y vais en train...TGV qui te laisse devant l'entree du parc en 3h20....ca serait con d'y allez en Rbus...Ah c'est sûr que dans de telles conditions on peut se priver de nos étoiles. Avec le R-Bus y pourrait faire un crochet, aussi Toi tu peux faire un crochet avec la B, aussi...

Comme disait Louis XVI...

C'est pas moi qui ait dit ça, du mal. quand même? Mais ce matin j'suis d'accord avec vous

une autre série de photos :

Comme ça en fait

Oui, j'ai vu aussi avant-hier que la gamme avait changé. Bof, rien de très différent quand même

il doit me rester quelques carbu de scooter sa vous interesse les copains c est du 19 ou 21

on a bien delirer quand meme ce week end

Moi j' aime bien. C' est moins torturé que la nouvelle E et son dérivé coupé.

suffisait de demander ,du moins fallait aussi avoir l authorisation de ton homme et inlo t avais qu a venir avec quand tu m as vu partir avec stef ouais mais jause pas demandé sa se fais pas !!

Exactement moi j'ai bien reussi a passer une 202 phase 1 en Phase 2 avec une echelle 1/1, donc pour une 201 en 1/18 c'est du gateauOuais, mais sur les 202, faut faire gaffe au pare-chocs, c' est pas super solide... Ah si justement, vu ce qu'il a subit, a part les griffes il n'a rien Tres solide un pare-choc de mercedes, tres solide

une couleur qui claque sur les roulettes tôles elargies c'est la peinture qui ressort au ultraviolet, j'ai vu ça au vw days, un mec avait ça sur une one à côté du stand westcoast....

On va pourvoir dire du mal de crac pendant 3 semaines