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Greg88-lupoclub

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Tout ce qui a été posté par Greg88-lupoclub

  1. Elle est parfaitement photographiable la Lupo, il faut trouver l'angle pour le déclic 200 kms c'est rien en tout cas, j'ai fait 5 fois ça me concernant ! Bon sauf qu'à l'époque j'étais reparti directement avec Nos meilleures voeux de fiançailles en attendant
  2. Quoi de 9 JB ? Et ton moteur ?
  3. Joyeuses fêtes de Pâques à tous en retard et que le meilleur vienne à vous
  4. Elle parait neuve maintenant, tu vas râler au moindre gravillon
  5. Greg88-lupoclub

    Un nouveau du 92

    Bonjour à toi et bienvenue à toi et à ta petite Lupo
  6. Une autre de Numan que j'aime bien
  7. Y'a plus personne, la Lupo est devenue obsolète
  8. Salut Coun ça faisait longtemps Avec ton truc là, faut passer souvent à la pompe ou pas ?
  9. Bonsoir le forum, à très bientôt
  10. Déjà le début de semaine pffff
  11. Merci Lludo mais t'aurais pas des schémas explicatifs avec tout ça sans vouloir te commander ?
  12. http://www.lupoclub.net/profile.forum?mode=viewprofile&u=927 Tu peux lui envoyer un message privé
  13. Qu'en pensez-vous ? L'avez-vous déjà utilisé ? Avec l'introduction de l'E10, qui contient 10% d'éthanol, la France met les bouchées doubles en matière de carburants verts. Un très bon point. Mais la nouvelle essence suscite aussi la polémique. Revue de détail. Roulez, roulez amateurs de vitesse! A partir d'aujourd'hui, les automobilistes trouveront un nouveau carburant vert dans leurs stations service: le SP95-E10 destiné à devenir, d'ici deux à trois ans, le nouveau carburant européen, en remplacement du SP 95. Le SP95-E10 contient, lui, 10% d'éthanol, une énergie renouvelable produite à partir (notamment) de céréales ou de sucre. Le but de l'opération est double: respecter les objectifs du Grenelle de l'environnement et contribuer à l'indépendance énergétique nationale. Neuf millions de véhicules, immatriculés après le 1er janvier 2000, sont concernés. Ce qui représente 60% des véhicules essence. Pour lever tous les doutes, le site www.carburantE10.fr publie la liste des compatibilités. Ainsi, les pouvoirs publics ont mis les bouchées doubles. Ils sont allés bien au delà des objectifs fixés par le Grenelle de l'environnement -une incorporation de 7% d'éthanol en 2010- qui, eux mêmes anticipaient de 5 ans le plan européen. On ne peut qu'applaudir, même s'il faut voir dans cette accélération de l'histoire la main infatigable des lobbies céréaliers et betteraviers. Ceux ci étaient en petite forme, la chute des cours du pétrole (49 dollars par baril) ayant entraîné une baisse de la rentabilité des agrocarburants. Surconsommation Les betteraviers, eux, étaient d'autant plus déterminés à obtenir cette anticipation qu'ils doivent faire face à une baisse organisée du prix du sucre européen. A telle enseigne que les producteurs commençaient à évoquer une possible demande d'augmentation de l'aide fiscale accordée à l'éthanol: 210 euros par m3. Ce qui représentera une aide de 213 millions d'euros prise dans le portefeuille du contribuable. Au delà, le E10 soulève la polémique. Si les pétroliers, tels British Petroleum, envisagent de le vendre 3 centimes d'euro moins cher que le SP 95, le nouveau carburant vert a un équivalent énergétique moindre que l'essence. Selon les calculs de Greenpeace, un automobiliste verrait ses parcours réduits de 3%. Conséquence: pour s'y retrouver, le rabais devrait être de 4 centimes d'euro au minimum. Bien consciente du problème, Bioéthanol, qui chiffre la surconsommation à +1,7%, conseille de se plier aux règles d'une conduite sage et responsable. Quoi qu'il en soit, qu'il s'agisse du surcoût de consommation payé par le conducteur ou de l'aide fiscale supportée par le contribuable, le soutien de la collectivité serait, selon Greenpeace, de 3422 euros à l'hectare. Des sommes qui bénéficient plus aux industriels de la filière qu'aux producteurs agricoles. Bioéthanol se contente de rappeler que les producteurs d'alcool agricole ont investi plus de 1 milliard d'euro dans le secteur, en maintenant des milliers d'emplois. Alimentation contre carburant? Sur le fond, les scientifiques s'interrogent de plus en plus sur le véritable bilan écologique des agrocarburants. A telle enseigne que Jean-Louis Borloo avait demandé en octobre 2007 un audit de la filière. Certes, nul ne nie l'impact de l'emploi des carburants verts sur la diminution du CO2 à la sortie du pot d'échappement. Mais les questions se multiplient sur les à-côtés de la filière, comme l'irrigation, l'affectation des sols, l'irrigation ou l'emploi d'engrais ou de pesticides. Si la chute des cours agricoles a, pour le moment, desserré l'étau, le choix entre conduire et se nourrir (il y aura 900 millions d'êtres humains en plus sur la planète d'ici à 2030) sera de nouveau posé quand la remontée des cours du brut redonnera un coup de fouet supplémentaire aux carburants verts. Jérôme Frignet, spécialiste des agrocarburants chez Greenpeace, commente: "Nous nous lançons à fond dans la production d'éthanol de première génération alors que la seconde, qui utilisera les parties non comestibles des plantes et donc peu susceptibles de peser sur l'alimentation mondiale, devrait arriver à maturité d'ici deux à trois ans." Il est vrai que la France avait certainement à coeur de ne plus faire figure de mauvais élève. En 2006, les automobilistes hexagonaux employaient trois fois moins de carburants verts que leurs voisins allemands.
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